Une fessée pour Laurence
Odile et Laurence étaient revenues dans l’appartement des deux jeunes femmes. Leurs cours finissaient tard, les deux dames avaient été émoustillées par la correction de Brigitte et notamment la fin quand Laetitia s’était occupée d’elle.
Odile avait eu dès le premier jour une attirance pour les fesses de Laurence, celle-ci préférait les dames, elle n’en avait pas fait mystère. Elles avaient donc toutes les deux de bonnes raisons de vouloir être tranquille.
Ce fut Odile qui attaqua frontalement son amie, elle la regarda avec un petit sourire coquin :
— J’aimerais bien vérifier ton sillon inter-fessier ma chérie, peut-être qu’on pourrait demander à Annie de te le rendre bien net.
Laurence eut un petit rire nerveux :
— Olala, comme tu y vas, c’est quand même un peu gênant, tu ne trouves pas ?
La sévère mère de famille se mit à rire :
— Pas du tout, je ne sais pas si tu es au courant, mais j’ai l’habitude d’en voir des paires de fesses.
Laurence rougit légèrement et minauda à nouveau :
— Oui, mais quand même…
Odile la fixa :
— Allez arrête un peu, dépêche-toi de me montrer ça. À moins que tu veuilles que ce soit moi qui te déculotte.
Elle avait dit ça en souriant, mais le ton était impérieux, elle avait utilisé exprès le mot déculotté qui évoquait immanquablement la fessée. Laurence se sentit rougir, en général, c’était elle qui proférait ces menaces. Elle glissa ses mains sous sa jupe et baissa sa culotte, puis gênée elle regarda son amie :
— Euh, bon… Mais tu veux que je me mette comment ?
Odile était enchantée d’avoir été si facilement obéie, elle prit la main de Laurence :
— Tu vas voir, je connais une position qui sera très pratique.
Avant que celle-ci ait put dire quoi que ce soit, elle s’assit sur une chaise et la bascula en travers de ses cuisses. Clémence poussa un petit cri :
— Mais qu’est-ce qui te prend ? ça va pas… Lâche-moi ! Non…
Odile la maintenait fermement et elle avait déjà troussé la jupe de son amie, celle-ci essaya de se débattre, deux claques atterrirent sur l’arrière de ses cuisses :
— Cesse ces enfantillages, c’est quand même la meilleure position pour que j’examine ta raie ma chérie.
La culotte était baissée sous les fesses de la sévère maman, Odile la descendit un peu plus et elle ajouta en riant :
— Tu as vraiment une bonne paire de fesses, en général quand j’ai un derrière à ma disposition, la dame en question à intérêt à se tenir tranquille.
Laurence avait été surprise, mais elle se laissait faire maintenant, elle était assez fière de son fessier qu’elle entretenait en faisant régulièrement de la gym. Elle tortilla un peu son derrière et minauda :
— Oh quand même, tu ne me donnerais pas la fessée.
Elle avait dit ça d’un ton léger, mais elle n’était pas si sûr d’elle que son ton le laissait paraître. Elle eut la réponse à son interrogation, deux claques retentirent sur la peau nue de ses fesses :
— Eh pourquoi pas, si tu la mérites. Bon voyons un peu cette raie fessière.
La sévère mère de famille écarta avec deux doigts les fesses de Laurence qui se contractèrent légèrement, attirant une réflexion amusée d’Odile :
— Madame ne veut pas me montrer son petit trou ?
Si elle avait pu voir les joues de son amie, elle aurait pu constater que celle-ci appréciait moyennement cet examen indiscret, Laurence n’était pas une oie blanche mais se faire examiner le derrière dans cette position était pour le moins humiliant.
Odile avait vu juste, un léger duvet garnissait la raie fessière :
— Ma petite chérie, je pense qu’on va avoir recours aux services d’Annie.
Laurence se récria :
— Ah non, ça fait trop mal.
Odile tapota le derrière de son amie :
— Je croyais que tu ne savais pas ce que c’était que l’épilation du sillon inter-fessier ?
Laurence se mit à bredouiller :
— Euh, oui, enfin non, quand j’étais étudiante, j’étais allé chez une esthéticienne.
Une claque très sèche atterrit sur sa fesse droite :
— Petite menteuse !
— Aïe, noon…
Elle devinait qu’Odile allait profiter de la situation, elle n’avait pas reçu de fessée déculottée depuis très longtemps et même pour ainsi dire jamais.
Pour une première, elle fut servie, Odile ne fessait jamais pour rire et en plus Laurence lui avait servi sur un plateau une bonne raison de lui rougir les fesses. La correction reçue par Laurence fut magistrale pas moins que celle qu’elle avait elle-même administrée à sa fille quelques heures plus tôt, elle était dans la même position et la même tenue, troussée et déculottée comme une gamine. Elle s’égosillait pareillement, ouvrait grand ses fesses écarlates, battaient des jambes. Odile adorait administrer la fessée et elle se régalait du spectacle offert par son amie, elle en rajouta un peu :
— Eh bien ma chérie, ton derrière est vraiment magnifique, je pense que ça ferait plaisir à Clara de te voir couchée sur mes genoux avec des fesses aussi rouges. Qu’en penses-tu ?
Laurence s’était mis à pleurer, elle ne pensait pas qu’une fessée avec la main puisse brûler autant, elle supplia :
— Pardon Odile, s’il te plaît plus la fessée… Aïe, aïe… Non.
La correction continuait, la main d’Odile s’abattait comme un métronome sur la croupe cramoisie :
— Tu l’as bien méritée celle-là tu ne crois pas ? Tes fesses te brûlent ? C’est normal ma chérie, je vais même continuer à te rougir un peu plus le derrière, ça t’apprendra à mentir.
La fessée retentissait dans l’appartement des deux étudiantes, c’était un bruit familier, mais celle qui la recevait aujourd’hui n’avait pas vingt-cinq ans et habituellement c’était elle qui administrait ce genre de punition..
Bien sûr après une bonne fessée déculottée, un passage au coin les fesses à l’air était obligatoire, Laurence n’y échappa et toute honte bue, elle dut aller poser son nez contre le mur et mettre ses mains sur sa tête tandis qu’Odile épinglait sa jupe dans son dos.
Elle se mit à rire :
— Tu es vraiment adorable ma chérie avec ton derrière bien rouge, je vais appeler Annie pour voir si elle peut passer.
Laurence protesta faiblement :
— Non, non, s’il te plaît, pas maintenant.
Odile souriait en regardant la croupe écarlate de son amie, ça avait été finalement assez facile de la mettre sur ses genoux, il fallait en profiter pour qu’elle devienne une gentille petite fille comme Brigitte :
— Mais ma chérie, je ne te demande pas ton avis, c’est maman Odile qui décide, et quand on est au coin et qu’on vient de recevoir une bonne fessée déculottée on ne dit rien, sinon tu reviens sur mes genoux, c’est compris !
Laurence se mordit les lèvres pour ne pas répondre, elle avait en quelques instants changé de statut, elle n’osait même pas protester, Odile était vraiment une redoutable maîtresse. Elle l’entendit parler avec Annie :
— Coucou ma chérie, alors ça t’a plu mon petit spectacle de tout à l’heure avec ma nouvelle grande fille ?
— …
— Oui tu l’as reconnue ? c’est la dame du troisième, elle a une belle paire de fesses n’est-ce pas ?
Elle riait de bon cœur, apparemment Annie avait été ravie d’assister à la punition de Brigitte, soudain le sang de Laurence se glaça, ce que lui avait annoncé Odile prenait forme :
— Je t’appelle pour autre chose, je suis en train d m’occuper d’une dame, tu ne la connais pas encore, c’est la maman de Clara une de mes deux petites étudiantes.
— …
— Oui c’est ça, exactement, elles ont de bien jolies paires de fesses. Eh bien je peux te dire que Laurence la maman de Clara a également un bien joli derrière.
— …
— Bien sûr, tu me connais, elle est au coin avec une paire de fesses bien rouges.
— …
— Oh oui une bonne fessée déculottée, quand on ment à maman Odile c’est ce qui arrive. Dis-moi tu es libre ?
— …
— D’accord, demain chez toi. Oui en fait, j’ai examiné de près notre petite Laurence et elle aurait bien besoin d’une épilation de sa raie fessière, tu pourrais t’en occuper ?
— …
— Oh oui, elle va être mignonne, ça c’est sûr. Bisous et à demain.
Elle raccrocha le téléphone, Laurence était atterrée, une deuxième personne savait qu’elle venait de recevoir une fessée cul nu et en plus elle allait devoir lui présenter ses fesses nues demain.
Odile s’approcha en souriant :
— Eh bien voilà. Tu verras, Annie est une experte, une fois passée entre ses mains tu vas avoir des petites fesses nickel.
Elle tapota la croupe bien rouge :
— Allez vilaine fille, ta punition est terminée, viens ici.
Soulagée, mais les joues très rouges, Laurence quitta le mur, elle faisait mine de remonter sa culotte quand Odile l’arrêta :
— Non, viens t’asseoir sur mes genoux et laisse ta culotte où elle est.
Laurence se mit à sourire, son attrait pour la sévère maman lui fit oublier ses fesses brûlantes. Elle posa délicatement son derrière sur les cuisses gainées de bas d’Odile. Celle-ci passa sa main sous les fesses de son amie :
— Alors ma chérie, ça brûle ? Maman a fait panpan cucul.
Laurence se blottit contre sa poitrine et lâcha :
— Tu ne m’as pas manquée, j’ai le feu au derrière, tu vas t’en occuper ?
Odile se mit à rire :
— Tu veux une autre fessée ?
Laurence se récria :
— Oh non…
Odile glissa ses doigts entre les fesses puis les cuisses :
— Je crois que je sais ce que tu veux, coquine. On va aller dans la chambre de Clara, on sera plus tranquille, j’ai vu leur emploi du temps, elles ne rentreront pas avant vingt heures.
Laurence se leva, sa nouvelle maman lui claqua tendrement les fesses encore rouges :
— Allez en route, vilaine fille. Tu vas peut-être voir mes fesses à ton tour…
En riant comme deux adolescentes, elles disparurent dans la chambre.
La fin d’après-midi fut donc chaude dans tous les sens du terme et les deux mamans étaient de très bonne humeur quand les quatre filles revinrent à la maison. Odile avait invité tout le monde à dîner, pour une fois il n’y eut pas de culottes baissées et de derrières rougis, les deux fesseuses avaient eu leur content de déculottées, ce fut donc une soirée de répit pour les jeunes.
Après le repas, Laurence et les deux étudiantes regagnèrent leur appartement, Odile avait précisé à son amie qu’elle l’attendait à dix heures pour aller voir Annie. Laurence avait rougi légèrement à ce rappel mais ni Clara, ni Clémence ne s’en rendirent compte.
Laetitia demanda à sa mère si elle pouvait monter chez Brigitte sous prétexte d’une précision à lui demander sur un cours. Odile la regarda en souriant :
— Au fait, ça c’est bien passé la pénitence au thermomètre ? Tu lui as laissé combien de temps dans le derrière ?
Laetitia jeta un regard méfiant à sa mère, se doutait-elle de la suite qu’elle avait donnée à la punition de Brigitte, elle fut vite rassurée car Odile continuait :
— De toute façon, elle a besoin d’être bien tenue, je ferai peut-être appel à toi quand je serai occupée, j’ai vu que tu savais donner la fessée et ça lui a fait le plus grand bien d’en recevoir une par une jeune femme.
Laetitia poussa un petit soupir de satisfaction, ses désirs étaient comblés, elle se mit à rire :
— Comme tu m’avais donné carte blanche, je lui ai laissé pendant une heure, le temps de regarder une série, je peux te dire qu’après ça elle ne faisait plus la fière, ensuite je l’ai raccompagné chez elle.
Elle omit de préciser que la professeure en retraite avait parcouru l’escalier les fesses à l’air et qu’ensuite elle lui avait administré une fessée supplémentaire. Odile lui donna l’autorisation d’aller voir Brigitte.
La jeune fille grimpa les escaliers quatre à quatre, elle se délectait par avance de cette fin de soirée, elle avait gardé dans sa poche les clés de l’appartement de Brigitte, elle entra donc sans sonner. La professeure sursauta en la voyant, elle regardait la télévision, Laetitia la fixait en souriant :
— Alors ma petite chipie, comment vont tes jolies fesses ?
Brigitte avait rougi et instinctivement s’était levée pour montrer son respect, elle bredouilla :
— Euh… bien mademoiselle, merci…
— Comment ça bien ? Ce n’est pas une réponse, j’espère qu’elles te cuisent encore. Bon tu te déculottes et tu me montres tes fesses en vitesse !
Les joues de Brigitte étaient écarlates, jamais elle n’avait été traitée ainsi par une si jeune femme qui plus est, celle-ci était son élève. La fessée qu’elle avait administrée à Laetitia était loin maintenant, l’éducation stricte à laquelle elle avait été soumise toute sa vie avait laissé des traces. Elle ne se rebella pas et glissa ses mains sous sa jupe. Laetitia l’arrêta :
— Non, pas comme ça, d’abord tu te tournes, ensuite tu retrousses ta jupe que je voie ta culotte et ensuite seulement tu la baisseras.
Docilement la professeure redevenue une gamine s’exécuta, sa culotte blanche, tendue sur ses fesses, ses porte-jarretelles qui tenaient ses bas, le tableau était excitant, elle glissa ses doigts sous la ceinture de sa lingerie et se déculotta, elle la laissa sous ses fesses, celles-ci gardaient encore les traces des fessées successives reçues cet après-midi. Laetitia s’approcha et tapota les fesses :
— C’est bien, tu es obéissante. À partir de maintenant, dès que j’arriverai, je veux que tu te déculottes comme ça et que tu me montres ton bon gros derrière, ça sera ta façon de me dire bonjour. Si tu oublies tu seras punie.
Elle saisit l’oreille de Brigitte et l’attira vers le canapé où elle s’installa :
— On va terminer cette belle journée par une fessée du coucher, je vais voir avec maman, mais je pense que je vais m’arranger pour que tu ailles au lit tous les soirs avec une paire de fesses bien rouges.
Elle avait basculé sa nouvelle pupille sur ses genoux, elle arrangea un peu la position pour que les larges fesses soient bien exposées :
— Tu es bien installée ? Tu sais que je fais baby-sitter chez les deux chipies, je me demande si tu n’aurais pas besoin toi aussi d’être surveillée le soir, pour t’éviter de faire des bêtises.
La sexagénaire était à nouveau dans cette position qui lui devenait de plus en plus familière, elle se mit à gémir :
— S’il vous plaît mademoiselle, j’ai déjà été bien punie aujourd’hui… Mes fesses sont encore brûlantes… Mademoiselle Laetitia, s’il vous plaît… Aïe…
Laetitia avait claqué le large derrière en riant :
— Mais ma petite Brigitte, ce n’est pas à toi de décider si tu as été assez punie. Je sais que tes fesses sont brûlantes et dans un moment elles vont te cuire encore plus, mais c’est nécessaire. Il faut que tu ailles au lit avec des fesses bien chaudes, comme ça tu vas penser à mademoiselle Laetitia toute la nuit.
Elle baissa un peu plus la culotte et administra une courte mais cuisante fessée au derrière meurtri. Brigitte ne put retenir ses cris puis ses pleurs, cette jeune femme avait vraiment une main très ferme.
Quand elle se releva, elle constata que sa jeune maîtresse avait vu juste, ses fesses la cuisaient encore plus. Laetitia éteignit la télé et lui montra la chambre :
— Maintenant au lit, quand on est une gamine qui reçoit encore la fessée déculottée, on ne traîne pas devant la télé.
Elle claqua le derrière écarlate de la professeure pour la faire avancer, la culotte était arrivée aux genoux, elle avança à petit pas sans oser frotter sa croupe :
— Retrousse ta jupe, ça serait dommage de cacher ces jolies fesses.
L’ordre de Laetitia avait claqué comme sa main sur le fessier brûlant. Arrivée dans la chambre, elle s’installa sur le lit et regarda la dame d’âge mûr se déshabiller, c’était une situation embarrassante pour Brigitte et c’est en rougissant qu’elle se retrouva nue devant sa maîtresse, Laetitia souriait, elle jouissait de sa nouvelle autorité :
— Tourne-toi !
Le fessier écarlate de sa pupille éclairait la pièce :
— C’est bien, tu mets ta chemise de nuit tu vas faire pipi et au dodo !
Elle lui avait parlé comme si elle était sa baby-sitter, Brigitte sans un mot s’exécuta. Elle revint quelques instants plus tard, Laetitia avait ouvert le lit, sa pupille s’y glissa. Elle tira la couette et donna ses dernières instructions :
— J’éteins la lumière et tu dors, si jamais je reviens et que tu as désobéi gare à tes fesses, tu ne pourras pas t’asseoir pendant une semaine. Tu restes sur le dos, je veux que tu sentes bien ta fessée et je te rappelle qu’on ne frotte pas ses fesses.
Brigitte acquiesça, il lui semblait entendre sa mère quelques quarante ans plus tôt quand elle venait de la corriger et qu’elle devait aller au lit très tôt en complément de punition. La différence d’âge n’y faisait rien, que sa maîtresse puisse être sa petite fille n’était pas un obstacle à son autorité.
Laetitia sortit de la chambre après avoir éteint la lumière, elle ferma la porte de l’appartement à clé et redescendit le sourire aux lèvres. Odile était devant la télé, elle leva les yeux vers sa fille :
— Ça c’est bien passé ?
Son air mutin, laissait entendre qu’elle devinait les désirs de sa fille, Laetitia lui répondit l’air détaché et comme si c’était une évidence :
— Oui, parfaitement. Elle est au lit avec une paire de fesses bien chaudes.
Odile regarda à nouveau l’écran :
— C’est bien, au moins elle va passer une bonne nuit, je penses que dorénavant tu iras tous les soirs la coucher.
Waouh..... superbe mise à jour. Lawrence, à la réception, a été une charmante attention.
RépondreSupprimerChinmay
Vôtre travail ce fait attendre ma petite Sylvie
RépondreSupprimerUne petite fessée s’impose !!
Pui une bonne fesse avec thermomètre en public
RépondreSupprimer