Ce récit en deux parties est la suite de celui intitulé «découverte de la fessée», il peut cependant se lire indépendamment.
Dans le train qui la ramenait chez elle après son expérience avec Caroline, Sylvie réfléchissait à l'origine de ses fantasmes. Il était évident que l'élément déclencheur avait été cette fessée reçue à l'école alors qu'elle avait 11 ans, l'institutrice l'avait couchée sur ses genoux devant toute la classe qui heureusement n'était pas mixte et lui avait administré une fessée jupe retroussée mais sans lui baisser la culotte. Elle avait averti que la prochaine fois, ce serait la fessée déculottée. D'autres élèves avaient subi le même sort qu'elle mais aucune n'avaient subi la honte de la fessée cul nu.
Elle chercha à se souvenir de cette maîtresse sévère, en fait elle devait être assez jeune, une trentaine d'années. En réfléchissant elle se rendit compte qu'elle n'avait qu'une vingtaine d'années de plus qu'elle, elle devrait avoir dans les 80 ans maintenant, serait il possible de la retrouver. Dès son retour elle entama des recherches, ce ne fut pas très compliqué, internet permet de grandes choses. Il s'avéra que Jacqueline Ducroc, c'était son nom avait fait toute sa carrière dans la ville et qu'elle y avait pris sa retraite. En quelques clics, elle obtint son numéro de téléphone.
Le cœur battant elle l'appela, lui disant qu'elle gardait un bon souvenir d'elle et qu'elle serait heureuse de la revoir.
Jacqueline fut enchantée de constater qu'une ancienne élève put s'intéresser à elle et elle l'invita à venir prendre le thé. Quand Sylvie pénétra dans l'appartement de son ancienne institutrice elle était très émue, elle trouva en face d'elle une charmante vieille dame de 82 ans très en forme et qui faisait bien 10 ans de moins que son âge. Sans façon elle fit la bise à son ancienne élève et comme si le temps s'était arrêté elle la tutoya comme par le passé oubliant que celle ci avait maintenant 63 ans. Sylvie impressionnée la vouvoyait, la conversation roula sur leur souvenir, Sylvie se racla la gorge et attaqua un peu gênée l'épisode de la fessée. Jacqueline s'en souvenait parfaitement
- tu étais une petite peste, tu l'avais bien méritée je pense.
En rougissant Sylvie approuva, le regard perçant de Jacqueline la faisait retomber en enfance, elle hésita puis en baissant un peu les yeux.
- heureusement, vous ne m'avez pas baissé la culotte.....
- non, je menaçais, ça suffisait la plupart du temps.
- vous n'avez jamais donné une fessée déculottée ?
Jacqueline la regarda en souriant
- non, ce n'est pourtant pas l'envie qui m'a manqué, mais même dans les années 60 ça ne se faisait plus.
- vous le regrettez ? Par exemple moi, vous auriez eu envie de me baisser la culotte ?
Jacqueline la regardait de plus en plus intensément.
- si je me souviens bien, tu étais parmi les plus insupportables, je crois que tu l'aurais bien mérité, mais ça fait longtemps maintenant.
Sylvie la regarda songeuse, elle se rappelait la scène comme si c'était hier, sa honte d'être allongée sur les genoux de la maîtresse assise sur une chaise devant toute la classe et sa terreur de sentir sa jupette se retrousser, l'air frais sur ses cuisses tout revenait par bouffée. D'une petite voix elle reprit la parole.
- vous savez j'y ai souvent pensé, je me demande si vous n'auriez pas du....
- te donner une fessée déculottée ?
- oui madame, ça m'a beaucoup manqué.... Encore maintenant...
Jacqueline avait posé sa tasse et elle regardait fixement cette dame de 63 ans lui parler de fessée déculottée d'un ton naturel. Elle même avait toujours été intéressée par ce châtiment enfantin et elle était ravie même si c'était pour la bonne cause d'administrer des fessées à ses élèves. Elle avait continué d'ailleurs jusqu'à sa retraite, mais uniquement quand elle donnait des cours particuliers et que les parents étaient d'accord.
- ça t'a manqué ? Voyez vous ça, et alors que pouvons nous faire.
Sylvie détourna les yeux et rougit de plus belle.
- euh, c'est à dire, euh, je ne sais pas, peut-être que....
- je pourrais peut-être rattraper le temps perdu... Quand penses-tu ?
Sylvie se sentit fondre, son fantasme qui durait depuis 50 ans, qui était à l'origine de ses tendances sexuelles, allait peut être se réaliser. Jacqueline s'était levée et avait déplacé une chaise au milieu de la pièce. En souriant, elle s'assit dessus et fit signe avec son doigt à Sylvie.
- ma petite Sylvie, il est temps de payer tes dettes, approche un peu, je vais calmer immédiatement ton insolence.
Comme une automate, Sylvie se leva et se colla contre les genoux de Jacqueline. Celle ci la regarda avec un sourire malicieux et elle lui tira sur le bras pour la faire basculer en travers de ses cuisses.
- en position mademoiselle, j'espère que ça te rappelle de bon souvenirs.!
Sylvie croyait vivre un rêve, elle sentit la main de Jacqueline soulever l'arrière de sa jupe, on était en été, ni collant, ni bas ne gênait l'accès à la culotte, Sylvie l'avait choisie sage, en coton blanc avec un fin liseré de dentelle au niveau des cuisses. Elle sentit les doigts de son institutrice s'immiscer sous la ceinture de son sous vêtement et lentement celui ci descendre sur ses fesses qu'elle sentait à la merci de sa fesseuse.
- oui Sylvie, ton insolence mérite une punition exemplaire, une fessée déculottée !!!!
On y était, ce rêve qu'elle avait fait des centaines de fois, madame Ducroc sa maîtresse la déculottant pour lui administrer une fessée. Jacqueline prenait son temps, elle descendit la culotte jusqu'à la pliure des genoux puis passa sa main sur les fesses exposées.
- tu penses toujours que j'aurais du te déculotter à l'époque...
Sylvie se rendit compte soudain de la situation, elle avait 63 ans et elle était allongée sur les genoux d'une vieille dame les fesses à l'air, prête à recevoir un châtiment qui était réservé antérieurement aux enfants. Elle n'eut pas le loisir de se poser d'autres questions car sans attendre sa réponse, l'ancienne institutrice avait commencé la fessée. Les claques n'étaient pas trop fortes, bien moins en tout cas que celles de Caroline. Mais au fur et à mesure que la punition se déroulait Jacqueline accentua la force des claques, malgré son âge sa main était restée vive et au bout de quelques instants, Sylvie ne put s'empêcher de gémir puis doucement elle lui demanda pardon et enfin la brûlure devenant intense elle la supplia d'arrêter, mais en fait Jacqueline était une vraie fesseuse, comme Sylvie l'apprendrait plus tard et comme toute fesseuse, elle ne considérait la fessée efficace que quand les premiers pleurs arrivait. Ils ne tardèrent pas, Sylvie avait littéralement le feu aux fesses quand Jacqueline la relâcha. Les joues du haut de la même couleur que les joues du bas, Sylvie tenant sa jupe retroussée se frotta les fesses. Jacqueline fronça les sourcils.
- non Sylvie, tu ne frotte pas tes fesses, tu dois bien sentir la brûlure pour que la punition soit efficace, tiens ta jupe levée que je voies bien ton derrière tout rouge et va te mettre au coin le temps de te calmer.
Le spectacle était maintenant complet, la mise au coin cul nu après la fessée déculottée. Sylvie obéi sans protester. La dame de 83 ans semblait satisfaite, elle se mit à rire.
- quelle jolie paire de fesses, le rouge leur va bien.
Si quelqu'un était rentré dans la pièce à ce moment là, il n'en aurait pas cru ses yeux, une dame âgée assise dans son canapé surveillant du coin de l'œil une autre dame, d'âge mûr elle aussi, tenant sa jupe retroussée au dessus d'une paire de fesses écarlates et la culotte descendue aux genoux.
Elle ne laissa pas longtemps Sylvie dans cette posture peu enviable, elle l'invita à se reculotter et à venir finir son thé.
- voilà nous sommes quitte, tu as reçu la fessée déculottée que tu avais mérité il y a 50 ans. Mais dit moi pour être aussi insolente tu ne devais pas en recevoir beaucoup à la maison ?
Sylvie lui avoua que sa mère ne l'avait jamais punie, les quelques fessées qu'elle avait reçue c'était quand elle était en vacances chez sa grand-mère. Jacqueline la regarda avec un petit sourire mutin.
- et bien, nous allons avoir du travail pour rattraper tout ça.....
Et depuis ce jour, Sylvie se rend une fois par semaine chez son ancienne institutrice pour y recevoir une vigoureuse fessée déculottée. Souvent deux d'ailleurs, Jacqueline a décrété qu'à ce rythme elle allait recevoir une centaine de fessée par an et qu'il faudrait de nombreuses années pour compenser celle que ne lui avait pas administré sa mère quand elle les méritait.
A suivre...
Merci de republier les récits parus auparavant sur d'autres blogs ! Cette sévère maîtresse sait bien s'occuper des fesses des vilaines !
RépondreSupprimerBonne journée,
Corentin
Je pense que c'était l'une des histoires du co-auteur avec Caroline. Toutes ces histoires étaient bonnes à lire. si vous pouviez poster les histoires ici, ce serait super.
RépondreSupprimerChinmay
C'est vrai que c'est une belle histoire
RépondreSupprimerMerci pour ces commentaires. Je n'aimais pas l'idée que mes récits disparaissent. J'ai beaucoup aimé les republier et trouver de nouvelles illustrations
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