Madame Dulac avait quitté tôt son bureau prétextant une migraine, en fait c'était plutôt une chaleur qui lui envahissait les fesses et se propageait en une douce excitation dans son entrejambe.
Arrivée chez elle, elle se troussa et baissa rapidement sa culotte pour examiner ses fesses devant une glace, il subsistait quelques traces et elles étaient encore rosées mais il n'y avait rien à voir avec la photo sur son téléphone où sa croupe était écarlate sur toute sa surface. Elle reçu un nouveau SMS, il provenait à nouveau de Florence. "pour notre prochain rendez-vous, vous devrez porter une jupe assez courte, nettement au dessus du genou, des talons plats, prévoyez également une culotte blanche et sage. Ce n'est pas la peine de vous préciser que toute désobéissance sera sévèrement punie. Bonne soirée et à demain. "
Catherine rougit de honte et de plaisir, elle avait 50 ans et elle se faisait traiter comme une gamine par cette jeune femme. Elle se dirigea vers la chambre de sa fille, elle n'habitait plus avec elle mais elle avait laissé des vêtements dans son placard, elle trouva rapidement son bonheur, une jupe bleue marine très courte, sa fille était un peu ronde et elle put sans difficulté glisser son fessier de dame mûre à l'intérieur, elle trouva également une paire de socquette blanche. Elle se regarda dans la glace, de face c'était assez surprenant de voir habillée comme cela une dame de 50 ans mais de dos on aurait dit une jeune collégienne anglaise.
Le lendemain matin elle se rendit à son travail habillée normalement, elle avait mis dans un sac sa tenue de collégienne. Sa dernière réunion s'éternisant elle se rendit compte qu'elle n'aurait pas le temps de se changer comme elle l'avait prévu, elle se précipita chez Florence pour ne pas être en retard pensant lui expliquer la situation. Dès que la jeune médecin eut ouvert la porte, elle fronça les sourcils en la voyant habillée comme une DRH classique. Elle lui saisi la main pour la faire rentrer chez elle et à peine la porte refermée elle la fit pivoter pour vérifier sa tenue.
- vous vous moquez du monde madame, je vais vous en faire passer l'envie !
Catherine Dulac voulu protester mais déjà Florence l'avait courbée sous son bras et retroussait sa jupe.
- non, non attendez je vais vous expliquer, non s'il vous plaît.
La culotte tendue par la position rentrait un peu dans la raie fessiere, Florence l'avait saisi et la faisait descendre le long des larges fesses de Catherine. Tout à sa surprise et craignant le bruit car elles étaient juste contre la porte d'entrée elle se laissait faire sans protester. Maintenant ses fesses étaient bien exposées, la culotte descendue juste sous les fesses, la main de Florence commença à claquer la croupe généreuse, complètement affolée par la situation Catherine se mit à supplier.
- pardon madame, non s'il vous plaît, je vais vous expliquer... Aie aie aie pardon noon...
Les claques sonores retentissaient dans l'entrée de l'appartement, il était sûr que si quelqu'un descendait l'escalier, il n'aurait aucun doute sur l'activité auquel se livrait Florence, mais il ne penserait certainement pas qu'une dame de 50 ans présentait ses fesses déculottées à la main sévère de la propriétaire des lieux.
La fessée fut rapide mais très efficace, la croupe de Catherine était maintenant bien rouge, Florence la relâcha, la jupe retomba masquant les fesses écarlates.
- nous réglerons cette désobéissance plus tard, pour le moment allons dans le salon.
Elle accompagna ces paroles d'une vigoureuse claque sur la jupe de la dame de 50 ans comme si elle n'était qu'une gamine désobéissante. Un peu étourdie par cet accueil sonore, Catherine ne protesta pas et se dirigea vers le salon.
- bien, déshabillez vous et mettez votre tenue.
Madame Dulac regarda autour d'elle, la pièce n'offrait aucun recoin, il était évident que la jeune femme voulait la voir se changer ici et devant elle. Elle posa son sac sur le canapé et entrepris d'abord d'enlever le haut, elle était maintenant en soutien gorge, elle passa rapidement le chemisier blanc qu'elle avait préparé puis se mettant de côté elle dégrafa sa jupe et l'enleva, sa culotte était toujours baissée sous ses fesses. Florence regardait en souriant ce strip-tease improvisé, Catherine avait les joues aussi rouges que ses fesses, elle se déculotta complètement, en effet Florence avait exigé une culotte sage et son sous vêtement rose en dentelle n'était pas une culotte de jeune fille. Elle était maintenant fesses à l'air, c'était vraiment une situation très gênante même si elle se doutait bien que dans quelques instants sa jeune maîtresse pourrait examiner ses fesses tout à loisir. Elle saisit rapidement la petite culotte blanche en coton qu'elle avait prévu de mettre, elle n'avait certainement jamais enfilé une culotte aussi vite, ses fesses enfin couverte elle prit un peu plus de temps pour mettre sa jupe courte puis ses socquettes blanches. Florence regardait en souriant la transformation de la DRH en une jeune collégienne, elle lui fit signe de pivoter.
- vous êtes très mignonne, tournez-vous un peu que je vous voies un peu mieux. Bien c'est parfait, j'espère que vous n'avez pas oublié la raison de votre visite.
Catherine baissa les yeux, l'humiliation faisait partie du plaisir de la fessée et elle avait souvent rêvé de cet instant mais la réalité dépassait la fiction et elle était vraiment très gênée par la situation, surtout que Florence en rajoutait.
- alors mademoiselle ! Vous ne vous souvenez pas de ce que je vous ai promis ? Je vais vous rafraîchir la mémoire, vous n'avez fait aucune de mes prescriptions, vaccin, frottis et mammographie. Je vous ai promis trois fessée, combien en avez vous reçu ?
Catherine baissa les yeux et ne répondit pas. Florence s’approcha la saisit par l’oreille et de l’autre main lui claqua le derrière par dessus sa jupe.
- quand je pose une question j’aimerais qu’on me réponde mademoiselle!!
Elle utilisait volontairement le terme de mademoiselle pour augmenter la gêne de madame Dulac, le rajeunissement faisait partie de la punition. Elle avait administré une dizaine de claques sur les fesses rebondies de la dame redevenue une jeune fille. Catherine Dulac rouge de honte se résolut à répondre.
- euh... deux madame...
- exact, il vous en reste donc une à recevoir, je ne voudrais pas faire attendre vos jolies fesses, en position!!
Florence avait relâché l’oreille de Catherine et avait pris place sur une chaise, elle tapota ses cuisses pour indiquer à la dame désobéissante que c’était l’endroit où elle devait se coucher. Redevenue l’espace de cette soirée une collégienne, Catherine s’exécuta. Depuis la veille et sa première fessée cette position un peu incongrue pour une dame de 50 ans lui était devenue familière. Elle était maintenant couchée en travers des cuisses de Florence la tête près du sol, les jambes pendantes de l'autre côté. Son fessier était à disposition de la jeune femme, la petite culotte blanche couvrait parfaitement la large croupe moulant de façon très explicite les fesses séparées par la raie fessiere, Florence commença à claquer avec enthousiasme ce derrière rebondi, c'était redevenu pour elle un vrai plaisir de donner la fessée, elle claquait alternativement la fesse droite puis la gauche, Catherine gémissait doucement, moins de douleur car la fessée n'était pas trop forte mais plus d'humiliation de recevoir ce châtiment enfantin dans cette position, malgré ces désirs de fessée.
La fessée préparatoire sur la culotte ne dura pas très longtemps, Florence insinua ses doigts sous la ceinture de la culotte et la descendit doucement, Catherine protesta faiblement.
- oh noon...
Mais c'était pour la forme, elle savait que la jeune femme qui la tenait couchée sur ses genoux ne se contenterait pas d'une petite correction sur la culotte. Celle-ci était maintenant arrivée à mi cuisse.
- voilà une bien belle paire de fesses madame, parfaitement présentées, oh vous pouvez les serrer, je vous garantis que la fessée que je vais vous administrer vous allez vous en souvenir et qu'elle va vous enlever l'envie de me désobéir !
Immédiatement elle leva la main et claqua le généreux fessier, Catherine réagi rapidement sous la brûlure des claques et se mit à se tortiller sur les genoux de Florence, les fesses ne restèrent pas longtemps serrées et en souriant la sévère jeune femme admira les trésors cachés de sa victime, après une centaine de claques, elle cessa la punition et caressa les fesses déjà rouges.
- voilà, vos fesses sont bien échauffées, on va pouvoir passer à la fessée.
Catherine protesta, il lui semblait vu la chaleur qui embrasait sa croupe que la punition était suffisante mais une brûlure soudaine la fit hurler, la brosse à cheveux venait d'atterrir sur sa fesse droite suivie immédiatement d'une autre brûlure encore plus forte sur la gauche, c'était intolérable, elle avait l'impression que la peau de ses fesses allait se détacher. Elle essaya de mettre sa main pour protéger son derrière mais Florence l'avait prévu et elle la saisi et la coinça dans son dos avec sa main gauche puis elle continua imperturbablement la correction.
Maintenant les cris de la pauvre Catherine s'était transformé en pleurs, ce n'était plus une dame de 50 ans que Florence avait sur les genoux mais une gamine éplorée suppliant sa maman d'arrêter la punition. Les fesses étaient maintenant écarlates, elles s'ouvraient et se refermaient au rythme des claques sans aucun souci de pudeur. Florence appréciait le spectacle, elle prenait de plus en plus goût à son rôle de maman sévère.
- oh vous pouvez pleurer, oui je sais que ça brûle, mais c'est fait pour ça la bonne fessée, je vous garantis que vous allez vous en souvenir de la bonne fessée de maman Florence.
La brosse à cheveux continuait son ouvrage, Catherine sanglotait maintenant, elle était vaincue, redevenue 30 ans en arrière quand sa propre mère lui administrait à 20 ans passé ce châtiment humiliant. La correction cessa, elle senti la main de Florence carresser sa croupe incandescente.
- voilà ce que j'appelle une bonne fessée déculottée, je pense que vous allez être bien sage maintenant avec ce beau derrière bien chaud, vous allez me le faire refroidir au coin ça va vous permettre de réfléchir.
Catherine était maintenant debout, elle ne protesta pas quand Florence lui saisi l'oreille pour la conduire telle une mauvaise élève au coin de la pièce, elle était désormais entièrement soumise à la discipline rigoureuse de cette jeune femme. Elle senti sa jupe à nouveau se retrousser puis sa culotte remonter à mi cuisse et une claque sur ses fesses endolories.
- vous mettez bien votre nez contre le mur et vos mains sur la tête.
Elle aurait tellement voulu frotter ses fesses brûlantes, mais elle obéit à Florence sans discuter, consciente qu'une nouvelle désobéissance lui vaudrait une nouvelle fessée. Florence était satisfaite, elle retrouvait les sensations qu'elle avait ressentie dans sa jeunesse avec son amie, la large croupe écarlate de Catherine réveillait une libido un peu en sommeil depuis quelques temps. Elle sentait une légère humidité au fond de sa culotte. Comme elle l'avait fait la veille, elle prit son téléphone et fit des photos de sa punie au coin, elle zooma sur les fesses rougies, c'était très excitant.
Elle laissa Catherine au coin pendant 1/4 h, puis elle la fit venir, ne sachant pas qu'elle contenance avoir, Catherine avait gardé ses mains sur la tête, ce qui fit sourire Florence, décidément son autorité faisait des merveilles, cette drh si autoritaire habituellement était maintenant une gamine obéissante.
- tournez-vous que j'examine vos fesses.
Docilement Catherine se tourna et présenta son large fessier, Florence passa la main sur l'épiderme encore rouge.
- ces fesses me paraissent en parfait état pour recevoir la suite de la punition.
Elle senti les fesses de Catherine se crisper à l'annonce d'une nouvelle fessée, surtout que la main de la jeune femme s'était insinuée entre ses cuisses. Florence constata avec satisfaction une certaine humidité dans l'entre cuisses de Catherine, la fessée bien que douloureuse ne la laissait pas indifférente. Elle cessa son inspection humiliante et prenant la main de Catherine elle l'attira à nouveau sur ses genoux, elle protesta faiblement.
- oh non, s'il vous plaît plus la fessée, j'ai déjà été bien punie, pardon madame...
Florence en souriant tapota les fesses serrées si bien exposées.
- mais ma chère madame, ce n'est pas vous qui décidez si votre punition a été suffisante, il ne fallait pas désobéir, si vous étiez venue au rendez-vous dans la tenue prescrite vous ne seriez pas allongée sur mes genoux fesses à l'air. Je vais vous faire passer l'envie de faire la maligne, une bonne fessée déculottée.
Elle leva la main et commença la nouvelle fessée, c'était la troisième de la soirée et sa main suffit à faire venir des larmes aux yeux de Catherine, les fesses encore endolories par la fessée à la brosse étaient très douloureuses, elle ne cherchait pas à éviter la fessée mais ses fesses effectuaient une magnifique danse, Florence se régalait, la croupe écarlate s'ouvrait largement lui offrant une vue sur l'intimité de la punie. Elle cessa la fessée et prit un thermomètre médical qu'elle avait posé sur la table pendant que Catherine était au coin.
Catherine pleurnichait encore quand elle senti les doigts de Florence écarter ses fesses, instinctivement elle les contracta ce qui lui valu quelques claques supplémentaires.
- je vous conseille de desserrer vos fesses ma petite !!
- pardon madame, aie... Mais que faites vous ?
Elle sentit l'embout froid du thermomètre sur son anus. Florence doucement poussait le thermomètre.
- à comportement de gamine, punition de gamine madame ! Je suppose que votre mère vous prenait la température de cette façon et bien je vais vous rafraîchir la mémoire.
Catherine se mit à nouveau à pleurer, l'humiliation était trop forte, certes elle avait fantasmé sur le fait de recevoir une fessée par la jeune médecin, mais se retrouver déculottée, allongée sur ses genoux exposant une paire de fesses bien rouges et maintenant avec un thermomètre enfoncé profondément entre ses fesses, c'était un peu trop. Florence jouissait de la situation, elle tapota les fesses de sa patiente.
- allons, allons calmez vous, ce n'est pas si terrible que ça, vous allez me garder ce thermomètre un moment ça va vous faire réfléchir à votre comportement.
Catherine cessa de pleurer, Florence faisait coulisser le thermomètre,
l'enfonçant chaque fois un peu plus profondément, une certaine excitation l'envahissait. Le thermomètre maintenant ne dépassait presque plus de la raie fessiere, Florence relâcha les fesses qui se refermèrent sur le petit tube de verre. Elle avait décidé de soumettre définitivement Catherine, quoi de mieux que ce retour à l'enfance, elle décida de la laisser un moment dans cette position humiliante. Elle prit son téléphone et composa le numéro d'Alicia, c'était son ancienne camarade avec laquelle elle avait joué à panpan cucul pendant ses études, elle avait renoué avec elle depuis la première fessée administrée à Catherine.
- coucou ma chérie, comment vas tu ? Oh moi très bien, tu sais que j'ai une dame sur mes genoux culotte baissée qui m'expose ses jolies fesses bien rouges.... Oui une bonne fessée déculottée c'est ça. Tu sais que je te prenais la température après la fessée et bien ma petite punie a le thermomètre dans les fesses elle aussi.
Catherine écoutait effarée la conversation dont elle était le centre, elle avait l'impression qu'Alicia était dans la pièce et assistait à sa punition, Florence continuait.
- oh non, ce n'est pas une jeune fille, c'est une dame de 50 ans, oui tu sais bien qu'il n'y a pas d'âge pour la fessée, si on désobéi c'est la fessée cul nu tu le sais bien. D'ailleurs il faudra qu'on fasse le point sur ton comportement à toi aussi. Bon je te laisse ma chérie, bisous et à bientôt.
Elle raccrocha et écartant à nouveau les fesses de Catherine elle fit à nouveau coulisser le thermomètre, elle le faisait presque sortir puis l'enfonçait profondément.
- Alicia est charmante, je vous la présenterai, je suis sûr qu'elle aimerait assister à votre prochaine fessée déculottée.
Jugeant l'humiliation suffisante elle retira le thermomètre, puis elle glissa sa main entre les cuisses de Catherine, son pressentiment était le bon, la punie appréciait, son sexe était ruisselant.
- madame apprécie la fessée on dirait...
Elle leva la main et recommença à claquer la croupe si bien exposée. Catherine se remit à gémir.
- oh non... Aie... Pardon, ouie...
Mais Florence ne claquait pas trop fort et les fesses rouges de Catherine s'écartaient largement comme une invitation. Bientôt les claques se transformèrent en caresse. Florence sentit une humidité envahir sa culotte, il était temps de passer à autre chose. Elle fit relever Catherine, celle ci avait les joues aussi rouges que ses fesses, mais Florence également. Elle lui prit la main mais ce n'était pas pour la conduire au coin cette fois ci, la porte de la chambre s'ouvrit, elle lui claqua gentiment les fesses rougies.
- allez, ma chérie au dodo, mais avant tu vas t'occuper de ta petite maman, elle a besoin elle aussi qu'on s'occupe de ses fesses.
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