Lola et Edwige
Les six punies exposaient leurs fessiers rougis, pendant que toutes les spectatrices discutaient de la soirée en riant. La plupart pour ne pas dire la totalité avaient un jour ou l'autre subi l'humiliation du déculottage et de la douloureuse fessée cul nu. Elle compatissait un peu sur le sort des punies mais était ravie d'avoir échappé à la fessée, elles avaient toutes apprécié le spectacle. Mlle Rose avait indiqué aux fesseuses que c'étaient à elles de juger de la durée du coin pour leur punie. La première à lever la punition fut Isabelle. Après avoir carressé les fesses de Sylvie elle lui glissa à l'oreille.
- tu peux te reculotter, ta punition est terminée, j'espère que tu as compris la leçon. Tu as vraiment des fesses ravissantes ma chérie. Quelques minutes plus tard ce fut Monique et Irène qui purent cacher leurs derrières. Amélie regardait avec gourmandise la plantureuse paire de fesses bien rouge de Florence, elle jugea que le spectacle en valait la peine et elle la laissa fesses à l'air pendant encore 1/4 d'heure. Pour Elisabeth la cause était entendue elle savait qu'elle resterait au coin jusqu'à la fin de la soirée. Lola s'était approchée d'Edwige tout en lui palpant fermement les fesses elle lui avait glissé à l'oreille.
- tu m'as fait honte avec ton comportement ma chérie, crois moi, tu vas le regretter, je te promets que tu n'es pas prête de recommencer. En attendant tu vas nous montrer tes fesses jusqu'à la fin de la soirée.
Amélie s'était approchée de Florence.
- alors madame, ça fait quel effet de recevoir la fessée déculottée et de montrer ses fesses. Je vous félicite vos fesses sont magnifiques. J'ai discuté avec Mlle Rose, elle pense que vous avez besoin d'une reprise en main. Reculottez vous, nous allons en discuter.
Elle avait claqué les fesses de la sévére professeur de français en terminant sa phrase. Florence n'en menait pas large, elle s'exécuta. Une fois reculottée, Amélie la prit par la main pour se mettre un peu à l'écart.
- vous savez qu'il faut toujours obéir aux consignes de Mlle Rose. Vous viendrez chez moi demain soir, disons vers 18 h. Soyez à l'heure.
Florence rougi et baissa la tête. Elle acquiesca, ses fesses cuisantes et la perspective d'un stage à l'institut ne lui laissait pas trop le choix. Elle était définitivement passée du côté des dames fessées à la moindre occasion.
C'était la fin de la soirée, toutes les spectatrices étaient parties. Lola s'approcha de sa petite amie, remonta sa culotte juste sous les fesses et remis la jupe en place. Puis elle lui claqua la croupe.
- allez, on y va. Tu restes cul nu sous ta jupe, je n'en ai pas encore fini avec ton petit derrière.
Edwige ne protesta pas, elle répondit par un petit signe de tête aux salutations moqueuses de Sophie et Aurélie.
- bonsoir Mlle cul rouge, j'ai bien l'impression que la soirée n'est pas fini pour vos petites fesses.
Arrivé à la voiture, Lola sorti du coffre un petit paillasson rond qu'elle déposa sur le siège passager.
- tu relèves ta jupe pour t'asseoir, ça va te permettre de réfléchir pendant le voyage.
C'était une punition classique qu'elle utilisait souvent avant ou après une correction, Edwige devait poser ses fesses nues sur un siège où était posé un paillasson rugueux, elle appelait ça un tabouret de réflexion.
Dès qu'elles furent arrivées, Edwige eu la confirmation que sa punition n'était pas terminée. Lola avait posé sa veste.
- tu files au salon, en position sur le canapé, cul nu !!
Edwige émis un petit soupir et une larme coula, elle savait ce que ça signifiait. En effet quelques instants plus tard Lola rentrait dans la pièce un martinet à la main. Elle esquissa un sourire en voyant sa petite amie soumise dans la position requise. Edwige s'était couchée sur l'accoudoir du canapé, la tête dans les coussins, les fesses bien pointées vers le haut, elle avait retroussé sa jupe sur ses reins, sa culotte était toujours au ras des fesses, ses jambes étaient tendues et ses pieds touchaient à peine le sol. Le spectacle était ravissant,
décidément l'administration régulière de la fessée avait rendu cette petite très obéissante. Elle s'approcha et carressa ce derrière si bien présenté, il était encore rouge et chaud des précédentes fessées.
- ma petite chérie, tu sais très bien que je ne supporte pas la désobéissance. Ton comportement a été inadmissible. Quand tu as mérité une fessée tu ne dois jamais protester ou refuser de la recevoir, même si c'est quelqu'un d'autre que moi qui te l'administre. Tu le sais pourtant, je crois que tu as besoin que je te le rappelle. Une petite semaine de fesses rouges va te faire le plus grand bien.
En entendant ces dernières paroles Edwige se mit à gémir, elle avait déjà eu droit à une où plusieurs journées fesses rouges mais jamais â une semaine.
- oh non, pardon Lola, s'il te plait, non..aie aïe...
Le martinet avait claqué les fesses tendues.
- qu'est ce que je viens de te dire ? Quand je t'annonce une punition, je ne veux pas entendre de protestation ! Continue comme ça et c'est deux semaines de fesses rouges que tu vas avoir !
Le martinet continuait de cingler la jolie croupe d'Edwige, elle ne protestait plus mais elle poussait des cris à chaque morsure des lanières, les fesses étaient à nouveau écarlates, le martinet s'attaqua à l'arrière des cuisses, ce qui eu pour effet de redoubler les cris et les supplications de la punie. Les jambes se tendaient et les pieds battaient l'air au rythme de la correction mais Edwige ne cherchait pas à se dérober, elle connaissait Lola et les conséquences pour son fessier. Jugeant le résultat satisfaisant, Lola posa le martinet sur le dos de son amie, les lanières bien étalées sur les fesses écarlates. Elle souriait ravie du tableau.
- tes fesses sont magnifiques ma chérie, monsieur martinet a fait du bon travail. Tu vas rester là à me montrer ton petit cul bien rouge pendant que je préviens madame Smith. Elle va bien s'occuper de ton petit derrière pendant cette semaine je pense.
Elle laissa son amie en pleurs, les fesses bien présentées et pris son téléphone. Edwige savait ce que cela signifiait.
Mme Smith était sa secrétaire, c'était une anglaise d'une quarantaine d'années.
Revenons un peu en arrière.
C'était un peu avant midi quand Lola se présenta au bureau de sa petite amie Edwige. Mme Smith était sa secrétaire, elle connaissait bien Lola qui passait souvent au bureau, en revenant de ses cours. Edwige était la chef de service marketing, elle avait un grand bureau, Fiona Smith occupait un bureau qui communiquait directement, elle filtrait les appels et gérait l'agenda d'Edwige, elle était très professionnel, petite et brune, elle dégageait de l'énergie et une autorité naturelle. Elle avait gardé une pointe d'accent britannique qui ajoutait à son charme. Elle savait que Lola était la petite amie de sa patronne et ça la faisait sourire quand elle arrivait et qu'elle lui demandait gentiment si Edwige était disponible. Ce jour là Lola avait l'air énervée, Mme Smith appela Edwige pour la prévenir mais déjà Lola était rentrée dans le bureau et avait refermé la porte. Des éclats de voix retentirent bientôt puis après un silence un petit cri et.... Fiona s'approcha de la porte, le bruit qu'elle entendit lui était familier. Des claques sur la peau nue, il n'y avait aucun doute quelqu'un recevait une fessée déculottée. Elle pensa immédiatement que la jeune étudiante recevait le prix de son insolence et ce n'était que justice. Rentrer ainsi sans frapper, c'était très mal élevé, elle qui avait fréquenté des collèges anglais savait qu'une telle attitude pouvait vous conduire sur les genoux d'une surveillante pour montrer ses fesses à tous le monde. Elle en avait fait l'expérience même à 18 ans passés. Ainsi sa patronne était une adepte du panpan cucul, elle sourit en imaginant Lola la culotte baissée et les fesses bien rouges. Une petite humidité envahi sa culotte, de ses années de jeunesse elle avait gardé une attirance pour les jeux claquant. Depuis son arrivée en France, elle était un peu en manque. Soudain le téléphone sonna, c'était le bureau d'Edwige, elle décrocha un peu surprise. C'était Lola qui lui demandait de bien vouloir venir. Quand elle rentra dans le bureau, elle poussa un petit cri de surprise, Lola était assise sur une chaise et couchée sur ses genoux, Mlle Edwige Duno sa cheffe de service, la culotte baissée à mi cuisses et les fesses écarlates ne laissant aucun doute sur ce qui venait de lui arriver.
Elle reniflait doucement et ses fesses se contractaient et s'ouvraient pour essayer d'atténuer la brûlure. Lola posa la règle en bois sur le bureau et s'adressa à madame Smith.
- rebonjour Mme Smith, je pense que vous ne connaissiez pas les fesses de Mlle Edwige, je vous les présente, je pense que vous allez être amenée à les connaître assez souvent. Ce sont des fesses de menteuse donc elles sont bien rouges, Mlle à reçu le châtiment réservé aux gamines menteuses.
Fiona était ravie du spectacle offert par sa cheffe de service, elle avait vraiment une belle paire de fesses. L'humidité de sa petite culotte augmenta, de nouvelles perspectives s'offrait a elle. Lola avait fait relever Edwige, celle-ci baissait la tête n'osant regarder sa secrétaire, elle n'en eu pas le loisir car son amie lui avait saisi l'oreille pour la conduire au coin. Elle lui coinça la jupe dans la ceinture er lui administra une claque sur les fesses écarlates.
- tu mets ton nez contre le mur, tes mains sur la tête et tu ne bouges plus.
Puis se tournant vers Mme Smith elle ajouta en souriant.
- j'ai un cours, je ne peux pas rester, puis je vous demander de surveiller cette chipie, je pense qu'une demi heure au coin fesses à l'air va lui faire du bien. Je vous laisse mon numéro, n'hésitez pas à m'appeler si vous avez un problème. Bien sûr vous avez toute latitude pour lui flanquer une bonne fessée si elle la mérite.
Fiona Smith esqissa un sourire, elle n'en demandait pas tant.
- vous pouvez compter sur moi, partez tranquille, mais je suppose que je n'aurai pas à sévir, Edwige va être bien sage après la fessée qu'elle vient de recevoir.
Edwige était abasourdie, sa secrétaire l'appelait par son prénom et parlait d'elle comme si elle était une gamine. Dès que Lola fut partie elle s'adressa à sa cheffe de service, son ton avait changé.
- bien, vous avez entendu Lola, je n'aimerais pas avoir à vous claquer les fesses, alors tenez-vous tranquille. C'est l'heure de la pause déjeuner, je vais m'installer dans votre bureau, je pourrai vous surveiller.
Quand la demi heure fut passée c'est à regret qu'elle permit à Edwige de remonter sa culotte et de rabaisser sa jupe, auparavant elle avait satisfait ses désirs pervers en allant carresser les fesses bien rouges d'Edwige.
- c'est bien, vous avez été sage, vous pouvez cacher ce vilain derrière.
Quand elle eu retrouvé une tenue décente, Edwige les joues aussi rouges que ses fesses regarda timidement sa secrétaire. Celle-ci se mit à rire.
- ne faites pas cette tête là. Vous avez été punie, je suppose que vous l'aviez mérité cette fessée. Vous savez j'en ai déjà vu des paires de fesses, d'ailleurs la vôtre est ravissante. Rassurez-vous tout ça restera entre nous, personne ne saura que Mlle Duno reçoit encore la fessée cul nu quand elle n'est pas sage. Edwige était un peu rassurée mais son répit fut de courte durée car Mme Smith continua.
- bien sûr maintenant que j'ai l'autorisation de votre amie, il va sans dire que si vous le méritez, vous ferez un petit séjour sur mes genoux. Je suppose que ça ne vous posera pas de problème, c'est la condition de ma discrétion.
Fiona Smith aurait bien aimé passer immédiatement à l'acte mais elle se força à être raisonnable. Ce n'est qu'au bout d'une semaine qu'elle annonça à sa cheffe.
- Mlle Duno, vous êtes vraiment incorrigible, je pense que nous allons avoir une petite conversation avec vos fesses.
Edwige rougi violemment, elle avait un peu oublié la menace de sa secrétaire. Oui bien sûr ça faisait deux fois qu'elle oubliiait de signer ce rapport que Mme Smith lui avait préparé et déposé sur son bureau. Mais maintenant que celle-ci avait verrouillé la porte du bureau et pris une chaise pour la poser au milieu de la pièce, elle redevenait une gamine punie par son institutrice.
Fiona Smith lissa sa jupe sur ses cuisses et fit un petit signe du doigt à sa cheffe de service. Celle-ci habituée à la sévérité de Lola s'approcha timidement, dès qu'elle fut à sa portée, sa secrétaire lui saisit la main et la bascula en travers de ses genoux. Soudain Edwige prit conscience du ridicule de la situation, elle était couchée en position disciplinaire sur les cuisses de sa secrétaire dans son bureau en milieu de matinée. Elle protesta.
- non, non Mme Smith arrêtez, si quelqu'un arrive.
- ne vous inquietez pas la porte est verrouillée, votre fessée restera entre nous. Mais je vous conseille d'être sage et de vous laisser faire, les murs ne sont pas trop épais.
Elle avait retroussé la jupe d'Edwige sur ses reins, la culotte rose en coton était bien tendue sur les fesses serrées. Fiona tapota le derrière de sa supérieure.
Puis elle commença à claquer le derrière culotté. Une fessée d'échauffement assez courte mais très vigoureuse, Edwige habituée aux magistrales fessées que Lola lui administrait très régulièrement, trouva celle-ci supportable, elle se contenta de gémir doucement. Mais quand elle senti les doigts de sa secrétaire se glisser dans sa culotte elle sut que Mme Smith n'allait pas en rester là elle allait recevoir une fessée déculottée dans son bureau. Elle essaya à nouveau de protester.
- noon, s'il vous plaît Mme Smith, pas la culotte.
Fiona se mit à rire.
- et pourquoi donc, pas la culotte. Vous devez pourtant savoir que la vraie fessée c'est toujours cul nu, comme vous dîtes en france. Chez moi aussi en Angleterre, on appelle ça, bare ass spanking. C'est ce qui arrive aux vilaines gamines paresseuses, mais je crois que ça va être très efficace sur une cheffe de service ecervelée. Croyez-moi après cette bonne fessée déculottée vous n'allez plus oublier de signer les rapports que je vous présente.
Pendant qu'elle parlait, elle avait baissé la culotte d'Edwige jusqu'à mi cuisses. Les fesses étaient déjà un peu rouges. Elles étaient serrées par l'appréhension, Fiona en fesseuse avertie, tapota les fesses et l'intérieur des cuisses.
- allez mademoiselle, détendez vous, déserrer moi un peu ces fesses, vous savez bien que la fessée va être plus douloureuse si vous êtes contractée. Edwige obéi et écarta légèrement ses jambes. La sévère secrétaire souria et en profita pour glisser ses doigts dans la raie fessière et un peu plus bas. Elle fut satisfaite d'y trouver un peu d'humidité. Cette petite n'était pas insensible au fait de montrer ses fesses.
Elle leva la main et commença à claquer les fesses bien rondes de sa cheffe de service. C'était assez incongru au troisième étage de cet immeuble de bureau, une secrétaire administrait à sa supérieure hiérarchique un châtiment habituellement réservé aux gamines mal élevée. Rapidement Edwige ne put retenir ses gémissements et ses supplications, elle essayait de ne pas trop crier pour que sa punition reste secrète, elle battait des jambes en rythme avec la fessée de Mme Smith, celle-ci était concentrée, sa main alternait d'une fesse à l'autre, n'oubliant aucun endroit, quand les fesses furent bien rouges, elle s'attaqua à l'arrière des cuisses et à la zone très sensible du pli fessier. Edwige ne put s'empêcher de se mettre à pleurer. Satisfaite du résultat, une paire de fesses écarlates, Fiona Smith garda un peu la responsable du service marketing allongée sur ses genoux, serrant et desserrant ses fesses brûlantes, puis elle la fit se relever et sans plus de manières comme si c'était naturel, elle la conduisit au coin en la tenant par l'oreille. Elle lui coinça la jupe dans la ceinture pour laisser les fesses bien visibles.
- un petit séjour au coin, va vous permettre de réfléchir.
Edwige avait naturellement mis ses mains sur la tête, ce qui fit sourire sa secrétaire.
- vous allez rester là, 1/2 heure, ensuite vous avez une réunion avec la directrice générale. Avec les fesses bien rouges, je pense que vous serez attentive.
Edwige effectivement avait les fesses encore rouges et sensibles sous sa culotte quand elle arriva à la réunion. Elle s'était un peu remaquillée, et personne n'aurait pu imaginer qu'une heure auparavant elle se débattait couchée sur les genoux de sa secrétaire la culotte aux chevilles et les fesses écarlates.
À son retour dans son bureau, madame Smith lui remis une enveloppe.
- c'est un petit mot pour votre amie Lola, je lui explique ce qui vous est arrivé, vous me le ramènerez signé demain matin.
Edwige était abasourdie, elle était traitée par sa secrétaire comme si elle était encore au collège. Elle pensa rapidement qu'elle ferait justement la même chose que quand elle était adolescente, elle signerait elle même ce papier.
À la fin du repas, Lola lui dit d'un ton innocent.
- ma chérie, tu n'as pas oublié de me donner quelque chose en arrivant tout à l'heure ? Tu sais que Mme Smith a mon numéro.
Edwige blêmi, elle se mit à bégayer.
- euh, oui, euh j'avais oublié...
- tu vas le chercher immédiatement, puis tu files te mettre en pyjama et tu reviens me voir, je ne te conseille pas de traîner.
Edwige se leva précipitamment et alla chercher l'enveloppe dans son sac. Puis elle se dirigea vers la chambre pour se mettre en pyjama comme une gamine à 8 h du soir. Elle savait ce qui l'attendait, ses fesses se serraient à l'avance sous sa culotte.
Quand elle revint dans le salon, Lola tenait la lettre de Mme Smith à la main, le martinet était posé sur la table. Lola lui fit un petit signe du doigt et tapota ses cuisses.
- tu vas venir sur mes genoux et nous allons discuter ma chérie.
Résignée Edwige s'approcha, Lola l'aida a se positionner correctement, puis elle baissa la culotte du pyjama jusqu'au genoux. Edwige détestait ces moments où fesses à l'air elle devait se confesser, surtout que ça se terminait invariablement par une magistrale fessée.
Elle se décida à abréger cette situation humiliante, de toute façon sa petite amie était au courant puisqu'elle avait lu la lettre de sa secrétaire.
- je suis désolée Lola, je sais que j'ai fait une bêtise mais promis je ne recommencerai plus, Mme Smith m'a déjà bien corrigée pour ça tu sais.
- oui, oui je pense que Mme Smith a eu raison de te flanquer une bonne fessée déculottée, mais apparemment ça n'a pas suffit puisque tu as voulu me le cacher. Tu mérite donc deux punitions. La première pour avoir été punie au bureau, nous allons appliquer à partir de maintenant la méthode traditionnelle une fessée à l'école égale une fessée à la maison, peu importe si tu ne vas plus à l'école, ton comportement de gamine doit être corrigé comme si tu en étais une. La deuxième fessée c'est pour m'avoir menti. Tu auras droit au martinet. Ensuite tu fileras au lit, pas de télé, pas de téléphone. Et ça sera comme ça pendant une semaine une bonne fessée déculottée tous les soirs et au lit à 9 h. Bien commençons par la fessée pour ton comportement au bureau.
Edwige était consternée par ce programme qui la ramenait au rang de gamine punie par sa mère. Elle n'eu pas trop le temps de réfléchir, car Lola avait commencé la fessée, Mme Smith avait été sévère mais la correction administrée par Lola le fut encore plus. Rapidement Edwige ne put retenir ses larmes, ses fesses étaient brûlantes, elle battait des jambes, serrait convulsivement ses fesses, Lola était en colère et elle s'appliquait à rougir parfaitement les fesses de sa petite amie. Elle cessa la fessée et fit relever Edwige. Elle designa le canapé.
- en position, vite! Monsieur martinet va t'expliquer qu'il ne faut pas mentir.
Edwige savait qu'il valait mieux ne pas protester malgré son derrière brûlant, elle se coucha sur l'accoudoir du canapé, la tête dans les coussins et les fesses bien tendues. Lola avait pris le martinet, elle fit glisser les lanières sur les fesses écarlates de sa petite amie. Elle adorait son petit derrière surtout quand il était rouge. Elle aurait bien aimé lui faire autre chose de plus intime mais il ne fallait pas laisser passer ce mensonge.
- j'espère que tu regrette ma chérie, la prochaine fois tu réfléchiras, je crois que tu comprends mieux quand je m'adresse à tes fesses.
Elle leva le martinet et commença la deuxième fessée. Elle administra une cinquantaine de coups sur les fesses tendues, les lanières laissaient des traces un peu plus foncées sur les fesses déjà écarlates. Edwige mordait le coussin pour ne pas se dérober aux lanières, elle effectua une magnifique danse des fesses. Lola cessa la fessée et laissa Edwige se calmer, les fesses s'ouvraient largement puis se serraient, la cuisson était intense, elle aurait bien voulu frotter ses fesses mais c'était rigoureusement interdit après une punition. Lola la fit relever puis elle la conduisit dans sa chambre en la tenant par l'oreille, la culotte du pyjama était enroulée autour de ses chevilles rendant la marche difficile, de sa main libre Lola claquait de temps en temps les fesses bien rouges pour la faire avancer plus vite.
- va te laver les dents, je t'attends, laisse ta culotte où elle est, je veux pouvoir surveiller tes jolies petites fesses.
Edwige enrageait d'être traitée comme une gamine mais la cuisson de ses fesses ne lui laissait pas le choix. Quand elle revint dans la chambre, Lola était assise sur le lit, elle la fit venir devant elle, elle passa ses mains sur la croupe brûlante.
- j'espère que tu as compris la leçon ma petite chérie. Tu vas voir on dort très bien avec les fesses bien rouges.
Elle remonta la culotte du pyjama, comme une maman attentive, la grimace d'Edwige quand le tissu frotta sa peau endolorie la fit sourire.
- allez au dodo, tu dors sur le dos bien sûr, je veux que tu sentes bien tes petites fesses ma chérie et ne t'avise pas de les frotter.
Elle l'embrassa sur le front et éteignit la lumière.
Le lendemain matin Edwige se réveilla avec les fesses encore sensibles, effectivement même si la douleur de son derrière avait un peu retardé son sommeil, elle avait excellemment dormi. Quand elle arriva dans la cuisine, Lola préparait le déjeuner, elle lui fit une bise et posa sa main sur son postérieur.
- alors ma chérie, comment vont ces jolies fesses après la fessée de maman Lola ?
Edwige rougi d'être à nouveau traitée comme une gamine, mais elle essaya de faire bonne figure, après tout c'est vrai qu'elle l'avait bien méritée cette fessée et puis elle était amoureuse de Lola même si elle la trouvait quelque fois un peu sévère. Lola lui avait saisi le bras pour la faire pivoter puis elle lui baissa rapidement la culotte du pyjama sous les fesses.
- mais il est parfait ce petit derrière, prêt à recevoir une bonne fessée déculottée si c'est nécessaire.
En effet les fesses étaient encore légèrement rosées mais le martinet n'avait laissé aucune trace. Décidément les instruments de l'institut étaient de bonne qualité. Elle remonta la culotte et tapota la croupe de sa petite amie.
- tu déjeunes vite et tu te prépares.
Edwige s'exécuta quand elle fut habillée et maquillée prête à partir au travail, Lola pris une chaise pour s'y asseoir, puis elle la fit basculer en travers de ses genoux, Edwige portait une jupe évasée qu'elle troussa rapidement puis elle déculotta la cheffe du service marketing qui n'était plus désormais qu'une gamine punie par sa mère avant son départ à l'école. La fessée fut très sévère mais rapide. Elle remonta la culotte sur les fesses puis fit relever sa petite amie. Elle lui tendit la lettre de Mme Smith.
- tu donneras ça à Mme Smith et tu lui montrera tes fesses, je veux qu'elle sache que je t'ai punie pour ton comportement.
Edwige ne savait pas ou se mettre quand elle entra dans le bureau de sa secrétaire. Sans rien dire elle lui tendit la lettre. Fiona Smith en souriant ouvrit le courrier.
- c'est bien de m'avoir ramené ce papier signé, je vois que Mlle Lola à du sévir. C'est bien la fessée déculottée est très efficace pour les mensonges.
Edwige baissait les yeux, il fallait qu'elle montre ses fesses, mais comme Mme Smith ne lui en parlait pas, il fallait bien qu'elle lui dise, fatalement Lola allait lui en parler. Elle prit une grande respiration.
- euh, madame, euh...Il faut que je vous dise...
Fiona Smith la regardait amusée.
- et bien, je vous écoute, qu'avez-vous de si important à me dire.
- euh, je dois vous montrer mes fesses.
Elle avait dit ça très rapidement en évitant de regarder sa secrétaire.
- à bon, c'était donc ça que vous aviez tant de mal à me dire. Et bien allons y. Montrez moi donc vos jolies fesses.
Edwige se retourna, retroussa sa jupe et baissa sa culotte sous ses fesses. Fiona s'approcha et appuya un peu sur son dos pour la faire se pencher, elle passa sa main sur les fesses.
- parfait, c'est très bien de commencer la journée avec une fessée, ça remet les idées en place.
Elle claqua les fesses tendues.
- bien, reculottez vous et au travail. À midi je m'occuperai de vous comme l'a demandé votre amie Lola.
Edwige remonta sa culotte et se dirigea vers son bureau. Elle eu un peu de mal à se concentrer, qu'avait voulu dire Mme Smith. Cependant elle se mit sérieusement au travail, il n'était pas question de redonner une raison à sa secrétaire de la punir. Elle verifia soigneusement tous les dossiers en attente. À la fin de la matinée elle était très contente d'elle. Elle ne put s'empêcher de penser que la fessée reçue hier ici-même, y était pour quelque chose. Elle regarda sa montre, il était midi, Mme Smith entra dans le bureau sans frapper. Elle regarda la pile de dossier sur le bureau.
- bien, je vois que votre matinée a été productive, finalement vous êtes comme ma nièce que j'héberge chez moi pour ses études, il lui faut de temps en temps une bonne fessée déculottée pour la remettre au travail.
L'évocation de sa fessée déculottée de la veille et le fait qu'elle soit comparée à une adolescente paresseuse fit rougir Edwige. Mme Smith continua.
- Lola m'a donné les instructions pour votre pause déjeuner. Je dois vous administrer une bonne fessée et vous devez faire une demi-heure de coin. Dépêchons nous, il faut qu'il vous reste un peu de temps pour manger.
Elle avait déplacé une chaise pour la placer devant le bureau. Elle s'y assis et tapota ses cuisses.
- en position mademoiselle !
Edwige était résignée, il était écrit qu'à partir de maintenant se retrouver fesses à l'air couchée sur les genoux de sa secrétaire devenait la norme. Et c'est effectivement ce qui se produisait. Sa culotte était maintenant au niveau de ses genoux.
La fessée commença immédiatement, la technique de Fiona Smith était irréprochable, elle claquait alternativement une fesse après l'autre et jamais au même endroit, les fesses d'Edwige reprirent rapidement une belle couleur rouge. Mme Smith s'arrêta un instant, puis elle prit la règle plate en bois posée sur le bureau. Edwige poussa un cri, la brûlure était intense, Fiona la maintenait fermement par la taille, seule ses jambes pouvaient bouger, ses fesses se serraient sous les coups de règles, ses pieds battaient l'air. Les fesses étaient maintenant écarlates et Edwige pleurait comme une gamine. La sévère secrétaire était satisfaite, elle la fit relever et la conduisit au coin du
bureau. Edwige commençait à le connaître, elle fit comme Lola l'exigeait. Mains sur la tête et le nez bien collé contre le mur, Fiona Smith fut surprise de tant d'obéissance et de docilité après seulement deux fessées. Décidément elle n'avait pas fini de s'occuper des fesses de sa cheffe de service. Elle arrangea la jupe pour bien dégager les fesses et remonta la culotte à mi cuisses.
- voilà, vos fesses sont ravissantes, vous restez là une demi-heure, ça va vous faire réfléchir.
Edwige savait qu'elle en avait encore pour une semaine de punition.
lola et edwige étaient les premiers chapitres des instituts et bonnes à les retrouver après le rassemblement de tous. Fiona Smith semble être intéressante. peut conduire à de nombreuses options. J'attends tout le temps les chapitres de l'institut. belle mise à jour. s'il vous plaît continuez à mettre à jour Sylvie. garder les fesses chaudes et rouges
RépondreSupprimerChinmay
Oui en effet Lola et Edwige avait fait leur apparition au début de l'institut. Elles vont avoir droit à encore au moins un autre chapitre avec les fesses d'Edwige dans le rôle principal. On verra si Fiona Smith doit jouer un autre rôle. Merci pour ces compliments.
SupprimerSylvie