mercredi 23 octobre 2024

Lucie et Christian 19

Le mensonge est un vilain défaut 



Lucie avait rougi immédiatement, Ingrid, en connaisseuse, s’était rendu compte que la jeune femme avait quelque chose à lui cacher. Elle la fixa intensivement :

— Tu es allé voir Sylvie ?

— Euh, non… Pourquoi ? J’en ai juste entendu parler au bureau.

Ingrid regarda Alice, celle-ci essayait de ne rien laisser paraître, mais son sourire était assez éloquent, la sévère tatie s’approcha de Lucie et lui saisit l’oreille :

— Je n’aime pas les coléreuses, mais encore moins les menteuses ma petite Lucie. Tu ferais mieux de me dire la vérité avant que je ne téléphone à Sylvie pour vérifier.

Lucie baissa les yeux, décidément sa culotte ne serait pas restée longtemps sur ses fesses, elle allait devoir confesser son mensonge et connaissant Ingrid la sanction serait un passage sur ses genoux et un déculottage. Ses fesses s’étaient contractées sous sa petite culotte de jeune fille. Elle avala sa salive et se lança :

— Oui, tatie, c’est vrai, je suis allé voir madame Sylvie, mais ça fait longtemps, je ne pensais pas que c’était important.

Ingrid tenait toujours la jeune femme par l’oreille, elle la tira un peu plus vers le haut, Lucie poussa un petit gémissement qui fit sourire la sévère maîtresse :

— Ne te moque pas de moi, tu aggraves ton cas, ton petit derrière va rougir, ça c’est sûr, mais l’intensité de sa couleur dépend de toi ma chérie, on va s’installer confortablement et tu vas me raconter tout ça en détail.

Elle se dirigea vers la chaise à fessée tirant Lucie à sa suite, celle-ci ne résista pas, c’était humiliant et douloureux d’être ainsi tenue par l’oreille. Ingrid la bascula à nouveau en travers de ses genoux, c’était déjà la troisième fois depuis son arrivée qu’elle se retrouvait dans cette inconfortable position. Comme elle le pressentait, Ingrid la déculotta immédiatement :



— Eh bien te voilà prête pour ta confession ma petite chérie, je te conseille de ne rien oublier, mais avant de commencer, je vais stimuler un peu ta mémoire.

Sa main se leva et une avalanche de claques très fortes et très rapides s’abattit sur la croupe dénudée. Lucie se mit à crier et à pleurer rapidement, ses fesses gardaient le souvenir des deux corrections précédentes et elles étaient encore sensibles, cette nouvelle fessée fut très douloureuse.

Ce fut donc avec le derrière écarlate qu’elle se mit à raconter ses différentes séances chez la fessothérapeute ainsi que la façon dont elle avait soumis son mari. La confession fut longue, Alice buvait ses paroles, même si elle était au courant de la plupart des choses que racontait son amie, c’était très excitant de l’entendre, surtout dans sa position ou se trouvait Lucie, couchée comme une gamine sur les genoux d’Ingrid, la culotte aux genoux et les fesses bien rouges.

La rougeur du derrière était d’ailleurs entretenue par la tatie, celle-ci administrait de temps en temps quelques claques sur le fessier pour stimuler la jeune femme :

— C’est bien ma chérie continue, tu vois qu’avec ton petit derrière bien chaud la mémoire te revient.

Quand enfin Lucie eut fini de raconter ses visites chez madame Sylvie, Ingrid leva les yeux vers sa nièce :

— Dis-moi Alice, tu savais que Lucie m’avait menti ?

La jeune femme rougit et baissa les yeux, elle savait par expérience qu’il ne fallait pas mentir à sa tante, en avouant une bêtise on était bon pour une simple déculottée, alors que le mensonge vous valait une punition exemplaire, Lucie allait en faire l’amère expérience.

— Euh, oui tatie, je l’avais dit à Lucie qu’elle ne devait pas te mentir.

Pour protéger la peau de ses fesses, elle chargeait sa copine, Ingrid fronça les sourcils :

— Ce n’est pas ce que je te demande, pourquoi ne m’a pas tu dis que Lucie connaissait Sylvie ?

Alice serra les fesses, elles allaient à nouveau lui cuire. Ingrid claqua sèchement les fesses de la punie :

— Vous avez donc menti toutes les deux, vous serez donc punies ensemble, Lucie plus sévèrement qu’Alice, car son mensonge est plus gros. Donne-moi la brosse.

La jeune femme tendit le redoutable instrument à sa tante, Lucie se mit à gémir :

— Pardon tatie, s’il te plaît plus la fessée, noon… Aïe, aïe, aïe… non, non.

La fessée venait de commencer, calmement Ingrid administrait de grandes claques avec la brosse, alternant une fesse puis l’autre, la partie rebondie puis la base et enfin l’arrière des cuisses, c’était une correction très sévère, Lucie hurlait à chaque coup, elle se mit à pleurer en même temps que ses pieds battaient l’air. La fesseuse était concentrée sur sa tâche, un léger sourire planait sur ses lèvres, à n’en pas douter, elle adorait administrer la fessée, surtout quand la punie avait un si mignon derrière, elle s’arrêta un instant et passa sa main sur la croupe écarlate :

— Tu recommenceras à me mentir ?

— Non, non tatie, pardon… ça brûle trop… Aïe… aïe.

La brosse venait encore de claquer :

— J’espère bien que ça te brûle ma chérie, c’est pour que tu ne commences plus, mais je ne suis pas sûr que cela soit suffisant, on va encore chauffer un peu ton derrière.

Lucie se remit à crier, Alice avait un peu de pitié pour son amie, décidément sa tante la traitait au moins aussi sévèrement qu’elle. Sa croupe était cramoisie quand Lucie put enfin se relever, de grosses larmes coulaient sur ses joues, elle se mit à sautiller sur place, Ingrid la regarda en riant :

— On dirait que madame a vraiment chaud aux fesses, tu peux les frotter pour voir comme elles sont bien cuites à point.

Lucie se mit à frotter énergiquement son postérieur brûlant, Alice se surprit à mouiller à la vue de ce charmant spectacle, Ingrid également d’ailleurs, elle interrompit Lucie :

— Bon, ça suffit, mets tes mains sur ta tête pendant que je corrige Alice.

La jupe était retombée cachant le fessier, elle la retroussa à nouveau et la coinça dans la ceinture :

— Alice, viens ici, je vais t’apprendre à mentir toi aussi. Tu devrais pourtant le savoir que je déteste ça.

La fessée d’Alice fut plus courte, mais aussi claquante, il y avait à nouveau deux paires de fesses bien rouges au milieu du salon de la sévère tatie, les culottes étaient entortillées autour des chevilles.

— Donnez-moi vos culottes, vous en êtes privée jusqu’au coucher.

Elles enjambèrent leurs sous-vêtements et le tendirent à Ingrid, celle-ci s’en saisit en souriant et les posa sur la table.

— Tournez-vous pour me montrer vos jolis petits derrières.

Lucie imita Alice, celle-ci en plus de faire demi-tour s’était légèrement penchée en avant pour tendre sa croupe à sa tante. Ingrid était contente de son après-midi, elle caressa les deux croupes brûlantes. Elle n’avait jamais été au-delà de la fessée déculottée et de l’examen soigneux de son intimité avec sa nièce, mais cette petite Lucie avait vraiment un joli petit cul, elle allait en profiter pendant ce week-end, cette petite finirait dans son lit.

Elle claqua les deux paires de fesses :

— Au coin, vite !! Et je ne veux plus vous entendre, vous allez y rester jusqu’à l’heure du coucher.



Le mensonge était sévèrement puni dans cette maison, Lucie commençait à s’en rendre compte. Elles restèrent une heure le nez collé contre le mur à exposer leur fessier écarlate.

Ingrid les libéra enfin et leur annonça la suite :

— Vous montez dans la chambre et vous vous préparez pour la nuit, lavez bien vos dents et faites pipi, j’arrive dans dix minutes. Alice tu connais la suite, tu l’expliqueras à Lucie.

Elles montèrent sans dire un mot, la tatie se régala à regarder ces deux paires de fesses encore rouges quitter la pièce en se balançant au rythme des pas.

Dès qu’elles furent à l’étage et qu’Ingrid ne pouvait plus les entendre, Alice fit une petite grimace et regarda sa copine :

— Elle en a pas encore fini avec nos derrières.

Lucie se frotta les fesses :

— Quoi ? Encore, oh non ce n’est pas possible, je ne vais pas pouvoir le supporter.

Elle était arrivée dans la salle de bain, Alice se mit à rire :

— Arrête un peu, tu as vu ta paire de fesses, même si elles sont moins joufflues que les miennes, je suis sûr qu’elles sont capables de supporter bien plus que ça.

Elle lui tapota les fesses :

— Et puis tu as l’air d’oublier que quand c’est toi qui portes la culotte, tu ne te gênes pas pour administrer des fessées à répétition, Christine et Aurore pourraient en témoigner. Moi aussi d’ailleurs.

Elles se lavèrent les dents et passèrent aux toilettes, elles avaient deux chambres contiguës, Lucie sorti son pyjama de sa valise, Alice la surveillait par la porte ouverte :

— Non ma chérie, pas de pyjama. Tiens regarde ce qu’on doit mettre pour la nuit, elle lui tendit une nuisette blanche. Lucie fit la moue, elle détestait dormir en chemise de nuit, elle l’enfila et gémit :

— Olala, qu’est-ce qu’elle est courte, autant dormir toute nue.

Alice avait enfilé la sienne, elle souriait devant la tête de sa copine :

— Moi, je te trouve très mignonne comme ça.

La nuisette ne couvrait que les fesses et le haut des cuisses, Alice passa la main dessous et caressa la croupe de Lucie :

— Tu ne te doutes pas pourquoi tatie veut qu’on mette cette chemise de nuit ?

La main palpait les fesses encore chaudes, Lucie souriait et se laissait faire :

— Oh que si, comme ça elle a nos fesses à disposition.

— Exactement, d’ailleurs, il faut qu’on se dépêche de se mettre en position.

— En position ?

— Oui tu te mets au pied de ton lit et tu tiens ta nuisette retroussée jusqu’à ce qu’elle arrive.

Lucie fit une grimace, mais déjà les pas d’Ingrid résonnaient dans l’escalier, elle fit comme Alice lui avait dit.

La sévère tatie entra dans la chambre de Lucie, elle sourit de satisfaction au spectacle du mignon derrière de sa nouvelle nièce, il était encore bien coloré et Lucie avait crispé ses fesses en l’entendant arriver. Elle s’approcha et tapota la croupe :

— C’est bien tu as été obéissante, tu vas rester là pendant que je m’occupe du derrière d’Alice.

Lucie tourna la tête et elle vit dans la glace le reflet de sa tatie, elle tenait un martinet à la main, un petit frisson l’a parcouru, elle n’avait pas goûté à cet instrument depuis longtemps, par contre elle l’utilisait souvent sur les croupes de ses soumises et celle-ci n’avait pas l’air de l’apprécier beaucoup. Cependant il lui fallait reconnaître que ça faisait des fesses bien rouges.

Quelques instants plus tard les cris et les supplications d’Alice la renseignèrent sur la sévérité de la punition.

En entrant dans la chambre de sa nièce, Ingrid put comparer la taille des deux fessiers, celui d’Alice était vraiment plus joufflu que celui de Lucie, elle appréciait de le mettre à nu et de le rougir. Son bon gros derrière, comme elle disait, prenaient très bien la fessée.

Elle s’approcha palpa la croupe et appuya sur le dos de la jeune femme :

— Tu te penches en avant et tu poses tes mains sur lit. Je veux des fesses bien présentées.

Alice devina qu’elle allait avoir droit au martinet, elle sentit les lanières qui caressaient son derrière :

— Pour ne pas m’avoir dit que Lucie connaissait Sylvie, ce sera vingt-cinq coups de martinet, écarte un peu les pieds et tends bien tes fesses.

La danse des lanières sur la croupe débuta, Lucie entendait distinctement le cinglement sur la peau nue et bientôt les gémissements de la punie, elle avait entendu Ingrid annoncer vingt-cinq coups, combien pour elle. La fessée s’arrêta et bientôt elle entendit les supplications de son amie :

— Non, non, tatie…

— Tu veux une autre fessée ? Non ? et bien desserre les fesses et vite.

Le bruit d’une nouvelle correction retentit, cette fois-ci Lucie reconnu le bruit d’une fessée traditionnelle à la main. Elle ne fut pas longue, la voix d’Ingrid couvrit les pleurs d’Alice :

— Bon maintenant tu me laisses écarter tes fesses sinon je te garantis que ça sera la brosse.

Il y eut juste un petit gémissement de la jeune femme puis le bruit d’une claque :

— C’est bien, maintenant au lit, tu dors sur le dos et cette fois-ci tu peux les serrer tes jolies fesses.

Elle avait dit ça en riant, quelques secondes plus tard, Lucie l’entendit rentrer dans la chambre :

— Bien, à nous ma petite menteuse.

Elle appuya sur le dos de la jeune femme :

— Tu vas me présenter correctement ton derrière, pose tes mains sur le lit.

Elle mit le martinet sous le nez de Lucie :

— Tu m’as raconté un gros mensonge, Alice a eu droit à vingt-cinq coups, pour toi ce sera cinquante !

Lucie se mit à supplier :

— Non, non tatie… s’il te plaît… promis je ne mentirai plus… c’est trop… Aïe, aïe…

Ingrid venait de claquer la croupe tendue, elle saisit Lucie par l’oreille et la fit se relever :

— Qu’est-ce-que c’est que ces manières, je vais t’apprendre à protester !

En un clin d’œil elle s’installa sur le lit et coucha Lucie en travers de ses cuisses. La fessée pétarada immédiatement dans la pièce, Alice couchée dans son lit compatissait au sort de sa copine. La pauvre avait voulu faire la connaissance de sa tatie, eh bien elle était servie.

— Tu vas finir par comprendre qu’ici c’est moi qui décide et que tu n’as rien à dire, si je veux te donner dix fessées déculottées, eh bien tu les recevras. As-tu compris ?

La main allait et venait sur les fesses de la pauvre Lucie qui criait et pleurait, ses jambes battaient l’air, mais son fessier reçu son dut.

— Oui, oui, tatie, j’ai compris… Aïe, Aïe, pardon.

Ingrid la fit se relever :

— Remets-toi en position ! La prochaine fois que tu protesteras, ta punition sera doublée.

Le martinet commença à cingler la croupe déjà écarlate, Lucie trépignait sur place. Ingrid s’appliquait, cette petite avait vraiment un derrière adorable, les fesses s’ouvraient largement, elle pensa que d’ici la fin du week-end elle goûterait à ses petits trésors.

La punition terminée, elle posa le martinet sur le lit et saisissant Lucie par l’oreille, elle l’installa à nouveau sur ses genoux, affolée à l’idée d’une nouvelle fessée, Lucie se mit à pleurer :

— Non tatie, s’il te plaît plus la fessée…

Ingrid tapota la croupe cramoisie en riant :

— Décidément tu n’es pas guérie, je t’ai dit que c’est moi qui décide des fessées que tu dois recevoir. Tu mériterais que je t’en reflanque une. Mais rassure-toi si tu es bien sage plus de panpan cucul. Tu vas me laisser écarter tes fesses bien gentiment.

Lucie réalisa qu’elle allait avoir droit à quelque chose dans son petit trou, ses fesses brûlantes l’incitaient à se laisser faire. Elle sentit les doigts de la sévère fesseuse écarter ses deux globes, c’était humiliant mais préférable à une nouvelle correction.

Ingrid lui donna des explications :

— Comme vous avez été très vilaine aujourd’hui, vous avez droit à un petit supplément, une spécialité de Sylvie, les suppos au gingembre.

Lucie repensa à ce qu’elle avait fait subir à Christine et à Aurore, maintenant c’était son tour. Elle sentit ses fesses se crisper malgré ses efforts, deux magistrales claques atterrir sur son derrière :

— Qu’est-ce que j’ai dit ! Alice n’a pas voulu desserrer ses fesses, elle le regrette encore.

Lucie relâcha immédiatement ses muscles fessiers et elle sentait les yeux d’Ingrid braqués sur sa raie grande ouverte :

— Voilà qui est mieux, décidément vous ne comprenez que la fessée.



Le suppositoire pénétra lentement, c’était un moment de honte totale pour la jeune femme. On ne lui avait pas mis un suppositoire depuis son enfance, cette humiliation n’avait rien à voir avec la mise en place d’un plug, ça ramenait vraiment cette dame d’une quarantaine d’années au statut de gamine.

Soudain une brûlure envahit son fondement, c’était donc ça l’effet du gingembre. Ingrid avait relâché les fesses, elle les tapota :

— Tu peux les serrer maintenant.

Lucie se mit à gémir et à se trémousser, elle était toujours couchée sur les cuisses d’Ingrid qui se régalait du spectacle de ce mignon derrière tout rouge. Elle se retint de lui administrer une nouvelle fessée et se contenta de caresser cette jolie croupe.

— On dirait que madame à vraiment chaud à son petit cul, tu vas te coucher sur le dos pour bien sentir tes fesses. Tu vas voir comme tu vas bien dormir.

La nuisette était retombée masquant le derrière cramoisi, Lucie se glissa dans le lit et fit une grimace quand ses fesses touchèrent le matelas.

Ingrid était satisfaite, ses deux nièces avaient eu leur ration de fessées déculottées.



4 commentaires:

  1. Magnifique histoire, comme j’envie la place de Lucie pour recevoir une fessée déculottée et le suppositoire au gingembre 🍑🔥🍑

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  2. Cher inconnu ou inconnue, n'oubliez pas qu'une vraie fessée déculottée ça fait très mal aux fesses et peut être que vous le regretteriez une fois couchée sur les genoux de tante Alice, quant au suppositoire aux gingembre, essayer avec du gingembre dans votre petit derrière et on en reparlera 😊🔥🔥
    Sylvie

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    1. Chère Sylvie, je sais qu’une fessée fait mal, pour en avoir déjà reçu. Mais, si vous saviez comme j’aime ça, être déculottée 🍑

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    2. Moi aussi, j'adore la sensation de ma culotte qui glisse sur mes fesses.... et la cuisson qui dure longtemps.
      Sylvie

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