mercredi 5 février 2025

Deux étudiantes 31

 Fin de semaine cuisante



La vie était maintenant parfaitement réglée dans l’immeuble ainsi que chez Claudine et Ingrid. Tout le monde obéissait au doigt et à l’œil à Momy Laetitia. Elle était secondée dans sa tâche par son amie Julie qui n’était pas moins sévère qu’elle. De temps en temps quand il y avait trop de paires de fesses à corriger elle demandait à sa jeune sœur Chloé de l’aider, celle-ci ne se faisait pas prier, depuis son enfance elle avait été soumise à une stricte discipline par ces dames, les déculotter pour leur flanquer une bonne fessée était une douce revanche.

Cependant les deux assistantes n’intervenaient que sous la stricte supervision de momy et elles n’étaient pas à l’abri de se retrouver à leur tour sur ses genoux la culotte baissée et les fesses bien rouges.

Nous étions en fin de semaine, elle avait été cuisante comme souvent. Le vendredi soir Laetitia contrôlait les carnets de punition des dames, Julie et Chloé étaient présentes. Depuis que Claudine faisait partie des pupilles, c’était cinq carnets qu’il fallait vérifier avec bien sûr les sanctions à suivre.

Claudine et ses deux filles se tenaient droite, leur carnet à la main, à leur côté Brigitte et Suzanne n’en menaient pas large non plus. Laetitia était assise à la table, Julie et Chloé installées à ses côtés. Chacune à leur tour les dames venaient déposer leur carnet de punition devant la sévère jeune femme qui leur souriait, puis elles se retournaient et retroussaient leur jupe. C’était un spectacle très excitant pour les trois jeunes femmes que de contempler cette brochette de cinq fessiers culottés, on devinait les fesses serrées sous la lingerie, elles tenaient leur jupe relevée et ne disaient pas un mot.

Sans se presser Laetitia feuilletait l’un après l’autre les carnets rouges, elle comptait le nombre de punitions reçues pendant la semaine et notait la sanction encourue. Elle avait établi un barème : De trois à six fessées la fautive recevait une fessée déculottée à la brosse à cheveux et vingt coups de martinet, de sept à dix fessées, elle avait droit à une deuxième fessée avec un autre instrument suivi de trente coups de martinet, au-delà de dix fessées, elle rajoutait une troisième fessée et quarante coups de martinet supplémentaire.

La soirée se terminait par la mise en place du thermomètre pour toutes les punies sauf pour celle qui avait reçu plus de dix fessées, elle avait droit au plug de gingembre. La durée de la pénitence variait selon l’humeur de la sévère momy.

Les cinq pupilles n’avaient pas été très sages ou peut-être que momy avait été particulièrement exigeante, toujours est-il que Brigitte, Suzanne et Irène avaient reçu plus de sept fessées, quant à Claudine et Odile leur cas était grave, la mamie avait reçu quatorze fessées et sa fille douze.

— Tournez-vous vilaines filles !

Laetitia avait son regard sévère qui ne présageait rien de bon pour les derrières des cinq dames. Elles auraient toutes du mal à s’asseoir, seulement le lendemain pour les trois premières, mais certainement les jours suivants pour mamie et maman.

— Je ne vous félicite pas, je ne sais pas si vous aimez vous faire déculotter pour recevoir la fessée, mais c’est à croire. Vous connaissez le tarif, on va commencer par vous échauffer le derrière, Julie tu vas t’occuper des fesses de maman, Chloé de celles de mamie, quant à moi je vais rougir celles des trois autres chipies.

Elle se leva et frappa dans ses mains :

— Allez on se dépêche un peu. En place !

Comme dans un ballet bien réglé, les deux jeunes assistantes se levèrent également et disposèrent les chaises en arc de cercle.

Odile était ulcérée de devoir se soumettre à Julie, cette petite était perverse, elle avait déjà eu affaire à elle et ses corrections étaient toujours très sévères et puis passe encore de recevoir une fessée de sa fille, elle commençait à s’y habituer et elle était résignée à subir sa nouvelle condition, mais Julie était une étrangère et elle était si jeune.



Claudine en entendant Laetitia annoncer que ce serait Chloé qui la punirait, n’en avait pas cru ses oreilles, ça serait la première fois et c’était vraiment humiliant à soixante-dix ans de se faire déculotter par une gamine de dix-sept ans. Elle jeta un regard vers la jeune fille, celle-ci avait l’air vraiment ravie du cadeau que lui faisait sa sœur, elle gardait un souvenir cuisant d’une punition publique administrée par sa grand-mère au cours d’un repas du dimanche, elle allait lui rendre la monnaie de sa pièce.

Laetitia regardait d’un air gourmand les trois autres punies, par qui allait-elle commencer, ces trois dames avaient toutes de beaux fessiers, le plus plantureux était celui de Brigitte, elle décida de le garder pour la fin. Ingrid ne s’habituait pas à son nouveau statut de pupille de sa nièce, on la sentait nerveuse, elle baissait la tête et dansait d’un pied sur l’autre, la jeune femme décida de s’occuper d’elle en premier, une bonne déculottée allait la calmer rapidement.

Les trois fesseuses commençaient à avoir l’habitude de s’occuper de dames plus âgées et de la façon de rendre ces punitions encore plus humiliantes, la première chose à faire était de les saisir par l’oreille comme si elles étaient redevenues des gamines. Chloé tira avec entrain le lobe de l’oreille de sa mamie :

— Viens un peu par là que je m’occupe de ton bon gros derrière.

Claudine gémit, la jeune fille n’avait pas hésité à tirer fortement pour l’amener vers la chaise où elle s’installa. La mamie avait les joues très rouges, être traitée de la sorte avait quelque chose de surréaliste, mais la réalité la rattrapa rapidement quand elle se retrouva couchée en travers des cuisses de sa petite-fille, celle-ci lui tapota les fesses sur la jupe :

— Tu es bien installée mamie ?

Elle avait dit ça en riant. Pendant ce temps Julie avait fait de même avec Odile et lui avait retroussé immédiatement la jupe, elle lissait la culotte tendue sur le large fessier :

— Voilà une bonne paire de fesses, détends-toi ma chérie.

Ingrid avait pleurniché quand sa nièce lui avait saisi l’oreille, ce qui lui avait valu une bonne claque sur le derrière et un commentaire sarcastique de Laetitia :

— Gardes tes larmes pour tout à l’heure, je n’ai pas encore commencé à m’occuper de tes fesses ma grande.

Les deux dernières punies regardaient le spectacle, bientôt viendraient leur tour, elles se demandaient si ce n’était pas mieux de recevoir en premier sa correction, l’attente était angoissante. Laetitia était la maîtresse de cérémonie :

— On va mettre à l’air ces derrières.

Les trois paires de fesses encore blanches apparurent, quels régals pour ces trois jeunes femmes que de déculotter ces dames d’âges mûr, les fines lingeries furent baissées à mi-cuisse afin de bien dégager la surface à corriger. Les derrières étaient contractés par l’angoisse du châtiment imminent et les raies fessières bien serrées dans l’attente de la première claque :

— Une petite fessée d’échauffement pour réveiller ces dames et ensuite la brosse.

Laetitia leva la main et donna le signal du début de la soirée, elle allait être sonore et cuisante.

La petite fessée d’échauffement annoncée se révéla être une vraie correction et quand les brosses à cheveux entrèrent en action les croupes étaient déjà bien rouges. Le ballet des jambes battant l’air, les fesses cramoisies se serrant et s’ouvrant au milieu des cris et des pleurs des trois punies, tout cela n’était pas très rassurant pour Suzanne et Brigitte qui assistaient au spectacle.

Quand la fessée cessa, elles coincèrent les jupes dans la ceinture pour laisser les fesses bien visibles, les culottes étaient au niveau des genoux :

— Mettez vos mains sur la tête pendant la punition de Suzanne et Brigitte, vous pouvez regarder puisqu’elles ont vu vos jolies fesses.

La première à goûter à la sévérité de la momy fut Suzanne, l’ex-gouvernante offrit une danse des fesses en tout point comparable à celle de ses trois compagnes, elle brailla comme quand elle était une jeune employée d’hôtel couchée sur les genoux de sa supérieure. 



À ce moment précis, elle avait oublié que sa fesseuse n’avait que vingt ans, le derrière brûlant, les joues noyées de larmes, elle se plaça ensuite à côté des autres fesses rouges.

Le visage de Brigitte se décomposait au fur et à mesure que les punitions se succédaient, Laetitia semblait en forme ce soir, son derrière était de plus en plus crispé sous sa culotte, s’ajoutait à la crainte de la correction, la honte d’être la dernière à recevoir la fessée et d’avoir donc sept paires d’yeux braqués sur ses fesses nues et bien rouges.

La première partie de la punition était maintenant terminée, cinq croupes écarlates ornaient le mur du salon, les trois jeunes fesseuses papotaient joyeusement, Chloé était enthousiaste :

— Mamie a vraiment une paire de fesses magnifique pour son âge, c’est un vrai régal de lui donner la fessée, regardez-moi ça comme il est beau son gros derrière bien rouge.



Elle se leva et tapota les fesses de sa grand-mère, puis glissa ses doigts entre les deux larges fesses pour les écarter :

— Alors mamie, elle t’a plu la bonne fessée déculottée de ta petite Chloé, tu as vu comme ça brûle ?

Laetitia souriait, elle devinait la honte que devait ressentir cette dame de soixante-dix ans contrainte à cette exposition humiliante :

— Ça c’est sûr qu’elle ne doit pas avoir froid aux fesses, mais avec toutes les bêtises de la semaine, elle n’a pas fini de tortiller son derrière.

Trois martinets étaient posés sur la table, en plus de celui accroché en permanence dans la cuisine, Laetitia avait demandé à Brigitte et à Suzanne d’apporter le leur, la honte de monter ou descendre les escaliers en tenant l’instrument de leur future punition, c’était ajouté à la crainte de ce qui allait suivre.

La momy se leva et désigna les instruments :

— Vingt coups sur chaque derrière, vous gardez votre punie ?

Les deux jeunes assistantes se levèrent et allèrent prendre les martinets, Laetitia claqua dans ses mains :

— Maman, mamie et tatie vous venez ici !

Elle désigna les trois chaises.

— Vous posez vos mains là et vous tendez bien vos derrières, vite !

Les trois belles croupes des deux filles et de leur mère étaient parfaitement exposées, les lanières cinglèrent immédiatement et les trois dames se mirent à piailler comme des gamines en trépignant sur place. Vingt coups de martinet c’est assez rapide, sitôt les trois punies relevées, elles regagnèrent le mur, Suzanne et Brigitte les remplacèrent. Chloé et Julie se chargèrent de la fessée au martinet.

Nous n’en étions qu’au début de la soirée, mais les croupes étaient déjà très rouges et douloureuses. Laetitia décida de laisser refroidir les derrières, elles se désaltèrent et se moquèrent gentiment des cinq dames qui recevaient encore la fessée cul nu malgré leur âge.

Après la deuxième série de fessée administrée avec des babouches en cuir que la jeune momy avait acheté spécialement pour ça, les punies pleuraient abondamment, surtout que Laetitia ne leur avait pas fait cadeau de la correction avec le martinet, celle-ci avait été appliquée dans la foulée. Suzanne, Ingrid et Brigitte en avaient fini avec la cuisson de leur derrière, ce n’était pas le cas d’Odile et de Claudine.

Les cinq paires de fesses étaient alignées contre le mur, la jeune femme interrogea ses deux comparses :

— Ces deux chipies ont vraiment été intenables cette semaine, deux fessées par jour pour mamie et presque autant pour maman, je pense qu’il faut que je sois plus sévère pour qu’elles s’en souviennent, de toute façon avec leur bon gros derrière il n’y a rien à craindre, elles auront juste du mal à s’asseoir pendant quelques jours.

Julie approuva en riant :

— Ça c’est sûr qu’elles sont toutes les deux bien fournies, elles penseront à toi chaque fois qu’elles poseront leurs fesses sur une chaise.

Les deux dames étaient vraiment inquiètes en entendant Laetitia, elles étaient mains sur la tête, le nez bien collé contre le mur. La jeune femme se leva et palpa les deux fessiers rougeoyants :

— Ils sont bien chauds, on va attendre un peu avant la dernière fessée, c’est plus efficace quand la peau refroidit, elles sentiront mieux les claques.

Odile se rendit compte que sa fille avait bien retenu ses leçons, elle espaçait toujours les fessées pour que les punies en ressentent mieux les effets.

La jeune femme s’était levée pour prendre les thermomètres :

— En attendant les trois autres donzelles vont se prendre le thermomètre dans les fesses, je vous laisse choisir celle qui vous plaît.

Chloé se dirigea vers Brigitte, celle-ci lui donnait toujours des cours et elle ne se gênait pas pour la trousser et la déculotter, lui placer un thermomètre dans le derrière serait une petite vengeance. Bien sûr, Julie choisit sa pupille préférée, elle était amoureuse des fesses de Suzanne qui étaient restées appétissantes malgré ses soixante-cinq ans. Laetitia n’était pas mécontente de s’occuper du bon derrière de sa tante, celle-ci quand la situation n’avait pas encore évolué à son avantage, savait se montrer sévère avec elle, combien de fois l’avait-elle corrigée devant ses cousines pour un motif futile. Une fois les punies en position en travers des genoux des trois jeunes femmes, la momy leur donna les instructions :

— Allez-y doucement, mais il faut le mettre profondément quand même, elles vont le garder un moment.

Puis elle s’adressa aux dames :

— Vous avez déjà les fesses bien rouges, je vous conseille de ne pas les serrer, si vous ne voulez pas en reprendre une.

En écartant les fesses de sa tante, elle songea à ses cousines, elles n’étaient pas encore au courant du nouveau statut de leur mère, il faudrait songer à lui administrer une fessée cul nu devant ses filles, ça lui ferait le plus grand bien.

Chloé avait posé le thermomètre et administrait une énième fessée à la professeure et elle la grondait comme si elle avait quinze ans :

— Ah je vais t’apprendre à obéir ma petite Brigitte, si tu n’as pas les fesses assez chaudes, tu n’as qu’à demander.

Quand les trois fessiers furent garnis, elles gardèrent les punies dans cette humiliante position tout en discutant, Laetitia jetait de temps en temps un coup d’œil sur les deux croupes exposées contre le mur. Au bout d’un quart d’heure, elle tapota les fesses d’Ingrid :

— Allez debout, on va vous installer pour la pénitence.

Suzanne et Brigitte durent chacune s’allonger sur l’un des accoudoirs du canapé, quant à Ingrid, elle fut installée sur un pouf, les fesses bien surélevées. Elles ne savaient pas combien de temps elles allaient rester là, mais les expériences des semaines précédentes les incitaient à penser qu’elles en avaient pour un moment à exposer ainsi leur derrière avec le thermomètre bien enfoncé en son centre.



Laetitia appela sa grand-mère et sa mère :

— Venez ici les vilaines !

Elle tenait à la main un paddle en bois percé de trous :

— Regardez ce que j’ai acheté pour s’occuper de vos bons gros derrières, il est lourd et ça va vous cuire. Je vous garantis que vous allez vous en rappeler longtemps et si vous continuez comme ça, la prochaine fois vous aurez droit aux orties.

Les deux dames baissaient la tête en rougissant, cette jeune femme qui se trouvait être leur fille et petite-fille était vraiment d’une intransigeance digne d’une directrice d’un pensionnat anglais des années cinquante.

Les deux autres jeunes femmes regardaient les deux punies, elles savaient que Laetitia se réservait la dernière correction, c’était son privilège de momy, elles s’installèrent chacune dans un fauteuil pour assister au spectacle, la jeune maîtresse les avait déjà bien gâtées en leurs confiants les fessiers de Claudine et d’Odile.

Ce fut la maman qui bascula en premier sur les genoux de sa fille, avant de commencer la correction elle caressa les fesses, elles étaient encore rouges et chaudes, mais pas brûlantes, elle souriait intérieurement « Tu vas la sentir maman chérie, la bonne fessée de ta petite Laetitia, tes bonnes grosses fesses sont juste à point ». Le paddle claqua sèchement et Odile poussa un cri, effectivement la peau était redevenue très sensible et la fessée fut particulièrement douloureuse.

Laetitia ne se préoccupait pas des pleurs et des supplications de sa mère, ni de ses battements de jambes et de l’aspect de ses fesses qui devenaient de plus en plus rouges. Elle était concentrée sur sa tâche, même si elle adorait administrer la fessée, elle prenait son rôle « d’éducatrice » au sérieux, sa mère avait mérité d’être sérieusement punie, elle le serait.

La punition terminée, elle garda un moment la pauvre Odile couchée sur ses genoux, le temps qu’elle se calme, elle put ensuite se relever et rejoindre le mur, Laetitia remonta à mi-cuisse la culotte qui était enroulée autour des chevilles, sans qu’elle ait eu besoin de le lui dire, la mère de famille avait posé ses mains sur sa tête, elle continuait de pleurer abondamment, la momy lui administra une claque sur le fessier brûlant :

— Pleure en silence ! Tu n’as eu que ce que tu mérites !



Seul le haussement des épaules et la contraction spasmodique des fesses continuèrent. Déjà la jeune femme avait saisi l’oreille de sa grand-mère :

— À nous deux ! Quatorze fessées ! C’est quand même incroyable qu’à ton âge, je sois encore obligée de te déculotter deux fois par jour pour te faire obéir. Mais je te garantis que je ne vais pas céder, ton bon gros derrière va te cuire longtemps, je te le promets.

Pendant cette diatribe, elle avait installé Claudine en travers de ses cuisses, la dame de soixante-dix ans qui en avait administré tellement des fessées déculottées, n’en menait pas large à ce moment. Le ton employé par sa petite-fille, sa position et sa tenue avait d’un seul coup gommé tout différence d’âge. Les deux spectatrices non plus ne semblaient pas surprises, c’était somme toute un épisode de discipline familial classique qui se déroulait devant leurs yeux.

Claudine se mit à piailler comme une gamine dès que le lourd paddle atteignit son fessier, la correction fut aussi sévère que celle reçue par sa fille. Laetitia adorait fesser sa grand-mère, malgré son âge elle avait gardé des fesses bien fermes et puis leur volume était conséquent, de quoi régaler une amatrice de popotin. Le derrière en question était cramoisi et la mamie pleurait toutes les larmes de son corps, elle fut installée à côté d’Odile, puis Laetitia regarda ses deux complices :

— Voilà une bonne chose de faite, vous allez me préparer deux bons gros suppos de gingembre pour finir de corriger ces deux chipies.

Chloé et Julie ne se le firent pas dire deux fois, elles se dirigèrent vers la cuisine. La sévère momy jeta un regard circulaire sur les cinq fessiers écarlates disséminés dans la pièce, quel charmant spectacle offert par ces dames d’âge mûr. C’est vrai qu’elle était sévère, mais c’était somme toute pour leur bien, l’administration de fessées régulières entretenait la fermeté de leur croupe et leur comportement c’était grandement amélioré depuis l’instauration de ce régime strict et l’établissement de cette nouvelle hiérarchie dans l’autorité.

Bientôt elle allait écarter les fesses des deux chipies pour mettre en place le suppositoire au gingembre et ce soir elle finirait la punition en leur administrant une dernière fessée au martinet.



Demain ce serait au tour des deux étudiantes de lui présenter leur mignon petit derrière, Chloé et Julie passeraient de l’autre côté également, elles avaient aussi un carnet de punition.

Laetitia glissa sa main dans sa culotte pour se caresser, sa vie était un rêve éveillé.




4 commentaires:

  1. Quelle fin de semaine cuisante, les 5 chipies ont reçues ce qu'elles méritaient et leurs fessiers doivent être bien brulants. Vivement les fessées avec les orties et pourquoi pas avec une badine ou la cane ?
    Félicitations pour ce récit.

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    1. Merci ma chère Agnès, pour le moment je n'ai pas prévu de suite à ce récit. Vous pouvez retrouver la version complète et corrigée sur atramenta, je l'ai publié sous le titre "une éducation traditionnelle" auteur Sylvie Bouger https://www.atramenta.net/lire/une-education-traditionnelle/98850
      Vous pouvez également m'écrire directement sylviebouger50@gmail.com
      Sylvie

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  2. Des histoires qui claquent sur les fesses ! Les vilaines filles sont corrigés comme elles le méritent. Cela me donne des idées.

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Deux étudiantes 31

  Fin de semaine cuisante La vie était maintenant parfaitement réglée dans l’immeuble ainsi que chez Claudine et Ingrid. Tout le monde obéi...