jeudi 13 février 2025

Lucie et Christian 20

 Coquine Ingrid



Bonjour, 

Après avoir terminé (provisoirement?) les aventures des deux étudiantes, je reprends celles non moins cuisantes de Lucie et Christian.

Pour ceux qui on oublié je les invite à relire le dernier chapitre publié fin octobre sous le libellé "fessothérapie".

Lucie et sa copine Alice passe le Week-end chez Ingrid la sévère tante d'Alice.


Le lendemain matin, Ingrid entra dans la chambre et ouvrit grand les rideaux, elle avait l’air guillerette :

— Allez debout paresseuse, il fait beau, je vous attends sur la terrasse pour le petit déjeuner, ne traînez pas !

Lucie avait ouvert les yeux et vu la tatie quitter la chambre, elle portait un déshabillé très sexy, elle se posa la question en voyant son fessier généreux onduler « Que portait Ingrid sous la soie nacrée de sa robe de chambre ». Elle était déjà dans la chambre de sa nièce et ouvrait également les rideaux.

Quelques instants plus tard, Alice passa la tête par la porte :

— Alors ma chérie, tu as bien dormi avec ton derrière tout chaud ?

Lucie lui rendit son sourire, elle était adorable avec sa petite nuisette lui arrivant à peine à mi-cuisse. C’est vrai que malgré la brûlure de ses fesses et le suppositoire au gingembre, elle avait dormi comme un bébé :

— Oh oui, j’ai fait plein de beaux rêves, je voyais tes fesses bien rouges.

Alice se mit à rire :

— Ben moi, c’était les tiennes. Bon c’est pas tout ça, mais il faut qu’on se dépêche, tatie n’aime pas qu’on traîne.

Lucie était sortie de son lit, elle se regarda dans la glace, cette chemise de nuit était vraiment courte, surtout sans culotte dessous, elle interrogea sa copine :

— On doit descendre comme ça ? On ne s’habille pas ?

Alice la regarda en souriant :

— Oh non, tatie veut qu’on déjeune en chemise de nuit, elle trouve ça plus pratique.

Elle avait fini sa phrase en riant, Lucie avait compris à demi-mot, mais elle se sentit obligée de demander des précisions :

— Plus pratique ? Pourquoi ?

Sa copine s’approcha d’elle et souleva la nuisette :

— Nos derrières sont à sa disposition, si tu vois ce que je veux dire.

Lucie fit la moue, décidément Ingrid était vraiment attirée par les rondeurs féminines. Alice lui claqua les fesses :

— Allez, on y va.

Ingrid les attendait sur la terrasse, la table était mise, il faisait déjà chaud, l’air doux s’insinuait sous sa courte chemise de nuit et caressait les fesses de Lucie, c’était assez curieux et même excitant. La sévère tatie leur fit une bise et ne se gêna pas pour glisser sa main sous la nuisette de la jeune femme :

— Bien dormi mes chéries ? Comment vont vos petites fesses depuis hier soir ?

Lucie se sentit rougir, surtout que la main d’Ingrid palpait sa croupe, elle ne répondit pas mais Alice le fit à sa place :

— J’ai eu chaud aux fesses tatie, mais maintenant ça va.

Ingrid avait un regard mutin, elle s’installa sur une chaise et prit la main de sa nièce :

— On va vérifier ça tout de suite.

Alice fit la moue, elle avait espéré, en répondant spontanément à Ingrid, échapper à cette inspection un peu humiliante, mais déjà sa tante l’avait basculée en travers de ses cuisses. Bien évidemment vu la forme de la chemise de nuit, la base des fesses apparut immédiatement sans qu’elle ait besoin de la retrousser. La main se glissa dessous et palpa le fessier joufflu :

— Il est tout frais ce petit derrière.

La nuisette remonta sur les reins, les deux globes étaient serrés comme surpris de voir si vite la lumière, ils étaient à la disposition de la main inquisitrice d’Ingrid. Elle glissa ses doigts dans la raie et écarta les deux fesses :

— Allez ma chérie, tu écartes les jambes, il faut que tatie t’examine de plus près.

Docilement Alice s’exécuta, elle avait l’habitude des petites manies de sa tante et puis c’était moins désagréable qu’une fessée, la raie était maintenant largement écartée, Ingrid souriait en regardant Lucie pour juger de ses réactions :

— Regarde-moi comme c’est mignon, ce petit trou et ce petit abricot.

Elle appuya sur l’anus :

— Il était bon le suppo de tatie ? J’espère que ça t’a bien chauffé.

Elle tapota la croupe dodue de sa nièce :

— Ton petit derrière est un peu trop blanc, je vais lui donner des couleurs.



La main se mit à claquer lentement les fesses d’Alice, elle se mit à les tortiller de façon très suggestive. Lucie appréciait le spectacle, mais elle se doutait que la sévère tatie n’allait pas lui faire cadeau de l’examen minutieux de son fessier. La jolie croupe rosissait à vue d’œil, c’est vrai qu’elle était bien plus mignonne à présent. Ingrid cessa la petite fessée et glissa sa main entre les cuisses, ses doigts écartèrent les lèvres gonflées :

— Ça te plaît on dirait ma petite chérie ? Tatie a raison de t’administrer la fessée cul nu, ça te fait le plus grand bien.

Elle claqua sèchement le fessier d’Alice et la fit se relever :

— Allez debout, je vais m’occuper de Lucie.

Même si elle en avait l’habitude, cet examen humiliant devant son amie avait été une épreuve pour la jeune femme, ses joues étaient écarlates quand elle fut remise sur pied. Lucie n’avait pas le visage moins rouge. Certes elle était maintenant habituée aux situations gênantes et aux examens humiliant, madame Sylvie et madame Dugou s’y entendait pour ça, mais être ainsi exposée et examinée par Ingrid devant Alice était quelque chose de nouveau.

Elle se retrouva rapidement dans la même position que sa copine, l’air frais sur sa croupe l’avertit que la tatie avait retroussé sa nuisette :

— Voyons un peu ce joli petit cul.

Lucie contracta ses fesses ce qui lui valu immédiatement une magistrale claque au milieu du fessier bien exposé :

— Je déteste les culs serrés ma chérie, relâche-moi tes fesses tout de suite, sinon j’ai un très bon moyen pour les rendre souples.

La main experte écarta les cuisses et les doigts remontèrent de l’entre-jambe jusqu’à la raie fessière. Lucie sentait le regard de la vicieuse tatie, braqué sur son intimité, un doigt força son anus :

— Toi aussi je suis sûr que tu as apprécié ma petite gâterie d’hier soir.

Lucie était morte de honte, mais elle se laissait faire, soudain elle poussa un cri, la main d’Ingrid avait claqué sèchement sa fesse droite :

— Toi aussi tu as le popotin un peu trop pâle, ne t’inquiète pas je vais le colorer un peu.

Ce fut une petite fessée, claquante mais pas trop cuisante, Lucie se releva le rouge aux joues, mais légèrement excitée. Elle passa sa main sur son derrière ce qui fit sourire la coquine tatie :

— Ça chauffe un peu ? C’est fait pour ça ma chérie.

Puis elle claqua dans ses mains :

— On va déjeuner, la vue de vos petites fesses m’a donné faim. Vous relevez vos nuisettes pour vous asseoir.

Elle avait dit ça tranquillement, comme si c’était une évidence que les deux jeunes femmes qui lui faisait face soit assise directement sur leurs fesses nues. Alice fit ça naturellement, elle avait l’habitude des petites manies perverses de sa tante, Lucie l’imita elle commençait à comprendre comment fonctionnait Ingrid.

Le petit déjeuner fut agréable, Alice et Lucie avaient oublié leur tenue et Ingrid était de charmante humeur. Elle indiqua à sa nièce qu’elle devrait aller au marché dans la matinée, elle regarda Lucie d’un air gourmand :

— Tu vas rester avec moi ce matin, j’ai quelques projets.

Lucie se sentit rougir.

Ingrid les traitait vraiment comme si elles étaient des adolescentes, elles durent débarrasser la table et aller faire leur toilette :

— Vous rangez bien votre chambre, j’irai vérifier et gare à vos fesses si elles sont en désordre, ensuite à la douche et lavez bien vos fesses, elles en ont certainement besoin, coquine comme vous êtes.

Elle avait dit ça en riant. Lucie ne trouva pas cette allusion très drôle.

Elle en fit la remarque à sa copine dès qu’elles furent seules :

— Elle s’occupe aussi de ton hygiène intime ? On a plus l’âge.

Alice ne semblait pas spécialement perturbée :

— Bof, tu sais on s’y fait vite, je sais que quand j’arrive ici je perds beaucoup de mes prérogatives d’adulte, mais tu sais tatie est vraiment câline à part ça.

Elle continuait de discuter dans la chambre sans se soucier du temps qui passait, soudain Ingrid apparu :

— Mais qu’est-ce que c’est que ces histoires, vous n’êtes pas encore lavées ?

Alice se mordit les lèvres et rougit :

— Oh pardon tatie, on ne s’était pas rendu compte, j’y vais de suite.

— Je vais m’occuper de vous, petites chipies, enlevez-moi vos chemises de nuit et dans la salle de bain, vite !!

Lucie la regarda interloquée, pendant qu’Alice sans un mot faisait passer sa nuisette par-dessus sa tête et se retrouvait toute nue. Ingrid se tourna vers la jeune femme :

— Lucie, tu n’as pas entendu ? Il faut que je t’aide ?

Le ton était sans appel, elle hésita juste un peu trop, déjà Ingrid s’était approchée et avait soulevé la courte chemise de nuit, la main claqua sèchement les rondeurs :

— Tu devrais savoir que j’aime qu’on m’obéisse rapidement, mes fessées d’hier n’ont pas suffi ?

Lucie poussa un cri et sautilla sur place :

— Aïe, aïe… oui, oui, pardon tatie.

La sévère matrone avait saisi l’ourlet de la nuisette et l’avait retroussée très haut pour la faire passer par-dessus la tête, Lucie se retrouva à son tour nue comme un vers :

— Quand c’est moi qui déshabille, j’ajoute toujours une petite note personnelle.

Ingrid coinça la jeune femme contre sa hanche et la fit pencher en avant, une courte mais magistrale avalanche de claques dégringola sur le fessier tendu. Lucie se mit à piailler comme une gamine, ses fesses étaient encore sensibles après les diverses corrections de la veille, la cuisson se réveilla rapidement. Ingrid la relâcha, Alice souriait, le derrière de sa copine était vraiment mignon et pour une fois que ce n’était pas elle qui se prenait une déculottée. Lucie avait les larmes aux eux, décidément ce week-end était beaucoup plus cuisant que ce qu’elle avait imaginé, elle frotta ses fesses en reniflant, Ingrid administra une nouvelle claque sur sa croupe rougie :

— Tu frotteras tes fesses plus tard, maintenant tu files à la salle de bain.

Les deux jeunes femmes quittèrent la chambre suivie par Ingrid qui se régalait de voir les deux mignonnes paires de fesses ballottant devant elle. Le derrière rouge de Lucie était particulièrement appétissant, elle comptait bien le déguster dans la matinée. Arrivée dans la salle de bain, elle désigna la baignoire à Lucie :

— Monte là, je vais m’occuper de ta toilette puisque tu te comportes comme une gamine.

Celle-ci la regarda ébahie, elle aurait voulu protester, mais la cuisson de sa croupe l’incitait à la prudence, elle enjamba la baignoire. Sans tarder, la sévère tatie empoigna le pommeau de la douche et sans se soucier de la température de l’eau, elle dirigea le jet sur la jeune femme, celle-ci sursauta ;

— Olala, c’est froid tatie.

Ingrid se mit à rire et elle continua à asperger Lucie :

— Ça t’apprendra, tourne-toi, je vais te rafraîchir les fesses.

Le jet dirigé sur la croupe rougeoyante était un peu moins froid, Lucie sautillait sur place, mais elle n’osait pas se dérober, Ingrid coupa l’eau et prit un gant de toilette :

— Penche-toi et écarte les jambes que je te débarbouille, tu vas avoir un derrière tout propre.



Lucie était humiliée d’être traitée comme une gamine, mais l’autorité naturelle de la sévère tatie l’empêcha de protester, elle s’exécuta. Finalement Alice avait raison elle s’habituait à être ramenée en enfance, le gant glissait entre ses cuisses puis remontait dans la raie fessière, Ingrid écarta les deux globes jumeaux et frotta énergiquement l’entre-fesse, elle s’attarda ensuite sur les lèvres et la vulve provoquant une excitation chez la jeune femme. Puis elle reprit le pommeau et rinça abondamment :

— Maintenant tu sors, tu mériterais que je te sèche le derrière avec une bonne fessée.

Elle avait accompagné sa phrase d’une claque sèche sur le fessier mouillé, Alice était aux anges, Lucie était ravissante avec son air de gamine punie et son derrière écarlate. Mais c’était maintenant son tour, sa tante lui claqua les fesses pour l’inciter à enjamber la baignoire :

— Allez en piste et tu me présentes bien ton derrière toi aussi.

La croupe rebondie de sa nièce fut nettoyée avec la même énergie et pour faire bonne mesure, Ingrid lui administra une vingtaine de claques sur les fesses mouillées ce qui la fit gémir trépigner sur place :

— Aïe, aïe, non, non tatie, ça brûle, c’est pas juste, je n’ai rien fait.

La fessée repris immédiatement :

— Comment ça tu n’as rien fait ? Tourne-toi mieux que je voie bien tes fesses. Tu vas voir comme je vais t’apprendre, quand je dis d’aller se laver il faut y aller de suite. Tu la sens cette fessée !

La croupe était maintenant écarlate, la correction sur la peau humide était beaucoup plus douloureuse, Lucie compatissait un peu, mais c’était quand même une petite compensation.

Alice sortit à son tour de la baignoire, les larmes coulaient sur ses joues, Ingrid lui tendit une serviette, elle s’en saisit un peu brusquement au goût de sa tante :

— Ah c’est comme ça, eh bien tu l’auras cherché celle-là.

Elle reprit la serviette, s’installa sur un tabouret, posa le linge sur ses genoux et prit la main de sa nièce qu’elle fit basculer en travers de ses cuisses.

— Tu n’auras pas besoin de serviette pour te sécher le derrière, je te le garantis !

La fessée crépita dans la salle de bain accompagnée par les cris de la punie qui battait désespérément des jambes.



Lucie était impressionnée, elle ne regrettait pas de s’être laissée faire. Maintenant Alice était à nouveau sur ses pieds, de grosses larmes coulaient sur ses joues, même si elle était habituée à la sévérité de sa tatie, elle trouvait que c’était quand même un peu injuste. Elle venait de se prendre une bonne grosse fessée déculottée devant sa copine alors que c’était de la faute à Lucie si elles avaient été en retard pour se laver.

Ingrid leur indiqua la sortie :

— Vous allez dans vos chambres, j’arrive pour vous habiller.

Lucie était complètement éberluée par la tournure prise par les événements, elle était devenue sans qu’elle lui demande son avis, la nièce d’Ingrid et elle ne la traitait pas moins sévèrement qu’Alice. Elle suivit celle-ci et son derrière écarlate, si elle n’avait pas été si inquiète de la suite de la journée, le spectacle des deux bonnes fesses joufflues de sa copine, l’aurait émoustillée. Dès qu’elles furent dans la chambre, Ingrid ouvrit le placard, elle choisit une jupe bleu marine et un chemisier blanc. Alice fit une petite grimace qui fit sourire sa tante :

— Tu ne l’aimes pas, elle est trop courte ?

Lucie avait effectivement remarqué que c’était plutôt une jupette qu’un vêtement de dame de presque quarante ans. Ingrid la tendit à sa nièce :

— Aujourd’hui ça sera ras des fesses, ça t’apprendra à faire des manières pour ta toilette. Enfile là que je voie à quoi tu ressembles.

Alice ne discuta pas, elle savait que c’était inutile, la cuisson de son derrière le lui rappelait, elle enfila la jupette. Elle ne couvrait que dix centimètres des cuisses, c’était sexy en diable, mais pas très adapté pour aller faire des courses. Ingrid avait pris une culotte blanche avec des petits pois rouges, elle la donna à Alice en souriant :

— Tu as quand même le droit de couvrir tes jolies fesses.

La jeune femme ne se fit pas prier, elle avait les joues bien rouges, la sévère tatie la fit pivoter et souleva la jupette :

— Elle te va comme un gant, tu es toute mignonne habillée comme ça.

Ce n’était visiblement pas l’avis d’Alice, mais Ingrid n’en avait que faire. Résignée sa nièce finit de s’habiller. Lucie était d’accord avec la tatie, son amie était à croquer, cependant quand Ingrid lui tendit une jupe de la même taille, mais encore plus évasée, son sourire se figea.

Le sourire de la sévère tatie l’encouragea, de toute façon, elle n’avait pas vraiment le choix, la jupe était si courte, qu’elle avait l’impression d’avoir les fesses à l’air, c’était presque le cas puisqu’elle ne portait pas encore de culotte.

Elles étaient habillées toutes les deux maintenant, on aurait dit des gamines se préparant pour l’école. Lucie jeta un œil dans la glace, sa tenue était vraiment un appel à galipettes et autres activités érotiques, elle se rappela ce qu’Alice lui avait raconté à propos de sa tante « Tatie a toujours préféré les dames ».

Elle regarda Alice et se demanda si Ingrid voulait vraiment l’envoyer faire le marché dans cette tenue, elle eut la réponse rapidement :

— Ursula sera contente de te voir depuis le temps qu’elle me demande de tes nouvelles.

Lucie s’enquit de savoir qui était cette dame.

— C’est une amie hollandaise qui est maraîchère et qui vend directement ses légumes, elle propose de nombreux autres produits avec d’autres dames, c’est comme un marché, mais en plus intime.

Lucie comprit à demi-mot que les amies en question devaient avoir la même orientation sexuelle et la même attirance qu’Ingrid pour les plaisirs claquants, car elle ajouta à l’attention de sa nièce :

— Tâche d’être mignonne, tu sais qu’Ursula à mon autorisation pour te déculotter si c’est nécessaire. Tu prends ton temps, je vais m’occuper de Lucie en ton absence.

C’était une allusion assez explicite aux envies de sa tatie, Alice regarda son amie avec un petit sourire en coin. Lucie ne savait pas qu’en penser, dès qu’elles furent seules, Ingrid l’a pris par l’épaule et l’entraîna dans sa chambre :

— Viens un peu avec moi ma petite chérie, je voudrais vérifier quelque chose.

Elle avait un air coquin qui n’échappa pas à la jeune femme, depuis quelque temps elle avait pris goût aux relations saphiques, mais c’était toujours à son initiative et avec des dames de son âge. Elle regarda un peu mieux la tante d’Alice, malgré ses soixante-dix ans elle était bien conservée, son fessier notamment paraissait encore appétissant. La main de la dame d’âge mûr, se glissa sous la jupe de Lucie :

— Je ne pense pas que tu aurais dû remettre une culotte ma chérie, la jeune femme ne put s’empêcher de rougir.

Les doigts experts s’insinuèrent rapidement sous la lingerie et glissèrent sur la vulve, puis elle embrassa la nuque de Lucie :

— On va aller vérifier tout de suite tes petits trésors ma chérie.

Lucie n’était plus une oie blanche, mais c’était elle qui habituellement prenait l’initiative, elle était déstabilisée par l’âge d’Ingrid. Celle-ci la coucha sur le lit et la déculotta immédiatement, les doigts caressaient l’intimité de la jeune femme, la cyprine coulait :

— Tu aimes ça petite coquine.

Elle se pencha et ses lèvres embrassèrent goulûment la vulve gonflée, Lucie haletait et se laissait faire. Ingrid se releva et se déshabilla rapidement, elle avait fait glisser sa culotte sur sa croupe, Lucie avait vu juste, elle avait encore un magnifique fessier. Elle s’était tournée pour lui présenter sa croupe, elle souriait :

— Tu vois ma petite Lucie, ta tatie te montre aussi ses fesses, tu aimerais les rougir ?

Lucie était de plus en plus excitée, elle ne savait pas où Ingrid voulait en venir, elle se hasarda à tendre sa main pour caresser le beau derrière tendu vers elle, la sévère tatie se laissa faire et tortilla suggessivement ses fesses. Elle s’agenouilla sur le lit et posa sa tête sur la couverture son plantureux fessier pointait vers le ciel, ses cuisses légèrement écartées montraient son intimité, Lucie était sidérée par l’impudique tableau, elle avait une envie irrépressible de claquer l’orgueilleuse croupe, mais elle se retint :

— Lèche-moi ma chérie, applique-toi et fais-moi jouir.

Malgré son âge, Ingrid avait encore des besoins sexuels, Lucie la combla au-delà de ses espérances, elle se mit à gémir rapidement, Lucie était devenue experte en plaisirs féminins et même si elle adorait administrer la fessée, ce genre de divertissement était tout à fait à son goût. Elle amena sa sévère maîtresse jusqu’à la jouissance, puis Ingrid inversa les rôles, ce fut au tour de la jeune femme de lui présenter sa croupe, elle joua de sa langue avec dextérité :

— Ma chérie tu es vraiment très douée, mais tu vas voir c’est encore mieux avec les fesses rouges.

— Elle souleva Lucie et la coucha sur ses genoux pour lui administrer une magistrale fessée, puis elle l’a remis en position à quatre pattes sur le lit les fesses écarlates bien présentées et elle recommença son manège. Curieusement Lucie avait apprécié cette fessée qui avait été pourtant sévère et sa jouissance en fut décuplée.

Elle était maintenant couchée l’une à côté de l’autre, Lucie osa la question qui lui brûlait les lèvres :

— Tu as raison tatie, c’est encore mieux avec les fesses brûlantes, tu n’as jamais essayé ?

Ingrid la regarda en souriant :

— Bien sûr que si. Mais je…

Elle n’osait pas continuer, Lucie avait compris à demi-mot, elle s’assit et tapota ses cuisses :

— En position vilaine fille.

La sévère tatie, sans un mot, les joues rouges, se glissa en travers des cuisses de la jeune femme. Elle était en tenue, les fesses présentées à sa jeune maîtresse, Lucie ne retint pas sa main, Ingrid reçu ce jour-là une de ces fessées qui compte dans une vie. Elle hurla, ses fesses semblaient bondir au-devant de la main, elles s’ouvraient largement, mais à aucun moment elle n’essaya de se protéger ou chercha à se dérober à l’avalanche de claques. Son beau derrière était écarlate quand la correction prit fin, le visage baigné de larmes elle se tourna vers Lucie et murmura :

— Merci ma chérie.

Lucie la fit remettre en position le nez dans les coussins, les fesses tendues vers le ciel et elle la fit jouir une deuxième fois.

Elle était maintenant allongée sur le ventre, elle râlait de plaisir, sa croupe rougie exposée à sa jeune maîtresse, Lucie aurait voulu aller plus loin, mais Ingrid était encore la sévère tatie. Elle se retourna et fit un petit clin d’œil à la jeune femme :

— Merci ma chérie. Ça t’a plu de me flanquer une bonne fessée déculottée on dirait ?

Lucie rougit légèrement, c’était vrai qu’elle avait pris un réel plaisir à lui administrer cette fessée, mais la différence d’âge et les passages cuisants sur les genoux d’Ingrid la gênait un peu.

Elle n’eut pas le temps de répondre que déjà elle était à nouveau couchée en travers des cuisses de son amante. Elle lui écarta les fesses largement et titilla son anus :

— Tu as eu raison d’en profiter ma chérie, mais tu vas le payer.

On ne fesse pas tatie Ingrid impunément, le derrière de Lucie s’en rendit vite compte, la première fessée avant la galipette n’était qu’un petit échauffement à côté de la correction qu’elle lui administra. Cependant elle était tellement excitée qu’au milieu de ses gémissements et de ses pleurs elle se mit à jouir sous l’avalanche de claques qui lui brûlait la croupe. Ingrid la laissa se calmer, puis elle écarta à nouveau les deux hémisphères écarlates :

— Tatie va te donner ton petit dessert ma chérie.

Lucie sentit le suppositoire pénétrer, puis rapidement la brûlure lui envahir le fondement, elle se mit à se tortiller frénétiquement :

— Ça brûle tatie, noon…

Ingrid se mit à rire :

— Tu as vraiment le feu aux fesses ma petite chérie, j’adore voir ton petit cul se trémousser comme ça, ces suppositoires au gingembre sont vraiment épatants.

Elle tapota la croupe cramoisie :

— Allez debout, la récréation est terminée, Alice ne va pas tarder.

Elle se rhabilla, Lucie également, mais Ingrid l’arrêta au moment où sa culotte allait enfin cacher ses fesses :

— Non, non tu restes cul nu ma chérie, il faut qu’on voie tes jolies fesses bien rouges.



Lucie la regarda un peu surprise, Ingrid la fit pivoter et lui coinça la jupe dans la ceinture et lui claqua le derrière, la culotte était restée sous les fesses :

— Allons-y, tu vas aller te mettre au coin en attendant qu’elle arrive.

Lucie s’exécuta sans dire un mot, décidément Ingrid ne se lassait pas de punir et d’admirer les jolies fesses.


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