mardi 27 mai 2025

Lucie et Christian 28

Première matinée de stage

 



Claire venait de faire un saut en arrière, sa dernière fessée remontait à plus de trente ans, quand elle était jeune fille au pair dans une famille aristocratique en Angleterre. Les filles de la famille étaient soumise à une stricte discipline domestique et la duchesse l’avait prévenue dès son arrivée qu’elle serait traitée comme les filles en cas de manquements à ses devoirs, mais qu’elle avait l’autorisation de déculotter et de fesser les deux adolescentes.

Elle avait donc goûté à l’humiliation de se faire corriger les fesses nues à vingt ans. La honte avait été renforcée par le fait que la punition lui avait été administrée par la bonne sur ordre de la maîtresse de maison.

La jeune soubrette s’y entendait et Claire s’était relevée de ses genoux avec une paire de fesses écarlates et brûlantes, sa culotte entortillée autour de ses chevilles, elle avait dû ensuite exposer son derrière au coin.

Aujourd’hui, elle était devant madame Sylvie, les joues rouges, se dandinant d’un pied sur l’autre. La fessothérapeute esquissa un sourire, c’était toujours un plaisir pour elle de voir une dame d’âge mûr ne sachant pas quelle attitude adopter.

Machinalement, Claire tira sur sa jupe comme si elle voulait la rallonger, elle n’en avait pas porté de si courte depuis sa jeunesse quand c’était la mode des minijupes, mais elles ne ressemblaient pas à celle-ci qui lui donnait vraiment un air de gamine.

— Tu sais pourquoi tu es là ?

Claire ne s’était pas encore habituée à être tutoyée, elle sursauta légèrement et elle rougit un peu plus.

— Je t’ai posée une question !! Il va falloir t’apprendre à répondre immédiatement ma petite Claire, sinon tu vas en payer les conséquences.

— Pardon madame Sylvie… Euh, oui, mais je vais vous expliquer.

La fessothérapeute tapotait son bureau :

— Ah oui, tu vas m’expliquer pourquoi tu es impolie ?

— Mais non madame, je… je ne pouvais pas répondre…

— Pourquoi ?

— J’attendais une réponse de ma direction madame.

La sévère directrice recula sa chaise :

— Tu te moques de moi.

— Non, non, madame. C’est vrai, je vous assure.

— Tu ne pouvais pas envoyer un mail pour prévenir ?

Claire était de plus en plus mal à l’aise, elle baissa la tête. Elle se revoyait au lycée dans le bureau de la directrice en train de se faire sermonner, mais les conséquences aujourd’hui seraient sans doute plus cuisantes, la fessée avait déjà disparu des écoles quand elle avait dix-huit ans.

Madame Sylvie s’était levée, elle prit une chaise et la disposa devant son bureau. Claire connaissait ce cérémonial, puisqu’elle pratiquait de même avec ses subordonnées :

— Je connais une très bonne méthode pour soigner l’impolitesse, approche !

Elle s’était installée sur la chaise et avec son doigt, elle avait fait un petit signe à la cheffe de service, Claire était tétanisée, elle ne bougea pas. Dans un geste d’énervement, la fessothérapeute lui saisit la main et l’attira contre ses cuisses, elle lui claqua l’arrière des cuisses sous la jupe :

— En plus d’être impolie, tu es désobéissante, nous allons avoir du travail ce week-end, mais rassure-toi je sais comment traiter les chipies.

Surprise par la brûlure des claques sur ses cuisses dénudées, Claire avait sautillé sur place et crié :

— Aïe, aïe… Non…

En un clin d’œil, elle se retrouva dans la position qu’elle faisait si souvent prendre à ses subordonnées et à ses filles. Elle pensa à celle-ci, que dirait-elle en la voyant en position disciplinaire ?

La cinquantenaire autoritaire qui déculottait et fessait avec entrain, était maintenant dans la position peu enviable d’une adolescente punie par la sévère directrice de son collège. Elle sentit sa jupe se relever, elle ne se souvenait pas de cette sensation, puis immédiatement les claques commencèrent à tomber sur son derrière culotté. C’était des claques très fortes et malgré la protection du tissu, elle ressentit rapidement une cuisson, la main claquait aussi le haut des cuisses au ras de la culotte, c’était très douloureux et la cheffe de service se mit à crier et à supplier, ce qui fit rire sa fesseuse :

— Tu es bien douillette ma petite, attends que je te baisse la culotte pour pleurer.

Claire sentit avec horreur le sous-vêtement glisser sur sa croupe, même si elle s’y attendait, se faire déculotter à plus de cinquante ans est une épreuve.




La vraie bonne fessée déculottée commença, la même que celle qu’elle se régalait d’administrer à ses filles et au cinq employées. Elle ne dérogea pas à la règle, malgré son âge, elle battit des pieds, ses fesses se serrèrent et s’ouvrirent au rythme de la correction, elle supplia et finit en pleurs :

— Tu seras encore impolie ?

La fessothérapeute avait cessé la punition et sa main reposait sur les fesses écarlates et brûlantes, Claire sanglotait doucement, elle avait oublié combien une fessée déculottée ça faisait mal :

— Non, non madame Sylvie, promis.

— J’espère…

Sylvie reclaqua une dizaine de fois le fessier :

— Je voudrais être sûre que tu as bien compris, la prochaine fois, je ne serai pas si gentille, tu auras droit à la fessée cul nu devant tes petites camarades.

Elle fit relever la sévère cheffe de service qui avait perdu toute sa superbe, les larmes coulaient sur ses joues :

— Tiens ta jupe retroussée !

Elle saisit l’oreille de Claire et la conduisit devant un grand miroir :

— Regarde tes jolies fesses, elles sont bien rouges n’est-ce pas ? Eh bien rassure-toi, elles seront souvent de la même couleur ce week-end.

Elle prit une photo, on distinguait bien dans la glace la croupe rubiconde et le visage de Claire.

— Tu as de la chance, comme c’est ta première fessée, tu as le droit de te reculotter. Allez dépêche-toi, tes camarades attendent.

Elle avait claqué le derrière écarlate, Claire ne se le fit pas dire deux fois, elle remonta sa culotte sur ses fesses brûlantes et remis sa jupe place.

Madame Sylvie ouvrit la porte du bureau, les cinq pensionnaires attendaient bien sagement alignées en rang par deux, sauf Clotilde qui attendait sa compagne. Les yeux rougis de la cheffe de service ne laissait guère de doute sur ce qui venait de lui arriver.

Alice donna un petit coup de coude à Lucie, un sourire éclairait leur visage. « Chacune son tour de montrer ses fesses »

— Maintenant, en classe et en silence !

Madame Sylvie avait claqué dans ses mains. Les six collégiennes la suivirent.

La salle de classe ressemblait vraiment à celle des années cinquante, six petits pupitres individuels, avec un siège fixe, le bureau de l’institutrice sur une estrade et un tableau noir. Sur le mur à côté du bureau était suspendu, un martinet, une sangle en cuir qui se séparait au bout en deux morceaux et sur le bureau posé bien en évidence, une grande règle plate en bois et une brosse à cheveux avec un large manche en bois. Les prénoms des élèves étaient marqués sur chaque table, Clotilde était évidemment à côté de Claire, mais Lucie avait été séparée d’Alice, celle-ci fit une petite grimace qui ne passa pas inaperçue. Sylvie s’adressa sévèrement à elle :

— Quelque chose ne te convient pas Alice ? J’ai demandé à mademoiselle Chloé de vous séparer, ça vous évitera de bavarder.

Mais comme ta place ne te convient pas, j’en ai une autre à te proposer. Viens ici !

Alice s’approcha tête basse, la discipline de ce collège était drastique, dès qu’elle fut à sa portée, Sylvie la prit par l’oreille et la conduisit à côté du tableau :

— Tu vas rester au coin un moment et tu me diras quelle place tu préfères. Mets tes mains sur la tête et colle ton nez contre le mur.

Elle retroussa la jupette, l’épingla dans le dos avec une pince sortie de sa poche, puis glissant ses doigts sous l’élastique de la culotte, elle la baissa jusqu’à mi-cuisses.

Elle claqua sèchement le fessier bien rebondi et se tourna vers les autres élèves :

— Quelqu’un n’est pas contente de sa place ? Bien asseyez-vous.

Lucie était ravie de pouvoir admirer la jolie paire de fesses de sa copine, après tout elle avait eu droit elle aussi à un déculottage public et en plus elle avait pris une fessée.

La sévère directrice ne faisait plus attention à la dame déculottée à côté d’elle :

— Sur vos bureaux, vous avez votre carnet de correspondance, sur la première page votre état civil, sur la deuxième vos mensurations, j’ai prévu en fin de matinée une visite médicale, c’est mademoiselle Chloé qui s’en chargera. Sur la page suivante vos notes de contrôle de connaissances et enfin sur le reste du carnet sera noté les punitions que vous aurez reçues.

Les cinq stagiaires avaient écouté sans un mot, madame Sylvie scrutait les réactions :

— Ce soir et demain avant la fin du stage, nous ferons le compte des punitions reçues et un complément sera administré en cas de comportements inadaptés. Celles qui ont déjà été punies depuis votre arrivée, vous allez noter votre punition sur le carnet.

Lucie, Émilie et Claire étaient concernées, elles prirent un stylo :

— Vous notez par qui vous avez été punie, quel type de fessée, position et instrument.

Claire était mortifiée de noter sa punition, mais elle savait qu’elle n’avait pas le choix « fessée déculottée à la main, sur les genoux de madame Sylvie »

Lucie et Émilie étaient habituées à ces petites humiliations, la jeune comptable s’appliqua à bien écrire « fessée au martinet, debout mains sur les genoux par mademoiselle Chloé, sur les cuisses et sur les fesses nues », elle avait noté les détails par peur d’être grondée, Lucie était assise à côté d’elle, elle sourit en voyant ce que la jeune femme avait écrit, elle entreprit à son tour de noter sa punition « fessée déculottée, debout coincée sous le bras de mademoiselle Chloé, fessée à la main et fesses à l’air ensuite », elle avait rajouté de son propre chef la suite de la fessée à savoir la montée des escaliers culotte baissée.

Madame Sylvie circulait entre les pupitres, elle regarda ce qu’avaient écrit les trois punies :

— C’est parfait, Alice tu peux quitter ton coin et te reculotter, ta jupe restera retroussée jusqu’à midi. Tu noteras toi aussi ta punition.

Alice regagna son pupitre après avoir remonté sa petite culotte, elle s’installa et pris son carnet, Claire qui était derrière elle, remercia intérieurement la directrice de lui avoir laissé la jupe retroussée, le spectacle de ses belles fesses culottées posées directement sur le bois du banc était charmant.

« Mise au coin les fesses à l’air, mains sur la tête pendant dix minutes », madame Sylvie venait de lire le carnet d’Alice, elle frappa dans ses mains :

— Nous allons commencer par une première leçon, je vais vous donner une poésie, vous aurez un quart d’heure pour l’apprendre par cœur.

Elle distribua les feuilles, c’était un petit sonnet de Ronsard

Sonnet à Marie

Pierre de Ronsard

Je vous envoie un bouquet que ma main
Vient de trier de ces fleurs épanouies ;
Qui ne les eût à ce vêpres cueillies,
Chutes à terre elles fussent demain.

Cela vous soit un exemple certain
Que vos beautés, bien qu’elles soient fleuries,
En peu de temps cherront, toutes flétries,
Et, comme fleurs, périront tout soudain.

Le temps s’en va, le temps s’en va, ma dame
Las ! le temps, non, mais nous nous en allons,
Et tôt serons étendus sous la lame ;

Et des amours desquelles nous parlons,
Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle.
Pour c’aimez-moi cependant qu’êtes belle.

Pierre de Ronsard

 

Les six stagiaires lurent avec effarement ce poème, apprendre ça en un quart d’heure, était une gageure, Sylvie le savait, elle avait décidé d’interroger deux des collégiennes. Elle avait déjà choisi lesquelles, deux n’avaient pas encore été punies, elle allait donc à coup sûr découvrir le derrière de Clotilde et celui de Laetitia.

Elle s’installa à son bureau pour surveiller du coin de l’œil ces six dames affolées par la difficulté, on les voyait répéter les phrases à voix basse, c’était assez comique.

Le quart d’heure passa trop vite, si l’on avait pu regarder sous les culottes on aurait certainement vu des paires de fesses contractées par l’angoisse.

— Clotilde au tableau !!

La cheffe comptable se leva, elle jeta un regard désespéré vers ses collègues, mais aucune ne lui apporta du réconfort, toutes bien contente d’échapper à la punition qui semblait inéluctable. Sylvie fit un petit signe à Clotilde qui s’était levée :

— Viens ici, tu montes sur l’estrade et tu regardes la classe et nous t’écoutons.

La cinquantenaire se retrouvait des années en arrière, elle avait toujours détesté les interrogations orales. Elle commença :

— Je… je vous envoie un bouquet que ma main, Vient de… de… trier de ces fleurs épanouies…

Elle était écarlate, elle bégayait, les autres compatissaient malgré tout, sachant qu’elles ne feraient pas mieux. Sylvie tapait du doigt sur son bureau :

— C’est tout ?

— Non, non madame Sylvie, pardon… euh, euh… Qui ne les eût à ce… vêpres cueillies… Chutes à terre elles…

Les mots s’emmêlaient dans le cerveau de la pauvre Clotilde, elle avait les larmes aux yeux.

— Tu n’as rien appris !!

— Pardon madame Sylvie, mais c’est trop dur…

— Cesse de pleurnicher, viens ici !

La cheffe comptable se tourna vers la directrice, celle-ci s’était levée.

Elle saisit Clotilde par l’oreille, la fit pivoter et lui claqua une dizaine de fois la croupe par-dessus la jupe :

— Je vais t’aider à retrouver la mémoire.

Elle retroussa la jupette et l’épingla dans le dos comme elle l’avait fait pour Alice, elle devait avoir une collection d’épingle dans la poche. Puis elle baissa la culotte d’un geste sec. La cheffe comptable tournait le dos aux spectatrices, elle exposait donc son large fessier d’un blanc laiteux à toute la classe, les traces de la fessée matinale de Claire avait disparu.

Sylvie lui entoura la taille et la fit courber en avant, son derrière pointait vers les spectatrices. La sévère directrice administra une fessée rapide tout au plus cinquante claques qui teintèrent la croupe de rose, puis elle la relâcha :

— Tu restes comme ça, qu’on voie bien tes bonnes grosses fesses et tu recommences.

Clotilde gémissait doucement, se faire déculotter, elle en avait l’habitude, mais ça ne lui était jamais arrivé devant autant de personnes qui regardaient avec attention. Elle perdit tous ses moyens et se mit à pleurer :

— Pardon madame Sylvie, c’est… c’est trop dur… je ne me rappelle pas.

La directrice la regarda en souriant :

— Reculotte-toi.

Surprise, Clotilde remonta sa culotte. Sylvie prit sa chaise et la disposa sur l’estrade légèrement en biais par rapport au public, elle s’installa :

— Je vais te montrer comment je soigne les paresseuses qui n’apprennent pas leur leçon, approche !

Clotilde comprit pourquoi elle l’avait fait se rhabiller, c’était pour le plaisir de la déculotter une fois couchée sur ses genoux, en un clin d’œil la cinquantenaire se retrouva comme une mauvaise élève punie par son institutrice, couchée en travers de ses cuisses :

— Une bonne fessée déculottée devant toutes tes petites camarades, voilà ce que tu mérites !

Elle se tourna vers les cinq spectatrices :

— Regardez bien et que ça vous serve de leçon.

Les grosses fesses de Clotilde étaient contractées par l’angoisse, la position oblique de la chaise exposait parfaitement son fessier culotté. Sylvie leva la main et commença à claquer le large derrière ainsi que le haut des cuisses et la base des fesses dénudées, c’était des claques très fortes et la punie ne tarda pas à gémir et à se trémousser. La fessothérapeute connaissait son métier, elle allait donner une fessée sévère, il fallait faire monter la température du fessier. Après une centaine de claques généreusement distribuées sur le fin coton, elle se décida à passer aux choses sérieuses. Elle glissa ses doigts sous la culotte et entreprit de la baisser lentement, elle voulait que la punie ressente bien l’humiliation de ce déculottage public et que les spectatrices profitent à plein du spectacle et qu’accessoirement, elles prennent conscience que ce serait bientôt leur tour.

La culotte s’arrêta à mi-cuisse, c’était suffisant pour une fessée scolaire, le large popotin de Clotilde s’étalait maintenant devant six paires d’yeux car Chloé était entrée dans la classe et se tenait au fond, elle souriait ravie du spectacle. 


La vraie fessée démarra, les fesses étaient déjà colorées par la fessée préparatoire. Mais ce n’était rien à côté de la rougeur qui envahi bientôt la croupe, la punie n’avait plus cinquante ans, elle tortillait son derrière, ses jambes battaient l’air, elle criait, suppliait comme une adolescente punie par son institutrice :

— Tu la sens bien la fessée de madame Sylvie, ton bon gros derrière est bien rouge, mais je peux t’assurer qu’il va l’être encore plus, je vais t’apprendre à travailler tu vas voir la prochaine fois tu la sauras ta poésie.

Elle se tourna légèrement et saisi la règle plate posée sur le bureau. Clotilde hurla dès le premier coup, madame Sylvie avait visé le pli séparant les fesses des cuisses, elle choisissait toujours cette zone très sensible pour que la punie comprenne que la correction serait sévère, et elle le fut. Les fesses bondissaient dans tous les sens, le public avait une vue magnifique sur l’intimité de la cheffe comptable qui désormais pleurait à chaudes larmes. Son large fessier était cramoisi, c’était la première fessée très sévère du week-end, Sylvie n’avait pas pu résister à la tentation de corriger cette belle paire de fesses.

Les cinq stagiaires n’en menaient pas large, elles essayaient de se rappeler cette foutue poésie.

La correction de Clotilde était maintenant terminée, elle continuait à pleurer, la directrice posa sa main sur sa croupe :

— Je pense que la prochaine fois tu vas travailler correctement, ton derrière est brûlant, c’est ce qu’il faut aux paresseuses. Lève-toi.





Clotilde se releva péniblement, on sentait que ses mains mourraient d’envie de frotter son large postérieur, Sylvie était ravie, la jupe épinglée découvrait bien la paire de fesses de la punie, la culotte entourait les genoux :

— Mets tes mains sur ta tête et tourne-toi que tout le monde voie ton bon gros derrière bien rouge.

Clotilde en sanglotant s’exécuta, la fessothérapeute appuya sa main sur son dos pour la faire se pencher légèrement puis elle regarda les spectatrices :

— Vous voyez ce qui arrive quand on ne travaille pas correctement, que ça vous serve de leçon, ma main n’est pas fatiguée.

Elle saisit l’oreille de la punie et la conduisit contre le mur à côté du tableau, à la place qu’avait occupée Alice. Elle prit la poésie et la posa devant le visage de Clotilde :

— Tu tiens la feuille avec ton nez et gare à tes fesses si elle tombe.

Elle se retourna vers les stagiaires, celles-ci n’en menaient pas large :

— Laetitia au tableau !

La comptable se leva, ses joues étaient quasiment de la même couleur que les fesses de Clotilde, elle s’approcha lentement :

— Dépêche-toi un peu, j’espère que tu as mieux travaillé que ta petite camarade.

Laetitia baissa la tête, elle était sur l’estrade, tirant maladroitement sur sa courte jupette, Chloé au fond de la classe se régalait du spectacle de ces six dames adultes ravalées au rang de gamines.

Sylvie s’était réinstallée derrière son bureau et elle tambourinait avec ses doigts sur le plateau :

— Je t’écoute.

Laetitia avala sa salive et commença à réciter le poème, elle alla un peu plus loin que Clotilde, elle réussit à réciter les deux premiers quatrains, mais elle commença à buter sur la suite, elle se mit à bégayer :

— Je… je ne… pardon madame Sylvie…

— Décidément, ce n’est guère mieux. Tu connais le tarif pourtant.

Sylvie fit un signe à Chloé :

— Mademoiselle Chloé, déculottez-moi cette paresseuse, peut-être que cul nu la mémoire va lui revenir.

La jeune assistante traversa la salle rapidement et monta sur l’estrade, en un clin d’œil elle retroussa la jupe et l’épingla bien haut, elle aussi avait une provision de pince dans sa poche, la culotte fut retournée et descendue jusqu’à mi-cuisse, Sylvie savourait la honte de la quarantenaire. Se faire mettre les fesses à l’air par cette jeune femme devant tout le monde :

— Tournez-la, qu’elle montre son derrière à ses camarades.

Chloé fit pivoter Laetitia, son fessier rebondi très pâle, s’étalait devant les yeux des quatre stagiaires restantes. Les fesses étaient serrées par l’appréhension :

— Alors mademoiselle, est-ce que l’air frais sur votre derrière rafraîchit également votre mémoire ?

Madame Sylvie savait manier l’ironie, la dame déculottée ne répondit pas.

— Bien, bien… Toujours rien ? Remonte ta culotte.

La mise en scène fut la même que pour la cheffe comptable, la dame de quarante se retrouva rapidement allongée en travers de cuisses de la directrice, exposant sa petite culotte blanche moulant parfaitement son derrière rebondi. La fessée d’échauffement sur la culotte fut aussi sévère, le déculottage lentement effectué impressionna les spectatrices :

— Voilà ma petite chipie paresseuse, tu devrais avoir honte à ton âge de montrer tes fesses. Elles sont déjà rouges, mais pas assez à mon goût. Oh oui tu as raison de les serrer ça va te cuire crois-moi.



La fessée crépita à nouveau dans la salle de classe, les quatre spectatrices n’étaient pas rassurées, à qui le tour après Laetitia. Celle-ci braillait et battait désespérément des pieds pendant que la main de la fessothérapeute claquait avec application toute la surface du fessier, du haut des cuisses jusqu’au sommet des fesses. Quand la punition prit fin le postérieur cramoisi de la comptable fut exposé à la classe. C’est Chloé qui s’en chargea, la faisant se pencher en avant afin de tendre ses fesses, puis elle la conduisit à côté de Clotilde, elle dut également tenir la poésie avec son nez et mettre ses mains sur la tête.

Sylvie s’était levée, elle regardait les quatre dames se régalant de leur angoisse :

— Bien, c’est l’heure de la récréation, rangez vos affaires et vous sortez en silence.

Soulagée, Claire, Émilie, Lucie et Alice se levèrent et gagnèrent la porte. Chloé les suivait, c’était elle qui avait la charge de surveiller la cour. En fait c’était un petit enclos devant le gîte, une petite route passait devant, Claire regarda à l’extérieur d’un air inquiet, si quelqu’un passait et les voyait dans cette tenue ridicule. Chloé l’apostropha :

— Alors ma petite Claire, ça c’est bien passé pour ton derrière quand tu es allé chez madame Sylvie ?

La cheffe de service rougit, cette petite peste savait très bien qu’elle avait reçu une bonne fessée déculottée. Il lui fallait quand même répondre pour ne pas lui donner l’occasion de sévir :

— Oui mademoiselle Chloé.

— Elle t’a baissé la culotte ?

— euh… Oui, oui.

Claire était au supplice, heureusement la directrice passa la tête par la porte :

— Chloé, vous irez chercher les deux punies et vous les mettrez en pénitence contre le mur, ça fera du bien à leur derrière de prendre l’air.

En souriant la jeune femme acquiesça :

— Tout de suite madame Sylvie, pas de problème.

Un instant plus tard, Clotilde et Laetitia apparurent, elles étaient tenues chacune par une oreille par Chloé, elle tenait la poésie à la main. La jeune assistante les conduisit contre le mur :

— Donnez-moi votre poésie et mettez vos mains sur la tête.

Une claque sur chacun des fessiers les fit activer. Puis elle coinça à nouveau la poésie entre leur nez et le mur :

— Tâchez de ne pas bouger, je vous ai à l’œil. Vos deux jolies paires de fesses égayent la cour, c’est parfait.

Elle alla s’installer sur une chaise et regarda les quatre dames qui se comportaient comme des adolescentes dans une cour de récréation, elles discutaient entre elles. Au début Claire avait hésité mais en réfléchissant, elle s’était dit que le week-end allait être long, autant ne pas faire la tête, après tout elles étaient toutes logées à la même enseigne et susceptible de se faire baisser la culotte à tout instant. D’ailleurs pour leur rappeler leur condition, il y avait les deux punies exhibant leurs fessiers cramoisis et Alice, la jupe épinglée dans le dos montrant sa petite culotte blanche.

Soudain, elles tournèrent la tête, une dame passait sur la route en vélo, elle fit un signe à Chloé qui le lui rendit et se leva.

La cycliste s’était arrêtée le long du muret qui marquait la limite de la propriété :

— Coucou Chloé, vous avez un stage ce week-end ?

— Bonjour Virginie, tu vas bien ?

La dame devait avoir la quarantaine, cheveux coupé court, un grand sourire éclairait en permanence son visage.

— Oui, je profite du beau temps.

— C’est vrai, on a de la chance, on a commencé ce matin, six stagiaires.

La cycliste désigna les deux fessiers écarlates qui ornaient le mur :

— À ce que je vois, le stage commence bien.

Puis elle regarda le groupe de quatre, qui s’était retournée et se taisait pour ne pas être remarquée :

— Elles ont l’air mignonnes. Remarque avec ces tenues de collégiennes c’est normal.

— Oh, il ne faut pas s’y fier, on leur donnerait le bon dieu sans confession, mais depuis ce matin, pas une n’a échappé au déculottage.

Virginie se mit à rire :

— Comme je te connais, ce n’est pas pour te déplaire. Bon j’y vais. Salue madame Sylvie de ma part.

Les stagiaires étaient sidérées, ainsi le voisinage était au courant de ce qui se passait au gîte et trouvait normal que des dames adultes soient traitées le temps d’un week-end comme des adolescentes dans les années cinquante. Ce qui était particulièrement choquant c’est qu’il était fort possible que la voisine en question assiste à un déculottage ou pire à une fessée, puisque apparemment ça ne gênait pas madame Sylvie de punir en extérieur.

La fessothérapeute revint dans la cour et tapa dans ses mains :

— La récréation est finie, les punies vous pouvez vous reculotter. Tout le monde suit mademoiselle Chloé pour la visite médicale, vous prenez vos carnets de correspondance.

Clotilde et Laetitia avaient caché leurs fesses, elle les regarda en souriant :

— Vos derrières ont bien rafraîchi ? Vous n’oublierez pas de noter votre punition sur votre carnet.

 


 

 

 

 





5 commentaires:

  1. Voilà une bonne méthode , pour apprendre et mémoriser , ce que l'on doit savoir ou faire correctement...

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  2. Je suis impatient de lire le récit de la visite médicale de nouvelles humiliations en perspectives

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  3. Idéale pour souder l’esprit d’équipe; je prends note x)

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  4. Les méthodes les plus simples sont souvent les meilleures.

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    1. C'est tellement vrai n'est ce pas... Une bonne fessée déculottée et les problèmes se règlent tout seul.
      Sylvie

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Lucie et Christian 31

  Dimanche matin au gîte. Mademoiselle Chloé est passée dans les deux chambres pour réveiller les stagiaires. Lucie frotta ses fesses, ell...