Béatrice prend goût à la fessée
Béatrice et Marianne en sortant du bureau de la directrice virent une dame qui attendait sur une chaise. Marianne fit un petit signe à sa jeune collègue.
- c'est madame Dulac une mère d'élève qui est la présidente de l'association de parents, c'est une ancienne élève de madame Verdu, elle n'a pas l'air très à l'aise. On va discrètement écouter.
Elles se rapprochèrent doucement pour écouter, elles ne furent pas déçue, des éclats de voix fusèrent à travers la porte et soudain après un petit moment de calme le bruit caractéristique de claques sur la peau nue retentit dans le silence suivi par des supplications puis des gémissements et enfin des pleurs. Marianne mit son doigt sur sa bouche et fit signe à Béatrice de la suivre. Une fois dans sa classe elle sourit.
- tu vois ma chérie, il n'y a pas que nous qui montrons nos fesses à madame Verdu. A mon avis madame Dulac doit en ce moment être au coin les mains sur la tête avec une paire de fesses bien rouge.
Je ne vais pas la plaindre, cette petite peste n'est pas la dernière à venir se plaindre en sachant très bien comment ça va se finir pour nous. En plus l'année dernière elle a eu le droit d'assister à une de mes fessées.
Béatrice écoutait bouche bée, elle allait de surprise en surprise, ainsi non seulement elle pouvait être déculottée devant sa collègue mais une parente d'élève pourrait assister à sa punition. Marianne acheva de la désespérer.
- je ne suis pas mécontente que tu sois arrivée, tu as un très joli derrière et je pense que madame Verdu va s'y intéresser de près, pendant ce temps elle va peut être laisser le mien en paix.
Elle lui expliqua qu'elle remplaçait une institutrice partie à la retraite et qui malgré ses 60 ans recevait elle aussi la fessée déculottée quand la directrice le jugeait nécessaire.
D'ailleurs le jour de son pot de départ avant d'aller retrouver les élèves pour une petite fête, elle avait convoqué Marianne et madame Dulac et avait annoncé à la pauvre Élisabeth qui venait de terminer sa dernière journée de travail.
- ma chère, comme je n'aurai plus le loisir de m'occuper de vos fesses, je vais vous faire mon cadeau de départ. Elle s'était assise sur une chaise et l'institutrice de 60 s'était retrouvée couchée en travers de ses genoux, elle était habituée à ce genre de traitement depuis de nombreuses années aussi elle n'avait pas protesté, sa jupe avait été retroussée et sa culotte baissée.
Elle était maintenant déculottée comme une gamine malgré la présence de deux jeunes femmes spectatrices.
- il n'y a pas d'âge pour la fessée déculottée, vous le savez Élisabeth et celle la, je veux que vous vous en souveniez.
Les claques s'étaient mises à tomber sur les fesses bien tendues par la position et rapidement la croupe avait pris cette belle couleur rouge qui plait tant aux fesseuses. Remise sur ses pieds elle avait du tenir sa jupe retroussée et présenter ses fesses écarlates aux deux jeunes femmes.
Quelques instants plus tard, après avoir réajusté sa tenue et sèché ses larmes elle avait reçu ses cadeaux de départ. Tout le monde avait mis ses yeux rougis sur le compte de l'émotion. Marianne et madame Dulac savaient que sous sa jupe et sa culotte ses fesses étaient brûlantes.
Les prévisions de Marianne se révélèrent exacte, Béatrice devint rapidement l'institutrice aux fesses rouges, toutes les occasions étaient bonnes à madame Verdu pour déculotter sa jeune collègue et lui chauffer le derrière. Cela se passait le plus souvent dans la classe avant l'arrivée des élèves, ce qui rendait le châtiment encore plus humiliant. La directrice plaçait une chaise sur l'estrade à côté du bureau, elle faisait un petit signe à Béatrice et celle ci, docilement venait se coucher sur ses genoux, elle avait vraiment l'impression de redevenir une élève punie devant toute la classe, même si les pupitres étaient inoccupés elle s'imaginait les yeux des élèves braqués sur sa jupe retroussée et sa petite culotte blanche tendue sur ses fesses de jeune femme. Madame Verdu lui faisait toujours un petit compliment avant de la fesser.
- quelle jolie culotte mademoiselle, et qu'est-ce qu'elle cache ?
La culotte glissait le long de la croupe faisant apparaître une paire de fesses serrées par la crainte et l'humiliation.
- voilà des fesses bien blanches qui ne demandent que ça, oui mademoiselle, une bonne fessée déculottée pour bien commencer la journée, vous allez voir ça fait du bien !
Béatrice prenait progressivement l'habitude de ces fessées matinales et maintenant commencer sa classe avec une paire de fesses bien rouges et chaudes sous sa culotte ne la dérangeait plus. Ces fessées n'étaient pas très sévère juste l'occasion pour madame Verdu de profiter de la fraîcheur de ce joli petit derrière. C'était différent le vendredi soir pour l'inspection des carnets rouges. Le sien était toujours rempli par les punitions de la semaine aussi madame Verdu commençait toujours par elle puisque ce mauvais carnet lui valait plusieurs corrections.
Marianne était soulagée de lui avoir cédé la place de punie préférée, certes elle n'était pas dispensée de présenter ses fesses déculottées à la main de la sévère directrice mais les passages sur ses genoux avaient grandement diminué.
Les punitions du vendredi soir n'étaient pas seulement manuelle, sur le bureau de la directrice étaient disposés une règle plate, un martinet et une brosse à cheveux. Avec ces trois instruments madame Verdu se faisait fort de rendre douce et docile des générations d'institutrices.
Si le carnet n'était pas trop rempli la punie avait droit à un échauffement avec une fessée manuelle puis l'application de la règle plate ou de la brosse à cheveux. En cas de mauvais carnet ce qui était régulièrement le cas de Béatrice, la fautive avait droit à une première fessée en général assez sévère puis après un court passage au coin pour faire refroidir les fesses une deuxième voire une troisième fessée avec les instruments à la disposition de la fesseuse.
Les intermèdes de passage au coin permettaient au fessier de refroidir un peu ce qui rendait la fessée suivante à nouveau très douloureuse.
Béatrice avait toujours droit à plusieurs fessées, malgré ses efforts elle ne parvenait pas à éviter les punitions dans la semaine et elle passait souvent le samedi avec des fesses sensibles après l'administration de fessée au martinet ou à la brosse à cheveux.
Elle avait 22 ans mais pour madame Verdu l'âge n'était pas un obstacle et maintenant Béatrice était redevenue une gamine soumise à la fessée, curieusement elle ne se révoltait pas, dire qu'elle y prenait plaisir n'aurait pas été exacte, la cuisson de ses fesses pendant la fessée était toujours aussi désagréable mais elle trouvait maintenant normale que sa directrice la punisse ainsi, elle la considérait maintenant un peu comme sa maman. Progressivement au cours de l'année leurs rapports devinrent plus intimes, ce n'était un secret pour personne que la directrice préférait les dames. Béatrice fut bientôt invitée dans l'appartement de madame Verdu qui était juste à côté de l'école et c'est là qu'elle fut initiée aux charmes du saphisme. Ce qui ne la dispensait pas bien sur des fessées, madame Verdu ne concevait pas de rapport sans mise à nu préalable du fessier de sa partenaire et l'application d'une vigoureuse claquée, c'est toujours avec des fesses écarlates et brûlantes que Béatrice succombait aux caresses de son amante.
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