dimanche 15 décembre 2024

Deux étudiantes 24

L'épilation de Laurence



Odile avait sonné à la porte de l’appartement d’Annie, celle-ci leur ouvrit et les accueillit chaleureusement en leur claquant une bise à chacune :

— Bonjour ma chérie. Alors c’est vous Laurence, je suis ravie.

La maman ce Clara était un peu gênée, elle essaya quand même de faire bonne figure, Annie savait après les confidences téléphoniques d’Odile, qu’elle avait reçu hier une fessée déculottée. Elle invita les deux dames à entrer et quand Laurence passa devant elle, elle lui tapota les fesses en riant :

— On va s’occuper de ça.

La sévère maman piqua un fard, surtout qu’Odile riait également :

— Oh oui, elle en a besoin, je lui ai dit de bien se laver le derrière, tu vas pouvoir le constater toi-même.

Laurence protesta, elle avait les joues écarlates :

— Odile !! Quand même ! Tu exagères…

Mais ça ne calma pas son amie qui à son tour lui tapota la croupe :

— Ne fais pas ta mijaurée ma chérie, tu sais que je n’aime pas ça, et puis on ne va pas perdre de temps, allons-y.

Annie acquiesça et ouvrit une porte qui donnait sur le salon :

— J’ai aménagé cette pièce quand je fais des prestations chez moi.

La pièce était aménagée avec goût dans les tons roses, il y avait deux fauteuils moelleux, une table basse et un lit d’examen recouvert d’un tissu en éponge rose également, un meuble vitré avec des flacons et des pots de produits de beauté complétait l’ameublement de la salle.

Annie se tourna vers Laurence en souriant :

— Si j’ai bien compris, il faut que je m’occupe de vos fesses, il va falloir vous déculotter ma chère.

Le rouge n’avait pas quitté les joues de Laurence, elle hésita et se tourna vers son amie, Odile la fixa :

— Tu veux que je t’aide ?

Laurence baissa les yeux et glissa ses mains sous sa jupe, elle retira sa culotte, elle la tenait à la main un peu gênée, Annie se mit à rire :

— On dirait que tu ne sais pas quoi en faire, regarde il y a une patère, c’est fait pour mettre les culottes des vilaines qui en sont privées.

Laurence ne goûta pas trop la plaisanterie, mais elle s’exécuta, l’esthéticienne lui désigna la table :

— Allongez-vous là, sur le ventre bien sûr.

La patiente s’installa, Annie prit un coussin et le glissa sous son ventre :

— Vous serez mieux installée et votre derrière sera en bonne position.

Puis sans hésiter, elle retroussa la jupe de Laurence, mettant à jour sa croupe rebondie, celle-ci poussa un petit cri de surprise, ce qui fit rire les deux spectatrices, Odile s’approcha et lui claqua gentiment le fessier :

— Pour ce qu’Annie doit faire, il vaut mieux qu’elle te relève la jupe.

Elle se tourna vers l’esthéticienne :

— Elle a une belle paire de fesses n’est-ce pas ? C’est vrai que le coussin la met bien en valeur.

Annie jeta un œil professionnel sur la croupe, puis elle s’approcha et avec deux doigts elle écarta les globes jumeaux, instinctivement Laurence crispa un peu son derrière, ce qui lui attira une réaction amusée d’Annie :

— Je sais que c’est un peu gênant de se faire examiner la raie des fesses ma chère, mais vous êtes là pour ça, il va falloir vous laisser faire.

Elle avait accompagné sa phrase d’une petite claque sèche au milieu du derrière surélevé. Odile regardait sa copine dans cette position peu envieuse, elle était ravie de lui faire subir ce traitement humiliant, elle souriait :

— Je l’ai prévenue qu’il fallait qu’elle soit mignonne, elle sait très bien ce qui va lui arriver si elle serre les fesses.

Annie se tourna vers sa voisine :

— Ah c’est vrai qu’elle a déjà pris une fessée déculottée hier, j’espère qu’on ne sera pas obligée d’en arriver là. Vous allez être sage n’est-ce pas ?

Laurence était au supplice, elle essaya de relaxer au maximum sa croupe, elle ne voulait pas donner l’occasion à Annie de lui rougir les fesses.

L’esthéticienne tenait toujours les fesses largement écartées, elle passa son doigt dans la raie sans se soucier du gémissement de honte de sa patiente :

— Tu as raison ma chère Odile, il y a nécessité d’un petit nettoyage.

Elle tapota à nouveau le fessier de Laurence :

— Détendez-vous donc, ce n’est quand même pas si terrible que ça, quand Odile vous a flanqué la fessée déculottée, ça devait être bien pire.

Elle relâcha enfin les fesses et ouvrit le meuble pour préparer son matériel. Laurence était mortifiée d’être ainsi exposée, cul nu au milieu de la pièce sous le regard moqueur des deux dames.

Annie s’approcha et lui tapota les fesses :

— Je suppose que vous savez que je vais avoir besoin de vous, vous allez écarter vos jolies fesses avec vos mains et les tenir pendant que je mets la cire, j’espère que vous allez être sage.

Au comble de la confusion, la maman de Clara écarta ses deux globes, sa raie était largement ouverte dans une position très impudique. L’esthéticienne déposa la cire avec une spatule :

— Gardez cette position, c’est parfait, on va laisser la cire refroidir un peu.

Elle tapota à nouveau le derrière de Laurence et se tourna vers Odile :

— Finalement, elle est sage. Peut-être que c’est grâce à ta fessée d’hier.

Odile se mit à rire.

— Sans doute, je n’ai encore rien trouvé de mieux pour faire obéir les vilaines.

Elle s’approcha et passa sa main sur la croupe tendue :

— Tu as vraiment une très jolie paire de fesses ma chérie.

Laurence goûtait moyennement ces commentaires qui la rabaissait au rang de gamine punie.

Soudain elle poussa un cri et serra les fesses, Annie venait d’arracher la cire :

— Ah non, qu’est-ce que c’est que ces manières !

Une magistrale claque atterri sur la fesse droite de Laurence, elle n’eut pas le temps de réagir que déjà l’esthéticienne lui avait saisi l’oreille et la faisait se relever :

— Odile vous avait pourtant prévenue, eh bien on va passer aux travaux pratiques.

A peine était-elle debout que Annie l’avait coincé sous son bras et fléchi vers l’avant. De sa main libre elle retroussa la jupe qui était retombée, découvrant le beau fessier rebondi de cette dame d’âge mûr. Elle était dans la position classique qu’utilisent les mamans en colère pour punir leur fille. Laurence essaya de protester et voulu se libérer, mais Annie savait donner la fessée, mis à part Louisa, sa fille qu’elle déculottait et fessait très régulièrement, elle avait une grande habitude d’administrer des corrections à des dames adultes. Laurence était bien maintenue, elle ne put que taper du pied par terre, déjà la première claque arrivait :

— Aïe, non, aïe, arrêtez, s’il vous plaît… aïe, aïe, aïe…

Une avalanche de claques s’abattait sur son derrière tendu, Odile souriait, ravie d’assister à cette fessée déculottée. Elle savait avant d’arriver que son amie ne repartirait pas de chez sa voisine sans avoir les fesses bien rouges.

Laurence continuait de crier et de trépigner, ses hanches ondulaient à droite et à gauche, mais elle ne pouvait éviter les généreuses claques qu’Annie distribuait sur son derrière de dame de quarante-cinq ans.



Maintenant le large fessier était d’une belle couleur rouge, elle débordait même sur le haut des cuisses, car pour faire bonne mesure, la sévère esthéticienne n’avait pas oublié cette zone plus sensible juste sous les fesses. Des sanglots apparurent au milieu des cris, Annie leva la tête de son ouvrage et adressa un petit clin d’œil à Odile :

— Notre petite chipie commence à comprendre, je pense que je vais pouvoir continuer et que madame va tenir ses fesses bien écartées.

Elle finit la correction par une série de claques très fortes, puis elle relâcha Laurence. Celle-ci se redressa et immédiatement se mit à frotter sa croupe brûlante, ce qui fit bien rire les deux spectatrices :

— On dirait que madame à chaud aux fesses.

Odile était hilare, Laurence avait les yeux humides et les joues très rouges, ce n’était pas une fessée coquine qu’elle venait de recevoir, mais une véritable punition pour son indiscipline. Annie la regarda en souriant :

— Votre fille a le droit de frotter ses fesses après une fessée ?

Laurence cessa immédiatement et resta les bras ballants, Odile sauta sur l’occasion, le derrière de son amie était vraiment trop mignon :

— C’est vrai, on dirait que tu l’as oublié, viens un peu ici, je vais te rafraîchir la mémoire.

Laurence, interloquée regarda son amie :

— Mais enfin, Odile… Non !!

Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase, la sévère maman lui avait saisi la main et l’avait attiré contre ses genoux, en un instant elle se retrouva en travers des cuisses d’Odile. La tête près du sol les jambes décollées, la situation aurait pu être comique si elle n’avait pas déjà les fesses cuisantes et bien rouges. La maman fesseuse retroussa à nouveau la jupe :

— Tu le sais pourtant qu’on ne doit pas frotter ses fesses après une fessée, Clara et Clémence le savent, elles ne s’y risquent plus après un deuxième passage sur mes genoux.

Elle caressa le fessier écarlate :

— À croire que tu aimes nous montrer ton derrière ma chérie.

Laurence se mit à pleurnicher comme une gamine :

— Non, s’il te plaît Odile, je n’ai pas fait exprès, arrête j’ai trop mal aux fesses.

Odile fit un petit clin d’œil à Annie et prit son air sévère :

— Ah tu ne l’as pas fait exprès ? Tu te moques de moi ! Attends un peu que je te chauffe le derrière, je suis sûr que la prochaine fois tu ne frotteras pas tes jolies fesses.



Elle leva la main et administra une courte, mais magistrale fessée à la maman retombée en enfance. Elle la fit relever et lui désigna la table :

— Remets-toi en place et tâche de rester tranquille cette fois, j’ai ma brosse à cheveux à la disposition de ton popotin.

Laurence se rallongea sur la table et Annie lui retroussa immédiatement la jupe, les fesses étaient très rouges, l’esthéticienne les palpa d’un air professionnel :

— Voilà un derrière cuit à point, j’espère que cette fois-ci je n’aurai pas à sévir, je pense que la fessée a été plus douloureuse que l’épilation.



Laurence gémissait doucement :

— Oh oui, ça brûle, promis je ne vais plus bouger.

— Très bien, écartez bien vos fesses, encore une application de cire et votre derrière sera nickel.

Laurence, saisit ses deux globes et sans souci de pudeur, les écarta largement, elle était pressée que ça finisse et la fessée déculottée avait fait son effet, elle était devenue docile.

Annie jouissait de cette magnifique croupe à sa disposition, elle prit son temps et Laurence poussa un cri mais ne bougea pas quand elle retira la cire, l’esthéticienne se tourna vers sa voisine :

— Sa raie est nickel, tu peux venir vérifier.

La patiente instruite par la correction reçue précédemment tenait toujours ses deux hémisphères bien écartés, Odile passa son doigt dans le sillon fessier et s’attarda même pour titiller l’anus :

— Tu mériterais que je te mette le thermomètre ma chérie, on verra ça tout à l’heure.

Annie fit relever Laurence, elle tenait une boite de talc à la main, elle s’installa sur une chaise et tapota ses cuisses :

— Venez un peu là je vais vous talquer pour éviter les démangeaisons.

Laurence la regarda interloquée, le geste de l’esthéticienne était explicite, elle voulait qu’elle se couche sur ses genoux, le regard impérieux et ses fesses cuisantes incitèrent Laurence à l’obéissance.

Une fois en position elle sentit à nouveau les doigts écarter ses fesses et la main d’Annie qui massait doucement sa raie fessière et son derrière endolori, l’esthéticienne talquait les fesses de cette dame de quarante-cinq ans comme si elle était une petite fille.

Odile se mit à rire :

— C’est mieux que de recevoir une fessée n’est-ce pas ? C’est vraiment mignon.

Laurence trouvait cela très agréable effectivement, même si la position était un peu humiliante. Annie la garda un moment en travers de ses cuisses afin de profiter du spectacle, elle tapotait les fesses écarlates :

— Ton amie a vraiment une bonne paire de fesses, c’est quoi cette histoire de thermomètre ?

Les fesses de Laurence se contractèrent, Odile s’approcha et les écartèrent sans manière :

— Tu vois ce petit trou, eh bien pour compléter la punition des chipies et les ramener à un peu d’humilité, je leur prends la température comme quand elles étaient petites, en général après ça elles ne font plus les malignes.

Annie se mit à rire :

— Ça par exemple, c’est une bonne idée. Ma petite Louisa va y goûter rapidement et madame aussi ?

— C’est sûr. Elle a de la chance que je n’aie pas pris mon thermomètre sinon elle y aurait eu droit maintenant.

Laurence était mortifiée d’entendre Odile parler d’elle comme si elle était sa fille alors qu’elle avait deux ans de plus qu’elle, mais elle était couchée sur les genoux d’Annie, les fesses encore rouges bien exposées, il fallait faire profil bas.

Enfin, Annie la libéra en lui claquant les fesses :

— Allez vilaine fille, vous pouvez vous relever et vous reculotter, vos jolies fesses sont prêtes pour qu’Odile s’en occupe.

La maman de Clara ne se le fit pas dire deux fois, elle cacha rapidement sa croupe. Annie les invita à boire un verre, ce fut un soulagement pour Laurence, même si elle se doutait qu’il serait de courte durée.

À peine était-elle installée que Louisa arriva, Laurence frissonna rétrospectivement, quelques minutes auparavant elle était couchée sur les genoux d’Annie les fesses à l’air. La fille de celle-ci aurait très bien pu la découvrir dans cette humiliante position. La jeune fille leur fit la bise, Odile lui tapota les fesses :

— Alors ma petite chérie, tu as été sage, maman n’a pas été obligée de te baisser la culotte ?

Louisa rougit et baissa les yeux, à dix-sept ans c’était un peu gênant comme question, surtout devant une inconnue, elle ne savait pas que la dame qui la regardait en souriant c’était elle-même fait déculotter quelques minutes auparavant.

C’est Annie qui répondit à la place de sa fille :

— Tu parles… sage mademoiselle ? C’est comme tes chipies, si je ne lui administre pas une bonne fessée déculottée au moins deux fois par semaine, elle est infernale.

Odile tapota à nouveau, mais un peu plus sèchement les fesses rondes de la jeune fille :

— Tu devrais essayer le thermomètre, depuis que je l’utilise sur les filles j’ai constaté une nette amélioration. Bon je ne te dirai pas que je ne leur baisse plus la culotte, mais c’est un peu moins fréquent, la perspective de se retrouver avec le thermomètre dans les fesses au milieu du salon devant tout le monde a un grand pouvoir dissuasif.

Annie regardait sa fille en souriant :

— Tu as entendu ma chérie, maman va essayer une nouvelle punition.

Louisa fit la grimace, Chloé lui avait parlé de cette manie qu’avait sa mère de lui mettre un thermomètre dans le derrière pour remplacer le coin.

Odile continuait de tapoter les fesses de la jeune fille, elle aurait bien voulu les voir de plus près, Louisa n’osait pas bouger :

— Je vais te donner l’adresse de la pharmacie où je les achète, en attendant tu n’as qu’a m’envoyer la petite je vais t’en prêter un si tu veux essayer.

Annie regarda sa fille avec un sourire gourmand :

— C’est parfait, je me demande si mes fessées sont suffisantes on dirait que ça ne lui fait ni chaud ni froid, il faut que j’essaye quelque chose. Tu as entendu ma chérie, tu vas aller chez Odile et elle va te donner un thermomètre pour ton petit derrière.

Louisa avait les joues très rouges, elle ne répondit pas, Laurence était contente que l’attention se soit détournée d’elle. Odile se leva :

— Bon, on y va. Louisa tu viens avec nous.

Elle claqua les fesses de la jeune fille pour lui signifier qu’elle n’avait pas le choix et fit de même avec Laurence pour asseoir son autorité. Annie lui fit un clin d’œil :

— J’ai l’impression qu’il n’y a pas que Louisa qui va goûter au thermomètre.

Odile se mit à rire :

— En effet, c’est également très efficace sur les mamans.

Heureusement Louisa n’avait pas entendu, elle était déjà sur le palier. Arrivées à la maison, elles croisèrent Laetitia qui sortaient, elle leur annonça qu’elle devait aller chez Brigitte pour un contrôle de français, elle demanda à sa mère si elle avait l’autorisation de rejoindre Chloé en ville ensuite. Odile avait des projets avec Laurence, elle donna son accord en précisant qu’elles devraient être rentrées à vingt heures sous peine d’une cuisante correction.

Laetitia s’éclipsa ravie, elle avait tout l’après-midi pour se livrer à ses activités perverses avec ses deux pupilles. Les fesses des deux dames d’âge mûr resteraient rouges.

Odile se dirigea vers la salle de bain et en revint avec deux thermomètres, elle en tendit un à Louisa :

— Tiens ma petite chérie, tu vas amener ça à maman, je pense qu’elle va en faire bon usage.

La jeune fille tendit la main sans répondre, Odile lui mit le doigt sous le menton :

— Tu as perdu ta langue ?

Louisa continuait obstinément à baisser les yeux, la sévère maman se mit à sourire, cette petite lui tendait une perche pour découvrir son petit fessier. Elle la saisit par l’oreille :

— Je vais t’apprendre la politesse ma chérie.

Elle s’installa sur une chaise et bascula la jeune fille en travers de ses cuisses :

— On va voir si tu as encore des cordes vocales !!

En un instant la jupe avait volé sur les reins et la culotte était baissée sous les fesses. Louisa avait juste eu le temps de crier pour protester :

— Non, non, madame… Non, aïe, aïe…


Déjà la fessée crépitait dans la pièce sous le regard intéressé de Laurence, la jeune fille se débattait, mais elle ne pouvait que battre des jambes car Odile la maintenait fermement par la taille, elle se mit à rire en continuant d’administrer de magistrales claques sur le derrière bien rebondi :

— On dirait que tu as retrouvé ta voix.

Les mignonnes fesses de la donzelle étaient rouges à présent, Odile la remit sur ses pieds sans la reculotter :

— Tu restes cul nu sous ta jupe, je pense que ta maman va s’occuper de ton derrière, il sera prêt. Estime-toi heureuse que je te laisse ta jupe, la prochaine fois tu traverseras la cour les fesses à l’air, allez file !!

Une magistrale claque appliquée au milieu du fessier écarlate incita Louisa à quitter la pièce. Odile se tourna vers Laurence en souriant, celle-ci était ravie de cet intermède :

— Elle a vraiment une très mignonne paire de fesses, je comprends qu’Annie la déculotte souvent.

Elle prit le thermomètre sur la table et l’agita en l’air :

— Maintenant, à nous deux vilaine fille.

Laurence ouvrit la bouche pour protester mais déjà Odile lui avait saisi l’oreille :

— Non, non, aïe…

Une claque très sèche sur la cuisse lui fit comprendre qu’elle n’était plus maîtresse de son destin, Odile s’était assise sur la chaise qui avait servi pour la fessée de Louisa :

— Ne commence pas à faire ta mauvaise tête, tu sais très bien que ça m’agace !

Laurence se retrouva rapidement dans une position qu’elle commençait à connaître. Et malheureusement pour elle la suite fut classique également, sa jupe troussée sur ses reins et un déculottage rapide, elle avait déjà reçu deux magistrales fessées déculottées et elle en position pour en recevoir une troisième. Elle trémoussa un peu son derrière pour essayer d’amadouer sa maîtresse et elle minauda :

— Chérie, je n’ai plus l’âge, tu ne veux pas qu’on essaye autre chose.

Le petit intermède saphique de la veille était encore dans sa mémoire. Odile la fit déchanter, elle claqua sèchement le fessier encore rouge :

— Ma chérie, nous verrons plus tard si tu mérites des câlins, mais pour le moment on va régler ton petit problème d’indiscipline chez Annie.

Laurence serra les fesses sous la menace, ce qui fit sourire Odile :

— Tu as raison de craindre pour ton derrière ma chérie, tu connais l’adage puisque Clara m’a dit que tu l’appliquais « une fessée à l’école égale deux fessées à la maison ». Je vais donc t’administrer la première maintenant et ensuite tu vas goûter au thermomètre, pour la deuxième ça dépendra de ta sagesse.

Elle leva la main et administra une dizaine de claques sur les belles fesses de Laurence, puis elle s’arrêta et prit sa brosse à cheveux, c’était une découverte pour la punie, jamais elle n’avait été fessée avec un instrument, la brûlure la surprit et elle se mit à se débattre, ses cris emplissaient la pièce, Odile la maintenait solidement par la taille et s’appliquait à n’oublier aucune partie du postérieur :

— Alors ma chérie, tu la sens bien celle-là ? Tu recommenceras à désobéir à maman ?



— Non, non, aïe, arrête, aïe, aïe… Ça fait trop mal…

Laurence se mit à pleurer rapidement, Odile ne s’arrêta pas pour autant, elle voulait que son amie accepte sans rechigner ses punitions, il lui fallait une sévère correction. Les fesses étaient cramoisies, elle posa sa brosse et passa sa main sur la croupe brûlante :

— C’est parfait ton derrière est prêt, allez desserre tes fesses, si tu n’en veux pas une autre.

Laurence pleurait comme sa fille après un passage en travers de ses cuisses, la sévère maman écarta les deux hémisphères écarlates, la maman de Clara était vaincue. Elle n’était plus l’autoritaire mère de famille qui troussait et déculottait les deux étudiantes pour les fesser d’importance, mais juste une grande fille couchée sur les genoux d’une maîtresse qui s’apprêtait à lui faire subir l’humiliante introduction d’un thermomètre dans ses fesses largement écartées.



L’instrument médical pénétra doucement, les trois fessées reçues avaient fait leur effet, Laurence se laissa faire. Odile satisfaite lui tapota les fesses brûlantes :

— Alors ma chérie quelle effet ça te fait de te faire prendre la température par maman Odile ? Ça te rajeunit ?

Laurence gémissait doucement :

— Pardon Odile, s’il te plaît… oui j’ai compris… Si les filles arrivent…

La sévère maîtresse lui caressait les fesses, elle se mit à rire :

— C’est vrai que tu n’es pas dans une position très glorieuse ma pauvre chérie, mais ta paire de fesses est vraiment magnifique et tu l’as bien cherché. De toute façon tu vas garder le thermomètre un moment, il va falloir t’y habituer.

La punie se mit à supplier :

— Oh non, s’il te plaît…

Odile lui administra une claque sur chacune de ses fesses :

— Cesse un peu ces jérémiades, tu es punie, un point c’est tout, si tu veux une autre fessée tu n’as qu’a le dire.

Immédiatement les gémissements cessèrent :

— Tu vas te lever doucement en serrant les fesses, si le thermomètre ressort gare à toi.

Laurence le rouge aux joues, s’exécuta, Odile lui désigna le canapé :

— Couche-toi sur l’accoudoir.

Sans un mot, elle s’installa les fesses pointées vers le ciel, Odile s’approcha et les écarta pour enfoncer un peu plus le thermomètre :

— Tu es bien installée ? Tu en as pour une heure à exposer tes fesses ma chérie, détends-toi. Tu es ravissante.

Laurence pensa aux filles qui pouvaient rentrer à tout moment, elle supplia :

— Odile, s’il te plaît ne me laisse pas là si quelqu’un arrive.

Celle-ci se mit à rire :

— Eh bien ils verront ce qui arrive aux dames désobéissantes, même quand elles croient avoir passé l’âge de la fessée cul nu.

Elle claqua les fesses en souriant :

— Rassure-toi quand même, les filles ne vont pas rentrer, pour une fois qu’elles ont l’autorisation de sortir jusqu’à vingt heures, elles vont en profiter.

Laurence dut se résigner, elle allait passer une heure dans cette position humiliante, Odile l’avait laissé pour se livrer à ses activités domestique. Le temps lui paru affreusement long, elle sursautait et contractait son derrière au moindre bruit, mais personne n’eut le plaisir d’admirer sa croupe écarlate bien exposée.





1 commentaire:

  1. Une bonne brosse de bain ou à cheveux , ne peut être négligée, pour terminer une bonne fessée , bien cuisante

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