lundi 22 août 2022

Béatrice, une vie avec la fessée.

 Un récit en plusieurs épisodes 

L’éducation de Béatrice



Béatrice sortait de l'école normale, elle avait 22 ans et son premier poste d'institutrice ce fut dans une petite ville du sud de la France, une école de fille à 3 classes dirigées par madame Verdu une rondelette femme de 45 ans, énergique et souriante. Elle accueilli sa jeune collègue avec chaleur et lui expliqua le fonctionnement de l'école. Elle lui donna notamment des conseils sur l'autorité qu'elle devait montrer malgré son jeune âge. Tout naturellement elle aborda le problème des punitions, bien sûr dans les années 60, les châtiments corporels commençaient à ne plus être de cours mais elle lui expliqua qu'administrer de temps en temps une petite fessée sur la culotte d'une élève pouvait être nécessaire et ne prêtait pas à conséquence. Pour sa part en temps que directrice et connaissant les familles depuis de nombreuses années il lui arrivait avec l'accord des parents d'administrer une fessée déculottée dans son bureau en cas de nécessité.

Béatrice avait reçu une éducation stricte où la fessée avait sa place même si elle n'en avait plus reçue depuis bien longtemps, donc elle acquiesça à tous ses conseils.

Après une semaine de cours, un matin très tôt, elle se trouvait dans sa classe quand madame Verdu arriva l'air sévère.

- Béatrice je suis très déçue par votre comportement, je vous observe depuis une semaine et je constate que vous n'êtes pas sérieuse, vous ne préparez pas votre classe, je vais être obligée de faire un rapport à l'inspecteur.

Béatrice rougit sous les reproches et protesta

- oh non madame, je vous en prie, ne faites pas cela, je vous promet que je vais bien travailler

Madame Verdu la regarda d'un air un peu moins sévère.

- on dirait une petite fille prise en faute... Reconnaissez que votre comportement est inadmissible, que dois-je faire ?

Béatrice baissait les yeux et rougissait de plus en plus.

- je... Je suis désolée madame.. Je ne sais pas..

- et bien moi je vais vous le dire, vous méritez une bonne fessée et je vais vous la donner.

Béatrice releva la tête la bouche ouverte incapable de répondre.. Déjà madame Verdu lui avait pris la main et l'attirait contre ses genoux, subjuguée Béatrice se laissait faire en un clin d'œil elle se retrouva couchée sur les genoux de la directrice, la jupe immédiatement retroussée la fessée sur la culotte démarra. Une petite correction de mise en train qui cessa rapidement, madame Verdu glissa ses doigts dans la culotte et commença à la descendre. Béatrice se rendit compte soudain de ce qui allait lui arriver et elle se débattit.

- non, non vous n'avez pas le droit, non madame pas la culotte...

Avec sa main elle retenait sa culotte pour essayer d'empêcher le déculottage. Madame Verdu lui saisi la main et continua calmement à baisser la culotte de la jeune femme.



- mademoiselle, sachez qu'une fessée c'est toujours déculottée... Oui c'est ça vous allez recevoir une fessée cul nu comme une gamine paresseuse.

La culotte était descendue juste sous les fesses suffisamment pour découvrir une jolie croupe ronde déjà rosée. Madame Verdu était une fesseuse et la découverte d'un nouveau derrière la ravissait toujours. Elle allait recommencer la fessée quand on frappa à la porte. Sans ce soucier de Béatrice allongée sur ses genoux les fesses à l'air elle donna l'autorisation à la visiteuse d'entrer. Béatrice poussa un cri. Non ce n'était pas possible, on allait pas la voir dans cette position humiliante mais une vigoureuse claque sur ses fesses l'a fit taire immédiatement. C'était Marianne la collègue de Béatrice, elle s'arrêta sur le pas de la porte.

- entrez Marianne, une fessée déculottée publique sera plus efficace pour cette paresseuse.



Béatrice se mit à pleurer, non de douleur mais de honte, a 22 ans elle était couchée sur les genoux d'une dame la culotte baissée, les fesses exposées à une autre dame qui avait une vue magnifique sur son fessier et son intimité, elle resserra les cuisses.

La fessée repris, madame Verdu ne retenait pas ses claques et les fesses se mirent rapidement à rougir et Béatrice oublia vite la dame qui assistait à sa punition, la cuisson était intense, elle se mit à battre des pieds oubliant toute pudeur et ses larmes n'étaient plus de honte mais de douleur. Jugeant la couleur des fesses satisfaisante, la directrice cessa la punition.

- bon ça ira pour ce matin, remontez votre culotte.

Puis s'adressant à Marianne qui avait assisté ravie à la correction de sa jeune collègue.

- c'est à cette heure là que vous arrivez à l'école. Bien je crois qu'une petite mise au point s'impose, vous viendrez toutes les deux ce soir dans mon bureau.

Elle laissa les deux institutrices, Béatrice les yeux mouillé de larmes et Marianne surprise. Elle regarda sa jeune collègue rougissante.

- ne t'en fait pas, tu sais j'en ai déjà vue des fesses de collègues rougies par madame Verdu, ce ne sera pas la dernière que tu recevras et ce soir je peux te dire que tu vas voir les miennes.

Béatrice la regarda incrédule, Marianne avait bien 10 ans de plus qu'elle, elle était mariée avait un enfant et elle parlait tranquillement de la fessée déculottée qu'elle allait recevoir ce soir.

Elle eut rapidement une explication, madame Verdu adorait donner la fessée et toutes les institutrices qui passaient dans son école devait s'y soumettre, elle avait de très bon rapports avec l'inspectrice et pour éviter les ennuis il valait mieux accepter de lui montrer ses fesses, surtout que mis à part cette petite manie elle était une super directrice et considérait un peu ses collègues comme ses filles. En riant Marianne ajouta.

- tu sais comment on appelle ces réunions dans son bureau, ce ne sont pas des réunions pédagogiques mais des réunions pedagofessique....

La journée se passa bien et une fois les enfants partis, elles se retrouvèrent comme deux mauvaises élèves devant la directrice. Béatrice remarqua une chaise posée à côté du bureau.

- mesdames j'ai laissé passer trois jours afin de voir comment vous vous comportiez, je pense que l'heure est venue de mettre les choses au clair. Marianne vous êtes la plus âgée je vais donc commencer par vous, vous savez ce qu'il en coûte d'arriver en retard. J'écoute ?

Marianne bien qu'habituée se mit à rougir et en baissant les yeux répondit d'une petite voix.

- euh... Une fessée madame..

- une fessée comment !! Faut il que je me fâche !!

- non, non pardon madame... Une fessée déculottée..

- voilà c'est bien, en place et vite.

Elle s'était assise sur la chaise à côté du bureau et prenant la main de la jeune femme elle la bascula sur ses genoux, Marianne portait une robe fleurie assez courte, elle fut relevée sur les reins rapidement, la petite culotte rose transparente laissait déjà voir les fesses serrées dans l'attente du châtiment. Madame Verdu ne s'arrêta pas là, elle avait prévu une fessée déculottée donc elle saisit la ceinture de la culotte et la baissa jusqu'aux genoux.

- nous y voilà madame, il semblerait que les vacances vous aient fait oublié les bonnes habitudes, je vais vous les rappeler en parlant à vos fesses.

La fessée commença, les claques s'abattirent sur les fesses bien exposées de l'institutrice redevenue une gamine désobéissante, gémissant et bientôt pleurant sous la brûlure de la fessée. Les fesses écarlates Marianne put se relever, madame Verdu épingla la robe pour la tenir relevée.

- mains sur la tête, vous pouvez regarder la punition de Béatrice ensuite vous irez au coin.



Béatrice ne s'attendait pas à une nouvelle fessée, elle sursauta. Elle n'eut pas le temps de réfléchir ou de protester, madame Verdu la prit par la main et la fit basculer en travers de ses cuisses. Elle n'avait pas oublié la punition du matin, elle serra ses fesses sous sa jupe et sa culotte. En un clin d'œil elle fut troussée et déculottée. La main de madame Verdu était habituée à administrer des fessées et deux à la suite ne lui faisait pas peur. Celle reçue par Béatrice fut équivalente à celle de Marianne. Les deux institutrices punies, les fesses écarlates jupe et robe retroussée furent mises au coin main sur la tête. 



Satisfaite la sévère directrice d'école s'installa à son bureau, elle prit deux carnets rouges sur chacun était noté le nom de sa destinataire. Elle nota la punition reçue par chacune. 

Quand elle leur permit de reprendre une tenue plus conforme à leur âge, elle leur tendit à chacune un carnet



 - vous devrez l'avoir sur vous en permanence, à chaque fois que vous serez punie ou que j'aurai quelque chose à vous reprocher ce sera noté. Bien à demain mesdames, Marianne j'espère que vous serez à l'heure cette fois. 


2 commentaires:

  1. Merci beaucoup pour cette nouvelle histoire
    Madame verdu vas telle vérifier la propreté des élèves et de leur institutrice des mains mais aussi des vêtements et sous vêtements?culotte pas net Motif de punition?

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    1. Merci, c'est toujours agréable d'avoir un petit retour par les gens qui apprécient mes récits. Je vous réserve la surprise pour la suite des aventures fessophiles de Brigitte. Je pense qu'elle n'a pas encore fini de nous montrer ses fesses rouges.
      Sylvie

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