Triple fessée....
Anne Marie était rentrée chez elle troublée par son après midi, elle avait fait d'un seul coup un voyage dans le temps, elle avait à nouveau administré une fessée déculottée à sa fille mais surtout elle avait reçu une fessée déculottée comme une gamine à 70 ans...
Elle se dirigea vers sa chambre, troussa sa jupe et baissa sa culotte, ses fesses avaient perdu leur couleur, mais en passant la main dessus elle retrouva les sensations de la punition enfantine qu'elle avait reçue. Sylvie ne lui avait pas imposée l'humiliation de la mise au coin, pourtant sa mère ne terminait jamais une fessée sans ce passage obligé. Elle se dirigea vers le coin de la pièce et tenant sa jupe retroussée elle posa son nez contre le mur. Elle n'y resta pas longtemps mais ce fut suffisant pour lui faire prendre des bonnes résolutions. Elle fouilla dans un placard et elle en ressorti le martinet qui avait servi sur les fesses de Julie de nombreuses années auparavant. Le manche était poli, les lanières un peu usées mais elle le fit claquer sur sa cuisse, c'était encore piquant. Elle le remit à la place qu'il occupait, suspendu derrière la porte de la cuisine, prêt à servir. Les fesses de Julie allait bientôt l'étrenner, elle devait passer le lendemain.
Dès son arrivée chez sa mère Julie compris que quelque chose avait changé, bien sûr Anne Marie lui fit la bise comme à son habitude mais elle lui passa négligemment la main sur les fesses par dessus sa jupe comme pour en prendre possession.
- alors ma chérie, elles vont mieux ces petites fesses ? encore sensible après la bonne fessée des deux mamies ?
Julie piqua un fard, l'allusion à la fessée déculottée que lui avait administrée sa mère à la suite de Sylvie réveillait sa honte. A 47 ans, elle avait effectivement reçu ce châtiment habituellement réservé aux gamines désobéissantes. Anne Marie était satisfaite, sa fille ne montrait aucun signe de révolte, la vie pouvait donc reprendre son cours, elle en fesseuse et Julie en fille obéissante.
- viens voir j'ai une suprise pour toi.
Elle entraina sa fille dans la cuisine et lui montra le martinet suspendu derrière la porte, en le voyant Julie pâlit, des souvenirs de déculottée cuisante lui revenait.
- tu vois il a repris tout naturellement sa place, je me demande ce qui m'a pris de l'abandonner, Sylvie a raison, il n'y a pas d'âge pour la fessée. Nous avons du temps à rattrapper, tu ne penses pas ?
Julie ne répondait pas, elle était comme pétrifiée, surtout quand elle vit sa mère prendre le martinet. Non, elle n'allait pas encore la punir, pas maintenant, elle serra ses fesses sous sa culotte comme elle le faisait quand elle était adolescente et que sa mère lui annonçait la punition. Anne Marie en souriant carressait les lanières du martinet, elle s'assit sur une chaise et fit un signe de la main à Julie.
- viens un peu ici ma belle, je veux vérifier l'état de ton petit derrière.
Julie trouva quand même le moyen d'articuler une protestation, mais elle s'approcha quand même.
- oh non, maman pas le martinet, je n'ai rien fait je t'assure.
Anne Marie éclata de rire.
- mais qui te parle de martinet, je veux juste voir tes fesses, mais à te voir protester comme ça, je me demande si tu n'as pas quelque chose à te reprocher. On verifiera ça plus tard, en attendant en position et vite!
Julie un peu rassurée ce laissa coucher en travers des cuisses de sa mère, en 48 h que de choses avaient changé, elle était à nouveau allongée comme une gamine, la tête au ras du sol, sa croupe directement à portée d'Anne Marie et elle se laissait faire consciente de la légimité de sa maman à la punir si nécecessaire. Car oui maintenant elle était redevenue la petite fille à sa maman. Elle sentit sa jupe se retrousser sur ses reins et les doigts d'Anne Marie se glisser sous l'élastique de sa culotte. en un instant, elle était déculottée, cul nu comme disait sa mère quand elle avait 18 ans pour lui faire bien honte. Anne Marie caressa doucement les fesses bien tendues de Julie.
- mais elles sont parfaites ces petites fesses, plus aucune trace.
La main palpait sans aucune gêne le fessier de cette dame de 47 ans, s'insinuant entre les cuisses serrées. Une petite claque fit pousser un cri à Julie.
- desserre moi un peu tes fesses, vilaine !p
La main continua à claquer la croupe de Julie, c'était une petite fessée pas véritablement une punition, Anne Marie ne voulait pas punir sans raison mais pourquoi se priver d'un si joli spectacle. Les fesses étaient rosées quand elle fit relever sa fille.
- voilà, tu sais ce qui t'attends si tu n'es pas sage, je n'hésiterai pas à te déculotter si il le faut et monsieur martinet est prêt à reprendre du service.
Julie frotta un peu ses fesses, honteuse mais quand même soulagée que la punition ait été si courte. Anne Marie était ravie, elle annonça à sa fille qu'elles étaient invitées avec Caroline ce soir. Julie qui gardait un souvenir cuisant de sa dernière escapade pendant le couvre feu tenta de l'en dissuader.
- si Sylvie l'apprend, je pense que ça pourrait chauffer.
- et pourquoi le saurait elle ? Caroline sera avec nous, elle ne risque pas de lui en parler.
Les trois femmes ravies de leur audace se rendirent chez l'amie d'Anne Marie, le seul problème c'est que Sylvie telephona ce soir là chez Julie, bien sûr personne ne lui répondit, surprise elle appela sur le portable de Caroline, la réponse embarrassée de celle-ci mit la puce à l'oreille de la sévère mamie. En quelques questions elle fut au courant de la vérité. Le lendemain les trois fautives faisaient face à Sylvie au domicile d'Anne Marie.
- je suis très déçue de votre conduite mesdames, surtout vous Anne Marie, à votre âge quelle honte, quant à vous Julie, ma dernière fessée n'a pas suffit apparemment et bien nous allons y remédier. Caroline tu t'es laissée entraîner mais ça n'excuse rien, tu es majeure, tu seras punie également. Anne Marie vous êtes la plus fautive c'est vous qui serez punie en premier.
La mère de Julie baissait la tête comme une fillette prise en faute, Sylvie la traitait comme telle. Elle s'était assise sur une chaise et faisait signe à la mamie, Anne Marie s'approcha sans protester, elle savait qu'elle méritait une punition, mais contrairement à la dernière fois, la fessée déculottée serait publique, les deux plus jeunes regardaient subjuguées leur mère et grand mère être basculée en travers des genoux de Sylvie comme une vulgaire gamine. Celle-ci savourait son plaisir, trois fessées déculottées à administrer ! Elle prenait son temps, elle tapota le derrière tendu sous la jupe.
- alors ma petite Anne Marie, on a désobéi ? Vous savez ce qui arrive quand on est pas sage ? Oui, oui on reçoit une fessée cul nu....
Elle retroussa la jupe, découvrant une culotte saumon qui couvrait parfaitement la paire de fesses bien exposée. Anne Marie se rendit soudain compte du ridicule de la situation, elle allait se faire baisser la culotte comme une vulgaire gamine à 70 ans, elle essaya de se relever, mais c'était trop tard, Sylvie la maintenait fermement.
- noon, s'il vous plaît Sylvie, je suis désolée, je ne recommencerai plus, non pas la culotte..
Sylvie en souriant, baissait lentement la culotte, c'était toujours un plaisir quand une adulte retrouvait les accents de son enfance pour éviter la punition.
- oh, ça j'en suis sûr après la bonne fessée déculottée que je vais vous administrer, ça m'étonnerait que vous recommenciez.
Les deux fesses blanches bien serrées par l'angoisse apparurent devant les yeux ébahis de Julie et Caroline. Elles n'avaient ni l'une ni l'autre eu l'occasion d'admirer l'anatomie d'Anne Marie, elle avait des fesses moins dodues que les leurs mais encore suffisantes pour recevoir une bonne fessée.
- voilà madame, cul nu ! Prête pour la bonne fessée déculottée !
Anne Marie gémissait doucement.
- noon... Pardon madame... Aiiie. Aie.
La première claque venait de tomber sur les fesses toujours serrées, puis elles se succédèrent sans discontinuer, ce n'était pas une fessée pour rire. Bientôt les fesses commencèrent à rougir et la mamie se mit à battre des jambes et à supplier, ses cuisses s'écartaient largement laissant voir son intimité.
- aie aie, nooon, ça brûle, s'il vous plaît madame, pardon.
Inlassablement la main claquait une fesse puis l'autre, elles étaient maintenant écarlates et Anne Marie se mit à pleurer, la honte et la douleur était trop forte. C'était le moment attendu par Sylvie, la dame allongée sur ses genoux lâchait prise et retombait en enfance. Mais ce n'était pas la fin de la correction, Sylvie voulait vraiment marquer le coup, aussi malgré les pleurs d'Anne Marie elle continua la fessée, la pauvre mamie redevenue une gamine reçu encore une centaine de claques sur sa croupe enflammée avant que Sylvie décide de cesser la punition. Comme à son habitude elle la garda un moment dans cette position humiliante, le temps que les pleurs se calment un peu, c'était également appréciable de carresser ces fesses brûlantes, elle regarda les deux dames qui attendaient leur tour, un petit sourire aux lèvres semblant leur dire, voyez un peu ce qui vous attend. Elle fit enfin relever sa punie, puis selon une habitude bien établie elle la prit par l'oreille pour la conduire au coin. Anne Marie baissait les yeux, trop honteuse de ce qui venait de lui arriver pour regarder sa fille et sa petite fille. Sa culotte était descendue jusqu'à ses genoux et on la voyait juste sous la jupe qui était retombée.
- retroussez moi votre jupe que tous le monde voient votre joli derrière!
Anne Marie au comble de la confusion s'exécuta, ses fesses n'étaient plus que deux boules rouges étincelantes. Arrivée au coin Sylvie arrangea sa tenue, la jupe fut coincée dans la ceinture, la culotte remontée à mi cuisse et les consignes suivirent.
- le nez bien contre le mur et les mains sur la tête ! Je ne veux pas vous voir bouger !
Une vigoureuse claque avait accompagné ses paroles, Sylvie se recula pour jouir du spectacle.
Les deux spectatrices regardaient le spectacle insolite de cette dame d'âge mûr mise au coin comme une vilaine fille. Julie était satisfaite de voir qu'il n'y avait pas qu'elle qui retombait en enfance mais elle était inquiète de la suite, elle savait que Sylvie n'allait pas en rester là. Caroline quant à elle n'en revenait pas, il y a quelques jours encore elle était la seule à montrer sa culotte et ses fesses et maintenant c'était deux adultes qui recevaient la fessée déculottée et en public !! Elle savait qu'elle aussi, elle allait faire un petit séjour sur les genoux de Sylvie mais pour le moment elle savourait.
Sylvie prit la main de Julie et l'attira vers elle, la chaise était toujours à sa place, en quelques instants la maman de Caroline se retrouva dans la position qu'elle aimait faire prendre à sa fille. Allongée en travers des cuisses de Sylvie, les fesses tendues, la tête près du sol, les jambes pendant de l'autre côté. Elle portait un jogging, c'était facile à descendre, la culotte était bien tendue sur le derrière, la position faisait rentrer la lingerie dans la raie découvrant un peu les fesses de la dame en position disciplinaire. Sylvie administra une vingtaine de claques sur la culotte et les fesses découvertes mais c'était juste un échauffement, ce qu'elle voulait c'était les fesses nues à sa disposition. La petite culotte blanche glissa le long des fesses de Julie, elle commençait à avoir l'habitude de cette sensation d'air frais sur les fesses, instinctivement elle les serra pour protéger sa pudeur et dans l'attente de la première claque mais Sylvie n'était pas pressée, elle palpait les fesses, glissant ses doigts dans la raie fessiere puis entre les cuisses. Elle savait l'humiliation pour une dame d'âge mûr de se retrouver dans cette position et ça faisait partie de la punition.
- alors Julie, ma dernière punition n'a pas suffit, on a encore désobéi, vous aviez encore envie de me montrer vos fesses ? Puisque vous semblez ne pas comprendre je vais donc m'adresser à votre derrière !
Julie ne répondait pas, deux claques retentissantes atterrirent sur ses fesses lui faisant pousser un cri.
- je vous ai posé une question madame, pourquoi m'avez vous désobéi, vous aimez recevoir la fessée ?
-aie, non non Sylvie, pardon..
Les claques sonores retentissaient maintenant dans la pièce et Julie gémissait sous la brûlure retrouvant ses accents de jeune fille. Sylvie s'appliquait elle voulait que Julie comprenne qu'elle était redevenue une gamine soumise à une stricte discipline, sa main distribuait les claques sur chaque fesse, celles-ci s'ouvraient maintenant largement avec les mouvements désordonné des jambes.
Sylvie cessa la fessée un instant pour descendre un peu plus la culotte et mieux exposer le fessier rougeoyant, Caroline regardait bouche bée sa mère recevoir ce châtiment enfantin, elle avait les mêmes réactions qu'elle quand elle lui donnait la fessée. Celle ci avait repris sur un rythme soutenu, maintenant la couleur des fesses de la mère et de la fille était équivalente, Julie pleurait sous la cuisson qui embrasait sa croupe, elle avait abandonné toute pudeur et exposait son intimité. La suite elle la connaissait malheureusement, le chemin vers le mur tenue par l'oreille, le pantalon autour des chevilles et la culotte aux genoux, une claque supplémentaire pour lui faire prendre la position requise, nez au mur et mains sur la tête. Sylvie se recula pour apprécier le spectacle, Anne Marie et Julie côte à côte même tenue et même position, même fessier écarlate, c'était ravissant elle esquissa un sourire et se tourna vers Caroline.
- à nous deux ma petite chérie, je ne voudrais pas que tu attrapes froid aux fesses, je vais donc te les réchauffer comme celle de ta mamy et celle de ta maman. Viens ici.
Caroline s'approcha, elle savait bien qu'après avoir été spectatrice, c'était elle qui allait tenir le premier rôle. Elle portait une mini jupe en jeans, dès qu'elle fut couchée sur les genoux de Sylvie, elle remonta légèrement laissant apparaître sa petite culotte rose.
- je trouve que ta jupe est bien courte ma chérie, tu es déjà presque prête pour le déculottage à croire que tu aimes montrer tes fesses.
Caroline rougit sous la remarque, mais elle était déjà en position, la tête en bas et les fesses en l'air, Sylvie ne le remarqua pas. La courte jupette prestement retroussée le joli fessier bien potelé de la jeune femme apparu, la culotte rose ne cachait pas grand chose non plus, la position la faisait rentrer dans la raie fessiere, la base des fesses était bien visible avec le pli qui les séparaient des cuisses, cette zone si sensible, Sylvie en souriant leva la main et administra une dizaine de claques sur cette zone, Caroline se mit à crier, son amie fesseuse était vraiment sévère, elle se mit à supplier et à battre les jambes.
- non, aie, aie pas la, ça fait trop mal aiiie...
- voilà ça t'apprendra à mettre des culottes sexy ma chérie, elle ne te protège même pas pour la fessée préparatoire... Oh mais c'est mignon ces petites fesses rouges qui dépassent de la culotte. Elle était ravie de terminer sa séance de fessée par Caroline, elle avait pris du plaisir à administrer cette correction enfantine aux deux dames d'âge mûr mais les fesses juvéniles de Caroline étaient vraiment appétissantes. Elle saisit l'élastique de la petite culotte et lentement découvrit les deux hémisphères bombés par la position, ils étaient déjà un peu rosés par la petite fessée d'échauffement, elle prenait son temps, consciente de l'humiliation de la jeune femme, exposer ainsi ses fesses, surtout dans cette position n'était pas très agréable, la culotte était maintenant à mi cuisse, elle caressa la croupe pour bien faire comprendre à sa punie qu'elle était la maîtresse.
- tu sais pourtant ce qui arrive quand on me désobéi, la dernière fessée ne t'a pas suffit ?
- mais c'est pas juste ! C'est mamy qui m'a dit de venir ! Et puis Céline vous ne lui dites rien !
- mais tu es grande ma chérie, tu n'etais pas obligée d'y aller. Qui est cette Céline ?
- c'est ma cousine, elle était là elle aussi !
- très bien, nous nous occuperons donc aussi des fesses de cette demoiselle, mais pour le moment c'est des tiennes dont mamie va s'occuper !
Immédiatement la main de Sylvie se leva et la fessée commença, des claques magistrales appliquées successivement sur la fesse droite puis la gauche. Caroline ne mit pas longtemps à réagir, les cris et les supplications retentirent dans la pièce, les jambes battaient l'air frénétiquement, Sylvie en fesseuse émérite tenait fermement la jeune femme par la taille, seules ses fesses et ses jambes pouvaient bouger et Caroline ne s'en privait pas, elle offrait à Sylvie une vue parfaite sur son entrejambe, sa vulve rose, toute son intimité, c'était un vrai plaisir, de temps en temps les fesses se desserrait largement et au milieu de la raie apparaissait le petit trou mignon comme elle aimait l'appeler quand elle lui mettait le thermomètre. C'était une véritable fessée déculottée que recevait Caroline, Sylvie voulait qu'elle s'en souvienne. Maintenant les fesses étaient écarlates, deux belles tomates bien mûres, Sylvie cessa la punition et laissa les pleurs de Caroline se calmer, tout en lui carressant les fesses brûlantes.
- voilà ma chérie, j'espère que ça va te servir de leçon et que tu ne désobéira plus à mamie. Tu vas aller réfléchir au coin comme Anne Marie et Julie, je sais ça brûle mais c'est fait pour ça la fessée ma belle.
Elle avait fait relever Caroline et l'avait conduit au côtés des deux autres punies, la jupe coincée dans la ceinture, une bonne claque au milieu des fesses et Caroline prit la position requise.
Il était temps pour Sylvie de prendre quelques photos et de noter sur son cahier de punition, celle qu'elle venait d'administrer. Elle avait une page pour chacune de ses punies sur laquelle elle notait le jour de la fessée et sa cause. Elle laissa les trois dames pendant 1/4 d'heure au coin les fesses à l'air. Jugeant la pénitence suffisante elle les appela, ne sachant pas quoi faire de leurs mains elle les avaient laissé sur leur tête ce qui fit sourire Sylvie, décidement rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée pour rendre docile les dames.
- bien vous allez vous mettre à genoux côte à côte sur le canapé et vous vous penchez pour bien me présentez vos fesses!
Soumises les trois dames s'exécutèrent et bientôt Sylvie put contempler le charmant spectacle de trois paires de fesses bien rouges tendues vers elle et attendant la suite de leur châtiment.
- vous avez vraiments des fesses ravissantes mesdames mais votre désobéissance est inadmissible, je vais donc complèter votre punition par une fessée au martinet ensuite nous aviserons.
Elle se plaça sur le côté et commença à cingler les fesses d'Anne Marie, une dizaine de coups de martinet firent rougir un peu plus les fesses de la mamy, elle se mit à tortiller son derrière bien tendu et à crier sous la brûlure.
- cessez de bouger et tendez bien vos fesses ! La prochaine fois vous réfléchirez avant de désobéir.
Puis elle se mit à fesser la croupe de Julie qui pointait entre celle de sa mère et de sa fille, la réaction fut immédiate, la sévère maman de Caroline se mit à pleurer, après une dizaine de cinglées le martinet caressa le fessier rebondi de la plus jeune des punies. Ensuite elle recommença à fesser Anne Marie puis Julie puis Caroline. Elle fit ce circuit deux fois, vingt coups de martinet sur chaque paire de fesses. Les croupes tendues étaient maintenant d'un rouge soutenu et les dames pleuraient à chaudes larmes. Sylvie jugea la punition suffisante, elle fit relever les trois punies.
- bien voilà qui est fait, Caroline tu peux te reculotter, tu as été assez punie. Quand à vous deux, vous retournez vous mettre au coin !
Julie et Anne Marie retournèrent se mettre le nez au mur sans protester, elles acceptaient maintenant la discipline de Sylvie. Elles auraient bien voulu frotter leurs fesses mais c'était rigoureusement interdit, elles les serraient convulsivement pour essayer d'atténuer la brûlure. Anne Marie était confuse de s'être comportée comme une gamine et intérieurement elle acceptait sa punition bien qu'elle la jugeait un peu sévère. Julie regrettait amèrement d'avoir écouté sa mère et elle était satisfaite d'avoir assisté à sa correction.
Sylvie les fit venir devant elle et leur annonça la suite.
- pour deux dames de vos âges votre conduite est inqualifiable, surtout vous Anne Marie. Pour que je sois sûre que vous ne recommenciez plus voilà ce que j'ai prévu. Je vais vous administrer à toutes les deux une dernière fessée, ça sera suffisant pour vous Julie. Quant à vous Anne Marie, vous viendrez chez moi tous les jours pendant une semaine pour recevoir une bonne fessée déculottée.
Les deux punies baissèrent la tête en entendant la sentence, Sylvie s'était à nouveau assise sur la chaise, elle fit signe à Julie, résignée la maman de Caroline se coucha à nouveau sur les genoux de Sylvie sous le regard narquois de sa fille. Elle était déjà prête pour la punition, bien déculottée, ses fesses encore rouges bien présentées, Sylvie leva la main et administra au généreux fessier une courte mais magistrale fessée qui fit gigoter Julie sur ses genoux au point que le jogging quitta ses pieds pour se retrouver à terre. Caroline repensait aux multiples fessées que sa mère lui avait administrée et elle savourait sa revanche.
- voilà Julie, c'est ce que j'appelle une bonne fessée déculottée, vous pouvez cacher vos jolies fesses toutes rouges.
Sylvie avait relâché sa punie, Julie s'empressa de remonter sa culotte, elle en profita pour frotter ses fesses brûlantes, elle enfila également son jogging. Maintenant il ne restait plus que Anne Marie à avoir les fesses à l'air, elle était confuse de devoir recevoir sa punition sous les yeux de sa fille et de sa petite fille. Elle baissait la tête n'osant pas les regarder, Sylvie lui fit signe avec son doigt.
- à votre tour madame, une bonne petite fessée pour votre désobéissance.
Anne Marie se retrouva rapidement dans la même position que Julie, ses fesses avaient la même jolie couleur rouge que celle de sa fille, c'était vraiment un spectacle curieux de voir cette dame âgée dans cette position humiliante réservée habituellement aux gamines et prête à recevoir une fessée publique. Caroline était fascinée, sa mamy cul nu en position disciplinaire, Julie savourait sa revanche. La main de Sylvie commença la fessée, comme pour celle de Julie elle fut brève mais très sévère et comme sa fille Anne Marie exécuta une magnifique danse des fesses.
Quand la fessée fut finie pour parfaire son efficacité, Sylvie garda la mamie allongée sur ses genoux et s'adressa aux deux spectatrices.
- vous voyez les fesses d'Anne Marie, je suppose que vous sentez encore les vôtres, et bien si vous ne voulez pas que je m'en occupe à nouveau je vous conseille d'être sage.
Pendant son discours, elle tapotait les fesses de la punie qui sanglotait doucement sur ses genoux, elle n'était pas pressée de se priver de ce spectacle, elle prenait même du plaisir à glisser ses mains entre les fesses brûlantes et à forcer Anne Marie à écarter ses cuisses. L'humiliation de la pauvre Anne Marie était totale, jugeant le but atteint elle claqua une dernière fois le derrière de sa punie.
- allez, debout vilaine, j'espère que vous avez compris, reculottez vous !
La suite de la semaine fut cuisante pour Anne Marie vous vous en doutez bien mais Sylvie sut se montrer aussi câline et douce et malgré des fesses écarlates et brûlantes, la mamie de Caroline découvrit des plaisirs jusque là insoupçonnés. Mais c'est une autre histoire.....
cette partie était ma préférée car les trois générations reçoivent une fessée et savent que Sylvie est la figure d'autorité ultime
RépondreSupprimerChinmay