Fessée pour une maman
En sortant de chez Suzanne, Laetitia était très en forme, la
soirée s’annonçait bien, sa chère maman allait devoir lui
présenter ses fesses. Elle devait être inquiète après l’épisode
chez Claudine. Elle décida de la faire attendre, elle lui envoya par
WhatsApp la vidéo qu’elle avait faite lors de la fessée à la
brosse que lui avait administrée sa mère, elle ajouta une petite
légende « Qu’en penses-tu maman chérie ? ».
Puis elle décida de faire un détour chez Brigitte, elle ne sonna pas bien sûr, la professeure donnait un cours à Chloé, comme elle en avait pris l’habitude celle-ci était les fesses à l’air. Elle était debout, le dos tourné et la couleur de son derrière ne laissait pas de place au doute, la leçon avait été cuisante. Brigitte avait une règle plate en bois à la main :
— Décidément tu as besoin d’être stimulée ma petite, c’est curieux comme tu es plus attentive quand je t’ai baissé la culotte et que je t’ai chauffé les fesses.
Elle entendit les pas de Laetitia et s’arrêta net, un sourire coquin flottait sur les lèvres de la jeune maîtresse :
— Bravo Brigitte, cette chipie a besoin d’avoir les fesses rouges sinon elle ne travaille pas.
Puis elle s’adressa à sa sœur :
— Chloé ma petite chérie, tu le sais pourtant qu’une fessée chez Brigitte, c’est deux fessées à la maison.
La jeune fille protesta :
— Oh non, maman ne va pas le savoir, s’il te plaît.
Laetitia s’approcha et lui claqua sèchement la croupe :
— Tais-toi, il ne s’agit pas de maman, à partir d’aujourd’hui c’est moi qui ai la charge de te surveiller. Si tu veux une fessée de plus tu n’as qu’à le dire.
Chloé se mit à gémir :
— Oh pardon, pardon laeti, s’il te plaît… Aïe, aïe…
La main avait claqué sèchement chaque fesse :
— Je t’ai dit de te taire ! Tu restes cul nu et tu rentres à la maison, tu vas dans ta chambre et tu n’en sortiras que quand je t’y autoriserai. Tu as intérêt à te mettre au travail, tu as deux fessées qui chauffe. Maintenant tu files !!
La main claqua à nouveau le fessier juvénile. A peine avait-elle passé la porte que Laetitia se tournait vers Brigitte :
— Décidément je crois ne pas avoir été assez clair tu as encore oublié ?
La professeure rougit violemment et se tourna :
— Oh pardon mademoiselle Laetitia, mais il… il y avait Chloé…
Elle avait glissé sa main sous sa jupe et s’était déculottée, puis elle avait retroussé sa jupe et se penchait pour tendre sa croupe dénudée vers sa jeune maîtresse.
Laetitia en souriant s’approcha et enlaça avec son bras gauche la taille de Brigitte, puis elle la força à se pencher un peu plus et leva la main. Elle commença tranquillement à claquer le fessier tendu :
— Je crois ma chérie qu’il te faut avoir les fesses chaudes et bien rouges pour que ta cervelle comprenne.
La main claquait lentement pour appuyer chaque parole, la dame punie piétinait sur place :
— Oui, oui, je sais mademoiselle Laetitia, pardon…
— Non, je crois que tu as oublié, répète-moi les consignes.
Brigitte se retenait de crier la cuisson devenait intense, il lui fallait répondre sinon la correction ne s’arrêterait pas :
— Oui mademoiselle Laetitia… Dès que vous arrivez, je dois vous présenter mes fesses nues.
— C’est ça, mais encore ?
— Euh… Aïe, aïe…
La main avait claqué la base des fesses.
— Je, je dois vous présenter mes fesses nues où que nous soyons et même s’il y a des témoins…
Laetitia avait cessé la fessée, elle caressa les fesses rougies :
— C’est ça, et pourquoi ne l’as-tu pas fait ?
— Je, je ne sais pas mademoiselle… Aïe, aïe, aïe…
La fessée avait repris ;
— Ah tu ne sais pas et bien moi je sais. Tu ne voulais pas montrer ton bon gros derrière à Chloé et bien je peux te dire que tu ne perds rien pour attendre, tu recevras une bonne fessée déculottée devant elle. Je vais t’apprendre à obéir, je te garantis, en attendant tu vas t’en prendre une bonne aujourd’hui, va chercher le martinet !!
Elle relâcha sa « grande fille », celle-ci se dirigea vers la cuisine où était suspendu l’instrument traditionnel de la discipline familiale. Elle le tendit à sa jeune maîtresse qui lui fit un petit signe lui indiquant de se tourner :
— Montre-moi donc tes bonnes grosses fesses ma jolie, tu vas voir comme Monsieur Martinet va les faire danser.
Brigitte en rougissant s’exécuta, laetitia s’approcha et passa sa main sur la croupe contractée :
— Détends-toi ma chérie. Tu poses tes mains sur tes genoux et tu tends bien tes fesses. Trente coups et tu comptes !!
La professeure serra ses fesses à l’annonce de la punition, elle détestait ce martinet qui brûlait tellement, elle se concentra dans l’attente du premier coup, mais Laetitia la faisait attendre, elle fit glisser les lanières sur le large derrière tendu :
— On dirait que tu aimes te faire chauffer les fesses, tu vas finir par obéir je te le garantis.
Brigitte geignait doucement, elle tendait bien son large fessier, elle savait que les fesseuses l’appréciaient, il fallait le présenter sous son meilleur jour, pour peut-être attendrir sa jeune maîtresse. Effectivement laetitia aimait les beaux derrières comme celui de l’ex-professeure ou celui de sa mère, y administrer une bonne fessée déculottée c’était particulièrement agréable. Elle ressentit une légère excitation en prenant conscience de sa puissance, mais elle se ressaisit rapidement, elle se plaça à côté de sa pupille et leva le bras, les lanières sifflèrent dans l’air et s’abattirent avec un bruit sec sur toute la largeur de la croupe. Brigitte poussa un cri et compta « un », des traces rouges, plus foncées apparurent sur les fesses, le deuxième coup était déjà tombé, la punie trépignait sur place, mais ne cherchait pas à éviter la correction. Au quinzième coup Laetitia changea de côté pour rougir équitablement les deux fesses.
La croupe était maintenant cramoisie et Brigitte pleurait doucement, la sévère jeune femme la fit se relever :
— Tu vas aller au coin pour réfléchir, la prochaine fois que tu oublieras de me présenter ton derrière, ça sera soixante coups de martinet. Je doublerai à chaque fois, ton derrière va finir par comprendre.
La punie avait été se placer contre le mur face à la fenêtre, la jeune femme ouvrit les rideaux en grand :
— Il faut que tous le monde profite du spectacle de ton bon gros derrière bien rouge.
Elle claqua les fesses sèchement :
— Colle bien ton nez contre le mur !
Elle écarta les deux fesses et posa le manche du martinet au fond de la raie.
— Tu serres les fesses, il ne doit pas tomber sinon je te redonne la même fessée.
Elle brancha la webcam et vérifia sur son téléphone que l’image y apparaissait. Elle se mit à sourire, on voyait en gros plan le large fessier serré sur le manche du martinet, les lanières retombaient sur les fesses rougies, c’était très élégant. Elle bascula sur l’appartement de Suzanne, l’ex-gouvernante était toujours allongée sur l’accoudoir du canapé, son derrière rouge pointant vers le haut et le thermomètre dépassant de la raie fessière.
Il lui fallait maintenant parachever cet après-midi cuisant en s’occupant de sa mère, elle quitta l’appartement de Brigitte, sans rien lui préciser sur la longueur de sa pénitence, l’incertitude faisait partie de la punition.
Elle entra chez elle en chantonnant, Odile était à la cuisine, elle l’appela :
— Maman tu peux venir, nous avons à discuter.
La sévère maman n’en menait pas large, ses joues étaient empourprées quand elle passa la porte, Laetitia la contempla de haut en bas avec un sourire gourmand. Que se passait-il à ce moment dans le cerveau de sa mère ? Elle prit place dans un fauteuil et ne proposa pas à Odile de s’asseoir, il fallait qu’elle marque son autorité :
— Je suppose que tu as compris qu’un certain nombre de choses vont changer dans cette maison.
Comme sa mère ne répondait pas, se contentant de baisser la tête, elle haussa le ton :
— La fessée de mamie n’a pas suffi ? Il va falloir t’habituer à me regarder et à me répondre quand je te parle !!
Odile rougit encore un peu plus, elle leva les yeux vers sa fille et l’inimaginable se produisit :
— Oui, pardon Laetitia, je suis désolée.
Les mots étaient sortis sans qu’elle y réfléchisse, ses fesses étaient encore douloureuses, elle était redevenue une petite fille prise en faute.
La jeune femme la regarda en souriant, elle se délectait de la situation :
— C’est bien, tu as donc compris que dorénavant tu dois m’obéir ?
— Oui…
— Oui momy ! À partir d’aujourd’hui c’est comme ça que tu m’appelleras, si tu oublies tu seras punie.
Odile sentait le sol se dérober sous ses pieds, elle essaya de ne pas baisser les yeux et avala sa salive :
— Oui… Momy…
Laetitia arborait un sourire triomphant :
— Tu as vu Chloé ? Je l’ai mis en pénitence dans sa chambre.
Odile répondit par l’affirmative, elle avait vu arriver sa plus jeune fille, la culotte descendue à mi-cuisse, la jupe épinglée dans le dos, arborant une paire de fesses écarlates. Celle-ci lui avait indiqué qu’elle devait aller dans sa chambre jusqu’à l’arrivée de Laetitia. Elle n’avait pas réagi tellement elle était absorbée par la nouvelle situation.
La jeune maîtresse fit un petit signe du doigt, Odile s’approcha :
— Tourne-toi.
Dès que sa mère eut obéi, elle saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa, puis elle la coinça dans la ceinture :
— Te voilà en tenue pour m’écouter.
Odile était de plus en plus inquiète, elle se doutait de la perversité de sa fille, elle sursauta, Laetitia venait de lui claquer les fesses sur la culotte :
— À partir de maintenant, c’est moi qui détiens l’autorité dans cette maison, je suppose que tu n’as pas envie que les photos et les vidéos que j’ai faites chez mamie soit divulguées. Donc tu seras soumise au même traitement que Brigitte, Suzanne et les deux chipies. Tu m’obéiras au doigt et à l’œil sinon ce sera panpan cucul, c’est bien compris !
Elle conclut sa phrase par deux claques une sur la culotte et l’autre juste dessous à la limite des fesses, Odile sautilla sur place :
— Aïe, oui… Oui momy.
Laetitia souriait toujours, satisfaite de la docilité de sa mère :
— Pour inaugurer cette nouvelle ère, je vais t’administrer ta première fessée. J’ai eu l’occasion de corriger tatie Ingrid tout à l’heure, il faut que je fasse connaissance avec ton derrière.
Odile ne savait pas s’il lui fallait répondre, elle hésita :
— Oui momy…
Sa fille s’était levée, elle sortit son téléphone et le mit devant les yeux de sa mère :
— Tiens regarde ce qui arrive quand on désobéit à momy.
Odile vit le gros fessier bien rouge de Brigitte serré sur le manche du martinet,
puis le derrière écarlate de Suzanne non moins exposé. Laetitia en souriant lui prit l’oreille :
— Allez maman chérie, tu vas venir me montrer tes jolies fesses, tu vois que tu n’es pas la seule à te les faire rougir.
Elle s’installa sur la chaise qu’Odile utilisait souvent pour la fesser, elle tenait symboliquement à corriger sa mère de la même façon. En quelques secondes celle-ci se retrouva couchée en travers des cuisses de sa fille. La jupe était déjà troussée, contrairement à ses filles qu’elles obligeaient à porter de sages culottes en coton, Odile aimait mettre des jolis sous-vêtements en dentelle de couleur. Tendue par la position, la lingerie rose avait du mal à contenir le beau et large fessier de la mère de famille, la culotte en dentelle rentrait dans la raie et découvrait la base du postérieur. L’humiliation était déjà conséquente, se retrouver en position disciplinaire sur les genoux de sa fille, jamais Odile n’aurait pu l’imaginer, mais quand elle sentit les doigts de Laetitia se glisser sous l’élastique du sous-vêtement, elle ne put s’empêcher de gémir :
— Oh non, Laetitia, s’il te plaît… Aïe, aïe, aïe, aïe…
La main avait cessé de baisser la culotte et la fessée crépitait déjà sur le derrière à moitié dénudé :
— Qu’est-ce que je t’ai dit !! Momy !! Tu dois m’appeler momy. À je vais te dresser ma petite, crois-moi ! Même si tu ne peux plus t’asseoir pendant toute la soirée !! La punition est doublée tant pis pour toi.
Elle déculotta largement sa maman devenue sa « grande fille » :
— Voilà ! Cul nu !!
La fessée reprit sur les fesses nues, une magistrale correction, ce ne serait pas la dernière, mais il fallait marquer le coup. Odile avait déjà reçu une sévère déculottée chez Claudine, cette troisième fessée était donc très douloureuse. Elle oublia bien vite qui était sa fesseuse, son attention était concentrée sur la brûlure de son derrière. Elle tortillait très suggessivement sa croupe de femme mûre et laetitia appréciait le spectacle que lui offrait sa mère redevenue une adolescente punie par sa momy, « ma petite maman chérie, tu as vraiment une belle paire de fesses, c’est la plus agréable à fesser de toutes celles à ma disposition. Je pense que tu vas me les présenter très souvent »
Elle claquait joyeusement ce fessier, les cris et les pleurs d’Odile devait parvenir jusqu’à la chambre de Chloé, que devait-elle penser à cet instant précis en entendant sa maman recevoir une magistrale fessée.
La croupe écarlate s’étalait devant les yeux ravis de la jeune femme, les deux globes se serraient puis s’ouvraient largement, signe d’une cuisson intense. La sévère mère de famille pleurait à chaudes larmes, elle était vaincue, toutes ses prérogatives venaient de disparaître en même temps qu’elle recevait cette humiliante punition. Celle-ci n’était pas terminée, Laetitia avait été élevée à bonne école, elle allait s’en rendre compte rapidement :
— Voilà pour ta fessée de bienvenue dans le groupe des pupilles de momy Laetitia, maintenant on va passer à ta punition pour m’avoir mal parlé.
Odile gémit doucement :
— Pardon momy, pardon… J’ai déjà été bien punie…
Laetitia en riant lui tapota les fesses :
— Tu plaisantes maman chérie, c’était juste une bonne petite fessée. Attends-toi maintenant à la vraie déculottée que tu mérites. Lève-toi !
Odile les joues humides de larmes se redressa, elle baissait la tête, une claque sur la cuisse la rappela à l’ordre :
— Regarde-moi vilaine fille !! Va chercher la brosse et le martinet.
Les fesses de la maman punie se serrèrent instinctivement, Laetitia se régalait de la soumission de sa mère et de la crainte qu’elle lui inspirait :
— Allez dépêche-toi un peu, oui tu as bien entendu, la brosse et le martinet !!
Elle ne comptait pas utiliser les deux instruments, mais laisser Odile dans l’expectative faisait partie du commencement de son éducation.
La culotte descendue aux genoux et le derrière écarlate, Odile se dirigea vers la cuisine pour ramener le martinet, elle craignait par-dessus tout que Chloé sorte de sa chambre et la découvre dans cette tenue peu enviable, en revenant elle se dirigea vers le meuble ou trônait, toujours prête à servir, sa brosse à cheveux.
Elle approcha lentement de sa fille qui était restée assise sur la chaise à fessée, elle n’avait jamais trouvé cette brosse à cheveux aussi lourde. En souriant Laetitia tendit la main :
— Tu n’as pas l’air d’apprécier maman chérie, mais tu n’as qu’à t’en prendre qu’à toi-même, la prochaine fois tu seras polie quand tu t’adresseras à ta momy.
Elle lissa sa jupe sur ses cuisses, exactement de la même façon qu’Odile le faisait quand elle annonçait la correction :
— Bon assez discuté, viens un peu là que je m’occupe de tes bonnes grosses fesses.
Les fesses de sa mère n’étaient pas spécialement grosses, elles étaient simplement confortables comme disait Claudine, un beau derrière bien large de dame mûre. Mais les dénommer ainsi c’était assez humiliant et Laetitia ne voulait pas se priver de ce plaisir.
Odile s’approcha à petit pas, elle touchait les cuisses de la jeune femme, celle-ci passa sa main dans son dos et appuya dessus pour l’inciter à se courber sur ses genoux, elle tapota les fesses au moment où elle se mettait en position :
— Voilà, tu es bien installée ? Quel joli derrière ! Mamie à raison tu as des fesses à fessée ma petite maman.
Elle posa le martinet par terre, juste sous le nez de la punie :
— Regarde le bien, il est prêt à te caresser le derrière.
Puis elle prit la brosse et la passa sur la peau rougie, elle sourit en voyant la légère contracture de la croupe « tu peux serre les fesses maman chérie, je vais te les faire danser, en souvenir de toutes les fessées que tu m’a administré avec cette brosse ». Elle leva l’instrument et Odile poussa un cri, Laetitia avait frappé très fort, une marque rouge, plus foncée se dessina sur la fesse droite, immédiatement le deuxième coup atterrit sur la fesse gauche, la punie se cabra, les fesses contractées par la brûlure. Elle se mit rapidement à pleurer, son désir de rester stoïque n’avait pas résisté à la douleur, elle redevenait une adolescente punie malgré ses quarante-cinq ans, qu’elle soit fessée par sa propre fille n’avait plus d’importance à ce moment précis, sa culotte était maintenant entortillée autour de ses chevilles.
Elle ne savait pas que Chloé assistait discrètement à sa punition, en entendant pour la deuxième fois le bruit d’une fessée et les cris qui ne ressemblait pas à la voix de sa sœur, elle s’était glissée dans le couloir et sidérée elle avait vu le large fessier écarlate de sa mère se trémousser sous l’effet d’une magistrale fessée.
Laetitia était concentrée sur sa tâche elle n’avait pas levé les yeux, les fesses cramoisies ressemblaient à deux belles tomates bien mûres. La mère de famille punie pleurait abondamment et suppliait :
— Non, non… Pardon momy… Plus la fessée, ça brûle… Nooonn.
Ses supplications ressemblaient à s’y méprendre à celle de ses filles quand elle les corrigeait et le résultat était le même, ça n’interrompait pas la correction, tout juste une réflexion amusée de la fesseuse :
— Ah oui ? Ça brûle ? Mais ma petite maman, c’est fait pour ça la fessée pour que tu deviennes une gentille fille bien polie.
Elle continua la correction, les battements des pieds devinrent vraiment gênants pour continuer, elle claqua l’arrière des cuisses, les cris d’Odile se firent plus stridents :
— Nooonn… Aïe…
Laetitia cessa la fessée :
— Tu reposes tes pieds par terre immédiatement, sinon je continue la fessée sur tes cuisses.
Odile reposa ses pieds sur le sol tout en continuant à pleurer, cette correction administrée sur un épiderme déjà échauffé par les précédentes fessées, était particulièrement douloureuse.
— Encore vingt coups pour terminer de chauffer ton derrière et nous serons quittes. Tu vas compter !
Odile pleura un peu plus fort, mais se garda bien de protester :
— Un… Deux… Aïe, trois…
La brosse claquait alternativement chaque fesse et le décompte s’égrenait au milieu des cris et des gémissements.
Chloé comptait aussi à voix basse, elle était jalouse de sa sœur qui pouvait se venger des multiples corrections administrées par leur mère. Elle venait de comprendre que désormais elle était sous la tutelle de Laetitia, elle connaissait la perversité de sa grande sœur et elle se demandait si finalement elle n’avait pas perdu au change ;
— Vingt…
Odile venait de terminer le cuisant décompte, la jeune femme posa la brosse et caressa le fessier brûlant :
— Voilà une jolie paire de fesses bien punie. Qu’est-ce qu’on dit ?
Odile pleurait encore, mais la main de sa fille sur sa croupe brûlante la ramena à la réalité, décidément elle avait vraiment changé de statut, elle déglutit et prononça l’humiliante phrase attendue par la sévère jeune femme :
— Merci… Momy… Aïe…
La main avait à nouveau claqué :
— Mieux que ça !!
— Merci momy pour cette fessée déculottée que j’avais bien méritée.
Elle s’était souvenu de cette phrase qu’elle imposait à toutes celles qu’elle déculottait et fessait auparavant. C’était une époque révolue, maintenant c’était à elle à se soumettre à ce honteux rituel.
Chloé s’éclipsa silencieusement, sa sœur lui avait déjà promis une déculottée, autant ne pas lui donner l’occasion d’être plus sévère.
Laetitia souriait, elle gardait sa mère couchée en travers de ses cuisses, c’était vraiment un instant très agréable, le large fessier rubicond étalé devant elle, se contractait au rythme des sanglots d’Odile. Elle la fit enfin se relever puis ramassa le martinet posé par terre :
— Tu vois ce joli martinet ma petite maman, aujourd’hui il ne va pas s’occuper de ton vilain derrière, mas je te garantis que la prochaine fois que tu parles mal à momy Laetitia, tu y auras droit en plus de la fessée à la brosse. Maintenant tu files au coin pour que tout le monde puisse admirer tes jolies fesses bien rouges.
Elle lui avait désigné le coin qu’elle-même occupait habituellement, ce serait dorénavant celui réservé à Odile. Celle-ci mit immédiatement ses mains sur sa tête, la jeune maîtresse remonta la culotte à mi-cuisse, puis elle prit le martinet et comme elle l’avait fait avec Brigitte, elle écarta la raie et posa le manche entre les deux hémisphères :
— Serre bien les fesses, il ne doit pas tomber.
Elle s’installa dans un fauteuil pour jouir du spectacle, il fallait qu’elle appelle Julie.
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