jeudi 9 octobre 2025

L'institut suite 10

 Fessée scolaire



Aurélie était très occupée avec sa nouvelle activité. Depuis la rentrée madame Rose sous traitait les punitions pour un collège privé de la ville.

Les châtiments corporels étant interdits, l’institution privée qui recevait de grandes élèves de plus de dix-huit ans en échec scolaire avait passé un accord avec madame Rose, si les parents étaient d’accord, les élèves ayant un comportement inadapté étaient envoyées à l’institut et avaient droit à la fessée traditionnelle.

Madame Rose avait proposé à Aurélie de se charger de ce nouveau service proposé par l’institut, après un passage dans le box réservé à cet effet, les jeunes filles repartaient toujours avec un derrière cramoisi. Dès leur retour à l’école elle devait se présenter au bureau de la directrice.

Celle-ci était une cliente de madame Rose, ses fesses avaient goûté à la sévérité des dames de l’institut. C’était un régal pour elle de voir ces jeunes bourgeoises, les joues rouges de honte, retrousser leur jupe et baisser leur culotte pour présenter leurs fesses rougies par la main d’Aurélie ou par sa brosse à cheveux. Elle les laissait un moment, le derrière ainsi exposé :

— Vous avez été bien punie mademoiselle, j’espère que ça vous brûle. Vous recommencerez à être insolente ?

— Non, madame, s’il vous plaît puis-je remonter ma culotte.

Madame Desrodes se mettait à rire :

— Ça vous tarde tant que ça de cacher votre vilain derrière, il faut le faire refroidir. Vous avez de la chance que ça ne se fasse plus, sinon vous iriez exposer vos fesses devant toute la classe. Aurélie vous a mis au coin ?

La jeune fille au comble de la honte sanglotait :

— Oui madame dans le secrétariat.

— C’est parfait, vous allez rester un peu dans mon bureau avec les fesses à l’air ça vous fera le plus grand bien. Je vais faire un mot pour votre maman et vous me le ramènerez demain signé.

La directrice avait quarante ans et elle aimait passionnément les derrières féminins, elle profitait de ce privilège pour se caresser pendant que la grande jeune fille lui exposait sa croupe juvénile rougie.

Hélène Desrodes était lesbienne, dotée d’un plantureux popotin, elle avait eu recours au service de l’institut pour essayer de traiter sa cellulite et comme toutes les dames dans sa situation, elle s’était retrouvée rapidement prise dans les filets de madame Rose, elle recevait donc régulièrement de sévères déculottées.

Malgré la cuisson et la honte de recevoir à son âge cet humiliant châtiment, elle s’était découvert un caractère soumis et elle prenait un certain plaisir à se faire rougir le derrière. Son amante qui était professeure dans l’établissement qu’elle dirigeait s’en était rendu compte quand un jour lors d’un de leurs ébats, elle lui avait demandé de lui flanquer une fessée. D’abord surprise, Judith qui était professeure d’anglais avait rapidement pris goût à ses jeux claquants et depuis cette date, Hélène avait souvent les fesses rouges sous sa stricte tenue de directrice.

Un jour juste avant un conseil de classe, alors qu’elles se trouvaient seules dans le bureau, la jeune professeure, elle avait tout juste trente ans, avait fermé la porte à clé et avec un sourire coquin avait annoncé à son amante :

— Je crois que tu as bien mérité un petit panpan cucul ma chérie, depuis le temps que je t’ai promis de te flanquer une fessée dans ton bureau, voici l’occasion rêvée.

Hélène avait rougi et protesté :

— Non, non, tu n’y penses pas Judith, le conseil de classe a lieu dans un quart d’heure, pas ici, pas maintenant.

En souriant la jeune femme avait tiré une chaise au milieu de la pièce et s’y était installée :

— Bien sûr que j’y pense ma chérie et je peux même t’annoncer qu’avec cette remarque, tu viens de gagner une fessée supplémentaire après le conseil de classe. Tu as intérêt à venir me présenter ton bon gros popotin tout de suite sinon ce soir tu iras au lit avec une paire de fesses bien chaude.

La directrice de l’institution Sainte-Marie s’était approchée en baissant les yeux, à l’instant présent elle n’était plus qu’une vilaine fille qui allait être corrigée. Judith avait rapidement progressé dans sa technique de fesseuse, la fessée toujours déculottée bien sûr suivait un rituel parfaitement établi.

Hélène s’était posté devant elle les mains sur la tête et lui présentant son derrière, en souriant la jeune femme avait retroussé lentement la jupe et l’avait épinglé dans le dos de la directrice. Celle-ci portait toujours des dessous sexy et élégants, des bas fumés retenu par un porte-jarretelle noir et une culotte en dentelle noire également. Son large derrière avait du mal à contenir dans cette fine culotte, la base des fesses débordait largement. Judith en riant avait pincé cette zone sensible :

— Quand tu vas retourner à l’institut je pense que Sophie et Aurélie vont se régaler de traiter ta cellulite ma chérie. Bon assez traîné en piste.

Docilement Hélène s’était tournée et placée contre les genoux de sa jeune amante, Judith lui avait pris la main pour la guider en travers de ses cuisses. Malgré son caractère soumis c’était toujours un moment de honte pour la directrice de se retrouver dans cette position, la croupe tendue vers le ciel, la culotte rentrant dans sa raie fessière. Judith aimait les belles paires de fesses et avec Hélène elle était servie, elle les palpa et les caressa doucement comme pour en prendre possession. Elle pratiquait toujours ainsi avant de fesser son amante, ses corrections étaient de plus en plus sévères mais c’était toujours des fessées coquines, elle n’avait encore jamais claqué le derrière d’Hélène pour la punir, mais ça viendrait certainement :

— Ton derrière est vraiment mignon ma chérie, comme on est un peu pressée, tu n’auras pas droit à la fessée d’échauffement on va passer directement à la fessée cul nu.

Le déculottage fut expéditif et la fine lingerie se retrouva rapidement au niveau des genoux de la quarantenaire qui n’en menait pas large à cet instant précis. Bien sûr Judith avait fermé la porte à clé, mais elle imaginait les professeurs passer devant sans se douter de la scène qui se jouait derrière l’huis capitonné. Une dame d’âge mûr copieusement déculottée et fessée d’importance comme une vulgaire gamine.

Judith n’avait pas tardé à administrer une magistrale fessée à son amante, le plantureux derrière s’était immédiatement mis à danser, Hélène retenait ses cris, elle suppliait et gémissait doucement :

— Non, non, aïe, aïe… s’il te plaît Judith… aïe ça brûle…

La jeune professeure s’arrêta un instant et caressa la croupe déjà rouge :

— En effet c’est chaud, mais je veux que tu sentes ton bon gros derrière pendant tout le conseil de classe.

Elle s’était tournée vers le bureau et avait saisi la longue et large règle en bois qui y était posée, l’effet sur le derrière de son amante avait été immédiat, Hélène n’avait pas pu s’empêcher de pousser un cri qu’elle avait rapidement étouffé et elle s’était cabrée sous la cuisson. Judith en souriant admirait le large postérieur de la directrice, s’ouvrir largement et dévoiler l’intimité de la punie :

— Ça brûle n’est-ce pas ma chérie, tu vas penser à moi quand tu vas t’asseoir.

Elle termina la correction par une salve de coups de règle savamment administré sur toute la surface du fessier et elle posa l’instrument pour caresser les fesses brûlantes d’Hélène :

— Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée.



Elle baissa la culotte complètement et la retira.

— Tu es privée de culotte, tes fesses sont bien chaudes. Une fois assise, tu relèveras discrètement ta jupe, je veux que tes fesses rouges soient posées directement sur ton fauteuil. Ne triche pas, n’oublie pas que j’assiste au conseil de classe je vais te surveiller.

Hélène était debout, ses joues étaient quasiment de la même couleur que son derrière, elle était admirative devant l’ingéniosité perverse de sa jeune maîtresse, elle remit sa jupe en place et en profita pour frotter discrètement sa croupe. Judith le remarqua et elle en sourit, c’était interdit, mais tellement mignon de voir cette dame d’âge mûr se comporter comme une gamine punie qu’elle décida de passer l’éponge.

Il était juste l’heure du conseil, Hélène ouvrit la porte, les professeurs attendaient devant la salle réservée aux réunions, elles saluèrent respectueusement la directrice sans se douter qu’elle était les fesses nues sous sa jupe et que celles-ci étaient d’un beau rouge flamboyant.

Madame Desrodes leur fit signe de s’installer, Judith la surveillait, un fin sourire se dessina sur ses lèvres, la quarantenaire avait discrètement relevé sa jupe avant de poser son confortable popotin sur le fauteuil directorial. Hélène avait réprimé une petite grimace quand son fessier douloureux avait touché le siège, mais en même temps une excitation avait parcouru son entrejambe.

Elle entama immédiatement l’examen des dossiers des élèves, la professeure principale Alice Léger souleva le problème de deux des élèves :

— Clémentine continue a ne rien faire, elle a déjà été à l’institut il y a un mois, je pense qu’un nouveau passage entre les mains de la demoiselle spécialisée va être nécessaire.



Hélène jeta un regard à son amante, les fesses rouges de la jeune fille dansaient encore devant ses yeux. Comme elle en avait l’habitude, elle l’avait forcée à se déculotter pour lui présenter le résultat de son séjour à l’institut et son derrière était vraiment cramoisi :

— Pourtant Aurélie l’avait soigné la dernière fois, j’ai vérifié moi-même l’état de ses fesses, elle avait reçu une bonne déculottée. Mais bon puisqu’elle n’a pas compris, elle va y retourner, sa mère est d’accord, nous avons toute latitude pour agir.

Elle regarda d’un œil circulaire les cinq professeurs :

— D’ailleurs j’aimerais avoir votre avis sur cette nouvelle méthode, les filles qui y ont goûtés sont-elles plus sérieuses ?

Judith prit la parole en premier :

— C’est indéniable, j’en ai deux dans une de mes classes, je peux vous dire que depuis leur petit stage chez madame Rose, elles se tiennent à carreaux. De toute façon c’est simple, je leur ai dit qu’elles y auraient droit à chaque note en dessous de la moyenne.

Un petit « oh » de surprise parcouru l’assemblée, madame Léger repris la parole :

— Tu y vas fort Judith, si on utilise toutes cette méthode, il risque d’y avoir un embouteillage.

— Cette technique semble faire ses preuves, ne vous inquiétez pas pour ça, madame Rose nous débloquera autant de créneaux que nécessaire.

C’était Hélène qui avait répondu, elle se régalait par avance d’avoir de nouveaux fessiers juvéniles bien rouges à contempler.

— D’ailleurs je dois vous annoncer une nouvelle décision du conseil d’administration du collège, en cas de fautes professionnelles, le même traitement sera proposé aux professeurs en remplacement du blâme ou de la procédure disciplinaire.

Les cinq dames présentes autour de la table n’osèrent pas protester, elles se contentèrent de baisser les yeux et quelques joues rosirent, après tout aucune d’entre elles n’avaient reçu de blâme jusqu’à présent.

Madame Léger étaient de celles dont les joues avaient le plus rougis, elle reprit la parole :

— Le deuxième cas, c’est Audrey, vous savez cette jeune femme qui reprend ces études, je l’ai surprise à tricher lors du dernier contrôle. C’est vrai qu’elle est plus âgée que les autres élèves, mais ça mérite une sanction.

— Aucun problème, elle était prévenue, quand elle s’est inscrite je l’ai mise au courant du risque d’aller faire un séjour à l’institut en cas de résultat insuffisant ou de mauvais comportement, elle a signé une autorisation. La tricherie est inadmissible, une bonne fessée déculottée à vingt-cinq ans lui fera le plus grand bien.

Hélène était ravie, cette Audrey était dotée d’un magnifique fessier, la mettre au coin dans son bureau les fesses à l’air serait vraiment un plaisir, elle referma le cahier où elle avait noté les résultats du conseil de classe :

— Vous m’enverrez ces deux chipies, je vais me faire un plaisir de leur annoncer ce qui les attend, demain matin ne vous étonnez pas de ne pas les voir en classe.

Les professeures sortaient de la salle, la directrice toucha l’épaule de la professeure principale :

— Madame Léger, vous pouvez passer dans mon bureau, j’ai un petit problème à régler avec vous.

La sévère Alice Léger sursauta légèrement et ses joues rosirent à nouveau :

— Euh oui madame la directrice, vous voulez dire tout de suite ?

— Oui, j’ai vérifié, vous n’avez pas de cours.

Judith regardait de loin la conversation des deux dames, elle esquissa un sourire ironique en voyant la gêne de la professeure de math. « Tu peux préparer tes fesses ma grande », il était de notoriété publique que ces deux-là ne s’appréciaient guère. Hélène avait mis au courant sa jeune amante de ce qui pendait au nez d’Alice Léger.

Une fois dans le bureau, madame Desrodes, désigna une chaise à la dame de quarante ans qui n’en menait pas large, la directrice du collège Sainte-Marie était réputée pour sa sévérité et il ne faisait jamais bon être convoquée dans son bureau en plein milieu de la journée. Hélène Desrodes s’installa dans son fauteuil et pris une feuille de papier à en-tête tricolore qui était posée devant elle :

— Pouvez-vous m’expliquer ce que vous faisiez au magasin de lingerie de la rue de la République il y a deux jours ?

La rigide professeure de math, piqua un énorme fard et regarda ses pieds.

— J’attends une réponse madame Léger !!!

Le ton était sans réplique, Alice comme une élève prise en faute se mit à bégayer :

— Euh… madame… je… je ne sais pas que voulez-vous dire ?

— Vous vous moquez du monde !!!

— Non madame, non…

— Sur ce procès verbal, il est noté que vous avez été prise en flagrant délit de vol !!! Vous avez une explication ?

Le sol se déroba sous les pieds de la quarantenaire, quand la policière municipale alertée par la gérante du magasin avait rédigé le procès verbal, elle lui avait laissé entendre que vu son absence d’antécédents et le fait qu’elle avait remboursé intégralement la marchandise dérobée, les choses n’iraient pas bien loin.

En effet, le procès verbal avait atterri directement au collège Sainte-Marie où la policière avait fait ses études.

Elle voyait dans les mains de la directrice, la feuille qu’elle avait signée, elle sembla s’affaisser sur sa chaise. Hélène lui jeta un regard carnassier, la première cliente pour l’institut de madame Rose était assise devant elle :

— Les choses semblent claires Alice, vous avez reconnu les faits en signant le procès verbal. Vous avez de la chance, maintenant que le conseil d’administration m’a donné la possibilité de vous faire échapper au licenciement en contrepartie d’un petit séjour à l’institut, je vais utiliser cette possibilité. Ce procès verbal ne sortira pas de ce tiroir, sauf si vous m’y obligiez en refusant cette transaction.

La professeure de math acquiesça en hochant la tête :

— Oui madame, merci…

Hélène esquissa un sourire :

— Ne me remerciez pas trop vite… Votre premier rendez-vous à l’institut est fixé à demain dix-sept heures, j’ai vérifié, vos cours se terminent à seize heures.

— Euh… oui madame, mais pourquoi mon premier rendez-vous ?

Hélène se mit à rire :

— Ma chère Alice, vous ne vous imaginez pas j’espère qu’un seul séjour à l’institut peut solder votre faute. Vous irez voir Aurélie jusqu’à ce que je juge que votre punition suffisante.

Elle se leva et fit un petit signe du doigt à madame Léger :

— Juste une formalité ma chère, vous allez vous tourner et trousser votre jupe, je voudrais voir à quoi ressemble le fessier dont Aurélie va s’occuper.

La professeure de math avait perdu depuis longtemps toute sa superbe, elle ne songea même pas à protester et elle s’exécuta Sa jupe retroussée dévoila à Hélène une belle croupe bien joufflue moulée dans une élégante culotte bleu pâle ornée de dentelle.

Alice Léger adorait les dessous élégants c’est ce qui l’avait perdu, tout en exposant son derrière culotté, elle repensait à ce moment de folie où avant de sortir de la cabine d’essayage, elle avait dissimulé un ensemble culotte et soutien-gorge dans son sac à main. Elle ne savait pas ce qui lui était passé par la tête, elle avait largement de quoi payer cette parure, mais l’attrait de l’interdit avait été plus fort.

Maintenant elle allait le payer, le plus original dans cette situation, c’est que ça la ramenait de nombreuses années en arrière, elle avait quinze ans et elle s’était fait prendre à chaparder dans un magasin et à cette occasion sa mère lui avait administré sa dernière fessée déculottée.

Il lui semblait à cet instant précis qu’elle en ressentait encore la cuisson. Elle sursauta, la main de la directrice venait de tapoter son derrière :

— Très jolie culotte ma chère Alice. Bien sûr en sortant de l’institut vous viendrez dans mon bureau pour me montrer le résultat. Vous pouvez y aller.

En sortant madame Léger croisa Judith, celle-ci lui adressa un petit sourire ironique, elle eut un petit frisson, elle était au courant des relations de la directrice avec la professeure d’anglais, il ne faisait aucun doute qu’elle allait être mise au courant de son infortune.

Par contre ce qu’elle ne savait pas c’est que dans quelques minutes l’autoritaire directrice allait se retrouver couchée en travers des genoux de son amante, puis déculottée et fessée.

En entrant dans le bureau d’Hélène, la jeune femme avait claqué dans ses mains puis fermé la porte à clé :

— Allez en piste, j’ai un cours dans une demi-heure, tu m’expliqueras tout ça quand tu seras en position.

La directrice du collège Sainte-Marie n’était plus qu’une gamine morigénée par sa maîtresse.

— Tu sais pourquoi tu reçois cette fessée n’est-ce pas ?

Tout en parlant, elle avait retroussé la jupe, Hélène étant privée de culotte son plantureux fessier s’étala immédiatement devant les yeux de Judith, elle tapota le derrière encore rouge de la précédente correction :

— Alors, pourquoi es-tu cul nu ?

— Pardon, oui… j’ai protesté.

— Et alors ?

— Euh… chaque fois que je proteste j’ai droit à une fessée supplémentaire.

— C’est exact. Allons-y.

La correction fut sévère, Judith était excitée par son après-midi, les fesses de son amante lui servir de défouloir.

La fessée terminée, elle remit Hélène sur ses pieds et lui annonça :

— Tu feras ton temps de coin ce soir en rentrant à la maison, en attendant tu es toujours privée de culotte.

Elle fit une bise à son amante et lui caressa les fesses :

— Tu as vraiment un popotin adorable ma chérie.





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