dimanche 14 août 2022

Les souvenirs de Sylvie suite

 Une spectatrice pour la fessée 



Comme tous les jeudi Sylvie sonna à l'appartement de Jacqueline, elle vint lui ouvrir et comme à son habitude lui fit la bise. En entrant dans le salon Sylvie marqua un temps d'arrêt, une dame un peu plus âgée qu'elle était assise.

- je te présente Chantal, une amie.

Jacqueline s'apprêtait à faire les présentations mais Sylvie se mit à bredouiller

- euh… Non.. Ce n'est pas possible..

Jacqueline la regarda d'un air sévère.

- comment ce n'est pas possible ? Qu'est ce que c'est que ces manières. On dit bonjour quand on est polie.

Sylvie restait silencieuse comme pétrifiée, elle connaissait Jacqueline et elle savait qu'elle avait décidé de lui donner une fessée en présence de cette inconnue, c'était au dessus de ses forces.

- madame fait un caprice ! Et bien on va la calmer, tourne toi !

Jacqueline saisi le bas de la jupe de Sylvie et la retroussa découvrant la culotte blanche encadrée par le porte jarretelle  et les bas que Sylvie avait fini par adopter pour faire plaisir à sa maîtresse. Jacqueline saisi la ceinture de la culotte et la descendit à mi cuisse. Les fesses de Sylvie se serrèrent instinctivement attendant la première claque mais elle ne vint pas. Jacqueline la saisi par l'oreille et comme une gamine prise en faute la conduisit au coin de la pièce. La jupe coincée dans la ceinture et les mains sur la tête Sylvie posa son nez contre le mur comme elle en avait l'habitude. 

- une petite séance d'exposition de tes fesses déculottées va te faire le plus grand bien, tu reviendras nous voir quand tu auras réfléchi et que tu ne feras plus de caprice.



Elle s'adressait à Sylvie comme si elle était une élève dissipée et pas une dame de 63 ans. Celle ci avait passé un nouveau cap dans sa soumission à son ancienne institutrice et elle n'avait pas réagi. Satisfaite Jacqueline alla se rasseoir avec Chantal et continua la conversation qui bien sûr abordait le thème de la fessée et des derrières déculottés.

Elle laissa sa punie en exposition fesses à l'air pendant 10', puis elle l'appela.

- bien j'espère que tu es revenue à de meilleurs intentions, reculotte toi et viens me voir.

Docilement Sylvie s'exécuta et elle se présenta devant les deux dames dans une tenue plus conforme à son âge. Jacqueline fit les présentations, Chantal était une amie, professeur de danse. C'était une grande femme à l'air sévère, les cheveux tiré en arrière. Elle regardait Sylvie de la tête au pied, celle ci était restée debout, elle rougit à l'examen de cette inconnue. 

- comme je te l'ai expliqué, Sylvie a malgré son âge besoin qu'on perfectionne son éducation, le genre d'attitude qu'elle a eu en arrivant ne devrait plus se reproduire. Chantal esquissa un léger sourire et acquiesça. 

- c'est sûr qu'il n'y a pas d'âge pour apprendre ma chère et je suppose que tu vas t'occuper de madame. 

- exactement, d'ailleurs Sylvie était venue pour recevoir sa fessée de maintenance hebdomadaire et bien elle va la recevoir mais en plus je te demanderai de lui en administrer une autre pour son impolitesse. 

Sylvie avait écouté la sentence les bras ballants et la tête basse. Jacqueline s'était levée et avait placé comme d'habitude une chaise au milieu de la pièce, elle prit la main de son élève et s'asseyant sur la chaise elle l'attira contre sa cuisse puis la fit basculer en travers de ses genoux. Chantal souriante regardait avec attention le spectacle de cette dame d'âge mûr prête à recevoir un châtiment enfantin. La jupe était déjà retroussée et la culotte blanche bien tendue sur les fesses rondes. Les bas et le porte jarretelle étaient un peu incongrue vu la position de la dame prête pour la fessée. La culotte descendit lentement découvrant une paire de fesses serrées par l'angoisse de la punition qui n'allait pas tarder. 

Chantal intervint à ce moment. 

- quelle jolie paire de fesses, on voit que tu t'en occupe bien ma chérie, j'ai constaté depuis le temps que je donnes la fessée à mes petites chéries que ça entretient bien la rondeur des fesses. 



Jacqueline qui allait commencer la fessée s'arrêta et se mit à palper les fesses de Sylvie et en riant répondit. 

- c'est vrai, elle a de bonnes petites fesses ma Sylvie, c'est un vrai plaisir de les claquer et en plus elle apprécie. 

En disant ces mots elle avait glissé sa main entre les cuisses de sa punie et elle l'avait forcée à écarter un peu ses fesses pour dévoiler son intimité. Sylvie était au comble de la confusion, non seulement elle exposait ses fesses déculottées dans une position de gamine mais ces deux dames parlaient de son anatomie sans ce soucier d'elle et maintenant Jacqueline la forçait à exposer son intimité. A sa façon de parler elle avait vite compris que Chantal était une fesseuse et qu'elle appréciait particulièrement les fesses féminines.

Après ce petit intermède la fessée commença. La main de Jacqueline n'avait pas perdu de sa vigueur et en quelques instants les fesses de Sylvie avaient repris leurs couleurs habituelles un beau rouge carmin. Elle avait perdu toute sa superbe et elle pleurait à chaudes larmes sous la cuisson. La culotte était descendue jusqu'aux chevilles avec le battement des jambes, Jacqueline l'enleva complètement. Elle fit relever la dame de 63 redevenue une gamine pleurant après une fessée de l'institutrice. Elle conduisit Sylvie devant Chantal pour qu'elle puisse apprécier la qualité de la fessée. Celle-ci passa sa main sur l'épiderme brûlant.

- voilà ce que j'appelle une bonne fessée, la couleur et la chaleur sont à point.

Jacqueline observait la culotte de Sylvie qu'elle tenait à la main.

- c'est du propre madame, votre culotte n'est pas nette, vous allez me la nettoyer à la salle de bain et vite.

Elle avait tendu la culotte à Sylvie et avait accompagné sa phrase d'une vigoureuse claque sur les fesses. Sylvie sans mot dire et morte de honte s'exécuta. Quand elle revint, penaude tenant sa culotte mouillée à la main, Jacqueline la conduisit au coin et accrocha sa culotte à côté d'elle.



- bien nous allons prendre le thé pendant que cette petite péronnelle réfléchi.

Après 1/4 h, Jacqueline jugea la pénitence suffisante et elle fit venir son élève.

- Sylvie tu sais que je ne supporte pas les caprices surtout à ton âge, tu vas aller voir Chantal, elle va te montrer ce qui arrive aux jeunes filles capricieuses.

Chantal était ravie, son amie lui faisait un joli cadeau, ça faisait un moment qu'elle ne s'était pas adonné à un de ses plaisirs favoris, rougir un derrière féminin et en plus elle avait à sa disposition une dame d'âge mûr, elle adorait ajouter la confusion à la punition. Elle prit place sur la chaise, elle avait posé son sac à main à ses pieds

- oui madame, vous devriez avoir passé l'âge des caprices. En position !

Sylvie se retrouva à nouveau dans la position peu enviable d'une gamine s'apprêtant à recevoir une bonne fessée. Jusqu'à présent les seules personnes qui avaient eu accès à ses fesses nues pour les corriger c'était sa grand-mère mais cela faisait très longtemps et plus récemment Caroline et Jacqueline. C'était donc une nouvelle expérience très humiliante. Chantal passa sa main sur les fesses bien exposées et comme son amie en amatrice des croupes féminines ses doigts s’égarèrent dans la raie fessière et entre les cuisses. Sylvie était honteuse mais elle était obligée de reconnaître que ces explorations intimes n'étaient pas pour lui déplaire.

- tu as raison ma chérie, cette petite dame a besoin de fessée, mais il ne faudra pas qu'elle remette de culotte sinon elle va la salir à nouveau.

Elle se pencha et sortit une brosse à cheveux de son sac. La fessée fut courte mais très sévère. Sylvie fut surprise de la brûlure infligée à ses fesses. Chantal en bonne professeur de danse fit exécuter à sa punie une magnifique danse des fesses. 



C'est en pleurs que la pauvre Sylvie rejoignit le coin où sa culotte était suspendue.

Elle y resta jusqu'à ce que Chantal prenne congé, ensuite Jacqueline l'autorisa comme à chaque fois à venir sur ses genoux, elle était toujours fesses nues et la sévère institutrice ne se gêna pas pour lui caresser les fesses.

- décidément ma petite chérie, les fessées ne te laissent pas indifférente.

Elle la fit se relever et la recoucha sur ses genoux, comme Sylvie contractait ses fesses elle se mit à rire.

- allons, allons, n'ait pas peur, je vais juste m'occuper un peu de toi, desserre moi vite ces fesses.

Sylvie confuse mais secrètement ravie écarta ses cuisses offrant son intimité à la main de sa maîtresse. Elle découvrait à 63 ans des plaisirs inconnus et malgré ou à cause de ses fesses brûlantes elle poussa un râle de plaisir et se laissa faire. 


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