Un plug pour Héloïse
Quand madame Rose arriva, Héloïse était couchée sur les genoux de Sophie pour la dernière fessée de la pénitence, elle s’arrêta pour regarder en souriant le fessier de la jeune femme.
— Ces fesses sont bien rouges, tu as eu des problèmes avec cette demoiselle ?
Sophie cessa la punition mais garda Héloïse en position, elle avait posé sa main sur la fesse droite de la jeune femme. Elle se fit un plaisir de raconter les difficultés qu’avait cette jeune patiente pour accepter le thermomètre et le suppo. Elle expliqua en détail les punitions qu’elle lui avait administrées. Héloïse écoutait en silence, elle sentait la main de la jeune assistante posée sur son derrière et le regard réprobateur de la directrice, ses fesses n’allaient certainement pas être au repos. Madame Rose s’approcha et palpa le fessier brûlant :
— Je crois que je vais encore avoir un entretien avec les fesses de cette jeune femme. Tu me l’enverras dès que tu auras terminé.
La fessée repris avec les supplications d’Héloïse, ce léger intermède avait permis aux fesses de retrouver leur sensibilité, la cuisson était pire.
Dès qu’elle fut relevée, Sophie après lui avoir remonté la culotte à mi-cuisse la conduisit, en la tenant par l’oreille, au bureau de madame Rose.
Celle-ci regarda d’un air gourmand la jeune étudiante, elle aimait fesser les dames d’âge mûr et les ramener à un rôle de gamine, mais les derrières bien rebondis et fermes comme celui d’Héloïse était très agréable à corriger. Elle fit un petit signe à Sophie pour qu’elle fasse pivoter la punie :
— Montre-moi le résultat.
La croupe bombée, d’un rouge profond, était magnifique, elle se contractait spasmodiquement pour atténuer la brûlure qui devait l’envahir, madame Rose adressa un sourire à son assistante :
— Joli travail, cette demoiselle a un derrière à fessée, je me demande si elle n’aime pas se le faire rougir. Mets-la au coin en attendant, il faut que ses fesses refroidissent un peu pour mieux sentir la suite.
Sophie s’exécuta et aborda le cas d’Agnès :
— Je ne sais pas ce que nous allons faire, ses fesses sont toujours aussi joufflues, bon c’est agréable pour lui donner la fessée, mais quand même.
Madame sourit à la remarque malicieuse de sa jeune employée, elle aimait donner la fessée ça se voyait, elle en recevait beaucoup mais en distribuait certainement plus. Avec Aurélie elle formait une bonne équipe, elle leur faisait entièrement confiance, cette petite Ambre avec son magnifique fessier et son petit air pervers serait certainement une bonne recrue.
Elle se fit expliquer le traitement d’Agnès :
— Effectivement on ne peut guère l’augmenter, mais on peut sans doute l’améliorer. Amène-la-moi.
Quelques instants plus tard, les joues rouges et les yeux larmoyants, Agnès entra dans le bureau, Sophie lui claquait le derrière pour la faire avancer, madame Rose avait pris son air sévère :
— Voilà notre délinquante, approchez !!
Comme elle l’avait fait pour Héloïse la jeune assistante la fit pivoter afin qu’elle présente son large derrière à la directrice de l’institut :
— Effectivement il y a du travail, comme pour Héloïse je te félicite, jolie couleur.
Elle s’approcha d’Agnès et lui saisit l’oreille :
— Venez un peu ici madame, je vais avoir une petite conversation avec vos fesses, je crois que vous avez beaucoup de choses à me raconter.
Elle s’était installée sur une chaise et elle bascula la responsable du magasin de lingerie en travers des ses cuisses. Elle commença à palper le derrière, le pinçant, écartant les deux bonnes grosses fesses :
— Pourquoi n’avez-vous pas suivi le traitement ?
Une magistrale claque avait accompagné la question, suivi d’un cri d’Agnès.
— Aïe, pardon madame, je, je… n’avais pas le temps… aïe, aïe, aïe…
Une dizaine de claques s’abattirent sur la croupe déjà très rouge :
— Vous vous moquez du monde, je vais vous apprendre.
Une énième fessée s’abattit sur les fesses de la pauvre Agnès, Héloïse, le nez collé contre le mur avait mal pour son amie, elle pensa « bientôt ce sera mon tour ».
Enfin madame Rose cessa de martyriser le plantureux derrière, Agnès sanglotait doucement. Calmement la sévère matrone posa sa main sur le fessier :
— Puisque vous semblez vouloir n’en faire qu’à votre tête, on va s’occuper particulièrement de vous. Vous allez continuer le traitement actuel jusqu’à ce que vos fesses aient diminué de volume et gagné en fermeté, vous viendrez donc matin et soir tous les jours, la séance dure environ une heure trente, vous serez là tous les matins à huit heures, ensuite vous irez au travail et vous aurez votre séance du soir à dix-huit heures. Pendant un mois vous viendrez en pénitence tous les midis, on en profitera pour vous mettre le suppo. Pour finir, comme vous avez besoin d’être surveillée, tous les week-ends vous irez à tour de rôle chez moi puis chez Sophie et Aurélie, comme ça vous n’aurez pas d’interruption du traitement et ça vous évitera de faire des bêtises, ceci jusqu’à ce que je juge le traitement suffisant.
Elle termina sa péroraison en administrant une bonne claque sur chacune des bonnes grosses fesses :
— Vous avez compris ?
— Oui madame Rose, aïe, aïe…
La directrice venait de lui administrer une dizaine de claques :
— Bien, vous allez pouvoir y aller, je vous attends ce soir à dix-huit heures pile pour votre traitement.
Elle se pencha et retira complètement la culotte.
— Vous êtes privée de culotte pour l’après-midi, ça permettra à vos fesses de refroidir.
Agnès se releva, elle devait avoir littéralement le feu aux fesses et le programme annoncé par madame Rose lui promettait de les avoir rouges quasiment en permanence. Sophie la raccompagna dans le secrétariat, elle la fit tourner pour lui dégrafer la jupe :
— Voilà, vous allez pouvoir travailler cet après-midi avec les fesses bien aérées.
Elle claqua une dernière fois le fessier avant de remettre la jupe en place.
— Soyez à l’heure.
Dans le box voisin, Aurélie s’occupait d’une jeune fille, Ambre assistait à la correction, comme la porte était ouverte, Sophie put constater que sa collègue ne lui avait pas permis de remettre sa jupe en place, son magnifique derrière cramoisi était parfaitement exposé. On distinguait le battement de jambes de la punie, ses fesses étaient masquées par la jeune femme.
Dans le bureau de la directrice une autre pièce se jouait, dès qu’Agnès eut quitté le bureau elle avait appelé Héloïse :
— Viens ici !!
Le tutoiement et le ton sans réplique avait impressionné la jeune femme, elle s’était retournée en gardant ses mains sur la tête, madame Rose était restée assise, elle lui fit un petit signe :
— En position jeune fille, nous avons à parler.
Héloïse compris que c’était surtout à ses fesses que la sévère matrone allait s’adresser, en un clin d’œil elle retrouva cette position qui lui devenait familière, pourtant une semaine auparavant elle n’aurait jamais cru cela possible, recevoir une fessée déculottée à son âge.
— Tu es bien installée ?
Madame Rose explora le joli derrière bien rouge, elle écarta les fesses largement, instruite par l’expérience la jeune femme se laissait faire.
— Alors comme ça tu n’aimes pas montrer ton petit trou.
Elle avait posé son doigt sur l’anus et le titillait :
— Il va falloir t’habituer ma petite sinon tu auras souvent les fesses rouges. Pour t’apprendre tu vas avoir droit à un plug pendant deux heures, si ce n’est pas suffisant et qu’on est encore obligée de sévir, ça sera une demi-journée puis une journée entière.
Elle prit un plug de petite taille et le posa sur la rondelle, Héloïse gémit en le sentant pénétrer :
— Cesse immédiatement ces jérémiades, je sais que c’est plus gros qu’un suppo mais la prochaine fois tu laisseras Sophie te le mettre.
La jeune fille sentait l’instrument de punition la pénétrer, elle essayait de ne pas contracter ses fesses, c’était une sensation nouvelle pour elle, c’était légèrement douloureux mais beaucoup moins qu’une fessée et elle sentait une légère excitation la gagner, comme quand Sophie avait fait coulisser le thermomètre. Il lui semblait que l’engin n’allait jamais finir de rentrer, madame Rose souriait, elle devinait la honte de la jeune femme, mais elle savait aussi qu’un plug était souvent excitant elle le ressortit puis le rentra encore plus profondément, il fallait que la punie le sente bien dans son fondement et qu’elle intègre sa punition.
— Tu le sens bien dans ton petit trou ? voilà il est bien en place, maintenant on va régler ton problème de désobéissance.
Elle prit la lourde brosse à cheveux et commença à fesser le derrière rebondi, sous la brûlure Héloïse se cabra et hurla, la douleur était intense, comme l’avait prévu l’experte fesseuse, le temps de coin avait permis aux fesses de refroidir légèrement et de retrouver leur sensibilité. La fessée n’en était que plus douloureuse donc plus efficace. Héloïse la gratifia d’une jolie danse des fesses.
— Maintenant, tu files voir Sophie qu’elle te remette au coin, ton derrière va illuminer le secrétariat.
Héloïse, les joues baignées de larme, quitta le bureau, madame Rose la regarda s’éloigner en souriant, cette petite avait vraiment une jolie paire de fesses. Elle aurait peut-être du mal à s’asseoir ce soir.
Sophie leva les yeux en entendant la punie arriver :
— Tu as chaud aux fesses ? Montre-moi ça.
Docilement Héloïse présenta son fessier, il était littéralement cramoisi après la dernière fessée à la brosse. L’assistante s’approcha et passa un doigt sur les fesses :
— Madame Rose t’a bien soignée dis-moi. Tu recommenceras à serrer les fesses quand je te mettrai le thermomètre ?
— Non, non mademoiselle Sophie.
Elle écarta les deux fesses :
— Et le plug ? c’est bon ?
Héloïse se mit à gémir :
— Oh non mademoiselle, c’est gros… Aïe.
La main de Sophie venait de claquer le derrière de la jeune étudiante :
— Cesse de chouiner, si tu n’avais pas fait toutes ces histoires pour te faire mettre le thermomètre et le suppositoire, tu n’en serais pas là. Que t’as dit madame Rose ?
Héloïse se mit à pleurnicher :
— Je… je dois aller au coin…
— Eh bien qu’est-ce que tu attends, file !
Une magistrale claque sur le derrière écarlate indiqua la direction à la jeune femme.
La punie regagna à nouveau ce coin où elle avait passé de longs moments depuis ce matin, c’était humiliant d’exposer ainsi sa croupe bien rouge, mais c’était beaucoup mieux que d’être couchée sur les genoux d’une dame de l’institut en train de recevoir une fessée. Dans un coin elle aperçut une autre paire de fesses juvénile qui avait la même couleur que les siennes.
C’était la jeune fille qui recevait la fessée au moment où Agnès quittait l’institut, elle s’appelait Clémentine, elle en eu la confirmation quand Aurélie s’approcha d’elle pour lui palper le derrière :
— Cesse de te tortiller comme ça ma petite Clémentine, tu en as encore pour une demi-heure et je pense que tes fesses seront encore rouges quand tu retourneras à l’école.
Ambre faisait le ménage, elle était toujours les fesses à l’air, Aurélie ayant décidé que son derrière méritait d’être exposé en permanence. C’était un spectacle particulièrement coquin que de la voir se pencher ou tortiller ses fesses bien rouges, les deux assistantes la regardaient, amusées :
— Notre petite stagiaire met du cœur à l’ouvrage, tu ne trouves pas que son derrière a un peu trop pâli ?
Sophie n’avait pas fessé Ambre depuis la veille et sa main la démangeait, sa collègue la regarda en souriant :
— Toi, je crois que tu aimerais bien lui en flanquer une.
— Tu as deviné ! Un si beau fessier ça mérite d’être entretenu et puis si on la met au coin à côté des deux autres chipies, on pourra comparer les couleurs.
Aurélie se mit à rire :
— Très bonne idée, tu vas utiliser quoi pour lui tanner le derrière ?
— Elle a goûté à quoi depuis ce matin ?
— On va lui demander et si elle se trompe elle aura droit à une double fessée. Ambre vient un peu là.
La jeune stagiaire leva la tête en rougissant, elle n’avait rien perdu de la discussion la concernant, son derrière s’était crispé en entendant la dernière phrase d’Aurélie, elle s’approcha :
— Tourne-toi qu’on voit bien ton derrière et tu expliques à Sophie combien je t’ai donné de fessées et avec quoi ?
Ambre tendait sa croupe écarlate, elle espérait amadouer les deux assistantes en leurs présentant bien son fessier. Elle avait tort, car ces deux-là aimaient vraiment les fesses des dames, en avoir de très appétissantes à disposition ne pouvaient que leur donner des idées.
— Euh… j’ai reçu cinq fessées… avec la main, euh… aïe, aïe…
— Dépêche-toi un peu !
La main d’Aurélie venait de claquer très sèchement le derrière de la jeune femme.
— Oui, oui, pardon mademoiselle Aurélie, avec mademoiselle Claquefesse, avec madame Tapecul et…
Elle hésita, depuis le début de son stage, ses fesses avaient goûté à tellement d’instruments qu’elle s’y perdait un peu. Sophie fit un petit clin d’œil à sa collègue :
— Je crois que cette chipie à besoin qu’on lui rafraîchisse la mémoire. Une double fessée, ça te dit ?
— Oh que oui, il faut que notre petite Ambre découvre ça.
Elle disposa une deuxième chaise en face de celle qui avait servi pour les diverses fessées de la journée et elles s’installèrent face à face, les genoux de l’une, s’insinuaient entre les cuisses de l’autre formant une plate-forme. Sophie tendit la main et attrapa Ambre par le poignet puis elle la fit se coucher sur les quatre cuisses :
— Allez en piste ma petite, tu vas goûter à une spécialité maison.
Elles se regardèrent pour bien coordonner la fessée, c’est Sophie qui administra la première claque sur la fesse droite, Ambre eu à peine le temps de crier que la main d’Aurélie s’abattait sur la gauche. Dès que la main de l’une se relevait, l’autre atteignait la fesse, il n’y avait aucune interruption dans la brûlure, même une fessée donnée très rapidement ne pouvait atteindre ce rythme.
Le derrière de la jeune stagiaire ressemblait à un brasier ardent, mais ce fut bientôt pire car délaissant la fessée manuelle, les deux perverses saisirent chacune une mademoiselle Claquefesse, ses cris furent déchirants, les pleurs se mêlaient au bruit infernal des deux spatules en cuir claquant la peau nue.
Héloïse et Clémentine, les deux punies qui étaient au coin, serraient les fesses en entendant cette magistrale correction, elles étaient finalement contentes d’être en pénitence.
Après la fessée avec mademoiselle Claquefesse, le derrière d’Ambre bien que fumant et cramoisi goûta une courte correction avec la redoutable paddle, madame Tapecul.
Estimant que les fesses de leur future collègue avaient été suffisamment corrigées, elles cessèrent de les claquer :
— Alors ma petite chérie, ta mémoire t’es revenue ?
Ambre sanglotait toujours, sa croupe la brûlait atrocement.
— Oui… mademoiselle… ça brûle…
— C’est fait pour ça ma chérie, alors ?
— Euh, le martinet, la babouche en cuir…
— Eh bien, nous y voilà, c’est curieux comme une bonne fessée peut être efficace… Tu vas retourner au travail, je viendrai vérifier tout à l’heure si ce box est correctement nettoyé, si ce n’est pas le cas, je te ferai goûter à un autre instrument. Allez file !!
Héloïse était restée une heure au coin, Sophie jugea que ses fesses avaient besoin de reprendre un peu de couleur, elle l’appela alors qu’une patiente entrait :
— Bonjour, si vous permettez, je dois d’abord m’occuper des fesses de cette demoiselle, je suis à vous tout de suite.
Elle courba la jeune étudiante sous son bras et lui administra une rapide mais cuisante fessée avec mademoiselle Claquefesse, celle-ci trépigna sur place sous le regard amusé de la dame.
Recevoir une vraie fessée en public voilà qui était nouveau, elle n’avait reçu ce châtiment humiliant que devant des gens qu’elle connaissait plus ou moins, maintenant elle pleurait autant de honte que de douleur de la recevoir devant une inconnue.
Pour compléter son humiliation, Sophie la fit se coucher sur la plate-forme à côté de son bureau. Sa croupe écarlate était étalée devant les yeux de toutes les clientes. La position laissait également entrevoir le plug qui garnissait son petit trou.
Satisfaite, Sophie se tourna vers la dame :
— Je suis à vous.
— Bonjour, mademoiselle quelle technique, je vous félicite, cette demoiselle a vraiment une magnifique paire de fesses. Une amie, la baronne De Nouvel m’a parlé de votre service de fessées à domicile, je suis intéressée.
Tout en parlant la dame énergique jetait de temps en temps un regard intéressé aux fesses d’Héloïse, elles étaient vraiment ravissantes. Elle expliqua qu’elle dirigeait à la suite de sa mère un petit atelier de confection, celle-ci y faisait régner une stricte discipline. Elle ajouta dans un sourire en regardant le fessier cramoisi de la jeune femme :
— Maman obtenait de très bons résultats en rougissant de cette façon les derrières de ses employées. Mais malheureusement depuis qu’elle est disparue je me sens un peu démunie pour faire régner l’ordre dans l’atelier, il y a du relâchement, les plus âgées des dames m’ont connue plus jeune et elles m’ont vue recevoir la fessée par maman, je ne me sens pas très légitime pour les corriger.
Sophie avait écouté en silence :
— Effectivement il est temps de reprendre les choses en main. Vous n’avez donc pas administré la moindre fessée depuis la disparition de votre mère ?
— Non… Depuis trois mois aucun derrière n’a pris l’air dans l’atelier, alors que du temps de maman c’était quotidien.
— Et pour vous c’est pareil ?
Blandine, c’était le nom de la jeune femme la regarda étonnée :
— Comment ça pour moi ?
— Oui, vous n’avez pas été déculottée depuis plus de trois mois ?
La cliente piqua un fard et baissa les yeux, Sophie n’y avait pas été par quatre chemins, le mot déculottée était explicite.
— Euh, non, c’est-à-dire, c’est un peu gênant.
Sophie était devenue psychologue, elle savait immédiatement si elle avait affaire à une soumise ou à une dominatrice, Blandine se rangeait dans la première catégorie, il était temps de ferrer le poisson :
— Pas plus gênant que de regarder les fesses rouges d’Héloïse, venez ici !
La jeune femme chercha à protester, mais Sophie la tenait déjà par le poignet :
— Vous désirez bénéficier de notre service de fessées à domicile, je vous propose une séance d’essai gratuite.
En un clin d’œil, Blandine se retrouva dans une position qui ne lui était pas inconnue puisque c’était celle qu’utilisait sa mère pour la fesser. Sophie ne s’embarrassa pas de fioriture, la jupe vola sur les reins, dévoilant des dessous sexy et une jolie paire de fesses, bien joufflue mais qui paraissait ferme malgré tout, le déculottage fut tout aussi rapide et la fessée manuelle également.

Héloïse malgré sa position humiliante était satisfaite que la dame qui avait pu assister à sa fessée et admirer son fessier, reçoive elle aussi ce châtiment enfantin. Blandine avait l’air d’être habituée à recevoir de sévères corrections, car si elle avait crié et battu des jambes, elle n’avait pas pleuré, pourtant comme à son habitude, Sophie n’avait pas ménagé sa peine. Elle palpa le fessier, il était rouge et chaud, mais pas brûlant :
— Après cette fessée d’échauffement que nous proposons comme service de base, je vais vous faire goûter à l’une de nos spécialités maison.
Elle avait à la main la paddle percée appelée madame Tapecul, celle-ci s’écrasa avec un bruit sec sur la croupe déjà rouge et les cris de la dame reprirent de plus belle, Sophie ne cessa la punition que quand Blandine se mit à pleurer.
— Nous y voilà, la maison garantit ses fessées, les dames qui la reçoivent finissent toujours avec un derrière brûlant et des larmes qui coulent.
Elle fit relever la dame, celle-ci porta les mains à ses fesses, Sophie la regarda sévèrement ce qui eu pour effet immédiat de lui faire mettre les bras le long du corps :
— Reculottez-vous. Pas de passage au coin pour aujourd’hui, mais ça ne sera pas toujours le cas.
Tandis que Blandine remontait sa culotte, elle posa sur son bureau une brochure :
— Vous avez là toutes nos prestations, je vous laisse réfléchir, si vous êtes d’accord avec nos propositions, il vous faudra avoir un rendez-vous avec madame Rose la directrice de l’institut.
La nouvelle cliente remercia et quitta le secrétariat non sans avoir jeté un dernier coup d’œil au derrière d’Héloïse. Sophie le palpa :
— Encore un quart d’heure, tu vas rester là tes fesses sont bien mises en valeur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire