lundi 18 juillet 2022

Il n'y a pas d'âge pour ça, chapitre 2

 La fessée de maman, suite... 



Julie était un peu inquiète, elle relisait le SMS que lui avait envoyé Sylvie : je serai chez vous dans une heure, j'espère que vous aurez une bonne explication à me fournir au sujet de l’apéro chez votre voisine, quoiqu'il en soit vous pouvez préparer vos fesses !

Oui c'était exact, avant hier elle avait été chez sa voisine en dépit du couvre feu, mais ce n'était pas bien grave et comment Sylvie l'avait elle su. Elle descendit au salon, Caroline était assise sur le canapé et pianotait sur son smartphone, Julie en eu rapidement la certitude, c'était Caroline qui l'avait dénoncée, son petit sourire narquois en était la preuve. La petite peste pensa Julie, elle ne perd rien pour attendre, elle se remémora la semaine, c'est vrai qu'elle avait puni sa fille mardi pour lui avoir mal parlé, la punition avait été la même que celle qu'elle utilisait habituellement, elle avait administré à Caroline une magistrale fessée déculottée, debout dans l'entrée de la maison, sa fille coincée sous son bras, jogging et culotte rapidement descendue la correction avait été rapide et sévère. Caroline s'était réfugiée ensuite dans sa chambre sans prendre le temps de remonter sa culotte et exposant à Julie une magnifique paire de fesses bien rouges. Elle avait voulu certainement se venger, mais que diable avait elle été faire chez sa voisine, elle aurait dû se douter que Caroline s'empresserait de la dénoncer à Sylvie. Maintenant il était trop tard, elle se concentra sur une explication plausible pour Sylvie qui pourrait lui éviter l'humiliation d'une nouvelle fessée déculottée devant sa fille. Elle n’eut pas longtemps pour réfléchir car la sonnette retentit, Caroline se précipita pour ouvrir et accueillir Sylvie celle ci lui fit la bise et fit de même avec Julie qui n’en menait  pas large, le sourire qu’arborait l’énergique mamie s’était mué en regard un peu plus sévère quand Julie s’était levée pour la saluer. D’un geste rapide elle passa sans façon sa main sur la croupe de Julie.

- alors on a préparé ces fesses?

Julie rougit sous l’allusion à la fessée en préparation.

- euh, Sylvie je vais vous expliquer, ce n’est pas ce que vous croyez.

- oh c’est sûr que vous allez vous expliquer et vous avez même intérêt à me trouver une bonne raison pour votre désobéissance mais je pense que vous serez plus à l’aise pour me donner des explications quand vous serez sur mes genoux la culotte baissée. Venez ici!

Sylvie s’était assise sur une chaise et elle indiquait ses genoux à la pauvre Julie qui était devenue écarlate à l’évocation de la mise à nu de ses fesses. Elle s'approcha lentement de Sylvie dès qu'elle fut à sa portée celle-ci lui prit la main et l'attira contre ses genoux, la maman de Caroline était résignée elle ne résistait pas, elle bascula en travers des cuisses de sa nouvelle maman. Elle était redevenue une gamine désobéissante malgré ses 47 ans. Sylvie ne perdit pas de temps, la jupe fut retroussée rapidement découvrant la petite culotte blanche tendue sur le fessier rebondi, Sylvie aimait commencer par une fessée préparatoire sur la culotte mais aujourd'hui elle voulait marquer le coup, ce devait être une punition exemplaire aussi elle baissa immédiatement la culotte d'un geste rapide comme une maman en colère, il fallait que Julie retourne en enfance. La fessée commença immédiatement, rapide et sévère comme celle que Julie avait administré à Caroline quelques jours auparavant. Sylvie en fesseuse expérimentée claquait alternativement chaque fesse. Julie avait décidé de rester stoïque, elle ne voulait pas offrir à Caroline le plaisir de la voir supplier sous la fessée.

Caroline était subjuguée par le spectacle, voir sa mère dans cette position humiliante, recevoir elle aussi une bonne fessée déculottée, ça compensait sa propre humiliation et la cuisson de la fessée reçue le mardi précédent. Certes elle savait qu'elle avait mérité sa punition pour avoir mal parlé à sa mère, mais quand même recevoir une fessée déculottée à plus de 20 ans c'était très humiliant, si ses copines le savaient elles n'en reviendraient pas.

Pour le moment c'était Julie qui se tremoussait sur les genoux de Sylvie, les fesses avaient pris une belle couleur rouge et leur propriétaire commençait à émettre de petits gémissements. Sylvie arrêta la fessée pour descendre la culotte jusqu'aux genoux puis elle reprit la correction en s'attaquant à la base des fesses et au haut des cuisses, la réponse fut immédiate, Julie se mit à crier et à supplier.

- aie aie, non non s'il vous plaît aie non ça brûle.. Pardon..

Sylvie était satisfaite de la réaction de sa punie, elle continua en s'appliquant à ne laisser aucune zone du généreux fessier à l'abri des claques, le résultat ne se fit pas attendre, Julie se mit à pleurer sous la brûlure, c'était le moment attendu par Sylvie, elle continua cependant la fessée pendant quelques instants. Julie n'était plus qu'une gamine implorant le pardon de sa mamie, Sylvie posa sa main sur l'épiderme brûlant.

- voilà ce que j'appelle une bonne fessée, maintenant vous pouvez me donner une explication à votre désobéissance...

Julie sanglotait et ne répondit pas, ses fesses se serraient et s'ouvraient pour essayer d'atténuer la cuisson. Une claque atterrit sur sa croupe enflammée.

- alors ! Vous deviez m'expliquer, j'attends !

Julie gémit sous la reprise de la fessée.

- non, non, pardon oui, j'ai compris, plus la fessée s'il vous plaît.

- c'est bien ce que je pensais, vous n'avez aucune explication à me donner et bien je pense que je n'en ai pas fini avec votre derrière, vous allez le faire refroidir au coin, ça vous permettra de réfléchir et ensuite on va passer à la punition.

Julie voulu protester, elle jugeait avoir été déjà assez punie mais allongée fesses à l'air sur les genoux de Sylvie elle n'osa pas. Dès qu'elle fut debout, la sévère mamie la prit par l'oreille pour la conduire au coin. Elle remonta à mi cuisse la culotte qui avait glissé jusqu'aux chevilles et coinça la jupe dans la ceinture pour dégager les fesses écarlates.



Le téléphone sonna, Caroline s'empressa de répondre.

- c'est mamy, elle fait des courses à côté, elle va passer.

Julie poussa un cri et se retourna.

- oh non, s'il vous plaît Sylvie, il ne faut pas que ma mère me voies ainsi.

Sylvie fronça les sourcils et saisissant la désobéissante par l'oreille elle lui replaça le nez contre le mur en lui administrant une dizaine de claques sur les fesses endolories.

- depuis quand une punie décide de quitter son coin ! Je ne veux pas vous entendre, collez bien votre nez au mur sinon gare !! Votre maman arrive, mais c'est très bien je pense qu'elle va être ravie d'apprendre votre conduite et le bon exemple que vous donnez à Caroline.

En effet quelques minutes plus tard Anne Marie la mère de Julie entrait dans la pièce, c'était une petite dame dynamique aux cheveux blancs, elle eut un moment d'arrêt devant le spectacle que lui offrait sa fille. Julie aurait voulu rentrer sous terre, elle serra ses fesses écarlates et appuya un peu plus son nez contre le mur. 

- mais que se passe t il ? 

Sylvie en souriant lui répondit 

- bonjour Anne Marie, je suis contente de faire votre connaissance, je vais vous expliquer. 

Rapidement Sylvie fit le point sur la situation, ses rapports avec Caroline, la dernière fessée qu'elle avait administré à Julie pour ne pas avoir respecté le confinement et aujourd'hui où elle l'avait puni pour avoir été prendre l'apéritif chez sa voisine malgré le couvre feu. Le regard d'Anne Marie allait des fesses rouges de sa fille au regard déterminé de Sylvie, Caroline lui avait parlé de sa nouvelle amie mais elle s'était bien gardé de lui dire qu'elle lui administrait la fessée en cas de désobéissance ou de bêtises.

 Elle même avait été une adepte de la fessée pour l'éducation de Julie, celle-ci avait même reçu cette punition infantile jusqu'à un âge avancé, sa dernière fessée remontait juste avant la naissance de Caroline alors qu'elle avait 26 ans. Elle n'était donc pas choquée par la situation, juste un peu surprise. 

- mais vous avez eu tout à fait raison ma chère Sylvie, si je l'avais moi même appris je pense que Julie aurait entendu parler du pays, je ne sais pas si j'aurais pensé à la fessée vu son âge mais finalement je crois que c'est la bonne solution et si je ne me retenais pas, je lui en donnerais une autre. 

- mais ne vous retenez pas ma chère, j'avais prévu d'administrer une deuxième fessée à Julie pour avoir été incapable de me donner des explications à sa conduite inqualifiable, si vous voulez prendre le relais ça sera avec plaisir. 

Anne Marie regarda à nouveau le fessier rougi de sa fille. Depuis le temps que Julie l'agaçait, à de nombreuses reprises elle avait regretté l'époque où elle pouvait lui baisser la culotte pour son insolence sa main l'avait demangé plus d'une fois, l'occasion était trop belle, elle interpella sa fille. 

- Julie vient ici ! 

La dame de 47 ans qui était au coin comme une gamine ne bougea pas, elle était tétanisée. Anne Marie se dirigea vers elle. 

- Julie, je ne vais pas le répéter ! 

- oh, non maman, je t'en supplie, pardon... 

Julie retrouvait ses accents de jeune fille, quand elle savait la punition inéluctable mais qu'elle essayait de retarder l'échéance, le ton de sa mère ne laissait aucun doute sur l'issue, elle se décida à quitter son coin, les joues aussi rouges que ses fesses et les yeux larmoyant elle fit face à Anne Marie, celle ci lui prit la main et se dirigea vers la chaise qui avait servi pour la  première fessée. En un instant elles retrouvèrent chacune leurs habitudes, Anne Marie tirant le bras de sa fille pour la basculer en travers de ses cuisses et Julie se laissant faire puis assurant sa position en posant ses mains par terre. Plus de vingt ans avait passé depuis sa dernière fessée mais Julie avait l'impression que c'était hier. Anne Marie posa sa main sur la croupe de sa fille, elle la caressa comme pour en reprendre possession, certes ses fesses avaient pris un peu de volume avec l'âge mais elles étaient parfaites et même particulièrement appétissantes pour une fesseuse. 

- tu sais que je n'aimais pas quand tu désobéissais, malgré tes 47 ans ma chérie, ça n'a pas changé, une bonne fessée déculottée voilà qui va te rappeler de bons souvenirs. Sylvie intervint juste avant qu'elle ne commence la punition. 

- si vous voulez je peux vous prêter ma brosse à cheveux, Julie a déjà reçu une bonne fessée à la main et je pense qu'avec une si belle paire de fesses une deuxième fessée à la brosse lui ferait le plus grand bien. 

- je vous remercie, Sylvie mais j'ai toujours donné la fessée à la main et je pense ne pas avoir perdu l'habitude, je pense que Julie va la sentir passer. 

Sylvie souriait ravie de la situation, elle reposa sa brosse sur la table. 

- comme vous voulez, elle est à votre disposition si vous le jugez utile. Mais puisque vous vous occupez de Julie, je vais avoir un entretien avec Caroline, si vous pouvez patienter, nous fesserons de concert. 

En entendant ces mots Caroline avait quitté des yeux les fesses bien présentées de sa mère et jeté un regard inquiet vers Sylvie. 

- mais je n'ai rien fait. 

- oh que si ma chérie, je crois que tu n'as pas très bien parlé à ta maman mardi dernier. 

- euh...oui mais j'ai déjà été punie... 

Caroline se souvenait de la magistrale fessée reçue directement en arrivant à la maison, ses fesses se serraient rien que de penser à la brûlure et à son humiliation. 

- je sais ma chérie et Julie a eu tout à fait raison mais ce n'est pas pour avoir répondu à ta maman que je vais te corriger, c'est pour ton langage, tu sais très bien que je déteste quand tu dis des gros mots. 

Sylvie plaça une chaise en face de celle d'Anne Marie et fit un signe à Caroline. 

- vient ici ! 

Pendant ce temps Julie était toujours allongée sur les genoux de sa mère exposant sa paire de fesses rougies, l'attente dans cette position renforçait son humiliation et la ramenait vraiment au rang de gamine n'ayant pas voix au chapitre.

Caroline était maintenant devant Sylvie tête basse, la mamie fesseuse glissa ses doigts dans la ceinture du leggins et le fit glisser le long des fesses de la jeune femme, dans le même mouvement elle entraîna la petite culotte à fleur, les fesses blanches serrées par l'angoisse et la honte apparurent aux yeux d'Anne Marie qui patientait. Au contraire de celle de Julie elle n'avait pas eu l'occasion de corriger celle de sa petite fille, elle constata une ressemblance entre les deux fessiers, certes celui de Caroline était un peu plus musclé que celui de sa mère, mais il était bien dodu et convenait parfaitement pour une bonne fessée cul nu. Sylvie n'avait pas perdu de temps et bientôt la mère et la fille furent dans la même position. 



Les deux fesseuses se regardèrent avec un petit sourire de connivence et la double fessée commença. Sylvie constata qu'effectivement Anne Marie n'avait pas perdu la main, Julie devait s'en rendre compte elle aussi, elle se mit immédiatement à gémir sous la brûlure des claques distribuées généreusement sur ses fesses déjà endolories par la précédente fessée. Rapidement le fessier repris une couleur étincelante, un beau rouge carmin couvrait maintenant toute sa surface, Julie battait des jambes frénétiquement, sa mère ravie de retrouver ces sensations ne faiblissait pas, elle jeta un regard vers Caroline qui recevait la même correction que sa mère, elle aussi donnait de la voix, c'était un concerto à deux mains et quatre fesses, elle sourit ravie de ce bon mot. Elle cessa la fessée manuelle et saisit la brosse sur la table. Julie hurla au premier coup. Elle n'avait jamais reçu une fessée avec cet instrument et il était vraiment redoutable, ses gesticulations désordonnées ouvraient maintenant largement sa raie fessiere et Anne Marie avait une vue parfaite sur son intimité. De son côté, Caroline pleurait à chaudes larmes, même si la fessée de Sylvie avait été un peu moins sévère, ses fesses étaient écarlates, les larmes de Julie vinrent bientôt se mêler aux siennes. Les deux fessées avaient atteint leur but, Sylvie et Anne Marie se regardèrent et la double correction s'arrêta. Elles carressaient chacune le fessier brûlant à leurs dispositions, appréciant la courbe des fesses s'insinuant dans la raie fessiere pour écarter légèrement les cuisses. On sentait chez les deux mamie un amour de la fessée, les deux punies se laissaient faire soulagées que la punition soit terminée mais humiliées quand même par cet examen impudique de leur intimité. D'un commun accord elles furent remises sur pied et sans surprise conduite au coin, chaque maîtresse tenant sa punie par l'oreille. Anne Marie avait retrouvé toute son autorité, une vigoureuse claque appliquée sur la croupe écarlate de sa fille lui signifia qu'il était temps pour elle de réfléchir à sa nouvelle condition. 

- tu mets tes mains sur la tête et je ne veux plus t'entendre, ce n'est pas ta dernière fessée, crois moi nous avons du temps à rattraper. 

Julie obéi en reniflant, elle était passée en moins d'une heure du statut de femme mûre à celui peu enviable de punie exposant ses fesses nues le nez contre le mur. Caroline lui tenait compagnie, son leggins aux chevilles, Sylvie avait remonté sa culotte à mi cuisse, elle tenait au spectacle de la lingerie blanche soulignant le rouge des fesses. Elle avait elle aussi reçu deux claques sur les fesses brûlantes pour l'inciter à garder la position prescrite. 



Satisfaite les deux fesseuses s'assirent côte à côte sur le canapé pour jouir du spectacle. La conversation tourna bien sûr autour de ce châtiment traditionnel, c'était deux inconditionnelle de la bonne fessée déculottée. Elles échangeaient leurs expériences de fessées données et même reçues. Sylvie avec un petit sourire mutin entrepris de sonder sa nouvelle amie. 

- mais ma petite Anne Marie, ça fait donc bien longtemps que tu n'as pas eu le plaisir de goûter à la bonne petite fessée ? 

La maman de Julie rougit légèrement et répondit à voix plus basse. 

- non.. euh.. c'est à dire... Oh quand même Sylvie vous n'y pensez pas. 

Sylvie mis son doigt sur la bouche pour lui signifier le silence puis elle lui prit la main et l'entraina vers la chambre de Caroline. Avant de quitter la pièce elle avait prévenu les deux punies. 

- vous ne bougez pas de là sinon gare à vous ! 

Assise sur le lit de Caroline, Sylvie tapota ses cuisses et fit un petit signe à Anne Marie, celle ci avait les joues rouges de confusion et d'excitation mêlée, elle s'approcha. 

- en position ma belle ! 

Sylvie lui avait pris la main et l'avait basculée en travers de ses cuisses. La jupe vola sur ses reins dévoilant une jolie petite paire de fesses moulée dans une culotte en dentelle rose.

- mes félicitations Anne Marie, jolie culotte.... 

Sylvie commença à claquer doucement les fesses encore culottées, malgré son âge la mamy de Caroline avait encore des fesses agréables, bien que beaucoup plus menue que sa fille elle avait quand même des formes. 



- une fessée déculottée, madame c'est ce qui vous a manqué, voilà cul nu comme une sale gamine. 

Tout en grondant doucement la grand mère redevenue une gamine, Sylvie avait baissé la culotte, Anne Marie honteuse de la situation serrait les fesses mais ravie de retrouver des sensations enfouies elle se laissait faire. Bientôt le bruit caractéristique de la fessée administrée sur un derrière dénudé retenti dans la pièce. Anne Marie se mit à gémir et à tortiller son popotin, la fessée sur la culotte avait été légère mais Sylvie voulait tout de même marquer son autorité, elle claquait donc fermement les fesses qui bientôt prirent une jolie couleur. Comme toutes les punies, Anne Marie ne put retenir ses supplications mais elle ne cherchait pas à se dérober à son châtiment, elle était revenue 50 ans en arrière quand sa propre mère la corrigeait de cette façon, ses fesses brûlantes lui rappelait tant de souvenirs. La main de Sylvie se fit carressante. 

- voilà ce qui s'appelle une bonne fessée déculottée ma chère, vos fesses n'ont rien à envier à celle de Caroline, évidemment elles sont moins rouges que celle de Julie qui sont hors concours. Vous vous êtes surpassée, je pense qu'elle va avoir du mal à s'asseoir pendant toute la journée. 

Elle remonta la culotte d'Anne Marie comme l'aurait fait une maman. 

- bon allez, c'est fini, vous n'irez pas au coin aujourd'hui, il faut que nous allions voir nos deux chipies. 

Les deux chipies en question n'avaient pas bougé mais elles avaient entendu le bruit de la fessée. Caroline n'en croyait pas ses oreilles, une des deux mamies recevait une fessée et au bruit celle ci, elle était déculottée, connaissant  Sylvie elle se doutait que c'était sa grande mère qui était couchée fesses à l'air sur les genoux de son amie,




 pour Julie cela ne faisait aucun doute non plus mais la cuisson de ses fesses était encore trop importante pour pouvoir savourer sa petite vengeance. 

Sylvie claqua le derrière d'Anne Marie pour la faire avancer. 

- la prochaine fois je serai plus sévère et la fessée ne sera pas toujours en privé ma chère. 

Anne Marie rougit un peu de honte et de plaisir, des perspectives s'ouvraient devant elle. Les fesses de sa fille étaient à nouveau à sa disposition et une nouvelle maîtresse allait s'occuper des siennes.


A suivre... 


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