vendredi 31 octobre 2025

Randonnée fesses rouges

 Début de week-end cuisant 




Caroline rangeait sa voiture ce vendredi soir quand elle vit Sylvie arriver, elle lui avait donné rendez-vous à seize heures, pour un départ en week-end dans la foulée.

Elle avait prévu ce séjour à la montagne depuis un moment, un week-end un peu particulier avec sa mère et Sylvie qui mêlerait randonnée en montagne et séjour coquin.

Faisons les présentations, Julie la mère de Caroline, une jolie femme brune de quarante-cinq ans dotée de forme avantageuse, était en train de finir son sac de voyage quand elles entrèrent dans la maison. Julie embrassa sa fille ainsi que Sylvie qu’elle avait déjà vue une ou deux fois.

— Tu vas bien ma petite maman, tu as bien rangé la maison j’espère sinon gare.

Caroline avait tapoté sans façon le derrière rebondi de sa mère Celle-ci rougit et baissa les yeux :

— Bien sûr Caroline.

Que de choses avaient changé dans sa vie depuis son licenciement de son poste de secrétaire, c’était très difficile de retrouver du travail après un licenciement pour faute grave, elle en faisait l’amère expérience. Elle avait été obligée de demander à Caroline qui avait une bonne situation de l’héberger, en contrepartie elle entretenait la maison. Mais ce n’était pas tout, Caroline avait posé ses conditions, elle avait trouvé là l’occasion rêvée de prendre sa revanche sur Julie, en effet celle-ci était restée une partisane de l’éducation traditionnelle et Caroline jusqu’à récemment pouvait recevoir la fessée déculottée comme quand elle était gamine.

Le soir de son installation, la jeune femme avait mis les choses au point :

— Ma petite maman, puisque nous avons inversé les rôles et que c’est moi qui subviens à tes besoins, nous allons le faire complètement. C’est moi qui aurai l’autorité dans cette maison et si c’est nécessaire tu seras punie.

— Oui, mais ma chérie je suis quand même ta mère.

Julie avait été surprise par cette annonce, Caroline ne s’arrêta pas en si bon chemin :

— Je crois que tu n’as pas le choix, sauf si tu veux quitter la maison. D’ailleurs nous allons commencer immédiatement, à partir de maintenant chaque fois que tu diras, mais tu seras punie. Viens ici !

Complètement sidérée la sévère mère de famille n’avait pas osé protester quand l’impensable s’était produit. Caroline l’avait coincé sous son bras et courbé en avant puis d’un geste sec l’avait déculottée. Elle portait un legging, sa fille avait saisi la ceinture et dans le même mouvement elle l’avait baissé en même temps que la culotte. La belle paire de fesse de dame mûre de Julie était apparu aux yeux émerveillés de sa fille, un derrière d’un blanc nacré, bien ferme, deux hémisphères joufflus séparés par une profonde raie médiane qui était à cet instant serrée par l’angoisse.

La première fessée fille-mère avait été rapide, mais suffisante pour que Julie cache sous sa culotte une croupe bien rouge. Depuis cette date, les déculottages et les fessées étaient devenus très fréquents dans cette maison.

Sylvie était dans l’entrée son sac de voyage à la main, elle avait une soixante-dix ans, assez grande et relativement mince, elle était dotée d’un généreux popotin. Amatrice de soirée coquine, elle avait rencontré Caroline au cours de l’une d’entre elle. Ce jour-là, Sylvie était accompagnée d’une jeune et jolie jeune femme, Héloïse qui apparemment s’occupait de l’éducation de la sexagénaire. En effet au cours de la soirée exclusivement féminine, la dame d’âge mûre pour un prétexte futile s’était retrouvée couchée en travers des genoux d’Héloïse qui l’avait prestement troussée puis déculottée comme une gamine. Et devant un public amusé la dame avait reçu une mémorable fessée qui avait ravi Caroline, surtout que Sylvie avait ensuite passé une bonne partie de la soirée au coin les fesses à l’air et les mains sur la tête. Caroline connaissait vaguement Héloïse, elle avait sympathisé et la jeune femme avait proposé de lui confier Sylvie certain week-end quand elle serait absente. Elle avait ajouté en souriant et en montrant le large derrière de son amie :

— Il ne faut pas la laisser sans surveillance, sinon elle fait des bêtises et puis tu vois avec une si bonne paire de fesses la sanction est toute trouvée.

Caroline regarda la dame avec son sac à la main et lui lança un regard coquin :

— Alors ma petite Sylvie, tatie Héloïse s’est bien occupée de toi ? Elle m’a envoyé un message pour me dire qu’elle avait été obligée de te corriger. C’est vrai ?

La dame de soixante-dix ans ne faisait pas son âge à cet instant, on aurait dit une gamine interrogée par sa maman, elle avait les joues rouges, elle voyait bien où Caroline voulait en venir.

— Euh… oui mademoiselle.

— Eh bien on va voir ça viens ici.

Sylvie avait pris l’habitude d’obéir sans discuter, elle s’approcha. La jeune femme s’installa sur un tabouret qu’on aurait dit posé là exprès et elle la coucha en travers de ses genoux. La jupe large fut facile à retrousser, Caroline esquissa un sourire en voyant la petite culotte en coton ornée de petite fleurs, décidément Héloïse s’y entendait pour humilier sa petite Sylvie, elle tapota le derrière culotté :

— Jolie petite culotte, comme celle que portent les gamines qui reçoivent encore la fessée.

Elle glissa ses doigts sous l’élastique et déculotta largement la sexagénaire qui n’en menait pas large. Les fesses étaient encore bien rouges, au centre dépassant à peine de la raie fessière, la rondelle rose d’un plug apparaissait. Caroline écarta les fesses avec deux doigts :

— Mazette, madame a eu droit au plug. Tu as dû être vilaine, une fessée déculottée et le derrière bien garni.

Elle claqua la croupe si bien exposée :

— A quelle heure Héloïse t’a-t-elle mis le plug ?

Sylvie était au comble de la confusion, elle bégaya :

— Euh… euh… je… aïe, aïe…

La main de Caroline venait de claquer à nouveau le gros derrière :

— Vas-tu te dépêcher, à moins que tu ne veuilles une fessée supplémentaire !!

— Non, non mademoiselle Caroline, c’était à onze heures ce matin.

— Bien, et tu dois le garder jusqu’à quelle heure.

— Mademoiselle Héloïse a dit que c’est vous qui décideriez.

Caroline tourna la rondelle du plug, c’était agréable d’avoir le pouvoir de punir à sa guise cette bourgeoise qui aurait pu être sa grand-mère et qui gémissait couchée sur ses genoux dans l’attente de la sanction.

— Ça fait donc cinq heures, c’est bien je vais te le retirer mais en compensation tu vas avoir droit à une petite fessée pour que ton derrière garde ses bonnes couleurs.

Elle leva la main et claqua joyeusement le plantureux fessier, il était musclé malgré tout et c’était très agréable de le claquer, la main rebondissait et le derrière s’ouvrait et semblait se tendre vers la paume pour recevoir une nouvelle offrande.

Caroline avait annoncé une petite fessée, malheureusement pour les fesses de Sylvie ce fut une fessée magistrale et suffisamment longue pour que la punie finisse en pleurs.

— Voilà, ton derrière va rester bien rouge, on va retirer ce plug. Tu sais que si tu n’es pas sage ce week-end, Caroline te le remettra.

Sylvie pleurnichait, mais malgré la honte de sentir les doigts de sa jeune maîtresse écarter largement ses fesses, elle était soulagée que sa punition se termine.

Pendant ce temps Julie avait regardé cette dame plus âgée qu’elle, recevoir la fessée comme une gamine. Elle était contente que sa fille ne s’intéresse pas à son derrière et comme toute fesseuse elle avait apprécié la danse des fesses que leur avait offert Sylvie.

Sylvie était maintenant debout, Caroline l’avait reculotté elle-même comme l’aurait fait une maman, elle regarda en souriant les deux adultes qu’elle avait sous sa coupe :

— Vous allez vous changer pour le week-end, je veux deux gentilles petites filles bien sage, venez avec moi.

Elle les entraîna dans la chambre d’amis et ouvrit une commode, elle en sorti deux jupettes écossaises, un tee-shirt blanc et des socquettes blanches :

— Mettez ça en vitesse, on est pas en avance, Sylvie, ta culotte est parfaite, maman j’espère que tu as ta culotte de petite fille.

Julie piqua un fard à l’évocation de ses sous-vêtements, Caroline avait été intraitable et après une magistrale fessée déculottée, elle s’était résolue à mettre ces petites culottes blanches en coton.

En voyant cette jupette la mère de famille ne put réprimer une moue, Caroline la surveillait :

— Maman !!! Qu’est-ce que c’est que cette grimace ?

Elle s’approcha de Julie et lui saisit l’oreille :

— Aïe, non, non pardon Caroline… Je… Aïe.

La jeune femme s’amusait de la détresse de sa mère, elle continuait de tirer sur l’oreille pour la faire mettre sur la pointe des pieds :

— Elle ne te plaît pas cette jupe ? C’est pourtant ce qui te convient ma petite chipie.

— Oui, oui, Caroline… Mais… Aïe.

La main libre venait de claquer le derrière de Julie.

— Ah oui ? Tu sais pourtant que c’est un mot que je ne veux plus entendre. On va régler ça immédiatement.

Elle posa son pied sur le tabouret et bascula sa mère sur sa cuisse, cette position enfantine était vraiment infamante surtout en public, Caroline le savait. Elle voulait que sa mère lui obéisse sans discuter et cette fessée déculottée lui servirait de leçon. Les pieds décollés du sol, la tête pendant de l’autre côté, Julie était vraiment à sa merci, elle troussa rapidement la jupe et la déculotta dans la foulée :

— Je vais t’apprendre !!! Une bonne fessée cul nu, il n’y a rien de tel pour faire obéir les vilaines filles.

La culotte glissa jusqu’aux genoux de Julie qui se cramponnait au tabouret pour rester en équilibre, Caroline la ceintura fermement et commença à claquer le magnifique derrière, il prit rapidement des couleurs et Sylvie put se régaler, Julie ouvrait largement ses cuisses pendant que ses jambes pédalaient dans le vide :

— Ah je vais t’apprendre à dire « mais », tu le sais que je ne veux rien entendre d’autre que « oui Caroline » quand je te donne un ordre, puisque madame ne veut pas comprendre, je vais m’adresser à ses fesses. Tu sais que ton derrière est magnifique. Tu la sens ma main sur tes bonnes grosses fesses ?

Julie n’avait pas vraiment des grosses fesses, juste un bon derrière joufflu de dame mature, mais Caroline aimait employer ce vocable, « bonnes grosses fesses » pour faire honte à sa mère.

La croupe était maintenant de la même couleur que celle de Sylvie, Caroline reposa sa maman punie par terre et lui désigna la jupe posée sur le lit :

— Tu l’enfiles illico, ne remonte pas ta culotte, tu resteras cul nu jusqu’à ce qu’on parte.

Sylvie s’approcha et dégrafa sa jupe sans un mot, elle trouvait également cette jupette ridicule, mais la correction reçue par Julie l’incitait à la prudence.

Quelques instants plus tard, deux dames d’âge mûr étaient côte à côte habillées pareillement d’une mini-jupe écossaise qui leur arrivait à mi-cuisse, d’un tee-shirt blanc, ainsi que de socquettes et de ballerines pour compléter leur transformation en collégienne.

Caroline les avait regardés s’habiller en souriant :

— Vous êtes mignonne toutes les deux, tournez-vous que je vous voie sous toutes les coutures.

Les deux dames se gardèrent bien de protester, la culotte de Julie apparaissait indiquant qu’elle était encore déculottée :

— Troussez-vous !

Les deux derrières apparurent simultanément celui nu de sa mère et celui culotté de Sylvie, Caroline s’approcha et d’un geste sec elle déculotta la plus âgée, puis elle se recula pour mieux apprécier le spectacle :

— Voilà deux jolis derrières bien rouges. Vous avez intérêt à être sage pendant le voyage, sinon je vous garantis que vos fesses resteront rouges jusqu’au coucher. Allez, reculottez-vous on y va.

Les deux punies ne se le firent pas dire deux fois, arrivées devant la voiture, Caroline leur désigna l’arrière :

— Vous montez derrière, à votre âge, c’est mieux.

Julie se mordit les lèvres pour ne pas protester, Sylvie déjà bien éduquée par Héloïse, s’installa à la place désignée par la jeune femme.

Le voyage se passa bien, mis à part lors de la pause pipi décrétée par la jeune femme, Julie lui expliqua qu’elle n’avait pas envie, Caroline la regarda en souriant :

— On en a encore pour une bonne demi-heure, ne t’avise pas de me demander de m’arrêter avant.

Sylvie revenait des toilettes, Caroline lui jeta un regard noir :

— Tu as sali tes ballerines, tu aurais pu faire attention où tu marchais. Bon on est en retard, on réglera ça tout à l’heure.

Elle roulait depuis un moment quand la jeune femme jeta un regard dans le rétroviseur :

— Maman, qu’est-ce que tu as à te tortiller comme ça ?

Julie piqua un fard et bégaya :

— Non… non, rien Caroline…

— Tu te moques de moi, je suis sûr que tu as envie de faire pipi, pourquoi n’y as-tu pas été tout à l’heure ?

Julie détestait les toilettes publiques et elle avait pensé pouvoir tenir, mais l’envie devenait trop forte. Caroline avisa un chemin et se gara :

— Tu te dépêches !!

Julie regarda aux alentours il n’y avait rien pour se dissimuler aux regards, sa fille la toisa ironiquement :

— Tu as peur qu’on voit tes fesses, je peux te dire que c’est superflu, de toute façon tout le monde va les voir tout à l’heure ma chérie, je te garantis que tu vas te recevoir une fessée cul nu magistrale.

Honteuse, Julie s’accroupit à côté de la voiture, troussa sa jupe et baissa sa culotte, Caroline se régalait de l’humiliation de sa mère, Sylvie de son côté trouvait que cette jeune maîtresse était décidément aussi sévère qu’Héloïse.

La fin du voyage se passa en silence, deux fessées avaient été annoncées par Caroline.

Le gîte se trouvait au fond d’une vallée isolée des Pyrénées ariégeoises, on y arrivait après une dizaine de kilomètres de route très étroite, personne à l’horizon, Joanna les attendait sur le pas de la porte. Caroline gara la voiture, la jeune gardienne du refuge était grande ses longs cheveux bruns attachés en queue de cheval, elle fit une bise à la conductrice qui tomba immédiatement sous le charme.

Joanna jeta un regard à l’arrière de la voiture, les deux dames n’avaient pas osé sortir avant que Caroline ne les y autorise :

— Ah tu as amené tes deux chipies, Héloïse m’en a parlé hier.

— Oui, ça tu peux le dire le terme chipie est très adapté, elles ne perdent rien pour attendre. Allez les filles venez dire bonjour à Joanna.

En rougissant Julie et Sylvie sortirent de la voiture, la jeune hôtesse se mit à rire en les voyant habillées comme des adolescentes :

— Mais qu’elles sont mignonnes, elles sont à croquer, ça donne vraiment des idées.

Caroline souriait de la gêne de ses deux punies :

— On va passer rapidement aux travaux pratiques, il y a deux fessées qui chauffent. Vous montez vos sacs dans la chambre et vous redescendez fissa… Allez exécution.

Sylvie était la plus proche d’elle, une magistrale claque sur le derrière l’a fit démarrer.

Joanna leur montra l’escalier :

— Vous êtes dans la première chambre à droite.

Elle se tourna vers Caroline avec un petit sourire coquin :

— Tu as la chambre juste en face de la mienne…

L’allusion était transparente, Caroline en eu des petits picotements dans le bas-ventre.

Il faisait très beau, Joanna proposa de s’installer sur la terrasse, la vue était magnifique :

— Si j’ai bien compris tu as prévu de t’occuper de leurs derrières, autant profiter du panorama, quoi de mieux qu’une bonne déculottée en plein air.

Caroline appela les deux dames :

— Dépêchez-vous de descendre, si je dois aller vous chercher, ça va chauffer.

Sylvie et Julie ne tardèrent pas à sortir timidement du gîte, elles avaient toutes les deux les joues rouges, elles savaient pertinemment ce que Caroline avait l’intention de faire. Elles allaient chacune recevoir une fessée déculottée en plein air et en public.

Si Sylvie avait déjà goûté à la honte de se faire déculotter et rougir le derrière devant des inconnues, c’était nouveau pour Julie, jamais Caroline ne lui avait fait subir pareil humiliation. Qui plus est la spectatrice avait l’âge d’être sa fille et la punition se déroulerait devant le chalet, bien qu’il soit isolé, des éventuels randonneurs auraient une vue parfaite sur ses fesses dénudées.

Caroline regarda les deux dames déguisées en collégiennes avec un sourire moqueur :

— Alors mes chipies, je vous avais pourtant prévenue avant de partir que toute bêtise pendant le voyage vous vaudrait un petit séjour sur mes genoux. C’est à croire que vous aimez vous faire déculotter, vous n’avez pas pu vous en empêcher.

Julie et Sylvie regardaient leur pied, Joanna souriait, ravie de ce qui n’allait pas manquer d’arriver.

— Vous allez expliquer à Joanna pourquoi vous allez être punie, Sylvie à toi.

En rougissant la plus âgée des punies s’approcha, elle avait l’habitude de ces humiliations publiques :

— J’ai sali mes ballerines en marchant dans la boue…

— Très bien, viens ici !

Caroline retroussa la jupette et la coinça dans la ceinture, puis elle baissa la culotte sous les fesses et les claqua :

— Va te mettre le nez contre le mur, tu mets tes mains sur la tête. Julie à toi.

La mère de famille aurait voulu disparaître sous terre, elle n’osait pas lever les yeux vers les deux jeunes femmes qui la regardait un sourire ironique sur les lèvres, Caroline s’impatienta :

— Dépêche-toi un peu, de toute façon tu n’éviteras pas la fessée, elle risque juste d’être plus sévère.

— Je… euh…

Julie n’arrivait pas à parler, Caroline s’approcha la fit pivoter et lui claqua l’arrière des cuisses juste sous la jupe :

— Je vais t’aider si tu veux… ça te suffit ?

Julie surprise avait crié et sautillé sur place :

— Oui, oui Caroline, pardon… je n’ai pas été faire pipi quand tu me l’as demandé et j’ai fait arrêter la voiture ensuite.

La jeune femme se tourna vers Joanna :

— Malgré son âge maman se comporte comme une gamine, je la traite donc comme telle.

Joanna regarda la mère et la fille, son regard était explicite, jamais elle n’aurait imaginé ça :

— Tu, tu veux dire que Julie, c’est ta mère ? Et, et tu lui donnes la fessée ?

Caroline était satisfaite de son petit effet, ce n’était évidemment pas banal comme situation :

— Eh oui, il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée tu le sais et maman la mérite souvent. Allez viens un peu ici.

Elle avait saisi sa mère par la main, elle la bascula sans ménagement en travers de ses genoux, la jupette courte dévoila immédiatement le fond de la culotte, elle la retroussa rapidement et tapota le fessier tendu sous la fine culotte :

— Elle a une bonne paire de fesses, on peut la corriger sans problème. Alors ma chérie, pourquoi n’as-tu pas été faire pipi quand Caroline te l’a demandé ?

C’était la honte totale pour cette mère de famille autrefois si stricte, Caroline s’adressait à elle comme si elle était une gamine.

— La prochaine fois tu m’obéiras, je te garantis que tu n’es pas près de recommencer, de toute façon ce sera la fessée déculottée devant tous le monde.

Elle déculotta Julie d’un geste rapide, la large paire de fesse était serrée par l’angoisse, Joanna était ravie :

— Voilà ce que j’appelle un déculottage express, madame est prête, tu as raison de ne pas céder à ses caprices.

La fessée se mit à pétarader, avec la falaise toute proche, le bruit des claquements sur la peau nue semblaient se démultiplier, Julie pédalait dans le vide en pleurnichant, toute à la cuisson qui lui embrasait le derrière, elle ne songeait pas aux éventuels spectateurs, ni au bruit de sa correction :

— Non, non, aïe, aïe… ça brûle, pardon Caroline je ne recommencerai plus… aïe, aïe.

— J’espère bien que tu ne recommenceras plus, mais comme je veux en être sûr, je vais continuer un peu.

Le fessier était écarlate, Joanna en amatrice de fesses et de fessées appréciait le spectacle :

— Quelle jolie danse des fesses, ta maman est douée ma chérie.

Après cinq minutes de fessée ininterrompue, le derrière de Julie fumait littéralement, pour une première correction publique, Caroline avait voulu marquer le coup, en plus elle avait vraiment été agacée par le comportement de sa mère.

Sylvie avait écouté avec attention la correction, elle l’avait trouvée particulièrement sévère, les cris et les pleurs de Julie l’avait impressionnée, Joanna regarda la punie au coin :

— On dirait que madame craint pour son derrière, regarde comme elle serre les fesses.

Caroline fit relever sa mère et la conduisit à côté de Sylvie, elle coinça la jupe dans la ceinture et laissa la culotte entortillée autour des chevilles. Julie pleurait abondamment, sa fille lui claqua sèchement les fesses :

— Pleure en silence, tu n’as eu que ce que tu mérites.

Elle saisit l’autre punie par l’oreille et la tira vers le haut pour la faire marcher sur la pointe des pieds, de sa main libre elle lui claqua la croupe pour la faire avancer :

— Allez en piste, vilaine fille, je vais t’apprendre à faire attention à tes affaires.

Le spectacle de cette mamie les fesses à l’air et tenue par l’oreille tandis qu’elle sautillait au rythme des claques, était saisissant. Joanna en avait mouillé sa culotte.

Caroline s’était a nouveau installée sur une chaise, Sylvie se retrouva rapidement dans cette position qu’elle connaissait si bien, elle était déjà déculottée, son bon gros derrière était encore rosé des fessées reçues dans la journée,. La jeune femme baissa un peu plus la culotte et tapota la croupe étalée devant ses yeux, elle regarda Joanna :

— Maman a une belle paire de fesses, mais le popotin de Sylvie est vraiment confortable, il y a de la place pour claquer.

— Oui, c’est vrai, Héloïse m’en a souvent parlé, je comprends mieux maintenant que je le vois pour de vrai, elle doit se régaler.

La fessée avait commencé et Sylvie malgré son habitude ne put retenir ses cris et ses supplications, ses battements de jambes furent dignes de ceux d’une grande fille corrigée par sa maman :

— Alors tu feras attention maintenant ?

— Aïe, aïe, aïe, oui, oui mademoiselle, aïe… ça brûle…

La fessée se poursuivit jusqu’à son but ultime une dame en pleurs, affalée en travers des cuisses de Caroline. La croupe était cramoisie, Joanna s’approcha et posa sa main sur l’épiderme enflammé :

— Eh bien, ça c’est du panpan cucul, madame va sentir son derrière. Tu la mets au coin, je vais chercher quelque chose à boire.


Quand elle revint les deux punies étaient côte à côte, le nez collé contre le mur et les mains sur la tête, les culottes baissées laissaient voir deux derrières également rougis, c’était magnifique, les épaules se levaient de temps en temps signe qu’elles n’avaient pas fini de pleurer et les fesses se serraient, la cuisson devait persister.

Elles restèrent exposées ainsi jusqu’au repas puis elles purent se reculotter, la conversation roula bien évidemment sur la fessée déculottée, leur pêché commun.

Une fois que les deux dames déguisées en gamine eurent débarrassés la table, Caroline leur annonça le programme :

— Demain randonnée, les filles, il faut aller au lit tôt. Comme je tiens à ce que vous dormiez bien, vous allez prendre une bonne déculottée, on dort mieux avec les fesses rouges. Vous montez vous mettre en pyjama et vous redescendez pour le panpan cucul du soir.

Il commençait à faire frais, mais les deux jeunes femmes avaient mis une petite laine, les deux dames apparurent sur le pas de la porte, elles avaient chacune un pyjama d’été, le bas était un short et le haut un tee-shirt, celui de Sylvie était à petites fleurs et celui de Julie qui avait été choisi par Caroline était orné de nounours.

Caroline leur fit un petit signe du doigt :

— Venez un peu ici les chipies, je ne voudrais pas que vous preniez froid on va vous réchauffer les fesses.

Elle se tourna vers Joanna :

— Tu vas m’aider, laquelle veux-tu déculotter ?

La jeune gardienne du refuge, dévisagea l’une après l’autre les deux futures punies qui se tenaient devant elle, les bras ballants. Fesser une mamie comme Sylvie, c’était tentant, totalement inattendu et un peu transgressif, mais elle tourna son regard vers Julie, le magnifique et large fessier de la mère de Caroline dansait encore devant ses yeux. C’était de loin le plus appétissant et puis elle savait que Julie avait été une redoutable fesseuse, quel plaisir que de la rabaisser et de lui faire subir l’humiliation de la fessée déculottée.

— Je vais m’occuper du derrière de Julie si tu permets.

La mère de famille piqua un fard, elle n’avait encore jamais reçu ce châtiment honteux par une autre main que celle de sa fille, Joanna lui faisait déjà un petit signe du doigt :

— Viens un peu me montrer tes fesses ma petite Julie.

Cette façon de lui parler eut raison de la quarantenaire qui sentit les larmes lui monter aux yeux, elle jeta un regard implorant à sa fille, celle-ci en souriant appelait Sylvie :

— Sylvie, en piste ! Quant à toi ma petite maman je te conseille d’obéir à Joanna rapidement.

Les deux dames se retrouvèrent allongées tête bêche sur les genoux des jeunes femmes, en levant la tête, elle pouvait apercevoir le fessier de leur compagne d’infortune.

Joanna se mit à rire devant ce spectacle peu banal :

— La lune n’est pas encore levée, mais on a de la chance on va en avoir deux d’un seul coup.

Les deux belles lunes apparurent donc simultanément, les culottes de Pyjama glissèrent sur les fesses pour s’arrêter aux genoux. Caroline tapota les fesses de Sylvie :

— Il faut vraiment les réchauffer.

Joanna explorait avec gourmandise le large fessier de Julie :

— La plus vilaine c’est quand même ta maman, je pense qu’elle mérite la brosse.

Julie gémit doucement en entendant la sentence tandis que Caroline approuvait :

— Oui vas-y, son derrière n’y a pas goûté depuis un moment, ça va lui faire du bien.

Joanna avait tout prévu, elle sortit de sa poche une brosse à cheveux et caressa le derrière encore rosé avec le dos en bois :

— Tu vas voir ma petite Julie après la fessée de Joanna tu iras faire pipi quand on te le dira.

Le rappel de cet épisode n’avait d’autre but que de ramener Julie au rang de gamine, celle-ci se mit à pleurer.

— Garde tes larmes pour tout à l’heure ma petite chérie.

Caroline leva la main pour donner le signal du début de la fessée et bientôt dans le silence de la montagne retentit le bruit caractéristique des claques sur la peau nue, mêlé aux cris puis aux pleurs des punies.

Chacune des fesseuses voulaient prouver à l’autre son talent, les fessiers de Julie et Sylvie en subirent les conséquences. Quand la fessée cessa, ils étaient tous les deux d’un beau rouge profond, cependant celui de Julie virait sur le carmin. Les deux dames sanglotaient de concert, elles furent remises sur pied, les culottes de pyjama remontées à mi-cuisse. Caroline prit la direction des opérations :

— Maintenant au dodo, vous restez fesses à l’air pour le moment, arrivé à l’étage, elle claqua les deux fessiers :

— Vous allez faire pipi et vous lavez vos dents, dépêchez-vous, je reviens.

Joanna avait assisté à la montée de l’escalier des deux paires de fesses écarlates, elle en était tout émoustillée :

Caroline lui adressa un regard enamouré :

— On va pouvoir s’occuper de nous quand les deux chipies seront au lit, je ne pense pas vu l’état de leur derrière qu’elles vont nous déranger.

Quelques instants plus tard les deux dames étaient au pied de leur lit les fesses à l’air, Caroline s’installa devant sa mère et la bascula en travers de ses genoux, puis elle écarta les fesses et explora son entre-cuisse :

— Je crois que tu avais vraiment besoin de cette déculottée ma petite maman, tu recommenceras à désobéir ?

— Non, non Caroline, pardon.

La jeune femme caressa les fesses écarlates et remonta la culotte :

— J’espère bien, maintenant au lit et je ne veux plus t’entendre.

Julie se glissa sous les draps, tandis que Sylvie subissait le même examen de son intimité, la jeune femme lui tenait les fesses largement écartées :

— Et toi ma petite Sylvie, tu feras attention à tes affaires :

— Oui, mademoiselle Caroline.

La culotte cacha les rondeurs écarlates de la mamie qui elle aussi se glissa dans son lit.

Caroline ferma la porte après avoir éteint la lumière :

— Si j’entends quelque chose, je vous garantis que vous ne pourrez pas vous asseoir demain !

Cette dernière recommandation était inutile, après les punitions de la journée, les deux dames n’avaient aucune envie de subir à nouveau les foudres de la jeune femme.










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