Traitement et punition du midi
À huit heures pile, elles se retrouvèrent à la porte de l’institut, Agnès fit une bise à sa nouvelle jeune maîtresse. Héloïse lui sourit en posant sa main sur son derrière :
— Ça va ce matin ? Ton gros popotin te cuit encore.
La dame qui aurait pu être sa mère ne s’offusqua pas de ce geste, elle eut sourire coquin :
— Tu fesses bien pour ton âge mais Mado avait une main encore plus sèche, quant aux deux chipies de l’institut je ne t’en parle même pas. J’ai beau avoir l’habitude je ne peux pas m’empêcher de serrer les fesses sous ma culotte.
Elles discutaient encore quand Ambre leur passa devant. Elle ne les regarda pas, elle avait l’air soucieuse, Héloïse fut surprise de sa tenue de collégienne et de cette jupe ultra courte qui montrait presque sa culotte. Son visage ne lui était pas inconnu, elle commença à réfléchir et juste au moment où la jeune femme disparaissait, elle se souvint d’elle. Mais oui, c’était Ambre, cette coquine qui était dans sa classe au collège, elle n’avait pas trop changé, déjà à quatorze ans elle était fière de ses fesses, depuis elles avaient pris du volume et de la fermeté.
Héloïse se mit à rire intérieurement « toi ma petite, tu ne vas pas avoir froid au derrière, avec un popotin pareil, j’en connais deux qui vont se régaler ». Elle n’avait pas tort, à peine étaient-elles entrées dans le secrétariat que des éclats de voix se firent entendre, suivi du bruit si caractéristique dans ses murs, celui de la main claquant la peau nue :
— Je vais t’apprendre à répondre, ton derrière était encore rosé, mais je te garantis qu’il va être rouge.
— Non, non, aïe, aïe pardon mademoiselle Aurélie…
C’était bien la voix aiguë d’Ambre, elle n’avait pas changé, la porte s’ouvrit et Aurélie apparut tirant la jeune femme par l’oreille, elle était gênée pour marcher par sa culotte entravant ses genoux :
— On va commencer la journée par une bonne fessée cul nu devant tout le monde !!
Ambre était à peu près de la même taille qu’Aurélie, elle était musclée, mais la jeune assistante avait une grande habitude, elle distribuait les corrections plusieurs fois par jour, en un clin d’œil elle la souleva et la percha sur sa cuisse horizontale, la jupe remontée par la position dévoilait déjà la magnifique croupe, une fois retroussée, l’orgueilleux derrière apparut dans toute sa splendeur. Héloïse avait vu juste, cette paire de fesses musclées et bien ferme était vraiment volumineuse, des fesses à fessée comme on les aimait à l’institut.
Le derrière était déjà rouge de la première fessée reçue dans le box, mais ce n’était bien sûr pas suffisant, il fallait que les fesses brillent de mille feux, qu’elles fument comme disaient les deux assistantes quand elles voulaient administrer une magistrale fessée.
La pauvre Ambre avait déjà reçu un nombre considérable de fessées depuis qu’elle avait commencé son stage, mais celle-là compterait parmi les plus mémorables.
Héloïse et Agnès avaient assisté avec ravissement à la correction de la jeune femme, ce serait bientôt leur tour de montrer leurs fesses et connaissant Sophie nul doute qu’elles seraient rouges également. Héloïse se souvenait de la manie qu’avait sa copine de collège de claquer les fesses de ses camarades où même de leur baisser leurs leggings quand elles ne s’y attendaient pas, aujourd’hui c’était son tour de montre son derrière et d’effectuer une magnifique chorégraphie avec ses jambes qui pédalaient dans le vide et ses fesses qui s’ouvraient largement.
Sophie était assise au secrétariat, elle regarda les deux spectatrices :
— À nous maintenant, dans le box numéro deux, en culotte et soutien-gorge, vite !
Héloïse et Agnès furent déçues de ne pas assister à la fin de la correction, Aurélie venait de prendre mademoiselle Claquefesse et Ambre s’était mise à pleurer.
Instruites par l’expérience, elles se dépêchèrent de se dévêtir, Agnès avait abandonné les bas et porte jarretelles elle avait mis des bas autofixants et une jolie culotte rose ornée de dentelle qui avait bien du mal à contenir son plantureux popotin. Héloïse avait opté pour une culotte blanche assez échancrée qui laissait voir la base de son postérieur. Sophie entra en souriant :
— C’est bien vous n’avez pas traîné, ça vaut mieux pour vous, je viens de voir que vous êtes punies à midi, Aurélie m’a raconté, c’est du joli !!
Elle se tourna vers Agnès :
— Vous étiez passée où ? Je viens de voir votre dossier, votre dernière séance remonte à deux mois et les résultats n’étaient pas brillants.
Elle s’approcha de la dame de quarante-cinq ans qui rougissait comme une gamine grondée par son institutrice, elle la fit pivoter et pinça le morceau de fesses qui dépassait de la culotte :
— Eh bien, ça ne s’est pas arrangé, on en était déjà à deux séances par jour et trois suppos, on va commencer comme ça, mais je crains que cela ne soit pas suffisant, je verrai avec madame Rose.
Agnès ne répondit pas, mais comme elle l’avait dit à sa jeune amie, ses fesses étaient serrées sous sa culotte.
— On va passer aux mensurations, pour toi Héloïse c’est déjà fait, allonge-toi que je te mette le thermomètre, ça va nous faire gagner du temps.
La jeune femme frissonna, le ton sans réplique de la jeune assistante l’impressionnait, elle ne savait pas si elle allait décontracter ses fesses suffisamment. Elle s’allongea sur le ventre, Sophie plaça un coussin sous son abdomen et tapota le fessier tendu :
— Jolie culotte, mais un peu trop échancrée, tu t’es déjà fait confisquer celle d’hier, je crains que madame Rose n’apprécie pas non plus celle-ci.
Elle glissa ses doigts sous la lingerie et déculotta largement la jeune femme, même si elle commençait à avoir l’habitude de montrer son derrière, elle ne put s’empêcher de serrer les fesses, la raie médiane ne faisait plus qu’un trait au milieu des deux hémisphères. Sophie souriait, c’était toujours pareil avec les nouvelles, elles avaient un peu de mal avec le déculottage. Au cours du temps, elles s’habituaient à se faire baisser la culotte et à exposer leur derrière dénudé, elle prit un thermomètre et palpa le fessier :
— Il va falloir me desserrer ça ma petite, Aurélie m’a expliqué qu’elle avait dû te rougir le derrière, j’espère que tu as compris.
Héloïse se concentra pour relâcher ses muscles fessiers, elle savait que la perverse assistante n’attendait qu’une occasion pour lui flanquer une fessée. Elle sentit ses deux doigts se glisser dans la raie pour l’écarter, même si elle n’était pas une oie blanche et qu’elle jouait à des petits jeux pervers avec ses copines, se faire examiner son intimité ainsi était particulièrement honteux, surtout que Sophie savait y faire. Tout en tenant les fesses largement écartées elle posa son doigt sur l’anus de la jeune femme :
— On dirait que tu n’aimes pas montrer ton petit trou ma chérie, il va pourtant falloir que tu t’y habitues, ça fait longtemps que maman ne te prends plus la température ?
Héloïse était mortifiée d’être traitée comme une gamine, mais elle ravala sa fierté, Sophie avait la main leste. Elle sentit l’embout du thermomètre pénétrer doucement dans son fondement, la jeune assistante savait y faire, elle le fit coulisser, le rentrant puis le sortant :
— Détends-toi ma chérie, il ne peut pas rentrer ce n’est pas normal, fait un effort sinon c’est panpan cucul.
Elle poussa doucement sur l’instrument médical, mais les muscles du sphincter résistait, elle le retira complètement :
— On va passer aux bonnes vieilles méthodes, lève-toi !
Héloïse aperçut le sourire malicieux d’Agnès, celle-ci avait assisté avec un plaisir non dissimulé au traitement humiliant de sa jeune amie. Elle se jura de lui faire payer ce sourire ironique « tu vas voir ce soir ma chipie, tes fesses vont te cuire ». Sophie s’était installée sur une chaise et elle bascula sa patiente en travers de ses genoux :
— Je pense que tes fesses ont besoin d’être rouges pour se détendre.
La fessée pétarada immédiatement dans la pièce et Héloïse accompagna le bruit des claques sur ses fesses par un joli chœur de cris, de gémissements puis de pleurs. Son derrière était écarlate quand Sophie cessa la punition, elle écarta immédiatement les deux hémisphères rubiconds et comme par enchantement le thermomètre trouva son chemin et pénétra profondément sous les gémissements d’Héloïse, ce qui lui valu quelques claques supplémentaires :
— Vas-tu cesser de chouiner, tu veux une autre fessée ?
Elle la fit relever :
— Tu te remets en position et je ne veux plus t’entendre, tu as gagné une demi-heure de coin au secrétariat après ta séance.
Agnès avait apprécié le spectacle, mais c’était maintenant son tour, Sophie innova elle la déculotta avant de la faire monter sur la balance. Une bonne claque au milieu du fessier l’incita à se presser, c’était excitant de voir cette dame d’âge mûr la culotte à mi-cuisse, exposant son plantureux derrière, monter sur le pèse personne. Puis ce fut les mensurations des fesses des cuisses et de la taille. Sophie notait scrupuleusement sur l’ordinateur, elle fit une petite grimace quand ce fut fini :
— C’est bien ce que je pensais, le logiciel va mouliner tout ça, mais au vu des chiffres, un traitement standard ne suffira pas. Allez, en piste pour le thermomètre.
Agnès avait l’habitude, elle se laissa prendre la température sans difficulté, ce ne fut pas du goût de Sophie qui lui administra quand même une petite fessée en la morigénant :
— Ce n’est pas possible de se laisser aller comme ça, croyez-moi, je vais vous soigner, vous en avez pour un moment à venir me présenter vos bonnes grosses fesses.
Aurélie passa la tête par la porte :
— Ça se passe bien avec ces deux chipies ?
Elle vit le derrière écarlate de la jeune étudiante :
— Ah mademoiselle a encore eu du mal avec le thermomètre.
Sophie se mit à rire :
— Oui mais à force d’avoir le derrière bien rouge, on va y arriver.
Aurélie remarqua les fesses à peine colorées d’Agnès :
— Tu sais que cette dame a omis de revenir nous voir, je pense qu’en plus de son traitement, il faut lui prévoir quelque chose.
— Ne t’inquiète pas, elle aura un joli derrière bien rouge pour la pénitence du midi, tu en es où avec notre petite Ambre ?
— Elle vient de prendre un lavement, je lui laisse cinq minutes avec la canule dans les fesses, ensuite elle a rendez-vous avec madame Rose, elle doit lui mettre un plug pour le reste de la journée.
Sophie qui avait déjà goûté à ce genre de punition fit une grimace :
— Jusqu’à ce soir ? Eh bien cette petite a droit à un stage complet. Combien de fessées ?
— Deux seulement, j’ai été gentille.
Sophie esquissa un sourire :
— C’est vrai, cette chipie à vraiment un fessier adorable, un vrai plaisir de le lui claquer, il est tellement ferme que la main rebondit et puis il prend tout de suite une jolie couleur. Elle est mignonne comme tout quand elle gigote en travers de tes genoux, malheureusement pour elle, je crois que madame Rose a un faible pour son derrière.
Aurélie se mit à rire :
— C’est bien ça mettra les nôtres au repos.
Malgré sa honte d’exposer son derrière, Héloïse avait écouté avec plaisir les deux assistantes parler du sort de son ancienne copine. Elle ne savait pas encore pourquoi elle était là, elle le saurait bien assez tôt.
Le traitement se déroula sans accroc majeur, bien qu’elle ait déjà les fesses chaudes, la jeune femme n’échappa pas à la solide fessée destinée à chauffer l’épiderme du postérieur, elle s’allongea à nouveau sur la table d’examen avec une bonne couche de crème qui masquait à peine la rougeur de ses fesses. Sophie réserva un traitement spécial au bon gros derrière d’Agnès, habituellement les patientes n’avaient droit qu’à la main pour échauffer les fesses, mais elle eut droit en plus à mademoiselle Claquefesse. Elle pleurait à chaudes larmes quand la jeune femme lui créma le derrière.
Elles étaient là depuis déjà une bonne demi-heure, Sophie leur annonça qu’elle resterait ainsi les fesses exposées pendant encore une autre demi-heure, elle laissa la porte du box grande ouverte et vaqua à ses occupations. Elle avait à préparer sa visite hebdomadaire chez la baronne, elle l’appela pour connaître ses desiderata quant aux punitions prévues pour le personnel du château.
Aurélie s’occupait d’une jeune fille dans un box voisin, ça claquait dur.
Agnès et Héloïse avaient terminé leur traitement par une demi-heure au coin les fesses à l’air.
Héloïse avait repris une fessée supplémentaire au moment de l’introduction du suppositoire, Sophie lui avait annoncé :
— Tu vas t’y habituer ma chérie, sinon je vais être obligée de t’en mettre encore plus souvent.
Sophie regarda sa montre, il était onze heures trente et les deux punies étaient convoquées à midi pour la pénitence, elle décida d’être magnanime :
— Reculottez-vous, je vous laisse libre jusqu’à midi. Vos jolies fesses vont se reposer un peu. Mais soyez à l’heure.
Les deux amies se retrouvèrent dehors, un café se trouvait juste en face, elles y entrèrent. La serveuse leur jeta un regard ironique, elle les avait vu sortir de chez madame Rose. Les précautions qu’elles prirent pour s’asseoir confirma son impression, comme beaucoup de dames sortant de l’institut, ces deux-là devaient avoir une paire de fesses bien rouges sous leur culotte. Elles commandèrent un café.
— Cette garce de Sophie a toujours la main aussi sèche, je l’avais oublié.
Agnès glissa sa main sous son popotin et se mit à le frotter discrètement, ce qui fit sourire sa jeune amie
— Madame à chaud aux fesses, je te rappelle que ce soir je reviens m’en occuper.
Agnès fit une grimace et minauda :
— Oh non, s’il te plaît avec ce que je vais recevoir tout à l’heure.
Héloïse prit son air sévère :
— Apparemment ça n’a pas suffi hier, tu sais bien que chaque fois que tu protestes tu as droit à une fessée supplémentaire. Tu en recevras donc deux.
Agnès la regarda estomaquée, elle était de plus en plus surprise par Héloïse qui était aussi sévère que ses deux précédentes fesseuses. En même temps elle ne pouvait s’empêcher d’avoir un tendre sentiment pour elle.
Elle la regarda amoureusement :
— Oui mademoiselle, pardonnez-moi.
La serveuse leur apporta le café et leur demanda ironiquement :
— Vous êtes bien installées, les sièges sont confortables.
Sans attendre la réponse, elle tourna les talons, son fessier était moulé dans une jupe étroite, Héloïse se retient pour ne pas lui administrer une bonne claque dessus.
Agnès regarda sa montre, il était temps d’y aller. Elles virent Élisabeth arriver, Héloïse se tourna vers Agnès :
— Elle était déjà la hier, décidément ses fesses ne doivent pas être souvent blanches.
— Je la connais, effectivement elle est très souvent à l’institut, les deux chipies adorent son derrière. Si j’ai bien compris c’est une baronne et malgré on âge, sa mère a décidé qu’elle devait recevoir la fessée régulièrement. Quand ce n’est pas Sophie ou Aurélie qui la convoque, c’est sa mère qui l’envoie.
Elles entrèrent à la suite de la baronne De Nouvel, Aurélie sortait du box, elle leur jeta un regard moqueur :
— Alors les chipies, vos fesses sont reposées ? Sophie va s’en occuper.
Ambre se tenait à côté de Sophie, elle avait les yeux rougis, derrière elle suspendue à son crochet, sa culotte était exposée.
— C’est bien vous êtes à l’heure, tournez-vous.
Sophie prenait la direction des opérations, elle s’adressa à sa future jeune collègue :
— Tu retrousses les jupes des punies. Tu as des épingles ?
Ambre lui montra, il y avait une petite poche dans sa jupe. Elle se dirigea vers les trois dames qui lui tournait le dos. Elle commença par Élisabeth, celle-ci portait sa culotte de gamine, en coton blanc, qui jurait un peu avec ses bas et porte jarretelles de dame, elle lui tapota le derrière culotté, bientôt ce serait à elle de claquer ces derrières de bourgeoises.
Puis ce fut au tour d’Agnès d’exposer sa lingerie fine et son fessier qui en débordait largement. Elle eut droit elle aussi à une claque sur la base du derrière.
Ambre avait reconnu son ancienne copine, elle lui retroussa lentement la jupe, la culotte échancrée en dentelle dévoilait beaucoup le derrière rebondi, après avoir épinglé la jupe elle se tourna vers Sophie :
— Cette forme de culotte est autorisée ?
Elle claqua deux fois très sèchement la partie découverte des fesses. Sophie appréciait les initiatives de la jeune femme, c’était une bonne recrue.
— Je ne pense pas, notre petite Héloïse va encore être privée de culotte pour rentrer chez elle.
Elle se dirigea vers le râtelier à instrument, trois fessiers mais quatre instruments, Ambre compris qu’encore aujourd’hui elle serait soumise au même traitement que les punies. Sophie posa devant elle une brosse à cheveux, mademoiselle Claquefesse, un martinet et une babouche avec semelle de cuir. Elle ne proposa pas à la jeune stagiaire de choisir, elle avait déjà décidé quel fessier goûterait tel instrument.
Les trois punies lui tournaient toujours le dos, elles avaient posé naturellement leur main sur la tête, on sentait les fesses crispées sous la lingerie, Sophie s’approcha en souriant et palpa successivement les trois paires de fesses :
— Qui va venir en premier sur mes genoux pour que je la déculotte ?
Elle les laissa dans l’expectative et se tourna vers Ambre :
— Viens un peu ici.
Surprise du changement de ton, la jeune femme s’approcha, Sophie la fit pivoter et retroussa la courte jupette. Les fesses étaient encore bien colorées, elle la courba sous son bras :
— Écarte les jambes.
Une claque sèche au milieu du fessier incita Ambre à s’exécuter rapidement, l’assistante écarta les fesses, la rondelle du plug apparu au centre de la raie fessière.
— Un numéro trois, madame Rose t’a gâtée. Tu le sens bien dans ton petit trou ?
Elle palpa le fessier si ferme et si attrayant pour une fesseuse.
— On va remettre un peu de couleur.
La main sèche claqua une centaine de fois la croupe de la jeune femme qui trépigna sur place. Puis elle la relâcha et lui dit en souriant :
— Elles sont parfaitement échauffées pour la suite, Élisabeth venez ici.
La baronne se tourna et s’approcha, Sophie la bascula sans ménagement sur ses genoux, la déculotta et lui administra la traditionnelle fessée à la main et comme à son habitude la fière bourgeoise se comporta comme quand elle était gamine et que sa mère la corrigeait. Une fois remise sur ses pieds, Sophie lui indiqua le mur :
— Au coin, vilaine fille !
La baronne n’aurait même pas la maigre consolation d’assister à la fessée de ses deux compagnes d’infortune, elle ne les verrait pas gigoter et battre des jambes sur les genoux de la jeune assistante.
Pourtant le spectacle offert par Agnès fut magnifique, les spectatrices constatèrent que son bon gros fessier savait encore danser, ses larges fesses s’ouvrirent et se serrèrent sous l’intensité des claques de Sophie.
Héloïse était impressionnée, elle commençait à avoir l’habitude de recevoir la fessée, mais ce serait sa première correction réellement publique et se faire déculotter restait quand même une épreuve. En voyant les contorsions et les pleurs d’Agnès, elle devinait que l’épreuve en plus d’être humiliante serait très douloureuse. Elle n’avait pas tort, quelques instants plus tard elle gisait en travers des cuisses de Sophie le derrière cramoisi, pleurant à chaudes larmes après la magistrale fessée qu’elle venait de recevoir.
Agnès était à côté d’Elisabeth, le nez contre le mur exposant sa croupe non moins rouge, Héloïse les rejoignit après avoir été stimulée par une bonne claque administrée au milieu de son fessier rougeoyant.
Les trois paires de fesses illuminaient la pièce, elle se tourna vers Ambre :
— C’est quand même mignon des fesses bien rouges.
Elle décida d’inverser l’ordre des punitions, elle avait réservé le martinet aux fesses rondes et musclées d’Héloïse, elle demanda à Ambre d’aller la chercher pour la mettre en position. La jeune stagiaire était ravie de cette responsabilité, saisir par l’oreille son ancienne copine pour la faire coucher sur la plate-forme destinée à la punition au martinet fut un vrai plaisir pervers, elle se permit de tapoter le derrière bien rouge d’Héloïse et de lui glisser :
— Tu es bien installée ? Tes fesses sont ravissantes.
Celle-ci ne répondit pas, humiliée d’être ainsi traitée par cette petite peste, sa croupe était parfaitement présentée, Ambre aurait bien aimé manier le martinet, mais Sophie ne lui proposa pas.
— Cinquante coups pour ce joli derrière.
Héloïse se mit à gémir :
— Oh non mademoiselle… mes fesses sont déjà brûlantes…
Sophie passa sa main sur le derrière en souriant :
— C’est vrai ma chérie, on va donc dire soixante pour t’apprendre à récriminer.
La jeune étudiante faisait l’apprentissage douloureux des coutumes de l’institut, se plaindre valait toujours une augmentation de la punition. Elle ne répondit pas se contentant de pleurer. Soixante coups de martinet, son derrière allait-il les supporter, elle apprendrait rapidement qu’un beau derrière féminin comme le sien pouvait en recevoir bien plus. Les lanières claquaient inlassablement la croupe orgueilleusement exposée, la brûlure descendait même sur le haut des cuisses que la sévère jeune femme n’épargna pas. Quand la correction fut terminée, Sophie chargea Ambre de la remettre au coin, ce qu’elle fit avec un plaisir non dissimulé, quelques claques généreusement distribuées accompagnèrent cette marche honteuse.
Pendant ce temps Sophie avait installé Agnès sur ses genoux, les plantureux derrière goûterait à la brosse à cheveux, puis Élisabeth fut mise elle aussi en position disciplinaire et mademoiselle Claquefesse se chargea de lui rôtir les fesses.
Pendant qu’elle pleurait étalée en travers des cuisses de Sophie, Ambre osa une question :
— Élisabeth vient tous les jours ?
La jeune femme caressa le derrière brûlant en souriant :
— Notre petite Élisabeth a besoin de recevoir régulièrement la fessée, je dirais quasiment quotidiennement. C’est une chipie et l’âge n’y fait rien si on lui lâche la bride elle fait des bêtises. La semaine dernière elle a été désobéissante, sa maman nous l’a confiée. Je pense qu’à la fin de la semaine elle n’aura pas envie de recommencer.
Elle tapotait le derrière tout en parlant :
— Elle a vraiment un magnifique derrière, on dirait qu’il a été fait pour recevoir la fessée.
Élisabeth rejoignit ses compagnes d’infortune et Sophie se tourna vers Ambre :
— Je vais te faire goûter à la babouche à semelle de cuir, c’est madame Rose qui l’a ramené du Maroc, les mamans s’en servent beaucoup là-bas. C’est pratique elles sont toujours à disposition.
Elle utilisa la position en équilibre sur sa cuisse qu’Ambre avait déjà expérimentée, elle put battre des jambes à sa guise, les mains cramponnées à la chaise sur laquelle Sophie avait posé son pied. Effectivement la fessée à la babouche était vraiment cuisante, Ambre se jura de l’utiliser souvent quand elle aurait le droit de fesser.
Les quatre fessiers écarlates étaient parfaitement exposés, Sophie put s’installer à son bureau pour discuter avec ses copines sur WhatsApp.
Soudain elle songea qu’Agnès n’avait pas eu son deuxième suppositoire, elle appela Ambre :
— Tu peux venir ici, je vais t’expliquer comment mettre un suppo dans le derrière d’une dame.
Elle alla chercher Agnès et l’installa en travers de ses cuisses. La responsable du magasin de lingerie avait l’habitude des petites humiliations, mais celle-ci était particulière, elle savait que cette très jeune femme qui aurait pu être sa fille allait assister à l’écartement de ses fesses et à l’introduction du suppositoire dans son petit trou.
Les doigts de Sophie tenaient largement écartées les deux belles tomates bien mûres, elle regarda Ambre :
— Tu vois c’est simple, tu mets la patiente sur tes genoux comme pour une fessée et tu écartes bien les fesses, en général les premières fois tu es obligée de donner une fessée pour qu’elles se laissent faire, ce n’est pas très agréable pour elles. Mais tu vois Agnès est devenue très docile, ses bonnes grosses fesses sont détendues.
Pendant qu’elle parlait, la raie fessière était ouverte et l’anus de la punie bien exposé. Elle prit un suppo et le posa sur la rondelle brune.
— Tu le pousses doucement, en général la première fois, elles sont surprises et tu es obligée de sévir.
Le suppo avait disparu, Sophie relâcha les fesses.
— On serre bien les fesses madame, s’il ressort c’est panpan cucul.
Elle tapota le bon gros derrière pour la faire relever et Agnès regagna son coin. Ambre était excitée d’avoir assisté à ce spectacle honteux, Sophie appela Héloïse :
— Viens un peu ici ma chipie.
La jeune femme les joues rouges et les yeux encore humides se présenta devant la sévère assistante. Celle-ci se tourna vers Ambre :
— Tu m’as vu faire, maintenant tu vas mettre en pratique, notre petite Héloïse à un peu de mal à nous montrer son petit trou. Ça va lui faire le plus grand bien de se prendre un deuxième suppositoire.
La jeune étudiante ouvrit de grands yeux, décidément rien ne lui serait épargné, déjà qu’elle avait eu du mal ce matin à se laisser faire. Elle regarda Ambre et le sourire malicieux qui illuminait son visage, cette petite peste allait se régaler de son humiliation.
La jeune stagiaire s’était déjà installée sur la chaise :
— Viens un peu là ma chérie, mademoiselle Ambre va mettre un suppo dans ton trou-trou…
Sophie claqua les fesses d’Héloïse pour la faire avancer, elle se retrouva en position disciplinaire rapidement. Ambre la fit basculer vers l’avant pour mieux avoir ses fesses à disposition, ses pieds étaient décollé du sol. Elle était humiliée d’être traitée ainsi par son ex copine, qui plus est en public, mais le comble fut atteint quand elle sentit les doigts de la jeune stagiaire se glisser dans sa raie afin de l’écarter :
— Allez ma petite chérie, il va falloir te laisser faire, tu as entendu Sophie, si tu ne desserres pas les fesses c’est panpan cucul.
Sophie s’approcha et palpa le derrière :
— Héloïse !! Tu sais ce qui t’es arrivé ce matin, tu veux une autre fessée ?
La jeune femme se mit à gémir son derrière était encore brûlant et elle sentait l’ombre d’une nouvelle correction planer dessus :
— Non, non mademoiselle Sophie, pardon je ne fais pas exprès.
— Ah oui ? Tu te moques de moi ! Ambre, fesse-moi cette chipie apparemment son derrière ne la cuit pas encore assez.
Il ne fallut pas longtemps à la jeune femme pour tirer des larmes à sa copine, quelle joie pour elle, d’un seul coup elle avait oublié la cuisson de la babouche. Dans cette position Héloïse pouvait gigoter à sa guise, le battement de ses jambes était impressionnant. Sophie apprécia la démonstration de sa stagiaire, question fessée elle n’avait rien à lui apprendre. Les fesses de la pauvre Héloïse n’étaient plus qu’une boule de feu.
Ambre écarta à nouveau les deux tomates bien mûres :
— Eh ben voilà, vous aviez raison mademoiselle Sophie, notre petite Héloïse n’avait pas encore le derrière assez chaud.
La honte était totale pour la jeune étudiante, mais elle avait tellement mal aux fesses qu’elle ne pensait pas au spectacle qu’elle offrait. Sa raie largement écartée son petit trou bien exposé, elle sentit le doigt d’Ambre se poser sur son anus comme pour le forcer :
— Ton petit trou-trou est bien détendu, c’est bien ma chérie, tu vas voir comme le suppo va rentrer tout seul.
Héloïse était résignée, elle sanglotait doucement, elle n’était plus la jeune femme un peu arrogante et sûre d’elle-même qui n’hésitait pas à claquer les derrières y compris celui d’Agnès. Elle était une gamine aux fesses bien rouges couchée sur les genoux de sa maman pour se faire mettre un suppo, que la maman en question ait le même âge qu’elle, était secondaire.
Ambre avait poussé le suppo et maintenant elle maintenait les fesses serrées :
— Tu vas retourner au coin, ta pénitence n’est pas terminée.
Sophie la regarda en souriant :
— Pour toi non plus ma petite Ambre, ton coin t’attend.
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