vendredi 26 août 2022

Béatrice suite 2

 Une nouvelle directrice 



La vie à l'école se poursuivait tranquillement, les deux institutrices étaient toujours soumises à la discipline de fer de madame Verdu, les carnets rouges se remplissaient et les fessées claquaient sur les derrières déculottés. Béatrice n'était désormais plus une jeune femme, elle prenait de l'âge et de l'assurance mais pour la directrice rien n'y faisait elle la considérait toujours comme une gamine qui a besoin de la fessée cul nu.

L'heure de la retraite sonna pour madame Verdu cela faisait 15 ans qu'elle troussait et déculottait Marianne et Béatrice, qui avait maintenant respectivement 45 et 37 ans. La veille de la fin de l'année elles furent conviées toutes les deux dans son bureau. Elle avait disposé sur sa table de travail les instruments qui lui servait depuis des années à corriger ses deux collègues, la règle plate, le martinet et la brosse à cheveux. En entrant dans la pièce les deux dames eurent comme chaque fois un petit frisson et leurs fesses se serrèrent sous leurs petites culottes.

- bonsoir mesdames, demain je ne serai plus votre directrice et je n'aurai donc plus le loisir de discuter avec vos fesses... Je vais donc ce soir clore ce chapitre en vous administrant à chacune la plus sévère fessée que vous n'avez jamais reçue, je veux que vos fesses se souviennent de moi longtemps.

Les deux dames se regardèrent, elles auraient pu protester mais rien ne sorti de leur bouche, elles étaient tellement habituées aux punitions que cette dernière fessée leur paraissait normale.  Madame Verdu disposa calmement la chaise devant le bureau et fit signe à Marianne.

- vous êtes la plus âgée, à vous l'honneur.

Marianne en 15 ans avait un peu grossi, elle n'était plus une jeune femme mais une dame mûre avec un large fessier qui aujourd'hui était bien moulé dans une robe fleurie. Elle se coucha docilement sur les genoux de madame Verdu, celle ci retroussa immédiatement la robe pour mettre à jour la culotte en dentelle qui ne cachait pas complètement pas la belle paire de fesses. Madame Verdu tapota la culotte. 

- joli dessous Marianne, mais je crains qu'il ne soit pas une grande protection. 

La main de caressante était devenue claquante et les fesses se mirent à se serrer au rythme de la fessée faisant rentrer le fin tissu dans la raie fessiere. Ce n'était pas suffisant pour une fesseuse, cessant l'échauffement, elle déculotta complètement la dame couchée sur ses genoux comme si elle n'était plus qu'une mauvaise élève punie. 

- on va passer aux choses sérieuses, une si belle paire de fesses doit recevoir une vraie fessée. 



Marianne était habituée aux fessées sévères mais celle la fit partie des meilleures, elle ne put s'empêcher de battre des jambes et d'offrir à la vue de sa fesseuse toute son intimité, elle gémissait sous la brûlure, son fessier était écarlate quand madame Verdu la fit se relever. Bien habituée, elle mit ses mains sur la tête et ne frotta pas son derrière endolori. La sévère directrice la fit pivoter et lui épingla la robe dans le dos. 

- voilà un bon début, ces fesses sont bien échauffées, n'allez pas au coin, vous avez le droit d'assister à la fessée de Béatrice. 

Elle avait fait un petit signe à la plus jeune des dames. Celle ci émue de savoir que c'était la dernière séance de punition se dirigea vers sa maîtresse. 

Rapidement l'institutrice de 37 ans ne fut plus qu'une gamine punie. Sa jupe courte était troussée bien haut sur ses reins et sa petite culotte blanche ornée de dentelle autour des cuisses, était maintenant au niveau de ses genoux. La main de la sévère directrice claquait et reclaquait le derrière bien rebondi de Béatrice, soumise depuis tant d’année à un régime de fessée quasi quotidienne, elle avait gardé une croupe juvénile, certes un peu plus large qu’à 22 ans mais musclée à souhait. 



La main semblait rebondir sur ce fessier qui s’ouvrait et se fermait aux rythme du battement des pieds. La jeune femme geignait doucement mais elle ne pleurait pas encore, habituée aux sévères corrections de sa maîtresse, il lui fallait plus qu’une fessée manuelle pour lui tirer des larmes. Les fesses étaient maintenant écarlates, madame Verdu cessa la correction, Béatrice put se relever et comme Marianne en punie disciplinée elle mit ses mains sur sa tête et attendit les consignes. La directrice la fit pivoter lui coinça la jupe dans la ceinture et d'une vigoureuse claque sur les fesses lui indiqua qu'il était temps de gagner le coin, Marianne la suivi après avoir elle aussi reçu deux bonnes claques sur sa croupe rubiconde.

- allez, un petit passage au coin que je puisse admirer vos jolies fesses bien rouges, nous n'en avons pas fini mais nous avons toute la soirée. Marianne ! Collez moi bien votre nez contre le mur ! On dirait que c'est la première fois que vous allez au coin ! Décidément vous ne comprenez que la fessée. 

Elle s'était approchée de l'institutrice qui exposait son fessier écarlates et comme si la précédente fessée n'avait pas suffit, elle lui administra une vingtaine de claques. Marianne trépignait sur place mais elle ne bougea pas, se contentant de coller son nez contre le mur comme exigé par sa maîtresse. Elle les laissa ainsi pendant 10', puis elle les fit venir devant le bureau, elle avait disposé une deuxième chaise, elle tenait le martinet à la main, elle leurs désigna les chaises avec le martinet.

- mettez vous à genoux et tendez moi bien vos fesses, monsieur martinet va leurs donner une dernière caresse. 

Les deux punies se mirent docilement en position, les deux paires de fesses écarlates s'offraient aux morsures de l'instrument anciennement destiné à corriger les derrières des gamines mal élevées dans toute les familles françaises. Madame Verdu se plaça de côté et levant l'instrument elle cingla les fesses de Béatrice, celle ci s'accrochant au dossier de la chaise poussa un cri de surprise, ses fesses se contractèrent mais elle ne bougea pas, après une dizaine de cinglades, elle changea de côté et les fesses de Marianne reçurent elles aussi les caresses brûlantes du martinet. La fessée se prolongea, les deux croupes alternativement cinglées par le redoutable instrument. Les lanières du martinet en avaient connu des fesses tout au long de la carrière de madame Verdu et pour sa dernière prestation il se surpassa. A la fin de la deuxième fessée les derrières des deux institutrices n'étaient plus que deux boules rouges la raie fessiere n'était plus qu'une ligne tellement elles étaient serrées sous la cuisson, des traînées rouges s'étalaient sur le haut des cuisses. Madame Verdu décida de les laisser ainsi pour la pénitence, à genoux sur leurs chaises, les fesses écarlates tendues. 

- ces derrières sont bien chauds, on va les laisser refroidir, vous ne bougez pas de la, vous êtes vraiment ravissantes. 

La soirée fut vraiment cuisante pour les fessiers des deux dames redevenues des élèves punies. 



Elles goûtèrent ensuite à la règle plate puis en fin de soirée après une pause un peu plus longue où madame Verdu leur offrit un thé qu'elles eurent un peu de mal à apprécier assise sur un bout de fesse, elles reçurent allongées dans la position traditionnelle une dernière fessée à la brosse à cheveux. 

Après cette terrible soirée elles gardèrent les fesses douloureuses pendant deux jours. 

A la rentrée, elles découvrirent la nouvelle directrice, c'était une jeune femme d'à peine 30 ans, mince, blonde avec un regard autoritaire. C'était la pré-rentrée elles étaient dans son bureau, sur celui-ci était disposé deux carnets rouges. Devant leur regard surpris, Alice la nouvelle directrice leur souri.

- madame Verdu m'a expliqué sa façon de diriger cette école et ses méthodes m'ont paru excellente, j'ai bien l'intention de continuer. Elle m'a également donné la ligne directe de l'inspecteur si par hasard j'avais besoin de lui signaler un mauvais comportement de l'une d'entre vous. 

Les deux institutrices se regardèrent, la situation ne changerait donc pas, il faudrait se soumettre à l'autorité de cette jeune femme. La suite les conforta dans cette idée, Alice prit une chaise et la disposa devant son bureau. 

- d'ailleurs pour bien entamer l'année nous devons faire mieux connaissance, vos fesses avec ma main et ma main avec vos petits derrières. Qui commence ? 

Béatrice et Marianne complètement prise au dépourvu ne bougeaient pas. Alice s'impatienta, elle désigna du doigt Béatrice. 

- venez ici et vite, je pense que vous savez ce que vous risquez en cas de désobéissance ! 

Béatrice s'approcha, le ton sans réplique de la jeune directrice lui rappelait trop celui de madame Verdu, Alice avait 30 ans de moins mais ça ne se voyait pas. Quelques instants plus tard Béatrice était dans une position qu'elle connaissait si bien, troussée et déculottée en travers des cuisses de sa nouvelle maîtresse. 



La fessée fut courte mais sévère, est-ce que madame Verdu lui avait donné des cours particuliers pendant les vacances, mystère, mais quand Béatrice se releva la couleur de son fessier n'avait rien à envier à celle de l'année précédente. C'était maintenant au tour de Marianne de retomber en enfance, cul nu sur les genoux d'une maman sévère, à la différence qu'elle avait 15 ans de plus que sa nouvelle maman et qu'en toute logique c'est elle qui aurait dut donner la fessée au lieu de la recevoir. En vraie fesseuse, Alice ne cessa la fessée que quand la large croupe de Marianne fut colorée de la même manière que celle de sa collègue. Une fois relevée, Alice lui saisi l’oreille puis passant à côté de Beatrice elle fit de même, les deux dames tenues par l’oreille comme des élèves dissipées malgré leurs âges furent conduite au coin par cette jeune femme blonde. Elle les força à appuyer le nez contre le mur.

Elle retroussa à nouveau les jupes qui masquaient les fesses écarlates, arrangea les culottes qui avait glissé un peu trop bas à son goût puis se recula pour contempler le spectacle.



- quel ravissant tableau... Dommage que madame Verdu ne soit pas là pour le voir! Nous commençons l’année sur de bonnes bases.

Elle leur détailla sa façon de diriger, si la fessée était toujours la base, elle introduisit quelques modifications, la plus substantielle fut l’introduction de la fessée du lundi matin.

Chaque début de semaine, Marianne et Beatrice devait arriver une heure plus tôt car Alice leur administrait à chacune une bonne fessée déculottée, cette correction n’avait pas de cause précise, Alice leur avait juste dit dans un sourire.

- démarrer la semaine avec une paire de fesses bien rouges vous aidera à être plus efficace et puis c’est bon pour la cellulite.

Elle avait ajouté cette petite pique en regardant avec insistance les croupes généreuses de ses deux collègues.

 La vie reprit son cours  habituel dans la petite école rythmé par le bruit caractéristique des claques retentissant sur des fessiers dénudés. Les parents d’élèves notamment la présidente de l’association furent rapidement soumis au même régime que les deux institutrices, l’autorité naturelle d’Alice faisait que personne ne rechignait si elle le jugeait nécessaire, à se coucher sur ses genoux et à se faire baisser la culotte pour recevoir le châtiment enfantin.



 Curieusement seul les enfants, du fait des nouvelles façons d'éduquer n'étaient pas soumis à la fessée. 


mercredi 24 août 2022

Béatrice suite

 Béatrice prend goût à la fessée 



Béatrice et Marianne en sortant du bureau de la directrice virent une dame qui attendait sur une chaise. Marianne fit un petit signe à sa jeune collègue.

- c'est madame Dulac une mère d'élève qui est la présidente de l'association de parents, c'est une ancienne élève de madame Verdu, elle n'a pas l'air très à l'aise. On va discrètement écouter.

Elles se rapprochèrent doucement pour écouter, elles ne furent pas déçue, des éclats de voix fusèrent à travers la porte et soudain après un petit moment de calme le bruit caractéristique de claques sur la peau nue retentit dans le silence suivi par des supplications puis des gémissements et enfin des pleurs. Marianne mit son doigt sur sa bouche et fit signe à Béatrice de la suivre. Une fois dans sa classe elle sourit.

- tu vois ma chérie, il n'y a pas que nous qui montrons nos fesses à madame Verdu. A mon avis madame Dulac doit en ce moment être au coin les mains sur la tête avec une paire de fesses bien rouge. 



Je ne vais pas la plaindre, cette petite peste n'est pas la dernière à venir se plaindre en sachant très bien comment ça va se finir pour nous. En plus l'année dernière elle a eu le droit d'assister à une de mes fessées. 

Béatrice écoutait bouche bée, elle allait de surprise en surprise, ainsi non seulement elle pouvait être déculottée devant sa collègue mais une parente d'élève pourrait assister à sa punition. Marianne acheva de la désespérer. 

- je ne suis pas mécontente que tu sois arrivée, tu as un très joli derrière et je pense que madame Verdu va s'y intéresser de près, pendant ce temps elle va peut être laisser le mien en paix. 

Elle lui expliqua qu'elle remplaçait une institutrice partie à la retraite et qui malgré ses 60 ans recevait elle aussi la fessée déculottée quand la directrice le jugeait nécessaire. 

D'ailleurs le jour de son pot de départ avant d'aller retrouver les élèves pour une petite fête, elle avait convoqué Marianne et madame Dulac et avait annoncé à la pauvre Élisabeth qui venait de terminer sa dernière journée de travail. 

- ma chère, comme je n'aurai plus le loisir de m'occuper de vos fesses, je vais vous faire mon cadeau de départ. Elle s'était assise sur une chaise et l'institutrice de 60 s'était retrouvée couchée en travers de ses genoux, elle était habituée à ce genre de traitement depuis de nombreuses années aussi elle n'avait pas protesté, sa jupe avait été retroussée et sa culotte baissée. 



Elle était maintenant déculottée comme une gamine malgré la présence de deux jeunes femmes spectatrices. 

- il n'y a pas d'âge pour la fessée déculottée, vous le savez Élisabeth et celle la, je veux que vous vous en souveniez. 

Les claques s'étaient mises à tomber sur les fesses bien tendues par la position et rapidement la croupe avait pris cette belle couleur rouge qui plait tant aux fesseuses. Remise sur ses pieds elle avait du tenir sa jupe retroussée et présenter ses fesses écarlates aux deux jeunes femmes. 




Quelques instants plus tard, après avoir réajusté sa tenue et sèché ses larmes elle avait reçu ses cadeaux de départ. Tout le monde avait mis ses yeux rougis sur le compte de l'émotion. Marianne et madame Dulac savaient que sous sa jupe et sa culotte ses fesses étaient brûlantes. 

Les prévisions de Marianne se révélèrent exacte, Béatrice devint rapidement l'institutrice aux fesses rouges, toutes les occasions étaient bonnes à madame Verdu pour déculotter sa jeune collègue et lui chauffer le derrière. Cela se passait le plus souvent dans la classe avant l'arrivée des élèves, ce qui rendait le châtiment encore plus humiliant. La directrice plaçait une chaise sur l'estrade à côté du bureau, elle faisait un petit signe à Béatrice et celle ci, docilement venait se coucher sur ses genoux, elle avait vraiment l'impression de redevenir une élève punie devant toute la classe, même si les pupitres étaient inoccupés elle s'imaginait les yeux des élèves braqués sur sa jupe retroussée et sa petite culotte blanche tendue sur ses fesses de jeune femme. Madame Verdu lui faisait toujours un petit compliment avant de la fesser. 

- quelle jolie culotte mademoiselle, et qu'est-ce qu'elle cache ? 

La culotte glissait le long de la croupe faisant apparaître une paire de fesses serrées par la crainte et l'humiliation. 



- voilà des fesses bien blanches qui ne demandent que ça, oui mademoiselle, une bonne fessée déculottée pour bien commencer la journée, vous allez voir ça fait du bien ! 

Béatrice prenait progressivement l'habitude de ces fessées matinales et maintenant commencer sa classe avec une paire de fesses bien rouges et chaudes sous sa culotte ne la dérangeait plus. Ces fessées n'étaient pas très sévère juste l'occasion pour madame Verdu de profiter de la fraîcheur de ce joli petit derrière. C'était différent le vendredi soir pour l'inspection des carnets rouges. Le sien était toujours rempli par les punitions de la semaine aussi madame Verdu commençait toujours par elle puisque ce mauvais carnet lui valait plusieurs corrections. 

Marianne était soulagée de lui avoir cédé la place de punie préférée, certes elle n'était pas dispensée de présenter ses fesses déculottées à la main de la sévère directrice mais les passages sur ses genoux avaient grandement diminué. 

Les punitions du vendredi soir n'étaient pas seulement manuelle, sur le bureau de la directrice étaient disposés une règle plate, un martinet et une brosse à cheveux. Avec ces trois instruments madame Verdu se faisait fort de rendre douce et docile des générations d'institutrices. 

Si le carnet n'était pas trop rempli la punie avait droit à un échauffement avec une fessée manuelle puis l'application de la règle plate ou de la brosse à cheveux. En cas de mauvais carnet ce qui était régulièrement le cas de Béatrice, la fautive avait droit à une première fessée en général assez sévère puis après un court passage au coin pour faire refroidir les fesses une deuxième voire une troisième fessée avec les instruments à la disposition de la fesseuse. 

Les intermèdes de passage au coin permettaient au fessier de refroidir un peu ce qui rendait la fessée suivante à nouveau très douloureuse. 



Béatrice avait toujours droit à plusieurs fessées, malgré ses efforts elle ne parvenait pas à éviter les punitions dans la semaine et elle passait souvent le samedi avec des fesses sensibles après l'administration de fessée au martinet ou à la brosse à cheveux.

Elle avait 22 ans mais pour madame Verdu l'âge n'était pas un obstacle et maintenant Béatrice était redevenue une gamine soumise à la fessée, curieusement elle ne se révoltait pas, dire qu'elle y prenait plaisir n'aurait pas été exacte, la cuisson de ses fesses pendant la fessée était toujours aussi désagréable mais elle trouvait maintenant normale que sa directrice la punisse ainsi, elle la considérait maintenant un peu comme sa maman. Progressivement au cours de l'année leurs rapports devinrent plus intimes, ce n'était un secret pour personne que la directrice préférait les dames. Béatrice fut bientôt invitée dans l'appartement de madame Verdu qui était juste à côté de l'école et c'est là qu'elle fut initiée aux charmes du saphisme. Ce qui ne la dispensait pas bien sur des fessées, madame Verdu ne concevait pas de rapport sans mise à nu préalable du fessier de sa partenaire et l'application d'une vigoureuse claquée, c'est toujours avec des fesses écarlates et brûlantes que Béatrice succombait aux caresses de son amante. 






lundi 22 août 2022

Béatrice, une vie avec la fessée.

 Un récit en plusieurs épisodes 

L’éducation de Béatrice



Béatrice sortait de l'école normale, elle avait 22 ans et son premier poste d'institutrice ce fut dans une petite ville du sud de la France, une école de fille à 3 classes dirigées par madame Verdu une rondelette femme de 45 ans, énergique et souriante. Elle accueilli sa jeune collègue avec chaleur et lui expliqua le fonctionnement de l'école. Elle lui donna notamment des conseils sur l'autorité qu'elle devait montrer malgré son jeune âge. Tout naturellement elle aborda le problème des punitions, bien sûr dans les années 60, les châtiments corporels commençaient à ne plus être de cours mais elle lui expliqua qu'administrer de temps en temps une petite fessée sur la culotte d'une élève pouvait être nécessaire et ne prêtait pas à conséquence. Pour sa part en temps que directrice et connaissant les familles depuis de nombreuses années il lui arrivait avec l'accord des parents d'administrer une fessée déculottée dans son bureau en cas de nécessité.

Béatrice avait reçu une éducation stricte où la fessée avait sa place même si elle n'en avait plus reçue depuis bien longtemps, donc elle acquiesça à tous ses conseils.

Après une semaine de cours, un matin très tôt, elle se trouvait dans sa classe quand madame Verdu arriva l'air sévère.

- Béatrice je suis très déçue par votre comportement, je vous observe depuis une semaine et je constate que vous n'êtes pas sérieuse, vous ne préparez pas votre classe, je vais être obligée de faire un rapport à l'inspecteur.

Béatrice rougit sous les reproches et protesta

- oh non madame, je vous en prie, ne faites pas cela, je vous promet que je vais bien travailler

Madame Verdu la regarda d'un air un peu moins sévère.

- on dirait une petite fille prise en faute... Reconnaissez que votre comportement est inadmissible, que dois-je faire ?

Béatrice baissait les yeux et rougissait de plus en plus.

- je... Je suis désolée madame.. Je ne sais pas..

- et bien moi je vais vous le dire, vous méritez une bonne fessée et je vais vous la donner.

Béatrice releva la tête la bouche ouverte incapable de répondre.. Déjà madame Verdu lui avait pris la main et l'attirait contre ses genoux, subjuguée Béatrice se laissait faire en un clin d'œil elle se retrouva couchée sur les genoux de la directrice, la jupe immédiatement retroussée la fessée sur la culotte démarra. Une petite correction de mise en train qui cessa rapidement, madame Verdu glissa ses doigts dans la culotte et commença à la descendre. Béatrice se rendit compte soudain de ce qui allait lui arriver et elle se débattit.

- non, non vous n'avez pas le droit, non madame pas la culotte...

Avec sa main elle retenait sa culotte pour essayer d'empêcher le déculottage. Madame Verdu lui saisi la main et continua calmement à baisser la culotte de la jeune femme.



- mademoiselle, sachez qu'une fessée c'est toujours déculottée... Oui c'est ça vous allez recevoir une fessée cul nu comme une gamine paresseuse.

La culotte était descendue juste sous les fesses suffisamment pour découvrir une jolie croupe ronde déjà rosée. Madame Verdu était une fesseuse et la découverte d'un nouveau derrière la ravissait toujours. Elle allait recommencer la fessée quand on frappa à la porte. Sans ce soucier de Béatrice allongée sur ses genoux les fesses à l'air elle donna l'autorisation à la visiteuse d'entrer. Béatrice poussa un cri. Non ce n'était pas possible, on allait pas la voir dans cette position humiliante mais une vigoureuse claque sur ses fesses l'a fit taire immédiatement. C'était Marianne la collègue de Béatrice, elle s'arrêta sur le pas de la porte.

- entrez Marianne, une fessée déculottée publique sera plus efficace pour cette paresseuse.



Béatrice se mit à pleurer, non de douleur mais de honte, a 22 ans elle était couchée sur les genoux d'une dame la culotte baissée, les fesses exposées à une autre dame qui avait une vue magnifique sur son fessier et son intimité, elle resserra les cuisses.

La fessée repris, madame Verdu ne retenait pas ses claques et les fesses se mirent rapidement à rougir et Béatrice oublia vite la dame qui assistait à sa punition, la cuisson était intense, elle se mit à battre des pieds oubliant toute pudeur et ses larmes n'étaient plus de honte mais de douleur. Jugeant la couleur des fesses satisfaisante, la directrice cessa la punition.

- bon ça ira pour ce matin, remontez votre culotte.

Puis s'adressant à Marianne qui avait assisté ravie à la correction de sa jeune collègue.

- c'est à cette heure là que vous arrivez à l'école. Bien je crois qu'une petite mise au point s'impose, vous viendrez toutes les deux ce soir dans mon bureau.

Elle laissa les deux institutrices, Béatrice les yeux mouillé de larmes et Marianne surprise. Elle regarda sa jeune collègue rougissante.

- ne t'en fait pas, tu sais j'en ai déjà vue des fesses de collègues rougies par madame Verdu, ce ne sera pas la dernière que tu recevras et ce soir je peux te dire que tu vas voir les miennes.

Béatrice la regarda incrédule, Marianne avait bien 10 ans de plus qu'elle, elle était mariée avait un enfant et elle parlait tranquillement de la fessée déculottée qu'elle allait recevoir ce soir.

Elle eut rapidement une explication, madame Verdu adorait donner la fessée et toutes les institutrices qui passaient dans son école devait s'y soumettre, elle avait de très bon rapports avec l'inspectrice et pour éviter les ennuis il valait mieux accepter de lui montrer ses fesses, surtout que mis à part cette petite manie elle était une super directrice et considérait un peu ses collègues comme ses filles. En riant Marianne ajouta.

- tu sais comment on appelle ces réunions dans son bureau, ce ne sont pas des réunions pédagogiques mais des réunions pedagofessique....

La journée se passa bien et une fois les enfants partis, elles se retrouvèrent comme deux mauvaises élèves devant la directrice. Béatrice remarqua une chaise posée à côté du bureau.

- mesdames j'ai laissé passer trois jours afin de voir comment vous vous comportiez, je pense que l'heure est venue de mettre les choses au clair. Marianne vous êtes la plus âgée je vais donc commencer par vous, vous savez ce qu'il en coûte d'arriver en retard. J'écoute ?

Marianne bien qu'habituée se mit à rougir et en baissant les yeux répondit d'une petite voix.

- euh... Une fessée madame..

- une fessée comment !! Faut il que je me fâche !!

- non, non pardon madame... Une fessée déculottée..

- voilà c'est bien, en place et vite.

Elle s'était assise sur la chaise à côté du bureau et prenant la main de la jeune femme elle la bascula sur ses genoux, Marianne portait une robe fleurie assez courte, elle fut relevée sur les reins rapidement, la petite culotte rose transparente laissait déjà voir les fesses serrées dans l'attente du châtiment. Madame Verdu ne s'arrêta pas là, elle avait prévu une fessée déculottée donc elle saisit la ceinture de la culotte et la baissa jusqu'aux genoux.

- nous y voilà madame, il semblerait que les vacances vous aient fait oublié les bonnes habitudes, je vais vous les rappeler en parlant à vos fesses.

La fessée commença, les claques s'abattirent sur les fesses bien exposées de l'institutrice redevenue une gamine désobéissante, gémissant et bientôt pleurant sous la brûlure de la fessée. Les fesses écarlates Marianne put se relever, madame Verdu épingla la robe pour la tenir relevée.

- mains sur la tête, vous pouvez regarder la punition de Béatrice ensuite vous irez au coin.



Béatrice ne s'attendait pas à une nouvelle fessée, elle sursauta. Elle n'eut pas le temps de réfléchir ou de protester, madame Verdu la prit par la main et la fit basculer en travers de ses cuisses. Elle n'avait pas oublié la punition du matin, elle serra ses fesses sous sa jupe et sa culotte. En un clin d'œil elle fut troussée et déculottée. La main de madame Verdu était habituée à administrer des fessées et deux à la suite ne lui faisait pas peur. Celle reçue par Béatrice fut équivalente à celle de Marianne. Les deux institutrices punies, les fesses écarlates jupe et robe retroussée furent mises au coin main sur la tête. 



Satisfaite la sévère directrice d'école s'installa à son bureau, elle prit deux carnets rouges sur chacun était noté le nom de sa destinataire. Elle nota la punition reçue par chacune. 

Quand elle leur permit de reprendre une tenue plus conforme à leur âge, elle leur tendit à chacune un carnet



 - vous devrez l'avoir sur vous en permanence, à chaque fois que vous serez punie ou que j'aurai quelque chose à vous reprocher ce sera noté. Bien à demain mesdames, Marianne j'espère que vous serez à l'heure cette fois. 


dimanche 14 août 2022

Les souvenirs de Sylvie suite

 Une spectatrice pour la fessée 



Comme tous les jeudi Sylvie sonna à l'appartement de Jacqueline, elle vint lui ouvrir et comme à son habitude lui fit la bise. En entrant dans le salon Sylvie marqua un temps d'arrêt, une dame un peu plus âgée qu'elle était assise.

- je te présente Chantal, une amie.

Jacqueline s'apprêtait à faire les présentations mais Sylvie se mit à bredouiller

- euh… Non.. Ce n'est pas possible..

Jacqueline la regarda d'un air sévère.

- comment ce n'est pas possible ? Qu'est ce que c'est que ces manières. On dit bonjour quand on est polie.

Sylvie restait silencieuse comme pétrifiée, elle connaissait Jacqueline et elle savait qu'elle avait décidé de lui donner une fessée en présence de cette inconnue, c'était au dessus de ses forces.

- madame fait un caprice ! Et bien on va la calmer, tourne toi !

Jacqueline saisi le bas de la jupe de Sylvie et la retroussa découvrant la culotte blanche encadrée par le porte jarretelle  et les bas que Sylvie avait fini par adopter pour faire plaisir à sa maîtresse. Jacqueline saisi la ceinture de la culotte et la descendit à mi cuisse. Les fesses de Sylvie se serrèrent instinctivement attendant la première claque mais elle ne vint pas. Jacqueline la saisi par l'oreille et comme une gamine prise en faute la conduisit au coin de la pièce. La jupe coincée dans la ceinture et les mains sur la tête Sylvie posa son nez contre le mur comme elle en avait l'habitude. 

- une petite séance d'exposition de tes fesses déculottées va te faire le plus grand bien, tu reviendras nous voir quand tu auras réfléchi et que tu ne feras plus de caprice.



Elle s'adressait à Sylvie comme si elle était une élève dissipée et pas une dame de 63 ans. Celle ci avait passé un nouveau cap dans sa soumission à son ancienne institutrice et elle n'avait pas réagi. Satisfaite Jacqueline alla se rasseoir avec Chantal et continua la conversation qui bien sûr abordait le thème de la fessée et des derrières déculottés.

Elle laissa sa punie en exposition fesses à l'air pendant 10', puis elle l'appela.

- bien j'espère que tu es revenue à de meilleurs intentions, reculotte toi et viens me voir.

Docilement Sylvie s'exécuta et elle se présenta devant les deux dames dans une tenue plus conforme à son âge. Jacqueline fit les présentations, Chantal était une amie, professeur de danse. C'était une grande femme à l'air sévère, les cheveux tiré en arrière. Elle regardait Sylvie de la tête au pied, celle ci était restée debout, elle rougit à l'examen de cette inconnue. 

- comme je te l'ai expliqué, Sylvie a malgré son âge besoin qu'on perfectionne son éducation, le genre d'attitude qu'elle a eu en arrivant ne devrait plus se reproduire. Chantal esquissa un léger sourire et acquiesça. 

- c'est sûr qu'il n'y a pas d'âge pour apprendre ma chère et je suppose que tu vas t'occuper de madame. 

- exactement, d'ailleurs Sylvie était venue pour recevoir sa fessée de maintenance hebdomadaire et bien elle va la recevoir mais en plus je te demanderai de lui en administrer une autre pour son impolitesse. 

Sylvie avait écouté la sentence les bras ballants et la tête basse. Jacqueline s'était levée et avait placé comme d'habitude une chaise au milieu de la pièce, elle prit la main de son élève et s'asseyant sur la chaise elle l'attira contre sa cuisse puis la fit basculer en travers de ses genoux. Chantal souriante regardait avec attention le spectacle de cette dame d'âge mûr prête à recevoir un châtiment enfantin. La jupe était déjà retroussée et la culotte blanche bien tendue sur les fesses rondes. Les bas et le porte jarretelle étaient un peu incongrue vu la position de la dame prête pour la fessée. La culotte descendit lentement découvrant une paire de fesses serrées par l'angoisse de la punition qui n'allait pas tarder. 

Chantal intervint à ce moment. 

- quelle jolie paire de fesses, on voit que tu t'en occupe bien ma chérie, j'ai constaté depuis le temps que je donnes la fessée à mes petites chéries que ça entretient bien la rondeur des fesses. 



Jacqueline qui allait commencer la fessée s'arrêta et se mit à palper les fesses de Sylvie et en riant répondit. 

- c'est vrai, elle a de bonnes petites fesses ma Sylvie, c'est un vrai plaisir de les claquer et en plus elle apprécie. 

En disant ces mots elle avait glissé sa main entre les cuisses de sa punie et elle l'avait forcée à écarter un peu ses fesses pour dévoiler son intimité. Sylvie était au comble de la confusion, non seulement elle exposait ses fesses déculottées dans une position de gamine mais ces deux dames parlaient de son anatomie sans ce soucier d'elle et maintenant Jacqueline la forçait à exposer son intimité. A sa façon de parler elle avait vite compris que Chantal était une fesseuse et qu'elle appréciait particulièrement les fesses féminines.

Après ce petit intermède la fessée commença. La main de Jacqueline n'avait pas perdu de sa vigueur et en quelques instants les fesses de Sylvie avaient repris leurs couleurs habituelles un beau rouge carmin. Elle avait perdu toute sa superbe et elle pleurait à chaudes larmes sous la cuisson. La culotte était descendue jusqu'aux chevilles avec le battement des jambes, Jacqueline l'enleva complètement. Elle fit relever la dame de 63 redevenue une gamine pleurant après une fessée de l'institutrice. Elle conduisit Sylvie devant Chantal pour qu'elle puisse apprécier la qualité de la fessée. Celle-ci passa sa main sur l'épiderme brûlant.

- voilà ce que j'appelle une bonne fessée, la couleur et la chaleur sont à point.

Jacqueline observait la culotte de Sylvie qu'elle tenait à la main.

- c'est du propre madame, votre culotte n'est pas nette, vous allez me la nettoyer à la salle de bain et vite.

Elle avait tendu la culotte à Sylvie et avait accompagné sa phrase d'une vigoureuse claque sur les fesses. Sylvie sans mot dire et morte de honte s'exécuta. Quand elle revint, penaude tenant sa culotte mouillée à la main, Jacqueline la conduisit au coin et accrocha sa culotte à côté d'elle.



- bien nous allons prendre le thé pendant que cette petite péronnelle réfléchi.

Après 1/4 h, Jacqueline jugea la pénitence suffisante et elle fit venir son élève.

- Sylvie tu sais que je ne supporte pas les caprices surtout à ton âge, tu vas aller voir Chantal, elle va te montrer ce qui arrive aux jeunes filles capricieuses.

Chantal était ravie, son amie lui faisait un joli cadeau, ça faisait un moment qu'elle ne s'était pas adonné à un de ses plaisirs favoris, rougir un derrière féminin et en plus elle avait à sa disposition une dame d'âge mûr, elle adorait ajouter la confusion à la punition. Elle prit place sur la chaise, elle avait posé son sac à main à ses pieds

- oui madame, vous devriez avoir passé l'âge des caprices. En position !

Sylvie se retrouva à nouveau dans la position peu enviable d'une gamine s'apprêtant à recevoir une bonne fessée. Jusqu'à présent les seules personnes qui avaient eu accès à ses fesses nues pour les corriger c'était sa grand-mère mais cela faisait très longtemps et plus récemment Caroline et Jacqueline. C'était donc une nouvelle expérience très humiliante. Chantal passa sa main sur les fesses bien exposées et comme son amie en amatrice des croupes féminines ses doigts s’égarèrent dans la raie fessière et entre les cuisses. Sylvie était honteuse mais elle était obligée de reconnaître que ces explorations intimes n'étaient pas pour lui déplaire.

- tu as raison ma chérie, cette petite dame a besoin de fessée, mais il ne faudra pas qu'elle remette de culotte sinon elle va la salir à nouveau.

Elle se pencha et sortit une brosse à cheveux de son sac. La fessée fut courte mais très sévère. Sylvie fut surprise de la brûlure infligée à ses fesses. Chantal en bonne professeur de danse fit exécuter à sa punie une magnifique danse des fesses. 



C'est en pleurs que la pauvre Sylvie rejoignit le coin où sa culotte était suspendue.

Elle y resta jusqu'à ce que Chantal prenne congé, ensuite Jacqueline l'autorisa comme à chaque fois à venir sur ses genoux, elle était toujours fesses nues et la sévère institutrice ne se gêna pas pour lui caresser les fesses.

- décidément ma petite chérie, les fessées ne te laissent pas indifférente.

Elle la fit se relever et la recoucha sur ses genoux, comme Sylvie contractait ses fesses elle se mit à rire.

- allons, allons, n'ait pas peur, je vais juste m'occuper un peu de toi, desserre moi vite ces fesses.

Sylvie confuse mais secrètement ravie écarta ses cuisses offrant son intimité à la main de sa maîtresse. Elle découvrait à 63 ans des plaisirs inconnus et malgré ou à cause de ses fesses brûlantes elle poussa un râle de plaisir et se laissa faire. 


mercredi 10 août 2022

Les souvenirs de Sylvie

Ce récit en deux parties est la suite de celui intitulé «découverte de la fessée», il peut cependant se lire indépendamment.



Dans le train qui la ramenait chez elle après son expérience avec Caroline, Sylvie réfléchissait à l'origine de ses fantasmes. Il était évident que l'élément déclencheur avait été cette fessée reçue à l'école alors qu'elle avait 11 ans, l'institutrice l'avait couchée sur ses genoux devant toute la classe qui heureusement n'était pas mixte et lui avait administré une fessée jupe retroussée mais sans lui baisser la culotte. Elle avait averti que la prochaine fois, ce serait la fessée déculottée. D'autres élèves avaient subi le même sort qu'elle mais aucune n'avaient subi la honte de la fessée cul nu.

Elle chercha à se souvenir de cette maîtresse sévère, en fait elle devait être assez jeune, une trentaine d'années. En réfléchissant elle se rendit compte qu'elle n'avait qu'une vingtaine d'années de plus qu'elle, elle devrait avoir dans les 80 ans maintenant, serait il possible de la retrouver. Dès son retour elle entama des recherches, ce ne fut pas très compliqué, internet permet de grandes choses. Il s'avéra que Jacqueline Ducroc, c'était son nom avait fait toute sa carrière dans la ville et qu'elle y avait pris sa retraite. En quelques clics, elle obtint son numéro de téléphone.

Le cœur battant elle l'appela, lui disant qu'elle gardait un bon souvenir d'elle et qu'elle serait heureuse de la revoir.

Jacqueline fut enchantée de constater qu'une ancienne élève put s'intéresser à elle et elle l'invita à venir prendre le thé. Quand Sylvie pénétra dans l'appartement de son ancienne institutrice elle était très émue, elle trouva en face d'elle une charmante vieille dame de 82 ans très en forme et qui faisait bien 10 ans de moins que son âge. Sans façon elle fit la bise à son ancienne élève et comme si le temps s'était arrêté elle la tutoya comme par le passé oubliant que celle ci avait maintenant 63 ans. Sylvie impressionnée la vouvoyait, la conversation roula sur leur souvenir, Sylvie se racla la gorge et attaqua un peu gênée l'épisode de la fessée. Jacqueline s'en souvenait parfaitement

- tu étais une petite peste, tu l'avais bien méritée je pense.

En rougissant Sylvie approuva, le regard perçant de Jacqueline la faisait retomber en enfance, elle hésita puis en baissant un peu les yeux.

- heureusement, vous ne m'avez pas baissé la culotte.....

- non, je menaçais, ça suffisait la plupart du temps.

- vous n'avez jamais donné une fessée déculottée ?

Jacqueline la regarda en souriant

- non, ce n'est pourtant pas l'envie qui m'a manqué, mais même dans les années 60 ça ne se faisait plus.

- vous le regrettez ? Par exemple moi, vous auriez eu envie de me baisser la culotte ?

Jacqueline la regardait de plus en plus intensément.

- si je me souviens bien, tu étais parmi les plus insupportables, je crois que tu l'aurais bien mérité, mais ça fait longtemps maintenant.

Sylvie la regarda songeuse, elle se rappelait la scène comme si c'était hier, sa honte d'être allongée sur les genoux de la maîtresse assise sur une chaise devant toute la classe et sa terreur de sentir sa jupette se retrousser, l'air frais sur ses cuisses tout revenait par bouffée. D'une petite voix elle reprit la parole.

- vous savez j'y ai souvent pensé, je me demande si vous n'auriez pas du....

- te donner une fessée déculottée ?

- oui madame, ça m'a beaucoup manqué.... Encore maintenant...

Jacqueline avait posé sa tasse et elle regardait fixement cette dame de 63 ans lui parler de fessée déculottée d'un ton naturel. Elle même avait toujours été intéressée par ce châtiment enfantin et elle était ravie même si c'était pour la bonne cause d'administrer des fessées à ses élèves. Elle avait continué d'ailleurs jusqu'à sa retraite, mais uniquement quand elle donnait des cours particuliers et que les parents étaient d'accord.

- ça t'a manqué ? Voyez vous ça, et alors que pouvons nous faire.

Sylvie détourna les yeux et rougit de plus belle.

- euh, c'est à dire, euh, je ne sais pas, peut-être que....

- je pourrais peut-être rattraper le temps perdu... Quand penses-tu ?

Sylvie se sentit fondre, son fantasme qui durait depuis 50 ans, qui était à l'origine de ses tendances sexuelles, allait peut être se réaliser. Jacqueline s'était levée et avait déplacé une chaise au milieu de la pièce. En souriant, elle s'assit dessus et fit signe avec son doigt à Sylvie.

- ma petite Sylvie, il est temps de payer tes dettes, approche un peu, je vais calmer immédiatement ton insolence.

Comme une automate, Sylvie se leva et se colla contre les genoux de Jacqueline. Celle ci la regarda avec un sourire malicieux et elle lui tira sur le bras pour la faire basculer en travers de ses cuisses.

- en position mademoiselle, j'espère que ça te rappelle de bon souvenirs.!

Sylvie croyait vivre un rêve, elle sentit la main de Jacqueline soulever l'arrière de sa jupe, on était en été, ni collant, ni bas ne gênait l'accès à la culotte, Sylvie l'avait choisie sage, en coton blanc avec un fin liseré de dentelle au niveau des cuisses. Elle sentit les doigts de son institutrice s'immiscer sous la ceinture de son sous vêtement et lentement celui ci descendre sur ses fesses qu'elle sentait à la merci de sa fesseuse.



- oui Sylvie, ton insolence mérite une punition exemplaire, une fessée déculottée !!!!

On y était, ce rêve qu'elle avait fait des centaines de fois, madame Ducroc sa maîtresse la déculottant pour lui administrer une fessée. Jacqueline prenait son temps, elle descendit la culotte jusqu'à la pliure des genoux puis passa sa main sur les fesses exposées. 

- tu penses toujours que j'aurais du te déculotter à l'époque... 

Sylvie se rendit compte soudain de la situation, elle avait 63 ans et elle était allongée sur les genoux d'une vieille dame les fesses à l'air, prête à recevoir un châtiment qui était réservé antérieurement aux enfants. Elle n'eut pas le loisir de se poser d'autres questions car sans attendre sa réponse, l'ancienne institutrice avait commencé la fessée. Les claques n'étaient pas trop fortes, bien moins en tout cas que celles de Caroline. Mais au fur et à mesure que la punition se déroulait Jacqueline accentua la force des claques, malgré son âge sa main était restée vive et au bout de quelques instants, Sylvie ne put s'empêcher de gémir puis doucement elle lui demanda pardon et enfin la brûlure devenant intense elle la supplia d'arrêter, mais en fait Jacqueline était une vraie fesseuse, comme Sylvie l'apprendrait plus tard et comme toute fesseuse, elle ne considérait la fessée efficace que quand les premiers pleurs arrivait. Ils ne tardèrent pas, Sylvie avait littéralement le feu aux fesses quand Jacqueline la relâcha. Les joues du haut de la même couleur que les joues du bas, Sylvie tenant sa jupe retroussée se frotta les fesses. Jacqueline fronça les sourcils. 

- non Sylvie, tu ne frotte pas tes fesses, tu dois bien sentir la brûlure pour que la punition soit efficace, tiens ta jupe levée que je voies bien ton derrière tout rouge et va te mettre au coin le temps de te calmer. 

Le spectacle était maintenant complet, la mise au coin cul nu après la fessée déculottée. Sylvie obéi sans protester. La dame de 83 ans semblait satisfaite, elle se mit à rire. 

- quelle jolie paire de fesses, le rouge leur va bien. 



Si quelqu'un était rentré dans la pièce à ce moment là, il n'en aurait pas cru ses yeux, une dame âgée assise dans son canapé surveillant du coin de l'œil une autre dame, d'âge mûr elle aussi, tenant sa jupe retroussée au dessus d'une paire de fesses écarlates et la culotte descendue aux genoux. 

Elle ne laissa pas longtemps Sylvie dans cette posture peu enviable, elle l'invita à se reculotter et à venir finir son thé. 

- voilà nous sommes quitte, tu as reçu la fessée déculottée que tu avais mérité il y a 50 ans. Mais dit moi pour être aussi insolente tu ne devais pas en recevoir beaucoup à la maison ? 

Sylvie lui avoua que sa mère ne l'avait jamais punie, les quelques fessées qu'elle avait reçue c'était quand elle était en vacances chez sa grand-mère. Jacqueline la regarda avec un petit sourire mutin. 

- et bien, nous allons avoir du travail pour rattraper tout ça..... 

Et depuis ce jour, Sylvie se rend une fois par semaine chez son ancienne institutrice pour y recevoir une vigoureuse fessée déculottée. Souvent deux d'ailleurs, Jacqueline a décrété qu'à ce rythme elle allait recevoir une centaine de fessée par an et qu'il faudrait de nombreuses années pour compenser celle que ne lui avait pas administré sa mère quand elle les méritait. 




A suivre... 


mardi 9 août 2022

Une visite médicale 2

 


 


Madame Dulac avait quitté tôt son bureau prétextant une migraine, en fait c'était plutôt une chaleur qui lui envahissait les fesses et se propageait en une douce excitation dans son entrejambe.

Arrivée chez elle, elle se troussa et baissa rapidement sa culotte pour examiner ses fesses devant une glace, il subsistait quelques traces et elles étaient encore rosées mais il n'y avait rien à voir avec la photo sur son téléphone où sa croupe était écarlate sur toute sa surface. Elle reçu un nouveau SMS, il provenait à nouveau de Florence. "pour notre prochain rendez-vous, vous devrez porter une jupe assez courte, nettement au dessus du genou, des talons plats, prévoyez également une culotte blanche et sage. Ce n'est pas la peine de vous préciser que toute désobéissance sera sévèrement punie. Bonne soirée et à demain. "

Catherine rougit de honte et de plaisir, elle avait 50 ans et elle se faisait traiter comme une gamine par cette jeune femme. Elle se dirigea vers la chambre de sa fille, elle n'habitait plus avec elle mais elle avait laissé des vêtements dans son placard, elle trouva rapidement son bonheur, une jupe bleue marine très courte, sa fille était un peu ronde et elle put sans difficulté glisser son fessier de dame mûre à l'intérieur, elle trouva également une paire de socquette blanche. Elle se regarda dans la glace, de face c'était assez surprenant de voir habillée comme cela une dame de 50 ans mais de dos on aurait dit une jeune collégienne anglaise.

Le lendemain matin elle se rendit à son travail habillée normalement, elle avait mis dans un sac sa tenue de collégienne. Sa dernière réunion s'éternisant elle se rendit compte qu'elle n'aurait pas le temps de se changer comme elle l'avait prévu, elle se précipita chez Florence pour ne pas être en retard pensant lui expliquer la situation. Dès que la jeune médecin eut ouvert la porte, elle fronça les sourcils en la voyant habillée comme une DRH classique. Elle lui saisi la main pour la faire rentrer chez elle et à peine la porte refermée elle la fit pivoter pour vérifier sa tenue.

- vous vous moquez du monde madame, je vais vous en faire passer l'envie !

Catherine Dulac voulu protester mais déjà Florence l'avait courbée sous son bras et retroussait sa jupe.

- non, non attendez je vais vous expliquer, non s'il vous plaît.

La culotte tendue par la position rentrait un peu dans la raie fessiere, Florence l'avait saisi et la faisait descendre le long des larges fesses de Catherine. Tout à sa surprise et craignant le bruit car elles étaient juste contre la porte d'entrée elle se laissait faire sans protester. Maintenant ses fesses étaient bien exposées, la culotte descendue juste sous les fesses, la main de Florence commença à claquer la croupe généreuse, complètement affolée par la situation Catherine se mit à supplier.

- pardon madame, non s'il vous plaît, je vais vous expliquer... Aie aie aie pardon noon...



Les claques sonores retentissaient dans l'entrée de l'appartement, il était sûr que si quelqu'un descendait l'escalier, il n'aurait aucun doute sur l'activité auquel se livrait Florence, mais il ne penserait certainement pas qu'une dame de 50 ans présentait ses fesses déculottées à la main sévère de la propriétaire des lieux.

La fessée fut rapide mais très efficace, la croupe de Catherine était maintenant bien rouge, Florence la relâcha, la jupe retomba masquant les fesses écarlates.

- nous réglerons cette désobéissance plus tard, pour le moment allons dans le salon.

Elle accompagna ces paroles d'une vigoureuse claque sur la jupe de la dame de 50 ans comme si elle n'était qu'une gamine désobéissante. Un peu étourdie par cet accueil sonore, Catherine ne protesta pas et se dirigea vers le salon.

- bien, déshabillez vous et mettez votre tenue.

Madame Dulac regarda autour d'elle, la pièce n'offrait aucun recoin, il était évident que la jeune femme voulait la voir se changer ici et devant elle. Elle posa son sac sur le canapé et entrepris d'abord d'enlever le haut, elle était maintenant en soutien gorge, elle passa rapidement le chemisier blanc qu'elle avait préparé puis se mettant de côté elle dégrafa sa jupe et l'enleva, sa culotte était toujours baissée sous ses fesses. Florence regardait en souriant ce strip-tease improvisé, Catherine avait les joues aussi rouges que ses fesses, elle se déculotta complètement, en effet Florence avait exigé une culotte sage et son sous vêtement rose en dentelle n'était pas une culotte de jeune fille. Elle était maintenant fesses à l'air, c'était vraiment une situation très gênante même si elle se doutait bien que dans quelques instants sa jeune maîtresse pourrait examiner ses fesses tout à loisir. Elle saisit rapidement la petite culotte blanche en coton qu'elle avait prévu de mettre, elle n'avait certainement jamais enfilé une culotte aussi vite, ses fesses enfin couverte elle prit un peu plus de temps pour mettre sa jupe courte puis ses socquettes blanches. Florence regardait en souriant la transformation de la DRH en une jeune collégienne, elle lui fit signe de pivoter.

- vous êtes très mignonne, tournez-vous un peu que je vous voies un peu mieux. Bien c'est parfait, j'espère que vous n'avez pas oublié la raison de votre visite.

Catherine baissa les yeux, l'humiliation faisait partie du plaisir de la fessée et elle avait souvent rêvé de cet instant mais la réalité dépassait la fiction et elle était vraiment très gênée par la situation, surtout que Florence en rajoutait.

- alors mademoiselle ! Vous ne vous souvenez pas de ce que je vous ai promis ? Je vais vous rafraîchir la mémoire, vous n'avez fait aucune de mes prescriptions, vaccin, frottis et mammographie. Je vous ai promis trois fessée, combien en avez vous reçu ? 

Catherine baissa les yeux et ne répondit pas. Florence s’approcha la saisit par l’oreille et de l’autre main lui claqua le derrière par dessus sa jupe.

- quand je pose une question j’aimerais qu’on me réponde mademoiselle!!

Elle utilisait volontairement le terme de mademoiselle pour augmenter la gêne de madame Dulac, le rajeunissement faisait partie de la punition. Elle avait administré une dizaine de claques sur les fesses rebondies de la dame redevenue une jeune fille. Catherine Dulac rouge de honte se résolut à répondre.

- euh... deux madame...

- exact, il vous en reste donc une à recevoir, je ne voudrais pas faire attendre vos jolies fesses, en position!!

Florence avait relâché l’oreille de Catherine et avait pris place sur une chaise, elle tapota ses cuisses pour indiquer à la dame désobéissante que c’était l’endroit où elle devait se coucher. Redevenue l’espace de cette soirée une collégienne, Catherine s’exécuta. Depuis la veille et sa première fessée cette position un peu incongrue pour une dame de 50 ans lui était devenue familière. Elle était maintenant couchée en travers des cuisses de Florence la tête près du sol, les jambes pendantes de l'autre côté. Son fessier était à disposition de la jeune femme, la petite culotte blanche couvrait parfaitement la large croupe moulant de façon très explicite les fesses séparées par la raie fessiere, Florence commença à claquer avec enthousiasme ce derrière rebondi, c'était redevenu pour elle un vrai plaisir de donner la fessée, elle claquait alternativement la fesse droite puis la gauche, Catherine gémissait doucement, moins de douleur car la fessée n'était pas trop forte mais plus d'humiliation de recevoir ce châtiment enfantin dans cette position, malgré ces désirs de fessée.

La fessée préparatoire sur la culotte ne dura pas très longtemps, Florence insinua ses doigts sous la ceinture de la culotte et la descendit doucement, Catherine protesta faiblement.

- oh noon...

Mais c'était pour la forme, elle savait que la jeune femme qui la tenait couchée sur ses genoux ne se contenterait pas d'une petite correction sur la culotte. Celle-ci était maintenant arrivée à mi cuisse. 

- voilà une bien belle paire de fesses madame, parfaitement présentées, oh vous pouvez les serrer, je vous garantis que la fessée que je vais vous administrer vous allez vous en souvenir et qu'elle va vous enlever l'envie de me désobéir ! 

Immédiatement elle leva la main et claqua le généreux fessier, Catherine réagi rapidement sous la brûlure des claques et se mit à se tortiller sur les genoux de Florence, les fesses ne restèrent pas longtemps serrées et en souriant la sévère jeune femme admira les trésors cachés de sa victime, après une centaine de claques, elle cessa la punition et caressa les fesses déjà rouges. 

- voilà, vos fesses sont bien échauffées, on va pouvoir passer à la fessée. 

Catherine protesta, il lui semblait vu la chaleur qui embrasait sa croupe que la punition était suffisante mais une brûlure soudaine la fit hurler, la brosse à cheveux venait d'atterrir sur sa fesse droite suivie immédiatement d'une autre brûlure encore plus forte sur la gauche, c'était intolérable, elle avait l'impression que la peau de ses fesses allait se détacher. Elle essaya de mettre sa main pour protéger son derrière mais Florence l'avait prévu et elle la saisi et la coinça dans son dos avec sa main gauche puis elle continua imperturbablement la correction. 



Maintenant les cris de la pauvre Catherine s'était transformé en pleurs, ce n'était plus une dame de 50 ans que Florence avait sur les genoux mais une gamine éplorée suppliant sa maman d'arrêter la punition. Les fesses étaient maintenant écarlates, elles s'ouvraient et se refermaient au rythme des claques sans aucun souci de pudeur. Florence appréciait le spectacle, elle prenait de plus en plus goût à son rôle de maman sévère. 

- oh vous pouvez pleurer, oui je sais que ça brûle, mais c'est fait pour ça la bonne fessée, je vous garantis que vous allez vous en souvenir de la bonne fessée de maman Florence. 

La brosse à cheveux continuait son ouvrage, Catherine sanglotait maintenant, elle était vaincue, redevenue 30 ans en arrière quand sa propre mère lui administrait à 20 ans passé ce châtiment humiliant. La correction cessa, elle senti la main de Florence carresser sa croupe incandescente. 

- voilà ce que j'appelle une bonne fessée déculottée, je pense que vous allez être bien sage maintenant avec ce beau derrière bien chaud, vous allez me le faire refroidir au coin ça va vous permettre de réfléchir. 

Catherine était maintenant debout, elle ne protesta pas quand Florence lui saisi l'oreille pour la conduire telle une mauvaise élève au coin de la pièce, elle était désormais entièrement soumise à la discipline rigoureuse de cette jeune femme. Elle senti sa jupe à nouveau se retrousser puis sa culotte remonter à mi cuisse et une claque sur ses fesses endolories. 



- vous mettez bien votre nez contre le mur et vos mains sur la tête. 

Elle aurait tellement voulu frotter ses fesses brûlantes, mais elle obéit à Florence sans discuter, consciente qu'une nouvelle désobéissance lui vaudrait une nouvelle fessée. Florence était satisfaite, elle retrouvait les sensations qu'elle avait ressentie dans sa jeunesse avec son amie, la large croupe écarlate de Catherine réveillait une libido un peu en sommeil depuis quelques temps. Elle sentait une légère humidité au fond de sa culotte. Comme elle l'avait fait la veille, elle prit son téléphone et fit des photos de sa punie au coin, elle zooma sur les fesses rougies, c'était très excitant. 

Elle laissa Catherine au coin pendant 1/4 h, puis elle la fit venir, ne sachant pas qu'elle contenance avoir, Catherine avait gardé ses mains sur la tête, ce qui fit sourire Florence, décidément son autorité faisait des merveilles, cette drh si autoritaire habituellement était maintenant une gamine obéissante. 

- tournez-vous que j'examine vos fesses. 

Docilement Catherine se tourna et présenta son large fessier, Florence passa la main sur l'épiderme encore rouge. 

-  ces fesses me paraissent en parfait état pour recevoir la suite de la punition. 

Elle senti les fesses de Catherine se crisper à l'annonce d'une nouvelle fessée, surtout que la main de la jeune femme s'était insinuée entre ses cuisses. Florence constata avec satisfaction une certaine humidité dans l'entre cuisses de Catherine, la fessée bien que douloureuse ne la laissait pas indifférente. Elle cessa son inspection humiliante et prenant la main de Catherine elle l'attira à nouveau sur ses genoux, elle protesta faiblement. 

- oh non, s'il vous plaît plus la fessée, j'ai déjà été bien punie, pardon madame... 

Florence en souriant tapota les fesses serrées si bien exposées. 

- mais ma chère madame, ce n'est pas vous qui décidez si votre punition a été suffisante, il ne fallait pas désobéir, si vous étiez venue au rendez-vous dans la tenue prescrite vous ne seriez pas allongée sur mes genoux fesses à l'air. Je vais vous faire passer l'envie de faire la maligne, une bonne fessée déculottée. 

Elle leva la main et commença la nouvelle fessée, c'était la troisième de la soirée et sa main suffit à faire venir des larmes aux yeux de Catherine, les fesses encore endolories par la fessée à la brosse étaient très douloureuses, elle ne cherchait pas à éviter la fessée mais ses fesses effectuaient une magnifique danse, Florence se régalait, la croupe écarlate s'ouvrait largement lui offrant une vue sur l'intimité de la punie. Elle cessa la fessée et prit un thermomètre médical qu'elle avait posé sur la table pendant que Catherine était au coin. 

Catherine pleurnichait encore quand elle senti les doigts de Florence écarter ses fesses, instinctivement elle les contracta ce qui lui valu quelques claques supplémentaires. 

- je vous conseille de desserrer vos fesses ma petite !! 

- pardon madame, aie... Mais que faites vous ? 

Elle sentit l'embout froid du thermomètre sur son anus. Florence doucement poussait le thermomètre. 

- à comportement de gamine, punition de gamine madame ! Je suppose que votre mère vous prenait la température de cette façon et bien je vais vous rafraîchir la mémoire. 

Catherine se mit à nouveau à pleurer, l'humiliation était trop forte, certes elle avait fantasmé sur le fait de recevoir une fessée par la jeune médecin, mais se retrouver déculottée, allongée sur ses genoux exposant une paire de fesses bien rouges et maintenant avec un thermomètre enfoncé profondément entre ses fesses, c'était un peu trop. Florence jouissait de la situation, elle tapota les fesses de sa patiente. 

- allons, allons calmez vous, ce n'est pas si terrible que ça, vous allez me garder ce thermomètre un moment ça va vous faire réfléchir à votre comportement. 

Catherine cessa de pleurer, Florence faisait coulisser le thermomètre, 



l'enfonçant chaque fois un peu plus profondément, une certaine excitation l'envahissait. Le thermomètre maintenant ne dépassait presque plus de la raie fessiere, Florence relâcha les fesses qui se refermèrent sur le petit tube de verre. Elle avait décidé de soumettre définitivement Catherine, quoi de mieux que ce retour à l'enfance, elle décida de la laisser un moment dans cette position humiliante. Elle prit son téléphone et composa le numéro d'Alicia, c'était son ancienne camarade avec laquelle elle avait joué à panpan cucul pendant ses études, elle avait renoué avec elle depuis la première fessée administrée à Catherine. 

- coucou ma chérie, comment vas tu ? Oh moi très bien, tu sais que j'ai une dame sur mes genoux culotte baissée qui m'expose ses jolies fesses bien rouges.... Oui une bonne fessée déculottée c'est ça. Tu sais que je te prenais la température après la fessée et bien ma petite punie a le thermomètre dans les fesses elle aussi. 

Catherine écoutait effarée la conversation dont elle était le centre, elle avait l'impression qu'Alicia était dans la pièce et assistait à sa punition, Florence continuait. 

- oh non, ce n'est pas une jeune fille, c'est une dame de 50 ans, oui tu sais bien qu'il n'y a pas d'âge pour la fessée, si on désobéi c'est la fessée cul nu tu le sais bien. D'ailleurs il faudra qu'on fasse le point sur ton comportement à toi aussi. Bon je te laisse ma chérie, bisous et à bientôt. 

Elle raccrocha et écartant à nouveau les fesses de Catherine elle fit à nouveau coulisser le thermomètre, elle le faisait presque sortir puis l'enfonçait profondément. 

- Alicia est charmante, je vous la présenterai, je suis sûr qu'elle aimerait assister à votre prochaine fessée déculottée. 

Jugeant l'humiliation suffisante elle retira le thermomètre, puis elle glissa sa main entre les cuisses de Catherine, son pressentiment était le bon, la punie appréciait, son sexe était ruisselant. 

- madame apprécie la fessée on dirait... 

Elle leva la main et recommença à claquer la croupe si bien exposée. Catherine se remit à gémir. 

- oh non... Aie... Pardon, ouie... 

Mais Florence ne claquait pas trop fort et les fesses rouges de Catherine s'écartaient largement comme une invitation. Bientôt les claques se transformèrent en caresse. Florence sentit une humidité envahir sa culotte, il était temps de passer à autre chose. Elle fit relever Catherine, celle ci avait les joues aussi rouges que ses fesses, mais Florence également. Elle lui prit la main mais ce n'était pas pour la conduire au coin cette fois ci, la porte de la chambre s'ouvrit, elle lui claqua gentiment les fesses rougies. 

- allez, ma chérie au dodo, mais avant tu vas t'occuper de ta petite maman, elle a besoin elle aussi qu'on s'occupe de ses fesses. 



dimanche 7 août 2022

Une visite médicale 1

Un petit récit en deux épisodes. Déjà publié sur le blog disparu bulledefessees, les illustrations sont nouvelles 




 Madame Dulac, était DRH dans une grande entreprise, elle avait 50 ans, élégante dans son tailleur, de taille moyenne, stricte, un peu ronde elle impressionnait les employés quand il rentrait dans son bureau. Mais aujourd'hui elle avait rendez-vous chez le médecin du travail, celle ci c'était Florence une jeune femme de 35 ans, grande, mince, les cheveux blonds mi long, très énergique.

Elle accueilli madame Dulac avec le sourire et la fit asseoir en face d'elle. L'interrogatoire classique débuta, en consultant le dossier de sa patiente Florence remarqua que l'année dernière elle lui avait demandé de mettre à jour ses vaccins, madame Dulac avoua qu'elle avait négligé sa demande, Florence fronça les sourcils.

- je ne vous félicite pas madame, ce n'est pas très sérieux.

Catherine Dulac baissa un peu les yeux et avec un petit sourire répondit.

- vous n'allez quand même pas me faire panpan cucul.

Un peu surprise Florence lui répondit en souriant également.

- je pense que vous avez passé l'âge madame, mais c'est vrai que si vous étiez ma fille....

Madame Dulac en rougissant un peu. 

- oh je me demande des fois si il y a un âge pour ça. 

Un peu gênée par le tour que prenait la conversation, Florence changea de sujet. 

- bien nous allons passer à l'examen, vous vous déshabillez s'il vous plaît, vous gardez seulement votre culotte et votre soutien gorge. 

Madame Dulac se leva et commença à enlever ses vêtements, Florence la regardait faire, elle réfléchissait à la remarque de sa patiente et des souvenirs lui revenait. 

Pendant ses études de médecine elle avait eu pour amie une jeune femme qui était bisexuelle, un jour elle lui avait demandé en fin de soirée si elle voulait bien lui donner une fessée, émoustillée et très attirée par cette copine elle avait accepté et s'était surprise à aimer claquer les fesses dénudées de son amie Julie, la soirée qui avait suivi restait un très bon souvenir et pendant le restant de leurs études elle avait continué à administrer de temps en temps à Julie de magistrales fessées déculottées. Cela remontait à une dizaine d'années en arrière et elle n'avait plus renouvelé l'expérience depuis. 

Maintenant madame Dulac était en petite tenue, elle portait un ensemble très élégant bleu pâle en dentelle, sa culotte couvrait incomplètement sa croupe un peu large à son goût, la base des fesses dépassait légèrement. Florence voyait souvent des dames dans cette tenue pendant son travail mais elle gardait toujours un œil professionnel s'abstenant de toute connotation sexuelle, mais aujourd'hui c'était différent, l'allusion de Catherine Dulac à la fessée avait réveillé chez elle des souvenirs et sa libido s'était un peu emballée. Elle regardait avec intérêt les fesses moulées dans la fine lingerie, Catherine monta sur la balance comme elle lui avait demandé. Florence en profita pour la gronder à nouveau. 

- vous avez pris un peu de poids, il me semble, il va falloir faire attention. 

Catherine rougit comme une gamine prise en faute. Allongée sur la table d'examen, elle se sentait à la merci de cette jeune femme qui ne la laissait pas indifférente. Florence avait repris son air professionnel et elle palpait la poitrine de sa patiente. 

- vous avez fait votre mammographie ? 

Catherine en rougissant à nouveau, avoua que non. 

- mais enfin, madame c'est inadmissible et votre frottis ? 

Devant la réponse négative de madame Dulac, Florence prit un air sévère. 

- décidément, vous vous comportez comme une gamine, je pense comme vous me l'avez suggéré que je vais vous traiter en gamine. Levez vous ! 

Interloquée Catherine obéi, Florence s'était assise sur un tabouret, elle saisit la main de sa patiente et sans lui laisser le temps de réfléchir elle la bascula en travers de ses genoux. Catherine n'avait pas eu le temps de réagir et aussitôt une série de claques s'abattirent sur ses fesses tendues. La fine culotte protégeait bien mal de la cuisson, elle se mit à protester. 

- non, non, arrêtez, pardon, aie aie ça fait mal. 

Mais elle ne cherchait pas à échapper à la fessée, Florence retrouvait des sensations oubliées quand c'était son amie qu'elle tenait couchée dans cette même position, elle eu envie de voir ces fesses qu'elle devinait seulement, d'un geste rapide elle baissa la culotte de madame Dulac. Celle ci poussa un cri. 

- oh noon, pardon, pas la culotte, j'ai trop honte. 

Mais toujours soumise elle ne chercha pas à empêcher la mise à nu de ses fesses. Florence se prenait vraiment au jeu. 

- comment ça pas la culotte, mais si madame, c'est une fessée déculottée que vous méritez et je vous promet que vous allez vous en souvenir. 

La fessée reprit, cette fois ci les claques retentissait dans le bureau, les fesses de la dame allongée sur les genoux de Florence telle une gamine mal élevée punie par sa mère se mirent à rougir à vue d’oeil, Catherine avait une peau de blonde très blanche, le contraste des fesses écarlates avec le reste du corps était saisissant. Florence s’appliquait à administrer une véritable punition à Catherine, elle alternait les claques sur chacune des fesses, de temps en temps sa main claquait également le haut des cuisses et le pli fessier entraînant des cris plus intense de Catherine, Florence souriait au spectacle que lui offrait cette dame d’âge mûr. 



Au début madame Dulac excitée par le fait d’enfin recevoir ce châtiment enfantin sur lequel elle fantasmait n’avait pas beaucoup réagi, poussant juste quelques petits gémissements, mais au fur et à mesure que la fessée prenait de l’ampleur et gagnait en sévérité les gémissements s’était transformé en supplications puis en pleurs. Maintenant elle n’était plus une drh mais une gamine recevant la fessée, malgré sa pudeur elle ne pouvait s’empêcher d’écarter ses fesses puis de les resserrer au rythme des claques laissant entrevoir à Florence son intimité. Jugeant la punition suffisante, les fesses écarlates et les pleurs de Catherine en était la preuve, la jeune médecin cessa la fessée. Elle la garda un moment allongée sur ses genoux contemplant ce ravissant spectacle, Catherine Dulac pleurait toujours de honte et de douleurs mêlées. Enfin elle la fit se relever.

- bien j’espère que ça vous servira de leçon, vous pouvez vous rhabiller.

Les joues aussi rouges que ses fesses, Catherine Dulac se mit en devoir de reprendre une tenue plus conforme à son âge. Mais Florence comptait profiter de la situation dès que Catherine eut fini de remettre sa jupe et son chemisier elle se leva et lui saisi l'oreille comme si elle avait affaire a une mauvaise élève. 

- nous n'en avons pas tout à fait fini madame, venez avec moi. 

Surprise Catherine se laissa faire, Florence ouvrit la porte de sa salle de repos elle claqua les fesses de madame Dulac pour la faire avancer. Elle l'amena au coin de la pièce puis lui lâchant l'oreille, elle retroussa la jupe, la coinça dans la ceinture et baissa la culotte de Catherine à mi cuisse. 

- mettez vos mains sur la tête, vilaine fille, vous allez rester au coin un moment ça va vous permettre de réfléchir.


 

Elle avait pris cette initiative spontanément, se rappelant qu'elle faisait ainsi après avoir administré une fessée à son amie Julie. Ça remontait à une dizaine d'années en arrière mais ce spectacle l’émoustilla à nouveau. Catherine n'osait pas protester, en quelques instants elle était redevenue une gamine soumise et son fantasme de fessée prenait vraiment une tournure sévère et imprévue. Florence referma la porte laissant cette dame mûre en pénitence fesses à l'air. 

Elle reçu une autre patiente essayant de reprendre son air professionnel, mais l'humidité au fond de sa culotte la perturbait un peu. 

Elle revint voir Catherine, celle ci n'avait pas bougé. 

- c'est bien vous êtes bien sage, je vois que la fessée a du bon, vous allez rester au coin, j'ai encore un rendez vous, ensuite je finirai de m'occuper de vous. 

Catherine émis une petite protestation qui lui valu une dizaine de claques bien appuyées sur ses fesses encore rouges. 

- je ne veux pas vous entendre ! C'est moi qui décide si votre punition est suffisante ! Je vous conseille de vous faire petite, vos fesses sont à ma disposition. 

Catherine resta donc 20' de plus au coin, quand Florence vint la chercher ses bras lui faisait un peu mal, ses fesses avaient perdu un peu de leur jolie couleur rouge. Revenue dans la salle d’examen la jeune femme s’assit à son bureau et regarda Catherine en souriant, elle jouissait du spectacle de cette dame fesses à l'air devant elle. 

- tournez-vous que j'examine vos fesses. 

Le téléphone sonna au moment où Catherine présentait sa croupe pour cet examen humiliant. Florence ravie, prit tout son temps pour répondre, elle avait saisi une règle sur son bureau et tout en discutant elle tapotait les fesses de madame Dulac avec la règle plate, la forçant à écarter les jambes. Après avoir raccroché son téléphone, elle passa sa main sur les fesses tendues devant elle. 

- vos fesses ne sont même plus chaudes, à croire que je ne vous ai pas fessée, je ne voudrais pas que vous oubliez votre punition, venez ici. 

Elle avait reculé sa chaise de bureau et désignait ses genoux. Docilement Catherine s'y coucha. 

- vous avez fait trois bêtises madame, la première fessée c'était pour votre retard de vaccination, je vais vous en donner une autre pour votre mammographie et pour la troisième fessée nous réfléchirons. Elle repris sa règle et commença la fessée,



 la brûlure était bien supérieure à la fessée à la main aussi Catherine se mit instantanément à gigoter à battre des pieds et à supplier Florence de cesser la punition. 

- aie aie aie aie, noon pardon madame ça fait trop mal, s'il vous plaît, aie.. 

Florence était insensible aux supplications de sa victime, elle avait repris goût à la fessée et elle voulait que Catherine retienne bien la leçon. Les fesses avaient repris rapidement une belle couleur carmin et bientôt les larmes succédèrent aux supplications, c'était le moment attendu par la fesseuse, la punie lâchait prise et acceptait totalement sa punition. Quelques coups de règle plus tard, Catherine pleurait à chaudes larmes toujours étalée en travers des cuisses de la jeune médecin, redevenue l'espace d'un instant une maman sévère. Elle la laissa un instant dans cette position enfantine pour lui laisser le temps de se calmer. 

Quand elle fut remise sur ses pieds, Catherine porta immédiatement ses mains à ses fesses pour calmer la brûlure, ce qui fit rire Florence. 

- ça cuit n'est ce pas ? Rien de tel qu'une bonne fessée pour faire circuler le sang, vous avez de bien jolies fesses, ça ne peut que leurs faire du bien. Vous pouvez vous reculotter. 

Elle invita ensuite Catherine à s'asseoir ce qu'elle fit avec précaution, s'attirant un sourire moqueur de sa fesseuse. Florence l'interrogea sur l'origine de son fantasme, Catherine avoua qu'elle avait été élevée par une mère stricte adepte de la fessée et qu'elle avait subi ce châtiment jusqu'à l'âge adulte, sa dernière fessée elle l'avait reçue à 24 ans alors qu'elle était déjà mariée. Elle avoua à Florence qu'elle ressemblait à sa mère jeune et que depuis quelques années à chaque visite de médecine du travail elle pensait aux fessées de sa mère. Puis en rougissant et en baissant les yeux elle ajouta. 

- je reconnais que je l'avais bien mérité cette fessée, mais vous n'y avez pas été de main morte, je crois que je vais m'en souvenir longtemps. 

Florence se mit à rire. 

- c'est sûr que vous l'avez bien cherché ! Mais n'oubliez pas que vous en avez encore une en réserve. 

- oh non, s'il vous plaît, pas maintenant, j'ai déjà du mal à tenir assise. 

- non non, rassurez-vous je vais laisser vos fesses tranquilles pour aujourd'hui, mais ne vous inquiétez pas je vais vous tenir rapidement au courant du lieu et de l'heure de votre prochaine fessée déculottée. 

Elle se leva et raccompagna madame Dulac jusqu'à la porte, elle lui administra une petite claque sur la jupe en la quittant. 

- soyez sage ! 

En arrivant à son bureau Catherine Dulac reçu un SMS, il y avait une photo d'elle au coin main sur la tête exposant son fessier écarlate et un petit mot, "rendez-vous chez moi demain soir pour votre troisième fessée" suivait l'adresse de Florence. 

Catherine était devant sa secrétaire qui ne se doutait pas que sa cheffe cachait sous sa jupe une paire de fesses bien rouges. Elle rosit de plaisir et une humidité soudaine envahi sa culotte. Elle rentra précipitamment dans son bureau pour cacher son trouble. 

A suivre....



Deux étudiantes 22

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