samedi 8 novembre 2025

randonnée fesses rouges 2

 Fessée en plein air


Caroline était redescendue dans la salle commune du gîte, Joanna l’attendait lovée dans le canapé, elle lui fit un petit signe du doigt :

— Viens un peu là petite chipie.

Un peu surprise de se faire appeler ainsi la jeune femme s’approcha en rougissant légèrement, depuis son arrivée, elle était tombée sous le charme de la gardienne du refuge, son regard bleu profond, ses manières sportives, ses formes, tout chez elle l’attirait, Joanna s’était relevée, dès que Caroline fut à sa portée, elle lui prit la main et la bascula en travers de ses cuisses, celle-ci poussa un petit cri et essaya de résister, mais Joanna était musclée, elle la tenait solidement :

— Il faut que je puisse comparer ton derrière avec celui de ta maman.

Caroline portait un legging très moulant, les doigts de Joanna se glissèrent sous la ceinture, en descendant il entraîna la culotte avec lui, la jeune femme serra les fesses en sentant l’air frais sur son postérieur dénudé.

En souriant, Joanna caressa les fesses de son invitée, une légère chair de poule recouvrait l’épiderme d’un blanc immaculé :

— On dirait que mademoiselle a froid aux fesses, j’ai un excellent moyen pour te les réchauffer, je crois que tu le connais.

Caroline contracta ses fesses, sa raie médiane formait une ligne droite entre ses jolies fesses pommées. Joanna tapota le derrière, elle appréciait cette croupe bien rebondie, certes la fessée qu’elle avait administrée à Julie avait été un moment très agréable, cette dame gardait un fessier tout à fait consommable, celui de Sylvie l’avait aussi comblé. Voir cette dame âgée se faire déculotter comme une gamine et présenter ses fesses joufflues à la main correctrice de Caroline l’avait particulièrement excitée.

Mais ce soir elle comptait déguster ce derrière encore juvénile qui s’offrait à elle. Elle leva la main et commença à claquer sèchement, mais pas trop fort quand même, la jolie croupe. Caroline se mit à gigoter et à gémir doucement, elle avait eu l’habitude de recevoir de magistrale fessée par sa mère, c’était une époque révolue, maintenant c’était au tour de Julie de lui présenter ses fesses. Mais malgré la sévérité des corrections administrées par sa mère, elle avait développé une certaine attirance pour ce châtiment enfantin. La façon qu’avait Joanna de lui claquer les fesses en remontant comme pour les faire rebondir était nouveau pour elle, sa main s’attardait aussi de temps en temps caressant l’épiderme échauffé. Caroline sentit son désir monter, elle tortillait sa croupe de plus en plus lascivement, Joanna se mit à rire :

— On dirait que ça te plaît ce petit panpan cucul ?

Elle se mit à claquer plus fort, la punie se mit à gémir :

— Aïe, aïe… non, non, Joanna… oh oui…

La main de la gardienne s’était arrêtée de claquer et ses doigts écartèrent les fesses et descendirent entre les cuisses :

— Oh oui, je vois que tu aimes vraiment ça, petite coquine, ton joli petit cul est adorable maintenant qu’il est tout rouge.

Ses caresses se firent plus précises et Caroline ahana :

— Oh oui, encore… oui…

Joanna la fit relever en lui tapotant les fesses :

— On va aller dans ma chambre on sera plus à l’aise.

Caroline commença à remonter son legging, mais la voix impérieuse de sa nouvelle maîtresse l’arrêta :

— Tu restes cul nu ma chérie, tu ne vas pas me priver du plaisir de voir tes petites fesses se tortiller devant moi, allez en route !

Elle administra une magistrale claque en plein milieu du derrière rougeoyant ce qui eu pour effet de précipiter la marche un peu honteuse de Caroline, obligée de traverser tout le refuge, les fesses à l’air.

En passant devant la chambre des deux dames, Joanna s’arrêta pour tendre l’oreille, aucun bruit ne se faisait entendre, les deux paires de fesses bien rouges devaient déjà dormir :

— C’est sûr qu’avec la cuisson de leur derrière tes deux chipies vont faire de beaux rêves.

Caroline entra dans la chambre, Joanna à sa suite :

— Allez vite, je te veux toute nue…

La jeune femme rougit légèrement, certes elle n’était pas farouche et elle avait connu de nombreuses expériences, mais Joanna l’impressionnait. De son côté, celle-ci avait quitté tous ses vêtements en un clin d’œil, trouvant que Caroline traînait, elle la courba sous son bras et lui administra une courte mais cuisante fessée :

— Il va falloir que tu t’habitues à m’obéir ma chérie, quand je dis toute nue, c’est tout de suite et pas dans cinq minutes.

Caroline trépigna sur place, mais son excitation était telle qu’elle ne ressentit presque pas la brûlure des claques, elle quitta enfin ses vêtements. Joanna s’était allongée sur le lit, elle désigna sa vulve gonflée :

— As toi de jouer ma chérie et soit habile sinon gare à tes fesses.

Caroline se mit à quatre patte par-dessus sa maîtresse lui présentant son derrière et elle se mit à mordre et à lécher les lèvres de Joanna qui ne tarda pas à gémir à son tour, bientôt Caroline se laissa glisser sur elle pour que la jeune femme puisse à son tour s’occuper de son sexe. Après quelques minutes de ce soixante-neuf fougueux, Joanna repoussa doucement Caroline :

— Tu te débrouilles vraiment bien ma petite, on va passer à autre chose.

Elle se leva, ouvrit un tiroir de sa commode et en tira un god ceinture, Caroline n’avait encore jamais goûté à ce genre d’instrument, elle frémit en voyant la taille de l’engin, mais elle n’avait pas son mot à dire, d’un doigt impérieux, Joanna lui fit signe de se tourner tout en s’harnachant :

— Mets-toi à quatre patte et présente-moi tes jolies fesses.

Complètement subjuguée, la jeune femme se mit dans la position requise, la tête sur le lit, ses jolies fesses rouges ouvertes et tendues vers le ciel. Joanna s’approcha et commença à titiller la petite rondelle frémissante, elle y posa sa langue puis avec son doigt elle força un peu le passage :

— C’est bien ma chérie, ton petit cul est prêt à goûter à mon petit dessert.

Elle se positionna derrière Caroline, posa le god sur l’anus et doucement poussa son bassin en avant pour le faire pénétrer, la jeune femme se mit à gémir :

— Oh non, madame, c’est trop gros… Oh non… Oui… oui.

L’anus s’était ouvert et maintenant Joanna faisait de lent va et vient pour amener son amante jusqu’à la jouissance. Son caractère dominateur appréciait ces moments où elle maîtrisait complètement sa partenaire, elle se mit à jouir en même temps que Caroline.

Elle continua à fouiller la jeune femme qui gémissait de plaisir, elle la voulait complètement soumise à son emprise, c’était elle qui décidait quand cesserait la pénétration.

Elle se retira enfin et se coucha à côté de Caroline :

— C’est bon n’est-ce pas ?

Caroline se blottit contre elle :

— Oh oui…

Joanna se mit à rire et la retourna à nouveau sur le ventre :

— Maintenant au dodo, tu dois marcher demain, une bonne petite fessée pour bien dormir.

Elle administra une courte, mais vigoureuse fessée à la jeune femme qui gigota et gémit, mais ne chercha pas à éviter les claques. Son derrière était écarlate quand Joanna tira les draps sur elle et se coucha à ses côtés.

— Tu as vraiment des fesses adorables ma chérie, attends-toi à les avoir souvent rouges si on continue à se voir.



Joanna avait habitude de se lever tôt, elle tira sur le drap doucement, Caroline dormait, nue comme un vers, son petit derrière rebondi était vraiment tentant, la jeune femme le caressa doucement, son amante ouvrit un œil :

— Bien dormi ? Attends-moi là je reviens.

Elle poussa la porte de la chambre des deux dames qui dormaient encore, sans gêne elle ouvrit grand les rideaux et tira sur les couvertures :

— Allez debout les paresseuses, je vous attends dans deux minutes en bas, dépêchez-vous sinon gare à vos fesses.

Instruite par l’expérience cuisante d’hier soir, Julie et Sylvie descendirent en pyjama dans la salle, Joanna leur jeta un regard gourmand :

— C’est bien, vous êtes obéissante, comme vous allez faire de l’exercice aujourd’hui, je vous ai prévu un petit réveil musculaire.

Elle s’approcha des deux dames qui ne comprenaient rien, elle les saisit chacune par une oreille et les conduisit contre le mur :

— Mettez vos mains sur la tête et le nez contre le mur.

Habituée désormais à obéir sans discuter, Julie et Sylvie prirent la position requise. Passant derrière Sylvie, Joanna saisit la ceinture de la culotte du pyjama et d’un geste sec, elle la descendit jusqu’aux genoux, elle fit de même avec la mère de Caroline. Les deux larges fessiers avaient quasiment retrouvé leur blancheur, il subsistait malgré tout un léger voile rose du plus bel effet, les fesses s’étaient contractées, mais aucune des deux punies n’avait bougé :

— Vous restez là jusqu’à ce que je revienne, en silence et sans bouger !

Elle remonta dans sa chambre et ferma la porte, Caroline l’attendait sagement couchée sur le ventre exposant sa mignonne paire de fesses, elle la força à se lever et s’installa au bout du lit, puis fit basculer la jeune femme en travers de ses cuisses :

— Comme j’ai dit aux deux chipies, avant de partir en randonnée, il faut faire un réveil musculaire et pour la marche, c’est les muscles fessiers qui sont importants.

Elle leva la main et commença à claquer joyeusement la croupe immaculée, elle prenait soin d’administrer équitablement les claques sur toute la surface, en bas, au milieu, puis sur le haut de la fesse, enfin sur le côté, d’abord sur la droite, puis sur la gauche. Elle claqua aussi le haut des cuisses, la fessée dura bien deux minutes et à un rythme soutenu, le derrière de Caroline était écarlate quand elle le caressa, celle-ci s’était retenu de crier, mais ses yeux étaient humides quand elle put se relever :

— Voilà une bonne paire fesses bien chaudes, prête à affronter la montagne, reculotte-toi, on va s’occuper des deux chipies.

Quand elles arrivèrent dans la salle, Caroline ne put retenir un petit cri de surprise en voyant ses deux punies déjà déculottées, les fesses crispées par l’angoisse :

— Quelle bonne surprise, tu me gâtes, elles sont prêtes pour le réveil musculaire.

Joanna lui lança un sourire coquin :

— Oui, et comme hier j’ai apprécié de rougir les fesses de ta maman, ce matin je vais me faire un plaisir de m’occuper des bonnes grosses fesses de Sylvie.

Elles s’approchèrent et prirent chacune leur punie par l’oreille, Caroline ne pensait plus à son derrière brûlant :

— Allez en piste, tu vas voir ma petite maman chérie comme ça fait du bien un réveil de tes muscles fessiers.

Comme la veille, elles s’installèrent face à face pour que les punies puissent profiter du spectacle de la fessée de leur compagne d’infortune, Caroline regarda Joanna :

— Main ou brosse ?

— Les deux ma chérie, elles ont vraiment de bonnes grosses fesses toutes les deux, on commence avec nos mimines et puis on finit de leur rôtir le derrière avec nos brosses.

Le programme se déroula à la lettre, Julie et Sylvie braillèrent comme deux grandes filles sur les genoux de leur maman, surtout quand les brosses à cheveux entrèrent en action.

Sylvie découvrait une nouvelle fesseuse après Héloïse et Caroline et il lui semblait qu’elle fessait encore plus fort, son postérieur n’était plus qu’une boule de feu.

Quant à Julie, elle ne découvrait pas la sévérité de sa fille, mais recevoir encore une fois une déculottée publique était toujours aussi humiliant, surtout que Caroline en rajoutait :

— Tu la sens bien cette fessée maman chérie ? Ton derrière est vraiment mignon, tu vas voir comme tu vas bien marcher avec tes fesses bien chaudes. Alors dis-moi elle est bonne cette déculottée ?

Julie pleurait, au milieu des claques elle réussit quand même à articuler :

— Oui, Caroline, oui je la sens, ça brûle, s’il te plaît, non aïe.

— Eh oui ça brûle la fessée déculottée de Caroline, tu as honte j’espère de te faire déculotter et fesser par ta fille. Allez encore un peu et ton derrière sera à point.

La correction des deux dames était maintenant terminée, Joanna les fit asseoir, sur le banc de la grande table, mais elle ne les autorisa pas à se reculotter. Le déjeuner fut animé, les deux jeunes comparaient la qualité des fessiers de leur punie.

— C’est vrai que malgré son âge, notre Sylvie a encore un bien beau derrière parfaitement fessable, Héloïse m’en avait parlé, mais c’est quand même mieux de pouvoir lui administrer une bonne fessée pour juger.

— Oui, tu as raison, quant à ma petite maman, tu as pu constater par toi-même hier soir que son popotin est parfaitement entretenu. J’ai d’ailleurs constaté que depuis que je lui baisse la culotte régulièrement il est devenu plus ferme.

— Ça c’est sûr, il n’y a rien de mieux.

Il était temps de se préparer, Caroline accompagna les deux dames et sortit de la valise de Julie deux mini-shorts très moulant, Elles regardèrent la tenue prévue par leur jeune maîtresse avec effarement, celle-ci souriait :

— Ça n’a pas l’air de vous faire plaisir, mais c’est comme pour la mini-jupe hier, Julie tu sais comment ça s’est terminé et toi Sylvie tu as vu aussi n’est-ce pas ?

Sans un mot, elles quittèrent leur pyjama enfilèrent leur culottes de gamines puis le short rose, il était si court que la base des fesses était visible et si moulant que la forme des derrières était mise en valeur, avec la raie centrale bien apparente.

Elles se regardaient dans la glace, c’était à la fois un peu ridicule et terriblement excitant que le spectacle de ces deux dames d’âge mûr habillées de la sorte, un tee-shirt blanc compléta leur tenue.

Caroline s’habilla de son côté, elle portait également un short, mais beaucoup plus long et ample, il cachait un peu ses formes, Joanna lui tapota gentiment le derrière :

— On verra ça de plus près ce soir ma petite, on ne voit rien pour le moment.

Caroline lui fit un petit clin d’œil :

— Comme tu voudras ma chérie. Allez les filles on y va.

Julie et Sylvie avaient chacune un petit sac à dos, la rougeur de la fessée matinale était parfaitement visible à la lisière du short, elles sortirent du gîte en regardant avec un peu d’inquiétude en direction du chemin. Pas de randonneurs en vue, le fessier de Julie était à sa portée, la main de Caroline claqua la base des fesses :

— En route et on ne traîne pas, Julie tu te mets devant et tu avances !

Le chemin progressait au milieu des rhododendrons, c’était magnifique, la pente s’éleva rapidement et le rythme de Julie s’en ressentit. Caroline les arrêta :

— Mes petites, il va falloir marcher un peu plus vite, vos muscles fessiers sont bien échauffés, mais si ce n’est pas suffisant je vais m’occuper de vos derrières.

Elle sortit un petit couteau de son sac et avisa un buisson de noisetier, elle coupa deux badines assez longues qu’elle effeuilla avec attention, elle montra les baguettes aux deux dames :

— Si ça peut vous aider à être un peu plus rapide, je ne vais pas hésiter à m’en servir.

Et joignant le geste à la parole, elle cingla la base des fesses de Sylvie découverte par le min-short, celle-ci poussa un cri et sautilla sur place, Caroline se mit à rire :

— Eh oui ma chérie, ça brûle. Julie approche.

La mère de famille en rougissant fit un pas vers sa fille, celle-ci lui fit un signe :

— Tourne-toi.

La badine cingla le derrière au même endroit et la réaction de Julie fut aussi excitante pour la jeune femme.

— Parfait, allez en route.

Un bruit de rires se fit entendre derrière elles, c’était un groupe d’adolescente qui montaient derrière elle, elles saluèrent les trois randonneuses, dès qu’elles les eurent dépassées, elles les entendirent pouffer, le spectacle des deux bons gros fessiers moulés dans les mini-shorts les avaient mises en joie.

Stimulée par la badine de noisetier, les deux punies se remirent en marche, de temps en temps Caroline cinglait soit le derrière couvert par le short, soit les cuisses ou les mollets. A chaque fois la réaction de celle qui était ainsi fessée faisait la joie de la jeune femme, elle criait et sautillait sur place puis accélérait le pas.

Au bout d’une heure de marche, Julie et surtout Sylvie qui n’avait pas trop l’habitude de marcher, commencèrent à montrer des signes de fatigue :

— On va faire une pause, vous buvez un peu et je vais m’occuper de vous.

Les deux dames s’étaient assise sur un rocher un peu à l’écart du chemin, la dernière phrase ne manqua pas de les inquiéter, Caroline fit un petit signe à sa mère :

— Viens ici et tourne-toi.

Elle saisit la ceinture du short et le baissa à mi-cuisse en même temps que la culotte :

— Tu te mets à genoux les mains sur la tête que je puisse surveiller ton derrière, ça va lui faire du bien de prendre l’air.

Julie s’agenouilla sur l’herbe, ses fesses rouges étaient directement dirigées vers le chemin, Caroline s’adressait maintenant à Sylvie :

— Tu as vraiment besoin d’être stimulée ma grande, puisque la badine ne suffit pas, je vais revenir aux bonnes vieilles méthodes, une bonne fessée déculottée en plein air va te remettre en forme.

Sylvie était résignée, depuis le début de ce week-end, elle savait que ses fesses allaient souvent prendre l’air, mais recevoir cette correction ici juste au bord du chemin de randonnée, c’était vraiment trop, elle fondit en larmes :

— Oh non s’il vous plaît mademoiselle Caroline, pas ici…

La jeune femme perverse se mit à rire :

— Ah oui ? et pourquoi donc pas ici, tu as peur qu’on voit ton bon gros derrière bien rouge ? Figure-toi que c’est fait pour ça ma chérie pour que la punition soit encore plus profitable. Et je t’annonce que cette récrimination va te valoir une fessée supplémentaire, alors tu cesses de pleurnicher et tu m’amènes immédiatement tes bonnes grosses fesses que je leur fasse prendre l’air.

Les joues aussi rouges que son popotin après un passage sur les genoux d’Héloïse, Sylvie s’approcha, elle jeta un regard inquiet en direction du chemin, il n’y avait aucun bruit à l’horizon. Caroline s’était installée sur un rocher, elle la fit basculer en travers de ses cuisses, le mini-short glissa sur le plantureux postérieur en même temps que la culotte, la jeune maîtresse était comblée, les deux belles paires de fesses de ses deux soumises étaient maintenant exposées à l’air frais de la montagne.

Elle caressa les deux globes serrés par l’angoisse :

— Allez détends-toi ma chérie, tu sais bien que c’est moins douloureux quand tes fesses sont relâchées, ne me dit pas qu’Héloïse ne t’a jamais flanqué une fessée en plein air.

Sylvie s’en souvenait parfaitement et son derrière aussi d’ailleurs, un jour qu’elle avait fait la tête lors d’une promenade, sa jeune maîtresse n’avait pas hésité à s’asseoir sur un banc puis l’allonger sur ses genoux et la déculotter illico, elle n’avait pas osé crier pour ne pas attirer l’attention. Le bruit de la fessée dans le silence du parc lui avait paru monstrueux et elle s’était imaginée que de nombreuses personnes avaient été au courant de son infortune. La punition n’avait pas été longue mais ce séjour, couchée en travers des cuisses d’Héloïse les fesses à l’air, lui avait paru durer une éternité.

Elle était exactement dans la même position et la même tenue, la première claque la surpris par sa sécheresse, visiblement Caroline n’avait pas l’intention de lui donner un petit panpan cucul, non c’était une vraie bonne fessée déculottée qui s’annonçait. Sylvie ne put retenir longtemps ses cris et ses pleurs, le battement de ses jambes était éloquent. Ce qui devait arriver arriva, une dame d’un certain âge fit son apparition sur le chemin. Elle s’arrêta, interloquée par ce spectacle singulier :

— Ça par exemple, pour une fessée, c’est une belle fessée… Quelle magnifique paire de fesses, mais ne vous interrompez pas mademoiselle, je crois que vous n’avez pas fini de corriger cette chipie.

En effet Caroline avait été un peu surprise par cette apparition et sa main était restée posée sur la fesse droite de la punie. Encouragée par le sourire de la randonneuse, elle reprit la correction :

— Non, en effet, cette chipie, comme vous dites, a une bonne paire de fesses, et il lui faut de bonnes fessées pour que ça soit efficace.

Elle termina la punition par une avalanche de claques très fortes qui firent hoqueter la pauvre Sylvie. Quand la fessée cessa, elle resta affalée en travers des cuisses de sa jeune maîtresse, pleurant comme une madeleine. Elle n’avait même pas conscience d’avoir reçu une fessée déculottée en public, seule importait la cuisson qui embrasait sa croupe.

La randonneuse s’approcha en souriant :

— Ça fait vraiment très longtemps que je n’ai pas assisté à une fessée aussi magistrale, je vous félicite mademoiselle, c’est assez rare à votre âge d’avoir une telle dextérité. Ce fessier me parait cuit à point, j’aimerais bien voir à qui appartient cette magnifique paire de fesses.

Sylvie avait entendu la fin de la phrase, elle se rendit compte que la spectatrice en plus de ses fesses allait voir son visage. Caroline lui claqua le derrière :

— Allez debout, j’espère qu’après cette fessée tu ne vas plus lambiner.

Elle se redressa, elle aurait tellement voulu frotter ses fesses, elle baissa la tête pour ne pas croiser le regard de la dame qui avait assisté à son humiliant châtiment :

— Tu pourrais dire bonjour !!

Le regard amusé de la dame était encore plus terrible pour cette dame âgée, la culotte à mi-cuisse et le derrière écarlate.

— Bon… Bonjour madame…

— Bonjour mademoiselle, je pense que vous l’aviez mérité cette fessée, tournez-vous.

Sylvie comme un automate pivota et présenta sa croupe cramoisie à cette inconnue, Lucie s’approcha et posa sa main sur le derrière de Sylvie :

— Ça va la cuire un moment, vous devriez lui laisser les fesses à l’air.

Elle avisa Julie qui exposait toujours son derrière dénudé :

— Et celle-ci, elle n’a pas droit à un petit panpan cucul ?

Caroline se mit à rire, mise en confiance par le naturel de cette spectatrice, elle décida de clouer sa mère au pilori :

— Non, pas pour le moment, maman nous expose son derrière c’est une première punition, elle aura droit à sa fessée à la prochaine pause, c’est prévu.

L’annonce de la qualité de la dame à genoux, mains sur la tête et les fesses à l’air fit son petit effet, Lucie regarda alternativement le large fessier encore rouge et cette jeune femme souriante.

Caroline était satisfaite, elle claqua les fesses cramoisies de Sylvie :

— Va te mettre à côté de Julie et cesse de pleurnicher.

La dame décida de se présenter :

— Je manque à tous mes devoirs, bonjour je m’appelle Lucie, j’habite dans la vallée et comme vous l’avez deviné j’adore déculotter des dames pour leur flanquer la fessée.

Caroline se présenta à son tour et elles s’assirent sur un rocher pour discuter tout en contemplant les deux beaux derrières.

La jeune femme expliqua la situation des deux dames qui l’accompagnaient et la façon qu’elle avait de les faire filer droit :

— Vous êtes logées où ?

— On a passé la nuit chez Joanna.

Un sourire coquin éclaira le visage de la randonneuse :

— Cette chère Joanna, je lui ai tout appris, je peux vous dire qu’elle a eu souvent le derrière bien rouge pour remonter à son refuge, mais maintenant elle se débrouille très bien, ça claque souvent et sévèrement chez elle.

Lucie expliqua qu’elle était physiothérapeute et qu’elle avait exercé pendant de nombreuses années en suisse où elle avait été initiée aux délices des rapports féminins et de la fessée déculottée. Depuis son installation dans la région elle s’était rendu compte que trouver des amatrices de fesses rouges n’était pas très compliqué, elle avait un carnet d’adresse bien fourni. Elle recrutait aussi parmi sa patientèle et la fessée déculottée faisait maintenant partie de son arsenal thérapeutique.

Caroline lui expliqua le but de leur randonnée et Lucie qui allait un peu plus loin proposa de faire un bout de chemin ensemble. Les deux punies furent remises sur pied et elles eurent la permission de se reculotter, la nouvelle amie de Caroline apprécia la forme des shorts :

— Comme c’est mignon, tu as trouvé ça où ?

Caroline lui donna l’adresse sur internet, Lucie se promit de s’en procurer pour couvrir le fessier de quelques-unes de ses petites amies. Caroline approuva en riant :

— En plus quand elles viennent de se prendre une bonne fessée, tout le monde est au courant même si elles sont reculottées.

En effet la rougeur dépassait largement sur la base des fesses et le haut des cuisses, surtout pour Sylvie, attestant de la sévérité de la punition qu’elle venait de recevoir. Les deux dames en mini-short avaient été bien stimulées par la mise à l’air de leur rondeur et elle marchèrent d’un bon pas jusqu’à l’embranchement où le chemin de Lucie quittait le leur. Caroline jeta un œil à la carte :

— On est plus très loin, on va faire la deuxième pause, maman va avoir droit à son panpan cucul, si tu veux y assister ?

Lucie ne pouvait résister à une proposition si alléchante :

— Avec plaisir ma petite Caroline, c’est la première fois que je vais voir une mère de famille corrigée par sa fille, ça ne se refuse pas.

Elle s’installa sur un rocher et Caroline sur une souche d’arbre :

— Sylvie, tu te déculottes et tu te mets à genoux les mains sur la tête comme Julie tout à l’heure, ça va faire du bien à ton derrière de prendre l’air.

Lucie regarda en souriant la dame âgée baisser son short et sa culotte jusqu’à mi-cuisse :

— C’est vrai que ces bonnes grosses fesses sont magnifiques, c’est vraiment un régal.



Caroline faisait un petit signe à sa mère, Julie était maintenant résignée, elle s’approcha :

— Allez maman chérie en position, c’est à ton tour de nous montrer tes fesses, tu vas voir comme ça stimule une fessée en pleine montagne.

En un instant la maman de quarante-cinq ans se retrouva le nez contre le sol, les jambes pendant de l’autre côté et les fesses pointées vers le ciel. Sans aucune considération pour son âge, comme elle l’avait fait pour Sylvie, elle glissa ses doigts sous la ceinture du mini-short et le fit glisser sur le large derrière, elle ne s’arrêta pas sous les fesses comme l’espérait la punie, elle la déculotta largement en baissant le short et la culotte jusqu’aux genoux.

— Voilà, cul nu comme une vilaine fille, prête pour la bonne fessée de Caroline.

La correction débuta immédiatement, les claques étaient distribuées sur toute la surface du fessier à un rythme soutenu et les mouvements des jambes et des fesses ne laissaient guère de doute sur leur efficacité. Julie avait crié dès le début de la punition et elle termina en pleurs comme Sylvie.

Caroline la garda un moment couchée dans cette position humiliante, d’abord pour qu’elle se calme et ensuite pour profiter du spectacle de ses fesses cramoisies qui se serraient et s’ouvraient au rythme des sanglots de la mère de famille ramenée au rang d’une grande fille punie par sa maman.

Lucie était comblée, sa randonnée était vraiment une réussite, Caroline avait installé les deux punies à genoux côte à côte, le fessier de Sylvie était d’un rouge un peu moins soutenu que celui de Julie. La physiothérapeute en fit la remarque à la jeune femme :

— Tu as raison, tu veux égaliser les couleurs.

La randonneuse n’en demandait pas temps, elle fit relever Sylvie, posa son pied sur un rocher et la courba sur sa cuisse, la dame âgée se rendit compte rapidement qu’elle avait affaire à une spécialiste, elle se mit à trépigner sous la brûlure, Lucie souriait en s’appliquant à redonner de bonnes couleurs à la large croupe. Au bout d’un moment, trouvant que Sylvie gigotait trop, elle la ceintura et la fit basculer vers l’avant afin que ses pieds quittent le sol :

— Vas-tu t’arrêter de gigoter ! Crois-moi quand je donne la fessée, elle est toujours cuisante et celle-ci tu vas t’en rappeler !

En effet la correction fut magistrale, les fesses de Sylvie venaient de faire la connaissance d’une nouvelle main, Lucie la reposa par terre et Caroline fit relever sa mère et la plaça juste à côté. Les deux fesseuses se mirent à rire, la couleur des deux paires de fesses étaient vraiment équivalentes.

— Deux belles lunes rouges, je te parie qu’elles vont finir la montée en vitesse. Bon je te laisse, si par hasard tu as envie que je fasse une séance ma physiothérapie spéciale à ta maman ou à Sylvie n’hésite pas, Joanna te donnera mes coordonnées.

Lucie fit une bise à Caroline et lui tapota le derrière et lui souffla à l’oreille :

— Je peux aussi m’occuper de toi…

Caroline rougit un peu, décidément entre Joanna et Lucie ça faisait deux montagnardes qui s’intéressaient à ses fesses.

Elle fit reculotter Julie et Sylvie et leur administra à chacune une solide claque au milieu du derrière pour les inciter à se presser.

Comme Lucie l’avait prévu, elles arrivèrent rapidement au but de la randonnée, un petit lac d’altitude, il n’y avait quasiment personne, seulement trois randonneuses installées de l’autre côté du lac.

Caroline avisa un endroit à l’écart du chemin avec de l’herbe bien confortable et quelques rochers pour s’asseoir :

— On va manger un morceau et ensuite je vais m’occuper de vos deux bons gros derrières mes chéries…

Julie et Sylvie se doutaient depuis le début du week-end qu’il serait cuisant, mais elles n’avaient pas pensé que leur jeune maîtresse serait aussi perverse

Elles sortirent leur sandwich des sacs et mangèrent de bon appétit ce qui fit rire la jeune femme :

— Eh bien, je ne sais pas si c’est la marche ou la fessée, mais vous avez l’air d’avoir faim.

Dès qu’elles eurent fini, elle leur désigna la pelouse :

— Vous vous allongez là sur le ventre, vous allez faire une petite sieste à la manière de Caroline.

L’endroit choisi était une sorte de dôme, la tête et les pieds des deux dames étaient plus bas que les fesses qui étaient ainsi parfaitement exposées, moulées dans le tissu rose du mini-short. Caroline déculotta soigneusement sa mère et Sylvie, abaissant le short jusqu’aux genoux, la culotte avait suivi le même chemin.

Les deux larges et beaux fessiers étaient encore bien rouges des fessées matinales, Caroline fouilla dans son sac et en sorti deux gros suppositoires enveloppés dans du sopalin humide, elle les passa sous le nez des deux dames déculottées :

— Regardez le cadeau de Joanna spécialement pour vous, un bon petit suppo au gingembre que vous allez garder pendant toute la sieste.

Sylvie avait déjà goûté à cette friandise comme l’avait appelé Héloïse, mais c’était une nouveauté pour Julie.

Caroline décida de commencer par la plus âgée, elle se mit à genoux à côté d’elle et avec deux doigts écarta largement les deux grosses fesses rouges, le petit trou de Sylvie apparu, il palpitait légèrement signe de l’angoisse et de la honte de cette mamie d’être traitée ainsi :

— Détends-toi ma grande, tu sais ce que m’a dit Héloïse, si tu n’obéis pas à tatie Caroline tu auras droit à une semaine fesses rouges, tu ne voudrais pas que je lui dise que tu as été vilaine.

Instantanément les deux larges fesses se relâchèrent et la raie médiane s’écarta un peu plus.

— Oh non mademoiselle Caroline s’il vous plaît ne dites pas ça à mademoiselle Héloïse, regardez, je suis sage.

La perverse jeune femme était ravie de la soumission de cette dame de soixante-dix ans qui s’adressait à elle en gémissant comme si elle était une gamine. Elle humecta son doigt et le posa sur l’anus palpitant, elle le titilla un peu et le força à s’ouvrir :

— C’est bien, tu es mignonne, c’est fou comme une bonne fessée déculottée rend obéissante les chipies. Tatie Caroline va te gâter, une bonne petite friandise au gingembre dans tes bonnes grosses fesses.

Elle posa sur le petit trou la racine taillée en forme de gros suppositoire et la fit pénétrer lentement, Sylvie gémissait mais gardait ses fesses largement écartées, quand il fut en place, Caroline relâcha les deux hémisphères qui se resserrèrent, un bout de racine dépassait de la raie fessière.

Soudain Sylvie se mit à se tortiller et à gémir :

— Oh non mademoiselle, ça brûle… non, non… aïe, aïe…

La sévère maîtresse se mit à rire :

— C’est fait pour ça ma chérie, c’est bon n’est-ce pas.

Elle tapota le fessier qui gigotait, les fesses s’ouvraient et se fermaient, c’était vraiment très mignon.

Julie avait assisté à la mise en place du suppositoire de gingembre avec inquiétude, ses fesses étaient serrées par l’angoisse. Caroline se plaça à côté d’elle et gifla sèchement le large derrière de sa mère ;

— Tu as entendu ce que j’ai dit à Sylvie, tu as intérêt à desserrer tes fesses en vitesse.

Julie écarta ses cuisses et sa raie s’ouvrit légèrement, sa fille sans se soucier de sa honte, écarta largement avec deux doigts les globes écarlates, elle souriait satisfaite de punir sa mère qui ne s’était pas gênée pour la traiter en gamine même quand elle était devenue adulte :

— Voilà c’est parfait, toi aussi ma petite maman, il t’en faut des bonnes fessées pour devenir obéissante, ne t’inquiète pas ta fille chérie va continuer à s’occuper de ton bon gros popotin.

Elle fit comme avec Sylvie, forçant légèrement l’anus avec son doigt, s’en était trop pour la mère de famille qui resserra ses cuisses :

— Ah, c’est comme ça ! Madame veut jouer au rebelle et bien tant pis pour toi tu es bonne pour une nouvelle déculottée et je pense que les trois jeunes femmes de l’autre côté du lac vont se régaler. Viens ici !

Elle avait fait relever Julie et s’était assise sur rocher, elle la coucha sur ses genoux, le large derrière était tourné vers le lac, la fessée crépita immédiatement, une solide correction de maman en colère, sauf que celle qui recevait le châtiment enfantin était la mère de la fesseuse.

Caroline jeta un œil en direction des randonneuses, elles étaient assez loin mais le derrière écarlate de Julie ne pouvait pas leur échapper ainsi que ses battements de jambes désordonnés, signe d’une magistrale correction. Elles s’étaient arrêté de parler et regardaient stupéfaites ce spectacle peu banal.

La fessée terminée, Caroline garda Julie en position et écarta à nouveau les fesses :

— J’espère que tu as compris et que tu vas me laisser te mettre le suppo, de toute façon tu es en bonne position pour une autre fessée si c’est nécessaire.

Ce ne fut pas le cas, la racine de gingembre força le passage sous les pleurs de la pauvre Julie. Quand il fut bien en place elle dut se relever exhibant un derrière cramoisi orné d’une racine de gingembre dépassant de la raie serrée. En sanglotant elle reprit sa place à côté de Sylvie.

Son éducation continuait, c’était sa deuxième fessée publique depuis le début de la matinée.

Caroline s’installa à côté des deux punies, elle prit un livre et jeta un œil malicieux au deux paires de fesses qui se tortillaient :

— Détendez-vous mes chéries et profitez du bon air de la montagne pour faire une bonne sieste.

Elle les laissa avec ce plug brûlant pendant une demi-heure, puis elle fit lever Sylvie, l’installa sur ses genoux pour lui administrer une courte fessée avant de lui retirer la racine, ensuite elle la reculotta elle-même comme l’aurait fait une maman :

— Voilà tu es prête pour le retour.

Elle fit de même avec Julie, les trois jeunes randonneuses étaient parties, elles étaient passées sur le chemin qui dominaient les deux fessiers cramoisis des deux punies. Caroline les avait observées du coin de l’œil, à n’en pas douter le spectacle les avait excitées.

Maintenant il était temps de rejoindre le refuge et Joanna.
















Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

randonnée fesses rouges 2

 Fessée en plein air Caroline était redescendue dans la salle commune du gîte, Joanna l’attendait lovée dans le canapé, elle lui fit un peti...