dimanche 25 mai 2025

Lucie et Christian 27

 Stage de motivation




Claire était très agacée, elle relisait le mail de la direction générale, il était très explicite :

« Nous avons pris bonne note de la proposition de stage de motivation de votre équipe, nous sommes d’accord pour le financement, mais il doit être fait avant la fin du mois afin de rentrer dans le budget »

Il restait donc à peine quinze jours, impossible de trouver un autre prestataire. Elle se mordait les doigts d’avoir eu cette idée de stage auprès de madame Sylvie, la fessothérapeute. Au début tout allait bien, elle se régalait d’envoyer les cinq filles se faire rougir le derrière, elle avait donc signé pour un week-end complet.

Le ciel s’était assombri quand mademoiselle Chloé était venu lui présenter l’organisation du stage, elle avait été formelle, madame Sylvie exigeait la participation de toute l’équipe y compris le manager. Claire Dugou avait bien essayé de négocier, mais la fessothérapeute était restée inflexible, et pour finir ce mail qui bloquait tout autre possibilité.

Elle reprit la plaquette de présentation du stage :

« Un stage de motivation pour souder une équipe.

Revivez l’atmosphère d’un pensionnat des années cinquante au côté de Madame Sylvie la directrice et de son assistante Mademoiselle Chloé.

L’équipe sera soumise à une stricte discipline, les bases scolaires seront révisées.

Les châtiments corporels seront bien entendu de rigueur en cas d’indiscipline ou de niveau trop faible dans la réalisation des exercices.

Vous serez accueillies dans un gîte prévu à cet effet avec des petits dortoirs, les uniformes de collégiennes seront fournis. »

Cette présentation ne laissait pas de place au doute, les fesses allaient rougir pendant ce week-end.

Le téléphone sonna, c’était mademoiselle Chloé :

— Bonjour madame Dugou, nous n’avons pas reçu la confirmation pour le stage, madame Sylvie a déjà réservé le gîte.

Le ton était assez sec, Claire essaya de calmer la jeune secrétaire :

— Veuillez m’excuser mademoiselle, mais j’attendais le mail d’accord de la direction générale, je viens de le recevoir. Je vous envoie la confirmation ainsi que le chèque.

— Parfait…

Il y eut un petit temps d’arrêt au bout du fil, qui inquiéta Claire.

— Madame Sylvie devra avoir une conversation avec vous au début du stage à propos de ce retard… A samedi matin madame Dugou, neuf heures précises, je vous envoie les coordonnées du gîte.

Claire était encore plus énervée en raccrochant, elle se dirigea vers le bureau des deux secrétaires commerciales.

Alice et Lucie levèrent la tête en entendant les pas dans le couloir, le martèlement des escarpins de la cheffe de service n’était pas un bon signe, elle devait être de mauvaise humeur.

Effectivement dès qu’elle fut dans le bureau l’ordre claqua :

— Vos fesses et vite !!

Alice et Lucie se regardèrent, elle savait que protester était inutile, elles étaient bonnes pour avoir les fesses rouges toute la matinée. Elles se retournèrent, troussèrent leurs jupes et baissèrent leur culotte. Les deux paires de fesses blanches serrées par la crainte eurent le don de calmer un peu la sévère cheffe de service. Elle s’approcha et tapota les deux derrières :

— A quand remonte votre dernière fessée ?

Alice répondit la première :

— Lundi madame.

Claire claqua sèchement la croupe de Lucie :

— Et toi ?

— Euh… Vendredi madame.

— Très bien, on va commencer par toi, depuis vendredi ton derrière a eu le temps de refroidir.

Elle attrapa l’oreille de Lucie, celle-ci détestait toujours autant cette façon de faire qui la ramenait au rôle de gamine, madame Dugou claqua les fesses tendues d’Alice :

— Tu ne bouges pas de là ton derrière est très bien présenté.

Elle s’installa sur une chaise, Lucie se retrouva en un instant en position disciplinaire, elle trouvait cela particulièrement injuste, car il lui semblait n’avoir rien fait de mal. Claire avait besoin de se calmer les nerfs et quoi de mieux que les jolies paires de fesses des deux secrétaires. Elle n’avait aucun remord, de toute façon elle jugeait qu’il fallait leur rougir le derrière au moins deux fois par semaine.

Et les fesses de Lucie rougirent vraiment très vite sous la main de la cheffe de service, elle ne fut pas longue à gémir puis à pleurer, quand Claire était énervée, ses claques étaient encore plus fortes qu’habituellement, le spectacle que lui offrait bien malgré la pauvre Lucie avait de quoi la calmer, ses belles fesses rebondies étaient écarlates et elles s’ouvraient largement, exposant à la perverse Claire ses trésors intimes.



Elle la fit relever, la jeune femme trépignait sur place :

— Mets tes mains sur la tête et tourne-toi pour me présenter tes fesses. Alice, en position, vite !!

La jeune femme ne se le fit pas dire deux fois, elle avait assisté en audio à la correction de son amie, elle savait qu’elle allait recevoir la même, pas la peine d’énerver un peu plus madame Dugou. Elle se coucha d’elle-même en travers des cuisses de Claire.

La sévère fesseuse appréciait tous les derrières à sa disposition, mais celui d’Alice était particulièrement appétissant. Un peu plus large et rebondi que celui de Lucie, une profonde raie médiane qu’on avait envie d’explorer et pour une fesseuse avoir une plus grande surface à claquer c’est toujours mieux.

La fessée pétarada dans le silence du bureau, les gémissements de la jeune femme accompagnaient le bruit de la correction, soudain Claire en tournant la tête aperçut Émilie, elle interrompit la punition :

— Que fais-tu là ?

La jeune femme rougit, elle regardait les deux paires de fesses écarlates des secrétaires :

— Pardon madame, je… je… j’amenais un dossier à Lucie.

— Tu tombes bien, tourne-toi et baisse ta culotte que je vois tes fesses pendant que je finis de m’occuper de celle d’Alice.

Émilie sans un mot, se tourna, glissa ses mains sous sa jupe et se déculotta, puis elle retroussa sa jupe. Son joli derrière bien rond et musclé était serré par l’appréhension, elle savait que madame Dugou ne lui avait pas fait baisser sa culotte pour rien.

La fessée d’Alice avait repris, son derrière était de la même couleur que celui de Lucie, Claire vérifiait de temps en temps et comparait les teintes :

— Mais toi à côté de Lucie et montre-moi bien tes fesses.

La secrétaire se plaça juste à côté de sa copine, les deux paires de fesses se touchaient presque.

— Émilie amène-moi tes fesses !

L’ordre avait claqué pendant que Alice pleurnichait au côté de Lucie.

— Alice, pleure en silence, sinon tu reviens sur mes genoux !

Émilie s’était retournée, elle tenait toujours sa jupe retroussée, Claire lui attrapa le bras et la coucha sur ses genoux :

— Ton joli derrière est trop blanc ma petite chérie, je vais lui donner bonne mine.

La jeune femme reçut la même déculottée que ses deux collègues. Comme elle, elle ne savait pas pourquoi elle était punie, mais depuis que la cheffe de service avait mis en place ces nouvelles règles, les employées recevaient leur fessée cul nu sans jamais protester. Elle se releva, de grosses larmes coulaient sur ses joues :

— Cesse de pleurnicher, à quand remonte ta dernière fessée ?

— Hier soir madame…

Claire le savait parfaitement, mais c’était un petit plaisir que de le faire avouer à la punie :

— Eh bien tu viendras ce soir t’en prendre une autre en venant chercher ta culotte.

Émilie renifla, décidément son derrière attirait beaucoup la cheffe de service ces temps-ci :

— Tu as entendu, donne-moi ta culotte !

La jeune femme enjamba son sous-vêtement et le tendit à Claire, celle-ci satisfaite lui claqua les fesses :

— Tu retournes au travail, tu tiens ta jupe retroussée et tu poses tes fesses sur le paillasson de punition.

Le paillasson de punition, c’était la dernière invention de madame Dugou, elle avait acheté cinq petits tapis rond, bien rugueux que les punies devaient poser sur leur siège en complément de punition quand elles étaient privées de culottes.

Émilie quitta le bureau en tenant sa jupe en l’air, son petit derrière rebondi se dandinait au rythme de ses pas, c’était très mignon.

Les deux secrétaires exposaient toujours leur fessier rougeoyant, Claire leur administra à chacune une bonne claque au centre de la croupe :

— C’est pareil pour vous, vos culottes sur le bureau et ensuite cul nu sur le paillasson jusqu’à midi.

Sans un mot Alice et Lucie s’exécutèrent, la matinée s’annonçait cuisante pour leur derrière.

Un mail de Chloé l’attendait dans son bureau.

« Nous accusons bonne réception de votre chèque et nous vous attendons donc toutes les six, samedi à neuf heures précise. Adresses du gîte : Les Lunes pourpres, hameau de la croupe rouge Parthounieu. »

La dénomination du gîte fit sourire Claire, décidément madame Sylvie avait de l’humour, un petit sentiment d’angoisse pointa en elle, qui se traduisit par une légère contraction de ses fesses sous sa culotte.

Le samedi matin toute la petite troupe se retrouva à Parthounieu, elles avaient fait du covoiturage, Émilie était venue dans la voiture de Laetitia, Alice et Lucie avaient partagé leur véhicule, quant à Clotilde, madame Dugou ne lui avait pas laissé le choix :

— Je te prends demain matin, tâche d’être prête quand j’arrive.

Évidemment Clotilde avait voyagé avec une paire de fesses rouges, elle avait fait attendre une minute de trop sa cheffe de service. À la première aire de repos, Claire s’était garée un peu à l’écart et Clotilde avait exposé ses bonnes grosses fesses blanches à l’air frais de ce début juin. Claire assise sur un banc l’avait troussée et déculottée puis fessée d’importance comme une gamine. Il n’y avait pas grand monde et Claire avait choisi un endroit discret, mais malgré tout, Clotilde avait eu vraiment l’impression de recevoir une fessée publique.

Madame Sylvie les attendait en souriant à l’entrée du gîte, mademoiselle Chloé se tenait un peu en retrait. La première surprise pour les participantes fut la tenue des deux dames, elles portaient un tailleur strict, un peu démodé, style année cinquante, madame Sylvie avait coiffé ses cheveux en chignon ce qui lui donnait vraiment l’air d’une directrice d’école sévère, Chloé avait égalent tiré ses cheveux en arrière afin de donner à son visage un air plus sérieux.

Sylvie les fit entrer dans la salle principale, elle se tenait bien droite et toisait une à une les stagiaires, même Claire d’habitude si autoritaire était dans ses petits souliers :

— Bienvenue aux Lunes pourpres mesdames, je vous souhaite un bon séjour. Pour commencer, vous allez découvrir vos chambres, mademoiselle Chloé s’occupe de tous les problèmes pratiques, c’est elle qui va vous accompagner, je n’ai bien sûr pas besoin de vous rappeler que vous devez lui obéir en tout point et qu’elle a mon autorisation pour sévir si nécessaire.

Les six dames avaient compris sans qu’on leur donne d’autres précisions que la jeune femme avait le droit de leur administrer une fessée déculottée en cas de besoin. Madame Sylvie continua :

— Durant le séjour vous serez répartie en deux groupes, Claire, Clotilde et Émilie seront dans le premier sous ma responsabilité, Alice, Lucie et Laetitia seront dans le deuxième sous la responsabilité de mademoiselle Chloé. Durant tous le séjour nous vous appellerons par vos prénoms, et vous devrez vous adresser à nous respectueusement, madame Sylvie pour moi et mademoiselle Chloé pour mon assistante. Bien maintenant vous suivez mademoiselle Chloé en silence et je vous retrouve dans trente minutes pour le début du stage.

La jeune assistante claqua dans ses mains :

— En rang par deux et en route, on ne bavarde pas !

Lucie regarda Alice en souriant, elle lui glissa :

— On ne va pas trop rigoler.

— Mademoiselle, venez me voir !

Lucie piqua un fard, d’être appelée mademoiselle d’abord et que Chloé l’ait entendu, elle s’approcha de la jeune femme :

— Comment t’appelles-tu ?

Le fait d’être tutoyée par Chloé, déstabilisa un peu plus, la jeune femme. Elle savait parfaitement comment elle s’appelait pourquoi lui posait-elle la question.

— Lucie, mademoiselle Chloé.

— Approche ma petite Lucie.

Dès qu’elle fut à sa portée, Chloé lui saisit l’oreille et la tira pour la forcer à se tenir sur la pointe des pieds :

— Je croyais m’être fait comprendre, j’ai bien dit, on ne bavarde pas.

Une claque venait de claquer les cuisses de Lucie :

— Aïe… Oui mademoiselle Chloé… Pardon…

— Je vais vous montrez à toutes, ce qui arrivera chaque fois que vous désobéirez.

Elle lâcha l’oreille de la punie et en un clin d’œil, elle la courba sous son bras. La jupe troussée, la culotte baissée juste sous ses fesses, Lucie exposait sa lune blanche aux cinq stagiaires et à madame Sylvie. La fessée crépita immédiatement, Lucie reconnu immédiatement la technique de Chloé, cette petite peste s’y entendait pour rougir les derrière, elle essaya de faire bonne figure, elle piétinait sur place, mais elle ne put retenir ses gémissements puis ses supplications :

— Aïe, aïe… Pardon mademoiselle Chloé, promis je ne recommencerai plus… Aïe, aïe… non s’il vous plaît.

Mademoiselle Chloé termina la punition par une dizaine de claques très fortes, puis elle relâcha Lucie :

— Bien, j’espère que tous le monde a compris. Tu ne remontes pas ta culotte.



Elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua dans ses mains.

— En rang par deux, vite !!

Instantanément les dames adultes retrouvèrent leurs réflexes de collégiennes et se rangèrent par deux. Émilie prit même la main de Laetitia ce qui fit sourire la sévère demoiselle :

— Très bien, faites donc toutes comme Émilie tenez-vous par la main.

Claire bouillait intérieurement, mais elle ne put refuser de tenir la main de Clotilde. La première fessée déculottée avait été administrée si rapidement que ça n’annonçait rien de bon. Madame Sylvie avait apprécié à sa juste valeur la première fessée administrée par son assistante, elle regarda s’éloigner le petit groupe en rang par deux et se tenant la main, c’était incongru et charmant. Clotilde et Claire fermaient la marche. En fesseuse avertie, elle apprécia le plantureux fessier de Clotilde qui se balançait au rythme de ses pas « Toi ma grande, je vais vraiment prendre du plaisir à te rougir le derrière, il y a vraiment de la place pour claquer », son regard se porta sur celui de Claire, la cinquantenaire avait elle aussi un beau fessier, généreux mais qui ballottait moins que celui de sa compagne, un joli derrière fessable pensa la fessothérapeute.

Au moment où le groupe allait quitter la pièce elle interpella sa collaboratrice :

— Mademoiselle Chloé, vous m’enverrez Claire dès qu’elle est prête, je dois avoir une conversation avec elle.

La cheffe de service frissonna en entendant ces paroles, c’est les fesses serrées qu’elle monta l’escalier.

Sur le palier, Chloé leur désigna les chambres :

— Dans la une, le groupe de madame Sylvie, dans la deux mon groupe.

Les deux chambres étaient séparées par une autre qui était réservée à la jeune assistante, elle leur désigna la porte en souriant :

— C’est ma chambre, je serai juste à côté de vous, gare aux bavardages intempestifs ou au chahut, j’entendrai tout.

Les dames entrèrent dans leur chambre respective, il y avait trois lits dans chacune, séparés par à peine un mètre, pas de lampe de chevet pour éventuellement lire, c’était spartiate et le long du mur en face trois armoires. Émilie poussa un petit cri de surprise en voyant un martinet suspendu juste à côté de la porte, Chloé qui était sur le palier entra :

— Qu’est-ce qui se passe ?

Émilie rougit et baissa la tête, il était évident que c’était elle qui avait crié, la jeune femme s’approcha d’elle et comme pour Lucie, elle lui saisit l’oreille et la tira pour que la jeune femme se tienne sur la pointe des pieds :

— J’ai dit on s’installe en silence, puis-je savoir ce qui me vaut ce cri ?

— Aïe, aïe… Pardon mademoiselle Chloé, j’ai été surprise.

Chloé en souriant continuait de tirer l’oreille d’Émilie :

— Ah oui ? Raconte-moi ça.

Elle claqua le fessier de la jeune femme par-dessus sa jupe.

— Euh, pardon mademoiselle… euh, c’est le martinet.

La jeune assistante se mit à rire :

— Ah c’est donc ça et bien va le chercher.

Elle avait lâché l’oreille de la jeune femme et lui avait claqué sèchement le derrière. Émilie timidement décrocha le martinet, Chloé tendit la main :

— Donne-moi le.

Elle prit l’instrument et caressa les lanières :

— Vous connaissez cet instrument n’est-ce pas ?

Elle s’était adressée à Claire et Clotilde qui étaient restées sans bouger, elles acquiescèrent d’un mouvement de tête, Chloé se tourna alors vers Émilie :

— Et toi, tu sais à quoi ça sert ?

— Oui, oui… mademoiselle.

La jeune femme était affolée, la sévère jeune femme s’approcha d’elle :

— Tourne-toi et retrousse ta jupe !

Habituée à ce genre d’ordre, habituellement donné par madame Dugou, la jeune femme s’exécuta et présenta sa petite culotte blanche qui moulait parfaitement sa jolie croupe.

Chloé s’approcha et coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture :

— Tu te penches et tu mets tes mains sur tes genoux.

Les fesses d’Émilie pointaient en arrière, la culotte rentait légèrement dans la raie fessière, Chloé regarda les deux spectatrices :

— Que cela vous serve de leçon.

Elle leva le martinet et cingla plusieurs fois les cuisses de la jeune comptable, elle cria et piétina sur place, mais garda la position. Des traces rouges s’entrelaçaient sur la peau blanche des cuisses, Chloé visa ensuite la racine des fesses découverte par la position, Émilie piailla de plus belle, sans émouvoir la fesseuse, elle s’approcha, glissa ses doigts dans la ceinture de la culotte et la baissa juste sous les fesses, une dizaine de coups de martinet s’abattirent sur le mignon fessier qui prit une jolie couleur. Puis elle remonta la culotte sur le derrière de la jeune femme :

— Voilà, tu sais à quoi sert ce martinet, à chaque fois que l’une d’entre vous fera une bêtise, monsieur martinet lui caressera les fesses.

Elle regarda Claire et Clotilde qui semblait impressionnée par tant de sévérité :

— Bien, l’incident est clos, vos uniformes sont sur vos lits, vous vous déshabillez entièrement, y compris la culotte et vous vous habillez comme il convient à des jeunes filles.

Elle quitta la chambre pour donner les mêmes instructions à l’autre groupe.

Clotilde et Émilie habituée à obéir au doigt et à l’œil avaient commencé à se déshabiller quand Chloé revint, elle regarda Claire :

— Faut-il que je t’aide ma grande ?

La cheffe de service sursauta, surprise d’être interpellée par son prénom et tutoyée, qui plus est par cette jeune femme qui aurait pu être sa fille.

— Je te rappelle que tu dois aller voir madame Sylvie, je ne pense pas qu’elle va t’attendre longtemps.

Claire piqua un énorme fard et entrepris immédiatement de quitter ses vêtements de dame.

L’uniforme était classique, une jupette à carreau, un chemisier blanc, des socquettes blanches également. Claire était en culotte, et porte-jarretelle, elle regardait les vêtements posés sur le lit, une claque frappa sa fesse droite sur la culotte en dentelle :

— J’ai dit, y compris la culotte, tu n’as pas compris !

— Si, si pardon mademoiselle Chloé.

Claire sans s’en rendre compte commençait à rentrer dans le moule et à obéir rapidement, elle se déculotta sous l’œil goguenard de la jeune femme, puis elle retira ses bas. Chloé se régalait de ces trois strip-teases, Clotilde et Émilie étaient déjà toute nue, la cheffe comptable prit la petite culotte blanche, elle était à sa taille mais c’était une vraie culotte de gamine en coton blanc. Elle glissa son large fessier dedans, il débordait un peu, c’était assez sexy. Émilie avait enfilé elle aussi sa petite culotte, c’était au tour de Claire, elle fit une petite grimace en voyant la forme et le tissu du sous-vêtement, Chloé se mit à rire :

— Ça n’a pas l’air de te plaire ma petite Claire ? Si tu préfères, je te prive de culotte pour toute la matinée.

Affolée, la cheffe de service se dépêcha d’enfiler la lingerie de collégienne :

— Non, non mademoiselle Chloé, cette culotte est parfaite.

— Très bien dépêchez-vous de finir de vous habiller, je vais surveiller les trois autres chipies.

Lucie, Alice et Laetitia était également en culotte quand la jeune assistante entra, elle sourit au spectacle de ces dames en culotte de gamine :

— Vous êtes très mignonnes, tournez-vous que je voie si ça couvre bien vos jolis derrières.



Dans un ensemble parfait les deux secrétaires et la comptable pivotèrent et présentèrent leur fessier culotté. La perverse jeune femme déculotta successivement les trois dames, elle introduisait ses doigts sous la ceinture et retournait le sous-vêtement juste sous les fesses, les trois derrières étaient serrés, attendant la première claque. Les fesses d’Alice et de Laetitia étaient bien blanches, celles de Lucie portaient encore les traces de la fessée administrée dans le hall. Chloé souriait de la gêne des trois stagiaires :

— On serre les fesses, vous avez peur que mademoiselle Chloé fasse panpan cucul ? Vous avez quelque chose à vous reprocher ?

Elle claqua sèchement le fessier d’Alice qui était à sa portée :

— J’ai posé une question !

Les trois paires de fesses nues répondirent en chœur :

— Non, non mademoiselle Chloé.

Satisfaite de cette obéissance, la jeune femme claqua les fesses de Laetitia :

— C’est bien, reculottez-vous et finissez de vous habiller.

Dans le dortoir voisin, les trois stagiaires avaient presque fini, le contraste était saisissant, surtout pour Claire et Clotilde, les deux cinquantenaires se regardaient dans leur costume de collégiennes. Il était à leur taille, mais Claire avait envie de tirer sur la jupe qui lui arrivait à mi-cuisse.

— C’est parfait vous n’avez pas traîné, Claire tu descends au bureau. Madame Sylvie veut te parler.

Madame Dugou n’était plus l’autoritaire cheffe de service, mais une collégienne envoyée par la surveillante du dortoir chez la directrice.

Elle quitta la pièce sous le regard ironique de Chloé, celle-ci n’avait pas pu s’empêcher au moment où Claire passait à sa portée de lui claquer sèchement le derrière par-dessus la jupe, la faisant sursauter :

— Dépêche-toi un peu.

Arrivée dans le hall, elle frappa à la porte où était noté « Madame Sylvie directrice ».

— Entre !!






















2 commentaires:

  1. Un weekend dans un gite qui se présente assez bien. Les fesses de ces six charmantes jeunes filles vont pouvoir rougir et se tortiller. Impatiente de lire la suite des évènements. Je souhaite que Madame la directrice et son assistante soient très sévères. Pourquoi ne pas utiliser parfois d'autres instruments ( cravache, cane en rotin, paddle en bois...) pour corriger tous ces charmants derrières. A bientôt.

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  2. Bonjour Laura, je suis contente que mes récits vous plaise. La suite arrive rapidement, madame Sylvie et mademoiselle Chloé sont très sévères, ne vous inquiétez pas les six derrières vont certainement rester rouges pendant tout le Week-End. Elles n'utilisent que des instruments d'éducation traditionnelle. Le martinet, la brosse à cheveux, la règle plate et la sangle en cuir. Mais c'est suffisant pour faire de très jolies paires de fesses.
    Sylvie

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Lucie et Christian 29

 Visite médicale Les six stagiaires suivirent la jeune assistante, elles s’étaient mis naturellement en rang par deux, ce qui avait fait so...