La punition de Suzanne
Comme dans un rêve l’ancienne gouvernante s’approcha de la jeune femme qui aurait pu être sa petite fille, ses jambes touchaient les cuisses de Laetitia, elle eut un mouvement de recul :
— Non, non mademoiselle Laetitia… enfin, j’ai soixante-dix ans… quand même.
Celle-ci lui saisit la main et en riant l’attira près d’elle :
— La belle affaire, il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée quand on la mérite, regardez Brigitte qui nous présente son derrière bien rouge, elle n’est pas très jeune et puis je peux vous dire que vous la méritez cette fessée depuis le temps que vous jouez à la curieuse derrière votre fenêtre. Allez en piste !!
Elle tira sur le bras de Suzanne et la fit basculer en travers de ses cuisses, celle-ci ne résista pas, elle était assez menue, mais sa croupe tendait quand même sa jupe. Laetitia était surprise de la facilité avec laquelle Suzanne s’était soumise, elle tapota la jupe, elle voulait vérifier si la demoiselle de soixante-dix ans allait se laisser faire :
— Vous êtes bien installée ? Ça vous rajeunit n’est-ce pas ?
L’ex-gouvernante ne répondit pas, elle était revenue des années en arrière, une jeune femme de chambre punie par la responsable de l’étage dans la chambre de l’hôtel Royal. Les souvenirs lui revenaient par bouffée, mademoiselle Louise était sévère et perverse, elle aimait déculotter et rougir les fesses des jeunes femmes qui étaient sous son autorité, il ne se passait pas une semaine sans qu’elle finisse sa journée avec les fesses brûlantes.
Plus tard elle lavait adoré jouer les mères fouettardes à son tour, mais aujourd’hui c’était sa robe qui était retroussée. Elle sentit l’air frais sur ses cuisses, Laetitia avait saisi l’ourlet comme elle en avait l’habitude depuis quelque temps et l’avait retroussée haut sur les reins, elle portait une culotte rose qui couvrait bien son derrière, on le devinait crispé par l’angoisse, mais à aucun moment elle n’avait cherché à se dérober. La jeune femme caressa le sous-vêtement :
— Ma chère Suzanne, vous avez une jolie culotte, mais je suis désolée, je vais être obligée de vous la baisser.
La vieille fille sembla sortir de sa torpeur, elle se mit à gémir :
— Oh non mademoiselle Laetitia, s’il vous plaît pas la culotte, j’ai trop honte.
Elle protestait doucement, mais ne bougeait pas, Laetitia se rendit compte que la partie était gagnée, elle arborait un sourire triomphant, elle claqua la croupe culottée :
— Bien sûr que je vais vous baisser la culotte ! Et si vous avez honte de me montrer vos fesses c’est parfait, c’est justement pour ça que je vous déculotte.
Tout en parlant elle avait glissé ses doigts sous l’élastique de la ceinture et elle faisait glisser la lingerie sur le derrière de Suzanne. Depuis le temps, celle-ci avait oublié combien c’était humiliant de sentir le regard d’une étrangère sur son intimité mise à nu. Elle sentit les doigts de la jeune femme caresser ses fesses, elle geignait doucement :
— Oh non mademoiselle, s’il vous plaît pas la fessée cul nu.
C’était le terme qu’avait employé la gouvernante le jour de son embauche « en cas de travail mal fait, c’est la fessée cul nu ! ». Même si ça remontait à plus de cinquante ans, elle s’en souvenait comme si c’était hier. Le claquement sec suivi d’une brûlure l’avertit que la punition avait commencé, ce ne fut pas une petite fessée, mais une vraie correction. Malgré son jeune âge, Laetitia se comportait comme une maman sévère corrigeant sa grande fille, que celle-ci ait soixante-dix ans n’avait aucune importance. Bientôt les fesses prirent une belle couleur rouge, les cris mêlés aux pleurs de Suzanne remplissaient la pièce, ses jambes pédalaient dans le vide, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles. Laetitia s’appliquait, c’était la première fessée de la demoiselle, il fallait qu’elle s’en souvienne, ce ne serait pas la dernière, mais cette expérience allait rester gravée dans son cerveau et nul doute que comme Brigitte, elle accepterait désormais l’autorité de la jeune femme. La croupe était écarlate comme le haut des cuisses, la punition cessa :
— Voilà ce que j’appelle une bonne fessée déculottée ma chère Suzanne. Avouez que vous l’aviez méritée.
La vieille fille ne répondit pas, elle pleurait comme une gamine, ses fesses se serraient pour essayer d’atténuer la cuisson, Laetitia se mit à rire :
— On dirait que mademoiselle a chaud aux fesses, ça vous brûle ma petite Suzanne ?
L’ex-gouvernante sanglotait doucement, une claque sèche atterrit sur son derrière meurtri :
— Quand je pose une question on répond mademoiselle, vous voulez une autre fessée ?
Suzanne se mit à gémir :
— Non, non mademoiselle Laetitia, plus la fessée s’il vous plaît.
Laetitia adorait tourmenter ses punies, elle les voulait soumises, Suzanne n’échapperait pas à sa perversité, elle claqua une dizaine de fois le fessier brûlant, la vieille fille se remit à crier et à supplier :
— Non, non, aïe, aïe… Pardon, ça brûle mademoiselle.
La jeune femme cessa la correction et posa sa main sur la croupe brûlante :
— Alors vous allez me répondre ma petite Suzanne, ma main n’est pas fatiguée et vos fesses peuvent encore rougir. Je répète mes deux questions. Avez-vous mérité cette fessée oui ou non et est-ce que votre petit derrière vous brûle ? Dépêchez-vous de répondre ou je recommence la fessée et je vous garantis que vous aurez du mal à vous asseoir ce soir.
La demoiselle était redevenue une petite bonne sur les genoux de la gouvernante, elle sanglotait, Laetitia releva la main :
— Très bien, tu l’auras cherché.
La fessée reprit de plus belle, la jeune femme administrait de grandes claques espacées, le fessier cramoisi tressautait à chaque fois, la demoiselle punie pleurait et suppliait en même temps, ses pieds continuaient de battre l’air et sa culotte était entortillée autour des chevilles. Suzanne allait se souvenir longtemps de la première correction de sa jeune maîtresse. Laetitia cessa à nouveau la fessée :
— Ça te suffit ou je continue ?
Elle était passée naturellement au tutoiement, sa main était posée sur la fesse droite, en sanglotant Suzanne répondit :
— Oui mademoiselle, pardon… ça brûle…
Laetitia souriait :
— Tu l’avais bien mérité n’est-ce pas ?
— Ou… oui mademoiselle…
— Tu vas me dire ça un peu mieux, répète après moi, « merci mademoiselle de m’avoir administré cette bonne fessée déculottée que j’avais bien méritée ».
Suzanne avait tellement mal aux fesses qu’elle ne souhaitait qu’une chose, que la punition s’arrête, elle répéta docilement :
— Merci mademoiselle de m’avoir administré cette bonne fessée déculottée… Aïe…
La main de Laetitia venait de reclaquer deux fois les fesses endolories :
— Tu recommences et tu ne t’arrêtes pas !
— Merci mademoiselle de m’avoir administré cette bonne fessée déculottée que j’avais bien méritée.
Laetitia se mit à rire, elle tapota le derrière écarlate :
— Eh bien nous y voilà, notre petite Suzanne devient mignonne, il n’y a rien de mieux qu’une bonne déculottée pour faire obéir les vilaines filles de soixante-dix ans. Tu vas voir, mademoiselle Laetitia va s’occuper régulièrement de tes jolies fesses et tu n’y auras plus jamais froid.
Elle fit relever la demoiselle, des larmes coulaient sur ses joues. Comme elle l’avait fait pour Brigitte elle lui saisit l’oreille et la conduisit à côté de la professeure, sa culotte la gênait pour marcher, elle faillit trébucher. Quand elle eut mis son nez contre le mur, Laetitia remonta la culotte à mi-cuisses et épingla la robe dans le dos avec une de ses pinces à cheveux. Elle se recula légèrement pour admirer le spectacle :
— Voilà deux jolis derrières.
Elle prit son téléphone :
— Vous allez tourner la tête vers moi en gardant les mains dessus.
Elle prit immédiatement une photo, on distinguait bien les visages des deux punies et leurs fesses nues très rouges :
— C’est parfait, remettez votre nez contre le mur. Cette petite photo restera confidentielle tant que vous serez docile, s’il vous prenait l’idée de refuser mes punitions, tout le monde pourra voir que vous recevez encore la fessée déculottée à votre âge.
Les deux dames d’âge mûr étaient désormais à la merci de la jeune femme, elle n’allait pas se priver d’user et d’abuser de ce nouveau pouvoir.
Elle s’approcha de Brigitte et glissa sa main entre ses cuisses puis remonta dans la raie médiane. Son doigt s’insinua jusqu’au petit trou qu’elle titilla :
— Alors ma petite Brigitte, tu aimes quand mademoiselle Laetitia s’occupe de ton gros derrière n’est-ce pas ?
La professeure gémissait doucement, rouge de confusion, le doigt pressa un peu plus l’anus :
— Réponds vite sinon tu vas revenir sur mes genoux ma chérie.
— Oh… mademoiselle… euh… aïe…
La main avait claqué sa croupe, elle ne désirait pas reprendre une autre correction, elle avala sa salive :
— Oui, oui mademoiselle…
— Oui quoi ?
La main reclaqua le fessier brûlant.
— Oui mademoiselle, j’aime que vous vous occupiez de mes bonnes grosses fesses.
Elle en avait rajouté dans l’humiliation afin d’amadouer sa jeune maîtresse. Celle-ci souriait ravie de la soumission de cette dame qui aurait pu être sa grand-mère, elle tapota les larges fesses bien rouges :
— Eh bien, puisque tu aimes ça, je te promets que tu ne seras pas déçue, tu vas voir comme je vais bien te les rougir ma chérie. Vous êtes trop mignonnes toutes les deux avec vos derrières bien rouges, ne bougez pas de là.
Elle entreprit de visiter l’appartement de Suzanne, dans la salle de bain, elle sourit en voyant une brosse à cheveux avec un large manche en bois « Ça va bien chauffer tes petites fesses ma chérie ", elle ouvrit les tiroirs et elle trouva enfin ce qu’elle cherchait, une dame de l’âge de l’ex-gouvernante avait obligatoirement un thermomètre traditionnel en verre, elle le regarda ravie « et ça c’est pour garnir ton petit trou ». Elle revint dans le salon, les deux punies n’avaient pas bougé.
Elle s’approcha de Brigitte et lui claqua sèchement les fesses :
— Pour le moment, ta pénitence est levée, tu peux te reculotter.
Puis elle se dirigea vers Suzanne, ses fesses étaient contractées, la jeune femme la prit par l’oreille et l’amena au centre de la pièce. Brigitte était contente à double titre, d’abord elle avait pu remonter sa culotte et couvrir ses fesses et en plus elle allait assister à n’en pas douter à la suite de la punition de la demoiselle. Celle-ci s’était régalé au spectacle de sa correction, c’était un juste retour des choses.
Laetitia s’était assise sur une chaise, elle fit basculer sa nouvelle pupille en travers de ses cuisses :
— Je vais continuer à m’occuper de ton derrière ma chérie.
Elle tapota la croupe avec le dos de la brosse à cheveux :
— J’ai trouvé ça dans ta salle de bain, est-ce que tes fesses y ont déjà goûté ?
Le derrière de Suzanne se crispa un peu plus, mais instruite par la double fessée reçue précédemment, elle jugea utile de répondre :
— Non, mademoiselle Laetitia, jamais.
La jeune femme tapota un peu plus sèchement la croupe :
— Eh bien tu vas voir comme c’est bon.
La brosse commença à claquer le fessier de la demoiselle qui aussitôt poussa des cris déchirants, heureusement que laetitia la tenait solidement par la taille, car elle se mit à se débattre pour échapper à la morsure du sévère instrument, ses jambes battaient l’air et elle se mit à pleurer rapidement :
— Aïe, aïe, aïe, non, non mademoiselle plus la fessée, non ça brûle… Pardon je serai sage…
La jeune femme se mit à rire de ses supplications enfantines, décidément ce nouveau rôle de baby-sitter de dames âgées était vraiment très amusant :
— J’espère bien que tu seras sage ma petite Suzanne, sinon tu auras panpan cucul comme une vilaine fille.
Elle s’amusait à infantiliser sa victime, c’était tellement excitant, la fessée fut assez courte, mais les tourments de la vieille fille n’était pas terminé, Laetitia posa la brosse sur le dos de la punie et prit le thermomètre, avec deux doigts elle écarta les fesses écarlates. La pauvre Suzanne se rendit compte qu’elle allait subir le même traitement humiliant que Brigitte la veille, malgré la brûlure qui envahissait son fessier et les risques d’une deuxième fessée, elle essaya de retarder l’échéance en serrant ses fesses. Calmement la jeune baby-sitter reprit la brosse :
— Je savais bien que j’en aurais encore besoin.
L’ex-gouvernante brailla comme une gamine punie dès que la brosse se remit à claquer.
— Oh tu peux crier tout ton saoul ma chérie, je te garantis que tu vas finir par comprendre qu’il ne sert à rien de vouloir éviter ta punition. A chaque fois ce sera la même chose, la fessée sera doublée.
Laetitia était à bonne école avec Odile qui elle-même avait appris les bases d’une éducation sévère avec Claudine sa maman. Dans la famille, de génération en génération les mères rougissaient les fesses de leurs filles.
La croupe de Suzanne était littéralement cramoisie, cuite à point pour utiliser une expression d’Odile, la jeune maîtresse reposa la brosse sur les reins de la punie :
— Elle reste à la disposition de ton derrière ma petite Suzanne. Si tu te laisses faire elle restera là, mais gare à toi si tu serres les fesses.
Elle écarta à nouveau les deux hémisphères écarlates, mettant à jour la petite rondelle brune, elle commençait à avoir l’habitude, les deux étudiantes lui avait déjà présenté cet endroit secret et celui de Brigitte n’avait plus de secret pour elle.
C’était une humiliation intense pour la demoiselle de soixante-dix ans, jamais depuis qu’elle avait quitté l’enfance on ne lui avait fait subir un examen aussi intime. Elle sentait le regard de sa jeune maîtresse braqué sur sa raie grande ouverte, elle se mit à pleurer de honte.
Laetitia souriait en tenant à deux doigts les fesses écartées, elle se tourna vers Brigitte :
— Tu vois ce qui arrive aux petites curieuses et aux désobéissantes. Notre chère Suzanne va comprendre que mademoiselle Laetitia est une baby-sitter sévère.
Brigitte souriait également, ses fesses étaient encore douloureuses, mais voir sa voisine dans cette posture honteuse la consolait un peu. Elle approcha pour voir de plus près ce fessier rubicond. Laetitia prit le thermomètre et le posa sur la rondelle :
— Ce joli derrière attend le thermomètre, on ne va pas le faire patienter plus longtemps. Allez ma petite chérie on se décontracte, tu vas voir comme ça fait du bien un thermomètre dans les fesses après une bonne déculottée.
Elle exagérait vraiment les bienfaits de l’introduction d’un thermomètre dans son fondement, c’était surtout très humiliant. Mais c’était vraiment excitant pour les deux spectatrices, Suzanne geignait doucement mais la double fessée à la brosse avait fait son effet et elle ne serra pas les fesses.
Comme à son habitude la jeune femme l’enfonça profondément, puis elle relâcha les fesses :
— Voilà, il est bien en place, si tu avais été sage ça t’aurais évité la deuxième fessée. C’est toujours comme ça au début, il faut expliquer aux fesses ce que les oreilles n’entendent pas.
Suzanne ne disait rien complètement surprise par cette nouvelle expérience, la tête près du sol, les fesses brûlantes et largement exposées. Laetitia tournait doucement le thermomètre et le faisait coulisser, le sortant légèrement puis le rentrant profondément, il fallait que la domination soit complète, elle expliqua à la demoiselle ce qu’elle attendait d’elle à partir de maintenant :
— Demain tu iras acheter un martinet, je t’indiquerai la boutique où maman se les procure, tu l’accrocheras dans la cuisine, il doit toujours être disponible. Chaque fois que je viendrai te voir tu me présenteras ton derrière, Brigitte va te montrer comment faire.
Le sourire de la professeure se figea en entendant ces derniers mots, décidément mademoiselle Laetitia n’oubliait rien. Elle continua :
— Tu vas garder le thermomètre une heure, ça t’apprendra l’obéissance, je ne vais pas te tenir sur mes genoux pendant tout ce temps, tu vas te relever doucement en serrant bien tes fesses pour garder le thermomètre en place. Allez on se lève !
Elle avait claqué sèchement le fessier, Suzanne le visage rouge de honte se releva, elle baissait la tête pour ne pas croiser le regard des deux spectatrices, surtout celui de Brigitte qui avait assisté à son humiliation. Laetitia lui plaça un doigt sous le menton pour lui faire lever les yeux :
— Regarde-moi quand je te parle ! C’est bien d’avoir ce thermomètre dans le derrière ?
Suzanne était au supplice, les épisodes précédents avaient été cuisants pour ses fesses, elle savait qu’il lui fallait répondre :
— Oui… Oui mademoiselle Laetitia…
La jeune femme éclata de rire :
— C’est bien ce que je t’avais dit, eh bien puisque tu sembles aimer ça ne t’inquiète pas tu auras souvent ton petit cul garni.
L’ex-gouvernante se mordit les lèvres, ce n’était pas si agréable, mais elle avait répondu ça pour faire plaisir à la jeune femme et éviter une nouvelle punition. Laetitia se tourna vers Brigitte :
— Tu vas montrer à Suzanne comment elle doit faire quand j’arrive chez elle.
La professeure rougit, mais ne protesta pas, les multiples fessées avaient fait leur effet, elle se tourna et souleva sa jupe, puis elle baissa sa culotte sous ses fesses et se pencha légèrement pour bien faire ressortir son large fessier encore rouge, elle tenait sa jupe pour qu’elle ne retombe pas.
Laetitia s’approcha et caressa cette belle croupe :
— C’est parfait, puisque tu es cul nu, tu vas retourner au coin, tes fesses n’ont pas assez refroidi.
Docilement Brigitte se plaça à nouveau le nez contre le mur en tenant toujours sa jupe, sa jeune maîtresse s’approcha et coinça l’ourlet dans la ceinture, puis elle claqua le derrière :
— Mets tes mains sur la tête !
Elle se tourna vers Suzanne :
— Tu as vu comment Brigitte a fait, je te conseille de ne pas oublier sinon gare à tes fesses.
Elle s’approcha de la demoiselle qui serrait toujours ses fesses sur le thermomètre et lui prit l’oreille :
— Viens un peu là ma jolie.
Elle l’attira vers le canapé et la fit se coucher sur l’accoudoir, elle vérifia que le thermomètre était bien en place, puis claqua une nouvelle fois le fessier rougeoyant :
— Voilà deux petits culs bien rouges et bien exposés. Je vais vous laisser un moment, j’ai une course à faire, ne vous avisez pas de bouger ni l’une ni l’autre, sinon je vous garantis que vous aurez du mal à vous asseoir pendant plusieurs jours.
Elle ouvrit en grand les rideaux du salon et sortit en prenant soin de fermer la porte à clé. Elle garda le trousseau dans son sac, les deux dames étaient donc enfermées dans l’appartement comme deux gamines punies par leur maman.
Au bout de quelques minutes de silence, Suzanne chuchota :
— Brigitte, vous croyez qu’elle va nous laisser là longtemps ?
La professeure répondit doucement :
— On ne doit pas parler quand on est au coin.
— Mais elle est partie…
— Oui, je sais, mais il faut faire attention, si elle revient à l’improviste et qu’elle nous entend, ça craint pour nos fesses.
— On va parler doucement et on entendra la clé.
Brigitte avait légèrement tourné la tête tout en la gardant tout près du mur, elle pouvait voir le fessier cramoisi de Suzanne tendu vers le ciel et le thermomètre dépassant de la raie fessière bien serrée.
— D’accord…
— Je vous demandais si elle allait nous laisser là longtemps ?
— Vous l’avez bien entendu, elle a dit que vous alliez le garder une heure, elle tient toujours ses promesses, j’en sais quelque chose.
Suzanne contracta ses fesses et bougea légèrement, elle soupira :
— Mais c’est long… Une heure comme ça ?
— Il va falloir vous y habituer, et rester au coin aussi. C’est pénible surtout quand il y a du monde, mais je préfère quand même ça à la fessée.
Suzanne se mit à gémir :
— Comment ça, quand il y a du monde ? Elle vous laisse les fesses à l’air en public ?
— Oh oui, et sa mère fait ça aussi très souvent, elle dit que la punition est plus efficace quand il y a des spectatrices.
— Oh mon dieu… c’est impossible.
Malgré la situation et la cuisson de ses fesses, Brigitte ne put s’empêcher de sourire :
— Je crains ma chère que vous n’ayez pas le choix, à moins que vous ne teniez à ce qu’elle divulgue les photos de vos fesses bien rouges.
Suzanne ne répondit pas, elle se concentra sur la brûlure de ses fesses, ses mains se portèrent vers sa croupe pour la frotter. Brigitte la regardait du coin de l’œil :
— Vous ne devriez pas faire ça, d’abord c’est interdit et en plus ça ne sert à rien, vos fesses vont continuer à vous cuire toute la soirée, c’est normal après une fessée à la brosse.
Suzanne reposa ses mains sur le canapé et se contenta de soupirer.
Pendant ce temps Laetitia était rentrée chez elle. Il n’y avait personne, elle fut rassurée, sa mère ne se demanderait pas où elle était passée. Dans sa chambre elle s’allongea sur son lit et se repassa le film de cette matinée, c’était vraiment excitant, elle glissa sa main dans sa culotte et se mit à se caresser, elle arriva quasiment à la jouissance en revoyant les images des deux paires fesses qu’elle avait déculottées et fessées sans retenue, ces deux dames d’âge mûr étaient maintenant entièrement soumises à ses caprices, elle les imagina en pénitence les fesses à l’air. Elle avait tout son temps, la crainte d’une nouvelle correction allait les faire tenir tranquille.
Elle se leva et regarda par la fenêtre, elle apercevait l’appartement de Suzanne, aucune trace de mouvement n’était visible. Elle vit Brigitte le nez posé contre le mur et les mains sur la tête, on ne distinguait pas Suzanne, il faudrait qu’elle trouve l’endroit où la mettre quand elle serait en pénitence afin qu’on la voie les fesses à l’air. Il était temps d’y retourner.
Elle tourna très doucement la clé et rentra en silence dans l’appartement, les deux punies n’avaient pas bougé :
— C’est bien, je vois que la bonne fessée déculottée de mademoiselle Laetitia a fait de l’effet vous êtes devenues de gentilles petites filles.
Elle s’approcha de Brigitte et tapota sa croupe encore rouge, elle avait perdu un peu de sa chaleur, puis elle se dirigea vers Suzanne, ses fesses étaient encore écarlates, la brosse avait été très efficace, elle caressa le derrière puis commença à faire coulisser le thermomètre :
— Alors ma petite chérie, tu le sens bien dans ton petit cul ?
La vieille fille contracta ses fesses sans répondre, une claque sèche frappa sa fesse droite.
— Alors ?
— Oui, oui mademoiselle, pardon, s’il vous plaît plus la fessée.
Elle gémissait, craignant une nouvelle correction. La jeune femme souriait fière de son autorité :
— Il va falloir t’apprendre à répondre quand je te pose une question. Bon tu en as encore pour une demi-heure.
Elle regarda le gros derrière de la professeure, une petite humiliation supplémentaire lui ferait le plus grand bien. Elle la saisit par l’oreille :
— Allez, tu as fait assez de coin, je te ramène à la maison.
Brigitte se mit à gémir quand elle se rendit compte que sa jeune maîtresse comptait la faire traverser la cour de l’immeuble avec les fesses nues :
— Oh non mademoiselle Laetitia, s’il vous plaît, remettez-moi au moins la jupe.
La jeune perverse se mit à rire et claqua sèchement les fesses de sa soumise :
— Bien sûr que non, tu vas rester cul nu ma chérie, allez en route !
Elle tenait toujours la professeure par l’oreille comme si elle était une gamine, Brigitte se demanda avec effroi si en plus de traverser la cour les fesses nues elle allait aussi marcher tenue par l’oreille comme une mauvaise élève. Elle était dans l’entrée, Laetitia ouvrit la porte et enfin lui lâcha l’oreille, une nouvelle claque atterrit sur son derrière pour lui indiquer qu’il était temps d’avancer :
— On y va tu vas voir comme ça va faire du bien à ton joli derrière de prendre l’air.
Elle se tourna vers Suzanne :
— Quant à toi je te conseille de ne pas bouger si tu veux pouvoir t’asseoir ce soir.
Elles descendirent l’escalier, Brigitte complètement affolée regardait dans toutes les directions pour guetter l’éventuelle arrivée d’une habitante de l’immeuble, Laetitia lui avait pris la main et la faisait avancer rapidement. Quand elles arrivèrent dans la cour, Brigitte se raidit légèrement, Laetitia se mit à rire :
— Madame a peur de montrer ses fesses nues, tu devrais te dépêcher pendant qu’il n’y a personne et puis n’oublie pas que je peux te flanquer une autre fessée ici si c’est nécessaire pour te faire avancer.
Elles traversèrent la cour sans rencontrer personne, en arrivant dans le hall, une dame attendait devant l’ascenseur, elle se tourna vers elles, Brigitte rouge de honte reconnu sa voisine de palier, la porte de l’ascenseur s’ouvrit, Sylvie Belon s’effaça pour les laisser passer.
Brigitte la connaissait depuis très longtemps, elles étaient voisines déjà du temps de son mari et elle était sûr qu’elle était au courant des méthodes utilisées par celui-ci pour gérer leur couple. Bien que celui-ci ne l’ait jamais puni d’une fessée en public, elle avait sans aucun doute possible entendu le bruit des déculottées qu’elle recevait régulièrement. Elle la salua amicalement :
— Bonjour Brigitte comment allez-vous ?
Quand la professeure poussée par Laetitia passa devant elle, elle poussa un petit cri d’étonnement en voyant la jupe retroussée par-derrière et la culotte baissée sous les fesses découvrant parfaitement le postérieur encore rouge de sa voisine.
— Mon dieu, mais…
Sa phrase resta en suspens, Laetitia la regarda en souriant :
— J’ai été obligée de punir Brigitte, je la raccompagne chez elle, mais comme elle n’a pas fini son temps de coin, c’était inutile de lui remonter la culotte.
Sylvie Belon esquissa un sourire, ainsi sa voisine continuait d’être soumise à ce châtiment enfantin, peut-être aimait-elle ça :
— Si c’est ça je comprends mieux, vous lui avez donc administré une fessée déculottée ?
— Oui nous sortons de chez mademoiselle Vilpot, Brigitte a été insupportable, j’ai été obligée de sévir. Une bonne fessée déculottée ça remets les idées en place à tout âge n’est-ce pas ?
L’ascenseur était arrivé à l’étage, Laetitia prit la professeure par la main et la conduisit devant la porte de son appartement, Sylvie était fascinée par le plantureux fessier de sa voisine exposé à sa vue, cette jeune femme semblait savoir ce qu’elle voulait son regard perçant l’impressionnait, avant d’ouvrir la porte, elle se tourna vers elle :
— Je ne suis pas toujours là pour surveiller Brigitte, si par hasard vous constatez un mauvais comportement de sa part, signalez-moi le ou même mieux, je vous autorise à lui flanquer une fessée. Sylvie se mit à sourire devant cette proposition pour le moins originale, mais elle ne refusa pas, au contraire :
— Vous pouvez compter sur moi.
Brigitte était effondrée devant la perspective d’être sous le joug d’une nouvelle personne, laetitia ouvrit la porte et claqua sèchement les fesses de sa pupille :
— Allez entre et tu files te mettre au coin !
Sylvie fit un petit clin d’œil à la jeune femme :
— Je vois qu’avec vous elle file droit, c’était comme ça avec son défunt mari, je crois que c’est ce qu’il lui faut.
Une fois dans l’appartement, Laetitia indiqua le mur à Brigitte :
— Encore une demi-heure et tu pourras te reculotter. Je vais aller finir de m’occuper de Suzanne et ensuite je reviens, sois sage ma chérie.
Elle redescendit chez la demoiselle qui n’avait pas bougé, elle avait perdu un peu la notion du temps, quand Laetitia lui écarta les fesses et lui retira le thermomètre, elle lui claqua sèchement les fesses et l’autorisa à se relever. Puis elle lui fit quitter sa culotte :
— Tu es privée de culotte toute la journée et ta robe va rester épinglée dans ton dos jusqu’à ce que je pense que ta punition est suffisante.
Elle posa son doigt sous le menton de Suzanne pour qu’elle la regarde :
— Tu es contente que je m’occupe de toi ?
L’ex-gouvernante rougit violemment et répondit :
— Oui mademoiselle.
Triomphante, Laetitia ajouta :
— Alors qu’est-ce qu’on dit ?
— Mer… Merci mademoiselle Laetitia.
La jeune femme l’enlaça et lui fit une bise pendant que ses mains caressaient ses fesses :
— C’est bien ma chérie, tu vas voir comment je vais m’occuper de ton derrière. Allez je te laisse, je t’appellerai pour te dire quand tu pourras baisser ta robe. Bien sûr tu ne vas pas désobéir, n’est-ce pas ?
Elle savait que Suzanne ne toucherait pas à sa robe, elle savait qu’après le genre de correction qu’elle lui avait administré, on avait pas envie de faire la maligne.
Plus d'une semaine sans une nouvelle histoire tu cherche vraiment la fessee!!!!!
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