jeudi 28 juillet 2022

A 70 ans, il n'est pas trop tard

Un nouveau récit très long qui j'espère va vous plaire. Par Agnès et Sylvie.

C'est un récit écrit à deux mains avec une amie Allemande, Agnès. C'est un récit "ping-pong". Chacune écrit une partie et l'autre reprend la suite.

Le récit a été écrit en Anglais, il va être publié sur le site d'Agnès Benniza. J'ai fait une traduction française que je publierai en plusieurs fois car ce récit est assez long.





Agnès et Sylvie

Depuis qu'elle vivait seule dans sa grande maison, Sylvie s'ennuyait un peu. Elle ne s'était jamais préoccupée des tâches matérielles et maintenant elle était un peu débordée. Toute sa vie elle l'avait consacrée à son métier de médecin et maintenant à 70 ans, son mari disparu, sa fille habitant à l'autre bout de la France, elle se laissait aller. Ses amies et sa jeune voisine Paola essayait bien de la stimuler, rien n'y faisait.

Par contre elle était une habituée d'internet où elle pouvait passer des heures. Elle y avait fait la connaissance d'Agnès qui était une femme énergique un peu plus jeune qu'elle. Lors de leurs discussions, Agnès n'avait pas caché à Sylvie qu'elle était adepte des méthodes traditionnelles pour éduquer ou rééduquer les dames jeunes ou moins jeunes. Elle avait si bien sympathisé que Sylvie afin de meubler sa vie avait invité Agnès à passer une semaine de vacances dans sa grande maison du sud de la France.

Ça lui changerait les idées pensait elle. Cependant ce lundi matin en allant chercher Agnès à la gare, une petite inquiétude gagnait Sylvie. Comment Agnès allait prendre sa nonchalance qui pouvait même être de la paresse de temps en temps. Bon la maison était à peu près en ordre puisque la femme de ménage était passée hier. Son bureau était dans un désordre indescriptible et sa chambre pas rangée mais c'était un détail.

À l'exception de l'âge, elles n'avaient rien échangé sur l'apparence, la taille ou tout autre choses sur leur apparence physique lors de leurs conversations. Pas de photos envoyées non plus. Néanmoins, Sylvie reconnut immédiatement Agnès sur le quai. Cette grande dame fortement bâtie dans son tailleur-pantalon gris foncé très élégant et extrêmement moulant devait être Agnès. Lorsque ses yeux gris-bleu tombèrent sur Sylvie, elle sembla la reconnaître elle aussi, car elle lui adressa un sourire complice mais prudent. Elles allèrent à la rencontre l'une de l'autre  Alors qu'elle s'approchait, Agnès regarda attentivement son hôte. Lorsqu'ils se serrèrent la main à la germanique, Agnès dit sérieusement.

- tu t'es vraiment laissé aller, ma chérie !

C'est exactement ce que Sylvie pensait en voyant l'apparence élégante d'Agnès. Elle se sentait complètement négligée avec ses vêtements décontractés. Elle rougit en regardant Agnès, ce n'était que le premier rougissement, de nombreux allaient suivre, elle a baissé les yeux.

- tu as raison, Agnès.

murmura-t-elle, embarrassée.

Agnès n'avait pas l'intention de la laisser s'en tirer comme ça. Une main apparut dans le champ de vision de Sylvie et un index se replia sous son menton, la forçant à lever la tête et à regarder droit dans les yeux perçants d'Agnès.

Le simple fait qu'elle doive regarder Agnès, qui mesurait plus d'une demi-tête qu'elle, la faisait se sentir minuscule. De plus, le doigt sous son menton l'avait instantanément transformée en une jeune écolière réprimandée. Un sentiment qu'elle n'avait pas ressenti depuis des décennies.

D'un ton un peu sévère mais toujours souriant, Agnès ajouta.

- il va falloir travailler là-dessus, n'est-ce pas, chère Sylvie ?

Le rougissement augmenta jusqu'à devenir vraiment visible sur les joues de Sylvie, dont le regard était capté par les yeux gris-bleu. Elle murmura à nouveau,

- tu as raison, Agnès !

Le front d'Agnès se plissa légèrement lorsqu'elle demanda.

- qu'as-tu dit, Sylvie ?

Celle ci, ainsi réprimandée dut s'éclaircir la gorge. Puis elle dit plus fort.

- oui, Agnès, nous allons devoir travailler là-dessus, je suis désolée !

D'une certaine façon, cela lui rappelait  son enfance, lorsque vous répondiez, vous deviez toujours inclure une partie de la question pour montrer que vous compreniez qui détenait l'autorité. C'est du moins ce qu'on lui avait appris quand elle était petite.

D'un seul coup lui sont revenues des images de son enfance. Sa mère n'était pas sévère, elle était même plutôt laxiste, ce qui pouvait expliquer le caractère de Sylvie, par contre sa grand-mère était une dame très stricte d'une génération où les enfants devait être bien élevé et elle pouvait utiliser pour se faire obéir des techniques anciennes mais aux qualités éprouvées. Lors des vacances chez sa mamie, Sylvie avait goûté de nombreuses fois à l'humiliation de la fessée déculottée et ceci jusqu'à son adolescence. Elle pensait que sa mère y avait goûté également, certainement jusqu'à son mariage, le martinet suspendu dans la cuisine bien en vue ne laissait pas de place au doute.

En découvrant Agnès, Sylvie avait revu immédiatement le visage de sa grand-mère qui pouvait être douce et sévère à la fois. Ces sentiments bouillonnaient dans sa tête tandis qu'elle accompagnait son amie à sa voiture.

Malgré son pantalon mal repassé, Agnès en la suivant eu le regard attiré par les fesses de Sylvie, elle était sportive et malgré ses 70 ans on sentait qu'elle s'entretenait physiquement, bien que plus petite qu'Agnès elle avait une magnifique paire de fesses. Le balancement de ce derrière attira un léger sourire sur les lèvres de la maîtresse femme.

Elles arrivèrent rapidement chez Sylvie qui habitait à la campagne, une grande maison avec un jardin clôturé et une piscine. Paola la jeune voisine de Sylvie prenait son courrier dans sa boîte aux lettres, elle leur fit un signe amical. Agnès s'enquit.

- qui est cette jeune femme ?

- oh, c'est Paola ma voisine, son jardin est mitoyen du mien, elle s'occupe bien de moi quand je m'ennuie.

- elle à l'air très énergique. Quel âge à t elle ?

- oh pour ça c'est sûr, chez elle ça marche droit. Elle a 35 ans.

Sylvie gara la voiture et fit entrer Agnès. Elle était inquiète, comme une gamine devant passer un examen. Le regard d'Agnès fit rapidement le tour de la maison.

- tu as une belle maison, tu me fais visiter.

Sylvie rougit légèrement, elle pensa au désordre de son bureau et à sa chambre. Elle regarda Agnès, avec son air strict et sa tenue impeccable elle n'apprécierait certainement pas ça. Mais après tout elle n'était pas obligée de lui montrer toutes les pièces.

Agnès était très impressionnée par ce qu'elle voyait. La vue à travers la grande baie vitrée sur la véranda ombragée et le jardin aux allures de parc très bien entretenu était magnifique. Sylvie s'est abstenue de mentionner que le jardin n'était pas son domaine d'activité, mais celui d'une entreprise d'entretien de jardin. Elle ne lui a pas dit non plus que l'ordre et la propreté qui régnait dans les chambres résultait du travail de la femme de ménage. Elle était satisfaite des éloges de sa nouvelle amie, mais une certaine culpabilité l'envahissait.

Sylvie essaya d'éviter la porte de son bureau, mais elle semblait bien trop inquiète pour ne pas laisser voir à Agnès qu'elle essayait de lui cacher cette pièce.

- qui a-t-il derrière cette porte ?

demanda-t-elle, intéressée et même un peu suspicieuse.

- Oh ! Oh ! Juste… juste mon bureau. Peu importe. Allez, je vais te montrer la chambre d'amis, Agnès !"

Agnès lui fit un clin d'œil et lui demanda

- comment ça ? As tu quelque chose à me cacher, Sylvie ?

Elle saisit la poignée et ouvrit la porte du bureau.

- oh! S'il te plaît…

Encore une fois, Sylvie rougit jusqu'à la racine des cheveux. Mais Agnès était déjà entrée.

- c'est quoi ce bazar ici ?

gronda-t-elle.

- tu m'as parlé de ta grand-mère stricte. Que t'aurait-elle fait si elle avait vu une chose pareille, ma chérie ?

C'était une question purement rhétorique car d'après le ton il était clair qu'elle avait déjà une assez bonne idée de la réaction de la grand-mère de Sylvie.

Et Sylvie le savait aussi. Ses fesses se serrèrent immédiatement d'appréhension.

- Ma grand-mère m'aurait peut-être couchée sur ses genoux, Agnès. Oh s'il te plaît. Ne pouvons-nous pas quitter le bureau ?

Agnès ignorant la deuxième phrase lui a demandé avec ironie.

- ta grand-mère aurait fait ça, Sylvie ? Peut-être ? ou certainement, ma chérie ?

Sylvie était de plus en plus rouge, elle baissa les yeux.

- euh… c’est à dire… elle balbutiait comme une élève prise en faute.

 Mais comme à la gare, Agnès la força à la regarder en lui relevant le menton avec son index.

- ma chérie, il va falloir que tu t’habitues à me regarder quand tu me parles, c’est très malpoli, ta grand mère ne te l’as pas appris ?

C’était la deuxième fois qu’Agnès faisait allusion à l’éducation stricte de sa grand mère. Sylvie instinctivement serra à nouveau ses fesses sous sa petite culotte, un léger picotement parcouru son derrière. Sa grand mère lui parlait toujours très calmement avant de la fesser, c’était un retour en arrière très inattendu. Agnès la fixait avec son regard gris bleu qui l’avait tant impressionnée à la gare.

- alors ma chérie, à ton avis ta grand mère t’aurais administré une fessée n’est ce pas ?

- oh oui sans aucun doute !

La phrase était sortie de la bouche de Sylvie sans qu’elle s’en rende compte. Un sourire se dessina sur les lèvres d’Agnès, nous étions sur la bonne voie.

- à quand remonte ta dernière fessée ma chérie ?

Agnès avait dit ça d’un air très naturel, comme si elle lui demandait si elle avait bien dormi. C’était assez curieux de voir cette dame de 70 ans interrogée comme une gamine sur un châtiment enfantin. Sylvie bredouilla.

- oh, je devais avoir 14 ans.

Elle avait répondu sans hésiter, elle était complètement subjuguée par Agnès. Celle-ci toujours souriante ne la quittait pas des yeux.

- et bien ma chérie, nous devons nous dépêcher si nous voulons rattraper le temps perdu.

Elle prit une chaise et la disposa  au milieu de la pièce, elle s'y assis et fit un petit signe à Sylvie avec son doigt replié pour lui signifier de s'approcher. Comme hypnotisé la dame de 70 ans se plaça devant Agnès.

- peux-tu me dire pourquoi tu vas recevoir la fessée ?

Elle avait prononcé cette phrase comme une évidence, comme si il était normal qu'une dame de cet âge puisse recevoir ce châtiment habituellement réservé aux gamines désobéissantes. Les joues de Sylvie étaient aussi rouges que ses fesses après une bonne fessée. Elle articula difficilement.

- parce que…. mon bureau…. n'est pas rangé.

- parfait.

Agnès déboutonna tranquillement le pantalon de toile et le fit glisser jusqu'aux chevilles. Sylvie portait une sage petite culotte en coton blanche, ce qui fit sourire Agnès. Une vraie culotte de petite fille. Elle prit la main de son amie et la força à se coucher en travers de ses cuisses. La culotte moulait parfaitement les fesses tendues par la position. Sylvie avait retrouvé les reflexes de son enfance, elle avait posé ses mains par terre, ses pieds touchaient à peine le sol. Agnès tapota le derrière si bien présenté.

- tu es prête ma chérie ?

Elle n'attendit pas la réponse, sa main glissa sous la ceinture de la culotte pour la baisser. Sylvie poussa un cri.

- oh noon Agnès s'il te plait.

Avec sa main droite, elle essaya de retenir sa culotte. Mais Agnès la frappa brutalement sur les doigts.

- Aie !

s'écria Sylvie. Pas tellement parce que ça faisait mal, mais parce que c'était une surprise. Elle remit rapidement sa main sur le sol. Comment avait-t-elle pu oublier que quand que elle était punie, ses mains devaient rester loin de ses fesses. De plus, essayer d'empêcher la descente de la culotte aurait été considéré comme une rébellion par grand-mère et aurait entraîné une sanction plus sévère.

- Je suis désolée, Agnès ! Je ne le ferai plus !

- C'est une bonne résolution, mon enfant. la félicita Agnès.

Les fesses doivent être nue pour la fessée. C'était différent avec ta grand-mère ?

« Non, non ! Grand-mère avait aussi l'habitude de me déculotter ! Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça. S'il te plaît, pardonne-moi, Agnès !

Les premières larmes coulèrent, mais les mains de Sylvie étaient maintenant collées au sol de sorte qu'elle ne pouvait même pas les essuyer.

- je le pensais bien.

Agnès souriait mais Sylvie ne le voyait  pas bien sûr. Puis elle lui a demandé gentiment.

-  Maintenant, puis-je s'il te plait baisser ta culotte librement, ma chérie  ?

- Oui, oui ! Bien sûr ! Excuse moi Agnès. S'il te plaît, s'il te plaît !

Agnès s'est tout de suite mise au travail et elle a baissé la culotte jusqu'aux genoux de Sylvie.

- Bien sûr que je te pardonne, Sylvie. Mais la punition devra être un peu plus sévère maintenant, n'est-ce pas ?

Elle laissa sa main caresser les larges courbes des fesses.

- Oui, plus sévère ! Oui, je comprends ça, pardon Agnès !

Agnès  soupira.

- 56 ans sans fessée  ! Quelle négligence !

De la main gauche, elle remonta encore le chemisier sur les reins de Sylvie. Puis elle leva la main droite et dit calmement.

- Eh bien, commençons alors.

- oh s'il te plait Ag... Ouch !

La main venait de frapper de plein fouet la fesse droite et la faire se balancer puis, sans hésitation, Agnès fit subir le même traitement à la fesse gauche.

Sylvie se mordit la lèvre. Elle ne voulait pas crier. Après tout, elle était une femme adulte de 70 ans. C'était déjà vraiment humiliant d'être allongée sur les genoux d'Agnès comme une petite fille. Elle ne voulait pas non plus se comporter comme une gamine.

Malheureusement, elle dû abandonner ce plan rapidement lorsque les claques se succédèrent sur ses fesses. Agnès administrait la fessée à un rythme tranquille mais très régulier et avec chaque fois la même force. Il était  toujours très important pour elle de produire une rougeur uniforme sur toute la surface du derrière qui lui était présenté.

"Aïe... aïe… s'il vous plaît… aïe… Agnès… aïe… aïe…

Les cris de Sylvie résonnait dans le bureau. Accompagné du bruit des claques sur la peau nue.

Contrairement â son souhait de se comporter courageusement, Sylvie se mit à se tortiller comme une folle. Ses fesses voulaient échapper aux claques. Bien sûr sans succès.

- Regarde comme ton derrière est content de recevoir enfin la visite d'une main sévère, Sylvie !

Il était clair à entendre Agnès, qu'elle  prenait non seulement son travail au sérieux, mais qu'elle aimait aussi le faire. C'était toujours très important pour elle de bien faire les choses. Et la fessée ne faisait pas exception.

Sylvie n'était plus en mesure de répondre à ce moment-là. Elle sanglotait et criait sans cesse. Des larmes coulaient sur son visage. Et ses jambes avait commencé à se lever à chaque coup. Alors que cela dégénérait en véritables coups de pied, Agnès remarqua à haute voix par-dessus les cris.

- Oh regarde, tes jambes demandent de l'attention. Elles se sentent manifestement négligées.

Et à partir de ce moment-là, elle s'est donné beaucoup de mal pour que la partie des cuisses juste sous les fesses ait la même couleur et reluisent autant que la croupe.

Sylvie intensifia les coups de pied, ses jambes semblaient effectuer des mouvements de nage comme une grenouille. Les sanglots et les rugissements étaient maintenant entrecoupés de cris. Il n'était plus question de bravoure ni de maintien de la dignité.

La fessée cessa brusquement. La main punitive d’Agnès se posa sur les fesses brûlantes. Elle regarda son travail avec satisfaction. Un rouge profond et uniforme couvrait les fesses et les cuisses, juste en dessous de la taille et presque jusqu'à l'arrière du genou et de la hanche à la hanche.

Agnès regarda silencieusement les mouvements désordonnés de la croupe bien rouge se calmer ce qui ne se fit que très lentement. Lorsque les cris arrêtèrent et que les sanglots se furent un peu atténués, elle repris la parole.

- Sylvie, s'il te plaît, ne crois pas que je t'ai punie si sévèrement simplement parce que tu n'as pas bien rangé ton bureau. Non, ça n'aurait nécessité que quelques claques bien appliquées. Ce que j'ai puni, c'est ton manque de sincérité. Tu as voulu me cacher ton bureau, alors que j'avais dit que tu devais tout me montrer. Tu comprends ça ma chérie ?

Sylvie sanglotait doucement, ses fesses se serraient et se resserraient pour essayer d'atténuer la cuisson. Son pantalon avait quitté ses jambes sous les mouvements désordonnés, sa culotte entourait ses chevilles. Elle n'avait jamais reçu une correction pareille, sa grand-mère était sévère mais ses fessées n'avait jamais atteint une telle intensité, enfin peut être ne s'en souvenait elle pas. 56 ans sans présenter ses fesses nues à une main sévère, elle venait de faire dans sa tête le même calcul que Agnès.

La sévère maîtresse se délectait du spectacle que lui offrait sa nouvelle amie. Bien sûr son intransigeance naturelle l'avait conduit à administrer cette punition enfantine à Sylvie mais il ne faisait aucun doute qu'elle aimait donner la fessée et découvrir une nouvelle paire de fesses était toujours un plaisir pour elle. Sylvie était bien pourvue de ce côté là, elle faisait régulièrement du sport et son derrière était rebondi. Il était temps de passer à la suite. Elle fit relever Sylvie, celle-ci avait les joues aussi rouges que ses fesses, honteuse d'avoir reçu cette humiliante punition à son âge, elle regarda quand même Agnès. Celle-ci pensa, mes leçons commencent à être apprise, la fessée déculottée à du bon.

- ma chérie, je pense qu'un petit passage au coin va te permettre de réfléchir à ton attitude et ça va faire refroidir ton petit derrière.

Sylvie toute occupée par la cuisson de ses fesses ne protesta pas, Agnès l’avait prise par la main et la conduisit contre le mur. Elle lui remonta la culotte jusqu’à mi cuisse.

- tu mets tes mains sur la tête, tu sais qu’il ne faut pas frotter tes fesses. Si tu enlevais la brûlure je serais obligée de te remettre sur mes genoux. Ton nez bien contre le mur! Et tu vas réfléchir!

Agnès ramassa le pantalon par terre pour le plier et s’assit sur le fauteuil pour observer le spectacle que lui offrait son amie. C’était assez curieux de voir cette dame de 70 ans, exposer une paire de fesses écarlates, la position nez contre le mur l’obligeait à tendre sa croupe. Celle ci était uniformément rouge, la culotte blanche soulignait encore plus la couleur. C'était évident que la dame venait de recevoir une magistrale fessée déculottée. Ne pouvant pas frotter ses fesses, Sylvie se dandinait d'un pied sur l'autre, ce qui fit sourire Agnès. Décidément cette petite chipie était adorable.

- tu vas rester là, pendant ce temps je vais finir de visiter ta maison pour voir si tu ne m'a pas caché autre chose.

Sylvie pensa avec effroi à l'état de sa chambre. Si Agnès appliquait la même sanction que pour son bureau, elle ne pourrait sans doute pas s'asseoir. Elle voulut la retenir pour lui donner une explication mais Agnès avait déjà quitté la pièce. Un frisson d'effroi parcouru le derrière cuisant de Sylvie.

Agnès en traversant le salon vit Paola qui étendait du linge dans son jardin, elle lui fit un petit signe amical de la main. Elle songea à la surprise de la jeune femme si elle découvrait sa voisine exposant ses fesses nues et bien rouges dans un coin du bureau. Décidément ce séjour en France pourrait se révéler très agréable. Il faudrait bien qu'elle parle à cette jeune femme.

Elle se dirigea vers une porte que Sylvie ne lui avait pas ouverte. Elle poussa un cri en découvrant le désordre de la chambre, le lit n'était pas fait, des vêtements traînaient par terre, il y avait même une culotte sale au pied du lit. Les lèvres serrées par la colère elle revint vers le bureau, elle  se dirigea vers Sylvie qui n'avait pas bougé. Elle lui saisit l'oreille et la força à la suivre.

- aïe, aie, Agnès tu me fais mal s'il te plaît.

Une claque sur la fesse droite puis une autre sur la gauche la fit presser le pas.

- dépêche toi, je pense que dans un moment ce n'est pas à l'oreille que tu vas avoir mal mais à tes jolies fesses.

Sylvie se doutait bien qu'Agnès avait ouvert sa chambre et elle savait malheureusement ce qui l'attendait.

- tu n'as pas honte, à ton âge d'avoir une chambre dans cet état !! A je vais t'apprendre !!

Elle avait lâché l'oreille de Sylvie, posé son pied sur un tabouret et avec une facilité déconcertante, basculé son amie sur sa cuisse horizontale, elle était plus grande et plus forte que Sylvie, celle-ci poussa un cri mais ne pu résister, ses pieds avaient quitté le sol, elle était en équilibre, la tête en bas, elle agrippa le tabouret pour se stabiliser, Agnès la tenait fermement par la taille. Elle leva la main et commença à claquer rapidement les fesses tendues. C'était une fessée de maman en colère, Sylvie pédalait dans le vide. La douleur était intense car la cuisson de la fessée précédente n'était pas encore passée, elle pleurait et suppliait comme une gamine désobéissante. Elle ouvrait largement ses fesses sans aucun souci de pudeur, elle ne pensait pas que ce fût possible de recevoir deux punitions en moins dune demi-heure, Agnès venait de lui prouver le contraire. La fessée fut courte mais intense, quand elle la reposa par terre, Sylvie se mit à danser d'un pied sur l'autre ce qui malgré sa colère eu le don de faire rire Agnès.

- j’espère que tu vas comprendre mes leçons et te comporter en adulte, sinon je te traiterai comme une gamine et tu auras les fesses rouges. En attendant tu n’as pas fini ta pénitence, tu vas retourner au coin.

Elle saisit à nouveau l’oreille de Sylvie et la conduisit dans un coin du salon. Une claque énergique sur le derrière brûlant et Sylvie retrouva instantanément les réflexes d’une fillette punie, elle posa ses mains sur sa tête et mis son nez contre le mur. Comme précédemment, Agnès remonta la culotte jusqu’à mi cuisse, puis elle alla s’asseoir dans un fauteuil, Paola étendait toujours son linge dans le jardin. Agnès se rendit compte qu'une des fenêtres était ouverte, la jeune femme avait sans doute entendu le bruit caractéristique des claques sur les fesses nues de Sylvie. Un sourire apparu sur les lèvres de la sévère allemande.

"Cela pourrait même être utile ", pensa Agnès, et lentement les premiers soupçons d'une idée dans laquelle Paola jouerait un rôle majeur se cristallisèrent dans sa tête.

Agnès remarqua que Paola regardait régulièrement la fenêtre ouverte.  Oui, elle avait manifestement entendu quelque chose.

Pourquoi ne pas tenter sa chance en y allant au culot, se demanda Agnès en se levant et en se dirigeant vers la fenêtre ouverte.

 Une fois là, la voisine la regarda et Agnès  lui fit signe de se rapprocher d'elle.  Paola se précipita vers la haie.  La distance à la fenêtre était suffisamment petite pour pouvoir parler par-dessus la haie.

- J'espère que ce n'était pas trop fort, Mme Paola !

Agnès engagea la conversation, son sourire montrait qu'elle savait que Paola ne s'était pas sentie dérangée, bien au contraire.

 - vous pouvez m'appeler Paola, Agnès! Paola semblait très directe.  Elle poursuivi.

- il était temps que Sylvie se familiarise à nouveau avec une main stricte !  

Elle souriait de contentement.

- à bon, elle vous a-t-elle parlé de sa grand-mère, Paola ?  

Comme c'était facile d'entamer une conversation avec Paola.  Agnès était ravie.

- Oui, elle l'a fait. Mais pas dans les moindres détails. Mais j'ai toujours soupçonné qu'il y avait des châtiments corporels là-dedans, Agnès !

Cette fois, Paola a même osé sourire.

Agnès hocha la tête en guise de confirmation.

- Mais ne continuons pas à parler par-dessus la haie ici. Venez juste ici. Je vais nous faire du thé !"

-Oui, bien sûr ! Mais je dois d'abord raccrocher le reste du linge.

- D'accord. Je vais à la cuisine. Je te retrouve ici sur la terrasse Paola !"

 Elles se retournèrent toutes les deux et Agnès quitta la fenêtre. Pendant la conversation elle avait entendu Sylvie gémir.  Et maintenant, la septuagénaire suppliait.

- S'il vous plaît, s'il vous plaît...Paola ne devrait pas venir, ou au moins autorisez moi à m'habiller correctement à nouveau.

 Mais ce n'était pas ce qu'Agnès avait décidé.  Et après qu'Agnès eut infusé le thé et porté la théière et deux tasses sur un plateau vers la porte-fenêtre elle reprit l'oreille de Sylvie en passant et l'emmena avec elle sur la terrasse.  En route, Sylvie gémissait de nouveau.  Mais cela ne l'a pas empêchée d'être placée devant le mur couvert de vigne.  Avec le visage contre les feuilles bien sûr.  Après qu'Agnès eut posé le plateau  sur la table de jardin, elle remonta la culotte de Sylvie jusqu'au creux des genoux.

 Deux fortes claques sur les fesses brûlantes de Sylvie et la demande de ne parler que lorsqu'on le lui demandait dorénavant firent disparaître les supplications et les gémissements de Sylvie.  Au lieu de cela, elle a recommencé à sangloter.  Agnès passa ses mains sur les fesses rouges et endolories de Sylvie et se réjouit.



- Je ne sais même pas ce que tu as, ma chérie ! C'est vrai que c'est bien rouge. Paola va sûrement aimer ça aussi !

 Les sanglots augmentaient, mais Sylvie n'osait rien dire.  Et comme elle était face au mur, Agnès ne voyait pas non plus le visage rouge de honte.

Agnès mit la table, s'assit et attendit Paola, elle écoutait avec un plaisir non dissimulé  les sanglots de sa nouvelle amie et patiente.  Il faisait agréablement chaud au soleil, et la luminosité faisait bien ressortir le rouge des fesses de Sylvie.

Elle n'attendit pas longtemps, Paola connaissait la maison, elle avait ouvert le portillon et arriva rapidement sur la terrasse. Dès qu'elle vit Sylvie au coin exposant ses fesses écarlates, elle ne pu retenir un petit cri de surprise.

- et bien ! Agnès vous avez fait du bon travail. Je me doutais bien en entendant les claques et les gémissements que Sylvie recevait une bonne fessée déculottée, mais je ne m'attendais pas à un résultat pareil. Je vous félicite.

Agnès souriait, elle ne pensait pas que ce serait aussi facile de faire participer Paola â l'éducation de Sylvie. Finalement celle-ci trouvait naturel qu'une dame de 70 ans reçoive encore la fessée déculottée comme une gamine et qu'elle expose ses fesses nues pendant que ses deux amies prenaient le thé.

- merci pour vos compliments, mais je pense que Sylvie en avait vraiment besoin. N'est ce pas ma chérie ?

Elle s'était adressée à Sylvie, celle-ci était au comble de la confusion. En quelques heures, elle avait changé de statut. Elle n'était plus une médecin en retraite mais une gamine désobéissante punie par sa sévère maman et qui n'hésitait pas à la punir en public. Cette situation la ramenait plus de 50 ans en arrière mais en réfléchissant bien, sa conduite immature nécessitait certainement un tel traitement.

Agnès n'attendait pas de réponse à sa question, elle invita Paola à s'asseoir et elle engagea la conversation sur les bienfaits des châtiments corporels et particulièrement de la fessée déculottée. Paola était fascinée par les fesses rouges de Sylvie.

- je suis entièrement d'accord avec vous, une bonne fessée cul nu, remet souvent les idées en place mais je ne pensais pas que ça pouvait s'appliquer à un adulte.

- détrompez vous ma chère Paola, il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée. Je pense que c'est même beaucoup plus efficace sur une personne d'un certain âge. La honte de devoir montrer ses fesses nues augmente l'efficacité de la punition.

- c'est vrai que le comportement de Sylvie m'a souvent agacé et que ma main me démangeait de la voir se comporter comme une gamine.

Paola pensait en souriant à sa propre mère, elle mériterait bien elle aussi un passage sur ses genoux la culotte baissée. Elle allait y penser sérieusement.

En entendant ses deux amies discuter de son cas sans se soucier d'elle ni de son âge, Sylvie émit une petite protestation.

Agnès fronça les sourcils et se leva. Elle  saisit l'oreille de Sylvie pour l'amener au milieu de la terrasse. Puis elle la courba sous son bras pour que ses fesses soient bien présentées. Elle leva la main et administra une rapide mais très forte fessée à son amie redevenue une gamine.

- je t'ai dit tout à l'heure que quand on est au coin on ne parle pas ! Je vais t'apprendre à obéir.

- aie aie aie , pardon Agnès, ça fait mal, promis je vais être sage.

Paola regardait la punition de sa voisine en souriant, les fesses bien rouges de Sylvie étaient à moins d'un mètre d'elle, elles se serraient puis s'ouvraient largement sous la douleur des claques. Elle trépignait sur place bien maintenue par Agnès qui, c'était évident, était une experte en fessée.

Elle était satisfaite que Sylvie lui ait donné l'occasion de la punir devant Paola. Elle la relâcha, elle pleurait maintenant comme une gamine, autant de honte d'avoir reçu sa première fessée déculottée en public que de la douleur ressentie par son derrière.

Désormais son âge ne serait plus une protection. Elle fut reconduite au coin avec une magistrale claque sur chaque fesse pour lui faire comprendre qu'il fallait reprendre la position main sur la tête et nez contre le mur. Agnès frotta sa main.

- décidément, Sylvie a vraiment  besoin de fessée sévère pour comprendre . Je pense qu'il va falloir que j'utilise autre chose que ma main.

- vous êtes là pour longtemps ?

- non juste une semaine et ça ne sera pas suffisant pour reprendre l'éducation de Sylvie. Peut-être pourriez-vous m'aider.

Paola était fascinée par la sévérité d’Agnès, elle avait traité Sylvie qui avait 70 ans comme elle même le faisait avec ses nièces qui en avait 16 et 18. Une deuxième fessée en cas de désobéissance et celle ci n’avait pas protesté. Finalement elle avait raison l’âge n’avait pas d’importance, si la dame méritait la fessée, il fallait lui donner immédiatement. Elle songeait aux larges fesses de sa mère qui mériteraient bien de rougir elles aussi. Maintenant Sylvie sanglotait doucement mais elle ne disait plus rien, chacune de ses fesses était comme un belle tomate bien mûre.

Agnès lui tendit sa tasse de thé en souriant.

Paola le sirota et sourit. Posant la tasse sur la table et se retournant vers cette dame mûre en pleurs qui était forcée de fixer le mur, elle dit.

- la rougeur de ces fesses est impeccable… Tu as beaucoup d'expérience en matière de fessée. N'est-ce pas Agnès ?

- tout à fait Paola ! J'ai commencé très jeune à aider mes amies et mes connaissances avec la fessée. Et chacune d'entre elles s'est retrouvé un jour ou l'autre sur mes genoux. Ça a aidé beaucoup de monde, et elles l'ont toutes reconnues.

Agnès étudiait le visage de Paola pour voir si elle comprenait et approuvait. Paola souriait en acquiesçant, elle avoua même qu'elle était un peu jalouse d'Agnès.

Elle se leva, alla vers Sylvie et lui caressa les fesses.  

- comme elles sont mignonnes et bien chaudes!

dit-elle avec enthousiasme.

- Et notre chère Sylvie a sûrement déjà appris quelque chose, n'est-ce pas ?

Sylvie n'osait pas se tourner vers Paola. Non seulement parce qu'elle savait qu'elle devait faire face au mur jusqu'à ce qu'Agnès l'en libère, mais aussi parce qu'elle ne voulait pas que Paola voie la rougeur intense sur son visage, mais elle savait qu'elle devait répondre. Elle sanglota.

- Oh… oui ! Oui, Paola. Oui, j'ai… j'ai appris que je ne devais jamais rien cacher à Madame Agnès, même si cela doit entraîner une sévère punition !

Paola se rassit. Et la conversation continua sur l'éducation stricte des femmes plus âgées. Agnès expliqua que les femmes qui ont grandi avec une éducation stricte en avaient également besoin plus tard dans la vie. C'était particulièrement vrai pour des femmes comme Sylvie, qui vivait seule et sont à la retraite. Elles perdaient leur structure quotidienne et cela les amenait rapidement à se laisser aller.

- c'est le cas de Sylvie, je l'ai deviné dès le début quand j'ai commencé à discuter avec elle.

- dans son cas, c'était sa grand-mère qui était sévère, autant que je sache!

dit Paola.

- Je le pense aussi ! Le mieux serait que Sylvie s'assoie tout de suite sur ses fesses bien chaudes et écrive exactement comment et pour quoi sa grand-mère l'a punissait. J'aimerais m'en servir comme guide dans mes propres actions. Et aussi pour toi, Paola, cela te servirait à l'avenir.

Un sanglot particulièrement profond et bruyant se fit entendre, Sylvie commençait à soupçonner cela allait la mener. Paola jouerait un rôle plus important dans sa vie, un rôle pédagogique. Elle s'en rendait compte, comme elle savait qu'elle n'aurait pas à donner son avis sur ce sujet. Agnès déciderait au cas où Paola accepterait d'assumer ce rôle. Et Sylvie ne se faisait aucune illusion. Paola serait plus qu'heureuse d'assumer cette nouvelle fonction.

- Sylvie, ma chérie ! Voudrais-tu aller dans ton bureau et le ranger correctement. Et puis tu t'assieds à ton bureau et tu écris comment et pourquoi ta grand-mère te punissait. J'aimerais savoir ce qui se passait lorsque tu omettais des choses importantes !

Sylvie se tourna vers les deux dames qui sirotaient leur thé, mais n'osa pas encore retirer ses mains de sa tête. Son visage était mouillé de larmes.

- Oui, Madame Agnès.

sanglota-t-elle.

- cesse cette bêtise de dire madame. Je suis toujours Agnès, ton amie. Oh, et puis s'il te plaît, enlève ta culotte. Tu n'en auras plus besoin aujourd'hui !

-Oh, s'il te plaît… Ma… désolé Agnès!

gémit Sylvie mais elle obéit aussitôt et enleva sa culotte. Ce n'est qu'alors qu'elle essuya les larmes de ses yeux avec le dos de sa main.

- et bien, qu'est-ce que tu attends ?

Agnès lui claqua les fesses.

Et Sylvie haleta sous le choc et se précipita hors de la pièce, sa culotte à la main et les yeux des deux dames sur  ses fesses rouges et gonflées, jusqu'à ce qu'elle referme la porte derrière elle.

Sylvie entra dans son bureau sa culotte à la main, ses fesses étaient douloureuses mais elle n'osait pas les frotter, elle était redevenue une gamine obéissante, elle avait l'impression d'avoir les yeux d'Agnès et de Paola posé sur ses fesses. Elle déposa sa culotte sur un coin du bureau, ce sous vêtement posé la, bien en évidence lui rappelait qu'elle était punie. Elle commença à trier ses papiers, c'était assez long, elle fit des tas. Elle s'aperçut qu'elle n'avait pas payé quelques factures, il faudrait le faire rapidement mais sans qu'Agnès s'en rendent compte sinon ses fesses rougiraient certainement. Le bureau enfin libéré, elle posa délicatement ses fesses douloureuses sur le fauteuil. Elle prit une feuille et commença sa confession.



" ma grand-mère était une institutrice en retraite, elle était d'une génération où on hésitait pas à administrer des fessées cul nu devant toute la classe aux gamines désobéissante ou étourdie. Je pense que ma mère n'y avait pas échappé, d'ailleurs dans la cuisine bien en évidence était suspendu un martinet, cet instrument de punition typiquement français et que l'on trouvait dans toutes les familles. Celui de ma grand-mère avait un manche vernis assez court et une dizaine de lanières en cuir, usées par les années d'utilisation sur les derrières de ses enfants. Le martinet était réservé aux punitions sévères quand il était utilisé sur les fesses dénudées, ma grand-mère nous retroussait la robe après nous avoir fait penché sur la table puis elle nous baissait la culotte jusqu'aux genoux, nous avions droit en général à une vingtaine de coups, elle n'était pas trop sévère mais ça brûlait beaucoup, j'ai reçu ma dernière fessée au martinet cul nu à 15 ans parce que je lui avais mal parlé, j'étais une adolescente rebelle et ma mère me laissait faire. Ce jour là j'ai eu droit à une vraie punition et j'ai été envoyée au lit sans manger avec des fesses très rouges et très douloureuses. Elle utilisait également le martinet pour les petites bêtises mais c'était juste quelques cinglades sur les cuisses ou les mollets. Mais là punition habituelle c'était la fessée culotte baissée couchée sur ses genoux. J'ai été souvent punie par ma grand-mère car elle ne supportait pas les chambres mal rangée ou les désobéissances. Elle était également très stricte sur la toilette, il fallait qu'on se lave bien, les fesses et les parties intimes, elle vérifiait nos culottes et gare à nous si nous avions une culotte sale. C'était lavage des fesses à l'eau froide…. Et une bonne fessée. "

Sylvie posa son stylo, écrire tous ces souvenirs lui faisait des petits picotements dans le ventre, en plus elle était également sans culotte et les fesses rouges. Il lui revint soudain un souvenir très gênant à raconter, elle hésitait. Mais Agnès l'avait prévenu, il lui fallait tout raconter sans rien oublier. Elle reprit son stylo, elle se tortillait sur sa chaise, les fessées d'Agnès avaient été vraiment sévère.

"ma dernière fessée sur les genoux de ma grand-mère je m'en rappelle bien car c'était très humiliant. J'avais 14 ans. Je ne voulais pas l'aider à faire le jardin et j'ai fait semblant d'être malade, ma grand-mère avait un doute. Elle est arrivée dans ma chambre avec un thermomètre rectal, c'était encore très utilisé à cette époque en France. Elle m'a fait sortir du lit et c'est assise sur le bord, puis à ma grande surprise elle m'a couchée sur ses genoux, j'ai crié mais je n'osais pas refuser. Ma mère me laissait prendre ma température toute seule. Elle a baissé ma culotte de pyjama, m'a écarté les fesses et m'a mis le thermomètre. Elle m'a dit si tu as de la fièvre tu es en bonne position pour que je te mette un suppositoire et si tu m'as menti tu es en bonne position pour recevoir une bonne fessée. C'était la honte de ma vie, je pleurais sous l'humiliation mais j'ai pleuré encore plus quand elle a retiré le thermomètre car je n'avais pas de fièvre, j'ai reçu ce jour la une fessée mémorable et je n'ai plus jamais recommencé. "

Sylvie avait les joues rouges d'avoir raconté cette dernière fessée. Elle rajouta un petit mot.

" ma grand-mère n'était pas un bourreau, elle nous aimait beaucoup, nous faisait plein de gâteau et des câlins mais elle était très stricte sur l'éducation. "

Elle venait de finir cette phrase quand Agnès accompagnée de Paola rentra dans le bureau. Elle ne put retenir un sourire en voyant le bureau libéré de toute sa paperasse et la petite culotte blanche posée à côté de Sylvie.

- tu as vu, notre chère Sylvie peut être très gentille, Paola. N'est-ce pas ?

Agnès riait joyeusement. Et Paola a ri aussi quand elle a ajouté

- Oui, surtout quand son derrière  est rouge et douloureux je pense ! Ai-je raison, ma chère Sylvie ?

Se faire interpeller ainsi par Paola fit enfin comprendre à Sylvie que grâce à Agnès, leur relation allait fondamentalement changer. Et il lui vint aussi à l'esprit qu'il fallait toujours répondre aux figures d'autorité par des phrases complètes, dans lesquelles le sujet de la question devait être mentionné.

- Oui, tu as tout à fait raison, Paola. Un derrière rouge et douloureux m'aide beaucoup dans ce genre de choses.

Elle réussit même à regarder dans les yeux de Paola sans rougir.

- tu vois, Paola. Notre petite Sylvie peut être très gentille et respectueuse !

Agnès avait l'air contente et cela rendit Sylvie heureuse en retour.

Oui, elle était redevenue la petite Sylvie, dont les fesses nues étaient claquées quand c'était nécessaire. Il n'y avait rien de mal à cela. C'est ainsi que sa grand-mère le faisait et c'est ainsi que cela se ferait périodiquement avec elle à partir de maintenant. C'était simplement pour son propre bien, elle le sentait au plus profond de son cœur.

Agnès se plaça derrière Sylvie afin qu'elle puisse voir le morceau de papier que Sylvie venait d'écrire au-dessus d'elle et posa une main sur son épaule.

Paola se tenait à côté d'elle et posa sa main sur son autre épaule.

Agnès se mit à lire à haute voix ce que Sylvie avait écrit.

Elle l'a lu d'une traite, sans interruption et sans commentaire.

Maintenant qu'elle entendait ses propres phrases venant d'Agnès, Sylvie ne put s'empêcher de rougir à nouveau.

Il y eut ensuite un bref silence puis Agnès força Sylvie à se lever et à  lui faire face. Sylvie savait qu'elle n'avait plus le droit de détacher ses yeux du visage d'Agnès, peu importe à quel point c'était difficile pour elle.

- As-tu honte, ma chérie ? demanda Agnès avec un sourire.

- je… je suis… désolé, Agnès. Non… oh oui… Mais je n'ai pas à avoir honte, n'est-ce pas ? Tout ce que j'ai écris est exact Agnès !

Les larmes lui montèrent à nouveau aux yeux. Et le rougissement augmenta lorsqu'elle sentit la main de Paola caresser ses fesses nues encore sensibles.

- c'est bien, Sylvie. Mais pourquoi ne m'as-tu pas parlé du martinet plus tôt, ma chérie ? Pensais-tu que c'était sans importance comme tu le pensais avec ton bureau et ta chambre en désordre ?

Agnès dut mettre un doigt sous le menton de Sylvie parce qu'elle regardait vers le bas.

- Oh, s'il te plaît, Agnès ! Je n'y avais vraiment pas pensé. Mais tu as raison. C'est important. Oh, et maintenant je peux penser à autre chose d'important !

Elle se mit à sangloter et tomba dans les bras d'Agnès, qui se laissa faire et serra même fort Sylvie dans ses bras.

- et bien, quelle chose importante ma petite Sylvie va m'avouer maintenant ! Voyons ça ?

Agnès semblait très maternelle maintenant. Il n'y avait actuellement aucune sévérité dans sa voix. Mais par-dessus l'épaule de Sylvie, elle fit un clin d'œil à Paola, qui ne cessait de caresser les fesses merveilleusement chaudes.

- le martinet ! Je l'ai gardé, ma grand-mère me l'a transmis personnellement. Elle m'a dit que je devrais l'avoir parce que c'est sur mes fesses qu'il avait été utilisé plus souvent que sur n'importe qui d'autre !

Ses paroles étaient difficiles à comprendre à cause des sanglots.

Très doucement, Agnès s'écarta de Sylvie et posa ses mains sur ses épaules à une petite distance.

- mais, c'est merveilleux, Sylvie. Alors donne-nous vite le martinet. Je pense qu'on en a besoin de toute urgence maintenant. Tu ne crois pas ?

Elle relâcha Sylvie redevenue une gamine sanglotante et poursuivit.

- On se retrouve dans le salon dans cinq minutes. Paola, moi, toi et le martinet ! En attendant, tu devrais te laver le visage !

Sylvie se dirigea vers la porte du bureau exposant ses fesses écarlates aux deux dames qui souriait. Il ne lui était pas venu à l'idée de protester, elle était redevenue une gamine punie qui obéissait sans discuter. Le martinet traditionnel de sa grand-mère était rangé dans le placard de sa chambre, elle l'avait gardé comme une relique. De temps en temps elle le sortait et en caressait les lanières. Mais cette fois-ci elle allait le sortir pour le confier à Agnès et il ne faisait aucun doute que c'est de ces petites fesses comme avait dit Paola en les caressant que les lanières allait s'occuper. L'appréhension lui fit serrer les fesses, elle tenait le martinet à la main, elle nettoya son visage dans la salle de bain. Par curiosité elle regarda ses fesses dans la glace, son petit derrière comme disait Agnès était encore bien rouge. Nul doute que dans quelques minutes il aurait repris des couleurs encore plus éclatantes.

Quand elle arriva dans le salon, Paola et Agnès papotait comme deux vieilles amies.

- ah, voilà donc ce fameux martinet, donne moi le que je l'examine de plus près.

Agnès caressait les lanières en songeant à toutes les fesses qu'elles avaient corrigé. Paola intervint.

- j'en ai un à la maison que j'utilise sur les fesses de mes nièces quand je les garde. Vous savez Agnès cet instrument n'a pas disparu malgré les discours sur l'interdiction de la fessée, ça reste très pratique quand on a des adolescentes un peu rebelle, une petite fessée cul nu au martinet et ces demoiselles redeviennent mignonnes.

Sylvie regardait maintenant sa jeune voisine avec un autre œil, son caractère énergique et autoritaire l'avait toujours impressionnée et c'est vrai que quand elle gardait ses deux grandes nièces elle avait entendu de temps en temps le bruit caractéristique de la fessée administrée sur les fesses nues mais elle n'y avait pas porté une grande attention. Maintenant qu'elle était fesses à l'air devant elle, son sourire ironique était un peu inquiétant.

- bien, ma petite Sylvie. Nous n'en avons pas fini avec ta punition, avant l'arrivée de Paola tu as reçu une bonne fessée à la main pour ton mensonge et le désordre de ton bureau, je t'en ai donné une autre pour ta chambre mais c'était juste une petite fessée sous le coup de la colère. Tu conviendras que si ta grand mère avait vu ta chambre dans cet état tu n'aurais pas échappé à une fessée cul nu au martinet. En plus tu m'as encore menti en oubliant de me parler de ce joli martinet.

Sylvie protesta faiblement.

- oh non Agnès, c'est moi qui t'ai dit que je l'avais gardé.

- tss tss… cesse de mentir, tu aggrave ton cas. Si je ne t'avais pas demandé d'écrire cette confession tu ne m'en aurais jamais parlé.

Agnès était toujours souriante mais le ton de sa voix était autoritaire. Elle désigna la table.

- tu te rappelle la position que te faisait prendre ta grand mère pour te donner la fessée au martinet? Tu vas nous montrer.

- Oh ! Oh s'il te plait ! Dois-je le faire ? Sylvie regardait le Martinet avec effroi.

- oui, tu le dois !

dit Agnès avec sévérité et exigence. Puis elle ajouta

- et je veux entendre la vérité, Sylvie. Comprends tu cela ?

Les yeux de Sylvie s'humidifièrent, mais elle hocha la tête.

- oui, la vérité ! Bien sûr Agnès !

Elle regarda Agnès, puis Paola, et enfin le martinet. Puis elle s'assit et prit une profonde inspiration.

- je… j'avais l'habitude de m'inquiéter pour…

Elle commença à pleurer.

- voulez-vous… le faire comme ma grand-mère ? Je veux dire… avec le martinet. Oh s'il vous plaît…"

- dites-le nous et nous déciderons, Sylvie. Je pense que ce sera la meilleure solution!

dit Agnès d'un ton neutre, mais pas sévère.

Paola, qui commençait à avoir l'impression de faire partie de l'équipe éducative, ajouta.

- sois mignonne, Sylvie, ma chérie !

La jeune fille de 70 ans essaya de se calmer elle essuya les larmes de ses yeux avec le dos de ses mains. Elle regarda l'un des vieux gros fauteuils ronds.

- je devais toujours me tenir derrière un tel fauteuil et me pencher sur le dossier jusqu'à ce que mon front atteigne le coussin du siège. Ce n'était pas facile car le dossier était si haut et je devais toujours sauter un peu. Et puis mes pieds perdaient le contact avec le sol. Je me suis toujours senti si impuissante parce que mon pauvre derrière était alors tout en haut bien tendu et qu'il était si facile pour le martinet de le trouver. Mes fesses étaient toujours nues car je devais enlever tout ce qui aurait pu le recouvrir au préalable.

- oh, et bien tu vas nous montrer ça, Sylvie. Heureusement que tu as déjà les fesses nues. Tu n'as plus à t'embêter avec ça, n'est-ce pas ?

Agnès avait l'air d'être à l'heure du thé et qu'elle demandait à Sylvie de lui tendre le sucre.

Bien sûr, Sylvie ne pouvait résister à une invitation aussi amicale, même si les larmes recommencèrent à couler.

Elle se dirigea vers le fauteuil. Paola toujours aussi dynamique s'y est également précipitée. Et un accident a failli se produire, car Sylvie n'était plus aussi agile qu'à 14 ans. Elle a réussi à se pencher et à sauter sur le dossier mais si Paola ne l'avait pas attrapée prestement,  Sylvie serait simplement tombée et aurait frappé violemment le coussin avec son visage. Elle n'était tout simplement plus assez souple pour se retenir avec la main.

- Oups.

 rit Paola en attrapant les épaules de Sylvie, puis en l'abaissant lentement jusqu'à ce que son front soit au bon endroit.

Agnès, qui regardait, ne put s'empêcher de sourire. Sylvie était une petite chose si mignonne.

C'était comme Sylvie l'avait dit. Son derrière était juste au bon endroit maintenant. Il semblait se tendre vers le martinet avec insolence.

Agnès glissa les lanières de cuir dans sa main gauche dans un geste solennel.

- y a-t-il autre chose à dire sur les actions de ta grand-mère avec le martinet, Sylvie ?

- oui,

sanglota Sylvie, un peu étouffée par le rembourrage du siège qui était contre sa bouche.

- Grand-mère a toujours souhaité que je sois courageuse et que je n'interrompe pas ses coups de martinet. Mais je n'ai jamais réussi à le faire. Quand ça commençait vraiment à brûler après quelques coups de martinet, surtout quand les lanières concluaient l'arrière de mes cuisses, je mettais toujours mes mains sur mes fesses pour les protéger ou rouler sur le côté du dossier pour échapper à la brûlure.

- tu n'as jamais réussi, Sylvie ?

Agnès était vraiment surprise.

- oui, jamais !

Sylvie sanglotait toujours.

- ma grand-mère était toujours tellement déçue de moi. Je devais alors mettre mes mains derrière mon dos et elle attrapait les deux poignets avec sa main libre,

- et elle continuait la flagellation avec le Martinet, je suppose!

Agnès laissa frotter les lanières de cuir qui pendaient de la poignée contre les fesses relevées de Sylvie et les vit se tendre et la chair de poule les couvrir.

- n'aimeriez-vous pas essayer de le faire pour honorer votre grand-mère, Sylvie ? Agnès parlait doucement.

- ou voudrais-tu que Paola te tienne la main dès le début ?

Paola est intervenue.

- bien sûr que Sylvie aimerait le faire aujourd'hui. Elle sera plus courageuse aujourd'hui que jamais ! n'est-ce pas, ma petite Sylvie ?

Et Sylvie le voulait vraiment. Pour l'instant, il n'y avait rien qu'elle désirait de plus. Pour montrer à sa grand-mère pour une fois qu'elle pouvait endurer courageusement ce genre de punition, peu importe si sa grand-mère la regardait du ciel ou d'ailleurs.

- oui, je veux ça, Paola!

dit-elle fermement et solennellement, accrochant ses doigts au bord avant du rembourrage du siège, ne voulant pas le lâcher avant que le martinet ne se taise à nouveau. Le changement de posture lui fit pousser ses fesses rouges encore plus haut.

C'était vraiment une position très humiliante à 14 ans mais à 70 c'était presque insupportable. Sylvie se mit à gémir. Elle savait que ses deux amies devenues ses éducatrices regardait ses fesses tendues et prêtes pour la fessée.

- oh...s'il vous plaît Agnès, j'ai trop honte. Pardon...Je vais être sage.

Agnès souriait en voyant Sylvie retrouver ses accents de petite fille avant la punition par sa grand-mère. Bien sûr elle avait accepté sans rechigner de se remettre dans la position qu'exigeait sa grand-mère. Mais maintenant qu'elle savait que la punition était imminente ce n'était plus la même chose.

Agnès s'en rendit compte et repris son air sévère.

- il fallait réfléchir avant ma chérie, si tu ne m’avais pas menti, je ne serais pas obligée de te punir. Tu ne m’as pas parlé du martinet parce que tu savais que ta grand mère t’aurais certainement donné une bonne fessée cul nu et avec le martinet pour ne pas avoir rangé ta chambre. C’est bien ça n’est ce pas? Donc tu as menti sciemment ? Je ne peux pas laisser passer çà.

Elle tapota les fesses tendues et glissa même ses doigts dans le sillon fessier

- ton petit derrière est très bien présenté ma petite Sylvie. Tu devrais détendre tes fesses.

Sylvie se mit à pleurer au souvenir de la brûlure des lanières sur ses fesses.

- bien tu vas nous rappeler pourquoi tu vas recevoir une fessée cul nu au martinet.

Sylvie pleurait toujours, mais une vigoureuse claque sur ses fesses tendues lui fit comprendre qu'Agnès s'impatientait.

- cesse de pleurnicher !!

- oui, oui, pardon Agnès…. Je vais recevoir une fessée cul nu au martinet parce que je t’ai menti.

Agnès souriait toujours, Sylvie apprenait vite  elle avait repris une partie de la question dans la réponse et elle avait été obligée de prononcer la phrase honteuse, "je vais recevoir une fessée cul nu au martinet"

- c'est bien, puisque tu la réclame, je ne vais pas te faire attendre.



Elle leva le martinet et les lanières s'abattirent en travers du fessier rebondi. Sylvie poussa un cri et ses jambes se tendirent sous la brûlure, Paola s'était placé devant le fauteuil pour surveiller les mains de Sylvie qui tenait fermement le fauteuil. Les coups de martinet se succédaient, Agnès essayait de couvrir toute la surface de la croupe. Bientôt elle reprit la magnifique couleur rouge qui plaît tant aux fesseuses. Sylvie maintenant criait et pleurait en même temps. Pourtant Agnès n'était pas trop sévère, pour une première fessée au martinet, elle voulait simplement que Sylvie se rappelle qu'elle était redevenue l'adolescente punie par sa grand-mère. Les fesses étaient maintenant écarlates, il fallait passer aux cuisses, les pleurs de Sylvie redoublèrent.

- noon Agnès, ça fait trop mal...aïe aïe. Non s'il te plaît plus la fessée….

Agnès était concentrée sur sa tâche, elle s'appliquait à  claquer toute la surface depuis la racine des fesses jusqu'à la pliure des genoux. Soudain Sylvie lâcha le fauteuil pour protéger ses fesses, mais Paola veillait, elle les saisi et força Sylvie à les garder sur le coussin du fauteuil. Agnès posa le martinet et caressa les fesses tendues, elles étaient brûlantes mais la peau était douce au toucher. Après une bonne fessée, elle appréciait toujours son travail en palpant les fesses.

- ton petit derrière est très mignon ma chérie.

Elle fit un petit signe à Paola qui relâcha les mains de la jeune fille de 70 ans  Puis elle l'aida à se relever. Ses joues étaient couvertes de larmes. Elle se mit à danser sur place, elle aurait voulu frotter ses fesses mais redevenue une gamine punie, elle savait qu'elle n'en avait pas le droit. Ses fesses se serraient et s'ouvraient ce qui fit rire Paola.

- on dirait que notre petite Sylvie a bien chaud à son popotin.

Devant le regard surpris d'Agnès, elle expliqua.

- tu ne connais pas ce mot, c'est un terme familier pour parler des fesses d'une dame, surtout quand elles sont bien rebondies comme celle de notre Sylvie.

Jugeant qu'il était temps que Sylvie cesse de se trémousser, elle lui désigna le coin de la pièce.

- file te mettre au coin, vilaine fille, mains sur la tête et nez au mur. Et je ne veux plus t'entendre !

Sylvie s'exécuta sans discuter. Elle avait très mal aux fesses mais elle était quand même contente d'avoir supporté son châtiment jusqu'au bout.  Le spectacle de ses fesses et de ses cuisses écarlates était saisissant. Paola était impressionnée par la sévérité et le calme d'Agnès. Celle-ci lui désigna le fauteuil.

- asseyons nous, j'aimerais que nous discutions du cas de Sylvie. Je ne serai là qu'une semaine, je pense qu'elle a besoin qu'on s'occupe d'elle.

- je pense qu'il y a vraiment beaucoup de choses à dire, Agnès. Et ne devrions-nous pas également établir des règles pour notre chère pupille qui l'aideront à mener à nouveau une vie bien ordonnée ?"

Paola regarda Sylvie et s'approcha pour palper le « popotin » rouge et fouetté. Elle  poursuivi.

- j'ai bien peur que tant que Sylvie n'aura pas appris à se comporter selon ces règles, elle devra très souvent se tenir dans un coin de la pièce avec des fesses bien rouges, comment appelez-vous ça en allemand, 'Popo' et aussi des cuisses bien striées par les lanières.

Agnès s'assit et rit,

- dans ma région westphalienne, nous appelons la partie des cuisses juste sous les fesses « bollen ».

Maintenant, Paola riait aussi.

- ça sonne bien, ce mot. Je m'en souviendrai !

Elle se tourna vers la porte.

- mais je vais nous faire du thé. Je connais bien la cuisine de Sylvie. Et je suis sûr que ça ne la dérangera pas !

- bien sûr, Paola. Mais je peux faire le thé ?

Ce n'était pas comme si Sylvie essayait de sortir du coin de cette façon. C'était juste qu'elle estimait qu'il était de son devoir de bien recevoir.

Paola sourit.

- non, ma fille, il est bien plus important pour toi de te tenir dans un coin et de réfléchir à tes bêtises que de nous accueillir.

Elle ajouta d'un ton sévère.

- et s'il te plait, tiens-toi droit et pas la tête baissée, ma chérie !

Sylvie se redressa.

- oh, désolé ! Oui, je vais me tenir droite. Je comprends, Paola. Ça n'arrivera plus. Je te le promets.

Il était clair que Sylvie avait peur d'une nouvelle fessée. Agnès se doutait que la grand-mère de Sylvie insistait toujours  sur une bonne posture pendant le temps de coin.

D'ailleurs sa posture voûtée aurait pu très bien être considérée comme une désobéissance. Mais Agnès décida de laisser tomber cette fois. Mais si cela se reproduisait, il lui faudrait certainement sévir.

Une fois que Paola eut quitté le salon, Agnès demanda à haute voix.

- n'est-ce pas merveilleux ma petite Sylvie,  que j'aie trouvé quelqu'un qui habite tout prêt de chez toi et qui pourra s'occuper de toi après mon départ ?

Sylvie répondit, mais sans se détourner du mur.

- oui, merveilleux, Agnès ! Je n'aurais jamais imaginé qu'elle s'inquiète autant pour moi. Et elle ne semble pas non plus avoir de problème avec vos méthodes d'éducation.

Agnès remarquait, bien sûr, qu'il n'y avait pas de véritable enthousiasme dans la voix de Sylvie. Mais c'était à prévoir, avec la perspective de punitions régulières et fréquentes à l'avenir ?

Paola était revenue avec un plateau. Une théière, deux tasses à thé, des cuillères et un sucrier étaient posé dessus.

Elle mit la table.

Agnès proposa que Sylvie s'assoie avec elle afin qu'il leur soit plus facile de l'entendre sur des questions spécifiques. En plus, tout cela la concernait. Mais bien sûr, elle n'était autorisée à parler que si elle était questionnée ou si elles lui permettaient explicitement de parler.

Sylvie s'approcha lentement de la table, mais n'osa pas enlever ses mains de sa tête, même si elles commençaient à lui faire mal.

- assieds toi Sylvie. Et tu peux baisser les mains maintenant.

ordonna Agnès.

Sylvie aurait demandé avec plaisir un oreiller pour ne pas avoir à s'asseoir les fesses nues et brûlantes sur la chaise mais elle n'avait pas le droit de parler sans être sollicitée. Agnès et Paola ignorèrent le bref soupir lorsque les fesses de Sylvie touchèrent le siège.

- mais Sylvie veut certainement boire quelque chose.

Paola se précipita vers la cuisine. En disant qu'elle allait lui chercher un verre de jus d'orange.

Il était évident qu'une femme aussi immature que Sylvie n'avait bien sûr pas le droit de boire du thé ou du café. C'étaient des boissons pour adultes.

Pendant ce temps, Agnès versait le thé. Quand tous les trois furent assises, elle commença par dire en premier.

- Je ne pense pas que ce soit bien que Sylvie nous appelle par notre nom. Nous sommes des personnes qu'elle doit respecter maintenant. Je me suis dit qu'elle ferait mieux de nous appeler madame. Donc Madame Paola et Madame Agnès !

Paola pensa que c'était une bonne idée. Sylvie n'avait pas été interrogée à ce sujet. Mais secrètement, elle pensait aussi que ce serait une bonne chose car cela diminuerait un peu son embarras. La  hiérarchie serait établie entre elles et même si elle n'était pas vraiment une petite fille, elle était quand même une gamine qui recevait régulièrement la fessée

Paola se tournant vers Agnès ajouta.

- il y a une chose qui me paraît également importante. C'est l'heure du coucher et du lever. J'ai remarqué que Sylvie avait des heures de sommeil très décalée, ce qui n'est pas bon pour son équilibre. Elle se couche très tard et bien sûr le matin elle a du mal à se lever. Ça  désorganise complètement sa journée.

Agnès acquiesça en souriant.

- je pense que tu as raison Paola, que suggère tu?

- c'est assez simple, je pense que 9h30 est une bonne heure pour aller au lit, le temps de se brosser les dents et d'aller faire pipi. Notre petite Sylvie doit avoir éteint la lumière à 9h45 au plus tard.

Sylvie faillit ouvrir la bouche pour protester mais ses fesses douloureuses sur la chaise lui rappelait qu'elle ne devait pas parler.

- ça me paraît correct, ainsi Sylvie aura ses 9h de sommeil si elle se lève à 7h.

Agnès avait repris la parole et elle regardait Sylvie avec un air maternel.

- comme ça, tu auras tout le temps pour déjeuner, faire ta toilette et bien ranger ta chambre. Tu vas voir ta journée va bien démarrer.

Sylvie baissait la tête, elle n'en croyait pas ses oreilles. Agnès s'adressa à elle un peu plus sévèrement.

- je t'ai déjà dit qu'il fallait me regarder quand je te parle ! Te faut il une autre fessée ?

Immédiatement Sylvie releva la tête et fixa Agnès en rougissant.

- pardon, pardon madame Agnès, excusez-moi.

- voilà, c'est mieux, je pense que tes petites fesses sont assez rouges pour aujourd'hui mais tâche de mieux te comporter si tu ne veux pas revenir faire un petit tour sur mes genoux.

Paola repris la parole.

- nous devrions aborder la question des vêtements, je pense que Sylvie se laisse aller, elle est toujours habillée avec des joggings ou des pantalons informes.

- tu as raison, ça m'a choquée quand elle est venue me chercher à la gare. À partir de maintenant tu vas mettre des jupes, comme il convient à une jeune fille sage.

Elle avait dit ça d'un air moqueur. Sylvie la regarda avec un peu surprise.

- mais madame Agnès, je n'en ai pas.

- comment ça, tu n'as pas de jupe ?

- c'est vrai que je ne l'ai jamais vue habillée en dame. Mais j'y pense, tu m'as bien dit que ta fille avait laissé son armoire pleine de vêtements, tu fais la même taille. Nous allons bien trouver quelques jupes à te mettre.

Sylvie soupira doucement, sa fille Elodie, s'habillait toujours avec des jupes ou des robes qu'elle jugeait un peu courte. A son âge porter des jupes 10 cm ou même  plus au dessus du genoux, elle aurait l'air ridicule. Agnès approuva en riant.

- c'est une très bonne idée Paola, notre petite Sylvie sera très mignonne. D'ailleurs je pense qu'il est temps que tu caches tes petites fesses, tu vas aller chercher ta culotte sur ton bureau et nous irons voir ce que tu peux mettre sur ton joli popotin dans la chambre d'Elodie.

Elle avait utilisé le terme popotin en riant, elle adorait ce petit mot français. Sylvie s’était levée en même temps que ses deux nouvelles mamans. Elodie prenait de plus en plus d'assurance. Elle donna une petite claque sur les fesses nues de sa voisine.

- allez, on se dépêche mademoiselle, tu vas chercher ta culotte.

Sylvie quitta la pièce, ses deux fesses encore bien rouges se trémoussant au rythme de ses pas. C'était amusant et sexy, les deux nouvelles amies se regardèrent en souriant.

Quelques instants plus tard, elles étaient dans la chambre d'Elodie, Sylvie avait remis sa petite culotte blanche, on voyait quand même la rougeur à la limite des fesses et des cuisses et les traces que le martinet avait laissé derrière les cuisses. Quand elle avait remonté sa culotte, elle en avait profité pour frotter discrètement ses fesses. Agnès l'avait remarqué mais elle n'avait rien dit. Elle savait se montrer indulgente de temps en temps. Paola ouvrit l'armoire, Elodie avait bon goût de nombreuses jupes étaient suspendues. Agnès en prit une. Elle était assez courte, de forme évasée. Ça sera pratique pour la retrousser pensa t elle. Elle la tendit à Sylvie.

- celle-ci me plaît bien, tu vas l'essayer.

Sylvie s'exécuta, la jupe s'arrêtait 15 cm au dessus de ses genoux. Elle avait rajeunit d'un seul coup. Paola applaudit.

- tu es ravissante ma chérie,  tourne toi qu'on te voies bien.



Agnès était également satisfaite. Elle prit également une jupe plissée bleue marine.

- c'est vraiment une jupette de collégienne celle-ci. Tu la mettras si jamais tu fais trop de bêtises et que nous sommes obligées de te traiter en gamine.

Sylvie n'osait pas se plaindre ni répliquer, même si elle pensait qu'une jupe aussi courte était totalement inappropriée pour une femme de son âge.  Elle pensa avec défi, "Il est hors de question que je quitte la maison habillée ça!

Mais c'est exactement ce qui se passa peu de temps après.  

A suivre

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