lundi 2 juin 2025

Lucie et Christian 29

 Visite médicale



Les six stagiaires suivirent la jeune assistante, elles s’étaient mis naturellement en rang par deux, ce qui avait fait sourire Sylvie, décidément la bonne vieille fessée déculottée traditionnelle faisait des miracles.

Arrivé dans une grande pièce, meublée par deux lits d’examen, une armoire vitrée un petit bureau et deux chaises ainsi que des patères au mur. Un pèse-personne et une toise complétait l’équipement.

— Vous vous déshabillez, je vous veux en culotte et soutien-gorge.

Les stagiaires savaient qu’il ne fallait surtout pas discuter, elles quittèrent leur jupette, leur chemisier ainsi que leur ballerine et même leurs socquettes. C’était un spectacle charmant de voir ces dames en petite tenue, les morphologies étaient très différentes, de la menue Émilie à la plantureuse Clotilde en passant par le fessier bien en chair d’Alice. Lucie était émue devant toutes ces chairs féminines exposées, elle fit un petit clin d’œil complice à sa copine, elle savait qu’elle aussi appréciait.

Une autre se régalait du spectacle, mademoiselle Chloé souriait devant la gêne de ses élèves :

— Claire, on va commencer par toi, monte sur la balance.

En rougissant la cheffe de service s’exécuta, elle tournait le dos à ses subordonnées qui pouvait se régaler de son large fessier bien moulé dans sa culotte de gamine, la base des fesses débordait un peu de la lingerie. Chloé nota le poids et claqua les fesses :

— Sous la toise.

Docilement Claire se laissa mesurer, Chloé s’installa sur une chaise et la fit approcher, elle tenait un mètre à ruban, elle prit le tour de taille puis d’un geste sec, elle baissa la culotte sous les fesses, Claire poussa un petit cri, la jeune femme la regarda sévèrement :

— Pardon ? Qu’est-ce que j’ai déjà dit, silence !

La cheffe de service était cul nu, ses fesses dirigées vers ses camarades, Chloé leva la main et claqua une bonne vingtaine de fois la large croupe :

— Je vais t’apprendre à raisonner…

Claire piétinait sur place, elle était vexée de recevoir ce châtiment enfantin devant ses subordonnées.

— Tu ne bouges pas, j’ai besoin de mesurer tes bonnes grosses fesses.

Le mètre à ruban, fit le tour du fessier légèrement rougi. Chloé nota les mensurations sur le carnet :

— Tu restes cul nu et tu mets ton nez contre le mur et les mains sur la tête.

Elle avait claqué sèchement les fesses de Claire.

— Alice, amène-moi tes grosses fesses.

La jeune secrétaire rougit, vexée qu’on traite ainsi son derrière, elle était fière de son postérieur. Chloé la fit monter sur la balance, puis comme pour Claire elle la déculotta. Je l’ai déjà dit, mais le derrière d’Alice attire la main des fesseuses, la jeune assistante ne fit pas exception. Une fois les mensurations prises, elle regarda avec gourmandise le beau fessier :

— Alors comme ça tu n’aimes pas que je parle de tes grosses fesses ?

— Non, non mademoiselle, je n’ai rien dit.

Alice sentait l’ombre de la fessée planer, elle n’avait pas tort :

— Je vais t’apprendre à raisonner, je pense que ton bon gros derrière a besoin d’être réchauffé.

Chloé savait que la jeune secrétaire était la seule à ne pas avoir reçu la fessée, il fallait remédier à cela même pour une raison fallacieuse. Elle fit basculer Alice en travers de ses genoux et lui administra une courte mais cuisante fessée qui fit passer le derrière du blanc au rouge en un instant. Alice se débattit comme il se doit offrant aux quatre stagiaires qui la regardait une vue panoramique sur son intimité, ce n’était pas une surprise pour Lucie, mais c’était un agréable spectacle pour Clotilde et Laetitia. Les fessées de Chloé étaient toujours efficaces et quand Alice fut remise sur ses pieds, ses yeux étaient humides et ses joues de la même couleur que son derrière :

— File te mettre à côté de Claire !

Alice était mortifiée de cette fessée publique qu’elle jugeait injuste, mais habituée à une sévère éducation elle obtempéra.

La jeune assistante regarda les quatre dames d’un air gourmand :

— À qui le tour ? J’espère que la fessée d’Alice vous a servi de leçon. Clotilde vient ici !

La cheffe comptable avança doucement, Chloé après l’avoir déculottée, palpa le large derrière encore rouge :

— Il va falloir me muscler ce fessier ma grande, ne t’inquiète pas avec ce stage on va s’en occuper.

Elle claqua la paire de fesses :

— Va te mettre à côté des chipies.



Lucie, Émilie et Laetitia eurent droit elles aussi à un examen de leur derrière, elles évitèrent la fessée, Chloé se contentant de leur claquer les fesses avant d’aller se mettre à côté de leurs camarades, une brochette de six fessiers étaient désormais alignées contre le mur.

Chloé frappa dans ses mains :

— Maintenant, prise de température, Claire vient ici.

La cheffe de service avait frissonné à l’annonce de Chloé, elle imaginait le pire et elle n’avait pas tort. La jeune femme lui désigna un des lits d’examen :

— Tu te couches là, en travers.

Comme la cheffe de service ne semblait pas comprendre, elle lui claqua sèchement la croupe et la fit mettre en travers du lit, la tête pendant d’un côté et les pieds de l’autre :

— Décidément, tu cherches la fessée, ce n’est quand même pas compliqué, il faut que tes fesses soient à ma disposition.

Elle claqua à nouveau le fessier tendu, il prit rapidement une jolie couleur, Claire gémissait mais ne bougeait pas :

— Aïe, aïe, pardon mademoiselle Chloé.

Celle-ci se dirigea vers l’armoire vitrée et saisit les thermomètres qu’elle posa sur le bureau, elle en prit un et se dirigea vers Claire qui ne bougeait pas, ses fesses rougies étaient serrées. Chloé écarta la raie avec deux doigts :

— Si tu ne veux pas que je redonne une fessée, tu as intérêt à me desserrer ces fesses.

Claire essaya, mais sa honte de se faire mettre un thermomètre dans les fesses à cinquante ans, était trop forte :

— Tu l’auras cherché !

Chloé releva la cheffe de service en lui tirant l’oreille, s’installa sur une chaise et la bascula sur ses genoux, elle s’adressa aux fessiers exposés contre le mur :

— Tournez-vous, je veux que vous voyiez ce qui arrive aux chipies qui désobéissent.

Les cinq stagiaires étaient ravies d’assister à l’humiliante punition de madame Dugou. Combien de fois s’étaient-elles retrouvées dans la même position, la culotte baissée aux genoux et le derrière pointant vers le ciel. Quel magnifique spectacle, Claire avait déjà les larmes aux yeux.

Rapidement une magistrale correction enflamma son fessier, les cris retentirent dans la pièce et les larmes coulèrent sur ses joues, la fessée de Chloé n’avait rien à envier à celle que madame Sylvie lui avait administrée tout à l’heure. Quand elle put enfin se relever son large fessier était rubicond, une claque lui indiqua qu’elle devait se remettre en position sur le lit.

Le derrière était étalé à la vue de ses cinq subordonnées, celles-ci étaient hypnotisées par les larges fesses que Chloé tenaient écartées avec deux doigts, elles avaient oublié que ce serait bientôt leur tour.

Comme par enchantement la déculottée reçue par Claire avait fait des miracles, la raie bien ouverte laissait voir la rondelle brune. La cheffe de service avait oublié la honte de sa position, la cuisson de son derrière était la plus forte.

— C’est quand même malheureux qu’à ton âge je sois encore obligée de t’administrer une fessée pour te faire obéir.

Chloé prenait son rôle de maîtresse sévère très au sérieux, elle n’était pas pressée, il fallait que l’humiliation de la cheffe de service soit complète, elle tapota les fesses écartées ;

— Tu désobéiras encore à mademoiselle Chloé ?

— Non, non… pardon mademoiselle Chloé… S’il vous plaît… j’ai honte…

Chloé souriait, son but était atteint :

— Mais c’est fait pour ça ma petite Claire, pour que tu aies bien honte et il faut que tes fesses te brûlent, pour que tu ne recommences pas.

Elle humidifia l’embout du thermomètre et le posa sur l’anus, les fesses se crispèrent, immédiatement la claque atterrit sur le fessier :

— Qu’est-ce que j’ai dit ?

— Aïe… pardon mademoiselle Chloé.

Le thermomètre rentra inexorablement sous l’œil ébahi des cinq spectatrices. La jeune femme le fit coulisser légèrement jusqu’à ce qu’il ne dépasse presque plus, elle tapota les fesses écarlates :

— Voilà il est bien en place, tu ne bouges pas.

Elle se tourna vers les dames fesses à l’air :

— Émilie, à toi. Tu te mets à côté de Claire.

La jeune comptable s’approcha en rougissant, elle se coucha au côté de la cheffe de service, Chloé avait pris un deuxième thermomètre, elle s’approcha et tapota le derrière serré :

— Tu vas être sage ma chérie, je ne voudrais pas être obligée de te rougir les fesses, tu as vu ce qui est arrivé à Claire, desserre tes fesses, vite !!

Émilie essaya mais le résultat fut le même que pour Claire, elle se retrouva elle aussi en position disciplinaire pour une cuisante mise au point, quand elle se recoucha sur le lit, son derrière écarlate était bien détendu et la sévère assistante n’eut aucun mal à lui mettre le thermomètre en place en lui tenant les fesses largement écartées.



— Clotilde à toi, j’espère que tu vas me laisser écarter tes bonnes grosses fesses.

Toute honte bue, la cheffe comptable s’installa. Contrairement aux autres, elle avait déjà subi l’humiliation de se faire mettre un thermomètre dans les fesses et Chloé n’eut aucun mal à écarter largement la profonde raie fessière.

Elle se recula pour apprécier le tableau, trois fessiers bien étalés, celui de Claire et d’Émilie était d’un rouge éclatant, celui de Clotilde gardait une jolie couleur mais un peu moins foncée. Les thermomètres pointaient au milieu des fesses serrées, Chloé sentit poindre une excitation dans son entre-cuisses, décidément cet emploi était parfait. Elle se tourna vers les trois stagiaires restantes :

— Par qui vais-je commencer ? Qui vas me montrer son petit trou en premier ?

Lucie détestait cette situation où elle n’était plus qu’une gamine soumise aux caprices de cette petite peste.

— Laetitia ! En position…

La comptable avait les fesses encore cuisantes de la punition de madame Sylvie, elle se dépêcha de se coucher en travers de l’autre lit d’examen. Chloé palpa sans vergogne le derrière rougi :

— Tu as déjà pris une bonne déculottée ma chérie, j’espère que tu vas te laisser faire.

— Oui, oui mademoiselle Laetitia, plus la fessée s’il vous plaît.

La jeune assistante se mit à rire :

— Il ne tient qu’à toi ma chérie, tu me laisses bien gentiment écarter tes jolies fesses et pas de panpan cucul.



Laetitia relâcha ses muscles fessiers au grand dam de la sévère assistante qui prenait de plus en plus de plaisir à corriger ces dames. Elle introduisit rapidement le thermomètre puis le retira successivement trois fois de suite, Laetitia gémissait et instinctivement elle resserra ses deux globes. Exactement ce qu’attendait Chloé, elle enfonça à nouveau le thermomètre et fit relever la quadragénaire :

— Décidément on dirait que ça te plaît de te faire rougir le popotin, tu vas voir comme c’est bon une fessée avec un thermomètre dans les fesses.

Laetitia pleura immédiatement autant de honte que de douleur, l’instrument médical faisait des va-et-vient entre ses fesses au rythme des claques. Malgré la cuisson, elle ressentit une excitation à recevoir ce châtiment humiliant. Quand la sévère jeune femme, lui fit reprendre la position, son derrière n’avait rien à envier à celui de ses collègues.

Alice fut la suivante, ses fesses étaient encore rouges, Chloé ne jugea pas utile de la fesser à nouveau.

Il ne restait plus que Lucie, Chloé lui jeta un regard carnassier, la secrétaire savait que ses fesses allaient lui cuire. Elle avait vu juste quelques minutes après elle pleurnichait à côté d’Alice, son derrière cramoisi témoignait de la magistrale correction que venait de lui administrer Chloé.

Les six derrières plus ou moins rougis se serraient convulsivement sur les thermomètres profondément enfoncés. C’est à ce moment que madame Sylvie entra.

Elle se mit à rire devant les deux rangées de fessiers bien exposés :

— Mes félicitations Chloé, quelle magnifique idée tu as eu. Ces dames sont en parfaite position.

Elle s’approcha et tapota les paires de fesses de Claire et de Clotilde :

— Alors mesdames, ça vous fait quel effet ce retour en enfance ? A ce que je vois, mademoiselle Chloé s’est bien occupée de vos bons gros derrières.

Elle passa ensuite à l’autre groupe de trois, Alice eu droit également à une claque sur la croupe puis Sylvie fit coulisser le thermomètre en souriant :

— Tu le sens bien dans ton derrière ma petite Alice ?

Elle se tourna ensuite vers son assistante :

— Tu as été obligée de sévir si j’en juge par la couleur des fesses de ces chipies. Pour les calmer, elles vont garder le thermomètre dans le derrière pendant une demi-heure, ça leur apprendra ? Tu n’oublieras pas de leur faire noter leur punition sur le carnet de correspondance.

Le temps parut long aux six dames exposant leur paire de fesses garnies d’un thermomètre, Chloé s’était installée dans un coin et elle pianotait sur son smartphone, elle ne se priva pas d’envoyer à ses copines des photos des six fessiers ainsi présentés.

Enfin elle leva la pénitence en retirant successivement les thermomètres des derrières. Chaque fois avec la même technique humiliante, elle écartait largement les deux fesses pour mettre à jour l’anus de la punie, puis elle faisait coulisser l’instrument et posait des questions embarrassantes. La première à subir ce traitement fut bien sûr Claire, la sévère cheffe de service instruite par la fessée reçue précédemment ne serra pas ses fesses :

— Alors ma petite Claire tu le sens bien mon thermomètre dans ton petit trou, ça te plaît que mademoiselle Chloé le fasse coulisser ?

Madame Dugou était au comble de la confusion, elle gémissait doucement, n’osant pas répondre. Mal lui en prit, Chloé leva la main et lui administra une courte mais retentissante fessée :

— Quand je pose une question, j’aime qu’on me réponde !!

— Aïe, aïe, pardon mademoiselle Chloé… Oui, oui je le sens… Oh j’ai honte mademoiselle…

— C’est fait pour ça vilaine fille, alors ça te plaît ?

— Euh… oui, enfin non… oh s’il vous plaît mademoiselle.

La jeune femme se régalait de l’embarras de cette dame qui avait l’âge d’être sa mère et qu’elle pouvait tourmenter à sa guise :

— Ah tu ne sais pas, eh bien on va continuer un peu.



Le thermomètre continua ainsi ces allers et retour puis Chloé le retira et administra une claque très forte au milieu du fessier.

— Tu ne bouges pas de là tant que je n’ai pas fini avec tes petites camarades.

Les cinq subordonnées de Claire subirent le même traitement et la plupart récoltèrent une fessée supplémentaire pour réponse insatisfaisante aux questions gênantes de Chloé.

Elles furent ensuite autorisées à se rhabiller et à rejoindre la cour où les attendaient madame Sylvie.

Celle-ci leur expliqua la suite du déroulement du stage, elle allait d’abord manger puisqu’il était midi, ensuite un temps libre puis un retour en classe à quatorze heures, jusqu’à dix-sept heures entrecoupé d’une récréation.

Elles auraient ensuite à nouveau un temps libre sauf pour celles qui auraient été punies, elle regarda Clotilde et Laetitia :

— Ça vous concerne les deux paresseuses, au lieu d’être libre après la classe, vous serez en retenue pour me copier vingt-cinq fois la poésie que vous n’avez pas apprise. Bien maintenant en rang par deux et vous rentrez calmement.

La salle à manger comptait une grande table où les six stagiaires s’installèrent et une plus petite pour Sylvie et Chloé.

Une dame d’une cinquantaine d’années faisait la cuisine et le service, les six pensèrent immédiatement qu’elle devait être au courant des méthodes employées par madame Sylvie et qu’elle ne manquerait pas d’assister à la punition de l’une d’entre elle.

Madame Louise comme Sylvie leur avaient dit de l’appeler étaient une forte femme enjouée, Lucie en regardant son plantureux popotin se demanda si elle avait goûté à la cuisante thérapie de madame Sylvie.

À voir la déférence avec laquelle elle s’adressait à la fessothérapeute, le doute n’était pas permis.

Le repas se passa bien, il n’y eut aucun incident nécessitant une mise à l’air de l’une des paires de fesses.

Après le temps libre, elles rentrèrent en classe, c’était curieux de voir ces dames d’âge mûr, se comporter comme des collégiennes disciplinées.

Les deux maîtresses s’étaient reparti les cours de l’après-midi, bien sûr celle-ci ne se passa pas sans que toutes les stagiaires ne reçoivent au moins une fessée déculottée.

Chloé se surpassa en déculottant cinq des six collégiennes, elle utilisa le martinet sur le derrière de Claire, la lanière sur celui de Clotilde et la brosse à cheveux pour Alice, les trois autres punies n’eurent droit qu’à une magistrale fessée manuelle.

Quand madame Sylvie entra juste avant la récréation, Alice et Claire étaient encore au coin les mains sur la tête :

— Qu’on fait ces chipies ?

Le ton de madame Sylvie ne disait rien qui vaille aux deux punies, Chloé expliqua que Claire n’avait pas écouté les consignes et qu’Alice avait bavardé. Sylvie s’approcha et palpa les deux fessiers cramoisis :

— Qu’as-tu utilisé ?

— Le martinet pour Claire, la brosse pour Alice.

La directrice prit Claire par l’oreille, la courba sous son bras et lui administra une magistrale fessée qui la fit trépigner sur place :

— Je vais t’apprendre à faire attention, ce soir en retenue et au piquet cul nu dans la cour pendant la récréation !

Quelques instants plus tard c’était le tour d’Alice de recevoir la même correction et de se voir infliger le même complément de punition.



Les quatre stagiaires sortirent tandis que Chloé se chargeait d’amener les deux punies tenues par l’oreille. Comme Clotilde et Laetitia le matin, elles connurent l’humiliation d’exposer à la vue de tout le monde y compris les voisines, leurs derrières bien rouges.

C’était au tour de Sylvie d’assurer le dernier cours de la journée, elle annonça qu’elles allaient faire une dictée, les mines des six dames se renfrognèrent. La directrice leur indiqua les règles du jeu :

En dessous de cinq fautes, vous aurez droit au martinet, cinq coups par faute, au-dessus ce sera une bonne fessée déculottée sur mes genoux et en complément la brosse, cinq coups sur chaque fesse par faute.

Claire se débrouilla bien, elle ne fit que trois fautes comme Laetitia, Alice et Clotilde passèrent près de la correctionnelle en faisant quatre fautes. Par contre Lucie avec ses huit fautes et Émilie avec ses dix n’allaient pas échapper à la sévère punition.

Sylvie appela les deux mauvaises élèves, elle retroussa leur jupe, l’épingla dans le dos et leur baissa la culotte sous les fesses :

— Au piquet à côté du tableau les mains sur la tête et réfléchissez à ce qui va vous arriver !

Elle regarda ensuite les quatre stagiaires qui étaient toujours assises :

— Vous vous levez, et vous vous mettez devant vos pupitres, jupe retroussée !

Elle passa lentement derrière chacune des dames exposant leur petite culotte blanche puis d’un geste sec elle retourna les culottes sur les cuisses, elle commença par Claire :

— Combien de coup de martinet ma petite chérie ?

Le ton était ironique, la cheffe de service savait qu’elle devait répondre :

— Quinze, Madame Sylvie.

— C’est exact, tu comptes bien. Dix sur tes fesses et cinq sur tes cuisses.

Elle administra la punition sans faiblir, elle baissa la culotte jusqu’aux genoux pour les cinq derniers appliqués sur les cuisses. Laetitia reçut la même correction.

Alice et Clotilde eurent droit à dix coups sur les fesses et dix coups sur les cuisses.

— Vous pouvez vous reculotter et vous asseoir pendant que je m’occupe des deux mauvaises élèves.

Lucie n’en menait pas large, elle avait déjà reçu son lot de claques sur les fesses depuis ce matin, son derrière était brûlant et la correction annoncée par madame Sylvie était sévère.

Quelques instants plus tard elle braillait comme une gamine couchée sur les genoux de sa mère, puis Sylvie annonça :

— Huit fautes !! combien de coups de brosses ?

— Lucie était paniquée malgré son habitude des punitions :

— Euh… Aïe, aïe… euh quarante coups sur chaque fesse madame Sylvie.

La main avait claqué rapidement le fessier endolori :

— C’est exact, allons-y.

La brosse fit des ravages sur la croupe écarlate de la pauvre secrétaire, elle allait avoir du mal à s’asseoir pendant toute la soirée. Émilie avait les larmes aux yeux en entendant Lucie pleurer et supplier, bientôt ce serait son tour.

Effectivement quelques instants plus tard elle effectuait une magnifique danse des fesses devant ses camarades, son mignon petit derrière n’était plus qu’une boule rouge serrée par la cuisson.



Lucie et Émilie étaient les deux seules qui n’avaient pas écopé d’une retenue après la classe, Sylvie leur annonça qu’elles rejoindraient leurs camarades.

Elles eurent droit à une petite récréation puis Chloé frappa dans ses mains :

— Mesdemoiselles les punies, en retenue !

Une fois installée, les six stagiaires reçurent leur punition, pour Clotilde et Laetitia, il leur fallait copier vingt-cinq fois la poésie. Alice et Claire durent copier cent fois la phrase suivante « Je serai plus attentive en classe, sinon je recevrai une bonne fessée déculottée ». Lucie et Émilie durent copier dix fois la dictée.



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