jeudi 14 août 2025

L'institut suite 7

Agnès



Héloïse n’avait pas demandé son reste, elle avait quitté rapidement l’institut. Une fois dans la rue, le vent s’engouffra sous sa jupe et caressa ses fesses, c’était une sensation nouvelle, un peu gênante mais terriblement excitante. Elle monta dans le bus, il n’y avait pas grand monde, elle repéra une banquette libre, jeta un œil circulaire et retroussa sa jupe avant de s’asseoir. Ses fesses nues posées directement sur le skaï du siège lui procurèrent une étrange impression. En levant les yeux, elle croisa le regard une dame d’une quarantaine d’années, elle se demanda si elle avait remarqué son manège, de toute façon elle ne pouvait pas deviner qu’elle était cul nu sous sa jupe.

La dame descendit au même arrêt de bus qu’elle et lui fit un sourire, Héloïse la trouva sympathique, finalement se promener sans culotte l’avait émoustillée, elle s’engagea dans le parc qui conduisait chez elle.

— Vous habitez par ici ?

C’était la dame du bus, Héloïse s’arrêta et la regarda, elle était bien en chair, elle lui souriait :

— Oui à deux pas et vous ?

— J’habite juste à côté du parc, vous avez été à l’institut ?

Héloïse fut un peu surprise par la question, elle rougit légèrement, la dame continuait :

— Je vous ai vu en sortir, la dernière fois que j’y ai été, j’avais les fesses toutes rouges en rentrant chez moi…

La jeune femme la regarda estomaquée, elle fixa cette dame qui paraissait si sage, elle lui souriait toujours, elle insista :

— Vos fesses sont rouges ?

Ce fut les joues d’Héloïse qui devinrent très rouges :

— Euh… mais enfin madame…

— Je m’appelle Agnès, vous ne voulez pas vous asseoir pour parler.

La dame désignait un banc, la jeune femme hésita un instant, mais Agnès lui paraissait vraiment sympathique et l’air frais qui s’insinuait sous sa jupe et caressait ses fesses nues l’émoustillait :

— Pourquoi pas. C’était quand votre dernière visite ?

Héloïse s’était prise au jeu, ce fut au tour d’Agnès de rougir :

— Deux mois environ.

La jeune femme la fixa avec un regard moqueur :

— Vous avez eu panpan cucul ?

Elles étaient assises côte à côte, Héloïse avait à nouveau retroussé sa jupe pour poser son derrière directement sur le bois du banc, Agnès se mit à rire :

— Une bonne fessée ? Ça c’est sûr et même déculottée, et vous ?

Héloïse était de plus en plus surprise, cette dame d’âge mûr lui avouait calmement qu’elle avait reçu ce châtiment enfantin, elle l’imaginait allongée sur les genoux d’Aurélie ou de Sophie, la culotte baissée et les fesses écarlates. Elle la regarda de plus près, elle était rondelette, son derrière devait être confortable, les jeunes assistantes de madame Rose avait dû se régaler à la corriger. Elle hésitait quand même à lui avouer la magistrale fessée déculottée qu’Aurélie lui avait administrée quand elle avait refusé de se laisser mettre le thermomètre dans les fesses.

— Vous ne m’avez répondu, vos fesses sont rouges ?

Héloïse se détendit, après tout puisque cette dame en parlait sans détour, pourquoi hésiter :

— Euh… Ben oui…

Agnès se mit à rire à nouveau :

— C’est un peu dur à avouer au début, mais quand on sait qu’on est toutes à la même enseigne. Ça vous brûle encore ? Je vais vous indiquer le nom d’une crème hydratante, ça apaise bien.

Le téléphone de la jeune femme sonna, elle y jeta un œil et pâlit, c’était un appel vidéo d’Aurélie sur Whatsapp. Elle hésita un moment, Agnès jeta un œil sur l’écran :

— Vous devriez décrocher, ces demoiselles de l’institut ont horreur qu’on ne réponde pas.

Complètement affolée, Héloïse ouvrit l’application, le visage d’Aurélie apparut sur l’écran :

— Tu n’es pas chez toi ?

— Euh… non, mademoiselle Aurélie

Aurélie aperçut sa voisine assise à côté d’elle :

— Mais c’est Agnès, que faites-vous là ?

La dame se mit à rougir comme une écolière prise en faute :

— Bonjour mademoiselle Aurélie, euh… c’est-à-dire que nous discutions.

— Héloïse est punie, elle devrait être chez elle depuis un moment. Puisque c’est ça nous allons vérifier tes fesses ici même, tant pis pour toi !

La jeune femme se mit à gémir, elle regarda autour d’elle :

— Non, non mademoiselle, s’il vous plaît, je rentre chez moi tout de suite.

— Donne ton téléphone à Agnès et retrousse ta jupe immédiatement, je te garantis que si tu refuses tu ne pourras pas t’asseoir pendant une semaine.

Heureusement, elle était dans une allée éloignée du parc, il n’y avait personne à l’horizon, Héloïse, les joues écarlates et les larmes aux yeux tendit son téléphone à Agnès et se leva.

— Agnès, tu me montres Héloïse et toi ma petite tu te trousses en vitesse et tu me présentes ton derrière.

La mort dans l’âme, la jeune femme s’exécuta, elle prit l’ourlet de sa jupe et le releva, Agnès étouffa un petit cri d’étonnement en voyant apparaître les fesses nues et encore bien rouges d’Héloïse.

— C’est parfait, tu vas marcher un peu les fesses à l’air, Agnès tu la suis.

Héloïse se mit à pleurer :

— Pardon mademoiselle, pardon s’il vous plaît si quelqu’un arrive.

Aurélie se mit à rire :

— Eh bien il verra ce qui arrive aux vilaines filles désobéissante, une bonne fessée déculottée et un passage au coin fesses à l’air.

Héloïse marchait lentement en tenant sa jupe retroussée, Agnès la suivait le téléphone à la main, le balancement du magnifique fessier de la jeune femme était suggestif, elles arrivèrent à un autre banc, Aurélie jugea la punition suffisante :

— C’est bon tu peux remettre ta jupe en place, mais tu mérites d’être punie. Demain tu resteras à l’institut pour la retenue du midi, quant à vous Agnès vous êtes aussi responsable, depuis quand n’êtes-vous pas venu pour une séance anti-cellulite ?

— Euh, deux mois mademoiselle.

— Eh bien on va faire d’une pierre deux coups, vous viendrez à huit heures avec Héloïse, Sophie s’occupera de vos deux derrières en même temps et vous resterez également en pénitence à midi. À demain.

Elle raccrocha, Agnès et Héloïse se regardèrent, elles étaient devenues soudain plus proches, soudées par leur statut de punies, la jeune femme invita sa nouvelle amie à venir chez elle.

Agnès était ravie, elle aimait les dames, son emploi de responsable dans une boutique de lingerie, lui facilitait les rencontres, cette petite était vraiment adorable et son derrière vraiment craquant. Pendant que la jeune femme préparait un thé, elle attaqua directement :

— Tu sais que tes fesses sont ravissantes, le rouge leur va bien.

Elle avait dit ça en souriant, Héloïse la regarda et lui rendit son sourire :

— Cette garce d’Aurélie, si je l’avais sous la main son petit cul serait de la même couleur.

— Malheureusement ma petite, on a pas le choix, tu veux que je te passe la crème sur le derrière, demain il risque de te brûler encore plus.

La jeune femme avait remarqué le sourire coquin de sa nouvelle amie, elle aussi était attirée par les dames, mais elle n’avait jamais eu l’occasion d’être draguée par une dame d’âge mûr. Agnès avec ses formes généreuses était attirante, elle décida de sauter le pas :

— Tu as de la crème ?

— Bien sûr, allez viens ici tu vas voir comme ça fait du bien.

Elle tapotait ses genoux, Héloïse qui se remémorait les fessées administrées par Aurélie marqua un temps d’hésitation, Agnès s’en rendit compte et se mit à rire :

— Rassure-toi je ne vais pas te faire panpan cucul, je pense que ton derrière à eu son compte aujourd’hui.

Rassurée et vaguement excitée, la jeune femme se coucha en travers des cuisses de sa nouvelle amie. Immédiatement celle-ci retroussa la jupe haut sur les reins, le fessier bien joufflu mais très ferme d’Héloïse lui apparu dans toute sa splendeur :

— J’avais aperçu ton derrière tout à l’heure, mon impression se confirme, ma petite tu as une magnifique paire de fesses.

Elle pinça un peu la partie la plus charnue du fessier :

— Tu n’as vraiment pas beaucoup de cellulite, je ne sais pas pourquoi tu as été à l’institut, tu avais envie de te faire claquer le derrière ?

Héloïse tortilla les fesses en riant :

— Oh ça non, c’est une copine qui connaissait l’institut qui m’a dit que j’en avais besoin. Si j’avais su…

— J’espère que tu vas lui flanquer une bonne déculottée quand tu vas la revoir.

— Ça c’est sûr, elle ne va pas avoir froid aux fesses.

Tout en discutant, la main experte d’Agnès s’insinua entre les fesses rebondies :

— Je suppose que tu as eu droit au thermomètre et au suppositoire ?

Elle ne voyait pas la tête de la jeune femme, celle-ci avait à nouveau rougi. Elle ne répondit pas. Agnès se régalait de palper le fessier :

— Aurélie ne t’a pas manquée, tes fesses sont encore chaudes, tu vas voir ma crème magique va te faire du bien.

Elle posa une grosse noisette sur chaque fesse et commença à masser lentement la croupe rougie. Héloïse était excitée par ce qui lui arrivait, c’était inattendu mais tellement agréable, Agnès savait y faire. Après avoir massé la partie la plus charnue, ses doigts s’égarèrent dans la raie et entre les cuisses :

— C’est bon n’est-ce pas ma belle ?

Héloïse tourna la tête, regarda Agnès et souffla :

— Oui…

Agnès lui tapota le derrière :

— Allez debout.

La jeune femme se releva, les joues rougies par le plaisir et l’émotion, elle frotta ses fesses en tenant sa jupe retroussée :

— Merci, et toi tu avais besoin de traiter ta cellulite ?

La dame d’âge mûr se tourna et se donna une petite claque sur le derrière :

— Tu as vu mes fesses ?

En effet Agnès avait vraiment un magnifique popotin. Héloïse s’approcha en souriant et posa sa main sur la jupe :

— Non justement, je ne les ai pas vues, contrairement à toi qui as pu te régaler des miennes.

Agnès la regarda avec un sourire coquin, décidément elle avait eu raison d’aborder cette petite.

— Tu as raison, tu auras l’occasion de les voir demain, Sophie ne va pas se gêner pour me déculotter, mais c’est normal que tu les voies maintenant. Comment procède-t-on ?

Héloïse était de plus en plus excitée, elle était vraiment pressée de découvrir le derrière d’Agnès, bien que plus âgée qu’elle, elle lui paraissait attirante. Elle s’installa sur le canapé :

— Je pense qu’on va faire comme pour moi, viens un peu là.

Ce fut au tour d’Agnès de rougir, elle s’approcha. Quand elle toucha les genoux de sa jeune amie, celle-ci lui prit la main pour la guider, la dame bien en chair bascula en travers de ses cuisses. Elle portait une jupe large et souple qu’Héloïse n’eut aucun mal à retrousser. Agnès travaillait dans une boutique de lingerie, elle portait donc des dessous élégants et sexy.

La jeune femme n’avait pas l’habitude de voir des fesses moulées dans une culotte en dentelle blanche, entourée par des porte-jarretelles qui tendaient des bas fumés. Ses copines portaient des tangas et des strings. Il fallait bien avouer que le tableau était particulièrement excitant, le fessier plantureux était parfaitement mis en valeur. Tendue par la position, la culotte rentrait légèrement dans la raie fessière dégageant un peu le pli fessier

Héloïse en riant pinça la base des fesses rebondies :

— C’est vrai que tu as besoin de traiter ta cellulite, voyant ça d’un peu plus près.

Il lui arrivait au cours de petits jeux érotiques de baisser la culotte de ses copines, mais elle était émue de déculotter une dame d’âge mûr. Elle glissa ses doigts sous la culotte et fit glisser l’élégante lingerie sur le large derrière. Il manquait vraiment de fermeté, certaines de ses amies avaient des postérieurs presque aussi volumineux, mais ils étaient plus arrogants, bien rebondis et musclés.

Elle déculotta largement Agnès, baissant sa culotte jusqu’aux genoux, elle voulait profiter de ce magnifique derrière.

La dame en question se laissait faire, tortillant un peu sa croupe, ce qui fit sourire la jeune femme :

— On dirait que madame aime montrer son derrière, tu es une coquine ma petite Agnès.



Celle-ci minauda en remuant ses bonnes grosses fesses :

— Quand c’est toi, ça va, mais à l’institut ce n’est pas pareil.

Héloïse se mit à rire et lui claqua gentiment les fesses :

— Qui te dit que je ne vais pas faire comme elle, tu es en bonne position, j’ai bien envie de t’administrer une petite fessée.

Les fesses d’Agnès se contractèrent et elle mit une main dessus comme pour les protéger, elle se mit à rire et prit une petite voix :

— Oh non mademoiselle, s’il vous plaît…

Héloïse était amusée et excitée par la situation, elle était assise sur le canapé, ses fesses nues directement posées sur le tissu, elle claqua un peu plus sèchement le large fessier :

— Eh pourquoi donc madame la dévergondée qui montre ses fesses à n’importe qui.

— Tu ferais ça ?

Agnès avait tout à coup pris un air sérieux.

— Je crois que oui, pourquoi tu me demandes ça ?

La dame tourna la tête :

— Tu veux je t’explique dans cette position ?

Héloïse était de plus en plus intriguée et excitée :

— Tout à fait, je pense pour ce que tu as à me dire, c’est la position idéale.

Agnès sembla hésiter puis elle se lança :

— C’est vrai que pour te raconter ça, être déculottée sur tes genoux… c’est parfait.

J’avais vingt-deux ans quand j’ai été embauchée à la boutique, j’adorais la lingerie et l’ambiance était assez particulière, la patronne était lesbienne et elle se régalait pendant les essayages de sous-vêtements, les dames devaient se dévêtir et les cabines n’étaient pas vraiment fermées. De toute façon elle ne se gênait pas pour tirer le rideau et donner son avis à la cliente.

J’ai vite pris goût à l’anatomie féminine et Mado, la patronne m’a rapidement mis dans son lit. Elle avait également la main leste et toutes les vendeuses se retrouvaient un jour ou l’autre les fesses à l’air pour recevoir une bonne déculottée, c’est comme ça qu’elle réglait les problèmes de retard ou d’erreur au travail. Je n’y ai bien sûr pas échappé et à vingt-deux ans ça m’a fait drôle de recevoir cette humiliante punition devant les autres vendeuses dans l’arrière-boutique. Je ne m’étais plus fait baisser la culotte depuis mes quinze ans, mais à partir de ce jour-là il ne s’est pas passé plus de deux jours sans que je ne lui présente mes fesses.



Héloïse écoutait fascinée la confession de sa nouvelle amie, elle lui tapotait la croupe pour l’inciter à continuer :

— Tu y as pris goût ?

— Eh ben oui… tu as deviné, recevoir pendant quinze ans la fessée déculottée quasiment journellement et passer de nombreuses heures au coin les fesses à l’air ça forme le caractère. Quand Mado a disparu, j’étais perdue, je suis devenue responsable de la boutique, mais j’étais d’un naturel soumis je n’ai pas utilisé ses méthodes avec les vendeuses. J’ai embauché Amandine une très belle et grande jeune femme, elle a eu vent des habitudes de la maison du temps de Mado. Un jour qu’on était seule elle m’a dit qu’elle ne comprenait pas pourquoi je ne fessais pas les vendeuses comme le faisait Mado et qu’il y avait de plus en plus de laisser aller. Je lui ai avoué que je préférais la recevoir que de la donner.



Héloïse se mit à rire :

— J’imagine la suite, Amandine t’en a flanqué une illico.

— Eh oui, elle avait à peu près ton âge et moi trente-sept, ça ne l’a pas empêché de me courber sous son bras de me trousser et de me déculotter « Ah tu préfères la recevoir, qu’à cela ne tienne, à partir d’aujourd’hui attends-toi à avoir souvent les fesses rouges ». Elle a tenu parole, pendant cinq ans elle a repris le rôle de Mado et les vendeuses, même les plus âgées durent lui présenter leurs fesses. Mon seul privilège c’était de ne pas être corrigée devant elles.

— Elle continue à te rougir le derrière ?

— Non, sa copine a été mutée sur la côte d’azur, elle l’a suivi, c’est après son départ que par hasard j’ai découvert l’institut.

Héloïse lui claqua un peu plus sèchement les fesses :

— Pour ce qui est des fessées déculottées tu es servie.

Agnès se mit à rire :

— Oui, c’est sûr et quand je passe par les mains des dames de l’institut, j’en viens à regretter Mado et Amandine.

— Dis-moi, puisque tu es en si bonne position, tu ne crois pas que je devrais reprendre le rôle d’Amandine ?

Les fesses de la dame se serrèrent à nouveau :

— Tu vas être sévère ?

La jeune femme glissa ses doigts entre les fesses puis descendit doucement jusqu’à la vulve, elle était gluante de sécrétions, elle sourit doucement, ressortit ses doigts et se pencha pour les mettre sous le nez d’Agnès :

— Je crois tu en as vraiment besoin vilaine fille.

Elle jouait de temps en temps à panpan cucul avec ses copines, c’était toujours elle qui claquait les derrières. Mais ce n’était pas des vraies fessées, son séjour à l’institut lui avait fait découvrir la réalité d’une véritable correction. Et puis Agnès était dotée d’une si belle paire de fesses qu’il était hors de question de ne pas lui administrer une vraie bonne fessée déculottée :

— Ma chérie je pense que tu as vraiment besoin d’avoir les fesses aussi rouges que les miennes. Allons-y.

Elle ceintura fermement Agnès puis commença à claquer, elle fessait lentement, mais minutieusement, chaque partie du fessier eu droit à la visite de sa main,. Le derrière s’anima rapidement au fur et à mesure que la jeune femme augmentait l’intensité de la correction.

La dame redevenue une adolescente se mit rapidement à gémir et à battre des pieds, le bon gros derrière savait encore danser et il montra à Héloïse ce dont il était capable. Celle-ci se rendit compte qu’administrer la fessée déculottée à une dame d’âge mûr était finalement très agréable.

Deux belles tomates bien mûres s’étalaient maintenant devant ses yeux émerveillés et Agnès pleurait comme quand elle était punie dans l’arrière-boutique.

Elle caressa la croupe brûlante :

— C’est une bonne préparation pour demain. Ça t’a plu ?

En sanglotant la responsable de la boutique si pimpante habituellement répondit :

— Oui mademoiselle. Ça brûle.

Un peu surprise qu’Agnès l’ait appelé mademoiselle la jeune femme compris que cette dame qui avait à peu près l’âge de sa mère acceptait désormais son autorité. Il fallait en profiter.

— J’espère bien que ton derrière te cuit, madame la dévergondée, tu vas aller le faire refroidir au coin, ça t’apprendra.

Le souvenir des années de soumissions à Mado puis à Amandine était encore présent, Agnès se releva et sans un mot alla poser son nez contre le mur et mis ses mains sur sa tête, Héloïse l’avait suivi, elle coinça la jupe dans la ceinture.

La suite de la journée compensait quelque peu le séjour à l’institut, Héloïse était tout excitée, elle alla s’installer sur le canapé, glissa sa main sous sa jupe et se caressa. Cette expérience était vraiment délicieuse, rien à voir avec ses copines, cette dame aux bonnes grosses fesses bien rouges était adorable, elle fit de nombreuses photos de sa croupe et les envoya à ses amies qu’elle avait déjà déculottées avec un petit commentaire « regarde un peu ce beau cul bien rouge, la prochaine fois que je m’occuperai du tien il sera de la même couleur ».

Elle appela Agnès :

— Viens un peu ici madame fesses rouges.

La dame en question se retourna et s’approcha, elle n’avait pas enlevé ses mains de sa tête. Héloïse fut un peu surprise par cette soumission alors qu’elle ne se connaissait que depuis une heure.

— Je pense que tu as encore des choses à me confier.

Elle tapota ses cuisses, Agnès fit une grimace, elle pensait qu’après ce premier épisode la jeune femme l’inviterait à s’asseoir à côté d’elle, mais elle ne semblait pas l’entendre de cette oreille, elle prenait goût à ce large derrière :

— Tu vas revenir en position, je pourrai te stimuler si tu as des trous de mémoire.

Résignée Agnès reprit place sur les cuisses de sa nouvelle maîtresse, immédiatement celle-ci lui palpa les fesses :

— Pourquoi as-tu arrêté ton traitement pour la cellulite ? Tu en as quand même vraiment besoin, Aurélie ne t’a pas laissé avec tes bonnes grosses fesses sans rien dire ?

Elle claqua sèchement les deux tomates exposées devant ses yeux ;

— Alors ?

— Je devais revenir, mais j’ai prétexté d’un séjour à l’étranger pour retarder la suite du traitement.

Héloïse souriait, elle claqua à nouveau le derrière :

— Évidemment, vu ta bonne paire de fesses je doute que tu aies suivi le régime prescrit, tu as eu peur d’un durcissement du traitement ?

Agnès contracta un peu plus ses fesses :

— Euh oui, j’en étais déjà à deux séances par jour et trois suppos, même si je ne suis pas contre me recevoir une petite fessée de temps en temps, c’était un peu trop.

Héloïse se mit à rire :

— Eh bien je peux t’annoncer qu’à partir d’aujourd’hui, ça va être encore trop ma petite chérie. D’abord tu as entendu Aurélie, demain Sophie va s’occuper de nos popotins et quand elle va revoir ton dossier ça risque de chauffer pour ton bon gros derrière. Mais ce n’est pas tout, comme tu as dit un gros mensonge, si tu veux que je tienne ma langue tu vas devoir m’obéir au doigt et à l’œil. Je serai tatie Héloïse et ne t’inquiète pas avec moi tu n’auras jamais froid aux fesses, je vais remplacer Amandine.

Elle écarta les deux fesses pour mettre à jour la rondelle brune d’Agnès :

— Ça fait longtemps qu’on ne s’est pas occupé de ton petit trou ?

Agnès détestait la mis en place du thermomètre et du suppo, ça lui avait valu de sévères corrections à l’institut et de longs séjours au coin.

— Oh s’il vous plaît mademoiselle… Aïe, aïe…

La main de la jeune étudiante venait de claquer le derrière exposé :

— Je t’ai dit de m’appeler comment ?

— Oui, oui, pardon tatie Héloïse. S’il vous plaît pas le thermomètre, Sophie va s’en charger demain.

La jeune femme se régalait de la gêne de la dame d’âge mûr qu’elle avait à sa merci, elle tenait largement écartée la raie fessière :

— On dirait que tu n’aimes pas trop qu’on s’en occupe, tu vas me raconter ça un peu plus précisément. Tu auras les fesses écartées tant que tu n’auras pas fini.

Agnès pensa que cette petite apprenait vite, elle devenait aussi perverse que les deux assistantes de l’institut, ses joues étaient rouges de honte en devinant le spectacle qu’elle offrait à sa jeune maîtresse, le doigt d’Héloïse titilla l’anus de sa victime :

— Alors ?

— Ma mère était une fanatique du thermomètre et elle pensait que les suppositoires étaient la meilleure solution pour que les enfants prennent bien leur médicament. Je détestais ça, surtout qu’elle me prenait sur ses genoux pour me mettre un suppo.

Héloïse ne relâchait pas les deux hémisphères, c’était fascinant ces deux bonnes grosses fesses écarlates, cette raie profonde largement ouverte, elle posa son doigt sur la rondelle brune :

— Tu n’aimes toujours pas ça ma petite chérie, tu n’aurais pas dû me le dire, tu vas y avoir droit souvent, même si tu l’as déjà eu à l’institut. Allez continue, ton derrière va rester bien exposé tant que tu n’as pas fini.

— Oh non, tatie Héloïse, s’il te plaît… aïe, aïe, aïe…

La main libre venait de claquer les fesses grandes ouvertes.

— Comment non ? Tu crois vraiment que tu as le choix. Tu viens juste de gagner une deuxième fessée quand tu auras fini de me raconter.

Agnès se mit à gémir :

— Pardon tatie Héloïse, vous êtes sévère, aïe, aïe…

— Décidément tu aimes te faire punir, une troisième fessée puisque tu continues à raisonner.

Agnès était à la fois honteuse et terriblement excitée par cette séance humiliante, elle continua :

— Maman a continué à me prendre la température dans les fesses jusqu’à mes quinze ans, c’était vraiment la honte quand elle me baissait la culotte du pyjama pour me mettre le thermomètre, je pense qu’elle devait aimer ça. Quand elle me déculottait, elle riait et disait « pleine lune ma chérie, tu as vraiment des bonnes fesses », c’est vrai que même adolescente j’avais ce qu’on appelle un bon gros popotin. D’ailleurs elle en profitait pour m’administrer aussi de bonnes fessées déculottées quand je faisais des bêtises ou que je lui parlais mal, elle a arrêté quand j’ai eu quinze ans, peut-être s’est-elle rendu compte que ça m’excitait. Ensuite je n’ai plus connu l’humiliation de me faire mettre quelque chose dans le petit trou jusqu’à ce que j’arrive à l’institut.

Héloïse jugea que la confession était suffisante, elle relâcha les deux fesses :

— Parfait ma chérie, demain j’irai acheter un thermomètre pour ma petite Agnès et il va souvent garnir ton derrière. En attendant tu me dois encore deux fessées, lève-toi que je trouve quelque chose pour te claquer les fesses, retourne te mettre au coin en attendant.

Elle se dirigea vers la cuisine, elle venait d’avoir une idée, elle trouva une grande cuillère en bois et l’essaya sur sa main, ça claquait bien. En revenant vers le salon son téléphone sonna, c’était encore Aurélie sur Whatsapp :

— Tu es chez toi, c’est bien. Vérification de tes fesses, trousse-toi en vitesse.

Héloïse releva sa jupe et dirigea son téléphone sur son derrière.

— Parfait, tu n’as pas remis de culotte, heureusement pour toi, mais je trouve que tes fesses ne sont plus assez rouges. Tu vas aller voir Agnès et tu lui demandes de t’administrer une fessée quand c’est fait tu m’appelles et tu me montres tes fesses.

Elle raccrocha sans attendre la réponse de la jeune femme, elle n’avait pas vu qu’Agnès était en pénitence au salon.

Héloïse était encore dans le couloir, complètement sidérée par ce que lui avait demandé Aurélie, en entrant dans le salon, elle vit Agnès qui avait quitté son coin et se reculottait :

— Qui t’a autorisée ?

La punie la regarda en souriant :

— Je pense que pour te donner la fessée ce sera plus pratique.

— Mais…

— J’ai entendu Aurélie, je pense qu’il vaut mieux ne pas la contrarier.

Elle regarda la cuillère que tenait toujours Héloïse :

— Je vois que tu as prévu ce qu’il faut pour rougir comme il faut ton derrière.

Elle s’installa sur le canapé, c’était une petite revanche au traitement que lui avait réservé sa perverse nouvelle amie, elle tapota sur ses genoux :

— Je n’ai jamais donné la moindre fessée, mais avec toutes celles que j’ai reçues je devrais réussir à me débrouiller. Allez en piste, Aurélie ne va pas attendre longtemps.

Complètement déstabilisée par cette nouvelle inversion des rôles, Héloïse s’approcha, Agnès saisit la cuillère en bois et lui tira la main pour qu’elle s’allonge sur ses cuisses. Elle retroussa la courte jupe, le fessier encore rosé apparut dans toute sa splendeur. Agnès ne put s’empêcher de se moquer :

— Ma petite chérie va avoir panpan cucul ? Comme une vilaine fille ? Tu sais que j’adore vraiment ton derrière, il est tellement mignon que ce serait dommage de ne pas le rougir.

Héloïse serra les fesses, elle n’était pas préparée à se retrouver dans cette position :

— Agnès, s’il te plaît pas trop fort…

Celle-ci se mit à rire :

— Ah oui ? Et toi tu y as été doucement peut-être ? Je suis désolée ma chérie, mais je vais obéir à Aurélie, il faut que ton popotin soit bien rouge.

Elle leva la cuillère et immédiatement la jeune femme regretta son choix, ça faisait un mal de chien. Elle se mit à crier et à faire des bonds sur les genoux de son amie. Elle offrait à celle-ci une vue parfaite sur son intimité :

— Eh bien ma chérie, quelle belle danse des fesses, ton petit trou est très mignon et le reste pas mal non plus, il faudra que tu me montres ça plus souvent.

Les fesses d’Héloïse étaient à nouveau cramoisies, un beau rouge sombre couvrait l’intégralité du derrière, elle pleurait comme quand Aurélie l’avait corrigée à l’institut. Agnès posa la cuillère et caressa la magnifique croupe :

— Voilà, c’est fini ma chérie, je suis désolée, mais j’étais obligée. Tu peux appeler Aurélie pour lui montrer tes fesses.

Quelques instants plus tard le magnifique derrière écarlate s’affichait sur l’écran du téléphone de l’assistante de madame Rose :

— C’est parfait, tu féliciteras Agnès, ça ne vous évitera quand même pas les fesses rouges demain.

Héloïse remit sa jupe en place et regarda sa fesseuse avec un sourire carnassier :

— Tu t’es régalée ? Eh bien crois-moi tu iras au dodo avec un derrière cuisant je te le promets.

Elle tint parole, la dame de soixante ans retrouva rapidement ses accents de gamine pleurant et suppliant sous la morsure de la cuillère en bois. Finalement Héloïse avait apprécié qu’elle ait remis sa culotte en place, quel plaisir que de déculotter une dame qui aurait pu être sa mère.

Elle lui avait promis deux fessées, la dernière elle vint lui donner chez elle avant de l’envoyer se coucher à neuf heures comme une gamine.

Effectivement Agnès s’endormit avec une paire de fesses bien chaudes.

Elle lui fit une bise sur le front et lui donna rendez-vous pour le lendemain matin à l’institut.

























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  1. Un nouveau chapitre qui s'annonce passionnant avec Héloïse et Agnès, le tout dirigé par l'Institut. Les fesses des deux femmes ont commencé à bien rougir et j'espère que ce n'est que le début !

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    1. Bonjour Sophie, oui les deux nouvelles pensionnaires de l'institut ont de bien belles paires de fesses et elles vont rester rouges, rassurez-vous.
      Sylvie

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Mademoiselle Héloïse 3

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