Journée fesses rouges pour Sylvie
Je dormais profondément, le vieux dicton qui dit qu’on dort mieux avec une paire de fesses bien rouge était donc vrai.
La porte de la chambre s’ouvrit brusquement :
— Debout paresseuse.
Héloïse tira les rideaux et la lumière envahit la chambre, avant que j’aie eu le temps de réagir, elle tira sur ma couette. Ma courte nuisette était légèrement relevée, par un réflexe de pudeur, je la remis en place, ce qui eut le don de faire rire ma jeune maîtresse :
— Tu sais que je connais parfaitement ton côté pile et ton côté face ma chérie et je pense qu’aujourd’hui tu vas me montrer beaucoup de choses.
J’adore quand ma petite Sylvie retrouve ses réflexes de dame et veut me cacher son intimité, c’était charmant cette façon de tirer sur sa nuisette. Il me tardait quand même de voir son bon gros derrière :
— Tourne-toi que je voie tes fesses.
C’est plaisant d’être obéie au doigt et à l’œil, sans discuter ma petite Sylvie s’est mise sur le ventre. La chemise de nuit que je lui fait porter arrive à peine à mi-cuisse, au moindre de ses mouvements la base de son derrière apparaît. J’ai saisi l’ourlet pour mettre à nu son plantureux derrière, elle serrait déjà les fesses.
Sentir l’air sur son derrière dès le matin n’augurait rien de bon, j’en eus rapidement la confirmation :
— J’espère que tu te rappelles ce que je t’ai promis la dernière fois, la prochaine fois que je suis obligée de sévir, ce sera une journée fesses rouges. Eh bien nous y voilà.
J’ai senti sa main qui palpait ma croupe, même si je commence à en avoir l’habitude, cette inspection de mes rondeurs postérieures est toujours aussi humiliant :
— Ton derrière est en parfait état, à peine rosé, je te garantis que demain ce ne sera pas le cas, après une journée fesses rouges, ton derrière sera beaucoup plus coloré. Allez debout !
Son large derrière étalé devant mes yeux m’avait passablement excitée, mais je voulais vraiment rester une maman sévère, elle avait fait la bêtise de trop ses fesses allaient en payer le prix.
Je me suis installée au bout du lit, elle se tenait la tête baissée devant moi, je lui pris la main et elle s’est couchée docilement en travers de mes cuisses. Cette nuisette est vraiment pratique pour mettre son derrière à l’air.
Je me remémore les conseils du blog de Sylvie Bouger, une fessée déculottée tous les quarts d’heure la première heure, allons-y.
Je ne m’attendais pas à une fessée si sévère dès le matin, ses claques se succédaient à un rythme infernal. Je devais lui offrir une vue magnifique sur mon entre-cuisse, j’ai eu beau la supplier la correction se poursuivit jusqu’à son terme :
— Je vais t’apprendre à désobéir, à madame ne veux pas comprendre ? Eh bien c’est à tes fesses que je vais m’adresser.
Mes fesses étaient brûlantes quand j’ai pu me relever, je n’avais pas pleuré, mais les larmes n’étaient pas loin.
Elle m’a fait tourner devant la glace :
— Tiens ta nuisette et regarde tes fesses tu vois comme elles sont rouges et bien elles vont rester comme ça toute la journée.
Mon bon gros derrière était écarlate, j’avais honte d’être obligée de le regarder, ça me brûlait et ce n’était que le début.
— Tu viens avec moi à la cuisine, tu vas aller au coin pendant que je prépare le petit déjeuner.
Elle m’a administré une magistrale claque au milieu des fesses pour me faire avancer :
— Garde ta chemise de nuit retroussée que je voie bien ton gros popotin.
Elle a le chic pour trouver les phrases humiliantes, je me suis exécutée.
Quel charmant spectacle que de suivre ma petite Sylvie tenant sa nuisette, relevée, ses deux bonnes grosses fesses, rouges comme des tomates, se dandinant au rythme de ses pas. Je ne me lasserai jamais de ce spectacle et j’ai beau me moquer du volume de son fessier, j’avoue que c’est quand même très agréable pour lui administrer une bonne fessée.
Une fois dans la cuisine, elle s’est dirigée naturellement vers le coin qui lui est réservé, le martinet est suspendu juste à côté. J’ai pris une pince à linge pour agrafer sa nuisette dans son dos et elle a mis immédiatement ses mains sur sa tête. Elle commence à être parfaitement éduquée.
Le nez collé au mur je l’entendais préparer le petit déjeuner, elle chantonnait, apparemment m’administrer une fessée déculottée au réveil l’avait mis de bonne humeur. D’habitude je trouve le temps long quand je suis au coin, mais je savais qu’elle n’en avait pas fini avec mes fesses, finalement j’étais bien là.
Elle m’a enfin appelé :
— Viens ici.
Elle était assise sur une chaise qu’elle avait tiré au milieu de la pièce, j’ai tout de suite remarqué la brosse à cheveux posée sur la table, son doigt me désignait ses genoux. Je me suis approchée, ça a été rapide, j’étais à nouveau en position disciplinaire. Elle a tapoté mes fesses :
— Tu es prête ma chérie, deuxième fessée de la journée.
La cuisson à été immédiate et terrible, je me suis cabrée, je pédalais dans le vide. La brosse s’abattait avec régularité sur chacune de mes fesses, c’était affreux :
— Alors comme ça tu as décidé de n’en faire qu’à ta tête et tu pensais peut-être que j’allais laisser passer ça, eh bien tu te trompes ma chérie, je te garantis que ton bon gros derrière va te brûler toute la journée.
Sur le blog de référence que j’ai bien étudié, il était fortement conseillé d’utiliser au moins une fois un instrument pour les premières fessées, ceci afin de faire monter la température du fessier et qu’il reste rouge plus longtemps. J’adore utiliser la brosse à cheveux pour corriger Sylvie, c’est une brosse que j’ai achetée spécialement pour s’occuper de son gros derrière, elle est lourde et large, je l’ai bien en main. Chaque coup sur la croupe déclenche un cri de la punie, ses fesses s’ouvrent et se serrent au rythme de la punition, ma chérie va se rappeler qu’il ne faut pas me désobéir chaque fois qu’elle va s’asseoir.
Son derrière était déjà bien rouge, maintenant il est cramoisi et Sylvie n’a pas pu retenir ses pleurs plus longtemps, j’ai maintenant, couchée sur mes genoux, une grande fille punie par sa maman.
C’est moi la maman, même si je n’en ai pas l’âge et que la dame éplorée couchée sur mes cuisses pourrait quasiment être ma grand-mère, mais ce n’est pas un jeu, je prends très au sérieux mon rôle, la couleur des fesses de Sylvie est là pour en témoigner.
— Maintenant tu cesses de chouiner, tu n’as que ce que tu mérites, on va déjeuner et tu recevras ta troisième fessée ensuite.
J’étais debout devant elle, j’aurais tellement aimé me frotter les fesses, elle me désignait la chaise sur laquelle je posai délicatement mon fessier brûlant, je dus faire une grimace, car Héloïse se mit à rire :
— Madame a mal à son gros popotin ? J’espère que tu commences à comprendre, de toute façon tu vas les sentir toute la journée tes bonnes grosses fesses bien rouges.
J’ai essayé de faire bonne figure, je sais qu’elle déteste quand je fais la tête après avoir été punie. Mes fesses brûlantes posées sur la chaise, j’ai bu mon café et mangé une tartine, Héloïse avait posé la brosse à cheveux bien en évidence sur la table, j’y jetais un œil de temps en temps, le souvenir de sa trace sur mon derrière était encore bien présent, elle surprit mon regard :
— C’est très efficace pour rougir le derrière des vilaines, je suis sûr que tes fesses ont apprécié. Lève-toi et viens me les montrer.
Je venais juste de finir ma tasse, elle avait reculé sa chaise, le signe était explicite, je me tournai pour lui présenter ma croupe, elle appuya sur mon dos pour me faire pencher en avant, je sentis ses doigts caresser mes fesses douloureuses, puis les écarter :
— Tu as vraiment une magnifique paire de fesses ma chérie, surtout quand elles sont bien rouges. C’est la couleur qu’elles vont garder toute la journée, Allez, viens ici.
Elle me désignait à nouveau ses cuisses, j’ai essayé de protester.
C’est quand même extraordinaire, elle sait que se plaindre ou essayer d’échapper à sa punition lui vaut toujours une dose supplémentaire, mais elle ne peut s’en empêcher :
— Mademoiselle, s’il vous plaît pas encore la fessée, mes fesses sont déjà bien rouges… Aïe, aïe…
Ma main a claqué ses cuisses et elle s’est mise à sautiller sur place, j’ai pris mon air de maman sévère :
— Décidément tu ne veux en faire qu’à ta tête, si j’ai décidé de te flanquer une fessée, tu sais bien que tu n’as rien à dire. Tu viens juste de gagner une déculottée supplémentaire. Je vais compter, si à trois tu n’es pas en position, je te pèle le derrière ! Un…
En général, c’est radical, je ne dépasse plus jamais deux depuis qu’un jour elle m’a forcée à compter jusqu’à quatre, la correction qu’elle a reçue ce jour-là lui a laissé les fesses cramoisies pendant toute la soirée et en plus je me suis installée sur la terrasse pour la punir. Elle ne s’avise plus de recommencer, à peine le chiffre magique avait-il été prononcé que son bon gros popotin bien rouge s’étalait devant mes yeux, je l’ai palpé et pincé. En fait j’adore quand elle récrimine, ça me donne l’occasion de claquer encore plus fort son derrière.
— Donc la troisième fessée qui était prévue et un petit supplément avec ma pantoufle, tu es prête ?
Je le sais pourtant, mais c’est plus fort que moi, j’étais bonne pour me faire rôtir le derrière une fois de plus. Héloïse claque vraiment très fort avec sa main, mes fesses étaient encore cuisantes de la correction à la brosse, cette simple fessée manuelle m’a horriblement brûlée. Je pleurais comme une madeleine, mais ça ne l’a pas empêchée de se pencher pour prendre sa pantoufle, elle a une semelle en cuir et depuis qu’elle a découvert sur un blog que c’était très utilisé par les mamans au Maghreb, elle ne s’en prive pas.
— Cette fessée ne compte pas pour la journée fesses rouges, c’est un bonus n’est-ce pas ma chérie. Maintenant tu vas aller au coin pour réfléchir à tes bêtises, il te reste encore une fessée avant neuf heures.
J’avais reçu déjà quatre fessées, mais seulement trois comptaient, elle m’avait fait lire le blog où était expliqué le déroulement d’une journée fesses rouges, je ne pensais pas qu’elle le suivrait à la lettre.
Elle a tenu parole, après un quart d’heure au coin le nez collé contre le mur, elle m’a fait venir et m’a courbée sous son bras pour une rapide fessée avec sa sandale. Mon fessier n’était plus qu’une boule de feu.
— Tu peux aller te doucher, tu recevras encore deux fessées pendant l’heure qui arrive et ensuite une toutes les heures, je te garantis que tu vas t’en souvenir. Je vais te faire passer l’envie de recommencer.
Ma petite chérie est partie faire sa toilette, je me suis régalée à regarder ses fesses se dandiner au rythme de sa marche telles deux grosses tomates bien mûres. Je pense qu’elle va goûter au séchage des fesses spécial Héloïse.
Je vais lui laisser un peu de temps, la douche va faire refroidir son derrière, je me chargerai de le réchauffer ensuite.
Quand je suis entrée dans la salle de bain, elle était encore sous la douche :
— Ça fait du bien à ton bon gros derrière ? Profites-en, je vais revenir dans deux minutes, tu ne sors pas de la douche sans mon autorisation.
Son regard inquiet et interrogateur me ravit, elle se demande ce qui l’attend, je vais la laisser mariner un peu.
Elle n’a pas attendu deux minutes, mais cinq, je savais qu’elle devait se poser plein de question. Je me suis assise sur le tabouret servant à déposer ses affaires et j’ai mis une serviette sur mes cuisses :
— Viens me voir vilaine fille, maman Héloïse va te sécher le derrière.
Elle a soudain compris ce que j’avais prévu, elle n’a pas encore goûté à la fessée mouillée, mais je sais qu’elle lit beaucoup de blog sur la fessée, elle sait donc ce qui l’attend.
Je l’ai prise par la main et je l’ai basculée sans ménagement en travers de mes genoux, ses fesses étaient encore bien rouges. J’ai commencé à claquer son large derrière et elle s’est mise à pleurer et à supplier immédiatement. C’est vrai qu’une fessée sur la peau mouillée est très douloureuse, mais sur sa croupe déjà écarlate, ça devait la cuire encore plus.
Au bout d’une centaine de claques distribuées équitablement sur chaque fesse, la peau de son derrière était brûlante mais totalement sèche :
— Voilà ma chérie, tes fesses sont ravissantes, tu peux finir de te sécher, ensuite on va aller t’habiller.
Je n’avais pas encore reçu la fessée sur mon derrière mouillé, je peux vous dire que la cuisson est bien supérieure à celle d’une fessée normale. Heureusement en finissant de me sécher j’ai pu discrètement me frotter les fesses. L’annonce qu’elle allait m’habiller ne me disait rien qui vaille, en plus de mes culottes de gamines, elle m’a fait acheter des jupes bleu marine et écossaises plissées et très courtes qui me font ressembler à une collégienne plutôt qu’à une dame d’âge mûr. Elle m’a dit en riant le jour où on les a commandées sur internet, « quand on reçoit encore la fessée cul nu on porte des jupes adaptées ».
Heureusement elle ne me les fait porter que rarement, mais j’ai comme l’intuition que ma journée fesses rouges sera aussi une journée collégienne.
Elle a pris ma nuisette et m’a claqué les fesses :
— Allez en route, tu restes toute nue, ça va aérer tes rondeurs.
Je me suis pensée intérieurement que depuis mon réveil, mes fesses n’avaient pas été couvertes bien longtemps, elles avaient vraiment pris l’air.
Je suivais ma grande fille au derrière écarlate, elle a vraiment une très bonne paire de fesses, elle ne s’en doute pas, mais cette façon qu’elle a de les tortiller quand elle marche me donne encore plus envie de les claquer.
J’ai ouvert sa commode et j’ai sorti une mignonne petite culotte à fleur et une paire de socquettes blanches. Sa culotte ne va pas être souvent sur son derrière aujourd’hui mais la déculotter comme une gamine est un plaisir dont je ne veux pas me priver. J’ai choisi ensuite un chemisier blanc et en souriant j’ai décroché cette mini-jupe écossaise rouge. Son regard suppliant m’a fait rire, elle sait qu’elle va devoir ressembler à une collégienne toute la journée :
— Tu verrais ta tête, c’est vraiment rigolo. Elle n’a pas l’air de te plaire cette tenue, pourtant je suis sûre que tu vas être très mignonne tu vas avoir un succès fou quand on va sortir.
— Oh non, mademoiselle, s’il vous plaît, je ne vais quand même pas sortir habillée comme ça.
C’est vraiment incroyable, madame a littéralement le feu aux fesses et elle recommence.
Le regard que m’a lancé Héloïse était éloquent, j’ai voulu ravaler ma supplication, mais c’était trop tard le mal était fait. Elle a posé calmement la tenue de collégienne sur le lit et a pris la brosse à cheveux posée sur la commode :
— Madame, n’a pas encore compris ? Pourtant ton derrière a une très jolie couleur. Eh bien je vais encore m’adresser à tes bonnes grosses fesses !
Elle a posé son pied sur la chaise et m’a saisi par la taille pour me percher sur sa cuisse horizontale, je déteste cette position infantilisante qui laisse mes fesses entièrement à sa disposition, mes pieds décollés du sol me permette de gigoter et je sais qu’elle adore voir mon derrière danser. Immédiatement la brosse est entrée en action :
— Ah madame ne veut pas s’habiller en collégienne et bien madame aura les fesses bien rouges sous sa petite culotte de gamine. Tu peux pleurer, je ne vais pas m’arrêter, je te garantis que tu vas cesser de récriminer à tout bout de champ dussé-je te peler le derrière ! Je t’annonce que cette fessée ne compte pas, c’est encore un petit cadeau.
La correction n’a pas duré très longtemps, quand elle m’a reposée par terre, j’ai jeté un œil dans la glace, mes fesses n’étaient que deux boules très rouges, les larmes coulaient sur mes joues, elle m’a tendu un mouchoir :
— Essuie ton visage vilaine, quand vas-tu devenir grande ? Maman Héloïse est fatiguée de t’administrer la fessée.
Je n’ai pas répondu, je savais qu’elle mentait, elle ne se fatiguait jamais de me corriger. J’ai enfilé ma culotte sur ma croupe brûlante, j’ai du faire une petite grimace, car elle a souri :
— On dirait que madame à mal à son cucul.
J’ai senti mes joues s’empourprer, c’est vrai que j’avais vraiment mal aux fesses. Je n’ai pas répondu et sans un mot j’ai enfilé cette tenue qui me transformait en adolescente.
Quand j’eus terminé, elle me prit la main et me fit pivoter :
— Tu es vraiment ravissante.
C’est vrai qu’elle était mignonne ma grande fille avec ses yeux rougis, on devinait qu’elle venait d’être punie. Nous entamions la deuxième heure, elle devait encore recevoir deux fessées, celle que je venais de lui administrer ne comptait pas. Je décidai de laisser son derrière refroidir un peu et de ne pas être trop sévère. Elle avait encore un grand nombre de fessées à recevoir d’ici ce soir, ses fesses devaient pouvoir les supporter, mais elle n’allait pas rester toute la journée au coin :
— Tu vas faire un peu de ménage, la maison en a besoin, tâche de t’appliquer.
Elle s’est mise au travail sans protester, j’étais assise dans le canapé et je me régalais de voir sa petite culotte apparaître quand elle se penchait pour faire la poussière. J’en ai profité pour faire quelques photos de ma grande fille et de sa mini-jupe ultra-courte que j’ai envoyée à Ambre ma copine « regarde comme elle est mignonne, ça donne vraiment envie de lui faire panpan cucul ».
Au bout d’une demi-heure, il était temps de faire prendre l’air à son derrière, je me suis levée, elle m’a regardée avec des yeux larmoyants, j’ai failli craquer et lui faire cadeau de sa fessée, mais je me suis ressaisie :
— Je sais que ton bon gros derrière doit te cuire ma chérie mais c’est de ta faute, tu m’as obligée à te donner deux fessées supplémentaires, approche un peu.
Je l’ai juste courbée sous mon bras, la base de sa culotte était déjà visible, je l’ai troussée et déculottée pour une correction rapide. Elle a piétiné sur place et s’est mise à pleurer presque instantanément. Je n’ai utilisé que ma main, c’était suffisant pour entretenir la chaleur de son fessier. J’ai coincé l’ourlet de sa jupe dans sa ceinture et remonté sa culotte juste sous ses fesses :
— Tu continues à travailler cul nu, ça t’apprendra.
Encore une fessée, mes pauvres fesses sont brûlantes, je n’ai pas tenu le décompte de toutes les déculottées que j’ai reçues, mais elle si :
— Déjà sept fessées ma chérie, je crois que ton derrière va battre des records aujourd’hui.
J’ai jeté un œil à la pendule, sept fessées en une heure et demie, effectivement ma jeune maîtresse comptait certainement battre un record sur mes pauvres fesses.
Je me suis remis au travail, faire le ménage ne me dérange pas, j’aime que ma maison soit propre, mais le faire les fesses à l’air, c’est particulier. Je sentais son regard braqué sur mon fessier :
— Ton derrière est vraiment ravissant, tu sais que tu le tortilles très bien.
Elle adore ces petites piques humiliantes, juste avant dix heures, j’ai dû reprendre la position traditionnelle de la gamine punie, en travers de ses genoux. Elle n’a pas utilisé d’instrument, elle a juste ajouté :
— Ton derrière a atteint la couleur et la température requise, je vais juste l’entretenir, à partir de maintenant tu recevras une fessée déculottée toutes les heures. La prochaine est à dix heures trente, en attendant tu peux te reculotter.
Elle ne me fit pas mettre au coin et se mit à pianoter sur son téléphone, ce calme relatif était un peu déstabilisant après ce début de matinée plus que cuisant. Je m’installai sur le canapé, mais je ne pus retenir une grimace, la position assise était assez inconfortable. Elle avait sans doute remarqué ma mimique :
— Je sais ma chérie, ça brûle, mais c’est comme ça que tu vas te souvenir qu’il faut obéir à Héloïse.
Elle respecta à la lettre le tableau de marche, à douze heures trente avant de passer à table je dus me coucher sur ses genoux pour une nouvelle fessée.
Elle ne remonta pas ma culotte comme elle l’avait fait pour les deux précédentes :
— Tu vas manger cul nu sur la chaise, retrousse ta jupe avant de t’asseoir.
Le derrière de ma petite Sylvie est vraiment rubicond, nous en sommes à onze fessées depuis que j’ai été la réveiller. Je suis sévère, mais elle en a besoin. Depuis le temps que je lui promets sa journée fesses rouges, elle l’a vraiment cherchée.
J’adore la voir se trémousser sur sa chaise pendant le repas, sa culotte baissée aux genoux est bien visible, c’est assez sexy.
Je lui réserve une pause café un peu particulière, elle ne va pas trop aimer, mais moi si.
Le repas c’est passé sans incident notable, bon c’est moi qui ai fait la conversation, Sylvie se contentant de répondre, elle est bien obligée, elle sait que je déteste quand elle fait la tête Elle a débarrassé la table et rangé la vaisselle, j’avais pris soin de lui coincer la jupe dans la ceinture pour que son derrière rouge reste bien visible. Je me suis préparé un café et quand elle eut terminé je lui ai fait un petit signe :
— Viens un peu là la chérie, maman Héloïse a prévu quelque chose pour t’occuper pendant qu’elle prend son café.
A sa tête j’ai vu qu’elle avait compris ce qui l’attendait.
Le repas assise cul nu sur la chaise avait été une épreuve, mais quand je suis revenue au salon j’ai tout de suite vu le thermomètre posé sur la table basse, elle tapotait ses genoux, j’étais bonne pour une séance de pénitence très humiliante, je déteste ça et elle le sait.
Quand mademoiselle Héloïse a décidé d’une punition, il n’est pas question de protester, je me suis donc couchée en travers de ses cuisses, elle a baissé un peu plus ma culotte :
— Tu es bien installée ma chérie, maman Héloïse va te prendre la température et comme tu as été vilaine tu vas garder le thermomètre pendant toute ma série.
J’ai senti ses doigts écarter mes fesses, j’ai fait des efforts pour ne pas les contracter, elle avait une vue parfaite sur mon petit trou, la première fois qu’elle m’a imposé ça, j’ai cru mourir de honte. Le thermomètre dans les fesses à mon âge, c’était inimaginable mais après quelques sévères fessées déculottées j’ai appris que c’était non seulement possible mais souhaitable.
Maintenant j’accepte cette honteuse violation de mon intimité même si c’est toujours aussi humiliant pour moi.
Le thermomètre pénétrait doucement, Héloïse ne se contentait pas de le mettre en place, elle commentait :
— Avec des fesses aussi chaudes, il faut absolument que je vérifie ta température, allez relâche ton petit trou mieux que ça. Voilà il est bien en place, tu le sens ma chérie ? Tu deviens mignonne, c’est à cause de tes fesses rouges ?
J’adore relâcher ses fesses quand je lui ai mis le thermomètre, c’est très sexy ce bon gros derrière serré sur le petit bout de verre. Il est vraiment très rouge et bien chaud, je vais attendre un peu pour lui flanquer sa fessée de treize heures trente.
C’est agréable de regarder la télé en même temps que je caresse sa croupe brûlante, je la sens se détendre. De temps en temps je fais coulisser le thermomètre, je suis sûr que ça l’excite.
Elle reçut donc sa douzième fessée avec l’instrument médical bien enfoncé dans le derrière.
A la fin de ma série je l’ai autorisée à se reculotter et je l’ai laissée libre de vaquer à ses occupations.
J’avais dit à Ambre que je serais chez elle vers quinze heures, mais je ne l’avais pas encore annoncé à ma chipie.
Mes fesses étaient cramoisies, ma jeune maîtresse m’avait conduit devant la glace en riant :
— Regard un peu ton bon gros derrière comme il a bonne mine.
Effectivement c’était deux belles tomates bien mûres qui se reflétaient dans la glace, j’ai remonté doucement ma petite culotte de gamine sur mon derrière brûlant, le simple contact du coton était désagréable. J’avais un peu de temps devant moi, j’ai décidé de lire un peu, mais la position assise n’était pas très confortable, j’étais obligée de passer d’une fesse sur l’autre pour que cela reste supportable.
Malheureusement pour moi et surtout mon derrière, Héloïse tenait scrupuleusement à jour le décompte des corrections, à quatorze heures trente elle m’a appelée :
— C’est l’heure de me présenter tes fesses ma chérie, viens ici.
Elle s’était levée, elle posa son pied sur un petit tabouret et me fit basculer en travers de sa cuisse, c’était la deuxième fois de la journée qu’elle utilisait cette position tellement infantilisante. Je détestais ma jeune maîtresse au moment où je me suis retrouvée les jambes pendant dans le vide et mes mains s’agrippant au tabouret pour ne pas perdre l’équilibre. Dans cette position, ma jupe devait laisser voir ma culotte, elle n’a pas tardé à la retrousser et sans attendre elle a simplement retourné ma culotte la laissant sous mes fesses. Pas d’instrument pour cette fessée, mais sa main claque si vite et si fort que je me suis mise à crier instantanément, j’avais repris le décompte de mes déculottées, c’était la treizième fois que je lui présentais ma croupe.
Cette fessée n’a pas duré longtemps, quand elle m’a reposé par terre, j’avais une folle envie de frotter mon derrière brûlant, elle a dû le deviner :
— Ça brûle vraiment ma chérie ? Exceptionnellement je t’autorise à frotter ton derrière.
Elle m’a regardé avec stupéfaction quand je lui ai permis de frotter son derrière, je ne l’avais pas ménagé depuis le matin, il faut de temps en temps faire preuve de générosité.
Et surtout elle est tellement mignonne ma grande chipie, avec sa culotte aux genoux, ses mains glissées sous sa jupe qui frotte énergiquement ses fesses. Au bout d’une minute, j’ai jugé que j’avais été suffisamment gentille :
— Bon ça suffit maintenant, retrousse ta jupe et montre-moi tes fesses.
C’est systématique après une douceur, il faut un petit rappel à l’ordre, ma chipie s’est docilement retournée et a retroussé sa jupe pour m’exposer sa croupe rubiconde. Un vrai délice que son bon gros derrière bien rouge encadré par sa jupette retroussée.
Il était temps de lui annoncer la suite du programme :
— Tu peux te reculotter on sort.
Plus qu’un dicton; c’est scientifique, on dort à merveille avec des fesses cuisantes 😀
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