Mademoiselle Laetitia
Laetitia était la petite-fille préférée de Claudine, elle venait souvent rendre visite à sa grand-mère.
Quand elle arriva ce jour-là, elle vit le martinet suspendu dans la cuisine, elle le regarda en souriant et se tourna vers Claudine :
— Tu as ressorti ton martinet ? Maman m’a raconté que quand elle était gamine, il était toujours prêt à servir, mais je pensais que tu n’en avais plus.
Claudine lui fit un petit clin d’œil :
— Je l’avais rangé, mais ces derniers temps je me suis rendu compte que j’allais en avoir besoin à nouveau et puis c’est quand même mieux de l’avoir à sa disposition en permanence, ça a un petit côté dissuasif tu ne trouves pas.
La jeune fille fit une petite moue, sa grand-mère avait-elle l’intention de l’utiliser sur son derrière ?
La mamie se mit à rire devant la grimace de Laetitia :
— Ah je vois que tu as peur pour tes jolies fesses. Rassure-toi, elles n’y goûteront pas sauf bien sûr si tu es vilaine comme ta chipie de petite sœur.
Laetitia, rassurée se mit à sourire, elle adorait sa mamie et elle n’avait pas de secret pour elle. Elle décida de lui raconter ses nouvelles responsabilités, c’est-à-dire la prise en charge des deux étudiantes quand sa mère lui demandait. Claudine amusée l’interrogea :
— Alors tu fais baby-sitter de ces deux grandes filles, tu t’en sors, ce n’est pas trop difficile ?
— Pas du tout, maman m’a autorisée à les punir si c’est nécessaire.
Claudine avait le regard gourmand :
— À bon, et tu les punis comment ?
Laetitia la regarda en souriant :
— Je suis à bonne école avec maman et toi, si elles désobéissent ou ne sont pas sage, c’est la fessée déculottée illico.
— C’est parfait, mais elle accepte facilement de se faire baisser la culotte par une jeune fille plus jeune qu’elles ?
— Elles n’ont pas le choix, maman les a prévenues, si elles font des histoires, c’est elle qui va s’occuper de leurs derrières et la punition sera doublée. Je suis tranquille, je n’ai qu’un mot à dire et elles viennent gentiment se coucher sur mes genoux.
Claudine était admirative devant l’assurance et la maturité de sa petite-fille, elles continuèrent de discuter comme deux adultes de l’intérêt des châtiments corporels dans l’éducation y compris chez les adultes. Enhardie la jeune fille décida d’aborder le cas de Brigitte et Suzanne, la grand-mère ouvrit de grands yeux en l’entendant expliquer qu’elle troussait et déculottait des dames qui avaient le même âge qu’elle :
— À ça par exemple, tu leur flanques la fessée cul nu comme à des gamines ? Et elles se laissent faire ?
Laetitia se mit à rire devant la mine de la dame d’âge mûr :
— Oui mamie, je les déculotte. Tu sais bien qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée, c’est toi-même qui l’a dit à maman l’autre jour.
Claudine sursauta à ce rappel :
— Tu as entendu ça ?
Ce fut au tour de la jeune fille de lui faire un clin d’œil :
— Oui, tu as dit à maman de préparer ses fesses.
La grand-mère eut un petit sourire entendu, décidément cette petite était surprenante, d’ailleurs elle continuait ses explications sur sa façon « d’éduquer » les deux dames mâtures dont elle avait la charge :
— Tu sais, donner la fessée déculottée aux étudiantes ou à mes deux mamies, ce n’est pas très différent, une culotte ça se baisse pareille et une paire de fesses, quel que soit l’âge de sa propriétaire, ça rougi de la même façon. Pour Brigitte, c’est maman qui m’a demandé de lui mettre le thermomètre la première fois et en général quand tu te retrouves cul nu avec le thermomètre bien enfoncé tu ne fais plus la maligne après. Pour Suzanne, je lui ai fait découvrir qu’elle en avait besoin. Tiens je vais te montrer quelque chose.
Elle sortit son téléphone et fit défiler les photos de Brigitte et de Suzanne, au coin les fesses à l’air et bien rouges, sur certaines elles tournaient la tête et on les reconnaissait, sur d’autres on les voyait toujours le derrière bien rouge, mais avec un thermomètre dépassant de la raie fessière :
— Elles sont mignonnes mes deux chipies, tu ne trouves pas.
Claudine était impressionnée par l’aplomb de sa petite-fille, surtout que celle-ci continuait de lui expliquer sa façon mettre au pas ses deux pupilles :
— Elles n’ont pas trop le choix, il faut qu’elles m’obéissent au doigt et à l’œil, sinon je vais laisser traîner ces photos n’importe où. Je peux te dire qu’elles filent droit et que je peux les déculotter à ma guise.
Claudine se mit à rire :
— Comme je te connais, elles ne doivent pas avoir froid aux fesses. Mais dis-moi c’est agréable une paire de fesses de dame mâture, c’est peut-être mieux un derrière juvénile comme ceux des étudiantes, tu as pu comparer ?
Laetitia souriait en regardant sa grand-mère, elle était assez fière que celle-ci lui parle quasiment d’égale à égale, elles étaient toutes les deux des fesseuses maintenant :
— Détrompe-toi, elles ont toutes les deux des derrières très agréables à rougir, dans un style différent bien sûr. Brigitte à un bon gros derrière fessu, bien large, mais quand même ferme, tu as de la place pour claquer. Suzanne c’est différent, il est plus petit, mais malgré son âge, il est encore bien rebondi. Et puis tu sais le plus plaisant c’est quand je leur annonce qu’elles vont recevoir une fessée, elles rougissent comme des gamines et quand je les déculotte, j’ai vraiment l’impression d’avoir des grandes filles couchées sur mes genoux.
Claudine appréciait vraiment cette conversation, elle voyait la jeune fille d’un autre œil maintenant, une idée lui vint :
— Demain, j’ai convoqué ta mère et ta tante, je dois avoir une conversation avec elle, tu n’as qu’à venir vers quinze heures si tu n’as pas cours.
Laetitia remarqua le sourire de sa grand-mère, décidément elle avait bien fait de lui faire ces confidences, quelque chose lui disait que la conversation risquait d’être cuisante pour les deux sœurs.
— Oh oui ce sera avec plaisir, justement je suis libre demain, je dois juste flanquer une fessée de maintenance à Suzanne, c’est toujours le mercredi. Ensuite elle me copiera des lignes tout l’après-midi, Comme ça elle restera tranquille.
Laetitia avait copieusement rougi le derrière de l’ex-gouvernante, c’était un rituel qu’elle lui avait imposé, tous les mercredis en début d’après-midi Suzanne avait droit à une fessée préventive.
C’était toujours une correction cuisante, elle devait attendre sa jeune maîtresse dans le salon, le nez contre le mur en tenant sa jupe retroussée avec ses mains croisées dans le dos. Auparavant elle devait baisser sa culotte sous ses fesses, son derrière dénudé faisait ainsi face à la porte. Laetitia avait une clé de son appartement, elle pouvait entrer à sa guise.
Ce jour-là, elle avait administré à Suzanne une fessée déculottée classique couchée sur ses genoux, d’abord à la main puis avec la brosse à cheveux. La croupe était littéralement cramoisie quand la sexagénaire avait pu se relever, de grosses larmes coulaient sur ses joues, la jeune fille lui avait caressé la peau brûlante :
— Voilà une bonne chose de faite, tes fesses vont te faire penser à moi tout l’après-midi ma chérie. Enlève ta culotte.
Suzanne lui avait tendu sa lingerie rose et Laetitia l’avait posé bien en évidence sur la table. Elle ne devait pas bouger de là tant que sa jeune maîtresse ne lui dirait pas de se reculotter. C’était un rituel très gênant pour la punie cas de visite.
Ensuite elle lui avait demandé d’aller chercher son cahier de punition :
— Tu vas me copier 500 fois la phrase suivante « je suis une vilaine fille, je remercie mademoiselle Laetitia de prendre du temps pour mon éducation et de m’administrer les fessées déculottées que je mérite »
Suzanne avait baissé la tête, elle savait qu’il était inutile de protester, puis Laetitia avait posé sur la chaise un petit paillasson en plastique avec des picots très irritants :
— Tu retrousses ta jupe et tu poses ton derrière là-dessus. Tu en as pour l’après-midi, tache de bien écrire. Si tu as fini avant que je revienne, tu retournes te mettre au coin.
Elle avait fait une bise à sa « grande fille » et était partie en fermant la porte à clé.
En arrivant devant la porte de la maison de sa grand-mère elle entendit un bruit familier, des claquements sur la peau nue et des gémissements. Sans aucun doute quelqu’un recevait une fessée déculottée, elle sonna et attendit que Claudine lui dise d’entrer.
Le spectacle qu’elle découvrit était édifiant, deux paires de fesses bien rouges illuminaient la pièce, l’une appartenait à une dame qui était au coin mains sur la tête, l’autre était celle d’une punie gigotant en travers des genoux de la sévère grand-mère. Elle ne fut pas longue à découvrir à qui appartenait ces deux fessiers, la dame qui exposait son derrière au coin de la pièce, c’était sa mère. Elle n’avait encore jamais vu son large fessier dénudé, mais elle l’avait quand même reconnu, quant à la dame couchée sur les cuisses de Claudine, c’était sa tante Ingrid, la sœur d’Odile. La fesseuse avait juste levé la tête quand Laetitia était entrée, mais elle n’avait pas cessé de claquer la croupe de sa fille, celle-ci pleurait et ses pieds battaient l’air, elle se rendit compte que sa fessée serait publique à présent, mais le pire était à venir, sa mère accueillit sa petite fille :
— Coucou Laetitia, tu tombes bien, rien de mieux qu’une bonne fessée déculottée en public pour corriger les vilaines filles.
Sa nièce allait assister à son humiliante punition, elle se mit à gémir :
— Oh non, pardon maman, s’il te plaît… Aïe, aïe…
Les cris et les pleurs étaient mêlés, la dame de quarante ans couchée sur les genoux de Claudine retrouvait ses accents de gamine punie. Laetitia était subjuguée par le spectacle, ses yeux allaient d’un fessier à l’autre, c’était une douce revanche. Sa mère avait la main leste et sa tante n’était pas la dernière pour lui baisser la culotte et la corriger comme si elle était encore une gamine malgré ses vingt ans.
Claudine était appliquée à sa tâche, la croupe était uniformément rouge, elle fit relever Ingrid, qui baissa les yeux pour ne pas croiser ceux de sa nièce, mais c’était sans compter sur la perversité de sa mère :
— Va montrer tes fesses à Laetitia, elle pourra voir ce qui arrive aux vilaines filles, quel que soit leur âge.
Au comble de la honte, la pauvre Ingrid s’approcha de la jeune femme, celle-ci en souriant lui fit un petit signe pour l’inviter à se tourner. Maintenant elle présentait sa croupe écarlate, Laetitia n’était pas moins sévère que sa grand-mère, elle appuya sur le dos de sa tante :
— Penche-toi un peu ma petite chérie que je puisse examiner ton derrière.
La croupe tendue s’offrait au regard de la jeune maîtresse, elle tendit la main et la passa sur l’épiderme brûlant :
— Ça brûle ?
Une petite claque incita sa tante à répondre :
— Oh oui…
Une claque plus sèche résonna dans la pièce :
— Oui qui ?
— Aïe, pardon Laetitia… Aïe, aïe, aïe…
Trois claques sur les fesses endolories venaient de retentir :
— Mademoiselle Laetitia !!
— Oui, oui, pardon mademoiselle Laetitia.
La grand-mère et la petite-fille échangèrent un sourire complice :
— C’est bien, tes fesses sont très mignonnes.
Puis se tournant vers Claudine :
— Tu la mets au coin ?
Comme celle-ci acquiesçait de la tête, elle saisit l’oreille de sa tante comme elle avait l’habitude de le faire avec ses autres pupilles et tout en lui claquant les fesses de sa main libre, elle la conduisit au coin :
— Allez vilaine fille tu vas faire refroidir ton joli derrière au coin !
Claudine était de plus en plus impressionnée par sa petite-fille et son assurance, elle se leva et se dirigea vers Odile. Pendant toute la conversation celle-ci avait contracté ses fesses, elles étaient maintenant serrées, son derrière n’était plus qu’une boule rouge compacte.
Sa mère la saisit par l’oreille comme Laetitia l’avait fait pour Ingrid :
— À nous deux ma jolie, maintenant que tes fesses sont bien échauffées, on va passer à la vraie fessée.
La jeune fille souriait en voyant sa mère dans la même posture qu’elle lui avait fait si souvent prendre, la culotte à mi-cuisses et tenue par une oreille, la roue tournait vite et la dame de quarante-cinq ans n’en menait pas large, laetitia s’adressa à sa grand-mère :
— Comme elle est mignonne ! Je peux prendre une photo mamie ?
Odile était rouge de honte et ne semblait guère goûter l’humour de sa fille, elle ouvrit la bouche pour protester, mais une claque administrée au milieu de sa croupe lui coupa la parole :
— Bien sûr ma chérie, tu pourras même faire une petite vidéo de sa fessée, ça lui fera un souvenir et lui rappellera ce qui arrive quand on parle mal à sa maman.
Odile était effondrée, elle se doutait que sa fille profiterait de la situation. Laetitia avait sorti son téléphone, elle prit une photo, on distinguait parfaitement le visage d’Odile, tenue par l’oreille par sa mère et sa culotte à mi-cuisses. Claudine s’installa sur une chaise et la fit basculer en travers de ses genoux, elle tapota le large fessier étalé devant ses yeux :
— Ma chérie, je pense que tu vas te souvenir longtemps de cette punition. Une bonne fessée déculottée devant ta fille, j’espère que tu as bien honte.
Odile gémissait doucement :
— Pardon maman, pardon, je suis désolée.
La sévère grand-mère claqua un peu plus sèchement le derrière :
— Je suis sûr que tu vas être encore plus désolée tout à l’heure.
Elle prit sa lourde brosse à cheveux et commença la correction. Laetitia avait déjà assisté à de nombreuses fessées, mais celle-ci compterait dans son souvenir.
Odile se mit à crier immédiatement et les pleurs suivirent rapidement. Ses larges fesses bien rouges ballottaient de droite à gauche, ses jambes battaient l’air frénétiquement, la croupe rubiconde s’ouvrait largement découvrant l’intimité de cette dame d’âge mûr recevant ce châtiment habituellement réservé aux vilaines filles.
Sa fille filmait soigneusement la scène, elle s’était déplacée pour que le visage de sa mère soit bien visible. Dorénavant celle-ci serait à sa merci.
Elle observait la technique de sa grand-mère, on voyait qu’elle était habituée à administrer ce genre de correction. Elle tenait Odile fermement par la taille, ses fesses ne pouvaient échapper aux morsures brûlantes de la brosse, elle alternait les claques sur la fesse droite puis la gauche, la partie charnue recevait les coups les plus sévères, puis elle claquait ensuite le bas du fessier et le haut des cuisses. Laetitia savait par expérience qu’après une fessée comme celle-là sa chère maman aurait dû mal à s’asseoir pendant quelques heures et que la douleur ne s’atténuerait que très lentement.
Elle gisait en larmes en travers des cuisses de sa mère, celle-ci regarda sa petite-fille en souriant :
— Voilà un derrière cuit à point, madame ne fait plus la fière. Allez debout. Laetitia tu t’en occupes.
La jeune fille n’en demandait pas temps, quel plaisir que de conduire sa maman au coin en la tenant par l’oreille, sa culotte entortillée autour de ses chevilles la gênait pour marcher, Laetitia lui administra une vigoureuse claque au milieu des fesses :
— Allez dépêche-toi un peu !
Arrivée contre le mur, Odile mit instantanément ses mains sur sa tête, sa fille sans demander l’autorisation à sa grand-mère prit l’initiative de lui faire enjamber sa culotte pour lui retirer complètement, elle la tenait à deux doigts et s’adressa en riant à Claudine :
— Je crois qu’elle n’en a plus besoin, elle ne va pas avoir froid aux fesses aujourd’hui et puis tu lui as mis une jolie culotte rouge sur le derrière.
Sa mamie approuva :
— Tu as raison, retire également celle d’Ingrid, elles sont privées de culotte jusqu’à ce soir.
Puis elle tendit la brosse à sa petite-fille :
— Tu vas t’occuper des fesses de ta tante, j’aimerais bien voir comment tu t’y prends.
Laetitia faillit battre des mains tellement elle était contente du cadeau que lui faisait sa grand-mère. Elle attrapa Ingrid par l’oreille et prit place sur la chaise que lui avait laissé Claudine, une fois la punie couchée sur ses genoux elle lui retira sa culotte comme elle l’avait fait à sa mère, elle poussa la perversité jusqu’à en examiner le fond :
— Voilà madame, tu es privée de culotte, bon pour aujourd’hui ça ira elle est à peu près propre.
Elle la posa sur la table à côté de celle d’Odile, puis elle reprit la brosse qu’elle avait posée et commença la fessée.
Ingrid se comporta exactement comme sa sœur, que la correction soit administrée par sa mère ou sa nièce ne changeait rien à la cuisson de son fessier. La jeune fille avait déjà une technique redoutable, elle fessa très sévèrement sa tante, elle voulait prouver à sa grand-mère qu’elle était une vraie fesseuse.
Celle-ci appréciait en professionnelle la qualité de la punition, les deux fessiers étaient de la même couleur et même si son derrière était moins volumineux que celui de sa sœur, Ingrid exécuta une magnifique danse des fesses.
A présent les deux punies exposaient leurs croupes cramoisies l’une à côté de l’autre, l’ourlet des jupes coincé dans la ceinture découvrait parfaitement la surface corrigée. Les épaules se soulevaient au rythme des sanglots et les fesses se serraient pour essayer d’atténuer la cuisson.
Comme deux vieilles amies, la grand-mère et la petite-fille sirotaient un thé en papotant, la conversation portait évidemment sur les bienfaits de la fessée administrée à des dames adultes. Laetitia regardait la vidéo qu’avait fait sa grand-mère pendant qu’elle corrigeait Ingrid :
— C’est rigolo de me voir en train d’administrer une fessée à tatie, c’est la première fois.
Claudine lui fit un petit clin d’œil :
— Mon petit doigt me dit que ce ne sera pas la dernière, tu vas avoir deux nouvelles pupilles ma chérie.
Laetitia se leva et fit un gros bisou à Claudine :
— Merci mamie, tu es adorable, je te promets de bien m’en occuper, tu vas voir qu’à partir de maintenant tu auras deux filles mignonnes, obéissantes et polies.
L’avenir s’annonçait radieux, mais surtout cuisant pour de nombreuses dames.
La jeune fille inaugura son nouveau rôle le soir même. Elle avait laissé Claudine pour rentrer s’occuper de Suzanne, celle-ci finissait tout juste ses cinq cents lignes quand Laetitia arriva. Elle jeta un regard sur le travail de sa pupille puis la fit se lever :
— Ça c’est bien passé ma chérie ? Tourne-toi que je voie un peu tes fesses.
Docilement la sexagénaire présenta sa croupe à sa jeune maîtresse, elle était restée rouge, les picots du paillasson s’étaient imprimés dans la chair formant des boursouflures, Laetitia passa la main sur l’épiderme enflammé, elle souriait fière de son pouvoir sur ces dames toutes plus âgée qu’elle :
— Ton derrière te brûle ? C’est parfait tu vas penser à moi jusqu’à ce soir. Enlève ta culotte, tu en es privée jusqu’au coucher.
Suzanne enjamba sa lingerie et la tendit à la jeune fille qui la fourra dans sa poche.
— Je viendrai à vingt heures trente pour ton coucher ma chérie, j’ai des occupations ce soir, tant pis pour toi tu iras au lit plus tôt.
Suzanne se mit à gémir :
— Oh mademoiselle Laetitia, c’est trop tôt.
La jeune fille la dévisagea sévèrement :
— Pardon ? J’ai mal entendu ?
La vieille fille se mordit la langue, elle venait de se rendre compte de son erreur, mais c’était trop tard, elle était à nouveau courbée sous le bras de sa maîtresse, sa jupe retroussée et une avalanche de claques s’abattaient sur sa croupe déjà bien rouge :
— Ah c’est trop tôt ? Mademoiselle proteste, eh bien on va régler ça à ma façon. Tu la sens celle-là sur ton petit cul ?
Suzanne haletait et piétinait sur place, Laetitia la relâcha et lui annonça sa punition :
— Pendant une semaine coucher à vingt heures, une fessée déculottée matin et soir et tu vas garder le thermomètre pendant deux heures, je vais t’apprendre à raisonner !!
Elle lui désigna l’accoudoir du canapé :
— En position et vite, je n’ai pas que ça à faire !!
Le thermomètre était posé sur le buffet toujours prêt à servir, il rentra profondément entre les fesses écarlates de l’ex-gouvernante. Laetitia lui administra une dizaine de claques supplémentaire :
— Voilà, j’espère que ça va te servir de leçon et ne t’avise pas de bouger de là jusqu’à mon retour, sinon c’est le même traitement pendant un mois et le thermomètre tous les jours pendant une heure.
Elle brancha la webcam qu’elle avait installée pour surveiller sa pupille, c’était une nouveauté qui était présente chez Brigitte également. Elle pensa que maintenant qu’elle avait l’autorité sur toute la maison, il lui faudrait en mettre chez les étudiantes et à la maison pour surveiller sa mère quand elle serait absente.
This one was superb....something I have not imagined at all.....great going
RépondreSupprimerChinmay