Béatrice en retraite.
Julie avait remarqué cette dame d'une soixantaine d'années, elle l'a croisait régulièrement en venant chercher son courrier. Ce matin la, après les banalités d'usage Béatrice puisqu'elle s'appelait ainsi regarda Julie en souriant et lui dit.
- j'en connais une qui n'a pas du avoir froid aux fesses cette nuit.
Interloquée Julie la regarda, ne sachant que répondre. Des images s'entrechoquaient dans sa tête, froid aux fesses ? Soudain elle se rappela qu'hier soir sa petite amie Lucie était rentrée tard sans l'avoir prévenue et que comme elle en avait souvent l'habitude depuis qu'elles étaient en couple elle lui avait administré une bonne fessée déculottée. Béatrice devant la mine un peu surprise de sa voisine ajouta.
- j'habite au troisième étage dans l'autre immeuble, j'ai une vue plongeante sur votre chambre quand la lumière est allumée.
Julie se souvint que tout à sa colère elle avait entraîné Lucie dans la chambre l'avait couchée sur ses genoux comme une gamine, troussée et déculottée, sans vérifier que les rideaux étaient fermés. Comprenant la situation et devant le sourire coquin de sa voisine elle lui répondit du tac au tac.
- oh vous savez, il n'y a pas d'âge pour recevoir la fessée, ça règle bien des problèmes et rapidement.
Julie était une adepte de la fessée depuis de nombreuses années, elle avait la quarantaine aimait la compagnie des dames plus que celle des messieurs et ses amies et amantes étaient rapidement mises au courant, des la première rencontre intime, leurs fesses faisaient connaissance avec la main de Julie, celles à qui cela ne convenait pas ne faisaient pas long feu. La petite Lucie, sa dernière conquête était une étudiante en médecine âgée de 24 ans à qui elle avait fait découvrir les plaisirs saphiques mais également les plaisirs de recevoir une vraie bonne fessée déculottée, que cela soit dans un but érotique ou punitif, le résultat était le même Lucie finissait la soirée avec une paire de fesses écarlates.
Si Julie était d'humeur coquine, c'était dans son lit, si elle avait fait une bêtise c'était nez contre le mur la culotte baissée et les mains sur la tête. Béatrice saisi la balle au bond, elle avait pris sa retraite depuis 2 ans et depuis cette date elle n'avait plus reçu de fessée ni même abordé ce problème.
- c'est tout à fait mon avis madame, l'éducation peut se poursuivre à tout âge.
Julie était ravie de pouvoir discuter de sa passion aussi invita t elle sa voisine à venir prendre un thé l'après midi même.
Beatrice et Julie sympathisèrent immédiatement, la fessée était leur point commun et il ya tant à dire sur ce sujet.
Julie intriguée questionna sa voisine, elle savait qu’elle était institutrice en retraite et dans sa tête ce métier avait conduit Béatrice a devenir une fesseuse, vu son âge elle avait du au début de sa carrière fréquenter des écoles où la fessée si elle n’était plus formellement autorisée, restait malgré tout pratiquée dans le secret des salles de classe lors des heures de colle ou autres retenues.
Qu’elle ne fut pas sa surprise quand elle apprit de la bouche de cette charmante dame que ce n’était pas elle qui donnait la fessée mais au contraire elle qui se retrouvait le plus souvent dans une position peu conforme à son âge, couchée sur les genoux d’une dame avec la culotte baissée de façon à bien présenter ses fesses.
Elle lui raconta ainsi que du début de sa carrière sous l'autorité de madame Verdu puis après sa retraite par sa remplaçante elle avait reçu la fessée.
Le lendemain elle revint voir Julie, elle avait amené un carton qui contenait des petits carnets rouges,
il y en avait exactement 38, correspondant au 38 ans de sa carrière, sur les 15 premiers on reconnaissait l'écriture de madame Verdu qui avait noté scrupuleusement toute les fessées reçues par sa jeune collègue, leurs motifs et l'instrument utilisé. Les 23 suivants avaient été remplis par Alice la jeune directrice qui avait succédé à madame Verdu, Julie constata en les parcourant que les fessées y étaient aussi rigoureuses et même plus nombreuses.
Elle regarda Béatrice en souriant
- et bien dites moi, vos fesses ont été toujours bien entretenues. Mais dites moi depuis que vous êtes en retraite qui s'en occupent ?
Béatrice rougit et baissa les yeux sans répondre. Julie saisit la balle au bond.
- il ne faut pas perdre de si bonnes habitudes ma chère.
Elle tapota ses cuisses.
- en position et vite !
Béatrice émit un petit soupir mais docilement elle vint se placer contre les genoux de sa voisine, Julie la fit basculer en travers de ses genoux. Quelques instants plus tard Béatrice retrouvait des sensations connues, l'air frais sur ses cuisses signe du retroussage de sa jupe et les doigts qui s'insinuait dans l'élastique de sa culotte.
- depuis combien de temps n'avez vous pas reçu la fessée Béatrice ?
L'institutrice retraitée avoua que cela faisait plus de deux ans.
- et bien nous avons du retard à rattraper, on va commencer par une bonne fessée déculottée... Oui madame, cul nu comme une sale gamine !
Bientôt le bruit caractéristique des claques retentissant sur la peau nue envahi la pièce.
Ce n'était qu'un début....
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