La punition de Sylvie
Mademoiselle Héloïse me l’avait dit, « la prochaine fois que je dois te donner une fessée, le lendemain c’est journée fesses rouges. » Eh bien on y est, hier je n’ai pas pu m’empêcher de Twitter en conduisant, évidemment ma jeune et sévère maîtresse l’a appris. Quand elle est entrée dans la pièce, j’ai reconnu son regard, celui qui ne dit rien qui vaille pour mes fesses :
— Tu le sais pourtant qu’il ne faut pas que tu prennes ton téléphone quand tu conduis, combien de fois te l’ai-je dit ?
J’ai baissé les yeux comme une gamine prise en faute et je n’ai pas répondu.
Je n’avais pas imaginé qu’elle devinerait que j’avais répondu à son message en conduisant.
Depuis que j’ai repris en main l’éducation de Sylvie je suis toujours surprise par son comportement, j’ai vingt et un ans et elle plus de soixante-dix, mais ça ne se voit pas quand elle vient de faire une bêtise, elle se comporte comme une gamine désobéissante prise en faute et je suis sa maman sévère.
J’avoue qu’elle est mignonne avec son air de petite fille, la tête baissée, mais je ne vais pas céder elle mérite d’être punie et sévèrement. Elle sait qu’elle va recevoir une bonne fessée déculottée, mais elle accepte mon autorité, bien sûr recevoir ce châtiment enfantin quand on a son âge n’est pas très agréable mais c’est nécessaire.
Nous sommes chacune dans notre rôle, même si c’est excitant je ne cède pas à un quelconque fantasme, elle a accepté de se mettre sous mon autorité, elle va regretter son comportement.
Elle s’est assise sur la chaise qui est posée là comme si elle était prévue pour ma punition, son doigt me fait ce petit signe que je commence à connaître, je serre les fesses, mais j’approche je ne peux pas refuser :
— Je suppose que tu connais la position ma chérie.
Bien sûr que je la connais et j’ai toujours autant de mal à m’habituer à cette humiliation d’être couchée en travers des genoux de ma jeune maîtresse, la tête près du sol et les fesses tendues vers le ciel, je m’allonge sans discuter et immédiatement elle rectifie ma position en me basculant un peu plus vers l’avant :
— Tu le sais pourtant que je veux avoir tes fesses à ma disposition, la prochaine fois que tu ne te coucheras pas correctement sur mes cuisses, je doublerai ta punition.
J’adore quand Sylvie est dans cette position, elle est entièrement soumise à ma volonté, j’exige qu’elle s’habille assez court, ça n’a pas été sans difficulté, mais après quelques bonnes déculottées le résultat est là, elle ne porte plus que des jupes évasées qui s’arrêtent dix centimètres au-dessus du genou, bien sûr je lui ai interdit les collants, quand il fait frais elle est devenue adepte des bas autofixants. En la faisant basculer vers l’avant ses pieds quittent le sol et sa jupe remonte naturellement découvrant la lisière des bas et même le bas de sa petite culotte, c’est mignon comme tout.
Ça y est, nous y sommes, je me remémore rapidement ce qui m’a conduit à me retrouver à mon âge, en position disciplinaire sur les genoux d’Héloïse.
J’ai été élevée par une mère stricte et autoritaire, mes deux sœurs et moi avons été punies comme des gamines jusqu’à l’adolescence, vous comprendrez que punies comme des gamines signifie qu’elle utilisait la fessée déculottée quand c’était nécessaire et qu’un martinet était suspendu dans la cuisine. Cette situation perdura jusqu’à dix-huit ans, âge où je quittai la maison pour poursuivre mes études, mes sœurs continuèrent à être traitée comme des gamines bien après leur majorité, en fait jusqu’à leur mariage.
Je ne sais si c’est le fait d’avoir été fessée au moment de mes premiers émois sexuels, mais depuis l’adolescence j’ai toujours fantasmé sur la fessée. Mon métier de professeur de français dans une institution privée où malgré les instructions officielles les châtiments corporels étaient encore tolérés a entretenu ce fantasme. Les jeunes filles même les plus âgées pouvaient recevoir en privé dans le bureau de la directrice une fessée déculottée et la professeure principale était souvent invitée à assister au châtiment. J’avoue que de voir une grande jeune fille se faire baisser la culotte et rougir les fesses, provoquait chez moi une excitation. En fait je m’imaginais à sa place.
Je ne me suis jamais mariée, mon attirance pour les dames m’a fait connaître de nombreuses aventures et quelques-unes se sont terminées pour moi avec un derrière rouge et cuisant.
Depuis quelques années je traînais sur internet pour assouvir mes pulsions fessophiles, sur un forum j’ai rencontré Héloïse.
Sylvie adore la fessée et moi aussi, mais pas du même côté, pour elle s’est couchée sur mes genoux, pour moi s’est les culottes que je baisse et la sienne n’est pas souvent sur ses fesses quand nous nous rencontrons.
Dès nos premières discussions, elle m’a fait part de son désir d’être dirigée dans sa vie, pour tout dire j’ai compris qu’elle avait besoin d’une maîtresse sévère et exigeante.
Même si elle fantasme sur ce châtiment enfantin, je peux vous dire que dès que je commence à m’occuper de son bon gros derrière elle ne fait plus la maligne et elle regrette amèrement de m’avoir provoquée, elle devrait le savoir depuis le temps, mais elle est incorrigible. Je n’administre jamais de semblant de fessées, ce sont toujours des corrections sévères dont elle se souvient longtemps.
Je le savais pourtant que je risquais de me prendre une bonne déculottée, pourquoi ai-je répondu à son message en conduisant, maintenant c’est trop tard, la position a fait remonter ma jupe, elle a une vue parfaite sur l’arrière de mes cuisses et certainement qu’elle aperçoit ma culotte, sa main tapote mon fessier, j’ai honte elle le sait et elle va faire durer le plaisir.
— Tu es bien installée ? Nous en avons pour un moment.
Je sais qu’il me faut répondre à toutes ses questions, même les plus indiscrètes ou les plus humiliantes, au début j’hésitais, mais mes fesses ont vite compris qu’Héloïse exigeait une réponse précise et rapide à ses interrogations.
— Oui mademoiselle Héloïse.
Évidemment, comme vous pouvez vous en douter, si elle me tutoie, je dois l’appeler respectueusement mademoiselle Héloïse.
— Parfait, pourquoi m’as-tu encore désobéi, tu le sais que je t’ai interdit de Twitter ou de te servir de ton téléphone en conduisant ?
Je dois répondre la vérité, bien sûr que je n’ai pas voulu lui désobéir, j’ai pris mon téléphone machinalement.
— Pardon mademoiselle, je n’ai pas fait exprès, mais… Aïe, aïe…
Sa main vient de claquer l’arrière de mes cuisses, j’aurais dû m’en douter, elle déteste quand j’utilise l’expression « je ne l’ai pas fait exprès ».
— En plus tu te moques de moi ! A tu ne l’as pas fait exprès ? Eh bien moi, je vais faire exprès de t’administrer la bonne fessée déculottée que tu mérites.
Sa main claque successivement chacune de mes cuisses une dizaine de fois, je déteste ce genre de préambule, ça brûle énormément, je crie et gigote sur ses genoux, ce n’est pourtant que le début de ma punition.
Ma petite Sylvie comme je l’appelle désormais n’a pas son pareil pour parler comme une gamine malgré ses soixante-dix ans passés. « Je ne l’ai pas fait exprès !! » et puis quoi encore, je vais te rappeler de ne pas utiliser ces mots ma grande. L’arrière de ses cuisses est déjà rouge et à voir ces gigotements et le mouvement de ses pieds, ça doit la brûler ma petite chérie. J’adore l’avoir à ma disposition et la faire attendre avant de commencer la vraie fessée.
Les claques sur les cuisses viennent de cesser, j’étais à deux doigts de commencer à pleurer, cette jeune femme sait vraiment y faire. Même si j’ai besoin d’être soumise et que ça m’excite, je peux vous dire qu’à cet instant précis je suis loin de ces fantasmes. Je ne suis plus qu’une dame qui a désobéi et qui va être punie comme il se doit par sa maman sévère. La main d’Héloïse repose à nouveau sur mon fessier :
— Alors ? J’attends tes explications et pas cette phrase idiote de gamine.
— Pardon mademoiselle, je… je n’ai pas réfléchi, je l’ai pris machinalement…
Je sens sa main qui tapote mon derrière :
— Tu n’as pas réfléchi ? Tiens donc, décidément tu as besoin que je te mette du plomb dans la cervelle. Je te garantis qu’avec la fessée que tu vas recevoir, la prochaine fois tu vas y regarder à deux fois avant de prendre ton téléphone quand tu conduis.
Je sens ma jupe se retrousser, elle doit avoir une vue parfaite sur mon bon gros derrière comme elle l’appelle, il est encore culotté, mais je serre les fesses. Je sais que les préliminaires ne sont pas encore terminés.
C’est vrai que ma petite Sylvie a vraiment une bonne paire de fesses, elles sont moulées parfaitement par sa petite culotte en coton. Quand je l’ai rencontrée la première fois et que je lui ai administré sa première fessée, elle portait déjà des culottes blanches en coton assez sage avec juste un liseré de dentelle au niveau des cuisses. Mais depuis comme pour la longueur de la jupe et les collants, elle s’habille comme je le décide, je lui ai fait acheter de vraies culottes de gamines avec des pois ou des petites fleurs. C’est vraiment ravissant de voir son bon gros popotin moulé dans ce genre de culottes.
Je ne les vois pas encore, mais je sais que ses fesses sont serrées par l’angoisse et la honte, je vais faire durer le plaisir encore un peu.
Je sens ses doigts s’insinuer sous ma culotte, j’ai honte de porter ces culottes de gamine, mais elle m’a dit « quand on reçoit encore la fessée déculottée, c’est ce genre de lingerie que l’on doit porter. »
J’ai eu un peu de mal à trouver des petites culottes en coton avec des fleurs en taille quarante-deux, heureusement que j’ai pu les commander sur internet, j’imagine la tête de la vendeuse si elle avait deviné que c’était pour moi.
— Tu dois aimer que je te déculotte n’est-ce-pas ?
Je déteste qu’elle me pose ce genre de question, mais je dois répondre, c’est très humiliant d’être ainsi couchée les fesses en l’air exposée à la vue de sa maîtresse, je la devine souriante lissant ma culotte sur mon fessier.
— Oh non mademoiselle… Aïe, aïe, aïe…
— Ah tu n’aimes pas que je te baisse la culotte et pourquoi continues-tu à désobéir ?
Sa main avait claqué le sommet des cuisses juste sous la culotte, elle devait voir la base de mes fesses, ça brûle…
— Pardon mademoiselle… Pardon…
Elle se met à rire tout en tapotant mon derrière culotté.
— C’est drôle comme dès que tu es en position pour recevoir une fessée tout d’un coup tu demandes pardon.
J’adore l’avoir à ma merci, obligée de répondre sous peine de correction encore plus sévère, elle est au bord des larmes je le sens, je vais attendre encore un peu avant de lui claquer le derrière. Je vais d’abord la déculotter, jamais je n’aurais cru que baisser la culotte d’une dame d’âge mûr m’aurait provoqué une telle excitation. Il faut dire que Sylvie a des fesses faites pour la fessée. J’ai été un peu surprise quand je lui ai baissé la culotte pour la première fois, ses fesses ne ressemblaient pas à celle de mes copines que j’ai l’habitude de fesser. Elle a ce qu’on appelle un bon popotin, bien large et rebondi, mais il manque un peu de fermeté. Malgré tout c’est une belle croupe, deux belles fesses séparées par une profonde raie médiane. Je m’y suis habituée à son bon gros derrière comme je l’appelle, je sais que ça lui fait honte alors maintenant c’est systématique, quand je dois la corriger elle a droit au traditionnel « amène-moi un peu tes bonnes grosses fesses que je m’en occupe ».
Ça y est je sens ma culotte glisser sur mes fesses, c’est toujours la même honte mêlée à une petite excitation, je sais qu’elle a désormais une vue imprenable sur mon derrière, mon bon gros derrière. Dès qu’elle a commencé à me corriger et donc à me baisser la culotte elle a fait des commentaires moqueurs sur la taille de mon postérieur et sur sa fermeté. Elle m’a assurée qu’avec le nombre de fessées qu’elle allait m’administrer j’aurais bientôt un derrière en béton.
— Écarte les cuisses, tu sais que je déteste quand tu serres les fesses.
Je le sais bien sûr, mon derrière a bien souvent payé pour l’apprendre, j’écarte donc les jambes, consciente de l’impudeur de ma position. Ses doigts se mettent à explorer mon intimité, je me concentre pour ne pas resserrer les cuisses, la sanction serait immédiate, elle ne se gêne pas pour écarter également mes fesses, c’est le moment le plus humiliant, tout à l’heure elle va certainement me mettre le thermomètre ou ce gros stylo qu’elle a découvert et qu’elle enfonce profondément dans mon petit trou.
— Tu devrais avoir honte ma chérie de montrer tes fesses comme ça. Mais comme j’ai l’impression que ça ne te fait ni chaud ni froid, on va passer à autre chose, la prochaine fois tu auras droit à la fessée cul nu en public.
Je ne peux m’empêcher de gémir et de protester.
— Oh non mademoiselle s’il vous plaît, j’aurai trop honte.
Je la devine souriante tenant avec deux doigts mes fesses largement écartées :
— C’est justement pour ça ma chérie, pour te faire bien honte et t’apprendre à ne plus me désobéir. Oui une bonne fessée déculottée devant mes copines, tu l’as bien cherchée ça va te faire le plus grand bien.
Depuis le temps que je lui promets qu’un jour je vais lui baisser la culotte en public, je crois que le moment est arrivé. Elle est prête pour ça, je sais que ce sera une épreuve douloureuse aussi bien pour ses fesses que pour son amour propre, mais il le faut pour qu’elle comprenne qu’elle est désormais entièrement sous mon autorité.
Je ne vais pas la déculotter devant des inconnues bien sûr, non juste deux ou trois copines avec qui je joue souvent à panpan cucul ? Elles vont être ravies et ma petite Sylvie qui ne les connaît pas, va découvrir la honte de montrer ses fesses à d’autres personnes qu’à sa maman Héloïse.
Ça fait longtemps qu’elle me menace de ce genre de punition, mais je ne croyais pas qu’elle la mettrait à exécution. Mon dieu faîtes que ça soit un mauvais rêve.
Soudain la fessée a commencé, comme d’habitude c’est immédiatement cuisant, ma jeune maîtresse ne sait pas donner de petite fessée, elle claque très fort d’emblée et je me mets à crier et à battre des jambes. Chaque fois je me jure de résister mais c’est impossible ça brûle trop.
— Aïe, aïe, aïe, aïe, non, non mademoiselle ça brûle, s’il vous plaît…
— J’espère bien que ça te brûle ma chérie c’est pour ça que je te donne la fessée déculottée, et ce n’est qu’un début. Je te garantis que tu vas regretter d’avoir désobéi !
J’aime claquer son large derrière, même s’il n’est pas assez ferme à mon goût c’est une belle paire de fesses qui rougit vite et bien. Quand il est écarlate il devient vraiment mignon, sa raie fessière s’écarte, dévoilant son intimité.
Quel plaisir d’avoir cette dame d’âge mûr à mon entière disposition, elle me supplie d’arrêter comme si elle était une gamine et je vais bien sûr continuer. Ses bonnes grosses fesses ont besoin d’être corrigées sévèrement, je le sais ma main ne suffira pas si je veux que son derrière reste rouge longtemps et qu’elle se rappelle qu’elle doit m’obéir sans discuter.
Je commence à la connaître, ma sévère maîtresse ne va pas s’arrêter, mon derrière est en feu et ce que je voulais éviter arrive, je me mets à pleurer comme quand j’étais adolescente et que ma mère m’administrait la fessée cul nu :
— Oh tu peux pleurer ma chérie, maman Héloïse va quand même continuer à te corriger encore un peu et ensuite tu iras au coin pour réfléchir.
La fessée s’arrête enfin, mais elle me garde couchée sur ses genoux :
— Ton bon gros derrière est très joli. Tu recommenceras à me désobéir ?
Elle me caresse les fesses brûlantes, je suis soulagée qu’elle ne les claque plus, même si cette position est humiliante.
— Non, non mademoiselle promis… Aïe, aïe.
Sa main vient de reclaquer sèchement chacune de mes fesses :
— J’espère bien, mais je n’en ai pas encore fini avec ton derrière, crois-moi ce soir tu iras au lit avec une paire de fesses bien rouges. En attendant tu vas aller réfléchir au coin.
Je me relève doucement, c’est toujours pareil après une correction, je suis tellement contente que la fessée s’arrête que la honte d’aller exposer mes fesses nues en est atténuée. Elle m’a saisi l’oreille pour me conduire au coin.
Depuis que je m’occupe de l’éducation de Sylvie, j’ai fait beaucoup de progrès en sévérité, je suis devenu une maman très stricte. Quand je lui annonce qu’elle va être punie, je prends toujours un ton autoritaire et mon regard sévère, je souris intérieurement en voyant ma petite Sylvie, cette dame d’âge mûr rougir et baisser la tête quand je la gronde. Je l’ai interrogée sur la manière dont sa mère la punissait et je me suis documentée, maintenant elle est vraiment traitée comme une gamine quand je la corrige.
La saisir par l’oreille pour l’amener au coin ou pour me suivre vers l’endroit où elle sera punie est un passage obligé. Pour augmenter sa gêne et rendre la punition plus efficace, comme je suis plus grande qu’elle, de temps en temps je tire sur son oreille pour la faire mettre sur la pointe des pieds. Dans ces cas-là, elle sait que je suis vraiment en colère et que la correction sera sévère.
Même si c’est agréable de la déculotter pour la corriger, je prends mon rôle au sérieux et je me mets souvent en colère comme une maman excédée par sa fille. C’est le cas aujourd’hui, Twitter en conduisant c’est vraiment dangereux, je l’ai déjà punie pour ça et elle a quand même recommencé, ses fesses vont en payer le prix, il faut qu’elle s’en souvienne longtemps. Elle va rester au coin fesses à l’air pendant un bon quart d’heure, je sais qu’elle n’aime pas trop ça donc ça va lui faire le plus grand bien. Ensuite une deuxième fessée déculottée avec ma brosse à cheveux et je finirai certainement avec le martinet. Même si elle va avoir du mal à s’asseoir ensuite et qu’elle aura les fesses encore rosées demain, son bon gros derrière a l’habitude et je pourrai recommencer à la fesser sans aucun problème.
Maintenant elle tire sur mon oreille, ça fait très mal, elle est plus grande que moi et je suis obligée de me tenir sur la pointe des pieds, je me sens ridicule :
— Tiens ta jupe retroussée !
L’ordre a claqué en même temps que sa main sur mon derrière endolori.
— Aïe, aïe, aïe, pardon mademoiselle.
Elle continue de me claquer les fesses pour me faire avancer. Je suis arrivée le nez contre le mur, elle prend l’ourlet de ma jupe pour l’épingler dans mon dos :
— Les mains sur la tête !
Elle remonte ma petite culotte à mi-cuisse, si je tourne légèrement la tête je peux voir dans la glace le spectacle que je lui offre. Mes fesses écarlates encadrées par la culotte et la jupe épinglée, mon derrière tendu s’offre à sa vue.
— Aïe, aïe, aïe…
— Je t’ai dit de coller ton nez contre le mur !! Décidément tu as décidé de m’énerver !!
Elle m’a à nouveau saisi par la taille et courbée vers l’avant, mon fessier est tendu. Je me reprends une courte mais magistrale fessée, puis elle me recolle le nez contre le mur en m’administrant deux formidables claques, une pour chaque fesse :
— Puisque tu as décidé de n’en faire qu’a ta tête, tu vas rester au coin une demi-heure ! Je vais t’apprendre et ne t’avise pas de bouger !!
J’ai mérité ce temps de coin supplémentaire, je le sais, mais je n’ai pas pu me retenir de regarder mon derrière dans la glace, j’avoue que ça me provoque une trouble excitation de contempler mes fesses rouges après avoir reçu une fessée.
Ma petite Sylvie est vraiment incorrigible, elle ne peut s’empêcher de désobéir, m’offrant autant de raison de lui flanquer une déculottée. Je sais qu’elle aime voir son derrière bien rouge, je vais lui faire plaisir. Je prends ses bonnes grosses fesses écarlates en photo et je vais publier le cliché sur mon compte Twitter, tous mes abonnés vont se régaler, surtout que je vais y rajouter un petit commentaire humiliant et qu’elle sera obligée de poster un tweet où elle racontera sa punition.
En attendant je me régale à la voir dans le coin exposer son bon gros derrière, ça doit lui cuire, ses fesses se serrent puis s’ouvre, c’est le seul moyen pour atténuer la brûlure. Je suis sûre qu’elle rêve de frotter son fessier, mais elle doit garder ses mains sur la tête. Il faut que j’appelle Ambre.
Je l’entends parler au téléphone et bien sûr la conversation me concerne, elle rit de bon cœur en racontant à sa copine ma correction, comment elle m’a déculottée, comment j’ai gigoté, la couleur de mes fesses.
— Tu as vu la photo sur Twitter ?
— …
— Ça tu peux le dire, elle en a pris une bonne.
— …
— Elle était prévenue, mais je n’ai pas fini.
— …
— Tu as vu sa paire de fesses, une seule fessée ne suffit pas.
La conversation s’éternise et je suis là, impuissante, j’ai vraiment l’impression que sa copine est dans la pièce et qu’elle aussi contemple mon derrière.
— Rassure-toi tu les verras bientôt en vrai, je lui ai promis une fessée cul nu en public.
Sa menace prend forme, je serre les fesses, m’attirant une réflexion ironique :
— Tu as raison de serrer tes grosses fesses ma chérie, Ambre va bientôt les voir de près.
Ambre est une coquine, je lui ai souvent claqué les fesses, mais ce qu’elle préfère c’est faire panpan cucul à nos copines respectives, elle a une redoutable technique pour déculotter la fille qui se penche et lui tend ses fesses, elle baisse le legging en même temps que la culotte et administre quelques claques bien senties. Ce n’est pas une vraie fessée déculottée comme celle que j’administre à Sylvie, mais la déculottée surprend la punie et lui rougit quand même le derrière. Je ne sais pas encore si je l’autoriserai à fesser ma petite chérie, je crois qu’elle sera seulement spectatrice de sa correction, ce sera déjà assez humiliant pour Sylvie de se faire baisser la culotte devant elle. Je raccroche en lui disant que la surprise est pour bientôt.
Je l’entends faire une bise à sa copine :
— Viens un peu ici vilaine fille.
Quand je me retourne, je n’enlève pas mes mains de ma tête, je sais qu’il faut que j’attende son autorisation. Elle tient sa brosse à cheveux à la main, elle l’a achetée spécialement pour mon derrière, elle est large et lourde, chaque coup provoque une douleur intense, je sais que ça ne sert à rien mais j’essaye quand même :
— Non mademoiselle, s’il vous plaît… pas la brosse, j’ai déjà été bien punie, mes fesses me brûlent.
Elle sourit et me fait un petit signe du doigt :
— Bien sûr que tu vas recevoir la fessée avec la brosse, c’est ce qu’il faut aux vilaines filles. Ton bon gros derrière à besoin de ça ma petite chérie pour apprendre à ne plus désobéir. Approche !
Elle est la, devant moi, les joues rouges de honte, adorable avec ses mains sur la tête. Bien sûr que je vais lui administrer la fessée qu’elle mérite, ma brosse à cheveux va s’occuper de ses fesses déjà bien rouges, elle est contre mes genoux, je claque sa croupe pour l’inciter à se mettre en position.
Voilà elle est couchée en travers de mes cuisses, j’adore cette position pour donner la fessée déculottée. Otk en anglais, c’est la plus honteuse pour une adulte, ça la ramène à l’enfance, et ses fesses sont à disposition, parfaitement exposées. Je la fais basculer vers l’avant pour que ses pieds quittent le sol, j’aime tellement les voir danser pendant la correction.
Je suis en position disciplinaire pour la deuxième fois de la journée, avant de rencontrer ma jeune maîtresse, je fantasmais sur cette position. Présenter mon derrière dénudé quelle honte et quelle excitation, mais maintenant que j’ai goûté à ses sévères corrections toute excitation à disparu, seule persiste la honte et l’angoisse de la punition.
Soudain une brûlure intense sur ma fesse droite puis sur la gauche, pas de préliminaires pour la fessée, mademoiselle Héloïse est en colère :
— À tu ne veux pas obéir et bien tant pis pour tes fesses, je te garantis que tu vas la sentir celle-là !
Ses bonnes grosses fesses se sont mises à danser immédiatement, j’adore ce spectacle de la raie qui s’ouvre largement, de ses pieds qui battent l’air. Elle crie et supplie immédiatement, à soixante-dix ans elle a retrouvé ses accents de gamine, j’aime la corriger mais ce n’est pas un jeu c’est une vraie punition. Son derrière était déjà bien rouge mais il est maintenant cramoisi et elle pleure. Je compte toujours mes coups, j’en suis à cinquante sur chacune de ses fesses, je pose ma main dessus, elles sont brûlantes :
— Tu désobéiras encore ?
— Non, non mademoiselle Héloïse… pardon…
Je souris en pensant à sa prochaine fessée déculottée devant mes copines.
— Je veux en être sûre, encore dix sur chaque fesse.
Bien sûr que je ne désobéirai plus, quand vous venez de prendre une telle correction, vous promettez tout ce que veut la maîtresse. Dix de plus, non mon dieu… mes fesses ne sont plus qu’une boule de feu. Elle a administré les dix coups sur chacune de mes fesses, calmement en prenant son temps comme pour mieux apprécier cette fessée, puis elle m’a encore gardé un moment couchée sur ses genoux. Quand la correction s’arrête la cuisson persiste, mais c’est quand même un soulagement, sa main caresse mon derrière :
— Alors ma chérie, tu as compris ?
— Oui, oui mademoiselle.
J’espère toujours l’amadouer en répondant vite.
— Tu vas retourner au coin, pour bien réfléchir à ton comportement, allez debout !
Elle a claqué sèchement ma croupe endolorie pour me faire relever et une nouvelle fois elle m’a tiré par l’oreille pour m’amener dans ce coin que je commence à connaître :
— Tu vas rester là une heure, je commence à en avoir assez de ton comportement, ça va t’apprendre.
Je savais que ma punition n’était pas finie, mais pas à rester si longtemps le nez contre le mur. C’est la première fois qu’elle m’impose ça.
J’ai gémi, mais elle m’a vite calmée en me coinçant sous son bras et en m’administrant une dizaine de très fortes claques sur les fesses :
— Tu arrêtes de pleurnicher, j’ai dit une heure, ce sera une heure, je ne veux plus t’entendre !!
Je suis donc restée une heure en pénitence, les fesses rouges bien exposées, elle a fait de nombreuses photos qu’elle a posté sur Twitter.
Je peux vous dire que c’est vraiment long et quand elle m’a appelée je lui ai promis de ne plus recommencer, j’étais soumise totalement à ma jeune et sévère maîtresse. Malheureusement celle-ci n’oublie jamais ses promesses, elle m’a promis une punition exemplaire, elle m’annonce donc la suite :
— Tu retires ta culotte, tu en es privée jusqu’à ce soir, tu garderas également ta jupe épinglée dans ton dos et tu vas aller commenter ta punition sur Twitter avec les photos que j’ai faites, je veux que tous tes abonnés et les miens soient au courant de la bonne fessée déculottée que tu viens de recevoir. Et ce soir avant d’aller au dodo à vingt heures trente comme une vilaine fille, tu auras droit au martinet, tu verras comme on dort bien avec une paire de fesses bien chaudes.
Le programme s’est déroulé à la lettre,, j’ai donc posté mes fesses rubicondes sur mon compte et j’ai expliqué pourquoi Héloïse m’avait punie, c’était encore une humiliation supplémentaire, mais malgré tout teintée d’une légère excitation.
Je vais dormir chez ma chipie ce soir, je lui ai promis une dernière déculottée au martinet et je veux pouvoir la surveiller cette nuit. Surtout qu’elle ne le sais pas encore, mais demain c’est journée fesses rouges.
Elle était prévenue qu’à la prochaine désobéissance nécessitant une fessée déculottée, elle y aurait droit. J’en suis tout excitée, j’ai lu sur le blog d’une autre Sylvie comment il fallait s’y prendre pour que la punie garde une belle paire de fesses écarlates en permanence, ma petite chérie va y goûter.
A l’heure dite, j’ai été envoyée dans ma chambre :
— Tu files te préparer, pipi, laver les dents et tu m’attends en tenue pour la nuit.
C’est très curieux de recevoir ce genre de consignes à mon âge, mais je commence à m’y habituer, par contre aller au lit si tôt, c’est un peu difficile. Ma tenue pour la nuit a changé également sur instructions de ma sévère maman, j’étais adepte des pyjamas, j’ai dû les abandonner pour des nuisettes assez courtes à porter bien sûr sans culotte :
— Tes fesses seront plus vite à ma disposition.
C’est ainsi qu’elle avait justifié cette tenue, j’avais rougi et le lendemain j’avais été acheter trois nuisettes blanches avec un peu de dentelle au niveau de l’ourlet ; C’est dans cette tenue que je l’attendais au pied de mon lit.
Elle est entrée avec le martinet à la main, elle a désigné le lit :
— Tu te mets à genoux et tu couches ton buste sur le lit.
Dès que j’ai été en position, elle a relevé la chemise de nuit bien haut sur mes reins, en tournant la tête, je pouvais voir dans la glace mon derrière encore rouge, bien tendu vers l’arrière. J’ai senti les lanières caresser mon fessier, c’est angoissant, mais ça me rappelle tant de souvenir, quand j’étais jeune fille et que ma mère utilisait le martinet pour me corriger, je serre les fesses ce qui fait rire Héloïse :
— Tu peux serrer les fesses ma chérie monsieur martinet adore cingler les bons gros derrières comme le tien.
Elle tapote ma croupe avec sa main :
— Détends-toi, de toute façon tu vas la recevoir, tu le sais que ça fait plus mal quand on a les fesses serrées.
Bien sûr que je le sais, mais c’est quand même dur… Je relâche la contraction de mon derrière.
— On va dire trente coups de martinet ma petite chérie.
— Oh non, mademoiselle, pas trente…
Je le sais pourtant qu’il ne faut jamais contester une punition, la sanction a été immédiate :
— Comment ça non ? Eh bien on va dire quarante, ça te convient mieux ?
J’ai enfoui ma tête dans la couette et j’ai répondu en sanglotant :
— Euh… oui pardon mademoiselle.
Elle s’est mise à rire en caressant mes fesses :
— Eh bien voilà, nous sommes d’accord, je crois que ton bon gros derrière en a vraiment besoin.
Les lanières ont commencé à cingler mes fesses tendues, ça brûle énormément, je vous prie de le croire. Quand la correction a été finie, je pleurais comme une madeleine.
Ma petite chérie a le don pour me tendre la perche, elle le sait que comme sa maman quand elle était adolescente, j’augmente toujours la punition si elle se met à récriminer, et bien elle a eu droit à dix coups de martinet en plus. Sa bonne paire de fesses peut très bien les supporter, l’avantage de cet instrument, c’est qu’il rougit parfaitement le derrière sans blesser ni laisser de traces disgracieuses. Par contre si j’en juge à ses cris et à ses pleurs, elle l’a senti passer cette dernière fessée. Ses fesses ressemblent à deux grosses tomates bien mûres, quel régal. Je vais lui concocter une dernière petite humiliation avant le dodo.
J’aime lui garnir les fesses après la fessée, j’ai mis un oreiller au milieu du lit et je l’ai fait s’allonger dessus, son fessier est bien surélevé. J’écarte avec deux doigts ses deux globes brûlant, je sais qu’elle déteste ça, au début elle resserrait ses fesses, mais après quelques bonnes déculottées, elle se laisse faire. J’adore cet instant où je mets à jour son petit trou habituellement caché entre ses deux fesses serrées, je pose mon doigt dessus pour qu’elle comprenne ce qui va lui arriver :
— Tu n’as pas été sage maman Héloïse n’est pas contente, tu sais ce qui va t’arriver maintenant ?
Elle tient mes fesses largement écartées, j’en ai l’habitude mais c’est toujours une humiliation de sentir ses deux doigts dans ma raie, elle a le chic pour poser les questions auxquelles on a pas trop envie de répondre. Mes fesses sont trop cuisantes pour une autre fessée :
— Euh… oui mademoiselle, vous allez me prendre la température…
Elle se met à rire et je sens son doigt qui titille mon petit trou :
— En quelque sorte, mais le thermomètre n’est pas assez gros pour te punir ma chipie. Tu vas avoir droit à mon gros stylo et tu vas le garder un bon moment crois-moi.
Elle a trouvé ce gros stylo à bout arrondi et renflé, elle l’a toujours sur elle et j’ai déjà dû le garder des heures entières bien enfoncé entre mes fesses.
Je le sens pénétrer, j’essaye de détendre mes muscles, si elle sent une résistance je suis bonne pour la brosse à cheveux. Enfin ses doigts relâchent mes fesses :
— Il est bien en place, il va y rester au moins une heure.
Je me suis fait une raison, de toute façon cette punition était méritée, je le sais… Mais soudain elle ajoute en me tapotant le derrière :
— Tu te rappelles ce que je t’ai promis la dernière fois ?
Mon sang se glace, elle a encore des projets pour mes fesses ?
— Euh, non mademoiselle.
— Ah bon ? Eh bien je vais te rafraîchir la mémoire. Je t’ai promis une journée fesses rouges à ta prochaine bêtise, eh bien nous y sommes, demain je vais m’arranger pour que tes fesses gardent une jolie couleur pendant vingt-quatre heures.
Chose promise, chose due, je suis sûre qu’elle avait oublié la journée fesses rouges, à la manière dont son derrière s’est crispé, je pense qu’elle regrette amèrement d’avoir utilisé son téléphone en conduisant. La leçon sera profitable.
Magnifique 💜 Et ça donne bien envie d’avoir une Mademoiselle Héloïse à portée pour nous éduquer si convenablement.
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