Nouvelle punition publique pour Sylvie
J’étais vraiment excitée par le déroulement de cet après-midi, le superbe fessier d’Ambre moulé dans son legging était vraiment appétissant, quand elle s’installa à côté de moi, je glissai ma main dans son dos et descendit doucement jusqu’à ses fesses, elle se mit à rire, mes doigts étaient sous sa culotte :
— Dis donc petite coquine, tu es bien curieuse.
— Encore plus que tu ne crois.
J’avais vraiment envie de découvrir sa magnifique croupe, je l’attirai vers moi et à ma grande surprise, elle n’opposa aucune résistance, elle se coucha d’elle-même en travers de mes cuisses.
Je n’en eus pas pour longtemps à lui retourner le legging pour mettre à jour la petite culotte, c’était un tanga jaune pâle qui découvrait la moitié de son généreux postérieur :
— Ça fait longtemps que je ne l’avais pas vu ma chérie mais ton derrière est magnifique.
Elle se mit à minauder en tortillant ses fesses.
— Elles te plaisent ?
Je me mis à rire et d’un geste rapide je la déculottai, elle poussa un petit cri de surprise.
— Eh oui ma grande, cul nu comme une gamine.
— Tu ne vas quand même pas me donner la fessée ?
Je caressai ses fesses nacrées et glissai mes doigts entre ses cuisses, elle mouillait, visiblement la situation ne lui déplaisait pas, je me penchai pour lui murmurer à l’oreille :
— Pas aujourd’hui, je ne veux pas que tu perdes ton autorité sur Clémentine, mais rassure-toi tu y goûteras au panpan cucul d’Héloïse. Je vais juste t’examiner le derrière en détail.
Elle eut droit à une inspection complète, sa raie largement écartée je titillai un peu son anus :
— Tu auras droit aussi au thermomètre ma chérie.
Il était l’heure de la fessée de Sylvie, je la reculottai moi-même. Elle avait les joues bien rouges quand elle se releva, je lui désignai ma chipie :
— Tu veux lui administrer sa fessée ? C’est l’heure.
Elle me jeta un regard coquin :
— Avec grand plaisir, j’ai bien cru que j’allais y avoir droit moi aussi.
Elle saisit l’oreille de Sylvie pour la faire se relever et l’installa en travers de ses cuisses :
— On lui laisse le thermomètre ?
— Oui ça lui apprendra. Tu veux la brosse ?
Ambre palpa le fessier écarlate :
— Non, ma main suffira, je ne suis pas une sauvage, son derrière est vraiment très chaud.
Je remerciai intérieurement Ambre d’épargner mes fesses, sa main se mit à claquer et rapidement la brûlure fut intense, malgré mon désir de rester stoïque, je me mis à pleurer. La fessée fut relativement courte, mais suffisante pour me faire redevenir une gamine éplorée sur les genoux d’une tatie sévère.
Elle fit coulisser le thermomètre :
— On lui enlève ?
— Oui, de toute façon il faut qu’on y aille.
Ambre retira délicatement l’instrument médical, je l’avais gardé quasiment une heure dans le derrière, comme d’habitude malgré l’humiliation de ce traitement, je sentis une onde de plaisir me parcourir.
Héloïse n’en avait pas tout à fait fini avec ma punition, elle désigna à Ambre ma culotte baissée aux genoux :
— Retire-lui sa culotte, ses fesses sont assez chaudes, elle ne risque pas d’avoir froid, elle va rentrer à la maison cul nu sous sa jupe.
C’était ce que je craignais le plus vu la longueur de ma jupette, mes fesses n’étaient pas beaucoup protégées. J’étais debout, je tournai la tête pour me voir dans la glace, la jupe était vraiment courte, la rougeur de mes cuisses était visible. Je me mis à pleurer :
— Mademoiselle Héloïse, s’il vous plaît…
Elle se mit à rire, me fit pivoter et retroussa ma jupe puis me claqua rapidement les fesses :
— C’est parfait ton derrière est disponible, si tu fais des bêtises avant d’arriver à la maison, prie le bon dieu pour qu’il n’y ait pas de vent.
Nous en étions à dix-sept fessées, les fesses de ma chipie n’avaient pas perdu leur belle couleur depuis le réveil. Une fois dans la rue il nous fallait marcher jusqu’à la voiture, je lui claquai le derrière par-dessus la jupe :
— Avance un peu, on a pas que ça à faire.
Juste à ce moment une dame d’une quarantaine d’années nous dépassa, elle avait obligatoirement vu la claque que j’avais administrée à Sylvie, elle me regarda en souriant :
— Eh bien, ça ne rigole pas. Mais vous avez raison une petite fessée de temps en temps ça remet les idées en place.
Elle continua sa route sans s’attarder, Sylvie avait les joues de la même couleur que ses fesses, je me mis à rire :
— Eh bien c’est le jour des fessées publiques, si j’avais eu le temps je lui aurais montré tes fesses, elle aurait été édifiée.
J’ai vérifié qu’on était seule dans la rue, la voiture était à cinquante mètre, je lui ai retroussé la jupe et je l’ai coincée dans la ceinture puis j’ai claqué ses fesses :
— Allez dépêche-toi si tu ne veux pas que quelqu’un te voie cul nu.
Elle se mit à marcher très vite, je lui ai pris la main pour la ralentir un peu :
— Il faut quand même que tes fesses prennent l’air, ça les refroidis un peu.
Nous étions maintenant à dix mètres de ma voiture, je la relâchai et prit mon téléphone :
— Tu vas marcher jusqu’à la voiture sans courir sinon tu reviens ici, je vais filmer ton joli derrière, tu le tortilles tellement bien.
Vous auriez vu sa tête, je n’ai pas pu m’empêcher de rire :
— Si tu restes là ma chérie je pense que quelqu’un va arriver et qu’il va voir ton derrière bien rouge.
Elle s’est décidée à avancer, elle n’a pas mis très longtemps à arriver à la voiture, j’ai filmé ses fesses cramoisies qui ballottaient au rythme de ses pas, c’était vraiment ravissant. Elle attendait les fesses à l’air devant la voiture, j’ai aperçu la dame qui nous avait dépassé, elle revenait. Ma chipie allait montrer ses fesses à une autre personne, elle l’avait vu également je sentais qu’elle paniquait, je me suis approché et juste au moment où la dame arrivait à notre hauteur je l’ai forcé à pivoter pour exposer son derrière bien rouge.
La passante a marqué un temps d’arrêt et elle a regardé avec intérêt la magnifique paire de fesses, elle souriait ne trouvant rien à redire à l’exposition des fesses dénudées d’une dame d’âge mûr en plein après-midi :
— C’est bien ce qu’il me semblait, madame a reçu une bonne déculottée. Ça vous arrive souvent de lui baisser la culotte ?
Elle avait dit ça d’un ton naturel, comme s’il était normal de recevoir encore la fessée cul nu quand on a passé l’adolescence.
Mon calvaire continuait, cette dame qui contemplait mes fesses rouges et qui en plus entamait la conversation avec Héloïse, j’aurais voulu disparaître sous terre. Ma jeune maîtresse semblait ravie de parfaire ma punition par cette exposition honteuse :
— Oui assez souvent ces temps-ci, madame se comporte comme une gamine, elle a donc droit au panpan cucul, ça lui remet les idées en place.
Je sentis une main sur la peau de mes fesses :
— Effectivement, c’est vraiment une magistrale fessée que madame a reçu, c’est bien chaud. C’est comme ça qu’on voit si la fessée a été efficace. La couleur dépend vraiment de la nature de la peau tandis que la cuisson c’est pour tous le monde pareil.
Elle continuait tranquillement de me caresser les fesses tout en discutant. Héloïse souriait, elle semblait vraiment contente :
— Oui je l’ai soigné, aujourd’hui c’est un peu spécial, madame à droit à une journée fesses rouges.
— Une journée fesses rouges ? C’est intéressant. Peut-être que vous devriez lui remettre la jupe en place, moi ça ne me gêne pas, mais si d’autres personnes passent.
Je l’aurais embrassé cette inconnue qui proposait de cacher enfin mes fesses. Héloïse fit une petite moue et baissa ma jupe.
— Je m’appelle Magali, j’habite juste en face, si vous avez cinq minutes, j’aimerais bien que vous m’expliquiez ce que c’est qu’une journée fesses rouges.
Je priai intérieurement pour qu’Héloïse refuse, mais je n’y croyais pas trop. Effectivement elle accepta. L’immeuble de Magali était juste en face de la voiture, nous prîmes l’ascenseur pour arriver dans un vaste appartement très clair avec une grande baie vitrée sans aucun rideau, je regardai vers l’extérieur, les voisins avaient certainement une vue panoramique sur la pièce. J’étais quasiment sûr que ma maîtresse allait me flanquer ma prochaine fessée ici.
La maîtresse de maison me regarda :
— Quand on a reçu la fessée déculottée, en général on va exposer son derrière au coin.
Héloïse me fixait en souriant :
— Tu as entendu Magali. Dépêche-toi !
Je ne savais pas dans quel coin je devais me mettre, notre hôtesse s’approcha et me saisit l’oreille :
— Viens un peu ici.
C’était assez surréaliste, cette dame que je ne connaissais quasiment pas me tutoyait et m’accompagnait au coin en me tapotant les fesses.
Évidemment elle m’installa dans celui qui faisait face à la baie vitrée. La suite fut classique, elle retroussa ma jupe et l’épingla dans mon dos, je fus un peu surprise, elle avait tiré une pince en laiton de sa poche, on aurait dit qu’elle était là pour ça :
— Je suppose que tu sais comment te tenir.
Bien sûr que je le savais, je mis immédiatement mes mains sur ma tête. Magali passa à nouveau sa main sur mon derrière :
— Je ne l’avais pas regardé de si près, madame a vraiment un magnifique fessier. Il y a de quoi donner une bonne fessée. Je ne sais pas ce que vous entendez par une journée fesses rouges, mais elles sont vraiment magnifiques.
Elle me laissa et je l’entendis se rapprocher d’Héloïse :
— Je vous offre quelque chose à boire et vous m’expliquez ce que c’est qu’une journée fesses rouges.
— Oh c’est très simple…
Héloïse expliqua en détail le déroulement de cette journée où mes fesses n’avaient jamais perdu cette éclatante couleur écarlate. Magali avait écouté avec attention, elle demandait des précisions et riait de temps en temps quand Héloïse lui racontait les fessées supplémentaires qu’elle m’avait administrées en raison de mes récriminations :
— Eh bien dites donc, je croyais être sévère, mais vous me surpassez, je comprends que votre petite chipie ait des fesses de cette couleur. Je sais qu’un bon gros derrière comme le sien peut recevoir beaucoup de fessées mais pas à ce point là.
Je sentis sa main qui tapotait à nouveau mon derrière.
Par le plus grand des hasards, j’étais tombée sur une amatrice de panpan cucul. Magali semblait apprécier comme moi les beaux derrières bien joufflus comme celui de Sylvie. À sa façon de lui palper les fesses on voyait qu’elle avait l’habitude de s’occuper des croupes féminines, je voulus en savoir plus :
— Vous faites quoi dans la vie ?
— Je suis psychologue, pourquoi ?
— Vous semblez être très à l’aise avec les fesses de Sylvie.
Magali se mit à rire :
— Oui, j’aime bien les belles paires de fesses, surtout quand elles sont bien rouges. Dans mon métier ça peut servir.
— Pardon ?
Elle me regarda avec un petit sourire coquin :
— Certaine situation nécessite une prise en charge particulière pour mes patientes, la fessothérapie peut quelquefois rendre de grands services.
J’étais conquise par cette dame énergique, bien sûr j’avais entendu parler de fessothérapie, mais je n’imaginais pas en rencontrer une adepte. Elle se rassit en face de moi et désigna les fesses de Sylvie :
— Mais si j’ai bien compris, dans le cas de madame nous sommes plus dans une démarche éducative et de discipline domestique que dans la fessothérapie.
La conversation devenait vraiment intéressante, j’étais sûre que Magali ne se contentait pas de donner la fessée à titre thérapeutique. Sur le ton de la plaisanterie je lui posai des questions sur les origines de son goût pour les derrières rougis :
— Vous avez pris des cours de fessée ?
Elle me regarda avec ce sourire qui me faisait fondre :
— Vous ne croyez pas si bien dire, j’ai été formée en Belgique par une spécialiste de la question. J’ai connu les deux faces de la fessée.
— Les deux faces ??
Magali se mit à rire :
— Oui pour être une bonne fesseuse, il faut l’avoir reçu.
Elle m’expliqua qu’elle était l’aînée d’une famille de cinq enfants et que ses parents souvent absents lui confiait la responsabilité de la fratrie et lui avait donné toute latitude pour corriger son frère et ses sœurs. Naturellement elle s’était mise à utiliser la fessée, elle me regarda en souriant et ajouta « cul nu bien sûr ».
Elle était partie faire ses études de psychologue en Belgique et un soir au cours d’une soirée avec sa logeuse, elle lui avait confié qu’elle aimait fesser, mais qu’elle n’y avait jamais goûté. Sa propriétaire qui était une forte matrone lui avait dit « S’il n’y a que ça pour te faire plaisir » Et elle lui avait administré sa première fessée déculottée.
— Je peux vous dire que ce ne fut pas une fessée pour rire. A partir de ce jour, j’ai eu droit à une déculottée le matin avant de partir en cours et le soir avant d’aller au lit. Hortense, ma logeuse adorait la fessée, elle m’a transmis le virus, dès que j’ai pu, j’ai ajouté la fessothérapie à mon arsenal thérapeutique.
— Vous ne l’administrez qu’à titre thérapeutique ?
— Non bien sûr, même les grandes filles qui ont passé l’âge comme Sylvie ont besoins de temps en temps d’une petite mise au point. Comme moi avec Hortense.
Je regardai Magali d’un œil différent :
— Vous la voyez encore ?
— Oui deux fois par an au minimum je fais un petit pèlerinage au plat pays.
Je me mis à rire :
— C’est un pèlerinage cuisant ?
Ses joues rosirent légèrement :
— Oui… Très…
J’étais toujours au coin exposant mon derrière bien rouge, j’écoutais avec attention la conversation, c’était bien ma veine on était tombée sur la seule amatrice de fessées du quartier. J’appris quand même avec plaisir que cette dame se faisait également rougir les fesses, soudain ce que j’attendais et craignais en même temps arriva, la voix d’Héloïse retentit derrière moi :
— Sylvie ma chérie, c’est l’heure.
J’allais à nouveau recevoir une fessée publique devant une inconnue.
Ne sachant quelle position adopter, j’avais laissé mes mains sur la tête, je baissai les yeux pour ne pas croiser le regard de Magali. Héloïse tapotait ses genoux, je savais ce que cela voulait dire, elle n’allait pas innover, ce serait la position traditionnelle de la maman sévère corrigeant sa grande fille. Vu mon âge, c’était certainement une des positions les plus humiliantes, surtout que ma maîtresse n’était pas en reste pour en rajouter :
— Allez en position vilaine fille, tu vas nous montrer tes fesses. Tu es bien installée ?
J’avais vraiment l’impression d’être revenue sur les genoux de ma mère quand elle me corrigeait devant la voisine.
Magali avait une vue parfaite sur ma croupe, en tournant la tête je constatai également que mon derrière était tourné face à la fenêtre. Héloïse me fit basculer vers l’avant pour que mes pieds décollent du sol, l’absence de culotte allait faciliter mes mouvements de jambes, la spectatrice aurait tout le loisir d’admirer mon entre-cuisse.
— Il est dix-sept heures trente c’est l’heure de sa fessée.
— Vous avez tenu le compte depuis ce matin ?
Magali semblait admirative devant le caractère organisé de cette jeune femme.
— Oui bien sûr, elle a reçu les treize fessées prévues et quatre supplémentaires pour désobéissance ou récriminations.
— Eh bien dites donc, ce n’est pas étonnant que son derrière soit de cette couleur. Dix-sept fessées depuis ce matin !!
Héloïse semblait satisfaite de son petit effet, je savais qu’elle adorait me déculotter et me rougir les fesses, mais aujourd’hui c’était vraiment spécial. Elle commença à me corriger avec sa main, mais Magali intervint rapidement :
— Vous n’utilisez pas que la main j’espère.
Cette petite peste osait se mêler de ma correction, je l’aurais tuée.
— Bien sûr que non, elle a eu droit à la brosse à cheveux et à la sandale.
— Pas de paddle ou de martinet, pourtant sa bonne paire de fesses le supporterait bien.
La main d’Héloïse était posée sur mes fesses brûlantes, je ne pus m’empêcher de gémir :
— Oh non s’il vous plaît mademoiselle… Aïe, aïe…
Deux magistrales claques venaient d’atterrir sur mon fessier endolori :
— Vas-tu bien te taire ! Continue comme ça et je charge Magali de t’administrer une fessée supplémentaire.
Je ravalai mes larmes et attendit la suite des événements. J’entendis la maîtresse de maison se lever en tournant la tête je la vis ouvrir un petit meuble et en sortir une sorte de raquette en cuir, elle la tendit à Héloïse :
— Tenez essayez ça sur son derrière, c’est une sorte de paddle en cuir que je me suis procurée dans une boutique spécialisée, je l’utilise souvent pour mes séances.
La brûlure fut intense, quelle petite garce, elle devait trouver que mes fesses pouvaient endurer un peu plus. Je n’avais plus aucune retenue, je me tortillais, mes pieds battaient l’air, mais ma fesseuse me maintenait fermement et la raquette en cuir atteignait immanquablement sa cible, mon bon gros derrière :
— Vous voyez Magali, l’âge n’y fait rien, malgré ses soixante-dix ans ma petite Sylvie gigote et ses fesses dansent comme si elle en avait dix-huit.
— C’est vrai qu’elle a vraiment une magnifique paire de fesses.
La fessée terminée, elle me garda couchée en travers de ses genoux, je pleurais mais elle ne s’en souciait pas. Elle me claqua sèchement le derrière :
— Pleure en silence, tu n’as eu que ce que tu mérites !
Je ravalai mes larmes, Magali félicita ma jeune maîtresse :
— Magnifique correction, je vous donnerai l’adresse où vous procurer cet instrument. Vous avez prévu de la corriger encore combien de fois ?
Héloïse caressait mes fesses et j’avoue que j’y prenais un certain plaisir :
— Elle ira au lit tôt puisqu’elle est punie, il lui reste encore trois fessées plus celle du coucher.
— Eh bien madame va bien dormir. Je pense que vous pourriez me l’envoyer un de ces jours pour une petite séance de thérapie, ça ne pourrait que lui faire du bien. Je vais vous laisser ma carte.
J’étais vraiment contente d’avoir rencontré Magali, ma grande chipie allait bénéficier d’un traitement adapté à son bon gros derrière. Il était littéralement cramoisi et légèrement boursouflé, elle aurait certainement beaucoup de mal à s’asseoir ce soir et même demain, mais au moins elle allait se souvenir qu’il ne fallait pas désobéir.
Je la fis se relever :
— Allez debout, on va y aller, mais avant tu vas aller montrer tes jolies fesses à Magali.
Elle marcha à petit pas vers notre hôtesse. C’était la deuxième fois de l’après-midi que je lui imposais cette humiliation. Elle se tourna et sans qu’on lui demande elle se pencha devant Magali, son bon gros derrière brûlant était juste à hauteur des yeux de la psychologue, elle le tapota en souriant :
— Je suppose que tu vas être sage dorénavant. Tu vas venir me voir la semaine prochaine, nous avons à parler.
Ses doigts s’étaient glissé entre les fesses et les cuisses de Sylvie, elle me regarda avec un air entendu :
— Effectivement la fessée fait de l’effet à madame, un petit entretien psychologique à ma façon sera le bienvenu.
Les joues du haut de Sylvie étaient de la même couleur que celle du bas, Magali lui claqua les fesses :
— C’est parfait ton derrière est vraiment charmant, je serai ravi de m’en occuper, tu peux te relever.
Je pris congé, Magali me fit une bise sans façon, par contre Sylvie eu droit à une autre manière de dire au revoir, elle reçut une magistrale claque sur son fessier rougeoyant :
— Vous pouvez lui laisser la jupe épinglée dans le dos, puisque la voiture est garée devant la porte.
C’est ainsi que ma grande chipie rentra à la maison les fesses à l’air, heureusement pour elle on ne croisa personne.
Arrivé au salon, je sortis sa culotte de mon sac à main et je lui tendis :
— Tiens reculotte-toi vilaine fille.
Le passage du tissu sur la peau de mes fesses fut douloureux, ma grimace fit bien rire ma jeune fesseuse :
— Ça brûle n’est-ce pas ? Tu vas t’en souvenir longtemps ma chérie.
J’étais quand même contente de pouvoir enfin cacher mon derrière, il avait pris l’air tout l’après-midi.
La suite se déroula comme Héloïse l’avait annoncé, je reçus encore deux fessées dont l’une juste avant le repas, je passai le repas cul nu sur ma chaise et elle m’envoya au coin jusqu’à l’heure du coucher qu’elle avait fixé à neuf heures :
— Ce soir tu es punie, tu iras au lit tôt comme une vilaine fille.
Je trouvais le temps long le nez contre le mur, mais je n’étais pas trop pressée, je me doutais qu’elle allait vouloir finir la journée en beauté. Elle discutait au téléphone avec Ambre, elle lui expliquait notre rencontre avec Magali et le déroulement de la soirée.
A Huit heures et demie elle m’appela :
— Tu files te mettre en tenue pour la nuit, mais tu gardes ta culotte, je m’en chargerai.
Elle avait dit ça en riant, c’est sûr qu’elle n’allait pas se priver du dernier déculottage de la journée. Je me dirigeai vers la salle de bain, au passage elle me claqua les fesses nues :
— Tu peux te reculotter pour le moment.
Je vais la faire poireauter un moment, elle sait qu’elle va avoir droit à une fessée, je suis sûr qu’elle serre ses fesses sous sa culotte.
Après dix minutes, je jugeai qu’elle devait être prête, effectivement elle m’attendait en nuisette, le nez contre le mur, elle tenait sa chemise relevée dévoilant sa culotte, la rougeur débordait sur le haut des cuisses.
Je lui ai saisi l’oreille pour l’amener avec moi vers le lit :
— Allez en piste ma chipie, ton derrière peut encore en prendre une.
J’avais décidé de lui donner deux fessées pour finir la journée, la première ce serait à la main, ses fesses dansèrent comme depuis ce matin et elle finit en pleurs et suppliante. Je la gardai un moment sur mes genoux, puis je la fis se relever après lui avoir retiré entièrement sa culotte. Je posai un oreiller au milieu du lit :
— Allonge-toi là, tu vas encore présenter ton derrière un moment avant le dodo.
J’avais mon thermomètre dans la poche, j’écartai avec mes doigts les deux tomates bien mûres étalées sur le lit et j’enfonçai profondément l’instrument médical dans le derrière de ma chipie.
L’administration régulière de bonne fessée déculottée avait fait leur effet, elle se laissait faire, tout juste un petit gémissement quand je relâchai ses fesses. Je l’avais enfoncé vraiment profondément, il ne dépassait presque pas de la raie fessière, elle avait vraiment dû le sentir passer :
— Tu ne bouges pas et tu réfléchis à tes bêtises, tu as encore une dernière fessée à recevoir. À tout à l’heure ma chérie.
Elle me laissa étalée au milieu du lit avec les fesses brûlantes, j’avais une furieuse envie de les frotter, mais je ne pris pas ce risque, elle avait laissé les portes ouvertes, j’entendais la télé. J’étais bonne pour rester en pénitence thermomètre pendant toute la durée de sa série. Je préférais être couchée sur mon lit que sur ses genoux à lui exposer mon derrière, mais le temps me parut quand même bien long.
Elle entra dans ma chambre et m’annonça :
— On va finir ta journée fesses rouges avec une fessée au martinet, tu n’y a pas goûté aujourd’hui. Allez debout !!
Je ne savais que penser, entre le soulagement de l’annonce que c’était ma dernière fessée et la peur du martinet. Elle me fit mettre à genoux au pied du lit et retroussa bien haut ma nuisette :
— Ton derrière est vraiment ravissant, tend le bien que monsieur martinet puisse le caresser.
Je savais que les caresses en question seraient vraiment cinglantes et douloureuses, mon derrière s’était contracté, ce qui me valut cette remarque ironique :
— Ah madame serre les fesses, elle a peur pour son petit cucul ? Tu as raison, je te garantis que je vais le soigner. Tu recommenceras à désobéir et à faire des bêtises ?
La question nécessitait une réponse :
— Non, non mademoiselle Héloïse…
— Cinquante coups de martinet et tu comptes !!
C’était sévère pour une dernière correction, mais c’était ainsi. Je criai quand les lanières enveloppèrent ma croupe, mais je n’oubliai pas de compter…
Cette dernière fessée fut vraiment cuisante, elle me fit relever et ouvrit le lit, puis elle m’enlaça et caressa mon derrière brûlant :
— Voilà, c’est fini ma vilaine chipie, maintenant au dodo, sur le dos bien sûr, il faut que tu sentes bien tes fesses. J’espère ne pas avoir à recommencer, mais tu sais maintenant ce que c’est qu’une journée fesses rouges. Si jamais dans le mois qui vient je suis obligée de sévir trop souvent tu auras droit à deux journées d’affilée.
Je me glissai sous les draps en sanglotant, je savais que je l’avais mérité, mademoiselle Héloïse avait été sévère mais juste.
Vingt et une fessées déculottées sur le bon gros derrière de ma chérie, vraiment une belle journée, j’étais contente de moi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire