jeudi 7 novembre 2024

Deux étudiantes 20

 Une nouvelle maîtresse pour Brigitte



Brigitte continuait d’exposer sa croupe cramoisie, Odile avait souri en voyant bouger le rideau de mademoiselle Vilpot, la vieille fille du deuxième, elle ne perdait rien du spectacle des deux belles fesses rouges de Brigitte.

Elles continuèrent donc leurs discussions, Laurence expliqua qu’elle avait pris goût à la fessée sur les bancs de l’université au contact d’une copine qui fantasmait sur l’éducation anglaise, elle était plutôt soumise et Laurence avait tout de suite préféré baisser les culottes que d’avoir les fesses rouges.

Odile de son côté parla de son éducation sévère et de sa mère qui avait la main leste, elle omit cependant de raconter qu’elle était encore soumise à cette stricte discipline.

Elle tourna la tête et fit un signe de la main, Annie la mère de Louisa venait d’ouvrir sa fenêtre et regardait dans sa direction, elle ne pouvait pas manquer de voir le magnifique fessier de la professeure en retraite :

— Tes fesses ont du succès ma petite Brigitte, tu as deux spectatrices.

La pauvre contracta ses fesses en signe d’inquiétude, elle émit une petite plainte :

— Oh non, maman s’il te plaît…

Odile se mit à rire :

— Tu n’es pas contente de montrer ton bon gros derrière. Pourtant il a bonne mine, je suis sûr que mademoiselle Vilpot et Annie se régale. Et puis tu arrêtes de pleurnicher, je t’ai déjà prévenue, si tu continues je te flanque une fessée déculottée sur le balcon.

Brigitte serra encore plus ses fesses rouges et appuya bien son nez contre le mur pour éviter d’être reconnue.

Laurence regarda par la fenêtre, elle aperçut Annie :

— Tu connais cette dame ?

— Oui, c’est la mère d’une copine à Chloé, elle a les mêmes méthodes d’éducation que nous.

Laurence regarda en souriant la dame qui était maintenant sortie sur son balcon, son regard fixait manifestement le derrière de Brigitte.

— En effet, elle a l’air particulièrement intéressée par les fesses rouges.

Odile souriait d’un air entendu :

— Tu ne crois pas si bien dire, elle a un salon d’esthétique et si j’ai bien compris, elle s’y connaît en anatomie postérieure.

Elle avait un dit ça en riant, Laurence la regarda un peu surprise :

— Que veux-tu dire ?

Odile était d’humeur coquine, elle regarda son amie :

— tu t’es déjà fait épiler le sillon inter-fessier ?

Laurence rougit brusquement :

— Euh, c’est-à-dire, non… Ça consiste en quoi ?

Odile se mit à rire, elle se leva et se dirigea vers Brigitte, puis lui écarta les fesses avec deux doigts :

— C’est ça ma chérie, chez les dames brunes comme toi, il y a souvent un petit duvet disgracieux, eh bien, Annie est une spécialiste de l’épilation de cet endroit un peu délicat.

Laurence avait les joues rouges, elle avait menti ; un jour elle s’était fait épiler la raie fessière et elle avait en gardé un souvenir assez humiliant. Odile avait remarqué la gêne de son amie, elle décida d’insister :

— Annie m’a expliqué qu’elle a une très bonne méthode pour que les patientes restent tranquilles pendant l’épilation.

Laurence comprenait à demi-mot, mais elle fit l’innocente :

— Ah oui ?

Odile la regarda avec un petit air mutin :

— Tu sais bien qu’avec une paire de fesses bien rouges, une dame devient rapidement docile.

— Ne me dis pas qu’elle flanque une fessée à ses clientes ?

— Pas à toutes, mais à ce qu’elle m’a dit, il y en a qui finissent la séance avec les fesses un peu colorées.

Laurence se souvenait très bien de son épilation, couchée sur le ventre, un coussin pour surélever son derrière, elle avait dû à la demande de l’esthéticienne, tenir écartées ses fesses avec ses deux mains pendant qu’elle officiait et effectivement quand elle avait relâché et resserré ses fesses une ou deux fois, elle s’était attirée des remarques de la jeune femme qui lui avait même tapoté la croupe pour l’inciter à reprendre la position. Rétrospectivement, elle pensait qu’elle aurait pu tout aussi bien lui administrer une fessée, son derrière était vraiment à disposition.

Elle regarda à nouveau la voisine sur le balcon, c’était une femme d’une quarantaine d’années, les cheveux coupés courts et l’air énergique, elle lui fit un petit sourire. Pendant ce temps, Odile s’était approchée de Brigitte et lui avait saisi l’oreille la forçant malgré elle à regarder la fenêtre, il n’était pas difficile pour les deux spectatrices de reconnaître cette dame d’un certain âge demeurant dans l’immeuble d’Odile. Elle suivait sa nouvelle maman, ses fesses rouges et sa culotte blanche baissée à mi-cuisse, c’était assez incongru, mais aussi bien Annie que mademoiselle Vilpot ne s’en formaliserait pas, trop contente d’assister à ce spectacle.

Elle était maintenant devant Laurence, qui souriait et lissait sa jupe et ses bas :

— Tes fesses ont suffisamment refroidi ma petite Brigitte, maman Laurence va te montrer ce qui arrive aux petites menteuses.

Elle était ravie de traiter cette dame d’âge mûre comme une vilaine fille, Odile la regardait faire, elle l’interrogea :

— Tu veux le martinet ?

Laurence tapota en souriant le large derrière encore bien rouge :

— Non, je pense qu’elle a besoin d’une bonne fessée traditionnelle couchée sur les genoux d’une maman sévère. Mais rassure-toi, elle va la sentir passer.

Elle fit basculer Brigitte sur ses cuisses et continua de passer sa main sur la croupe comme pour la préparer à la punition qui n’allait pas tarder, elle s’adressait à cette dame de soixante ans comme elle l’aurait fait avec Clara :

— Ma petite chérie, tu le sais pourtant qu’il ne faut jamais mentir à maman ?

Brigitte était maintenant résignée, elle avait déjà reçu une sévère déculottée et celle qui s’annonçait serait sans doute aussi cuisante, elle contracta encore un peu plus ses fesses, Laurence leva les yeux pour voir si les deux spectatrices étaient toujours là. Le rideau grand ouvert leur offrait une vue panoramique sur cette scène de discipline domestique. La main claqua sèchement le fessier de Brigitte :

— Alors ma petite, pourquoi as-tu menti à maman ?

— Aïe… pardon maman, je… je ne recommencerai plus promis… Aïe, aïe ? Non…

La fessée venait de commencer, Laurence claquait lentement, mais méthodiquement :

— Oh, ça j’en suis sûr que tu ne vas plus recommencer, je te promets que ton derrière va tellement te cuire que ça va t’en faire passer l’envie.

Brigitte était habituée à recevoir de sévères corrections, mais la main de Laurence lui semblait vraiment cuisante.



— Ton bon gros derrière à l’air de plaire aux dames qui regardent ta fessée ma chérie.

Odile venait de rappeler à la professeure que sa punition était publique aujourd’hui, c’était une humiliation supplémentaire, elle se mit à pleurer :

— Pardon, pardon maman, plus la fessée, aïe, aïe…

Les claquements secs continuaient inlassablement, les larges fesses écarlates ballottaient de droite à gauche, s’ouvraient se refermaient, les jambes battaient l’air. C’était une mémorable correction maternelle que recevait Brigitte. Laurence s’arrêta quelques instants :

— Je pense que je vais finir de lui cuire le derrière à la brosse.

Brigitte poussa un cri déchirant :

— Noon… pas la brosse… Noonn, ça brûle trop…

Laurence se mit à claquer l’arrière des cuisses :

— Vas-tu te taire, petite menteuse, si maman Laurence à dit que tu méritais la brosse et bien tu l’auras, la prochaine fois, tu réfléchiras à deux fois avant de mentir.

Odile souriait, ravie de la sévérité de son amie, le fessier de Brigitte était cramoisi, elle allait vraiment déguster avec cette fessée supplémentaire à la brosse, mais son bon gros derrière en avait vu d’autres. Elle aurait sans doute du mal à s’asseoir pendant quelques jours.

La professeure en retraite avait perdu toute sa superbe, elle pleurait comme une gamine sévèrement punie par sa maman devant ses voisines. Odile jeta un œil vers la fenêtre de la vieille fille, elle n’avait pas perdu une goutte du spectacle cuisant. Quant à la mère de Louisa, elle était accoudée à son balcon, elle leva le pouce en signe d’encouragement. La brosse avait commencé son travail, Brigitte hurlait à chaque coup, ses fesses sautaient dans tous les sens comme pour éviter le terrible instrument, mais Laurence la tenait fermement par la taille et seul le bas de son corps pouvait bouger. C’était un spectacle enthousiasmant, la culotte enroulée autour des chevilles fut bientôt expulsée, elle avait perdu ses chaussures depuis longtemps. Ses deux grosses fesses n’étaient plus que deux belles tomates bien mûres.



La correction cessa et Laurence ayant posé la brosse à cheveux, passa sa main sur les fesses brûlantes, elle regarda son amie :

— Son derrière est fumant, je crois que tu vas avoir une petite fille bien sage pendant un moment.

Brigitte resta un moment affalée en travers des cuisses de Laurence, puis elle fut conduite au coin juste devant la fenêtre, les spectatrices purent à nouveau jouir du joli tableau.

Elle sanglotait le nez collé au mur, la cuisson de ses fesses l’occupait entièrement, le fait que sa déculottée ait été publique ne lui importait plus. Depuis son arrivée chez Odile elle avait passé son temps soit couchée sur les genoux d’une des deux amies ou bien le nez collé au mur, ses fesses avaient été mises à l’air quasiment immédiatement. Sa voisine était finalement beaucoup plus stricte que son mari ou que sa mère, ses fessées étaient toujours très sévères et de plus en plus fréquentes, nul doute que bientôt de nombreuses personnes de l’immeuble serait au courant de la situation.

Elle resta donc au coin pendant un long moment et bien sûr, les filles purent admirer sa croupe écarlate en rentrant.

Ce fut Chloé la première, elle ne put réprimer un petit sourire en voyant la situation peu enviable de la professeure, son derrière était encore très rouge. Elle ne fit malgré tout aucune remarque, son carnet de notes n’était pas brillant et il faudrait le faire signer par sa mère, et il ne faisait aucun doute que la professeure se vengerait sur son derrière de cette humiliation, elle s’éclipsa donc rapidement.

Laetitia n’eut pas cette discrétion, elle gardait un souvenir cuisant de sa leçon du matin que Brigitte lui avait donné culotte baissée et de sa conclusion claquante. la voir au coin exposant sa bonne paire de fesses rougies était une douce revanche, elle regarda sa mère et Laurence en souriant :

— On dirait que ça a chauffé cet après-midi.

Odile aimait souffler le chaud et le froid, elle aimait déculotter sa fille et lui flanquer de cuisantes corrections, mais il fallait de temps en temps inverser les rôles et la leçon d’humilité que recevait Brigitte n’en était que plus excitante, elle sourit à sa grande fille :

— Oui en effet Brigitte a appris à ses dépens ce qu’il en coûtait de désobéir et de mentir. Tu le sais toi que maman n’aime pas ça.

Laetitia rougit légèrement, mais elle se ressaisit :

— Oh oui maman. Elle a reçu une bonne déculottée à ce que je vois.

Elle s’était approchée de la dame d’âge mûre exposant son fessier rougeoyant, on ne voyait pas ses joues, mais elles étaient de la même couleur que son postérieur. La jeune fille se tourna vers sa mère et avec un petit sourire coquin demanda :

— Je peux toucher, ça a l’air bien chaud ?

Elle avait une idée perverse, mais elle ne savait pas si sa mère allait l’exaucer. Odile et Laurence se mirent à rire de concert, la honte que devait ressentir la professeure en retraite les mettaient en joie. Ce fut Odile qui répondit :

— Bien sûr, vas-y, tout à l’heure il fumait ce bon gros derrière.

Elle fit un petit clin d’œil à son amie, tandis que Laetitia avait posé sa main sur la large croupe et la caressait :

— Eh bien mazette, vous avez pris une bonne déculottée madame, ça chauffe vraiment ?

Brigitte était au comble de la confusion, que sa jeune élève la voie dans cette position, lui caresse les fesses et en plus lui demande si ça chauffait… Odile adorait ces situations humiliantes ça donnait du piquant à la punition :

— Réponds à Laetitia, elle t’a posé une question.

Brigitte savait que si elle n’obéissait la sanction serait immédiate, elle avala sa salive et répondit doucement :

— Oui mademoiselle… ça brûle beaucoup…

Laetitia décida de jouer un peu puisqu’apparemment sa mère l’y autorisait, elle tapota les fesses :

— Parlez plus fort, je n’ai rien entendu.

Brigitte se promit de faire payer son insolence à cette chipie, mais pour le moment c’était elle qui exposait sa croupe cramoisie :

— Pardon mademoiselle… Oui ça brûle beaucoup.

Elle avait parlé fort et bien distinctement, espérant abréger son humiliation, mais c’était sans compter sur la perversité d’Odile, elle s’adressa à sa fille :

— C’est vrai qu’elle a pris une bonne correction, son derrière doit être encore bien chaud, on va quand même vérifier si tout va bien, je ne voudrais pas qu’elle attrape froid. Va chercher le thermomètre.

Laetitia était rayonnante, elle n’osait espérer que sa mère la charge de cette tâche si excitante. Elle revint rapidement avec l’instrument, les deux amies papotaient toujours, tandis que les épaules de Brigitte se levaient au rythme de ses sanglots, Laurence était ravie de son après-midi :

— Tu vas lui faire prendre la température par la petite ?

Odile lui fit un petit signe de la tête :

— Je pense que ça va être nécessaire.

Laetitia avait entendu juste la fin de la phrase, elle rougit de plaisir, Odile lui désigna la punie :

— Je crois que tu sais comment faire puisque tu l’as déjà prise à Clémence et Clara, installe-toi confortablement.

Laetitia ne se le fit pas dire deux fois, elle saisit l’oreille de la professeure, comme si elle n’était qu’une vulgaire élève punie et l’attira au milieu du salon. La chaise qui avait servi aux fessées successives de Brigitte était toujours en place. Celle-ci se laissa faire, elle sanglotait toujours, décidément sa nouvelle maman ne lui épargnerait rien. En un instant elle se retrouva couchée sur les genoux de Laetitia, la jeune femme avait maintenant l’habitude d’administrer la fessée, ce n’avait donc pas été compliqué de mettre Brigitte en position, la seule et énorme différence c’était l’âge de celle qui lui exposait ses fesses. Elle n’avait jusqu’à présent fessé que des jeunes femmes, la paire de fesses qu’elle avait devant les yeux appartenait à une dame qui avait l’âge de sa grand-mère, c’était troublant et très excitant.

Elle interrogea sa mère du regard, en général une fessée précédait toujours la mise en place du thermomètre, Odile comprit immédiatement :

— Oui ma chérie, remets une petite couche de rouge sur ce derrière, cette chipie doit apprendre que s’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée, il n’y en a pas non plus pour la donner.

Laetitia n’en demandait pas tant, ses fesses gardaient le souvenir de la fessée administrée le matin même par celle qui lui offrait maintenant sa croupe. Elle leva la main et s’appliqua à prouver à sa professeure qu’elle n’avait pas besoin de leçon pour ce genre d’exercice.

Après une centaine de claques généreusement distribuées sur le large fessier, Odile fit signe à sa fille que c’était suffisant. Brigitte serrait et desserrait ses fesses, la brûlure était à nouveau intense, cette petite garce ne l’avait pas manqué.

Mais sa punition n’était pas finie, avec horreur, elle sentit les doigts de la jeune fille écarter largement ses fesses. La cuisson de la correction l’empêchait de penser à son humiliante position, sa raie largement ouverte s’offrait aux regards des deux dames, en levant les yeux Laetitia vit que mademoiselle Vilpot était toujours à sa fenêtre, elle avait assisté à l’intégralité de la punition de Brigitte.

Le thermomètre pénétrait lentement, la jeune femme était une experte, elle le faisait coulisser et ressortir pour accentuer le trouble et la honte de la punie. Celle-ci gémissait doucement, si Odile lui faisait subir souvent ce traitement, se le faire imposer par son élève était vraiment une humiliation suprême. Une fois l’instrument bien en place, Laetitia relâcha les fesses et les tapota :

— C’est bien madame, vous avez été sage. Vous êtes bien installée ?

Odile la félicita :

— C’est parfait ma chérie, nous allons te laisser. Tu lui fais garder au moins quinze minutes.

Laetitia souriait, ravie de la situation :

— Ne t’inquiète pas maman, fait ce que tu as à faire. Mais à mon avis avec des fesses si rouges, il faudrait qu’elle le garde au moins une demi-heure.

Laurence se mit à rire :

— Eh bien, cette petite apprend vite, mais je pense qu’elle a raison.

Odile était déjà debout :

— Fait comme tu veux, je te laisse juge.

Dès que les deux dames furent sorties, la main de Laetitia claqua sèchement le derrière écarlate :

— Alors ça fait quel effet de se prendre une déculottée par son élève ?

Brigitte gémissait doucement :

— Aïe, aïe… pardon mademoiselle, plus la fessée s’il vous plaît, je vous promets que je vais être gentille.

Laetitia se mit à rire :

— Oh ça j’en suis sûr que vous allez être gentille, après une bonne fessée déculottée et avec un thermomètre dans les fesses, on promet toujours. Mais on a du temps pour discuter, vous avez entendu maman, je peux vous garder sur mes genoux avec le thermomètre, le temps que je veux. En attendant cessez de pleurnicher et écartez-moi un peu ses cuisses.

La main de la vicieuse jeune femme s’égara entre les jambes de Brigitte, elle adressa un sourire à la demoiselle qui lui fit un petit signe de la main. Les doigts étaient humides des sécrétions de la punie. Elle lui claqua à nouveau les fesses en riant :

— Eh bien, c’est du joli, à votre âge, vous mouillez d’exposer vos fesses à votre élève ! On va donc inverser les rôles ma petite.

Brigitte avait peur d’entendre la suite, mais son caractère soumis l’empêchait de protester, Laetitia avait administré une dizaine de claques sur le fessier écarlate, juste pour le plaisir du bruit de la fessée sur la peau nue. Elle fit à nouveau coulisser le thermomètre :

— Voilà les nouvelles règles, tu m’appelleras mademoiselle Laetitia et chaque fois que je viendrai chez toi, tu seras déculottée et tu seras ma petite Brigitte. C’est bien compris !!

Elle avait claqué sèchement le large derrière. La professeure gémit à nouveau :

— Oui, oui, aïe, aïe mademoiselle Laetitia.

— Tu as intérêt à filer droit sinon je dis à maman que tu as refusé de m’obéir. Je vais faire quelques photos de tes fesses bien rouges et de toi sur mes genoux au cas où il te viendrait à l’idée de te rebeller.

Laetitia était passé au tutoiement pour bien marquer le changement de statut de la dame d’âge mûr qui venait soudain de trouver une nouvelle maîtresse. Elle prit son téléphone et posta sur Twitter quelques photos du derrière bien rouge :

— Pour le moment on ne voit que tes fesses, je te conseille d’être docile si tu ne veux pas qu’on te reconnaisse.

Elle fit relever Brigitte sans lui retirer le thermomètre et s’installa sur le canapé :

— Tu vas revenir sur mes genoux, on sera mieux toutes les deux, je vais regarder une série, tu en as encore pour cinquante minutes avec les fesses garnies.



Docilement, la punie reprit sa position. Quand enfin Laetitia leva sa punition, et l’autorisa à quitter ses cuisses, Brigitte était totalement matée. La jeune maîtresse lui fit relever la tête en posant son doigt sous le menton :

— Qu’est-ce qu’on dit ?

Brigitte les joues empourprées bégaya :

— Euh… euh…

Laetitia souriait mais son regard était impérieux. La professeure définitivement soumise se reprit :

— Merci mademoiselle Laetitia.

La jeune femme arbora un sourire triomphant :

— Voilà qui est bien, à chaque fois que je te punirai tu diras merci, c’est bien compris ! Tourne-toi que j’examine tes fesses !

Brigitte songea un instant qu’elle avait eu le temps de bien les regarder depuis tout à l’heure, mais il n’était pas question de discuter, elle pivota et présenta son postérieur au regard vicieux de la jeune femme. Celle-ci le palpa à nouveau, puis lui administra une petite claque :

— Elles sont en parfait état, ça se voit qu’elles ont l’habitude des déculottées.

Elle prit la culotte posée sur la table :

— Je te raccompagne chez toi, allez en route.

La claque traditionnelle sur le fessier avait accompagné cet ordre, la jupe de Brigitte était toujours épinglée dans le dos, au moment de sortir, elle marqua un moment d’hésitation, laetitia lui administra deux claques rapides en riant :

— Tu as peur que quelqu’un te voie avec le derrière à l’air ? Je crois que bientôt tout le monde saura que madame la professeure reçoit encore panpan cucul, mais rassure-toi à cette heure-là, on ne va rencontrer personne, on va prendre l’escalier. Allez dépêche-toi ou je te flanque une fessée sur le palier.

Brigitte ne demanda pas son reste, elle s’engouffra dans l’escalier quasiment en courant, Laetitia la suivait ravie de voir ces deux bonnes grosses fesses bien rouges ballottant devant ses yeux.

Arrivée à la maison, elle soufflait ce qui fit rire sa jeune maîtresse :

— De toute façon tout l’après-midi tu as montré tes fesses, la mère de Louisa s’est régalée et je pense que d’ici peu tu vas goûter à sa brosse à cheveux, quant à mademoiselle Vilpot, j’ai bien envie qu’on aille lui rendre visite bientôt, je suis sûre qu’elle aimerait voir ton derrière de plus près.

Elle s’installa sur un fauteuil et fit un signe à sa nouvelle grande fille :

— Viens ici, je vais te réchauffer les fesses une dernière fois, ensuite tu iras au coin jusqu’à ce que je t’autorise à le quitter. Allez en piste !

Elle ne se lassait pas de claquer le derrière de sa professeure, surtout que quelques heurs plus tôt, c’était elle qui pleurait sur ses genoux, la culotte baissée et les fesses bien rouges.

Pour le moment Brigitte n’avait plus de culotte, la sienne était dans la poche de la jeune fille. Après lui avoir administré une courte, mais magistrale fessée, elle la fit mettre au coin face à la fenêtre et ouvrit grand les rideaux :

— Je suppose que tu connais la suite ma chérie, tu n’as pas intérêt à bouger tant que je ne t’en aurai pas donné l’autorisation. Mademoiselle Vilpot a une vue parfaite sur ta jolie paire de fesses, je lui demanderai si tu as été sage.

Elle fit un petit signe de la main à la vieille fille, puis caressa la croupe brûlante :

— Je te laisse, à tout à l’heure ma petite Brigitte.

Elle s’éclipsa en fermant la porte de l’appartement à clé. Brigitte en entendant le bruit de la serrure sut que dorénavant cette jeune fille serait une impérieuse maîtresse. Elle avait l’habitude de passer de longues minutes au coin, pour la première pénitence imposée par Laetitia, celle-ci l’y laissa une heure.




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