Suite de la journée fesses rouges de Sylvie
Vous auriez vu sa tête, c’était comique et je n’ai pas pu m’empêcher de rire :
— Tu en fais une bobine, ça va te faire le plus grand bien de prendre l’air.
Je devinais pourquoi elle n’avait pas envie de mettre le nez dehors, je ne l’avais jamais forcé à sortir dans sa tenue de collégienne. Elle ne se voyait pas croiser une éventuelle connaissance avec sa mini-jupe au ras de sa culotte. Mon regard aurait dû l’avertir de ne pas protester, ses fesses ne devaient pas être assez cuisantes :
— S’il vous plaît mademoiselle… je ne vais pas sortir…
Je ne lui ai pas laissé le temps de finir sa phrase :
— Décidément tu ne comprends que la fessée.
En une seconde son derrière prenait à nouveau l’air, courbée sous mon bras, la jupe retroussée et sa culotte sous les fesses. Juste une cinquantaine de claques pour asseoir mon autorité et je l’ai relâchée :
— Je ne veux plus t’entendre, sauf si tu tiens à montrer ton bon gros derrière à tes voisines.
J’aurais dû me douter que mademoiselle Héloïse ne tolérerait aucune discussion sur sa décision de sortir, mais ça avait été plus fort que moi, elle avait remonté elle-même ma culotte et elle me claqua le derrière par-dessus la jupe :
— Allez en route !
J’ai pris sa menace au sérieux, elle aurait bien été capable de m’administrer ce châtiment humiliant dans la rue, sortir dans cette tenue était un moindre mal. J’avais pris une fessée supplémentaire pour rien, mentalement je fis un compte rapide, c’était la quatorzième fois qu’elle me claquait le derrière.
Heureusement sa voiture était garée devant la maison, je m’engouffrai dedans ce qui la fit sourire :
— Madame ne veut pas montrer sa jolie mini-jupe, pourtant elle te va très bien, elle met bien valeur ton gros popotin.
Je ne répondis pas, le trajet me parut assez court, mais maintenant il fallait sortir, la rue était calme, on ne croisa qu’une dame qui promenait son chien, elle se retourna sur notre passage, Héloïse me tenait par la main et mon visage de dame contrastait avec ma tenue de grande adolescente, je sentis le rouge me monter au visage. Nous entrâmes dans l’immeuble et Héloïse sonna à la porte d’un appartement au premier étage, une jeune femme de l’âge de ma maîtresse nous ouvrit, elle poussa un petit cri en nous voyant :
— Oh que je suis contente, tu m’as amené ta petite Sylvie.
Ambre, était une assez grande jeune femme dotée de formes généreuses, son regard me déshabilla littéralement :
— Qu’elle est mignonne, entrez.
Elle s’effaça pour nous laisser passer, elle me gratifia d’une petite tape sur les fesses quand je fus à sa portée :
— Tu ne m’avais pas menti, elle a un derrière confortable.
Héloïse se mit à rire :
— N’est-ce pas ? Attends de le voir de plus près.
Je me doutais de la suite, mais cette phrase mettait un terme au suspens, j’allais bientôt montrer mes fesses à une étrangère… plutôt à deux, car une autre jeune femme était assise au salon. Clémentine puisque c’était son nom semblait beaucoup plus effacée que sa copine Ambre, elle était aussi plus petite mais son derrière me paru bien rebondi, elle se leva pour me faire la bise. Héloïse l’embrassa également et comme Ambre l’avait fait avec moi elle claqua le fessier de son amie :
— Coucou Clémentine, tes fesses sont toujours aussi rebondies, c’est grâce au traitement de Ambre ?
La jeune femme piqua un fard et baissa la tête, son amie s’était approchée d’elle, elle lui prit le menton :
— Réponds à Héloïse ma chérie, sinon panpan cucul.
Elle avait dit ça en riant, mais je sentis une atmosphère pesante envahir l’appartement, Clémentine articula timidement :
— Euh, oui sans doute, mais tu sais j’ai toujours eu une bonne paire de fesses, c’est ce que disait ma mère.
Héloïse fit un clin d’œil à sa copine :
— Moi je pense que les séances de panpan cucul y sont pour beaucoup.
Ambre acquiesça :
— Oui, ce n’est pas tellement pour le volume, mais question fermeté, c’est vraiment mieux depuis que je m’occupe de son popotin.
J’attendais, les bras ballants, personne ne m’avait proposé de m’asseoir, j’écoutais un peu inquiète cette conversation entre les deux jeunes femmes. Clémentine me regardait, je pense qu’elle avait deviné que nous partagions le même sort.
J’étais contente que Ambre ait invité Clémentine, cette petite à un derrière adorable et elle accepte sans broncher les déculottées que lui administre ma copine, l’après-midi se présentait sous les meilleurs auspices.
Ma grande Sylvie est toute penaude, elle doit se douter de ce qui l’attend, on va commencer par présenter son fessier aux spectatrices :
— Viens ici petite chipie, Ambre et Clémentine vont voir ce qui arrive aux vilaines filles.
J’adore la faire rougir et pour le coup ses joues ressemblaient beaucoup à ses fesses, elle s’est approchée, juste un petit geste du doigt a suffi à la faire se tourner.
— Penche-toi !
Je savais que ce simple mouvement allait dévoiler ses dessous, ça n’a pas manqué, la base de sa culotte est apparue, légèrement rentrée dans la raie fessière, on devinait la rougeur du derrière. Ambre ne perdait pas une goutte du spectacle :
— Ouah, quelle jolie petite culotte, eh bien tu l’as soignée ta chipie, une vraie culotte de gamine. Elle porte ça tous les jours ?
J’ai retroussé sa jupe et j’ai coincé l’ourlet dans la ceinture, j’étais satisfaite de mon petit effet, j’imaginais les joues de Sylvie, elles devaient être écarlates, c’est sûr qu’a soixante-dix ans porter des petites culottes à fleurs ce n’est déjà pas très agréable mais que tout le monde soit au courant de son infortune c’est encore pire.
— Quand on reçoit encore la fessée comme une gamine, autant porter des culottes assorties à sa condition. Je lui en ai fait acheter tout un lot et elle n’a pas intérêt à porter autre chose.
La position penchée en avant mettait en valeur son bon gros derrière, je l’ai tapoté :
— Elle a vraiment un fessier confortable, mais en cherchant on a quand même trouvé des culottes de gamine à sa taille.
Il fallait maintenant mettre à nu ce popotin si bien présenté, j’ai glissé mes deux pouces dans la ceinture de la culotte et je l’ai baissé doucement sous ses fesses.
Un oh de surprise et d’admiration mêlées retentit dans la pièce, Ambre s’approcha et posa sa main sur la croupe rubiconde :
— Mazette, tu ne l’as pas loupée j’ai rarement vu un derrière aussi rouge.
J’étais ravie de mon effet et flattée que l’on apprécie mon travail à sa juste valeur :
— Ça fait un moment que je lui ai promis une journée fesses rouges et bien c’est arrivé.
Ambre avait le regard interrogatif :
— Une journée fesses rouges ?
— Je vais t’expliquer, mais avant on va mettre cette vilaine au coin.
J’ai l’habitude qu’elle me prenne par l’oreille pour m’amener au coin, mais être ainsi traitée devant deux jeunes femmes c’était particulièrement humiliant, je n’étais de toute façon pas en mesure de protester mon derrière écarlate était à sa disposition.
Elle poussa la perversité en me tirant l’oreille vers le haut et comme elle est plus grande que moi, j’étais quasiment obligée de marcher sur la pointe des pieds ce qui rendait encore plus humiliante cette marche de la honte. Pour faire bonne mesure, elle m’administra trois ou quatre claques pour me faire avancer plus vite :
— Allez dépêche-toi un peu, tu crois que je n’ai que ça à faire.
Elle m’installa dans le coin de la pièce, sans qu’elle ait eu besoin de me le dire, je mis mes mains sur la tête et je collai mon nez contre le mur.
— Je ne veux pas t’entendre !!
Elle avait ponctué sa phrase par une claque sur chacune de mes fesses écarlates. Ambre applaudi :
— Bravo ma chérie, voilà ce qui s’appelle avoir de l’autorité.
Elle se tourna vers Clémentine :
— Dis donc ma chérie, tu ne vas pas laisser Sylvie toute seule à nous montrer ses fesses, viens un peu ici.
La jeune femme piqua à nouveau un fard, mais elle ne protesta pas et s’approcha de sa maîtresse. Je connaissais leur rapport, mais je fus quand même un peu surprise de la docilité de Clémentine. Ambre s’était levée, elle la fit pivoter et en un clin d’œil sa copine fut troussée et déculottée, j’avais déjà vu son derrière, mais je me rendis compte qu’il était encore plus appétissant que dans mes souvenirs. Il était un peu coloré, signe d’une petite séance de panpan cucul, Ambre se tourna vers moi :
— Il est vraiment pâle par rapport à celui de Sylvie, je vais lui donner meilleure mine.
Elle s’installa sur le canapé et fit basculer Clémentine en travers de ses genoux, si j’adore donner la fessée, je ne suis pas mécontente de temps en temps d’assister à une bonne déculottée.
Celle que reçut notre petite soumise fut magistrale, Ambre était un peu vexée que sa chipie ait les fesses moins rouges que Sylvie. En quelques minutes, elle avait couvert le derrière de Clémentine d’une magnifique culotte d’un rouge flamboyant. La pauvre pédalait dans le vide, criait et suppliait sa maîtresse d’arrêter la fessée, ce qui décuplait l’envie de sa fesseuse, quand elle la fit se relever ses fesses étaient rubicondes, Ambre prenant exemple sur moi la conduisit dans l’autre coin de la pièce en la tenant par l’oreille.
Une fois les deux punies installées le nez contre le mur il fut temps pour moi d’expliquer le déroulement d’une journée fesses rouges, elle m’écoutait bouche bée :
— Mais ça fait combien de fessées depuis ce matin ?
— En fait ça ferait douze, mais madame a eu droit à deux fessées supplémentaires.
— Ah bon et pourquoi ?
Je lui expliquai que l’administration d’une fessée toutes les heures ne dispensait pas la punie d’en recevoir une en dehors de ce décompte si elle avait fait une bêtise. Ambre contemplait le bon gros derrière cramoisi de ma chipie :
— Eh bien, quatorze fessées depuis ce matin, je savais qu’un derrière bien joufflu pouvait en recevoir beaucoup, mais quand même.
Je regardai ma montre :
— D’ailleurs il est quinze heures trente, c’est l’heure du panpan cucul. Sylvie amène-moi tes fesses !
Je savais que ça allait arriver, mais entendre ces mots me glaça. Bien sûr j’exposais déjà mes fesses nues à cette jeune femme inconnue, mais ce n’était quand même pas pareil que de recevoir une fessée déculottée.
— Reculotte-toi.
Elle ne voulait surtout pas se priver du plaisir du déculottage, elle s’installa sur une chaise face au canapé ou Ambre était assise. C’était tout un cérémonial qui se mettait en place pour ma première correction en public.
Elle me saisit la main pour me basculer sur ses cuisses, elle prit bien soin de me placer de telle façon que mes pieds décollent du sol, rendant la position encore plus honteuse. Elle tapota le fond de ma culotte :
— Tu es prête ma chérie, Ambre va assister à ta fessée, j’espère que tu as bien honte de te faire baisser la culotte devant elle.
— Oui, mademoiselle Héloïse, j’ai honte, pardonnez-moi.
Je savais qu’il fallait toujours répondre aux questions de ma jeune maîtresse. Je tournai légèrement la tête, Ambre souriait, je sentis les doigts d’Héloïse s’immiscer sous l’élastique de ma culotte :
— C’est fait pour ça ma chérie, la honte fait partie de ta punition, elle va voir comment ton bon gros derrière prend bien la fessée.
Ma culotte était arrivée au niveau de mes genoux, comme à son habitude, elle caressa mes fesses et m’obligea à écarter les cuisses, ses doigts se glissèrent dans ma raie :
— Tu vois c’est comme je t’avais dit, elle a vraiment un fessier fait pour la fessée, regarde-moi cette belle raie et cette surface.
Ambre approuva :
— C’est vrai que je n’y croyais pas mais vraiment elle à une paire de fesses magnifique.
Soudain je sentis une brûlure irradier mon derrière endolori, je reconnus immédiatement la cuisson de la brosse à cheveux. Héloïse avait décidé de me soigner pour ma première déculottée publique. Je ne pus retenir mes cris et sans souci de dignité, je me comportai rapidement comme une grande fille fessée par sa maman :
— Aïe, aïe, pardon maman, ça fait trop mal, aïe, aïe… non…
Ambre se mit à rire :
— Elle t’appelle maman ?
Héloïse semblait ravie, elle continuait de me tanner le derrière :
— Oui, ça lui arrive quand je la punis sérieusement, j’ai remarqué que l’administration d’une bonne fessée déculottée fait rajeunir les dames.
Pour sûr j’avais rajeuni, j’étais revenue cinquante-cinq ans en arrière quand ma mère me déculottait pour un oui ou un non et me rougissait les fesses allègrement.
Elle termina ma correction par une salve de coups de brosse bien appuyé et uniformément réparti sur mon fessier, je ne pus retenir mes larmes à la grande joie de ma jeune maîtresse :
— Ah nous y voilà, madame commence à regretter ses bêtises, mais c’est un peu tard ma chérie, Héloïse n’en a pas encore fini avec ton bon gros derrière. Tu vas te lever et aller montrer tes fesses à Ambre.
Je me redressai et toute honte bue je me dirigeai vers cette jeune femme qui venait d’assister à mon humiliante punition, je baissai les yeux pour ne pas croiser son regard, je sentais une chaleur sur mes joues :
— Regarde-moi petite chipie.
Le ton d’Ambre était moqueur, elle avait à peine plus de vingt ans, j’aurais pu être sa grand-mère et elle me traitait de petite chipie. Je redressai la tête, le signe de son doigt était éloquent, il fallait que je me tourne pour lui présenter mes fesses.
— C’est bien penche-toi un peu.
Comme un automate j’obéissais à ses ordres, mon derrière n’était plus qu’un brasier incandescent, je sentis sa main palper ma croupe :
— C’est vraiment du beau travail, je peux les examiner de plus près ?
— Mais bien sûr, fais comme tu veux.
Elle me tapota les fesses :
— Tu vas venir sur mes genoux, il faut que je voie mieux ton derrière.
Je me retrouvai donc à nouveau couchée en position disciplinaire, mais c’était la première fois que ce n’était pas sur les genoux d’Héloïse.
Bien sûr comme le faisait sa copine, elle ne se gêna pas pour me caresser les fesses et les écarter pour ouvrir ma raie fessière :
— Tu as raison, une bonne paire de fesses comme ça c’est vraiment agréable.
Elle tenait mes fesses écartées :
— Tu t’occupes de son petit trou j’espère.
Héloïse se mit à rire :
— Tu penses bien que oui et madame n’aime pas ça donc raison de plus, elle a droit régulièrement au thermomètre. Elle a passé l’heure du café avec un thermomètre dans les fesses et je lui ai flanqué sa fessée de treize heures trente en le lui laissant bien enfoncé.
Cette coquine d’Ambre adore s’occuper des petits trous, je suis sûr que Clémentine a dû goûter au thermomètre et même à des instruments plus gros :
— Tu lui as déjà mis un plug ?
— Non, il faudra que j’essaye, mais en attendant si tu veux vérifier sa température.
Je transportais toujours mon instrument fétiche, je le sortis, Ambre le regarda :
— Oh mais c’est un vrai en verre, je croyais que ça ne se faisait plus, j’en avais vu un chez ma grand-mère Ça doit être sexy un derrière garni avec ça. Je peux ?
Je regardai ma grande fille le derrière pointé vers le ciel, elle était vraiment mignonne avec son bon gros popotin écarlate. Ses fesses s’étaient contractées à l’annonce de la prise de température.
J’avoue que ce ne doit pas être très agréable de se faire écarter les fesses par une inconnue qui plus est aussi jeune. Mais ça fait partie de sa punition.
Ambre tenait toujours écartées les deux tomates bien mûres, elle posa le thermomètre sur la rondelle de Sylvie et le poussa doucement. On sentait qu’elle avait une grande habitude, ma chipie faisait des efforts surhumains pour ne pas resserrer ses fesses, Ambre me regarda en souriant :
— Tu l’as bien dressée, en général je suis obligée de claquer les derrières avant de le mettre en place.
Je sentis une pointe de regret dans sa voix.
— Si tu veux voir ce que ça fait de fesser un bon gros derrière, tu as ma permission, comme on dit la peau des fesses repousse toujours.
Mon amie me jeta un regard malicieux :
— Oh merci, si tu veux tu peux t’occuper de celui de Clémentine, je sens qu’elle s’ennuie dans son coin.
Une offre pareille ça ne se refuse pas, je suis allé chercher la deuxième chipie et je l’ai couchée sur mes genoux. Son derrière avait pâli, il ne tenait pas la comparaison avec celui de ma Sylvie, il fallait vraiment que je le réchauffe. Ambre dut comprendre :
— Je vais me contenter de ma main pour les fesses de Sylvie, par contre celles de Clémentine manquent vraiment de couleurs, tu devrais lui faire goûter à ta brosse à cheveux.
J’étais tout à fait d’accord, mais pas notre petite copine, elle se mit à gémir :
— Oh non, s’il te plaît Héloïse, je n’ai rien fait, pas la brosse, ça fait trop mal.
Je lui administrai une rapide fessée manuelle :
— Vas-tu bien te taire petite effrontée, tu crois encore que tu as ton mot à dire, si on a décidé que tu aurais droit à une bonne fessée déculottée à la brosse, tu l’auras que ça te plaise ou non.
— Exactement !! Et je peux t’annoncer qu’après celle d’Héloïse tu auras droit à une autre de ma part.
Clémentine cessa de protester se contentant de sangloter, son derrière n’était pas encore habitué aux fessées à répétition comme celui de ma Sylvie. Je regardai ma copine pour synchroniser notre fessée et quelques instants plus tard le bruit de deux fessées retentissait dans la pièce, accompagné des cris et des pleurs des deux punies. Je ne me lasserai jamais du mélange du bruit des claques sur la peau nue mêlé aux supplications de la dame fessée qui trépigne sur mes genoux.
Une fessée déculottée administrée par une très jeune femme dans cette position infantile c’était déjà humiliant, mais la recevoir avec un thermomètre profondément enfoncé entre les fesses, c’était certainement la plus perverse des punitions inventée par ma jeune maîtresse.
Et ce ne fut pas une petite fessée, mais une vraie bonne déculottée comme aime dire Héloïse, celle-ci n’était pas en reste et la pauvre Clémentine braillait sous les coups de brosse, elle pleurait à chaudes larmes et suppliait sa copine d’arrêter :
— Noonn, arrête s’il te plaît, ça fait trop mal, aïe, aïe…
— D’abord tu vas m’appeler mademoiselle Héloïse et je ne vais certainement pas arrêter, du moins pas avant que ton derrière soit de la même couleur que celui de Sylvie.
Je ne savais pas vraiment de quelle couleur il était, vu ma position je n’avais pas le loisir de contempler mes fesses, en revanche il était brûlant, cette jeune Ambre savait donner la fessée. Je ne pus m’empêcher de pleurer, autant de honte que de douleur. De temps en temps elle interrompait les claques pour vérifier le thermomètre et le renfoncer légèrement.
Enfin cette interminable fessée prit fin, mon derrière n’était plus qu’une boule de feu, Ambre posa sa main sur mon fessier :
— Pour une découverte des fesses de ta chipie, c’est parfait.
Elle palpa ma croupe et écarta à nouveau ma raie pour faire coulisser le thermomètre :
— Tu as compris, j’espère ? J’adore fesser les bons gros derrières comme le tien.
Héloïse en avait aussi terminé avec les fesses de Clémentine, en jetant un œil sur le côté je pus vérifier que ma jeune maîtresse s’était chargée de leurs faire prendre des couleurs :
— Tu veux compléter la punition de cette chipie je suppose. On va mettre Sylvie en exposition avec son thermomètre, ça lui fera le plus grand bien.
Elles nous firent relever toutes les deux, les larmes coulaient sur les joues de Clémentine et je n’étais pas en reste. Héloïse disposa un coussin sur la table basse et me le désigna :
— Tu te couches là et je ne veux pas t’entendre, ton bon gros derrière reste à disposition.
Elle écarta elle aussi mes deux hémisphères brûlant et fit tourner le thermomètre :
— Tu le sens bien ma chérie, j’espère que tu as bien honte de nous montrer tes fesses, elles sont magnifiques.
Pendant ce temps, Ambre avait saisi Clémentine et l’avait juchée sur sa cuisse horizontale :
— Je vais t’apprendre à récriminer, tu as juste gagné un deuxième panpan cucul ma chérie, oh tu peux pleurer, Héloïse a une vue parfaite sur ton derrière.
C’est vrai que le fessier rebondi de Clémentine était quasiment à hauteur de mes yeux, j’étais assez contente de moi, il était d’un rouge éclatant. Ses fesses s’ouvraient et se serraient convulsivement, elle continuait à pleurnicher, ses cuisses légèrement écartées laissaient entrevoir sa vulve, elle semblait gluante. Malgré la douleur cette petite semblait apprécier sa correction, en souriant je désignai son entre-cuisse à Ambre :
— Cette petite coquine à encore besoin d’être corrigée, tu as vu elle mouille de nous exposer ses fesses.
Ambre se mit à rire :
— Oui je crois que cette chipie en a vraiment besoin, on va lui faire plaisir.
Le joli derrière se mit à gigoter sous les vigoureuses claques que lui administrait ma copine, ses jambes pédalaient dans le vide.
Je jetai un œil à ma petite chérie qui exposait toujours son bon gros derrière garni d’un thermomètre, elle était vraiment mignonne dans cette position, son fessier écarlate tendu vers le ciel se contractait de temps en temps. Malgré sa position honteuse, je pense qu’elle n’était pas mécontente d’entendre les claques sur les fesses nues de Clémentine, au moins son derrière se reposait.
Je regardai ma montre encore une bonne demi-heure avant sa fessée de seize heures trente, elle allait rester en exposition jusqu’à ce que je lui administre.
Ambre avait fini de claquer la croupe de sa petite amie, elle me montra une boite sur le bar :
— Regarde dans cet étui, tu vas trouver un plug, tu me l’amènes.
Un petit frisson me parcourut, jusque dans ma culotte, Ambre m’avait souvent parlé de ce petit jouet qu’elle utilisait régulièrement sur ses punies, j’étais excitée à l’idée de découvrir ça.
Il y avait dans la boite trois plugs de tailles croissantes, ils étaient mignons comme tout, en silicone rose avec une jolie rondelle au bout.
— Donne-moi celui du milieu, cette chipie va y goûter aujourd’hui, d’habitude elle a droit au petit, mais elle m’a trop agacé.
La pauvre Clémentine était toujours dans cette position particulièrement inconfortable, les jambes pendantes d’un côté et la tête de l’autre. Ambre avait saisi le plug, elle tapota l’intérieur des cuisses de la punie :
— Écarte les jambes ma chérie, il faut que je voie ton petit trou.
En sanglotant elle s’exécuta :
— Pas le plug mademoiselle, non, non… Aïe, aïe, aïe…
— Mais vas-tu te taire ! Décidément tes fesses n’en ont pas eu assez. Eh bien compte sur moi, tu auras droit à quelques fessées supplémentaires avant de rentrer chez toi. Je te déconseille de serrer les fesses sinon je reprends la brosse.
Résignée, Clémentine se laissa docilement écarter largement la raie fessière, elle était profonde et bien marquée, la rondelle brune se contractait en attendant la pénétration. Ambre en me souriant passa le bout du plug au fond de la raie :
— Elle est vraiment mignonne, tu ne trouves pas, tu vas voir le plug rose lui va très bien.
Elle posa le plug sur l’anus et le poussa doucement, Clémentine gémissait, mais elle ne resserrait pas les fesses :
— Olala, il est gros mademoiselle, ça fait mal… aïe, aïe…
La main de la sévère maîtresse venait de reclaquer sèchement deux fois les fesses tendues :
— Tais-toi, il est juste de la taille qui convient aux vilaines et puisque tu continues de te plaindre et bien tu vas la garder jusqu’au coucher tant pis pour toi.
En tournant la tête je pouvais voir le spectacle terriblement excitant de Clémentine en train de se faire plugger. Ses fesses étaient cramoisies, ses deux copines s’étaient régalées sur son postérieur joufflu, Ambre tenait d’une main le plug rose et de l’autre elle écartait largement les deux hémisphères, sa position était particulièrement humiliante, elle pleurait et gémissait doucement.
La sévère fesseuse poussait lentement l’engin punitif qui disparaissait dans le fondement de la jeune femme.
Héloïse s’aperçut que j’avais tourné la tête pour regarder :
— Tu as vu ce qui arrive quand on est vilaine, regarde bien comment on met un plug en place, tu y goûteras bientôt.
La taille du plug m’impressionnait, mais il semblait pénétrer sans aucune difficulté, bientôt la rondelle se cala au fond de la raie et Ambre relâcha les fesses. Elle claqua les fesses de sa soumise :
— Te voilà bien garnie ma chérie, maintenant tu vas aller au coin.
La culotte était tombée par terre, elle la ramassa et la mit en boule, elle s’approcha de Clémentine :
— Ouvre la bouche !
La pauvre devait être habituée à cette humiliation supplémentaire, elle ne protesta pas quand sa maîtresse lui fourra la culotte dans la bouche. Elle la fit ensuite pivoter et lui administra deux magistrales claques sur chacune des fesses :
— File au coin et que je ne t’entende pas !!
Héloïse souriait amusée par cette nouvelle punition :
— Quelle bonne idée, au moins on ne va pas l’entendre chouiner.
— Oui, j’ai vu ça sur plusieurs blogs de fesseuse, ça remplace le savonnage de la bouche et puis c’est encore plus honteux.
Ma maîtresse me tapota les fesses et fit coulisser le thermomètre :
— Tu as vu ce qui va t’arriver la prochaine fois que tu iras au coin en pleurant.
Ambre était allée préparer un café, elles s’installèrent dans le canapé, elles avaient certainement une vue parfaite sur mon derrière écarlate.
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