jeudi 30 janvier 2025

Deux étudiantes 30

 La punition de Claudine



Laetitia rendait souvent visite à sa grand-mère et depuis qu’elle était devenue une maîtresse exigeante et sévère, les conversations avec Claudine avait pris du piquant. La mamie se régalait d’entendre sa petite-fille lui raconter par le menu comment elle corrigeait toutes ses pupilles.

Quand elle arriva chez Claudine, celle-ci était dans la cuisine :

— Installe-toi ma chérie, je finis de ranger et j’arrive.

Laetitia était assise sur le canapé quand elle avisa sur la table, une enveloppe barrée de tricolore. Elle était ouverte et depuis qu’elle gérait la vie de ces nombreuses “filles”, la jeune femme avait pris l’habitude de regarder leurs courriers. Sans gêne aucune, elle sortit donc la feuille de l’enveloppe, c’était une convocation du procureur de la république, intriguée la jeune femme entreprit de la lire en détail. Il en ressortait que Claudine s’était fait contrôler par la police et qu’elle conduisait en état d’ivresse. C’était très surprenant, elle remit l’enveloppe à sa place juste avant que Claudine arrive, elle lui fit une bise et s’installa en face d’elle :

— Alors ma chérie, tu as encore dû sévir ? Raconte-moi ça, laquelle de tes chipies a les fesses rouges ce matin ?

— Oh tu sais c’est un peu la routine, maman a pris sa fessée déculottée traditionnelle avant de partir au travail et je me suis occupée des deux étudiantes, elles sont parties en cours avec les fesses bien rouges et sans culotte.

Claudine se mit à rire :

— Privées de culottes ? ça alors… Remarque elles n’auront pas froid aux fesses après ta fessée. Et Odile ? Tu la fesses tous les matins ?

— À ça oui, je crois qu’elle en a encore besoin pendant un moment, il faut que ça rentre bien dans sa tête qu’à présent c’est moi la maîtresse. Et rien de mieux qu’un petit séjour sur mes genoux tous les matins, en fait je lui fais rentrer ça par les fesses.

La jeune fille s’était mise à rire également, Claudine se leva pour aller préparer le thé. Laetitia ne put s’empêcher d’admirer son fessier, une folle idée lui traversa l’esprit « ma petite mamie, je crois que tu va goûter toi aussi à la fessée de momy Laetitia ».

Quand Claudine revint portant un plateau elle pâlit en voyant le courrier officiel dans les mains de sa petite-fille, Laetitia la regardait sans sourire cette fois :

— Tu peux m’expliquer ce que c’est que cette lettre ?

Sa grand-mère la regarda, un peu déstabilisée par ce ton un peu sec. Elle ne put s’empêcher de rougir, Laetitia la regardait maintenant comme elle le faisait avec ses trois pupilles âgées, l’absence de réaction outragée de sa mamie l’encouragea à poursuivre dans son idée :

— Tu ne veux pas répondre ?

Claudine essaya de se ressaisir, elle releva la tête, ses joues étaient écarlates :

— Ben, tu vois, c’était le soir du beaujolais et je ne me suis pas rendu compte et puis ces flics, quels abrutis.

Laetitia la regardait fixement, elle siffla :

— C’est comme ça que tu parles ! Je te signale que c’est toi qui es en tort quand même !!

— Euh, oui tu as raison, mais…

— Mais quoi ? Tu ne te rappelles pas ce que tu m’as dit le jour où je t’ai dit qu’une copine s’était fait contrôler positive ?

Claudine s’en souvenait parfaitement, elle regardait sa petite-fille d’un air inquiet, elle n’allait quand même pas oser ?

— Puisque tu n’as pas l’air de t’en rappeler, je vais te rafraîchir la mémoire, tu m’avais dit : en plus de la suspension de permis, moi je lui flanquerais une bonne fessée déculottée, c’est tout ce qu’elle mérite.



Claudine essaya de plaisanter pour désarmer la tension qui devenait palpable :

— J’avais dit ça ? Décidément avec l’âge, on dit n’importe quoi.

Laetitia esquissa un sourire :

— Oui sans doute, sauf qu’à ton âge, on doit être encore plus responsable, tu ne penses pas ?

— Je, je… Mais enfin Laetitia, où veux-tu en venir ?

Claudine avait l’impression que le piège se refermait inexorablement, sa petite-fille lui paraissait tellement sûre d’elle.

— Où je veux en venir ? Oh mais c’est très simple mamie, je compte mettre en œuvre tes principes.

La jeune femme fixa sa grand-mère pour surveiller sa réaction. Ses joues étaient aussi rouges que les fesses d’Odile après sa fessée matinale, elle porta l’estocade :

— Tu mérites une bonne fessée déculottée et je vais donc te l’administrer.

La dame de soixante-dix ans la regarda stupéfaite :

— Mais enfin, Laetitia, tu n’y penses pas, je suis ta grand-mère tout de même !

— Oh si mamie, j’y pense vraiment, je crois que tu n’as pas le choix.

— Non !! Je ne veux pas !!

Claudine avait tapé du pied par terre, sans s’en rendre compte, elle se comportait comme une gamine. Laetitia s’était approché d’elle, elle lui fit un petit signe du doigt :

— Tu vas cesser ces simagrées immédiatement ! À moins que tu ne veuilles que toute la famille et tes amies sachent que tu as conduit en état d’ivresse et que tu n’as plus de permis de conduire.

Claudine baissa la tête et se tut, Laetitia pensa « qui ne dit mot consent », elle attrapa l’oreille de sa grand-mère comme si elle n’était qu’une adolescente :

— Viens un peu ici, je vais avoir une petite conversation avec tes fesses.

Claudine protesta doucement, mais elle ne résista pas :

— Non, non laetitia, s’il te plaît…

La jeune femme s’était installée sur une chaise et elle continuait de tirer l’oreille de Claudine :

— Allez ma grande, il fallait y réfléchir avant, maintenant c’est ton derrière qui va payer les pots cassés.

La sévère mamie qui avait déculotté tant de fessiers se retrouva rapidement dans une position très désagréable, la tête près du sol, les pieds décollés, la croupe tendue vers sa petite-fille, celle-ci ne s’embarrassa pas de fioritures, il fallait battre le fer tant qu’il était chaud. Elle retroussa la robe de Claudine, découvrant un large fessier tendu sous une culotte blanche assez couvrante et des bas autofixants, elle passa sa main sur la lingerie :

— Tu es bien installée mamie ? Ton derrière me parait un peu crispé.

Elle tapota la croupe, puis glissa ses doigts sous la culotte au niveau des cuisses pour découvrir la base des fesses :

— J’espère que tu as bien conscience de ce qui va t’arriver, tu l’as méritée cette fessée oui ou non ?

Claudine émit un petit gémissement, suivit d’un cri, la main de Laetitia venait de claquer la base des fesses et le haut des cuisses :

— Je t’ai posé une question !! As-tu mérité cette fessée oui ou non ?

— Aïe, aïe… Oui, oui je suis désolée.

Laetitia était ravie, même dans ses rêves les plus fous, elle n’aurait jamais imaginé avoir sa grand-mère ainsi couchée sur ses genoux, en parfaite position pour recevoir la fessée. En plus la chose s’était fait de façon tellement naturelle, la dame d’âge mûr installée en position disciplinaire ne protestait même pas, elle semblait accepter la situation. Elle glissa ses doigts dans la culotte et caressa les fesses :

— Tu en conviens donc ? Tu mérites une bonne fessée ?

— Oui… Oui…

La jeune femme commença à baisser la culotte :

— Une fessée déculottée ? N’est-ce pas mamie, c’est bien ce que tu avais dit ?

La septuagénaire se mit à gémir, la honte la submergeait, mais elle ne résistait pas, elle sentait sa culotte glisser sur sa croupe. Laetitia découvrait avec ravissement la magnifique paire de fesse de Claudine, elle était large et encore ferme, un peu comme celle d’Odile, la lingerie continua son chemin, elle avait décidé de la déculotter complètement afin de profiter du spectacle. La culotte s’arrêta au niveau des genoux, les fesses de la grand-mère étaient serrées par la honte et l’appréhension :

— Te voilà cul nu mamie, je te promets que tu vas regretter ton comportement, quand j’en aurai fini avec ton derrière je pense que tu n’auras pas envie de recommencer. Tu peux serrer les fesses, je te garantis qu’elles vont te cuire !



Elle leva la main et l’impensable se produisit, une jeune fille de vingt ans administrant une fessée déculottée à sa grand-mère, la différence d’âge avait disparu d’un seul coup. Claudine n’était plus qu’une punie gigotant et pleurant sur les genoux d’une sévère momy. La correction fut sévère, c’était sa première fessée déculottée, il fallait qu’elle s’en souvienne, après plus de trois cents claques généreusement distribuées sur le large fessier, celui-ci était écarlate. La mamie n’était plus qu’une dame éplorée suppliant sa jeune maîtresse, ses jambes battant l’air et sa culotte entortillée autour de ses chevilles.

Laetitia caressa les fesses brûlantes :

— Voilà, ton derrière est bien échauffé, tu vas aller le faire refroidir au coin, ensuite on passera à la punition proprement dite.

Claudine n’en croyait pas ses oreilles, elle n’avait pas reçu la fessée depuis de nombreuses années, ses fesses étaient brûlantes et sa petite-fille lui annonçait que ce n’était pas fini :

— Oh non, Laetitia, s’il te plaît, j’ai été bien punie, j’ai compris… Aïe, aïe…

La fessée venait de reprendre :

— Non je ne crois pas que tu as compris ma petite mamie. Pour commencer tu vas m’appeler momy, comme tout le monde et deuxièmement, il va falloir que tu apprennes à obéir sans protester. Ce n’est pas à toi de juger si ta punition est suffisante, c’est moi la maîtresse maintenant.

La deuxième fessée fut plus courte que la première mais Claudine cria et supplia autant :

— Bien maintenant tu te lèves et tu files te mettre au coin !

L’ordre avait claqué en même temps qu’une magistrale claque au milieu du fessier écarlate. Claudine sans dire un mot alla se placer contre le mur et mis ses mains sur sa tête. Laetitia la regarda en souriant, satisfaite de son obéissance. Elle s’approcha de sa nouvelle pupille et retroussa la robe qui était retombée, puis elle l’épingla dans le dos avec une pince à linge :

— Ce serait dommage de cacher ces jolies fesses, elles sont magnifiques.

Elle lui fit enjamber la culotte entortillée aux chevilles :

— Tu es privée de culotte jusqu’à nouvel ordre.

Puis elle prit son téléphone et immortalisa la scène, elle demanda à Claudine de tourner la tête et prit une dernière photo ou on distinguait parfaitement le visage de la punie et son derrière écarlate :

— C’est parfait chérie, tu colles bien ton nez contre le mur et je ne veux plus t’entendre.

Elle envoya immédiatement un message à Julie avec la dernière photo « Tu ne connais pas ma grand-mère, eh bien je te la présente ainsi que ses fesses "

Le téléphone sonna illico, c’était son amie :

— J’y crois pas, tu as flanqué une déculottée à ta grand-mère, tu es trop forte.

Laetitia jouissait au propre comme au figuré, elle venait de réaliser un rêve, sa petite culotte était trempée.

— Eh oui, elle a un beau cul elle aussi n’est-ce pas ?

Claudine était de plus en plus inquiète en entendant sa petite-fille discuter au téléphone, ses craintes se confirmèrent rapidement, au bout de dix minutes, Laetitia s’approcha d’elle et sans souci de leur différence d’âge, elle lui tira l’oreille comme si elle était une gamine :

— Viens un peu ici ma petite, je vais t’expliquer ta nouvelle vie. Garde tes mains sur la tête, ça t’évitera de frotter tes fesses.

La grand-mère était devant la jeune fille entièrement nue de la taille aux pieds à l’exception de ses bas. Sa nouvelle maîtresse s’était assise sur le canapé :

— À partir d’aujourd’hui tu es ma nouvelle pupille, je suppose que tu sais ce que ça veut dire, je t’ai raconté souvent ce qui arrive à maman et aux deux autres dames de ton âge quand elles désobéissent.

Claudine baissa la tête :

— Oui, mais Laetitia… Aïe aïe, aïe, non…

La main de la sévère jeune fille venait de claquer les cuisses :

— Ça commence bien ! Qu’est-ce que je t’ai dit ? Comment dois-tu m’appeler ?

Claudine piétinait sur place, la main continuait son œuvre :

— Aïe aïe, aïe, oui, oui, pardon momy.

Laetitia en souriant cessa la fessée :

— Je pense que nous allons avoir du travail, mais tu as une bonne paire de fesses, il y a de quoi donner la fessée. Tourne-toi !



Docilement Claudine présenta son derrière écarlate à sa petite-fille. En moins d’une heure de temps, elle était passée du statut de matriarche autoritaire à celui de gamine docile obéissant au doigt et à l’œil. Laetitia tapota la croupe tendue devant elle :

— Tes fesses sont bien rouges, mais je n’en ai pas fini avec elles, tu vas revenir sur mes genoux, on sera plus à l’aise pour discuter.

La mamie ne trouvait pas que cette position, les fesses en l’air et la tête près du sol soit très adaptée à une discussion, mais elle ne protesta pas et s’allongea en travers des cuisses de sa jeune maîtresse. Celle-ci rajusta un peu la position en la faisant basculer un peu plus vers l’avant afin que ses pieds décollent du sol et que son fessier soit bien à sa portée.

Comme elle en avait l’habitude quand elle prenait en charge une nouvelle pupille elle se mit en devoir d’explorer l’intimité de Claudine. Celle-ci n’était pas une oie blanche, mais c’était quand même un examen très humiliant que lui faisait subir la jeune femme, elle commença par écarter les deux larges fesses, la raie fessière était profonde, elle passa son doigt sur l’anus, la mamie serra les fesses ce qui lui valu une magistrale claque :

— À pas de ça ma petite, je te conseille de te laisser faire, je te signale que ton derrière est à ma disposition.

Elle glissa sa main entre les cuisses et la força à les ouvrir, si elle avait pu les voir, elle aurait constaté que ses joues étaient écarlates, elle écarta ensuite les lèvres humides pour mettre à jour la vulve gonflée. Elle se régalait du spectacle et de sa puissance, toutes ces dames quel que soit leur âge se soumettait à ses désirs. Sa main se reposa sur la large croupe :

— Comme je te l’ai dit ton comportement mérite une punition exemplaire, la fessée que tu viens de recevoir n’était qu’un échauffement. Tu seras fessée matin et soir pendant une semaine puis tous les matins pendant un mois. Dimanche je t’administrerai la fessée déculottée devant tout le monde et tu passeras le repas au coin fesses à l’air. Tu auras droit au plug de gingembre une fois par semaine.

Claudine avait écouté la sentence avec effarement, décidément cette petite était d’une sévérité sans égal. Ses fesses s’étaient contractées à chaque annonce de punition supplémentaire, Laetitia tapota la croupe :

— Tu te lèves et tu vas me chercher la brosse à cheveux.

La sévère mamie s’exécuta, elle se dirigea sans dire un mot vers sa chambre pour y prendre l’instrument de sa punition, combien de fois avait-elle imposé cette humiliation à ses filles et à ses petites-filles, maintenant c’était elle qui exécutait cette marche de la honte, ses fesses rouges dodelinant au rythme de ses pas. La jeune femme regardait amusée le charmant spectacle de cette sexagénaire, la robe épinglée dans le dos, le derrière bien rouge souligné par les bas. Dans cette famille toutes les dames étaient dotées d’une bonne paire de fesses et l’aïeule ne faisait pas exception à la règle.

Quand elle revint tenant la brosse à la main, elle regarda Laetitia :

— Momy, je sais que je mérite d’être punie pour avoir conduit en état d’ivresse, mais s’il te plaît, ne me donne pas la fessée devant tout le monde, j’aurai trop honte.

La jeune maîtresse regarda sa grand-mère, quel changement dans son attitude, elle était contrite et semblait vraiment regretter sa conduite. Peut-être était-elle trop sévère, elle hésita un moment puis elle fit un petit signe du doigt à sa nouvelle pupille :

— En position ma chérie.

Claudine retrouva la position disciplinaire pour la troisième fois, elle sentit les doigts de la jeune femme palper ses fesses :

— Je sais que tu vas avoir honte de te faire déculotter devant tes filles et tes petites filles, mais c’est fait pour ça. Tu vas recevoir une correction dont tu vas te souvenir longtemps et je suis sûr qu’après cette fessée déculottée en public et ton mois de punition tu ne t’aviseras plus de conduire en ayant bu.

La brosse à cheveux commença son travail sur le fessier de Claudine qui se comporta comme toutes les dames punies de la sorte, ses jambes battirent l’air, elle cria, pleura et supplia. Quand la correction fut terminée, sa croupe était écarlate

— Tu files au coin !

Laetitia se comportait vraiment en momy sévère, en découvrant la convocation de sa grand-mère elle avait d’abord réfléchi aux bénéfices qu’elle pouvait en tirer et au plaisir de déculotter une dame mature, mais maintenant elle se sentait une responsabilité d’éducatrice, sa grand-mère avait eu un comportement immature, elle serait traitée comme une adolescente désobéissante.

Elle jeta un œil à la dame les fesses à l’air et le nez collé contre le mur, puis se dirigea vers la cuisine, elle ouvrit le frigo et trouva une racine de gingembre. Elle entreprit de l’éplucher et de la tailler en forme de gros suppositoire, elle le regarda en souriant « tu vas voir mamie comme il va bien garnir ton gros derrière ».

Elle revint dans le salon et en passant, sans s’arrêter elle saisit la punie par l’oreille pour l’attirer vers le canapé, puis elle la bascula sans ménagement en travers de ses genoux :

— On va passer à la suite de ta punition mamie, un bon petit suppo de gingembre dans ton derrière.

Claudine protesta faiblement :

— Oh non, momy… S’il te plaît…

Elle sentit les doigts de sa petite-fille écarter ses fesses brûlantes, depuis combien de temps n’avait-elle pas été punie ainsi, elle ne s’en souvenait plus. Sa mère était intransigeante et ses fesses avaient été rougies bien souvent, le gingembre dans les fesses pour terminer une correction elle connaissait bien sûr, mais elle fut quand même surprise par l’intensité de la brûlure.

— Aïe, oh ça brûle momy, no… aïe.



La main de Laetitia avait à nouveau claqué :

— Vas-tu cesser de gigoter !! Je le sais que ça brûle ma chérie et ça va te brûler un bon moment crois-moi. Tu te lèves et tu files au coin. Vite !!

La racine de gingembre apparaissait au milieu de la raie fessière, la jeune femme fit à nouveau une photo qu’elle envoya à Julie.

Une nouvelle vie commençait pour Claudine, montrer ses fesses rougies le nez au mur allait devenir courant, il fallait qu’elle s’y habitue.

— Tu cesses de te trémousser comme ça, sinon tu vas revenir faire un petit séjour sur mes genoux. Tu vas garder ce plug pendant une heure, je crois que c’est ce que tu as imposé à maman la dernière fois.




2 commentaires:

  1. Les belles et sévères fessées de Laetitia continuent de tomber sur tous les derrières qui passent à sa portée. J'ai hâte de pouvoir lire la suite.

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    1. Elle arrive ma chère Agnès, juste un peu de patience. Les belles et larges fesses des dames d'âge mûr vont prendre l'air et rougir.
      Merci pour vos compliments.
      Sylvie

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Deux étudiantes 31

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