La pénitence du midi
Il était bientôt midi, les fessées continuaient à retentir dans l’institut. Jenny venait juste de recevoir sa quatrième correction, son splendide derrière était d’un rouge éclatant, Aurélie venait de lui faire goûter une autre spécialité maison après mademoiselle Claquefesse, c’était madame Tapecul, un paddle en bois percé de trou qui était d’une efficacité remarquable pour rougir les fessiers récalcitrants. Depuis son arrivée vers huit heures trente, elle avait alterné les séjours sur les genoux de la jeune assistante et les passages au coin le nez collé contre le mur. De nombreuses personnes avaient pu admirer son anatomie postérieure et la qualité de sa danse des fesses quand Aurélie lui administrait la fessée.
Madame Rose l’avait gratifié elle aussi d’une cuisante correction avec sa brosse à cheveux. Elle était au coin quand la directrice était venue la chercher, elle lui avait saisi l’oreille et claqué sèchement le fessier écarlate :
— Venez avec moi vilaine fille !
La jeune gouvernante n’en menait pas large, la culotte baissée aux genoux, les mains sur la tête devant la sévère matrone. Elle se revoyait quelques années auparavant à l’école des gouvernantes, la directrice ressemblait un peu à madame Rose et quand on était convoquée dans son bureau, en général on en ressortait avec une paire de fesses bien rouges sous sa culotte. Cela lui était arrivée deux fois au cours de l’année, elle en gardait un souvenir cuisant, aujourd’hui elle avait une dizaine d’années de plus, mais elle ressentait la même angoisse.
Elle ne subirait pas la honte du déculottage puisque sa culotte n’était plus sur son derrière, madame Rose la regardait sévèrement en tapotant sur son bureau :
— Tu as été vilaine ?
— Euh… Non madame…
— Pardon ? et pourquoi donc madame la baronne t’a envoyé ici ?
— …
— Tu ne réponds pas ? Tourne-toi que je voie ton vilain derrière.
Jennifer Sterling ne savait pas quoi répondre, cette manie qu’avaient les maîtresses dans l’institut de leur poser des questions embarrassantes était particulièrement humiliante.
— Tes fesses sont déjà bien rouges, c’est la couleur qui convient au derrière des vilaines filles. J’attends ta réponse, pourquoi madame De Nouvel t’a envoyé ici ?
— Euh… elle a dit que ça me ferait du bien…
Madame Rose souriait de l’embarras de la jeune femme, elle se mit à rire :
— C’est sûr que ton popotin à bonne mine, Aurélie s’en est bien occupé. Combien de fessées as-tu reçue depuis ce matin ?
— Deux, madame.
Jenny avait oublié de parler des dix coups de martinet que Lola lui avait administré, c’est vrai qu’à côté des deux magistrales déculottées que lui avait flanqué Aurélie, ce n’était pas grand chose.
— Avec quoi t’a-t-elle corrigée ?
La jeune femme était de plus en plus embarrassée, elle se força pour répondre :
— Avec la main madame et mademoiselle… euh, mademoiselle…
Madame Rose éclata de rire :
— Tu as oublié comme elle s’appelle cette demoiselle ?
Elle prit la petite raquette en cuir sur son bureau, se leva et la plaça sous le nez de Jenny :
— Ma petite, elle s’appelle mademoiselle Claquefesse.
Elle fit pivoter la punie et administra une claque sur chaque fesse avec le redoutable instrument, Jenny sauta sur place et poussa un cri :
— Aïe, aïe… non, non madame…
— Tu t’en rappelleras ?
— Oui madame.
— Tu y goûteras souvent rassure-toi.
Elle reposa la raquette en cuir sur le bureau, posa son pied sur la chaise, ceintura Jenny et la souleva comme un fétu de paille pour la déposer sur sa cuisse horizontale. Elle sortit de sa poche sa brosse à cheveux et commença à claquer le fessier tendu par la position.
— Tu la sens ma fessée vilaine fille, oh tu peux gigoter, ton derrière est bien disposé, je te garantis que tu vas repartir au coin avec une magnifique paire de fesses.
Madame Rose aimait commenter la punition, c’était la première fessée qu’elle administrait à la jeune anglaise et elle se régalait. La jeune femme était entièrement épilée ce qui rajoutait au plaisir de découvrir son intimité quand elle pédalait dans le vide et ouvrait largement ses fesses.
Après plus de deux cents claques généreusement distribuées sur les deux hémisphères elle la reposa par terre. Les yeux baignés de larme la jeune femme piétina sur place, la culotte entortillée autour des chevilles, ses mains s’approchant de son derrière mais évitant de le frotter.
— Remonte ta culotte jusqu’à tes genoux et va voir Aurélie pour qu’elle te remette au coin.
Jenny s’exécuta et quitta le bureau en sanglotant, son derrière cramoisi se dandinait au rythme de ses pas et même pour une fesseuse habituée comme madame Rose, c’était un charmant spectacle.
Aurélie accueillit la punie avec un grand sourire :
— Eh bien je crois que tu ne vas pas avoir froid aux fesses pour un moment, viens me montrer ça.
Elle était assise à son bureau en train d’encaisser la séance d’Héloïse. Celle-ci était rhabillée, mais ses fesses étaient brûlantes sous sa jupe, elle ne portait pas de culotte, la fine lingerie rose pâle était posée sur le bureau. L’arrivée de Jenny les larmes coulant sur ses joues la réconforta un peu, cette jeune femme avait reçu une fessée encore plus sévère que la sienne. Elle en eu la confirmation quand elle se tourna pour montrer son fessier rubicond à la jeune assistante, celle-ci passa la main sur l’épiderme brûlant :
— Voilà ce qui arrive quand on est vilaine, file au coin.
Elle avait claqué le derrière de Jenny pour l’inciter à se dépêcher, puis elle se tourna vers la jeune patiente :
— Prenez en de la graine, la prochaine fois que je suis obligée de vous réprimander pendant votre séance, vous aurez droit à un forfait vilaine fille comme mademoiselle Sterling.
Héloïse rougit et baissa les yeux, Aurélie consultait le carnet de rendez-vous :
— Demain à huit heures, soyez à l’heure, c’est Sophie qui s’occupera de votre popotin.
Elle prit la carte bleue de la jeune femme qui tapa son code en regardant sa culotte, Aurélie surpris son regard :
— Vous êtes privée de culotte jusqu’à ce soir, c’est pour le thermomètre que j’ai eu du mal à vous mettre. Venez ici et tournez-vous.
De plus en plus rouge, Héloïse obéit. La jeune assistante releva la jupe, les fesses rebondies de la patiente étaient encore très rouges :
— Vu la couleur de votre derrière, vous ne risquez pas de prendre froid. Demain vous me mettez une petite culotte blanche en coton. Je vous appellerai en vidéo avec Whatsapp dans la journée, vous devrez répondre immédiatement et me montrer que vous n’avez pas remis de culotte. Si vous désobéissez croyez-moi, vos fesses resteront rouges très longtemps.
Héloïse ne répondit pas immédiatement, depuis ce matin son statut avait changé, elle ne faisait plus la maligne, elle osa quand même une question, Aurélie tenait toujours sa jupe retroussée :
— Oui mademoiselle, mais si vous appelez quand je suis dehors ou que je ne suis pas seule ?
— Tu es punie, tu restes chez toi toute la journée. Si tu n’es pas seule, tu iras dans ta chambre ou aux toilettes, tu te débrouilles ce n’est pas mon problème.
Elle claqua le fessier rougeoyant et relâcha la jupe :
— Allez file, les punies du midi vont arriver, si tu traînes je pourrais changer d’avis et te mettre au coin avec elles.
Effectivement en sortant elle croisa une dame d’un certain âge qui la salua en rougissant, c’était certainement une punie pensa Héloïse.
— Bonjour Élisabeth, c’est bien vous êtes à l’heure, allez-vous mettre au coin en attendant les autres punies. Retroussez votre jupe qu’on voit votre petite culotte.
Les autres punies étaient déjà sur place, Jenny était déjà au coin, Élisabeth savait que la jeune gouvernante allait lui tenir compagnie pendant la pénitence du midi, elle regarda au passage les fesses de la jeune anglaise, elle fut impressionnée, Aurélie et madame Rose ne l’avait pas ménagée, Miss Sterling avait intégré les habitudes de la maison, elle avait posé son nez contre le mur et mis ses mains sur sa tête
Monique était occupée à nettoyer la salle de traitement, Aurélie l’y avait envoyé après une énième fessée administrée avec sa brosse à cheveux. Le derrière de l’ophtalmologue était cramoisi, depuis son arrivée à l’institut elle avait reçu pas moins de quatre fessées pendant la première heure et ensuite une par heure comme recommandé par madame Rose dans le manuel à l’usage de ses assistantes. Sophie et Aurélie s’étaient relayée pour entretenir la rougeur de la belle croupe et madame Rose avait tenu à administrer elle aussi une fessée à Monique. Faire le ménage avec la culotte baissée et la jupe épinglée dans le dos était plus agréable que de rester au coin, elle s’appliquait car malgré ses fesses brûlantes, elle se doutait bien que la perverse jeune femme ne se gênerait pas pour la coucher à nouveau sur ses genoux si elle jugeait le travail mal fait. Aurélie l’appela, elle arriva les joues presque aussi rouges que ses fesses, la jeune assistante lui désigna le coin.
— File te mettre à côté de l’autre vilaine fille.
Sophie arriva avec Ambre elle la tenait par l’oreille, elle était cul nu puisque sa culotte était suspendue à un crochet au secrétariat et que sa jupe était épinglée dans le dos, la fesseuse la fit tourner pour qu’elle présente ses fesses à sa collègue ;
— Regarde un peu cette belle paire de fesses, n’est-elle pas mignonne notre petite Ambre.
Aurélie s’approcha et palpa le fessier brûlant :
— C’est parfait, elle n’évitera quand même pas la fessée de pénitence, mais en attendant ma petite chérie je vais te montrer comment on procède avec les punies du midi.
Ambre avait littéralement le feu aux fesses, elle pensa avec angoisse que sa journée n’était pas finie et que ce serait certainement la même chose tous les jours de la semaine. L’annonce par Aurélie qu’elle allait assister à la punition des trois dames présentes la consola un peu, au moins allait-elle voir des culs rougir.
Sophie les laissa pour prendre sa pause :
— Tu as quatre bons gros derrières je te laisse tu vas avoir de l’occupation.
Aurélie appela la baronne :
— Élisabeth, viens un peu ici me montrer tes bonnes grosses fesses, depuis hier elles ont dû refroidir.
La bourgeoise de soixante-deux ans se dirigea tête basse vers sa jeune maîtresse, la semaine s’annonçait cuisante, elle était déjà venue en retenue du midi hier, mais d’un commun accord avec sa mère, Sophie avait décidé que ça lui ferait le plus grand bien de venir tous les jours de la semaine pour recevoir une fessée et passer l’heure au coin.
Elle s’approcha d’Aurélie, même si elle en avait maintenant l’habitude c’était toujours avec la boule au ventre qu’elle obéissait aux ordres des jeunes assistantes, elle tenait toujours sa jupe retroussée. Aurélie se tourna vers Ambre :
— Je te présente Élisabeth De Nouvel, baronne de son état, mais surtout vilaine fille que sa maman nous envoie régulièrement pour punir son mauvais comportement. Tu auras l’occasion de lui administrer très souvent la fessée, tu vas voir elle a vraiment une bonne paire de fesses.
Elle fit un petit signe à Élisabeth :
— En piste madame.
La baronne lâcha sa jupe et se coucha en travers des genoux de la jeune femme, c’était curieux de voir cette dame d’âge mûr obéir sans protester à cette jeune femme. Ambre ne perdait pas une miette de spectacle. La jupe fut à nouveau retroussée bien haut sur les reins et le large fessier moulé dans une petite culotte blanche à fleurs apparut. Aurélie tapota la croupe culottée en souriant :
— Maman vous a fait mettre votre culotte de gamine, c’est bien. Quand on reçoit encore la fessée déculottée c’est ce qu’on doit porter.
Le contraste était frappant, la baronne portait des bas tenus par des porte-jarretelles comme une dame, mais sur les fesses c’était une petite culotte en coton. Celle-ci avait du mal à contenir le plantureux fessier, la base des fesses étaient bien visibles, Aurélie s’adressa à Ambre :
— Tu vois, ses bonnes grosses fesses débordent, on va les chauffer un peu avant de la déculotter.
Puis elle tapota à nouveau le derrière d’Elisabeth :
— Vous êtes bien installée ? On va commencer l’échauffement.
Elle leva la main et administra rapidement une dizaine de claques sur la partie la plus charnue de la croupe, la main s’abattait rapidement, Ambre admirait la technique de la fesseuse, puis celle-ci visa juste sous la culotte la partie visible du derrière, immédiatement la punie se mit à gémir, ce qui fit sourire la jeune femme :
— En général les dames n’apprécient pas la fessée à cet endroit, c’est très sensible. Ça te brûle n’est-ce pas ma petite chérie ?
Elle avait changé de ton et s’adressait à la baronne comme si elle était sa fille et qu’elle lui administrait une correction. Le haut des cuisses commençait à rougir, la fessée cessa :
— Il est temps de voir ce que nous cache cette petite culotte.
Elle tira sur la culotte et la baissa jusqu’à mi-cuisse :
— Voila vilaine fille, cul nu, prête pour la bonne fessée déculottée.
Les fesses étaient déjà légèrement rosées, comme à son habitude avant de commencer la punition, elle se mit à palper le fessier et à écarter les deux hémisphères, elle continuait la formation d’Ambre :
— En général les dames n’aiment pas trop qu’on leur écarte les fesses, montrer son petit trou n’est jamais très agréable et c’est pour ça qu’il faut le faire, ça les ramène à un peu plus d’humilité. N’est-ce pas ma chère Élisabeth que tu n’aimes pas ça, eh bien tu vas écarter tes cuisses et vite que tout le monde voie tes petits secrets. Allez vite !
Elle claqua sèchement le large fessier et docilement la baronne écarta largement ses jambes, dévoilant son intimité aux yeux des deux jeunes femmes. :
— C’est bien, ça ne t’évitera pas la correction que tu mérites, mais je suis contente de toi.
Elle glissa ses doigts sur la vulve et titilla l’anus exposé, elle devinait la honte de la sexagénaire couchée sur ses genoux, c’était un bon début. Elle décida que l’humiliation était suffisante et elle commença à fesser énergiquement le derrière d’Elisabeth, ce fut une magistrale correction, les fesses rougirent rapidement, elle claquait très vite et très fort et la punie tortillait sa croupe et battait des jambes de façon très suggestive en même temps qu’elle suppliait et pleurait. Ambre était très intéressée par le spectacle, elle songeait que bientôt ce serait son tour de corriger ces jolies bourgeoises et leurs larges fessiers, elle en aurait presque oublié son derrière cuisant. Aurélie fit relever la punie :
— Voila, maintenant tes fesses sont de la même couleur que les autres chipies, va te mettre à côté d’elles.
En pleurnichant, la culotte entortillée autour des chevilles, la baronne alla coller son nez dans le coin encore disponible et mis ses mains sur sa tête. Aurélie la désigna à Ambre :
— Remonte lui la culotte à mi-cuisse et épingle sa jupe dans son dos. Tu devras toujours avoir des épingles sur toi, avec la culotte remontée à mi-cuisses les fesses de la punie sont mieux mise en valeur quand elle est au coin, c’est plus esthétique.
Ambre se fit un plaisir d’exécuter ces consignes, elle claqua les fesses de la baronne en riant :
— Votre derrière est vraiment mignon.
Aurélie se dirigea vers le râtelier où était suspendu les différents instruments de correction :
— Les punies du midi reçoivent systématiquement une fessée manuelle pour bien chauffer leur derrière puis une autre avec un instrument avant de passer l’heure au coin, ensuite elles repartent avec une dernière fessée pour garder les fesses rouges un moment.
Elle décrocha, mademoiselle Claquefesse, madame Tapecul, une règle plate en bois et un martinet. Ambre compris rapidement qu’il y avait certainement un instrument pour son derrière puisqu’il n’y avait que trois punies au coin. Aurélie la regarda en souriant :
— Je vais te faire un cadeau, tu vas choisir les instruments pour chacune de ces dames, en sachant comme tu t’en doutes que celui que tu ne choisiras pas sera pour tes jolies fesses.
Ambre rougit, mais ne protesta pas, elle évalua rapidement chaque instrument afin de juger lequel serait le moins douloureux pour son derrière.
— Mademoiselle Claquefesse pour Jenny, madame tapecul pour Monique et le martinet pour Élisabeth.
Aurélie prit la règle plate :
— Tourne-toi.
— Mais…
— Dépêche-toi.
Affolée la jeune fille pivota et présenta sa croupe, la règle cingla cinq fois très rapidement ses fesses. Elle sautilla sur place en criant :
— Aïe, aïe… Non, non, ça brûle.
Aurélie se mit à rire :
— Tu pensais qu’une fessée avec la règle plate ce n’était rien et bien te voilà renseignée, ne t’inquiète pas ce n’était qu’un apéritif, tu vas voir quand tu seras sur mes genoux ton joli derrière va danser.
Elle appela la jeune anglaise :
— Jenny vient me voir.
Juste au moment où elle couchait la gouvernante sur ses genoux, une énergique jeune femme entra, elle parcourut la pièce d’un œil circulaire, le spectacle sembla lui convenir :
— Quelle jolie brochette de fesses rouges, ne vous dérangez pas pour moi Aurélie, je ne fais que passer. Je voulais vérifier que la journée fesse rouge de ma petite maman se passait bien.
— Bonjour Elodie, oui tout va bien. Comme vous pouvez le constater, Monique a une jolie culotte rouge sur le derrière, elle est en attente de sa fessée du midi.
La jeune femme se dirigea vers la dame qui exposait sa croupe écarlate au coin, elle posa sa main sur les fesses brûlantes.
— C’est parfait, comme toujours. Alors maman chérie, ça te cuit ? Tu recommenceras encore à être vilaine ? Tu regrettes j’en suis sûr, mais compte sur moi pour continuer à m’occuper de tes bonnes grosses fesses ce soir
Ambre regardait ce spectacle peu banal d’une jeune femme, traitant sa mère comme une gamine, ainsi c’était possible d’inverser les rôles, une fille pouvait corriger sa fille. En un quart de seconde, l’image de sa mère lui apparu, la culotte baissée et les fesses toutes rouges.
Aurélie avait posé sa main sur les fesses de Jenny :
— Si vous avez un moment, vous pouvez assister aux punitions des trois chipies, le spectacle est gratuit.
Elodie se mit à rire :
— Et quel spectacle, oui je reste, en plus je vais être ravie de voir maman recevoir une fessée déculottée administrée par quelqu’un d’autre que moi.
Aurélie leva la claquette en cuir et administra une magistrale fessée à la jeune anglaise, ses fesses étaient endolories par les nombreuses corrections reçues depuis le matin aussi se mit-elle à pleurer immédiatement, son derrière était déjà écarlate, mais ça n’arrêta pas la sévère jeune femme. Un fessier féminin pouvait recevoir un nombre impressionnant de fessée, la nature l’avait fait bien joufflu exprès pour ça. La croupe cramoisie de Jenny était magnifique, les tendances saphiques d’Elodie la faisait apprécier son anatomie parfaite. Quand elle passa devant elle pour rejoindre son coin, elle ne put s’empêcher de caresser le derrière brûlant :
— Quelle mignonne paire de fesses.
Aurélie avait pris le martinet et appelé Élisabeth, elle lui désigna la plate-forme à côté du bureau qui servait à exposer les fessiers :
— En position et tends bien tes fesses.
Le large derrière était étalé devant les regards concupiscents des trois spectatrices, elles étaient toutes les trois amoureuses des fesses féminines surtout quand elles étaient bien rouges et celles de la baronne De Nouvel étaient particulièrement appétissantes.
Le martinet commença à cingler le plantureux postérieur, la punie se mit immédiatement à pleurer et à sautiller sur place ouvrant largement ses bonnes grosses fesses comme l’avait prévu Aurélie.
Élisabeth était habituée aux corrections sévères, aussi la jeune assistante ne s’arrêta pas aux premiers sanglots de la soixantenaire, elle reçut une vraie bonne déculottée comme sa mère lui avait promis en l’envoyant à l’institut.
Elle rejoignit son coin sous l’œil amusé des deux spectatrices, Elodie était contente de sa pause déjeuner :
— De bien jolies paires de fesses, merci Aurélie. Qui est cette demoiselle ?
Elle désignait Ambre, celle-ci s’était arrangée pour toujours lui faire face, la jeune femme ne s’était pas rendu compte qu’elle ne portait pas de culotte sur ses fesses rougies et que sa jupe était épinglée dans son dos. La jeune assistante s’en était aperçue, elle lui saisit le bras et la fit pivoter :
— Je vous présente Ambre ou plutôt son derrière, c’est notre nouvelle collègue, mais elle est actuellement en stage de formation.
Elodie sourit en voyant la croupe écarlate de la jeune femme :
— Je vois que la formation a bien commencé.
— Oui, Sophie s’en est chargée, mais maintenant elle va s’occuper du derrière de Monique, il faut qu’elle commence à administrer des fessées.
Elodie tapa dans ses mains :
— Ah c’est super, c’est très bien que ma chipie se fasse corriger par une nouvelle main et si jeune, ça va lui faire bien honte, elle en a vraiment besoin, j’ai beau la punir régulièrement elle fait toujours des bêtises.
Ambre était ravie de pouvoir montrer ses talents, en plus la paire de fesses de la dame qui lui était destinée était vraiment magnifique, un beau derrière de dame mâture.
Elle prit le paddle percé que les assistantes avaient baptisé madame Tapecul et se dirigea vers Monique qui ne bougeait pas mais avait les fesses bien serrées, elle n’avait pas perdu une miette de la conversation. Ainsi elle allait recevoir une fessée par cette presque gamine de dix-neuf ans, bien sûr depuis le temps qu’elle fréquentait l’institut elle aurait pu être habituée, mais non c’était une humiliation supplémentaire que lui imposait Aurélie.
Ambre avait saisi l’oreille de l’ophtalmologue pour l’amener au centre de la pièce, elle croisa le regard narquois de sa fille, celle-ci allait donc assister à sa correction.
En un instant elle se retrouva dans la position classique et madame Tapecul mérita immédiatement son surnom. Les fesses endolories de Monique se mirent à danser et les pleurs jaillirent quasiment dès le début de la fessée.
La jeune apprentie fesseuse s’appliquait, la lourde planche en bois s’abattait avec un bruit sec sur le derrière cramoisi, la punie se débattait, mais Ambre était très musclée, seul le bas du corps bougeait et madame Tapecul ne ratait pas sa cible.
Aurélie arrêta la correction quand elle jugea que les fesses boursouflées de Monique avaient été suffisamment corrigées :
— C’est bon, je crois que madame va avoir du mal à s’asseoir pendant un bon moment.
Monique rejoignit son coin en pleurant, Elodie l’arrêta au passage et la courba sous son bras pour palper son fessier :
— Voila ce que j’appelle une bonne déculottée, n’est-ce pas maman chérie, ton derrière est fumant.
Elle claqua deux ou trois fois la croupe et relâcha sa mère, qui avança en pleurant, ses mains se dirigèrent vers ses fesses, Elodie l’interpella :
— Essaye un peu de te frotter les fesses et tu vas voir !!
Monique reposa immédiatement ses mains sur sa tête et posa son nez contre le mur.
Aurélie regardait Ambre qui était restée assise :
— A nous deux ma chérie, tu vas me laisser la place.
La jeune femme se leva, immédiatement la jeune assistante posa son pied sur la chaise la ceintura par la taille et la souleva pour la poser en équilibre sur sa cuisse.
— Tu as gardé la règle pour ton joli derrière, tu vas voir que ça cingle bien, je te recommande de l’utiliser pour les chipies.
La fessée fut plus longue que pour les trois autres, Aurélie voulait profiter des fesses de sa jeune collègue, celle-ci gigota comme un vers de terre et Elodie se régala de la raie fessière largement ouverte, cette petite était vraiment à croquer.
Aurélie la ramena à la réalité :
— Ambre pourrait bien vous fesser un jour ma chère, profitez bien de regarder son derrière, quand elle va voir le vôtre ce sera pour le rougir.
Elodie piqua un fard, en effet si elle faisait souvent corriger sa mère, elle était également cliente de l’institut et elle avait fait plusieurs séjours cuisants en travers des cuisses de madame Rose.
Aurélie désigna le dernier coin libre à Ambre.
— Tu te mets au coin comme tes petites camarades, tu en as pour une heure. Je ne veux rien entendre la première qui fait la maligne viendra faire un tour sur mes genoux, vous pleurez en silence. La prochaine fois vous ne serez pas vilaines.
Après le rappel de son statut de futur punie, Elodie n’avait qu’une envie c’était de quitter l’institut, elle prit donc congé, non sans avoir une dernière fois caressé la croupe écarlate de sa mère :
— A ce soir ma petite maman, je pense que tu iras au lit très tôt avec une paire de fesses bien chaudes.
Monique le savait quand Elodie la punissait, elle avait droit au coucher de petite fille à neuf heures maximum.
Aurélie s’installa à son bureau et mis à jour les dossiers des punies avec photos de leurs derrières bien rouges à l’appui.
Great to see the favourite character Elodie back. She was real dominant in the institute until Madam Rose taken her over her knee
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