Sévère Laetitia
Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe :
— Coucou ma chérie, tu as passé une bonne nuit ? On va aller chez Annie tout de suite.
Laurence acquiesça, Odile la regarda en riant :
— Tu n’as pas l’air rassurée, tu n’as pas envie qu’elle t’examine on dirait ?
Laurence fit une petite moue et essaya de faire bonne figure :
— Oh arrête un peu, j’en ai vu d’autres.
Odile lui palpa à nouveau le derrière par-dessus la jupe :
— J’espère que tu as pris une bonne douche et que tes petites fesses sont propres, tu sais que c’est de ça qu’on va s’occuper aujourd’hui.
Laurence piqua un énorme fard, c’était humiliant comme question, on aurait dit une maman qui s’occupait de l’hygiène de sa fille, elle bredouilla :
— Mais enfin, oui… Bien sûr.
Odile était ravie de la gêne de son amie, en plus celle-ci au lieu de l’envoyer balader avait répondu comme pour se justifier. Elle lui claqua les fesses :
— Bon, alors on y va. Je connais Annie, elle déteste quand on est en retard.
Dès que sa mère fut partie, Laetitia grimpa les escaliers, elle avait gardé les clés de l’appartement de Brigitte. Elle entra doucement, un bruit familier parvenait du salon, des gémissements accompagnés de claquements secs. Quelqu’un recevait une fessée et avec ce son particulier, c’était certainement une fessée administrée sur la peau nue, une déculottée en quelque sorte.
La jeune fille s’approcha doucement, la porte était entrouverte, la première chose qu’elle vit fut les jambes d’une dame qui battaient l’air et une culotte entortillée autour des chevilles. En passant la tête elle vit un derrière écarlate, elle le reconnut immédiatement, c’était celui de Clémence.
Brigitte ne l’avait pas vue, elle était concentrée sur sa tache, la brosse à cheveux faisait des allers retour incessant sur la jolie croupe écarlate de la jeune étudiante. Clémence pleurait à chaudes larmes, ses battements de jambes étaient la preuve de l’efficacité de la punition.
La professeure morigénait son élève :
— Je vais t’apprendre à faire attention ! Dix fautes dans une simple dictée, c’est inadmissible, je te garantis que tu vas faire des progrès en orthographe, sinon tu auras chaud aux fesses très souvent.
Elle leva la tête et vit soudain Laetitia, la brosse resta en suspens au-dessus du fessier cramoisi. Laetitia la regardait en souriant :
— Ne t’arrête pas, je pense que cette chipie n’a pas les fesses assez rouges.
Clémence se mit à pleurer de plus belle, mais la fessée reprit, Brigitte se vengeait sur le derrière de la jeune femme des fessées reçues et de celles à venir, la présence de Laetitia ne lui disait rien qui vaille. Celle-ci leva la main :
— Bien, je crois que mademoiselle a compris.
Comme à regret, la sévère professeure posa la brosse, elle passa sa main sur l’épiderme enflammé, Clémence sanglotait toujours, ses fesses continuaient de se serrer puis de s’ouvrir comme pour atténuer la cuisson. Laetitia reprit la parole :
— Un passage au coin s’impose, ce serait dommage de ne pas exposer un si joli derrière.
Brigitte fit relever la punie, elle baissait la tête pour ne pas croiser le regard de sa jeune voisine, celle-ci s’approcha et lui mit un doigt sous le menton pour lui faire relever la tête :
— Alors mademoiselle n’a pas travaillé à ce que j’entends, file te mettre au coin, nous réglerons ça tout à l’heure.
Clémence se dirigea vers le mur, elle marchait à petit pas à cause de sa culotte enroulée autour de ses chevilles, Laetitia la suivait, dès qu’elle eut posé son nez contre le mur, elle retroussa la jupe qui cachait le fessier rougeoyant et coinça l’ourlet dans la ceinture, elle remonta la culotte à mi-cuisse et enfin elle claqua sèchement la croupe :
— Colle bien ton nez contre le mur et cesse de pleurnicher, tu l’as bien mérité cette correction.
Puis elle se tourna vers Brigitte qui ne savait pas quoi faire et la regardait les bras ballants, le regard moqueur de Laetitia la fit rougir :
— Tu n’as pas oublié quelque chose ma petite Brigitte ?
Les joues de la dame de soixante ans s’empourprèrent encore plus :
— Euh… c’est-à-dire… Je, je…
Laetitia lui fit un petit signe du doigt lui signifiant de se tourner, Brigitte compris soudain ce que voulait la jeune fille, elle bégaya à nouveau :
— Euh, oui, oui, pardon mademoiselle Laetitia.
Elle jeta un regard désespéré vers Clémence, comme pour supplier sa jeune maîtresse, celle-ci se délectait du désarroi de sa victime :
— Clémence a les fesses bien rouges, mais bientôt elle ne sera plus la seule, tu devrais te dépêcher.
Constatant l’inflexibilité de la jeune femme et consciente que toute résistance serait inutile, la professeure se tourna, retroussa sa jupe et glissant ses doigts dans la ceinture de sa lingerie intime entreprit de se déculotter, puis elle se pencha légèrement pour tendre sa croupe en espérant amadouer quelque peu sa sévère maîtresse. Laetitia s’approcha et tapota les fesses nacrées, elles ne portaient plus de traces des fessées de la veille :
— Tu as désobéi ma petite chérie, je vais donc être obligée de te punir, va chercher le martinet.
Brigitte se mit à gémir :
— Oh non mademoiselle, pardon, mais j’avais oublié, je vous promets que je ne recommencerai plus.
La main de la jeune fille claqua sèchement le large derrière tendu devant ses yeux :
— C’est justement pour que tu n’oublies plus que tu vas être punie, dépêche-toi, ma main me démange !
Vaincue, Brigitte se dirigea vers le hall d’entrée, Odile avait exigé que le martinet familial qui lui avait cinglé les fesses pendant de si nombreuse années, soit suspendu bien en vue à un crochet, juste en face de la porte. Elle revint en tenant piteusement l’instrument de punition, Clémence avait suivi la conversation, la tournure que prenaient les événements n’était pas pour lui déplaire.
Depuis une semaine Odile avait décidé de leurs faire donner des cours de français à elle et Clara et elles avaient rapidement été mises au courant des méthodes pédagogiques de la professeure en retraite, comme pour Laetitia et Chloé, les leçons ne se terminaient jamais sans qu’elles aient les fesses bien rouges et bien chaudes.
Entendre Laetitia traiter Brigitte comme si elle était une gamine était une douce revanche, elle en aurait presque oublié la brûlure de son fessier.
La jeune fille tendit la main pour se saisir de l’instrument punitif :
— Je pense qu’hier je n’ai pas été assez explicite, que dois-tu faire dès que j’arrive ?
Brigitte avait le feu aux joues, mais le regard glaçant de Laetitia ne lui laissait pas le choix, il lui fallait répondre quoiqu’il puisse lui en coûter, elle avala sa salive et se força à regarder sa jeune maîtresse :
— Je… Je dois retrousser ma jupe, me déculotter et vous présenter mes fesses mademoiselle Laetitia.
Elle s’efforçait à être la plus soumise possible pour atténuer la punition qui allait suivre, la jeune fille souriait, elle s’approcha de sa nouvelle pupille et lui saisit l’oreille et la força à se tourner pour lui exposer à nouveau sa croupe, qu’elle claqua deux fois :
— L’as-tu fait ?
— Non, mademoiselle Laetitia, pardon… Aïe, aïe, aïe, aïe.
La main claquait sèchement le large fessier :
— Et pourquoi ne l’as-tu pas fait ?
— Je… j’ai oublié mademoiselle Laetitia.
Brigitte gémissait sous les claques qui continuaient à s’abattre régulièrement sur chacune de ses fesses.
— Ah tu as oublié ? Eh bien le martinet va te rafraîchir la mémoire.
Elle tenait toujours Brigitte par l’oreille, elle s’installa sur une chaise et la fit basculer en travers de ses genoux :
— On va commencer par chauffer ton gros derrière et ensuite monsieur martinet va t’expliquer.
La fessée manuelle fut rapide, Brigitte se rendit vite compte que les fessées de la fille n’avaient rien à envier à celle de la mère. Quand elle se releva son derrière était brûlant, elle fit mine de porter les mains à ses fesses, mais le regard sévère de Laetitia l’en dissuada immédiatement. La jeune fille souriait toujours, ravie de la docilité de cette dame qui aurait pu être sa grand-mère et qu’elle traitait comme une gamine, elle prit le martinet et désigna la table :
— Tu te penches et tu tends bien tes fesses. Trente coups, la prochaine fois ce sera le double.
Discrètement Clémence avait tourné légèrement la tête, elle aperçut dans son champ de vision la large croupe de sa professeure déjà bien rouge. Laetitia lui tournait le dos, elle allait pouvoir assister à la punition de sa fesseuse quelle jolie satisfaction.
Le martinet commença sa danse sur les fesses étalées devant les yeux des deux jeunes femmes. Brigitte était habituée aux punitions sévères, elle se mit à crier et à frapper des pieds par terre, ses fesses s’ouvraient largement, mais elle ne se dérobait pas aux cuisantes lanières. Les trente coups furent administrés sans faiblesse, la croupe était littéralement cramoisie, Laetitia laissa la punie se calmer, puis elle la conduisit dans l’autre coin de la pièce et l’installa comme Clémence, la jupe retroussée et la culotte à mi-cuisses.
Elle se recula un peu pour profiter du joli spectacle de ces deux derrières bien rouges, puis elle se dirigea vers la jeune étudiante et lui saisit l’oreille :
— Tu connais le principe ma petite Clémence, une fessée à l’école égale deux fessées à la maison.
Elle tira sur l’oreille de la jeune femme pour l’amener jusqu’à la chaise et quelques instants plus tard Clémence était à nouveau en position disciplinaire, les fesses pointant vers le ciel à la disposition de Laetitia :
— Je vais commencer par t’en flanquer une maintenant pour que tes petites fesses soient bien chaudes et tu auras droit à la deuxième tout à l’heure.
La main se mit à claquer le fessier déjà écarlate, Clémence cria immédiatement, la brûlure d’une deuxième fessée sur un derrière préalablement bien échauffé, était terrible. Les pleurs ne tardèrent pas et c’est une jeune femme les joues baignées de larme qui regagna le coin de la pièce. Elle n’avait pas eu le loisir de profiter du spectacle offert par sa professeure.
Laetitia laissa les deux punies pendant un quart d’heure le nez collé contre le mur, elle avait pris de nombreuses photos qu’elle avait envoyé à des copines.
Elle autorisa enfin la jeune étudiante à quitter son coin :
— Clémence, viens ici. ! Tu peux te reculotter, mais comme tu as fait dix fautes, tu me copieras dix fois ta dictée pour demain matin. Je passerai dans la soirée t’administrer ta deuxième fessée.
Clémence ne se le fit pas dire deux fois, elle remonta sa culotte sur ses fesses écarlates, prit ses affaires et quitta la pièce, au passage elle jeta un coup d’œil au large fessier rubicond de la professeure, elle esquissa un sourire, ça la consolait un peu de cet après-midi cuisant.
Laetitia s’était approchée de Brigitte, elle tapota les fesses rouges :
— Alors ma chérie, tu as compris la leçon ?
Brigitte savait qu’il lui fallait répondre :
— Oui, oui mademoiselle Laetitia.
La jeune fille écarta un peu les deux fesses, elle esquissa un sourire en les voyant se contracter légèrement, elle devinait la gêne de cette dame de soixante ans exposant son fessier dénudé :
— Tu as honte de me montrer ton bon gros derrière bien rouge n’est-ce pas ?
La professeure geignait doucement :
— Oh oui, mademoiselle j’ai honte, s’il vous plaît…
Une claque sèche atterrit sur le derrière :
— Allez reculotte-toi, on va sortir.
Surprise Brigitte s’exécuta, c’était assez excitant de voir cette dame d’âge mûr remonter sa culotte en rougissant devant le regard goguenard de cette jeune femme :
— Je suis gentille, aujourd’hui tu ne vas pas sortir les fesses à l’air, remets ta jupe en place.
Dès que sa pupille se fut exécutée, elle lui prit la main et l’entraîna avec elle. Arrivée dans le hall, elle traversa la cour et s’engouffra dans l’immeuble d’en face. Devant le regard interrogateur de Brigitte qu’elle tenait toujours par la main, elle lui annonça en souriant :
— On va voir mademoiselle Vilpot, je pense qu’elle va être ravie de voir ton bon gros derrière de plus près.
Elle sentit la main de la professeure se crisper dans la sienne, elle la tira plus fermement et de l’autre lui claqua les fesses par-dessus la jupe :
— Allez avance !
Comme Brigitte s’était mise à protester faiblement, sa main claqua à nouveau :
— Tu veux que je te déculotte ici ? Tu sais ça ne va pas me gêner et je n’en ai pas pour longtemps !
La professeure reprit sa marche en avant, en arrivant devant la porte de la vieille fille, ses joues étaient très rouges, Laetitia sonna.
Suzanne Vilpot ouvrit, elle avait soixante-dix ans, la taille fine, le visage sévère agrémenté de lunettes qui lui donnait l’air d’une institutrice. Elle ne s’était jamais mariée après un chagrin d’amour à vingt ans et avait travaillé toute sa vie dans l’hôtellerie de luxe pour finir sa carrière comme gouvernante. Elle était réputée pour son intransigeance et sa sévérité, des bruits couraient qu’on aurait entendu des claquements dans les chambres de l’hôtel, ce qui était certain c’est que des employées plus ou moins jeunes en étaient sorties avec les larmes aux yeux et les joues rouges. Cependant aucune d’entre elles ne s’était hasardée à se plaindre, les salaires étaient confortables et mademoiselle Vilpot si elle était stricte savait se montrer maternelle envers ses subordonnées
Depuis qu’elle habitait en face de chez Odile, elle avait pu constater que sa voisine d’en face avait une conception très vieille France de l’éducation et le derrière dénudé des deux filles de la maison n’avaient plus de secret pour elle. L’arrivée des deux étudiantes avait été une surprise agréable et depuis hier le fessier de Brigitte s’était ajouté à son tableau de chasse visuel.
En voyant Laetitia accompagnée de Brigitte elle marqua un temps d’arrêt, la jeune fille en souriant lui annonça :
— Bonjour mademoiselle, je vous amène ma nouvelle pupille, vous la connaissez sans doute, elle habite en face l’appartement au-dessus du mien.
Intriguée Suzanne Vilpot les invita à entrer :
— Oui parfaitement, on s’est déjà croisée, mais que me vaut votre visite ?
Elle se doutait bien de quelque chose, Laetitia avait désignée Brigitte comme sa pupille et la façon dont elle l’avait traitée la veille, lui administrant une fessée déculottée et lui prenant la température comme à une gamine ne laissait que peu de place au doute. La jeune fille était la maîtresse et malgré son âge, la dame qui l’accompagnait semblait soumise à son autorité.
Laetitia fit pivoter Brigitte :
— Madame n’a pas été sage et je dois la punir, j’ai pensé que vous apprécieriez de voir ses fesses de plus près et puis quoi de mieux qu’une bonne fessée déculottée en public pour punir les vilaines filles.
Suzanne esquissa un sourire, son attrait pour la fessée datait de son adolescence, mais elle n’avait pas pratiqué cette activité depuis son départ en retraite, dix ans déjà songea-t-elle en regardant le fessier rebondi de sa voisine :
— Vous avez raison Laetitia, allons au salon.
Brigitte était atterrée, mais elle commençait à être habituée à la perversité de sa jeune maîtresse et puis son caractère soumis l’incitait à l’obéissance malgré la honte et la perspective d’une nouvelle déculottée.
La jeune fille avait suivi Suzanne qui lui désigna une chaise :
— Vous voulez vous installer ici ? Ou peut-être préférez-vous un fauteuil ?
Laetitia hésita un instant puis une idée lui vint, elle avisa un petit tabouret :
— Je vais commencer par lui chauffer les fesses, ça ira très bien.
Elle avait posé son pied sur le tabouret elle fit basculer Brigitte sur sa cuisse horizontale, les fesses étaient tendues sous la jupe, les pieds touchaient à peine le sol. Elle saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa bien haut sur les reins, la culotte blanche couvrait le beau fessier, elle rentrait légèrement dans la raie médiane, le pli séparant les fesses des cuisses était bien visible. Laetitia décida de retarder un peu le déculottage, elle claqua cette zone si sensible à la base des fesses, on apercevait les restes de la fessée précédente et bien vite l’épiderme enflammé reprit une belle couleur rouge. La main claquait tantôt la culotte, tantôt les cuisses, Brigitte gémissait et piétinait sur place, sa jeune maîtresse la tenait solidement par la taille, la culotte rentrait progressivement dans la raie découvrant de plus en plus la croupe de la punie.
De temps en temps la jeune fille levait les yeux vers la demoiselle, celle-ci semblait ravie du spectacle. Bien sûr elle assistait souvent aux corrections généreusement distribuées par Odile sur les quatre fessiers juvéniles à sa disposition, mais voir de si près ce derrière de femme mûre se trémousser sous les claques, c’était vraiment un spectacle ravissant.
Des images lui revenait, cette femme de ménage de l’hôtel aux formes généreuses, comment s’appelait-elle, ah oui madame Dumas. Elle avait peur de perdre son emploi et puis elle la craignait tellement, Suzanne lui avait mis le marché en main, « Je passe l’éponge sur vos retards et vos erreurs, mais en contrepartie, ce sera la fessée ». La dame d’une cinquantaine d’années avait accepté pensant que quelques claques sur le derrière ce n’était pas cher payé, mais elle avait vite déchanté quand le lendemain dans une chambre que Suzanne avait pris soin de fermer à clé, elle avait reçu une magistrale fessée déculottée. Après l’avoir couchée sur ses genoux comme une vulgaire gamine, la gouvernante lui avait annoncé qu’une fessée se donnait toujours sur les fesses nues et malgré ses protestations elle n’avait pu empêcher sa supérieure de lui baisser la culotte.
Mademoiselle Vilpot se souvenait avec émotion du plantureux derrière qu’elle rougissait au moins deux à trois fois par semaine et ce jusqu’à sa retraite.
Laetitia avait cessé de claquer les fesses culottées, elle regarda Suzanne, celle-ci avait le regard vague, elle était plongée dans ses souvenirs, les paroles de la jeune femme la ramenèrent à la réalité :
— Je pense que l’on peut passer à la suite, je vais vous présenter le magnifique popotin de cette vilaine fille.
Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la fit glisser doucement sur les rotondités, elle baissa la fine lingerie juste sous les fesses qu’elle tapota :
— N’est-ce pas qu’il est mignon, le rose lui va bien, mais on va lui donner un peu plus de couleur
Elle claqua sèchement la fesse droite :
— Tu n’as pas honte ! A ton âge, je suis encore obligée de te déculotter pour t’apprendre à obéir !
Brigitte gémissait doucement, se demandant quelle idée perverse allait germer dans le cerveau de sa jeune maîtresse :
— Pardon mademoiselle Laetitia…
La main claqua à nouveau la croupe tendue :
— Tu as honte j’espère ?
— Oui, oui mademoiselle Laetitia.
— C’est parfait, c’est fait pour ça la fessée déculottée en public, pour que tu aies bien honte de montrer tes bonnes grosses fesses bien rouges. Maintenant tu vas me demander de te punir.
Le rouge monta un peu plus aux joues de la dame de soixante ans, recevoir une fessée déculottée en public c’était déjà humiliant, mais être obligée de la demander. La jeune femme claqua à nouveau les fesses tendues :
— Dépêche-toi !
— Pardon mademoiselle Laetitia… Euh… Je mérite une fessée pouvez-vous me la donner.
La main claqua encore deux fois :
— Bien sûr que tu la mérites, mais tu vas me préciser ça et à voix bien haute, tu vas me dire ce que tu vas recevoir exactement.
— Aïe, oui mademoiselle Laetitia… Pouvez-vous me donner la bonne fessée déculottée que j’ai bien méritée.
Laetitia arborait un sourire radieux, fier de son pouvoir, elle regarda la vieille fille avec un air triomphant :
— Quelques bonnes fessées déculottées correctement administrées et voilà le résultat, une petite Brigitte bien docile.
Elle caressa les fesses crispées dans l’attente de la punition :
— Ce n’est pas la peine de serrer tes bonnes grosses fesses ma chérie, comme tu l’as dit tu mérites une fessée déculottée et comme tu me l’as demandé, je vais me faire un plaisir de te l’administrer.
Suzanne Vilpot était impressionnée par la sévérité dont faisait preuve cette très jeune femme, elle regardait le large derrière de sa voisine mis à nu et exposé devant ses yeux. Elle s’imaginait déjà lui flanquer une fessée, mais ce n’était pas encore le moment, la main de Laetitia avait commencé la correction. Brigitte se mit rapidement à trépigner sur place et à crier, la brûlure était sans commune mesure avec la fessée sur la culotte, son derrière était déjà endolori.
La jeune maîtresse ne se contenta pas d’une rapide fessée, ce fut une bonne correction que reçut Brigitte, sa croupe était cramoisie, la rougeur s’étendait sur le tiers supérieur des cuisses, elle pleurait de honte et de douleur quand enfin elle put enfin se redresser. Immédiatement Laetitia coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture pour laisser les fesses bien visibles, la culotte était descendue à mi-cuisse :
— Va montrer tes fesses à mademoiselle, qu’elle puisse constater que tu as été bien punie.
Brigitte s’avança vers Suzanne puis comme elle était habituée à le faire, elle se tourna et toute honte bue, se pencha légèrement pour faire ressortir son fessier écarlate. La demoiselle souriait, ravie du cadeau que lui faisait sa jeune voisine :
— C’est vraiment parfait, voilà un derrière cuit à point, je ne pense pas qu’elle recommence à désobéir de sitôt.
Laetitia s’approcha et palpa le fessier rougeoyant :
— Oh détrompez-vous, il faut sans arrêt remettre le travail sur le métier, on dirait que madame aime se faire rougir le derrière. Il faut dire qu’elle a une bonne paire de fesses, mais je suis obligée de la corriger plusieurs fois par jour si je veux qu’elle obéisse.
Suzanne fit mine d’être surprise :
— Plusieurs fois par jour ? Eh bien dites donc, elle va avoir les fesses tannées. Vous n’utilisez que la fessée pour la punir ?
Elle se demandait si Laetitia allait lui proposer autre chose. Celle-ci la regarda en souriant :
— Bien sûr que j’utilise d’autres méthodes, mais je ne vous apprends rien, vous avez une vue parfaite sur notre appartement et le sien.
Suzanne rougit à l’évocation de sa curiosité, elle essaya de détourner la conversation :
— Vous ne la mettez pas au coin ?
Laetitia avait remarqué le léger rougissement des joues de la vieille fille, elle la fixa :
— Bien sûr que si, on ne va pas se priver d’un si joli spectacle et puis comme ça nous pourrons discuter tranquillement.
Elle conduisit sa grande pupille au coin en la tenant par l’oreille, la jupe retroussée mettait en valeur le derrière cramoisi. Sans qu’elle eût besoin de lui dire, Brigitte posa ses mains sur sa tête. La jeune femme se tourna vers Suzanne :
— N’est-elle pas mignonne comme ça. Vous m’offrez quelque chose à boire, lui administrer une fessée m’a donné chaud.
Elle avait fini sa phrase en riant, la demoiselle fut un peu surprise du sans-gêne de cette très jeune femme, mais malgré son air enjoué, le ton était autoritaire. Elle se dirigea vers la cuisine, Laetitia eut le regard attiré par sa croupe, elle n’était pas large comme celle de Brigitte mais semblait encore rebondie. Elle se prit à fantasmer, serait-il possible de découvrir ce nouveau terrain de jeu.
Quelques instants plus tard, confortablement installée dans un fauteuil, Laetitia interrogeait son hôte sur son intérêt pour les derrières féminins et plus particulièrement pour la fessée :
— Ma chère Suzanne, dites-moi qu’est-ce qui vous plaît le plus dans une fessée, le déculottage ? ou le rougissement du derrière ?
Cette question posée abruptement surprit un peu la vieille fille, elle hésita un peu :
— Euh… Je ne sais pas, c’est-à-dire…
Laetitia la regardait amusée par sa gêne, elle insista :
— Vous devez pourtant bien aimer ça puisque vous passez votre temps à regarder par votre fenêtre et vous appréciez quand maman nous baisse la culotte et nous met au coin avec les fesses bien rouges.
Suzanne était stupéfaite du naturel de cette jeune femme, ça l’incita à se confier. Elle se tourna vers le coin de la pièce illuminée par le fessier rougeoyant de Brigitte :
— C’est vrai qu’elle a une magnifique paire de fesses votre protégée, elle me rappelle tellement celle de Louise.
Laetitia sentit que quelque chose allait se passer, il suffisait de laisser la pelote se dérouler, la demoiselle avait le regard un peu vague :
— Qui était Louise ?
Suzanne semblait légèrement excitée, elle se leva et se dirigea vers la punie, puis elle posa sa main sur la croupe brûlante :
— C’était une femme de chambre, elle avait besoin d’être stimulée et quoi de mieux qu’une bonne fessée déculottée pour corriger une écervelée.
Laetitia savait que mademoiselle Vilpot avait été gouvernante dans un hôtel, mais l’entendre raconter comment elle dirigeait son personnel risquait d’être vraiment intéressant :
— Vous donniez la fessée déculottée à vos femmes de chambre ?
— Pas à toutes, mais Louise était particulièrement étourdie et paresseuse, elle préférait ça à des retenues sur salaire ou pire à un licenciement, c’était un accord entre nous.
— Elle avait quel âge ?
Suzanne s’était rassise, elle regarda pensivement le large derrière de Brigitte :
— Cinquante ans, et son derrière était aussi rebondi que celui de madame.
Laetitia était ravie de ces confidences :
— Eh bien, je ne pensais pas que ça se pratiquait encore de nos jours.
L’ancienne gouvernante la regarda en souriant :
— Vous savez c’est un milieu un peu spécial celui des hôtels de luxe. Il faut accepter une stricte discipline si on veut y rester. Moi-même j’y ai goûté dans ma jeunesse.
— Vous… vous avez reçu la fessée vous aussi ?
Suzanne rougit légèrement :
— Euh, oui bien sûr, il y a cinquante ans, c’était encore une pratique assez courante. Les gouvernantes l’utilisaient sur les jeunes femmes de chambre, j’avais seize ans quand j’ai commencé à travailler.
Laetitia se mit à rire :
— Ah c’est donc ça, vous aussi on vous a baissé la culotte, ça vous rappelle de bons souvenirs ?
La demoiselle était à l’aise maintenant, elle se mit à rire également :
— Oh oui et plus souvent qu’à mon tour, elle avait la main leste. Je suis souvent rentrée à la maison avec les fesses rouges.
Laetitia voulait en savoir plus :
— Et à la maison, je suppose que votre mère vous en remettait une couche.
— Comment savez-vous ça ?
La jeune fille la regardait différemment maintenant qu’elle savait que Suzanne Vilpot avait été soumise au même traitement qu’elle :
— Parce que maman, c’est comme ça qu’elle pratique, une fessée à l’école, une fessée à la maison. Enfin c’était avant que Brigitte me montre ses fesses, maintenant c’est juste pour Chloé et les deux chipies.
Suzanne souriait à l’évocation de la correction de la professeure :
— Oui maman nous administrait très souvent la fessée à ma sœur et moi.
— Déculottée, je suppose ?
Elle regarda la jeune fille, surprise :
— Bien sûr, une fessée c’est toujours cul nu.
— Ça vous manque ?
Les joues de Suzanne s’empourprèrent :
— Pardon, que voulez-vous dire ?
Laetitia sentit que des possibilités s’ouvraient devant elle, elle fixa sévèrement la vieille fille :
— Vous le savez très bien ma chère, mais je vais mieux formuler ma question. Ça ne vous manque pas de ne plus recevoir la fessée déculottée ?
Le sol sembla se dérober sous les pieds de l’ex-gouvernante, certes elle adorait assister aux corrections qu’Odile distribuait généreusement aux filles, ça lui rappelait celles qu’elle administrait à Louise, mais là, il s’agissait d’elle et des déculottées qu’elle avait reçues dans son adolescence et sa jeunesse. Un léger trouble s’empara d’elle, elle sentait la chaleur sur ses joues mais également des petits picotements dans le bas ventre. Oui, malgré la cuisson de son derrière et l’humiliation du déculottage, recevoir la fessée lui avait procuré ses premiers émois sexuels, les souvenirs et les images se bousculaient dans son cerveau. Elle s’entendit répondre comme dans un rêve :
— Oui… oui mademoiselle Laetitia, je… Je pense… que ça me manque un peu…
La jeune femme arborait un sourire triomphant, c’était sûr maintenant elle allait découvrir une nouvelle paire de fesses, son regard se porta sur le fessier cramoisi de Brigitte puis ses yeux fixèrent la demoiselle aux joues rouges :
— Eh bien ma chère, il ne faut pas vous faire attendre plus longtemps.
Elle s’installa sur une chaise et fit un petit signe du doigt en direction de Suzanne, puis elle tapota ses cuisses :
— En position Suzanne ! Vite !!
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