Un après-midi cuisant pour Brigitte
Brigitte n’en menait pas large en sonnant chez Odile, elle se doutait que ce n’était pas juste pour prendre le thé que sa sévère voisine l’avait invitée. Quand elle avait donné son cours à Amélie, celle-ci lui avait raconté que la maman de Clara était là pour le week-end et que ça allait chauffer pour les derrières des deux étudiantes.
Brigitte s’était souvenue de l’épisode du téléphone, elle était couchée sur les genoux d’Odile les fesses cuisantes et le thermomètre bien enfoncé dans le derrière et celle-ci avait eu une conversation avec une dame qui s’appelait Laurence et qui était la maman de Clara. La conversation lui revenait « je te la présenterai, elle a vraiment une bonne paire de fesses ».
C’était le derrière d’Amélie qui en avait fait les frais, avoir à sa disposition la mignonne paire de fesses de l’aînée d’Odile lui avait permis d’oublier un instant ce qui risquait de lui arriver ce week-end. Elle avait indiqué à la jeune fille qu’elle prendrait son cours cul nu. Amélie l’avait regardé abasourdie :
— Mais pourquoi madame ?
Brigitte avait souri :
— Il faut que j’aie tes petites fesses à ma disposition ma chérie. Maintenant, tu te dépêches de te déculotter, parce que si c’est moi qui le fais, je te promets que tu n’auras pas froid aux fesses.
Les larmes aux yeux, Amélie avait glissé ses mains sous sa jupe sous le regard ironique de sa professeure :
— Voilà, c’est bien. Oui tu la descends jusqu’à tes genoux, tourne-toi.
Brigitte avait saisi la jupe et l’avait épinglé dans le dos de la jeune fille. La jolie croupe blanche était parcourue par un frisson, les deux globes serrés par l’appréhension d’une probable fessée. Mais celle-ci n’était pas venue, la sévère professeure s’était contentée de deux claques sèches sur le derrière :
— Tu es prête si jamais tu ne fais pas attention, maintenant au travail !
Bien évidemment ça n’avait pas traîné, Brigitte connaissait les points faibles de son élève et rapidement celle-ci s’était retrouvée dans la position traditionnelle, en travers des cuisses de Brigitte pour une magistrale déculottée.
Elle était partie à son cours à la fac avec une paire de fesses bien chaudes, effectivement comme lui avait promis sa professeure elle n’aurait pas froid au derrière.
Maintenant le moment fatidique était arrivé, Brigitte n’avait aucun doute sur les intentions de sa sévère voisine et nouvelle maman, Laurence allait certainement découvrir son fessier.
Odile vint lui ouvrir et l’accueillit chaleureusement :
— Coucou ma chérie, c’est bien tu es à l’heure, entre je vais te présenter Laurence.
Quand elle passa devant elle, Odile en profita pour claquer sèchement la plantureuse croupe :
— Allez dépêche-toi un peu.
Brigitte bien qu’habituée poussa un petit cri et passa sa main sur ses fesses, ce qui fit rire Odile :
— Qu’est-ce que ça va être quand tu vas être cul nu ma petite !
Laurence se leva quand elle vit l’ancienne professeure et lui fit une bise :
— Bonjour, Odile m’a beaucoup parlé de vous et surtout de vos… fesses.
Elle avait un peu hésité, c’était la première fois qu’elle s’adressait à une dame de cette âge qui était susceptible de recevoir une fessée déculottée. Brigitte avait rougi fortement, elle ne savait pas vraiment quelle attitude adopter, Odile lui vint en aide en prenant immédiatement les choses en main. Elle saisit sa grande fille de voisine et la fit pivoter pour qu’elle présente son fessier à Laurence, elle le tapota en riant :
— Tu vois c’est vrai, je ne t’avais pas menti. Penche-toi un peu ma chérie que Laurence apprécie mieux ton derrière.
Brigitte était habituée aux petites humiliations du quotidien, elle ne put s’empêcher de rougir, mais elle s’exécuta, des années de discipline maternelle puis domestique, lui avait forgé un caractère soumis. Odile ne comptait pas en rester là, elle saisit l’ourlet de la courte jupe et la retroussa bien haut sur les reins. La culotte en dentelle rose avait bien du mal à cacher l’ample croupe, tendue par la position, elle rentrait légèrement dans la profonde raie médiane, le pli fessier séparant le derrière des cuisses était bien visible ainsi que la base des fesses. Laurence était émue devant ce spectacle coquin offert bien malgré elle par la professeure en retraite, elle s’approcha et posa sa main sur le fessier :
— C’est vrai qu’il est magnifique ce popotin, il y a de quoi flanquer une bonne déculottée.
Elle leva les yeux vers son amie :
— Je suppose que madame ne garde pas sa culotte quand elle reçoit son dût ?
Odile se mit à rire :
— Ça te tarde d’examiner de plus près ce derrière on dirait ? Je pense cependant que notre petite Brigitte a besoin de bien se mettre dans la tête ce qui va lui arriver, elle va patienter un peu avant de nous montrer ses fesses et toi aussi.
Elle attrapa deux pinces à linge sur la table et épingla la jupe de Brigitte dans son dos, puis elle claqua deux fois les fesses culottées :
— File te mettre au coin et réfléchis bien à ce que tu vas nous dire tout à l’heure, Laurence adore les confessions des vilaines filles.
Laurence était un peu déçue de ne pas découvrir immédiatement son terrain de jeu favori, cependant le spectacle des bonnes grosses fesses de Brigitte débordant de sa culotte rose, la jupe épinglée formant un rideau de scène, tout cela était assez excitant. La dame d’âge mûre se comportait vraiment comme une gamine, elle n’avait pas protesté et docilement elle avait appuyé son nez contre le mur et posé ses mains sur sa tête.
Odile était fière de montrer à son amie son autorité, elle fit un clin d’œil à Laurence en désignant la punie :
— Elle n’est pas mignonne notre petite Brigitte en pénitence ?
Laurence approuva en riant :
— C’est parfait, je suis sûre qu’elle doit serrer les fesses sous sa culotte.
Odile se leva et disparut dans la cuisine pour préparer le thé, Laurence s’approcha de Brigitte et glissa sa main sous la culotte :
— Eh bien ma chérie, ton bon gros derrière est bien crispé, détends-toi. Tu vas pouvoir comparer ma main avec celle de ta nouvelle maman.
Elle entendit Odile revenir, elle retourna s’asseoir, Brigitte n’avait rien dit, mais les paroles de Laurence ne laissaient pas de place au doute, celle-ci aimait donner la fessée.
Au bout d’un quart d’heure, Odile jugea qu’il était temps de passer à la suite, elle appela la punie :
— Brigitte, viens ici !
Docilement celle-ci s’avança vers les deux dames assises, elle avait gardé ses mains sur sa tête, se joues étaient rouges de honte de devoir leur faire face dans cette tenue, Odile lui fit un petit signe :
— Tourne-toi, Laurence va pouvoir enfin voir ton bon gros derrière.
C’était vrai que Brigitte avait une large croupe, mais c’était humiliant pour elle que sa nouvelle maman s’adresse à elle en lui parlant toujours, « de ses bonnes grosses fesses ou de son bon gros derrière ». Elle lui disait souvent en riant qu’un popotin pareil ça attirait la fessée.
Elle glissa ses doigts sous l’élastique de la culotte et retourna celle-ci, puis la fit glisser à mi-cuisse, les fesses s’étaient crispées, une légère chair de poule les recouvrait :
— Eh voilà le popotin de notre petite Brigitte !
Laurence frappa dans ses mains :
— Il est vraiment adorable, encore un peu trop blanc à mon goût, ça fait longtemps que tu ne l’as pas déculottée ?
Odile claqua les deux fesses en riant :
— Non c’était hier, tu sais que notre Brigitte a vraiment besoin qu’on s’occupe régulièrement de son derrière, sinon elle fait des bêtises. Je me demande d’ailleurs si elle n’y prend pas goût car malgré mes déculottées régulières, elle recommence quand même.
— C’est comme Clara, elle n’a jamais froid aux fesses quand elle est à la maison, mais malgré ça elle continue à désobéir.
Pendant que les deux dames discutaient des bienfaits de la fessée déculottée en sirotant leur thé, Brigitte exposait toujours ses fesses nues. Elle était tout près d’elles, sa croupe était à moins d’un mètre des deux amies, Laurence ne put s’empêcher de la caresser :
— Tu as remarqué comme l’administration régulière de la fessée rend la peau douce ?
Odile se mit à rire :
— C’est plus économique que les crèmes hydratantes.
Elle tendit également la main vers le fessier dénudé :
— J’ai peur que cette vilaine fille attrape froid. Bon, c’est l’heure de ta confession, ma chérie, tu vas nous dire la raison pour laquelle je vais être obligée de te punir.
Brigitte s’y attendait, c’était régulier, mis à part les fessées rapides qu’Odile lui administrait sous le coup de la colère quand elle la découvrait en train de faire une bêtise, celle-ci exigeait toujours une confession avant de la punir. Et il n’était pas question d’y déroger en prétextant qu’elle n’avait rien fait, la correction n’en était que plus sévère, sans compter celle qu’elle recevait avant ou au cours de sa confession pour la stimuler.
La professeure de français redevenue une gamine n’était pas particulièrement sage ou obéissante, mais elle n’était pas non plus une délinquante récidiviste. Quelquefois elle n’avait pas l’impression d’avoir fait quelque chose de mal et c’était un comble, elle était obligée de se creuser la cervelle pour fournir à sa nouvelle maman une raison de la corriger.
C’était un peu le cas aujourd’hui, heureusement pour elle, le temps passé au coin à exposer ses fesses encore culottées, lui avait permis de réfléchir. Toute l’astuce était de trouver une faute méritant d’être punie, mais pas trop grosse pour ne pas l’exposer à une sévère correction. C’était le plus souvent peine perdue, car Odile aimait trop rougir ses belles fesses pour se contenter d’une petite fessée, la déculottée était toujours magistrale. La seule chose qu’elle pouvait espérer c’était que sa sévère maman n’utilise pas d’instrument, certes sa main était vraiment claquante, mais elle était préférable à la brosse à cheveux ou au martinet.
Elle commença donc à parler, elle avait fait quelque chose d’interdit, mais elle hésitait à le raconter craignant la colère de sa nouvelle maman, elle avait gardé son téléphone dans sa chambre la nuit ce que lui interdisait formellement Odile, elle décida d’avouer une faute plus vénielle qui pensait-elle ne lui vaudrait qu’une bonne fessée déculottée manuelle, mais rien de plus. Quand elle expliqua les fesses nues toujours tendues vers les deux dames attentives, qu’elle s’était levée à huit heures au lieu des sept heures trente exigées par sa maman, Odile fit un petit clin d’œil à son amie :
— Tu es sûre que tu n’as rien oublié ma chérie, comme je te connais ça m’étonnerait beaucoup que je doives te punir seulement pour ce lever tardif.
Brigitte rougit, mais comme elle tournait le dos à Odile, celle-ci ne put pas le voir, par contre attentive comme toute bonne fesseuse aux expressions du fessier de sa punie, elle remarqua la légère crispation des fesses de Brigitte, celle-ci hésitait un peu :
— Euh non, maman je t’assure…
La réponse claqua, c’était ce qu’elle redoutait le plus.
— Va chercher le martinet, je vais t’apprendre à mentir !!
Sans un mot la sexagénaire, se dirigea vers la cuisine où était toujours suspendu le martinet, cet instrument traditionnel de discipline familial. Laurence regarda s’éloigner le large derrière se trémoussant au rythme des pas, elle se tourna vers son amie :
— Comment sais-tu qu’elle a menti ?
La sévère maman souriait :
— Je la connais, je peux lire sur ses fesses comme sur son visage, tu sais que ça peut-être très expressif un derrière.
Brigitte revenait en tenant l’instrument punitif à la main. Elle baissait la tête pour ne pas affronter le regard moqueur de Laurence et celui sévère de sa maman, elle lui tendit le martinet :
— Tourne-toi et présentes moi bien tes fesses, je vais t’apprendre !!
Docilement la dame mature se retourna, exposant ses fesses serrées par la crainte. Odile leva le martinet et lui cingla les mollets, elle sauta sur place en criant de surprise autant que de douleur :
— Aïe, aïe… Non, non, maman…
Le martinet avait cinglé plusieurs fois, Laurence interrogea son amie :
— Tu ne la fesses pas ?
Odile continua sans répondre, cette fois le martinet cingla l’arrière des cuisses, attirant des cris déchirants de Brigitte :
— Noon… Noon… pardon maman.
La sévère fesseuse s’arrêta et se tourna vers son amie :
— Rassure-toi son derrière va avoir sa dose, mais pour le moment ce n’est pas une punition, c’est juste pour stimuler sa mémoire. D’ailleurs tu vas voir ça marche.
Elle fit glisser les lanières du martinet sur les fesses de Brigitte :
— Alors ma chérie, la mémoire te reviens ou maman continue ?
— Non, non, maman… Aïe…
Odile venait de cingler le pli fessier entre les cuisses et le derrière :
— Dépêche-toi, ma patience à des limites !!
Le martinet cingla encore deux fois cette zone si sensible, l’arrière des cuisses et les mollets étaient déjà bien colorés. En sanglotant Brigitte avoua qu’elle avait gardé son téléphone la nuit avec elle car elle attendait un coup de téléphone.
La sévère voisine posa le martinet et se tourna en souriant vers son amie :
— Qu’est-ce que je t’avais dit, il n’y a rien de mieux pour délier les langues.
Elle s’approcha de sa grande fille, lui saisit l’oreille et de l’autre main lui administra quelques solides claques sur la croupe :
— Ah c’est comme ça que tu obéis ! Eh bien je vais te montrer ce qui arrive aux désobéissantes, je te garantis que tu vas avoir du mal à t’asseoir ma petite chérie. Laurence va voir comment tu remues bien les fesses quand tu reçois la fessée de maman. Allez en piste !
Elle avait tiré une chaise, elle s’installa confortablement et fit basculer la professeure en retraite en travers de ses genoux. Elle baissa un peu plus la culotte et tapota les fesses :
— Tu es bien installée ? Dis-mois ma chérie pourquoi ne m’as-tu pas dis la vérité tout de suite, tu le sais pourtant que maman n’aime pas les menteuses ?
Brigitte savait que sa situation était périlleuse pour ne pas dire désespérée, elle savait qu’elle devait répondre, même si elle avait peu de chance d’échapper à une magistrale correction :
— Oui maman… Je sais, pardon… Je… je n’ai pas fait exprès…
C’était une réponse idiote, mais quand on à plus de soixante ans et qu’on se retrouve déculottée et couchée sur les genoux d’une dame et qui plus est devant une autre, on perd un peu ses moyens. Odile se mit à rire :
— Ah oui, tu ne l’as pas fait exprès ? Tu te moques de moi !! Eh bien moi je peux te dire que je vais le faire exprès de t’administrer cette fessée déculottée dont tu vas te souvenir !!
La main commença à claquer le plantureux postérieur, il était encore blanc puisque le martinet l’avait épargné, mais ça ne dura pas. Brigitte s’était mise à crier immédiatement, Odile n’était pas vraiment en colère, mais plutôt amusée par la protestation enfantine de sa voisine d’âge mûr transformée par ses soins en grande fille. Elle claquait méthodiquement et avec force la belle paire de fesses.
Comme elle l’avait prévu, Laurence pouvait admirer une magnifique danse des fesses. La sévère maman de Clara aimait administrer la fessée, Clara pouvait en témoigner, mais elle n’avait jamais assisté à la punition d’une dame de cet âge, elle se régalait du spectacle, se doutant bien qu’elle pourrait certainement y prendre rapidement une part active.
— Alors ma chérie, tu la sens la main de maman sur tes jolies fesses, oui je sais ça brûle et rassure-toi je n’ai pas fini. Ah madame désobéit et bien madame va avoir du mal à s’asseoir, je te le garantis.
Inlassablement la main claquait la fesse droite puis la gauche, elle semblait rebondir sur la chair ferme et potelée du beau derrière, il était maintenant écarlate et Brigitte pleurait à chaudes larmes. Parfaitement éduquée après une vie entière à recevoir ce châtiment, elle ne cherchait pas à échapper à sa correction, seules ses fesses gigotaient et ses pieds battaient l’air désespérément, elle suppliait malgré tout sa sévère maman :
— Aïe… Noon… Pardon maman, s’il te plaît… Aïe… Plus la fessée, je serai sage… Promis…
Odile était appliquée à corriger sa grande fille, la main se levait et s’abaissait méthodiquement :
— j’espère bien que tu seras sage, en général quand on a les fesses bien rouges on promet toujours ça, mais je voudrais être sûr que tu as bien compris. Je vais donc continuer encore un peu.
Elle continua à claquer, mais sa main descendit un peu plus bas, juste sous les fesses sur l’arrière des cuisses, c’était encore plus douloureux et Brigitte se mit à pousser des cris encore plus aigus. Odile souriait en voyant les sauts que faisait sa grande fille sur ses genoux, elle adorait administrer la fessée pour ces moments là où la punie abandonnait toute sa fierté et toute sa pudeur. Écartant largement ses cuisses, laissant voir son intimité, sa raie fessière grande ouverte, promettant tout et son contraire, c’était le moment où la punie reconnaissait totalement l’autorité de la fesseuse.
Elle cessa la fessée et leva les yeux vers Laurence :
— Je pense que notre petite Brigitte a bien compris que maman n’aime pas la désobéissance, mais il nous reste à régler le problème de son mensonge. Je vais te la confier, ça va lui faire encore plus honte que ça soit toi qui la corriges. N’est-ce pas ma petite chérie ?
Elle avait administré deux claques magistrales sur le fessier cramoisi, une sur chaque fesse. Brigitte avait poussé un cri déchirant. Elle ne savait pas si Odile attendait une réponse à son interrogation, Odile tapota les fesses brûlantes :
— N’est-ce pas ma chérie que tu vas avoir bien honte d’aller présenter tes bonnes grosses fesses à Laurence.
— Aïe… Oui, oui maman…
La main venait de claquer sèchement, Brigitte avait compris que sa sévère maman attendait une réponse. Odile souriait, elle releva la main et administra deux nouvelles claques :
— Oui quoi ma chérie ?
Brigitte était paniquée, elle avait littéralement le derrière en feu et visiblement sa nouvelle maman ne comptait pas en rester là, les claques continuaient, elle essaya de répondre en sanglotant :
— Aïe, aïe, pardon maman… Oui j’ai honte de montrer mes fesses toutes rouges… Aïe… Noon plus la fessée.
Odile était satisfaite, elle venait de prouver à son amie que sa nouvelle grande fille était vraiment soumise à son autorité, elle caressa les fesses brûlantes :
— C’est bien que tu aies honte ma petite chérie, c’est pour ça que je t’ai baissé la culotte devant Laurence et que je t’ai administré cette fessée. Je pense que la prochaine fois tu réfléchiras avant de me désobéir. Mais en plus de m’avoir désobéi tu m’as menti, ça mérite donc une autre punition, tu es d’accord ?
Brigitte ne pensait pas que cet après-midi serait aussi cuisant, elle découvrait de jours en jours l’inventivité et la perversité de sa nouvelle maman. La main d’Odile avait recommencé son œuvre claquante sur le fessier brûlant, elle devait répondre :
— Oui, maman, oui, aïe… pardon, aïe, ça brûle maman…
Odile caressa à nouveau les belles et larges fesses qui ressemblaient vraiment maintenant à deux tomates bien mûres :
— Nous sommes donc d’accord, tu vas te relever et aller voir Laurence, je crois qu’elle a quelque chose à te dire.
Péniblement la pauvre Brigitte quitta les genoux d’Odile, instinctivement elle porta ses mains à ses fesses en feu, les deux dames la regardaient amusée, elle s’en rendit compte et leva ses mains comme pour les mettre sur sa tête, frotter ses fesses était strictement interdit :
— Pardon maman…
Elle semblait supplier sa nouvelle maman, celle-ci se tourna vers Laurence :
— On dirait que notre vilaine fille a vraiment le feu à son derrière, on lui laisse frotter ses fesses ?
Laurence se mit à rire :
— D’accord pour cette fois, ça va être mignon.
Odile en souriant s’adressa à la professeure déculottée :
— Tu as entendu Laurence ? Vas-y frotte ton bon gros derrière ma chérie.
C’était humiliant pour Brigitte, mais la cuisson était trop forte, elle porta ses mains à sa croupe et se mit à la frotter énergiquement. Laurence avait eu raison, c’était charmant de voir cette dame de soixante ans la culotte entortillée autour des chevilles, la jupe épinglée dans le dos en train de masser son large derrière cramoisi. Odile se mit à rire :
— Eh bien ! On dirait que ma fessée a été efficace, maintenant ça suffit, va voir Laurence.
La maman de Clara, lissa sa jupe sur ses cuisses gainées de bas fumé, elle désignait ainsi l’endroit où elle voulait que Brigitte se couche :
— Allez ma grande, viens un peu me montrer tes fesses.
Penaude, la sexagénaire se dirigea vers elle à petits pas, sa culotte la gênait pour marcher. Dès qu’elle fut contre ses genoux, Laurence lui remonta la culotte à mi-cuisse, comme Odile la regardait intriguée, elle expliqua :
— Je préfère que la culotte soit là, comme ça la punie sent bien qu’elle est déculottée.
Elle passa sa main dans le dos de Brigitte et la força à se coucher sur ses cuisses à demi découvertes, elle commença à palper le derrière écarlate comme si elle voulait en prendre possession, Brigitte était rouge de honte, en fait c’était seulement la quatrième personne qui avait accès à ses fesses dénudées et malgré sa grande habitude des fessées déculottées c’était quand même impressionnant et humiliant. Que sa mère puis son mari lui ait baissé la culotte pour la punir, c’était dans l’ordre des choses, pour Odile ça c’était fait quasiment naturellement, elle avait immédiatement joué le rôle d’une nouvelle maman. Mais Laurence, qui était-elle pour la coucher sur ses cuisses et lui examiner les fesses ainsi.
La sévère maman était ravie de l’aubaine, comme toute bonne fesseuse, elle appréciait les croupes rebondies, celle de la professeure en retraite était parfaite à tous égards, bien large, encore ferme avec une profonde raie médiane qui séparait les deux hémisphères. Et aujourd’hui, cerise sur le gâteau, elle était d’une magnifique couleur rouge, la peau brûlante luisait, Odile s’en était donné à cœur joie, effectivement la position assise risquait d’être douloureuse. Malgré son âge, Brigitte dû subir l’humiliant examen de son intimité, les doigts agiles de Laurence écartèrent largement la raie fessière, mettant à jour la rondelle brune de l’anus et plus bas la vulve, elle gémissait doucement, mais se laissait faire :
— Alors ma chérie, tu as désobéi et maman a été obligée de faire panpan cucul ? Ton joli derrière est bien chaud. Tu recommenceras ?
La question attendait sans nul doute une réponse, ses fesses cuisantes le rappelaient à Brigitte, elle répondit d’une petite voix :
— Non, non, madame…
Laurence avait posé sa main sur le large derrière, elle regarda en souriant son amie :
— Tu ne penses pas que nous devrions laisser refroidir un peu ces fesses, la punition est plus efficace quand elles sont moins chaudes.
Odile approuva :
— Tu as raison, on va la mettre au coin.
Laurence tapota le derrière brûlant :
— Allez debout madame fesses rouges, on va aller montrer ses fesses.
Odile lui fit un petit clin d’œil :
— Tu as raison, on va les exposer.
Elle prit Brigitte par l’oreille et l’installa nez contre le mur juste en face de la fenêtre, puis elle tira sur les rideaux de manière que les occupants de l’immeuble d’en face aient une vue panoramique sur le salon :
Brigitte se mit à gémir :
— Oh non maman, j’ai trop honte.
Odile lui claqua les fesses :
— Tais-toi ! J’espère bien que tu as honte, c’est fait pour ça. Les gens vont voir tes bonnes grosses fesses bien rouges et ils sauront que tu as reçu la fessée et si tu continues je vais t’en redonner une sur le balcon devant tout le monde.
Brigitte cessa immédiatement de se plaindre, la menace était réelle, dans l’immeuble il était de notoriété publique que la sévère maman administrait encore la fessée déculottée à ses grandes filles. La voir en flanquer une à une dame sur son balcon n’aurait pas choqué grand monde.
Une fessée , permet d'être obéit , ne jamais contester la décision maternelle, car elle seule , sait ce qui est bon ! De plus, si nécessaire ,un bon martinet , sur les cuisses , et là, la leçon, l'impertinence, l'insolence , seront supprimés de la bouche et de la tenue de la jeune fille ou du garçon !
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