jeudi 4 août 2022

L'institut chapitre 28

 Une semaine fesses rouges pour Edwige 


Lola avait laissé son amie, couchée sur l'accoudoir du canapé, exposant ses fesses écarlates pendant qu'elle expliquait à Mme Smith qu'elle aurait besoin de ses services pendant toute la semaine pour que Edwige garde ses fesses bien rouges toute la journée  et ceci pendant une semaine. 

C'était le principe de la semaine fesses rouges, Lola avait découvert ce concept au cours de discussion avec des adhérentes de l'institut, en particulier Sylvie qui l'utilisait fréquemment chez son mari, enfin c'était avant qu'elle ne redevienne une gamine soumise à l'autorité d'Isabelle. Pour une journée fesses rouges bien réussie,il fallait commencer dès le matin par une série de fessées espacées d'un quart d'heure puis il suffisait ensuite d'entretenir la rougeur par l'administration régulière de fessées, au moins une fois par heure, l'utilisation d'un instrument était fortement recommandée surtout pour les fessiers déjà habitués à être fessé régulièrement. 

Edwige connaissait bien cette punition mais elle n'avait jamais eu plus de 3 jours de fesses rouges,  là c'était une semaine que Lola lui avait annoncé. 

Après avoir raccroché, Lola s'approcha de sa petite amie et lui tapota les fesses écarlates. 

- alors ma petite chérie, ça brûle? Tu sais que je déteste quand tu es vilaine, je te promets que je vais te faire passer l'envie de recommencer. Mme Smith va se faire un plaisir de rougir bien régulièrement ton petit cul. Tu vas rester là fesses à l'air jusqu'à l'heure du repas. Ensuite au lit à 9 h, privée de téléphone pour toute la semaine bien sûr et je te promets que tu iras au lit ce soir avec une paire de fesses bien rouges. 

Le programme se déroula comme annoncé, Edwige avait put se reculotter pour passer à table. Lola était ravie de la voir se tortiller sur sa chaise. 

- tout ça pour une petite fessée au martinet, qu'est ce que ça va être demain soir après la journée sur les genoux de Mme Smith. 

Edwige savait que quand Lola était en colère, il ne fallait pas la contrarier, elle débarrassa la table puis fila à la salle de bain pour se préparer pour la nuit. Il faisait encore jour mais elle était redevenue une gamine punie par sa mère malgré ses 35 ans. Elle fit une rapide toilette, se lava les dents et mis son pyjama. Puis elle se dirigea vers la chambre et comme elle en avait l'habitude quand elle était punie, elle se mit dans le coin de la pièce, le nez contre le mur et les mains sur la tête. De temps en temps elle devait également baisser sa culotte de pyjama mais pour ce soir, Lola n'avait rien dit. 

Elle n'eut pas longtemps à attendre, elle fut tirée par l'oreille comme une gamine. 

- viens un peu ici ma petite chérie, maman Lola va t'expliquer comment elle soigne les vilaines filles. 

Edwige avait vu immédiatement la brosse de bain dans la main de son amie, ses fesses se serrèrent sous son pyjama, c'était le pire instrument, son long manche donnait plus de force aux claques par rapport à la brosse à cheveux. Lola s'était assise sur le bout du lit, elle  la tenait toujours par l'oreille, elle la força à se coucher sur ses cuisses, elle portait une minijupe, qui laissait voir ses cuisses. En d'autres circonstances, Edwige aurait apprécié le spectacle, mais elle savait que dans quelques instants ses fesses allaient déguster. Lola avait posé la brosse de bain sur le lit, dès que sa petite amie fut en position, elle lui baissa rapidement la culotte du pyjama jusqu'aux genoux, les jolies fesses d'Edwige apparurent dans toute leur splendeur, bien rondes et lisses, sans une once de cellulite. Lola était amoureuse du derrière de sa petite amie, ce n'était d'ailleurs pas un avantage pour elle car tous les moyens étaient bon pour la déculotter et lui donner la fessée. En effet son principe était le suivant, un derrière bien rouge est toujours plus joli à regarder et l'administration régulière de la fessée supprime la cellulite.

Mais ce soir il n'était pas question de l'esthétique du postérieur d'Edwige, il était question de punition. Lola repris la brosse et commença la fessée du coucher. Celle qui laisse la punie en pleurs dans son lit, allongée sur le dos avec interdiction de se retourner ou de se frotter les fesses. Une punition qui marque les esprits. Edwige hurlait sous la brûlure, son fessier endolori par les fessées de l'après-midi et celle au martinet était devenu très sensible, il était maintenant cramoisi sur toute sa surface. Satisfaite du résultat, Lola la fit se relever et la repris par l'oreille pour la conduire devant la glace. 

- regarde bien tes fesses ma chérie, elles sont ravissantes et bien elles seront de cette couleur toute la semaine, voilà qui va t'apprendre à être obéissante. 

Puis elle reculotta elle même Edwige qui pleurait toujours, la grimace qu'elle fit quand le tissu glissa sur son épiderme brûlant convainquit Lola de l'efficacité de la punition. 

- maintenant, au lit et je ne veux plus t'entendre. 

Edwige savait parfaitement ce que ça voulait dire, elle se coucha sur le dos avec une grimace, car ses fesses étaient vraiment brûlantes et elle croisa ses mains sur sa couette. Elle devait s’endormir comme ça, même si ce n’était pas dans ses habitudes? Lola laissait la porte légèrement entrouverte ce qui lui permettait de venir surveiller sa petite punie de temps en temps, et gare à ses fesses si ses mains n’était pas visible, c’était signe qu’elle avait voulu frotter son derrière et synonyme d’une nouvelle fessée immédiate.

Le lendemain matin le réveil sonna, Edwige passa enfin sa main sur son fessier, il était encore sensible. Elle se leva rapidement et baissa sa culotte de pyjama devant la glace, il n’y avait pas de traces sur ses fesses mais elles étaient encore bien colorées. Elle n’avait pas entendu arriver Lola, celle ci se mit à rire en la voyant fesses à l’air devant la glace. 

- alors comment madame trouve ses fesses ? C’est très bien ne te reculotte pas tu es toute prête pour ta première fessée de la journée.

Elle entoura la taille d’Edwige avec son bras et la força à se pencher en avant. Puis elle administra sur le fessier bien tendu la première d’une longue série de fessées. Edwige savait que les corrections allaient se succéder tout au long de la journée, Mme Smith aussi bien que Lola allait se faire un plaisir de garder une belle couleur pourpre à ses fesses. Quand Lola la relâcha, ses fesses étaient déjà très rouges.

- enlève moi ta culotte, tu déjeunera cul nu, c’est la tenue qui convient aux gamines désobéissantes.

Elle adorait ramener Edwige au rang de fillette, elle adorait jouer à la maman sévère, pourtant elle avait 15 ans de moins et était encore étudiante, mais le caractère soumis de sa petite amie se satisfaisait très bien de cette inversion des rôles.

Edwige la précédait, elle souriait devant ces deux fesses rubicondes qui dodelinaient devant elle. Le déjeuner fut interrompu par une deuxième fessée manuelle, Edwige couchée classiquement sur les genoux de Lola.

- c’est quand même plus pratique que tu sois cul nu, ça va plus vite que d’être obligée de te déculotter à chaque fois. Bon tu finis vite de déjeuner et tu files à la douche. Tes fesses commencent à ressembler à quelque chose mais je n’ai pas encore fini, je veux que Mme Smith ait une jolie paire de fesses à regarder.

Edwige ne se fit pas prier, l’eau tiède sur son fessier brûlant la calma un peu, mais elle connaissait hélas la suite. Elle sortait de la douche quand Lola arriva. Elle s’assit sur un tabouret déposa une serviette sur ses cuisses et fit un petit signe à sa petite amie.

- en position madame, on va sécher ce petit derrière à la façon de maman Lola.



Edwige se coucha docilement sur les genoux de sa petite amie, ses fesses rouges étaient encore mouillées, Lola se mit à claquer joyeusement ce beau derrière, les claques faisaient gicler de l'eau et rapidement la peau sécha, mais ce n'était pas suffisant pour la perversité de Lola, elle saisit la brosse de bain et compléta le séchage par une rapide mais sévère fessée. Edwige hurlait sous la brûlure, ses jambes battaient l'air, ses cuisses s'ouvraient largement découvrant ses secrets intimes que Lola connaissait si bien. Quand Lola la fit relever une légère buée s'élevait au dessus de son fessier. 

- ton petit cul est bien sec ma petite chérie, dépêche toi de finir le reste et de t'habiller.

Edwige en séchant ses larmes, frictionna le reste de son corps, la glace de la salle de bain lui renvoyait l'image de sa croupe d'un rouge éclatant. Elle se dirigea vers sa chambre, Lola avait déposé sur le lit sa tenue. Un petite culotte en coton blanche, des bas autofixants, un chemisier blanc et une jupe bleue marine de forme évasée et relativement courte donc facile à retrousser. Elle voulait faciliter le travail de Mme Smith. Mlle Edwige Duno redevenue la cheffe de service, enfila ses escarpins et se regarda dans la glace, elle s'était légèrement maquillée, pour masquer les traces de ses pleurs, personne ne pouvait imaginer que sous sa jupe, elle cachait une paire de fesses écarlates. 

Lola arriva dans le salon. 

- que tu es mignonne ma petite chérie aux fesses rouges...

Elle avait dit ça en riant. Edwige piqua un fard et baissa les yeux, sa petite amie venait de lui rappeler son statut, le feu qui embrasait ses fesses sous sa culotte finirent de la convaincre que la journée serait cuisante. Lola lui fit un petit signe du doigt. 

- approche un peu, vilaine fille que je vérifie ton derrière. 

Edwige savait hélas ce que ça signifiait, dès qu'elle fut à sa portée, Lola la courba sous son bras, retroussa sa jupe et baissa la culotte sous les fesses. 

- à voilà des fesses, comme je les aiment. Mme Smith va se régaler. Bon une petite fessée pour la route. 

Elle leva la main et claqua une cinquantaine de fois chacune des fesses tendues devant elle. Edwige trépignait sur place mais elle ne chercha pas à échapper à la punition. Puis Lola remonta la culotte sur la croupe brûlante, comme une maman attentionnée et la jupe retomba. 

Mlle Duno était prête pour partir au travail, elle avait reçu ses quatre fessées réglementaires du matin, gage d'une bonne journée fesses rouges. Elle posa délicatement ses fesses sur le siège de sa voiture, heureusement il n'y avait personne pour voir sa grimace. 

En arrivant à son bureau, elle trouva sa secrétaire souriante. 

- bonjour Mlle, alors comment vont ces petites fesses ? On va vérifier ça tout de suite. Vous avez une réunion dans 20'. Il ne faut pas traîner. 

Edwige avait pris l'habitude de ces petites humiliations, sous ses dehors respectueux et son langage policé, Fiona Smith savait placer des remarques qui la ramenait à son statut de gamine qui reçoit encore la fessée cul nu.

Elle poussa la porte de son bureau, Fiona la suivit et referma la porte à clé. Effectivement elle ne perdit pas son temps en discussion, une chaise était disposée prête à jouer son rôle, elle s'y assis et tira Edwige par la main pour la basculer en travers de ses genoux. La jupe vola sur les reins, la petite culotte blanche laissait voir la base des fesses et la rougeur dépassait également sur les cuisses. 

- ah, je vois que Mlle Lola a fait du bon travail. Alors comme ça on a été vilaine au point de mériter une semaine de fesses rouges. 

Pendant qu'elle parlait elle avait déculotté largement Edwige, son fessier rubicond s'étalait maintenant devant ses yeux. Son attirance pour les belles fesses féminines et la fessée était comblé, elle ne put s'empêcher de caresser les fesses si bien présentées. "Une semaine à me présenter tes jolies petites fesses, huumm je vais me régaler ma petite", ses pensées vagabondaient et une humidité envahissait sa culotte. 

- vos fesses sont encore bien rouges, mais comme je ne sais pas combien de temps va durer votre réunion, on va leur redonner une couleur un peu plus durable. 

Elle prit la règle plate en bois posée sur le bureau et se mit à claquer les fesses de sa cheffe de service. "Une vraie bonne fessée déculottée pour bien commencer la journée, voilà ce qu'il te faut ma jolie", elle était concentrée sur son oeuvre, la règle imprimait une belle marque rouge plus foncée à chaque coup.



Edwige se mordait les lèvres pour ne pas crier et attirer l'attention. Fiona Smith laissait libre cours à ses fantasmes de fesseuses, sa culotte était maintenant trempée. Elle songea à sa fille qui avait quitté la maison l'année dernière et qui continuait malgré tout de lui présenter ses fesses quand elle revenait en vacances, les fesses de sa cousine anglaise plus âgée mais tout aussi appétissantes lui revenait à la mémoire, depuis quand ne l'avait elle pas déculotté pour lui rougir les fesses. Celle d'Edwige était maintenant d'un rouge profond, elle revint à la réalité et cessa la fessée. Edwige sanglotait, elle avait glissé vers l'avant, sa tête touchait presque le sol, ses pieds étaient décollés, ses fesses tendues vers sa maîtresse. Mme Smith la fit se relever et lui tendit un mouchoir, 

- séchez vos larmes, ce n'était que la première fessée de la journée. Vous pouvez enlever votre culotte, on va gagner du temps, je ne vais pas vous déculotter à chaque fois. Vous la remettrez ce soir pour rentrer chez vous. 

Edwige n'était plus à une humiliation prêt, elle allait donc passer la journée cul nu sous sa jupe. Sa culotte était enroulée autour de ses chevilles, elle la retira et la tendit à Mme Smith. Celle-ci la prit en souriant. 

- votre réunion est dans 5' Mlle. 

Edwige se remaquilla rapidement, lissa sa jupe et passa discrètement sa main sur son postérieur endolori. Elle aurait bien aimé le frotter énergiquement pour atténuer la cuisson mais outre que c'était rigoureusement interdit, elle n'avait pas le temps. 

La réunion lui parut bien longue, les  sièges étaient pourtant confortable, mais pas assez pour ses fesses, surtout quand on déjà reçu cinq fessées cul nu dont une avec la brosse de bain et une autre à la règle plate. Quand la directrice se leva, elle fut ravie d'en faire autant, elle s'adressa à Edwige. 

- Mlle Duno, votre rapport était très intéressant, vous avez l'air un peu fatiguée, vous devriez vous occuper un peu de vous, une amie m'a donné l'adresse d'un institut qui fait des miracles. Elle lui tendit une carte "Institut de Mlle Rose". Edwige essaya de masquer son trouble, sa directrice savait elle, qu'à 35 ans, elle recevait encore la fessée déculottée et qu'elle était cul nu sous sa jupe avec des fesses écarlates. Son téléphone vibra, elle remercia sa directrice et pris congé. 

Elle jeta un œil sur son téléphone, c'était Mme Smith. "Ne traînez pas après la réunion, vos petites fesses ont certainement besoin d'une couche supplémentaire". Elle avait un peu oublié que le soulagement d'être debout n'allait pas durer bien longtemps. Un collègue qui montait avec elle dans l'ascenseur lui proposa de manger ensemble, elle du décliner en trouvant un prétexte, elle ne pouvait tout de même pas lui avouer qu'elle allait passer sa pause déjeuner au coin, dans son bureau, les fesses à l'air, bien rouges après la magistrale fessée déculottée que lui aurait administré sa secrétaire. Mme Smith téléphonait quand Edwige arriva dans le bureau, elle lui fit signe avec son doigt d’approcher puis elle la fit tourner et tout en continuant à parler au téléphone, elle lui souleva la jupe avec sa main libre. Avec horreur Edwige sentit l’air frais sur ses fesses, elle se tourna vers la porte du bureau qui heureusement pour elle était fermée. 



Fiona tenait toujours la jupe retroussée, les fesses rebondies étaient encore bien rouges. Quand elle eu fini de téléphoner, elle claqua les fesses de sa cheffe de service.

- allez ! il nous faut réchauffer ce petit derrière.

Arrivée dans le bureau d’Edwige la chaise à fessée les attendaient. Fiona y posa son large fessier puis elle attira Edwige contre ses cuisses et la fit basculer, la jupe retroussée immédiatement, la croupe écarlate s'étalait devant ses yeux, la fessée à la règle avait été efficace, les fesses étaient encore rouges. Une simple et rapide fessée à la main était nécessaire pour entretenir la rougeur. Edwige fut ensuite autorisée à se remettre au travail toujours cul nu sous sa jupe. Il était 10 h, elle avait déjà reçu six fessées, la journée s'annonçait longue. La règle était simple pendant une journée fesses rouges, Edwige recevait quand c'était possible une fessée toute les heures. En cas d'impossibilité, pour une réunion par exemple la fessée devait être plus sévère pour que la rougeur persiste. Il lui restait donc un petit séjour sur les genoux de Mme Smith avant la pause déjeuner. À midi, Fiona Smith lui demanda ce qu'elle avait prévu, Edwige avait juste une salade préparée par Lola qui faisait attention à la ligne de sa petite amie. 

- bien, je vous laisse 1/4 d'heure. Ensuite ma brosse à cheveux va s'occuper de votre joli derrière. 

Elle tourna les talons laissant Edwige à son angoisse avant sa punition. À l'heure dite, elle entra dans le bureau, sa brosse à la main. Edwige se leva, elle n'était assise que sur le bout de ses fesses, celle ci était trop douloureuse. Fiona Smith s'assit sur la chaise et du doigt fit un petit signe à sa cheffe de service. Elle souriait devant la mine inquiète d'Edwige, celle ci avait vraiment mal aux fesses. 

- s'il vous plaît madame....pas la brosse..

Madame, mes fesses me brûle...

- mais ma petite Edwige, ce n'est pas à vous de décider ce qui est bon pour votre derrière, c'est à Mlle Lola et à moi même  vous devriez le savoir. Vous meriteriez que je signale cette petite rébellion à Mlle Lola, peut-être qu'elle rajouterait une journée à votre semaine fesses rouges.

- non! Non! Madame, s'il vous plaît ne lui dites rien.

Elle s'approcha rapidement des genoux de sa secrétaire et se jeta presque dessus. Fiona était satisfaite de la docilité de sa cheffe. Elle retroussa à nouveau la jupe, les fesses étaient prêtes pour sa huitième fessée. Elle les palpa tranquillement, la peau était encore chaude  elle écarta un peu les fesses de sa punie.

- allez ma petite Edwige, détendez moi ces fesses.

Sa main glissa entre les cuisses, elle aimait ces moments où la punie était à sa disposition, elle ne pouvait pas se rebeller et devait subir l'humiliation de cet examen intime. Edwige avait les fesses brûlantes, elle était morte de honte et ses joues avait d'un seul coup pris la même couleur que ses fesses. 

Fiona Smith repris son rôle de maman fesseuse, elle leva la brosse, le claquement sec du bois verni sur la peau nue, retenti dans le bureau, accompagné du cri étouffé de la punie. 



À cette heure là  les bureaux étaient presque vide mais Edwige ne souhaitait pas que des collègues soient au courant de son infortune. Les pauvres fesses déjà meurtries par la succession des corrections, étaient un peu boursouflée quand la sévère secrétaire conduisit Mlle Duno tenue par l'oreille dans le coin du bureau. 

- il vous reste 30' avant la fin de la pause déjeuner, vous allez les passer au coin à réfléchir. 

Une fois qu'Edwige fut installée dans la position réglementaire  nez contre le mur et les mains sur la tête, la jupe coincée dans la ceinture, elle prit une photo avec son téléphone. 

- je vais envoyer cette photo à Mlle Lola pour qu'elle se rende compte que votre derrière à la couleur requise.

L'après-midi se déroula comme prévu, toutes les heures, Edwige devait présenter ses fesses à sa sévère secrétaire qui comme un métronome claquait la croupe qui maintenant ne palissait même plus entre chaque fessée. À 16 h, le compte était rapidement fait, Mme Smith administra sa douzième fessées à la pauvre Edwige. Les bureaux s'étaient vidé aussi elle se permit une petite humiliation supplémentaire, c'est dans le secrétariat et non plus dans l'intimité de son bureau que Mlle Edwige Duno eut la jupe retroussée et coincée sous le bras de sa secrétaire, elle trépigna sous la cuisson d'une fessée à la règle plate. Quand elle la relâcha enfin, Mme Smith se dirigea vers son bureau et elle ouvrit un tiroir, elle en tira la culotte blanche de sa cheffe de service et lui tendit. 

- tenez, vous pouvez vous reculotter, j'en ai fini avec vos fesses pour aujourd'hui. Je pense que cette petite culotte ne va pas rester longtemps sur votre petit derrière. 

Quand Edwige monta dans sa voiture, malgré toutes les précautions, elle ne put s'empêcher de pousser un petit cri. Heureusement elle était seule sur le parking. Elle en profita pour glisser ses mains dans sa culotte et frotter énergiquement ses fesses. Mais il ne lui fallait pas traîner en route, Lola l'attendait. 

En effet celle-ci était assise dans le canapé quand sa petite amie rentra. 

- coucou ma petite chérie, alors la journée c'est bien passée ? Mme Smith s'est bien occupée de ton petit derrière ? On va voir ça. Allez cul nu et plus vite que ça !

Edwige s'attendait à ça, mais elle regretta quand même que Lola ne lui fasse pas un petit bisou. Elle se retourna, souleva sa jupe et baissa sa culotte. 

- oh mais c'est parfait, vraiment du bon travail. Approche un peu que je touche. 

Edwige recula et tendit ses fesses écarlates à sa maîtresse. Lola carressa l'épiderme qui était encore chaud, il était très lisse et brillant. "c'est sûr que la fessée ça te fait un joli petit cul ma chérie", les pensées de Lola vagabondaient, sa culotte s'humidifiait, ses doigts écartaient les fesses et glissaient plus bas. C'était le même examen intime que celui de sa secrétaire mais il était plus agréable pour Edwige. Elle en aurait presque oublié sa punition. Lola la ramena à la réalité par une claque sur chaque fesses.

- c'est bien, maintenant tu files au coin, ta journée n'est pas finie. 



Elle appela Fiona pour la féliciter de son travail. Elles discutèrent un bon moment des bienfaits des châtiments corporels et de  la fessée en particulier. La sévère secrétaire lui annonça qu'elle attendait dans quelques jours une cousine anglaise en vacances, Lola compris à demi mot qu'elle était soumise au même traitement que Edwige. 

- vous pourrez venir prendre le thé, quand elle sera là. 

La soirée se déroula suivant le schéma prévu, toutes les heures, Edwige se couchait sur les genoux de Lola pour une rapide fessée d'entretien. Ensuite elle retournait au coin, sauf pour celle de 19 h où Lola lui demanda de préparer la table. Elle dina avec ses fesses nues directement posée sur le bois de la chaise.

Les fesses d'Edwige avait déjà reçu 15 fessées. Après avoir débarrassé la table, Edwige retrouva son amie au salon, elle lui fit un petit signe du doigt et tapota ses cuisses, signe que c'était là qu'elle la voulait. Docilement Edwige s'exécuta, c'était maintenant une position tellement habituelle pour elle, sa jupe retroussée et la culotte qui descendait sur ses fesses. 



- j'espère que cette première journée de punition commence à te faire comprendre ce que j'attends de toi ma chérie. Ton petit cul est vraiment très chaud, on va prendre ta température et ensuite tu iras au dodo avec les fesses bien chaudes comme hier.

Edwige détestait cette nouvelle habitude de Lola de lui prendre la température dans les fesses comme une gamine, c'était particulièrement humiliant de sentir ces doigts qui écartaient ses fesses pour  mettre à jour son petit trou, puis son doigt qui lui appliquait un peu de vaseline et enfin le thermomètre qui lentement violait son intimité, surtout que Lola accompagnait tout ça de petites commentaires. 

- allez ma petite chérie, déserre moi ces petites fesses. Oh qu'il est mignon ce petit trou, allez on va voir si tu as de la fièvre, voilà, détends toi, il est presque en place.

Elle se faisait un plaisir de sentir la confusion de son amie et faisait coulisser le thermomètre puis le rentrait très profondément. 

- tu vas le garder une petite demi-heure et au dodo.



Elle alluma la télé et regarda le journal, tout en caressant les fesses bien rouges et chaudes de sa petite amie. 

La fin de la soirée ressembla comme une soeur à celle de la veille. Edwige, le pantalon de pyjama aux genoux, hurla sous la brûlure de la brosse de bain



puis elle fut bordée par Lola qui l'embrassa sur le front. 

- dors bien, vilaine fille, encore 6 jours de fesses rouges, tu vas voir comme tu auras de jolies fesses après ça. 

Edwige s'endormi en pensant que demain elle recevrait à nouveau 17 fessées sur ses jolies petites fesses comme les appelaient Lola et Mme Smith.



1 commentaire:

  1. Mme Smith est devenue la fessée officielle d'Edwigs. l'institut peut franchir facilement 100 parties. continuez à écrire, j'aime vos compétences en écriture.
    Chinmay

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