Un petit récit en deux épisodes. Déjà publié sur le blog disparu bulledefessees, les illustrations sont nouvelles
Madame Dulac, était DRH dans une grande entreprise, elle avait 50 ans, élégante dans son tailleur, de taille moyenne, stricte, un peu ronde elle impressionnait les employés quand il rentrait dans son bureau. Mais aujourd'hui elle avait rendez-vous chez le médecin du travail, celle ci c'était Florence une jeune femme de 35 ans, grande, mince, les cheveux blonds mi long, très énergique.
Elle accueilli madame Dulac avec le sourire et la fit asseoir en face d'elle. L'interrogatoire classique débuta, en consultant le dossier de sa patiente Florence remarqua que l'année dernière elle lui avait demandé de mettre à jour ses vaccins, madame Dulac avoua qu'elle avait négligé sa demande, Florence fronça les sourcils.
- je ne vous félicite pas madame, ce n'est pas très sérieux.
Catherine Dulac baissa un peu les yeux et avec un petit sourire répondit.
- vous n'allez quand même pas me faire panpan cucul.
Un peu surprise Florence lui répondit en souriant également.
- je pense que vous avez passé l'âge madame, mais c'est vrai que si vous étiez ma fille....
Madame Dulac en rougissant un peu.
- oh je me demande des fois si il y a un âge pour ça.
Un peu gênée par le tour que prenait la conversation, Florence changea de sujet.
- bien nous allons passer à l'examen, vous vous déshabillez s'il vous plaît, vous gardez seulement votre culotte et votre soutien gorge.
Madame Dulac se leva et commença à enlever ses vêtements, Florence la regardait faire, elle réfléchissait à la remarque de sa patiente et des souvenirs lui revenait.
Pendant ses études de médecine elle avait eu pour amie une jeune femme qui était bisexuelle, un jour elle lui avait demandé en fin de soirée si elle voulait bien lui donner une fessée, émoustillée et très attirée par cette copine elle avait accepté et s'était surprise à aimer claquer les fesses dénudées de son amie Julie, la soirée qui avait suivi restait un très bon souvenir et pendant le restant de leurs études elle avait continué à administrer de temps en temps à Julie de magistrales fessées déculottées. Cela remontait à une dizaine d'années en arrière et elle n'avait plus renouvelé l'expérience depuis.
Maintenant madame Dulac était en petite tenue, elle portait un ensemble très élégant bleu pâle en dentelle, sa culotte couvrait incomplètement sa croupe un peu large à son goût, la base des fesses dépassait légèrement. Florence voyait souvent des dames dans cette tenue pendant son travail mais elle gardait toujours un œil professionnel s'abstenant de toute connotation sexuelle, mais aujourd'hui c'était différent, l'allusion de Catherine Dulac à la fessée avait réveillé chez elle des souvenirs et sa libido s'était un peu emballée. Elle regardait avec intérêt les fesses moulées dans la fine lingerie, Catherine monta sur la balance comme elle lui avait demandé. Florence en profita pour la gronder à nouveau.
- vous avez pris un peu de poids, il me semble, il va falloir faire attention.
Catherine rougit comme une gamine prise en faute. Allongée sur la table d'examen, elle se sentait à la merci de cette jeune femme qui ne la laissait pas indifférente. Florence avait repris son air professionnel et elle palpait la poitrine de sa patiente.
- vous avez fait votre mammographie ?
Catherine en rougissant à nouveau, avoua que non.
- mais enfin, madame c'est inadmissible et votre frottis ?
Devant la réponse négative de madame Dulac, Florence prit un air sévère.
- décidément, vous vous comportez comme une gamine, je pense comme vous me l'avez suggéré que je vais vous traiter en gamine. Levez vous !
Interloquée Catherine obéi, Florence s'était assise sur un tabouret, elle saisit la main de sa patiente et sans lui laisser le temps de réfléchir elle la bascula en travers de ses genoux. Catherine n'avait pas eu le temps de réagir et aussitôt une série de claques s'abattirent sur ses fesses tendues. La fine culotte protégeait bien mal de la cuisson, elle se mit à protester.
- non, non, arrêtez, pardon, aie aie ça fait mal.
Mais elle ne cherchait pas à échapper à la fessée, Florence retrouvait des sensations oubliées quand c'était son amie qu'elle tenait couchée dans cette même position, elle eu envie de voir ces fesses qu'elle devinait seulement, d'un geste rapide elle baissa la culotte de madame Dulac. Celle ci poussa un cri.
- oh noon, pardon, pas la culotte, j'ai trop honte.
Mais toujours soumise elle ne chercha pas à empêcher la mise à nu de ses fesses. Florence se prenait vraiment au jeu.
- comment ça pas la culotte, mais si madame, c'est une fessée déculottée que vous méritez et je vous promet que vous allez vous en souvenir.
La fessée reprit, cette fois ci les claques retentissait dans le bureau, les fesses de la dame allongée sur les genoux de Florence telle une gamine mal élevée punie par sa mère se mirent à rougir à vue d’oeil, Catherine avait une peau de blonde très blanche, le contraste des fesses écarlates avec le reste du corps était saisissant. Florence s’appliquait à administrer une véritable punition à Catherine, elle alternait les claques sur chacune des fesses, de temps en temps sa main claquait également le haut des cuisses et le pli fessier entraînant des cris plus intense de Catherine, Florence souriait au spectacle que lui offrait cette dame d’âge mûr.
Au début madame Dulac excitée par le fait d’enfin recevoir ce châtiment enfantin sur lequel elle fantasmait n’avait pas beaucoup réagi, poussant juste quelques petits gémissements, mais au fur et à mesure que la fessée prenait de l’ampleur et gagnait en sévérité les gémissements s’était transformé en supplications puis en pleurs. Maintenant elle n’était plus une drh mais une gamine recevant la fessée, malgré sa pudeur elle ne pouvait s’empêcher d’écarter ses fesses puis de les resserrer au rythme des claques laissant entrevoir à Florence son intimité. Jugeant la punition suffisante, les fesses écarlates et les pleurs de Catherine en était la preuve, la jeune médecin cessa la fessée. Elle la garda un moment allongée sur ses genoux contemplant ce ravissant spectacle, Catherine Dulac pleurait toujours de honte et de douleurs mêlées. Enfin elle la fit se relever.
- bien j’espère que ça vous servira de leçon, vous pouvez vous rhabiller.
Les joues aussi rouges que ses fesses, Catherine Dulac se mit en devoir de reprendre une tenue plus conforme à son âge. Mais Florence comptait profiter de la situation dès que Catherine eut fini de remettre sa jupe et son chemisier elle se leva et lui saisi l'oreille comme si elle avait affaire a une mauvaise élève.
- nous n'en avons pas tout à fait fini madame, venez avec moi.
Surprise Catherine se laissa faire, Florence ouvrit la porte de sa salle de repos elle claqua les fesses de madame Dulac pour la faire avancer. Elle l'amena au coin de la pièce puis lui lâchant l'oreille, elle retroussa la jupe, la coinça dans la ceinture et baissa la culotte de Catherine à mi cuisse.
- mettez vos mains sur la tête, vilaine fille, vous allez rester au coin un moment ça va vous permettre de réfléchir.
Elle avait pris cette initiative spontanément, se rappelant qu'elle faisait ainsi après avoir administré une fessée à son amie Julie. Ça remontait à une dizaine d'années en arrière mais ce spectacle l’émoustilla à nouveau. Catherine n'osait pas protester, en quelques instants elle était redevenue une gamine soumise et son fantasme de fessée prenait vraiment une tournure sévère et imprévue. Florence referma la porte laissant cette dame mûre en pénitence fesses à l'air.
Elle reçu une autre patiente essayant de reprendre son air professionnel, mais l'humidité au fond de sa culotte la perturbait un peu.
Elle revint voir Catherine, celle ci n'avait pas bougé.
- c'est bien vous êtes bien sage, je vois que la fessée a du bon, vous allez rester au coin, j'ai encore un rendez vous, ensuite je finirai de m'occuper de vous.
Catherine émis une petite protestation qui lui valu une dizaine de claques bien appuyées sur ses fesses encore rouges.
- je ne veux pas vous entendre ! C'est moi qui décide si votre punition est suffisante ! Je vous conseille de vous faire petite, vos fesses sont à ma disposition.
Catherine resta donc 20' de plus au coin, quand Florence vint la chercher ses bras lui faisait un peu mal, ses fesses avaient perdu un peu de leur jolie couleur rouge. Revenue dans la salle d’examen la jeune femme s’assit à son bureau et regarda Catherine en souriant, elle jouissait du spectacle de cette dame fesses à l'air devant elle.
- tournez-vous que j'examine vos fesses.
Le téléphone sonna au moment où Catherine présentait sa croupe pour cet examen humiliant. Florence ravie, prit tout son temps pour répondre, elle avait saisi une règle sur son bureau et tout en discutant elle tapotait les fesses de madame Dulac avec la règle plate, la forçant à écarter les jambes. Après avoir raccroché son téléphone, elle passa sa main sur les fesses tendues devant elle.
- vos fesses ne sont même plus chaudes, à croire que je ne vous ai pas fessée, je ne voudrais pas que vous oubliez votre punition, venez ici.
Elle avait reculé sa chaise de bureau et désignait ses genoux. Docilement Catherine s'y coucha.
- vous avez fait trois bêtises madame, la première fessée c'était pour votre retard de vaccination, je vais vous en donner une autre pour votre mammographie et pour la troisième fessée nous réfléchirons. Elle repris sa règle et commença la fessée,
la brûlure était bien supérieure à la fessée à la main aussi Catherine se mit instantanément à gigoter à battre des pieds et à supplier Florence de cesser la punition.
- aie aie aie aie, noon pardon madame ça fait trop mal, s'il vous plaît, aie..
Florence était insensible aux supplications de sa victime, elle avait repris goût à la fessée et elle voulait que Catherine retienne bien la leçon. Les fesses avaient repris rapidement une belle couleur carmin et bientôt les larmes succédèrent aux supplications, c'était le moment attendu par la fesseuse, la punie lâchait prise et acceptait totalement sa punition. Quelques coups de règle plus tard, Catherine pleurait à chaudes larmes toujours étalée en travers des cuisses de la jeune médecin, redevenue l'espace d'un instant une maman sévère. Elle la laissa un instant dans cette position enfantine pour lui laisser le temps de se calmer.
Quand elle fut remise sur ses pieds, Catherine porta immédiatement ses mains à ses fesses pour calmer la brûlure, ce qui fit rire Florence.
- ça cuit n'est ce pas ? Rien de tel qu'une bonne fessée pour faire circuler le sang, vous avez de bien jolies fesses, ça ne peut que leurs faire du bien. Vous pouvez vous reculotter.
Elle invita ensuite Catherine à s'asseoir ce qu'elle fit avec précaution, s'attirant un sourire moqueur de sa fesseuse. Florence l'interrogea sur l'origine de son fantasme, Catherine avoua qu'elle avait été élevée par une mère stricte adepte de la fessée et qu'elle avait subi ce châtiment jusqu'à l'âge adulte, sa dernière fessée elle l'avait reçue à 24 ans alors qu'elle était déjà mariée. Elle avoua à Florence qu'elle ressemblait à sa mère jeune et que depuis quelques années à chaque visite de médecine du travail elle pensait aux fessées de sa mère. Puis en rougissant et en baissant les yeux elle ajouta.
- je reconnais que je l'avais bien mérité cette fessée, mais vous n'y avez pas été de main morte, je crois que je vais m'en souvenir longtemps.
Florence se mit à rire.
- c'est sûr que vous l'avez bien cherché ! Mais n'oubliez pas que vous en avez encore une en réserve.
- oh non, s'il vous plaît, pas maintenant, j'ai déjà du mal à tenir assise.
- non non, rassurez-vous je vais laisser vos fesses tranquilles pour aujourd'hui, mais ne vous inquiétez pas je vais vous tenir rapidement au courant du lieu et de l'heure de votre prochaine fessée déculottée.
Elle se leva et raccompagna madame Dulac jusqu'à la porte, elle lui administra une petite claque sur la jupe en la quittant.
- soyez sage !
En arrivant à son bureau Catherine Dulac reçu un SMS, il y avait une photo d'elle au coin main sur la tête exposant son fessier écarlate et un petit mot, "rendez-vous chez moi demain soir pour votre troisième fessée" suivait l'adresse de Florence.
Catherine était devant sa secrétaire qui ne se doutait pas que sa cheffe cachait sous sa jupe une paire de fesses bien rouges. Elle rosit de plaisir et une humidité soudaine envahi sa culotte. Elle rentra précipitamment dans son bureau pour cacher son trouble.
A suivre....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire