jeudi 28 juillet 2022

A 70 ans, Il n'est pas trop tard. Suite

Agnès, Sylvie et Paola 2ème partie 



 Paola avait proposé d'aller faire une petite promenade en soirée. Après tout, Agnès devrait connaître un peu les environs. 

Sylvie avait pleurniché un peu en disant qu'elle ne pouvait pas sortir avec une jupe aussi courte.

Mais Agnès lui avait pincé un lobe d'oreille entre son pouce et son index et l'avait relevé si haut que la pauvre Sylvie était forcée de se tenir sur la pointe des pieds.

- Est-ce que notre petite Sylvie se rebelle ?

Agnès n’était pas contrariée mais  plutôt un peu surprise. 

- Oh non, Madame Agnès. Aïe ! Non, j'obéirai. Aïe ! S'il vous plaît… mon oreille !

Agnès sourit et lâcha l'oreille.  Sylvie la frotta vigoureusement.

- je suis sûr que tes voisins ont déjà remarqué à quel point tu te laisses aller et combien ton comportement est immature. Je suis sûr qu'ils trouveront tes vêtements très appropriés !

lui indiqua Agnès. Sylvie baissa la tête, puis elle osa une autre objection.  

- mais les gens verront les zébrures sur mes jambes sous l'ourlet de ma jupe  Madame Agnès !

murmura-t-elle timidement.

Agnès soupira et plaça son annulaire et son index sous le menton de la petite dame et le força à relever la tête. 

- où ma petite Sylvie doit-elle regarder quand elle parle à quelqu'un ? 

- désolée Madame Agnès. Je suis tellement désolée. Oui, je dois regarder les gens à qui je parle ou qui me parlent. S'il vous plaît, s'il vous plaît ! Plus de fessée. Je ne l'oublierai plus ! Promis  ! 

Sylvie se tordit les mains et de nouvelles larmes coulèrent sur ses joues.

Paola intervint à ce moment là 

- et qu'est-ce qu'on a envie de dire aux gens quand ils nous interrogent sur les zébrures, ma petite Sylvie ?

Dans cette question se trouvait déjà la réponse, on envisageait de toute façon de montrer les zébrures en public.

-oh, Pa... Madame Paola ! Que... que dois-je dire alors, Madame Paola ?

Sylvie regardait Paola avec de grands yeux larmoyants.

- la vérité, Sylvie. Juste la vérité. Tu as déjà appris que mentir est mauvais pour ton petit popotin, non ?

Paola la regarda avec un sourire et pensa, «Oh, j'aurais du réaliser plus tôt à quel point cette petite fille peut être mignonne!»

 Agnès était d'accord avec Paola.  

- tu dis juste que tu as été une vilaine fille et que tu as été punie, Sylvie. C'est la vérité, n'est-ce pas ?

- Oui ! Oui Madame Agnès ! Oui, la vérité !  

Elle hésita.  Et puis laisse échapper un "Mais..." 

Agnès l'interrompit sévèrement.  

- le mot ‘mais' t'est désormais interdit. Chaque fois que je l'entendrai, il y aura quelques claques sur ton derrière en guise d'avertissement. Est-ce qu'on se comprend ?

- oh!

fit Sylvie et...

- ma...

suivit. Puis elle avala le "mais". 

- oui, Madame Agnès.  Je n'ai plus le droit d'utiliser ce mot !

Paola s'était placée à côté de Sylvie et avait passé sa main sur ses fesses couvertes par la jupe.  

- tes fesses ont eu de la chance que tu n'aies pas réutilisé le mot, n'est-ce pas, Sylvie ?

- ou... oui, Madame Paola. Oui, de la chance !  

Sylvie s'était empressée de répondre rapidement à la question.

- allez, montrons à tout le monde qu'il y a une nouvelle jeune fille en ville qui a besoin d'être éduquée. Mais peut-être que ce ne sera pas une surprise. Il est possible que certains aient entendu le bruit des claques. Les fenêtres n'étaient pas fermées !

Elle prit Sylvie par la main et la tira jusqu'à la porte d'entrée.  Agnès la suivi.

Elles n’ont pas remarqué à quel point Sylvie rougissait. Il ne lui était pas venu à l’idée que d'autres que Paola aient pu entendre les claques sur ses fesses ainsi que ses gémissements et ses cris.  Elle se doutait bien sûr que si c’était le cas, la rumeur ne tarderait pas à se répandre rapidement.

Sylvie n'osa pas résister, même s'il était inimaginable pour elle de quitter la maison dans cette tenue.  Mais le pire, c’est quand Paola lui a pris la main et lorsqu’elles sont arrivées sur le trottoir, Agnès a attrapé l’autre main.  Sylvie se sentait comme une petite fille promenée par ses parents par la main.  Elle priait intérieurement pour qu'ils ne rencontrent personne.  Du moins personne qui la connaisse.

Bien sûr, c'était presque impossible car il faisait beau et il y avait beaucoup de monde.  De plus, elle connaissait presque tous les habitants.  Après tout, elle avait grandi ici, était allée à l'école et avait été médecin pendant quelques décennies.

Elle essaya timidement de retirer ses mains de celles des "parents".  Mais Agnès siffla 

- ne t’avise pas de faire ça, ou il y aura un avertissement sur tes fesses !

Bien sûr, Sylvie ne voulait pas ça non plus, alors elle a accepté son sort.

Heureusement, ils n'ont rencontré personne qui la connaissait assez bien pour entamer une petite conversation.  Mais tous ceux qu'elles ont croisées lui on dit bonjour et ont même fait référence à l'ancien médecin qu’elle était en la saluant par son titre et son nom.  Et bien sûr Sylvie devait dire bonjour.  Elle était consciente qu'elle rougissait à chaque fois.  De plus, elle avait la forte impression que les gens la regardaient d'une manière étrange, voire moqueuse.

Néanmoins, Sylvie s'habituait lentement à la situation.  "C'est comme ça quand tu redeviens une petite fille, mais tout le monde sait que tu as atteint tes 70 ans."

Soudain Paola eu l'idée de manger une glace et s'est dirigée vers l'unique glacier du village.

Et Sylvie a oublié qu'elle n'avait pas le droit de dire « mais ».

- Pardon !  

Agnès s'est arrêtée.  Elle a lâché la main de Sylvie et lui a ordonné 

- tu te penches et tu tends bien tes fesses. Tout de suite. Et je le répète... tais-toi !

Sylvie n'a pas réfléchi.  Elle a été si surprise et intimidée qu'elle a obéi sur-le-champ.  Paola lui lâcha la main et recula d'un pas pour observer l'affaire de près.

Sylvie se tenait les genoux fléchis, les mains appuyées dessus.  Et cela sur le trottoir, au milieu du village.

 Elle sentit Agnès soulever le bas de sa robe.

- non!!  

Elle respirait, mais était pétrifiée.  Et puis elle a crié « aïe » exactement quatre fois, parce qu'Agnès lui a donné deux grandes claques sur chaque fesses avec la paume de la main, puis elle a lâché l'ourlet de la jupe et a dit très calmement 

- tu peux te relever. J'espère que c'était le dernier rappel nécessaire sur cette promenade, ma chérie !

- oh oui, Madame Agnès. Oui, le dernier !... Dernier avertissement. Oui, Madame Agnès !   

Les deux dame-parents la reprirent paôr la main et bientôt elles arrivèrent devant leur  glacier.  Sylvie avait regardé timidement autour d'elle, heureusement personne n'avait remarqué ce moment très gênant.

 Elles rentrèrent dans la boutique, il n'y avait personne sauf la vendeuse, une très jeune femme d'à peine 20 ans. C'est Paola qui parla.

- que veux tu comme glace Agnès ?

Celle-ci choisi les parfums pistache et chocolat, la vendeuse souriait en regardant les trois dames, un peu surprise par celle du milieu qui était la plus âgée mais habillée comme une gamine et qui ne disait rien. Paola continuait. 

- bien, pour moi ce sera menthe, chocolat et pour Sylvie vanille, fraise.

Sylvie releva la tête et regarda sa jeune voisine. Elle ne put s'empêcher de protester, elle détestait la fraise. 

- euh, non madame Paola, pas fraise. 

- c'est ce qui convient aux gamines, cesse de faire des caprices. 

- mais...

Sylvie se rendit compte trop tard qu'elle venait de prononcer le mot interdit. Agnès la regarda sévèrement et lui lâcha la main. Elle désigna une petite table. 

- mets tes mains là, vite !

Sylvie était pétrifiée mais elle obéi. Elle était légèrement penchée vers l'avant, ses fesses tournées vers la vendeuse. Elle n'osait pas imaginer ce qui allait arriver. 

- décidément ma chérie, je pense que le premier avertissement n'a pas suffit, je vais être plus persuasive. 

Elle souleva à nouveau la jupe, la retroussant largement sur les reins. Sylvie retenait son souffle, la jeune vendeuse regardait la scène. La petite culotte blanche tendue sur les fesses par la position rentrait légèrement dans la raie fessière. Mais Sylvie poussa un petit cri en sentait les doigts de sa nouvelle maman, saisir la ceinture. 

- noon madame Agnès, pardon. 

Agnès en souriant, regardait Paola et la jeune femme. 

- notre petite Sylvie a besoin d'une leçon. 



La culotte descendit lentement, Agnès la baissa juste sous les fesses. Elles étaient encore un peu rouges des fessées précédentes, les traces laissées par le martinet était bien visibles sur l'arrière des cuisses. 

- aïe aïe aïe non maman pardon. 

Agnès avait commencé à claquer les fesses tendues, elle ne se contenta pas de quatre claques cette fois-ci. Une vingtaine de claques retentirent sur le fessier si bien présenté. Puis  calmement Agnès remonta la culotte sur les fesses rouges et remis la jupe en place.

- voilà ma chérie, j'espère que tu as compris. 

Puis se tournant vers la jeune vendeuse. 

- je suis désolée de vous avoir imposée ce spectacle mais la punition doit être immédiate en cas de désobéissance. 

La jeune femme souriait toujours, sa mère l'avait fessée jusqu'à son adolescence, elle savait donc ce que c'était qu'une fessée cul nu comme disait sa mère quand elle la troussait et la déculottait. Mais ce qui était plus surprenant c'est que la dame qui avait reçu la fessée déculottée, avait l'âge de sa grand-mère et qu'elle était habillée comme une gamine avec une jupe courte et une petite culotte blanche en coton. Elle la regardait maintenant d'un air différent, elle lui tendit sa glace vanille, fraise et soudain elle reconnut Sylvie. 

- mais vous êtes le docteur Bouger, vous ne vous rappelez certainement  pas de moi, mais moi, je m'en souviens. Ma mère m'avait administré une fessée cul nu dans votre cabinet un jour que je vous avais mal parlé, je devais avoir 12 ans. Aujourd'hui c'était à votre tour de me montrer vos fesses. 

Sylvie se rappelait très bien de cet incident. Elle reconnut également la jeune fille qui n'avait pas beaucoup changé. Paola intervint. 

- votre maman était adepte des méthodes traditionnelles ?

- oh oui, je n'en suis pas morte vous savez. D'ailleurs quand je fais du baby-sitting  les gamines ont droit à la fessée si elles n’obéissent pas.

Les deux amies se jetèrent un regard complice. 

- vous faites du baby-sitting, ça pourrait nous intéresser, donnez moi votre numéro de téléphone. 

- pas de problème, je m'appelle Ophélie. 

Dès qu'elles furent sur le trottoir, Agnès s'adressa sévèrement à Sylvie. 

- nous allons avoir à parler de ton comportement dès notre arrivée à la maison ma chérie. 

Quand elles furent rentrées, Agnès demanda à Sylvie si elle avait des haricots secs et lui demanda de les lui apporter, puis elle alla chercher des feuilles de papier et un stylo dans le bureau, qu'elle déposa sur la table. Elle prit les haricots qu'elle disposa sur une chaise puis elle s'adresse à Sylvie. 

- viens ici et tourne toi !

Sylvie obéit immédiatement, Agnès lui retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture puis elle baissa rapidement la culotte jusqu'au genoux. 


Les fesses de Sylvie portait encore les traces des fessées précédentes. 

- ma chérie, je suis très mécontente de toi, tu as eu deux avertissements cet après midi. En punition tu vas poser tes petites fesses sur la chaise et tu vas copier 20 fois la phrase suivante "Je ne dois plus jamais désobéir à Paola ou Agnès, sinon je recevrai une bonne fessée cul nu"

Sylvie posa délicatement ses fesses sur la chaise, elle ne put retenir une grimace, le contact direct des haricots secs avec ses fesses nues était très désagréable. Paola se mit à rire. 

- notre petite Sylvie a mal à son petit derrière. 

Agnès souriait également.

- ça va lui rappeler qu'il faut être sage. 

Posant la feuille de papier devant elle, Paola l'a exhortée à écrire très bien et à ne pas faire de ratures.

- oui, Madame Paola. Pas de ratures et bien écris, c’est promis.

Agnès ajouta d'un ton sévère.

- je vais barrer les lignes qui ne me conviendrons pas et tu devras les réécrire, deux fois. … Et maintenant nous allons te laisser tranquille. Appelle-nous quand tu as fini. Nous allons nous asseoir un peu sur la terrasse et parler, mais nous ne fermerons pas la porte. Comme ça nous t’entendrons.

Elles quittèrent le salon.  Agnès s'est assise sur la terrasse et Paola a pris du pastis, de la glace et une carafe d'eau en verre dans la cuisine de Sylvie.

Les choses n'étaient pas si roses pour Sylvie.  Les haricots s’enfonçaient dans son derrière endolori.  Elle essaya de mettre ses mains sur la chaise pour relâcher la pression.  Mais ce n'était pas possible avec une seule main et il lui en fallait au moins une pour écrire. Elle n'osait pas se lever de sa chaise et écrire debout.  Bien qu'Agnès ne l'ait pas spécifiquement dit, Sylvie savait qu'il lui était interdit de le faire.

Donc, la seule chose qui lui restait était d'essayer d'être courageuse et d'en finir rapidement avec ses lignes à copier, mais en écrivant correctement.  Après chaque ligne, elle devait essuyer les larmes de ses yeux avec le dos de sa main.

Pendant ce temps, ses deux dames sirotaient leur pastis. 

- connais tu aussi l'après-réchauffement au coucher, Agnès ? 

Paola avait entendu parler de cette tradition anglaise qui n’avait pas de terme spécifique en français et elle voulait se renseigner

- ah tu veux dire comme punition finale pour les filles qui ont été punies pendant la journée ?  

Agnès sourit.  

- bien sûr que je le sais. Une amie de ma mère travaillait dans un orphelinat comme infirmière de nuit."

- ah ! Et ils pratiquaient le réchauffement ou quelque chose comme ça, là-bas aussi, Agnès ?

- bien sûr ! Mais comme c'était un grand orphelinat et qu'ils ne voulaient pas écrire toutes les punitions pour l'infirmière de nuit, ils avaient imaginé un rituel très pratique.

Agnès sourit au regard curieux de Paola et voulut la taquiner un peu.  C'est pourquoi elle s'est tue.

Paola était très impatiente et dit avec impatience. 

- Agnès, s'il te plaît, raconte-moi tout ! Ne me taquine pas !

Agnès était gentille, elle se mit à raconter. Le soir, lorsque l'infirmière de nuit faisait sa première ronde et entrait dans un dortoir, toutes les filles devaient se tenir devant leur lit et s'appuyer dessus avec leurs mains.  Avant de le faire, bien sûr, elles avaient baissés leur culottes de pyjama jusqu'aux chevilles. Elles devaient également s'assurer que leurs vestes de pyjama ne couvrent pas leurs fesses nues.  L'infirmière de nuit décrochait une lanière de cuir qui était attachée juste à côté de la porte.  Puis elle faisait lentement le tour des douze fesses qui étaient tendues vers elle.

Bien sûr, il lui était facile de dire, d'après la couleur des fesses des filles ou des marques visibles sur celles-ci, lesquelles des filles avaient été punies pendant la journée.



Chaque fille, bien sûr, connaissait l'état de ses fesses.  Et si ses fesses étaient douloureuses, elle pleurait généralement déjà lorsque l'infirmière de nuit venait l'examiner.  C'était d'autant plus probable qu'elle était la plus éloignée dans la rangée des fesses, car elle avait déjà dû écouter ses compagnes d'infortune se faire fesser.

L'infirmière de nuit ne faisait généralement aucun commentaire, mais se contentait d'administrer une série de claques avec la sangle sur la croupe tendue. 

Elle se laissait guider par l'intensité des rougeurs sur les fesses.  Plus elles étaient rouges, plus la fille méritait de claques.

Bien sûr, elle épargnait les filles aux fesses blanches.  Mais tout le monde devait rester dans la position courbée tout le temps jusqu'à ce que le dernier derrière soit traité.

Puis elle se dirigeait vers la porte et remettait la sangle sur le crochet et disait.

- bonne nuit les filles

Elle attendait des réponses, celle-ci était  plus ou moins larmoyantes, puis elle  éteignait la lumière et quittait le dortoir pour aller au suivant.

Ce n'est qu'ensuite que les filles se levaient.  Comme l'infirmière de nuit ne revenait pas tout de suite, elles pouvaient frotter et caresser les fesses maltraitées de leurs compagnes de chambre puis remonter leur bas de pyjama.  Ensuite tout le monde regagnait son lit.

- Waouh

s'est exclamée Paola.  

- quel rituel bien pensé. Je suppose que les filles tenaient à ne pas avoir à présenter des fesses rouges à l'infirmière de nuit le soir !

Agnès rit et dit 

- nous allons certainement savoir si la grand-mère de Sylvie connaissait aussi un tel réchauffement au coucher !

- mais même si ce n'est pas le cas. On ne va pas s'en passer, n'est-ce pas ? 

Paola sourit et Agnès lui fit un clin d'œil.

Sylvie avait fini ses lignes, elle appela doucement Agnès. 

- s'il vous plaît madame Agnès, j'ai fini. 

Elle n'osait pas se lever mais les haricots appuyait vraiment douloureusement sur son petit derrière. Agnès et Paola avaient entendu, elles arrivèrent rapidement. Agnès la regarda en souriant. 

- j'espère que tu t'es appliquée. Lève toi qu'on puisse voir tes jolies fesses. 

Sylvie ne se fit pas prier, elle se leva immédiatement et se tourna pour présenter ses fesses. Elles étaient encore bien rouges, le contact des haricots avaient entretenu la couleur, on voyait la trace sur les fesses, des petits creux qui faisait ressembler chaque fesse à une grosse balle de golf rouge. Paola se mit à rire, elle enleva quelques haricots qui étaient restés collés. Elle écarta même les deux fesses car quelques uns étaient rentrés dans la raie fessière. Cet examen était humiliant, surtout que Paola prenait son temps, ses doigts écartaient largement les fesses de sa nouvelle fille. 

- alors ma petite chérie, on a eu mal à  son petit cucul. 

Elle se tourna vers Agnès pour expliquer cette nouvelle expression. 

- on utilise cucul ou derrière, c'est un peu comme bootie en anglais. Pour une dame c'est un peu gênant et moqueur, mais c'est vraiment le terme qui convient pour parler des fesses bien rouges de notre petite Sylvie désobéissante. N'est ce pas ma chérie ?

Elle avait fini d'examiner les fesses et elle lui avait administré une petite claque. Pendant ce temps, Agnès lisait attentivement la copie de Sylvie. Elle avait pris un stylo, elle fronça les sourcils et raya trois lignes. Elle saisit Sylvie par l'oreille et lui désigna la feuille. 

- je t'avais prévenue, tu vas te rasseoir et me recommencer ces trois lignes mais deux fois chacune. Tant pis pour tes fesses. Elle avait accompagné ces paroles par deux claques magistrales sur chaque fesses.

Sylvie résignée se rassit sur sa chaise de punition en grimaçant. Agnès et Paola restèrent dans la pièce pour la regarder écrire. C'était assez excitant de voir cette dame d'âge mûr, cul nu sur sa chaise, se tortiller pour atténuer la douleur et tenir son stylo comme une écolière appliquée. La deuxième copie fut jugée satisfaisante par Agnès. Sylvie put enfin quitter sa chaise de punition, elle fut autorisée à remonter sa culotte, bien sûr Paola lui avait examiné soigneusement les fesses avant, elle avait glissé ses doigts entre les fesses, provoquant la gêne de Sylvie, ce qui lui avait attiré une remarque moqueuse de la jeune femme. 

- oh ce n'est pas la peine d'être gênée ma petite chérie, je connais bien tes fesses maintenant et je crois bien que j'aurai l'occasion de les examiner souvent .

Agnès posa à nouveau des questions à Sylvie sur la façon dont sa grand-mère la punissait. 

- dis moi ma chérie, quand tu avais été punie, comment se passait la soirée ?

Sylvie expliqua que souvent bien sûr elle passait beaucoup de temps au coin fesses à l'air et que quand elle allait se coucher sa grand-mère examinait ses fesses en lui relevant sa chemise de nuit car à l'époque les jeunes filles ne portaient pas de pyjama, elle n'avait pas le droit de garder une culotte pour la nuit. Sa grand mère lui faisait toujours un bisou en lui caressant les fesses. Paola fit une petite grimace, pas de fessée au coucher. Agnès lui fit un petit clin d'oeil. 

- je suis sûr que l'heure du coucher n'a pas toujours été si agréable.

Lorsque Sylvie entendit cette remarque, elle tressaillit et rougit profondément.

- oh s'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'y ai vraiment pas pensé. Cela m'est sorti de l'esprit. Je ne voulais vraiment rien cacher. Honnêtement ! Vraiment ! Pas cette fois !

Les deux amies se regardèrent un peu surprises. Puis elles se tournèrent toutes deux vers leur pupille. 

- qu'y a-t-il, ma petite Sylvie ?

Agnès l'attira contre elle et l'assit sur ses genoux. Bien sûr, Sylvie se mit à gémir car s'asseoir n'était pas très agréable à ce moment là. 

Mais quand Agnès a commencé à lui caresser le cou, elle s'est un peu détendue.

- calme-toi, ma chérie. Dis-nous juste ce qui t'est sorti de l'esprit !

Sylvie s'est efforcée de le décrire de la manière la plus factuelle possible, mais il était facile de voir, d'après le tremblement de sa voix, qu'elle était très inquiète. Agnès sentait même sur ses cuisses que les fesses qui reposaient dessus se resserraient régulièrement.

Ce que Sylvie rapportait du rituel du soir de sa grand-mère rappelait en partie ce qu'Agnès avait dit précédemment à Paola sur les fonctions d'infirmière de nuit à l'orphelinat.

Bien que sa grand-mère sache bien que Sylvie avait été punie pendant la journée, elle insistait pour vérifier les fesses de la petite Sylvie, les rougeurs et les marques.

Bien sûr, Sylvie savait aussi ce que donnerait le résultat d'une telle inspection, car on ne peut pas oublier de telles punitions.

Donc s'il y avait des punitions pendant la journée, la règle de la grand-mère disait qu'une rémanence était nécessaire.

- une quoi?

Paola ne connaissait pas cette expression. 

- une rémanence, Madame Paola. Tout simplement une autre fessée avec la paume de la main couchée son genou. C'était là pour rafraîchir la cuisson et les douleurs de la journée. Elle l'appelait aussi parfois "traitement de perspicacité et de pardon". C'est parce que pendant la fessée, qui n'était pas très sévère, elle me demandait si je regrettais mes bêtises et si je pensais que les punitions étaient bien méritées. Ça me faisait pleurer et même crier souvent, sans parler des contorsions de mes fesses et du battement de mes jambes. Mais la chose agréable, c'est que grand-mère finissait toujours par me serrer dans ses bras et me pardonner, puis elle me mettait dans le lit et me bordait.

- oh, ta grand-mère devait t'aimer beaucoup, Sylvie. Elle s'est donnée tant de mal avec toi.

Paola semblait touchée et excitée.

- oui, je le pense aussi. Une femme très responsable ! 

ajouta Agnès. Mais ensuite elle continua un peu pensivement 

- mais on aime aussi notre petite Sylvie, n'est-ce pas, Paola ? Et on est aussi très responsables envers elle !

Paola la regarda d'un air interrogateur. 

-tu veux dire qu'on devrait reprendre la rémanence de la grand-mère de Sylvie ?

Sylvie n'avait montré aucune réaction. Elle savait depuis plusieurs minutes que ça allait arriver. Et même si elle ne voulait pas être fessée à nouveau, elle se souvenait parfaitement à quel point le pardon avait été merveilleusement rédempteur à la fin. Ce sentiment compensait largement dans son souvenir la douleur précédente. Et elle ne doutait pas qu'il en serait autrement avec ses deux nouvelles mamans. D'une certaine manière, c'était presque comme si elle attendait avec impatience le «traitement de perspicacité et de pardon».

Il a donc été décidé qu'une telle rémanence aurait lieu juste après le dîner. Sylvie devrait se préparer pour aller au lit puis attendre ses mamans en pyjama dans sa chambre. Bien sûr, son nez devrait être contre le mur et sa culotte de pyjama descendue jusqu'aux genoux.

Et c'est exactement comme ça qu'était Sylvie dans sa chambre à neuf heures et quart du soir. Bien sûr, ses mains étaient sur sa tête, même si ses mamans ne l'avaient pas explicitement mentionné. Avec des sentiments très mitigés, bien sûr. Parce qu'elle savait qu'avant le pardon son pauvre derrière encore sensible aurait à souffrir.

Au bout d'un moment, elle entendit des pas, la porte s'est ouverte et quelqu'un est entré, sans aucun doute, il n'y avait qu'une seule personne. Pourtant, Sylvie n'osait pas se retourner et regarder.

Elle entendit la personne s'asseoir sur le lit, puis la voix de Paola a dit 

- tu es vraiment obéissante maintenant, Sylvie. Viens ici !

Sylvie obéit aussitôt. Mais ses mains restèrent là où elles étaient.

Paola remarqua le trouble sur le visage de Sylvie. Elle se mit à rire. 

- madame Agnès voulait prendre des notes pour son rapport. Elle m'a demandé de démarrer la rémanence moi-même, elle nous rejoindra bientôt.

Elle lissa sa jupe courte, qui laissait encore voir les deux tiers de ses cuisses puis elle tapota ses genoux et demanda poliment.

- est-ce que ma chère Sylvie veut bien s'allonger sur mes genoux maintenant ?

Sylvie rassembla tout son courage et dit 

- est-ce que... je dois toujours vous appeler Madame Paola et Madame Agnès ? Cela ne me convient pas !

- ah bon!  Qu'est-ce qui te plairait mieux Sylvie ?

Sylvie fut ravie que Paola lui réponde amicalement et n'ait pas l'air contrariée.

- quelque chose comme maman ou autre chose comme ça. Je pense que ça irait mieux !

Paola réfléchit un instant. 

- et bien, nous devrons en discuter avec Madame Agnès bien sûr. Mais je ne pense pas qu'elle sera gênée si tu l'appelle maman Agnès. Et puis tu pourras... alors... eh bien, je serai tante Paola !

Le visage de Sylvie rayonna. 

- oh merci ! Merci beaucoup, tante Paola ! Merci !

Elle se jeta sur les genoux de Paola avec tant d'élan que Paola dû la rattraper pour qu'elle ne glisse pas de ses genoux et tombe à côté du lit.

Elle remonta la veste de pyjama sur le dos de Sylvie. Le postérieur bien rouge et encore sensible était maintenant exposé à son regard. Elle le caressa de sa main droite. "Encore assez chaud", pensa-t-elle. "Ça va rebrûler rapidement, même si je fais attention !



Elle n'a pas hésité longtemps néanmoins, un grand claquement retenti quand sa main atteignit la fesse droite de Sylvie.

- maintenant raconte-moi tous les bêtises  et omissions de la journée pour lesquels tu as dû être punie, Sylvie ! 

Paola avait l'air calme, voire amicale. Elle se rendit compte immédiatement que tout ce que Sylvie avait raconté sur sa grand-mère était vrai. La dame mûre redevenue une gamine, couchée  sur ses cuisses à demi nues, n'oubliait rien 

Elle parla de ses mensonges, de ses oublis, déclara que les châtiments avaient été bien mérités et nécessaires. Elle a expliqué à quel point elle était désolée pour ses actes répréhensibles et à quel point il était inacceptable qu'elle ait agi de manière si immature que cela nécessitait le genre de punitions infligées aux petites filles. Elle a également avoué qu'il était logique que ces punitions aient été appliquées sur ses fesses nues. 

Tout cela jaillissait d'elle presque sans interruption, la main de Paola giflait une fesse après l'autre, elle utilisait un rythme très lent. Il y avait toujours environ trente secondes entre chaque claque 

Même si Sylvie a essayé au début de prendre les claques aussi stoïquement que possible, elle a rapidement été forcée d'insérer un « aïe » ou un « aïe, aie » occasionnel dans son discours. L'une ou l'autre de ses jambes se levait régulièrement. La rougeur et la brûlure se sont effectivement ravivés très rapidement, bien que les coups aient été administrés plutôt lentement et pas particulièrement fortement. Sylvie était bien consciente que Paola aurait pu certainement frapper beaucoup plus fortement.

Nonchalamment, Paola posait parfois des questions pour avoir des éclaircissements, et Sylvie s'excusait alors toujours de ne pas s'exprimer assez clairement. Bientôt les premières larmes commencèrent à couler, que Sylvie tenta timidement d'essuyer du revers de la main. Les larmes n'étaient pas principalement dues à la douleur, ni à la honte de la situation. Elles étaient plutôt le résultat d'une certaine émotion. Elle ressentait de la gratitude d'avoir été autorisée à se débarrasser de tout ce poids de culpabilité et que Paola prenne la peine de l'écouter.

Et elle était particulièrement reconnaissante que tante Paola ait également accepté de l'éduquer. De plus, elle était manifestement disposée à faire de même à l'avenir une fois que sa nouvelle maman serait partie. Elle serait toujours sa tante stricte mais aimante.

Puis maman Agnès apparut dans la chambre, elle s'assit sur le lit à côté de Paola. Elle se rapprocha de Paola, ce qui fit reposer la tête de Sylvie sur ses genoux. Elle passa sa main dans les cheveux de Sylvie et lui caressa également la nuque.

Paola demanda alors à Sylvie de tout redire à maman. Et pendant ce deuxième rapport sa main continua le traitement douloureux non seulement des fesses mais aussi du haut des cuisses avec une lenteur exténuante.

Maintenant, les "Ow" et "Ouch" sont devenus des gémissements des cris plus perçants. C'était très embarrassant pour Sylvie, car elle ne voulait pas se plaindre ni même pleurnicher. Elle méritait chaque claque. Elle l'avait déjà admis et le pensait vraiment. Mais comme le dit le dicton, "L'esprit est bien disposé mais la chair est faible !"

Maman Agnès écoutait patiemment et attentivement, elle continuait à caresser. Elle ne se plaignait pas non plus du débit inégal de la parole. Elle devinait à quel point les fesses de Sylvie brûlaient à nouveau.

Ce n'est que lorsque Sylvie eut répété le rapport en entier pour la deuxième fois qu'elle laissa échapper la première plainte pendant la rémanence. 

- s'il vous plaît, s'il vous plaît maman Agnès, s'il vous plaît tante Paola, s'il vous plaît, ça fait tellement mal!

Agnès dit avec un sourire.

- mais on le sait, ma chérie !

Mais elles n'ont pas répondu autrement à cette plainte.

Au lieu de cela, Paola expliqua à Agnès  pourquoi Sylvie les appelait désormais maman et tante. Agnès fut très contente de cette nouvelle façon de s'adresser à elle et accepta immédiatement 

Même pendant cette petite conversation, la main de Paola poursuivait son activité éducative.

Et cela n'a pas varié quand le pardon est venu. Tante Paola, mais surtout maman Agnès, donnèrent l'absolution à Sylvie qui désormais pleurait à chaudes larmes. Elles devaient tous les deux parler très fort pour étouffer les cris désespérés et les sanglots de Sylvie.

En conclusion, il y eu le sprint final, si on peut dire, Paola accéléra le rythme de ses claques pendant un peu moins d'une minute et en donnant plus d'élan à chacune d'elles.

Sylvie hurlait et se tordait comme une anguille. Ses jambes ont cessé de donner des coups de pied et sont restées dressées aussi haut qu'elles le pouvaient.

Puis la main de Paola se posa enfin sur ses fesses rouges. Ni la maman ni la tante n'ont dit un mot. Elles écoutèrent les supplications et les cris de Sylvie et attendirent que leur petite chérie se calme. Ce n'est que lorsqu'elle a commencé à sangloter bruyamment et que la vigueur de ses tortillements et de ses coups de pied eurent diminué de manière significative qu'elles remirent Sylvie sur ses pieds.

Cette fois, elle ne lui ont rien dit alors qu'elle commençait à se frotter et à pétrir furieusement ses fesses.

Tous deux regardaient en souriant jusqu'à ce que Sylvie réalise soudain ce qu'elle faisait. Ses mains se levèrent immédiatement et se posèrent sur sa tête.

- Oh ! Oh désolé ! Oh je ne voulais pas ! Oh mais ça fait tellement mal ! S'il vous plait, pardonnez-moi maman ! Tante !

Elles lui ont tous deux pardonné, puis Agnès l'a portée sur le lit et l'a bordée. Puis elle s'est penchée sur la dame de 70 ans et l'a embrassée sur le front. Elle lui a chuchoté.

- dors bien chérie ! 

- merci, maman Agnès ! 

sanglota Sylvie. Mais on pouvait entendre à quel point elle était heureuse à ce moment là. Puis elle a également reçu un baiser de tante Paola.

Toutes deux quittèrent la chambre de Sylvie en éteignant la lumière mais en laissant la porte entrouverte. Comme le faisait grand-mère autrefois. Sylvie était encore bien trop désemparée pour penser à la façon dont les deux étaient au courant, puisqu'elle ne leur avait rien dit à ce sujet.

Bientôt les sanglots s'arrêtèrent aussi, bien que les larmes continuaient à couler, puis Sylvie entendit le bruit typique du débouchage d'une bouteille de vin. Ses deux nouvelles éducatrices s'étaient manifestement assises dans le salon pour boire un peu de vin et discuter.

Sylvie ne doutait pas un instant qu'il s'agissait d'elle. Mais elle ne pouvait qu'entendre les voix, pas comprendre les mots.

Sylvie avait très mal aux fesses, le contact de la culotte du pyjama sur sa peau brûlante était très difficile à supporter. Agnès ne lui avait pas dit mais elle le savait puisque sa grand-mère faisait ainsi. Elle devait rester sur le dos afin de mieux ressentir les effets de la punition et bien sûr ne pas frotter ses fesses. C'était sans doute le plus difficile. Elle se souvenait d'une seule fois où elle avait désobéi à sa grand-mère, elle avait soulevé sa chemise de nuit et frotté ses fesses en se tournant sur le côté. Sa grand-mère était rentrée à l'improviste dans la chambre, elle l'avait tirée hors du lit, l'avait recouchée sur ses genoux et lui avait dit d'un ton très calme. 

- nous allons recommencer la fessée de rémanence ma chérie. Puisque tu as frotté tes fesses pour effacer la douleur, elle ne compte pas. 

Elle se doutait bien que maman Agnès ferait la même chose si elle la découvrait en train de baisser sa culotte de pyjama pour frotter son pauvre petit derrière. Il lui fallait attendre qu'elle soit couchée. Elle procédait ainsi avec sa grand-mère, une fois qu'elle avait éteint la lumière après un moment de silence, elle se couchait sur le ventre, retroussait sa chemise de nuit sur ses reins et frottait énergiquement ses fesses douloureuses. 

Les deux amies continuait à boire tranquillement en discutant. Paola était encore excitée par la longue et sévère fessée qu'elle avait administré à sa voisine. Elle aimait Sylvie et elle aimait donner la fessée, son nouveau rôle de tante Paola ne pouvait que lui plaire. Elle interrogea Agnès, est ce que la fessée avait été correcte ?

Agnès la rassura, la fessée avait été parfaite, des claques pas trop fortes mais une très longue fessée qui avait dû  imprégner complètement l'esprit de Sylvie, ce n'était pas une fessée de maman en colère. Puis elle ajouta en souriant.

-  Dans ce cas là, la leçon rentre par les fesses de la punie et pas par ses oreilles. 

Il était temps d'aller se coucher. Paola s'éclipsa et Agnès rejoignit sa chambre. En passant elle jeta un œil dans la chambre de sa nouvelle fille. Sylvie était sagement couchée sur le dos, ses mains posées sur les draps. De légers mouvements montraient qu'elle essayait d'atténuer la brûlure de son postérieur mais elle ne frottait pas ses fesses. Agnès souri, décidément la fessée cul nu a  du bon, même les dames de 70 ans deviennent obéissantes après un séjour sur les genoux la culotte baissée. Elle éteignit la lumière du couloir et referma la porte de sa chambre. Après un moment de silence, Sylvie saisit la ceinture de sa culotte de pyjama et la baissa juste sous ses fesses, c'était un peu moins pratique que la chemise de nuit. Elle se coucha sur le ventre et poussa un soupir de satisfaction en massant son petit cucul endolori. Elle avait un peu honte de désobéir à sa maman mais on ne devient pas une petite fille modèle du premier coup. La cuisson s'atténuait légèrement remplacée par une sensation étrange de plénitude qui lui envahissait le ventre, le clitoris et bien sûr les fesses. Elle s’endormit la culotte baissée en rêvant à ses nouvelles éducatrice.

Ici on a envie de quitter ces trois endormies, mais pas sans la certitude que Sylvie ne pourra pas cacher sa petite tricherie. Plus d'une fois auparavant, elle avait éprouvé douloureusement où ce genre de mensonge pouvait la mener face à la sévérité de maman Agnès.

Bien sûr, Agnès ne put s'empêcher de remplacer immédiatement la douleur intense par une autre avec les intérêts en plus, en claquant encore et encore de sa main sévère sur les fesses encore rouges de sa nouvelle pupille. Mais cependant l'honnêteté de Sylvie à se confesser lui évitèrent le Martinet.

La fin du premier jour



 


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1 commentaire:

  1. grande histoire. J'ai adoré le concept et vous avez ouvert de nombreuses possibilités. combien d'autres seront fessées dans la prochaine partie. tante paola sera aussi sur le genou de maman Agnès. dont l'oreille sera tirée ensuite .... très désireux de savoir tout cela

    Chinmay

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