dimanche 17 juillet 2022

Il n'y a pas d'âge pour ça

 Une petite série en trois épisodes déjà publié sur le blog disparu bulledefessees.

J'ai mis de nouvelles illustrations. 

La fessée de maman. 



 Caroline  discutait tranquillement avec son amie Sylvie, elle l'avait invitée à prendre un thé, malgré leur grande différence d'âge la jeune femme adorait parler à celle qu'elle appelait affectueusement mamie. La mère de Caroline entra dans la pièce, c'était une jolie femme de 47 ans, un peu ronde. Elle connaissait Sylvie pour l'avoir déjà croisée, Caroline l'invita à se joindre à elle. La conversation roula rapidement sur les contraintes sanitaires qui n'étaient pas toujours suivie, Sylvie s'adressa à Julie.

- dites moi madame, est ce vrai ce que Caroline m'a raconté que vous n'aviez pas respecté le confinement, vous avez été manger chez des amis ?

Julie rougi légèrement et répondit

- euh, c'est à dire que... Oui mais une seule fois, ce n'est pas bien grave.

Sylvie avait pris son air sévère de professeur de français en retraite que Caroline connaissait bien et qui n'augurait rien de bon en général pour ses fesses.

- comment ça, ce n'est pas grave, mais vous croyez vraiment que c'est un exemple pour Caroline, c'est une loi, tout le monde doit s'y soumettre, Caroline m'a expliqué comment vous la traitez quand elle désobéi à vos consignes et je vous en félicite mais vous a votre âge vous pensez que c'est raisonnable ?

Julie avait rougi, elle baissa les yeux, Sylvie l'impressionnait, surtout qu'elle continuait ses réprimandes.

- Caroline a reçu une bonne fessée déculottée la dernière fois qu'elle vous a désobéi en passant sa nuit sur Twitter et c'était justifié, à votre avis que méritez vous pour ne pas avoir respecté les consignes, Julie était de plus en plus mal à l'aise, elle tournait sa cuillère dans sa tasse sans répondre.

- vous ne répondez pas ? C'est un très mauvais exemple pour notre petite Caroline, je pense que vous le savez parfaitement !! Je vais donc vous le dire, ce que vous méritez c'est une bonne fessée déculottée, un point c'est tout.

Elle regarda Julie avec son regard sévère, la mère de Caroline aurait voulu rentrer sous terre, elle osa quand même une protestation.

- oui c'est vrai, vous avez raison j'ai été idiote mais quand même, vous exagérez, une fessée à mon âge !

- parfaitement une fessée !! Et même une fessée déculottée !! Et ne me parlez pas de votre âge, je pense que Caroline n'est plus une gamine et pourtant vous lui baissez bien la culotte quand c'est nécessaire.

Julie était déstabilisée, elle ne répondit pas. Sylvie se leva et prit une chaise qu'elle déplaça au centre de la pièce,elle s'y assit et fit un signe à Julie.

- nous allons régler ce problème de désobéissance immédiatement, venez ici !

Julie sembla prendre conscience de la situation, elle était de plus en plus rouge.

- non, non vous n'y pensez pas, je sais que j'ai fait une faute, je suis désolée mais vous n'allez quand même pas me donner la fessée.

Elle se tourna vers Caroline.  

- enfin... Pas ici, pas devant ma fille.

Sylvie sourit doucement, elle tapotait ses cuisses.

- ne perdons pas de temps, la présence de Caroline rendra la leçon plus profitable, si je suis obligée de venir vous chercher je vous promet que vos fesses vont le regretter.

Malgré le sourire, le ton était sans réplique. Julie se leva et s'approcha de la sévère mamie, dès qu'elle fut à sa portée, Sylvie lui prit la main et la fit basculer en travers de ses genoux. Julie connaissait la position c'était celle qu'elle utilisait pour corriger Caroline et c'était également celle qu'avait utilisé il y a longtemps sa propre mère pour la fesser même adolescente. En un clin d'œil elle était passée du statut de secrétaire médicale de 47 ans, mère d'une grande fille de 20 ans à celui de gamine punie par une mamie en colère. Elle sentit avec horreur sa jupe se retrousser sur ses reins et la main de Sylvie carresser sa culotte tendue sur ses fesses rebondies.

- c'est bien vous portez des culottes blanches bien sages c'est ce qu'il faut mettre quand on reçoit encore la fessée. Julie songea au spectacle qu'elle offrait, elle avait une bonne paire de fesses, elle sentait que sa culotte rentrait un peu dans sa raie, la base de ses fesses devaient être découvertes, quelle honte.... Soudain la main de Sylvie claqua la culotte tendue, Julie poussa un cri de surprise, ce n'était pas très douloureux mais tellement humiliant de recevoir la fessée dans cette position à son âge. La main de Sylvie claquait soigneusement toute la surface du fessier de Julie, alternant une fesse après l'autre, de temps en temps elle claquait la base des fesses qui débordait légèrement de la culotte entraînant des cris un peu plus aigu de la punie.



 Après une centaine de claques bien distribuées, elle cessa la fessée et introduisant ses doigts dans la ceinture de la culotte elle entreprit de la baisser. Julie poussa un cri de désespoir.

- noon, s'il vous plaît, Sylvie pas la culotte, noon.

La sévère mamie toujours souriante ne s'arrêta pas à ces jérémiades, elle continua tranquillement à faire descendre la lingerie sur les fesses de Julie, résignée et sachant par expérience que résister pouvait rendre la punition plus sévère, la dame redevenue une gamine se contenta de pleurnicher et de serrer ses cuisses dans l'espoir de protéger sa pudeur.

- comment ça, pas la culotte, mais ma chère vous le savez très bien, une fessée c'est toujours déculottée, vous ne pensiez tout de même pas vous en tirer avec quelques claques sur la culotte.

La culotte était maintenant arrivée à mi cuisse et Julie exposait sa croupe épanouie déjà rosée par la fessée préparatoire. Caroline se délectait du spectacle, sa maman si prompte à lui baisser la culotte à la moindre incartade était maintenant dans une position peu enviable, troussée et déculottée comme une gamine sur les genoux de Sylvie. C'est vrai pensa t elle, pour son âge maman a de bien jolies fesses. Julie était désespérée, elle savait que sa fille ne devait pas perdre une once du spectacle, elle serrait convulsivement ses fesses. 



La première claque arriva, un bruit sec dans le silence de la pièce puis une deuxième et enfin une avalanche de claques sur les deux fesses qui maintenant s'ouvraient et se refermaient au rythme de la correction. Julie n'avait plus reçu de fessée depuis bien longtemps, elle ne se souvenait pas qu'une simple fessée manuelle puisse faire aussi mal, elle se mit à supplier au milieu de ses cris de douleur, Sylvie n'en tenait pas compte quand elle jugeait qu'une dame méritait la fessée, elle l'administrait sans état d'âme quelque soit l'âge de la punie. La large croupe était maintenant entièrement rouge, Sylvie s'attaqua à l'arrière des cuisses, le résultat ne se fit pas attendre, Julie se mit à pleurer. C'était ce qu'attendait Sylvie, elle considérait qu'une fessée pour être efficace devait aller jusqu'aux larmes, ainsi la leçon était retenue. Elle cessa la punition et garda un moment la maman de Caroline sur ses genoux, quand les pleurs se calmèrent elle la fit se relever, Julie les joues aussi rouges que ses fesses n'osait pas lever les yeux, Sylvie lui saisi l'oreille et la conduisit au coin.

- tenez votre jupe retroussée, qu'on voie bien vos jolies fesses et mettez votre nez contre le mur, vous allez rester au coin un moment afin de réfléchir.



Elle avait remonté la culotte à mi cuisse, sa blancheur soulignait le rouge des fesses.

Caroline était abasourdie par ce qu'elle venait de voir, sa propre mère fessée cul nu devant elle, qu'elle honte. Elle ne pouvait pas s'empêcher de penser qu'après tout elle ne l'avait pas volée cette fessée, car de temps en temps elle lui administrait des fessées pour des raisons moins graves que celle là.

Sylvie vint se rasseoir à côté d'elle et se servit du thé. Julie contractait ses fesses pour essayer d'atténuer la cuisson, on sentait qu'elle mourrait d'envie de les frotter.

- tu vois ma petite Caroline, il n'y a pas que toi qui reçoit la fessée déculottée quand tu désobéis, je te l'ai souvent dit, il n'y a pas d'âge pour apprendre.

Caroline savourait le spectacle mais la remarque de Sylvie lui rappelait que ses fesses n'étaient pas à l'abri, elle songea qu'elle aussi elle n'avait pas respecté le confinement....


À suivre.... 


1 commentaire:

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...