vendredi 26 août 2022

Béatrice suite 2

 Une nouvelle directrice 



La vie à l'école se poursuivait tranquillement, les deux institutrices étaient toujours soumises à la discipline de fer de madame Verdu, les carnets rouges se remplissaient et les fessées claquaient sur les derrières déculottés. Béatrice n'était désormais plus une jeune femme, elle prenait de l'âge et de l'assurance mais pour la directrice rien n'y faisait elle la considérait toujours comme une gamine qui a besoin de la fessée cul nu.

L'heure de la retraite sonna pour madame Verdu cela faisait 15 ans qu'elle troussait et déculottait Marianne et Béatrice, qui avait maintenant respectivement 45 et 37 ans. La veille de la fin de l'année elles furent conviées toutes les deux dans son bureau. Elle avait disposé sur sa table de travail les instruments qui lui servait depuis des années à corriger ses deux collègues, la règle plate, le martinet et la brosse à cheveux. En entrant dans la pièce les deux dames eurent comme chaque fois un petit frisson et leurs fesses se serrèrent sous leurs petites culottes.

- bonsoir mesdames, demain je ne serai plus votre directrice et je n'aurai donc plus le loisir de discuter avec vos fesses... Je vais donc ce soir clore ce chapitre en vous administrant à chacune la plus sévère fessée que vous n'avez jamais reçue, je veux que vos fesses se souviennent de moi longtemps.

Les deux dames se regardèrent, elles auraient pu protester mais rien ne sorti de leur bouche, elles étaient tellement habituées aux punitions que cette dernière fessée leur paraissait normale.  Madame Verdu disposa calmement la chaise devant le bureau et fit signe à Marianne.

- vous êtes la plus âgée, à vous l'honneur.

Marianne en 15 ans avait un peu grossi, elle n'était plus une jeune femme mais une dame mûre avec un large fessier qui aujourd'hui était bien moulé dans une robe fleurie. Elle se coucha docilement sur les genoux de madame Verdu, celle ci retroussa immédiatement la robe pour mettre à jour la culotte en dentelle qui ne cachait pas complètement pas la belle paire de fesses. Madame Verdu tapota la culotte. 

- joli dessous Marianne, mais je crains qu'il ne soit pas une grande protection. 

La main de caressante était devenue claquante et les fesses se mirent à se serrer au rythme de la fessée faisant rentrer le fin tissu dans la raie fessiere. Ce n'était pas suffisant pour une fesseuse, cessant l'échauffement, elle déculotta complètement la dame couchée sur ses genoux comme si elle n'était plus qu'une mauvaise élève punie. 

- on va passer aux choses sérieuses, une si belle paire de fesses doit recevoir une vraie fessée. 



Marianne était habituée aux fessées sévères mais celle la fit partie des meilleures, elle ne put s'empêcher de battre des jambes et d'offrir à la vue de sa fesseuse toute son intimité, elle gémissait sous la brûlure, son fessier était écarlate quand madame Verdu la fit se relever. Bien habituée, elle mit ses mains sur la tête et ne frotta pas son derrière endolori. La sévère directrice la fit pivoter et lui épingla la robe dans le dos. 

- voilà un bon début, ces fesses sont bien échauffées, n'allez pas au coin, vous avez le droit d'assister à la fessée de Béatrice. 

Elle avait fait un petit signe à la plus jeune des dames. Celle ci émue de savoir que c'était la dernière séance de punition se dirigea vers sa maîtresse. 

Rapidement l'institutrice de 37 ans ne fut plus qu'une gamine punie. Sa jupe courte était troussée bien haut sur ses reins et sa petite culotte blanche ornée de dentelle autour des cuisses, était maintenant au niveau de ses genoux. La main de la sévère directrice claquait et reclaquait le derrière bien rebondi de Béatrice, soumise depuis tant d’année à un régime de fessée quasi quotidienne, elle avait gardé une croupe juvénile, certes un peu plus large qu’à 22 ans mais musclée à souhait. 



La main semblait rebondir sur ce fessier qui s’ouvrait et se fermait aux rythme du battement des pieds. La jeune femme geignait doucement mais elle ne pleurait pas encore, habituée aux sévères corrections de sa maîtresse, il lui fallait plus qu’une fessée manuelle pour lui tirer des larmes. Les fesses étaient maintenant écarlates, madame Verdu cessa la correction, Béatrice put se relever et comme Marianne en punie disciplinée elle mit ses mains sur sa tête et attendit les consignes. La directrice la fit pivoter lui coinça la jupe dans la ceinture et d'une vigoureuse claque sur les fesses lui indiqua qu'il était temps de gagner le coin, Marianne la suivi après avoir elle aussi reçu deux bonnes claques sur sa croupe rubiconde.

- allez, un petit passage au coin que je puisse admirer vos jolies fesses bien rouges, nous n'en avons pas fini mais nous avons toute la soirée. Marianne ! Collez moi bien votre nez contre le mur ! On dirait que c'est la première fois que vous allez au coin ! Décidément vous ne comprenez que la fessée. 

Elle s'était approchée de l'institutrice qui exposait son fessier écarlates et comme si la précédente fessée n'avait pas suffit, elle lui administra une vingtaine de claques. Marianne trépignait sur place mais elle ne bougea pas, se contentant de coller son nez contre le mur comme exigé par sa maîtresse. Elle les laissa ainsi pendant 10', puis elle les fit venir devant le bureau, elle avait disposé une deuxième chaise, elle tenait le martinet à la main, elle leurs désigna les chaises avec le martinet.

- mettez vous à genoux et tendez moi bien vos fesses, monsieur martinet va leurs donner une dernière caresse. 

Les deux punies se mirent docilement en position, les deux paires de fesses écarlates s'offraient aux morsures de l'instrument anciennement destiné à corriger les derrières des gamines mal élevées dans toute les familles françaises. Madame Verdu se plaça de côté et levant l'instrument elle cingla les fesses de Béatrice, celle ci s'accrochant au dossier de la chaise poussa un cri de surprise, ses fesses se contractèrent mais elle ne bougea pas, après une dizaine de cinglades, elle changea de côté et les fesses de Marianne reçurent elles aussi les caresses brûlantes du martinet. La fessée se prolongea, les deux croupes alternativement cinglées par le redoutable instrument. Les lanières du martinet en avaient connu des fesses tout au long de la carrière de madame Verdu et pour sa dernière prestation il se surpassa. A la fin de la deuxième fessée les derrières des deux institutrices n'étaient plus que deux boules rouges la raie fessiere n'était plus qu'une ligne tellement elles étaient serrées sous la cuisson, des traînées rouges s'étalaient sur le haut des cuisses. Madame Verdu décida de les laisser ainsi pour la pénitence, à genoux sur leurs chaises, les fesses écarlates tendues. 

- ces derrières sont bien chauds, on va les laisser refroidir, vous ne bougez pas de la, vous êtes vraiment ravissantes. 

La soirée fut vraiment cuisante pour les fessiers des deux dames redevenues des élèves punies. 



Elles goûtèrent ensuite à la règle plate puis en fin de soirée après une pause un peu plus longue où madame Verdu leur offrit un thé qu'elles eurent un peu de mal à apprécier assise sur un bout de fesse, elles reçurent allongées dans la position traditionnelle une dernière fessée à la brosse à cheveux. 

Après cette terrible soirée elles gardèrent les fesses douloureuses pendant deux jours. 

A la rentrée, elles découvrirent la nouvelle directrice, c'était une jeune femme d'à peine 30 ans, mince, blonde avec un regard autoritaire. C'était la pré-rentrée elles étaient dans son bureau, sur celui-ci était disposé deux carnets rouges. Devant leur regard surpris, Alice la nouvelle directrice leur souri.

- madame Verdu m'a expliqué sa façon de diriger cette école et ses méthodes m'ont paru excellente, j'ai bien l'intention de continuer. Elle m'a également donné la ligne directe de l'inspecteur si par hasard j'avais besoin de lui signaler un mauvais comportement de l'une d'entre vous. 

Les deux institutrices se regardèrent, la situation ne changerait donc pas, il faudrait se soumettre à l'autorité de cette jeune femme. La suite les conforta dans cette idée, Alice prit une chaise et la disposa devant son bureau. 

- d'ailleurs pour bien entamer l'année nous devons faire mieux connaissance, vos fesses avec ma main et ma main avec vos petits derrières. Qui commence ? 

Béatrice et Marianne complètement prise au dépourvu ne bougeaient pas. Alice s'impatienta, elle désigna du doigt Béatrice. 

- venez ici et vite, je pense que vous savez ce que vous risquez en cas de désobéissance ! 

Béatrice s'approcha, le ton sans réplique de la jeune directrice lui rappelait trop celui de madame Verdu, Alice avait 30 ans de moins mais ça ne se voyait pas. Quelques instants plus tard Béatrice était dans une position qu'elle connaissait si bien, troussée et déculottée en travers des cuisses de sa nouvelle maîtresse. 



La fessée fut courte mais sévère, est-ce que madame Verdu lui avait donné des cours particuliers pendant les vacances, mystère, mais quand Béatrice se releva la couleur de son fessier n'avait rien à envier à celle de l'année précédente. C'était maintenant au tour de Marianne de retomber en enfance, cul nu sur les genoux d'une maman sévère, à la différence qu'elle avait 15 ans de plus que sa nouvelle maman et qu'en toute logique c'est elle qui aurait dut donner la fessée au lieu de la recevoir. En vraie fesseuse, Alice ne cessa la fessée que quand la large croupe de Marianne fut colorée de la même manière que celle de sa collègue. Une fois relevée, Alice lui saisi l’oreille puis passant à côté de Beatrice elle fit de même, les deux dames tenues par l’oreille comme des élèves dissipées malgré leurs âges furent conduite au coin par cette jeune femme blonde. Elle les força à appuyer le nez contre le mur.

Elle retroussa à nouveau les jupes qui masquaient les fesses écarlates, arrangea les culottes qui avait glissé un peu trop bas à son goût puis se recula pour contempler le spectacle.



- quel ravissant tableau... Dommage que madame Verdu ne soit pas là pour le voir! Nous commençons l’année sur de bonnes bases.

Elle leur détailla sa façon de diriger, si la fessée était toujours la base, elle introduisit quelques modifications, la plus substantielle fut l’introduction de la fessée du lundi matin.

Chaque début de semaine, Marianne et Beatrice devait arriver une heure plus tôt car Alice leur administrait à chacune une bonne fessée déculottée, cette correction n’avait pas de cause précise, Alice leur avait juste dit dans un sourire.

- démarrer la semaine avec une paire de fesses bien rouges vous aidera à être plus efficace et puis c’est bon pour la cellulite.

Elle avait ajouté cette petite pique en regardant avec insistance les croupes généreuses de ses deux collègues.

 La vie reprit son cours  habituel dans la petite école rythmé par le bruit caractéristique des claques retentissant sur des fessiers dénudés. Les parents d’élèves notamment la présidente de l’association furent rapidement soumis au même régime que les deux institutrices, l’autorité naturelle d’Alice faisait que personne ne rechignait si elle le jugeait nécessaire, à se coucher sur ses genoux et à se faire baisser la culotte pour recevoir le châtiment enfantin.



 Curieusement seul les enfants, du fait des nouvelles façons d'éduquer n'étaient pas soumis à la fessée. 


1 commentaire:

  1. les deux enseignants le savaient, qui reste toujours directeur, mais ils sont soumis à la discipline tout le temps.
    Chinmay

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