mardi 25 février 2025

Lucie et Christian 21

 Marché cuisant pour Alice



Pendant qu’Ingrid et Lucie se livraient à des activités que la morale réprouve, Alice avait pris sa voiture pour aller chez Ursula, elle la connaissait depuis longtemps, elle était lesbienne et ne s’en cachait pas, sa ferme et son marché de productrice était connu, c’était un lieu de rencontre de la communauté lesbienne du canton. Comme Ingrid, elle était dominatrice et adorait fesser ses petites amies, ce n’était pas exceptionnel qu’au cours du marché une ou deux paires de fesses féminines ne soit mise à l’air et rougies par ses soins ou par ceux d’une de ses amies productrices. Les acheteuses étaient prévenues et aucune ne s’en offusquait, c’était toujours une ambiance bon enfant et joyeuse, même si les fessées administrées pouvaient être sévères et que la punie se relevait des genoux de sa fesseuse avec les larmes coulant sur ses joues.

Alice gara sa voiture, il n’y avait pas grand monde, mais immédiatement son oreille fut attirée par un bruit qu’elle aurait reconnu entre mille, celle du claquement d’une main sur la peau nue d’un fessier. Elle se dépêcha pour profiter du spectacle et il n’était pas banal une grande blonde bien en chair gigotait et criait en exposant une paire de fesses écarlates. Elle était perchée sur la cuisse horizontale de Maddy une Irlandaise rousse qu’Alice connaissait bien. La fesseuse avait posé son pied sur une caisse et la punie les pieds décollés du sol s’égosillait pendant que les claques s’abattaient sur son large fessier qui rougissait à vue d’œil :

— Ah elles ne sont pas frais mes œufs ? Eh bien ton derrière non plus ma grande, je vais t’apprendre la politesse, ton cul va être bien chaud quand j’en aurai fini avec, je peux te l’assurer.

Trois ou quatre spectatrices assistaient en riant à la correction de Jennifer, c’était le nom de la grande blonde aux fesses rouges.

— Ça c’est sûr qu’elle ne va pas avoir froid aux fesses, Maddy a des mains comme des battoirs, je préfère que ça soit elle qui reçoive la fessée.

Alice s’était glissée derrière le groupe de dames qui commentaient la punition. Elle aperçut Ursula qui souriait et semblait prendre un grand plaisir au spectacle, la solide Irlandaise reposa Jennifer par terre, celle-ci se mit immédiatement à se frotter énergiquement le postérieur, elle avait les larmes aux yeux :

— Pardon mademoiselle Maddy, ce n’est pas ce que je voulais dire…

— Ah oui ? C’est pourtant ce que j’ai entendu, la prochaine fois tu réfléchiras avant de dire des bêtises. En attendant viens un peu ici !

La pauvre Jennifer la regarda, affolée :

— Non, non, s’il vous plaît plus la fessée, j’ai compris, je regrette.

Maddy se mit à rire et attrapa la dame par l’oreille :

— Rassure-toi, j’en ai fini avec tes fesses, je crois qu’elles sont assez chaudes, mais il faut que tu les montres à tout le monde.

Elle fit pivoter la punie et retroussa la jupe qui était retombée et coinça l’ourlet dans la ceinture, la culotte en dentelle était entortillée autour des chevilles, elle la remonta à mi-cuisse et reprenant cette dame de cinquante ans par l’oreille, elle la conduisit contre un pilier de la grange :

— Mets tes mains sur la tête et ne bouge pas de là tant que je ne t’en donnerai pas l’autorisation. Tout le monde pourra admirer ton popotin bien rouge.

Le spectacle était terminé, les clientes reprirent leurs emplettes auprès des stands des productrices sans plus faire attention au derrière cramoisi de Jennifer. Elle semblait habituée. À ce genre d’intermède. Ursula aperçut Alice :

— Coucou ma chérie, tu es en vacances chez ta tatie ?

La jeune femme rougit légèrement en voyant les clientes se tourner vers elle, il est vrai que sa tenue avait de quoi surprendre, sa jupette ultra-courte, Ingrid avait dit « aujourd’hui ça sera ras des fesses », ne laissait pas indifférente les dames qui était pour la plupart adepte des relations saphiques.

Ursula s’était approchée, elle lui fit une bise accompagnée d’une petite claque sur le derrière :

— Tu es toujours aussi mignonne, c’est Ingrid qui a choisi ta tenue je suppose ?

Malgré son habitude de ces situations embarrassantes, Alice piqua un fard, surtout que sans gêne aucune la maraîchère soulevait la jupe :

— Elle ne cache pas grand-chose ta mini-jupe ma chérie, heureusement que tu n’es pas privée de culotte aujourd’hui.

Cette allusion à un complément de punition que sa tante lui imposait quelquefois eut le don d’empourprer encore plus les joues d’Alice. Elle tira sur sa jupe pour cacher sa petite culotte, elle le fit un peu trop brutalement au goût de la solide matrone :

— Qu’est-ce que c’est que ces manières de gamine malpolie !

Alice sentit vaguement que la situation ne tournait pas à son avantage, elle jeta un coup d’œil circulaire, le regard malicieux de Maddy, les fesses rouges de Jennifer, les clientes qui la déshabillaient du regard, tout ceci ne lui disait rien qui vaille.

— Je vais t’apprendre !

Le ton d’Ursula ne laissait guère de doute sur la suite des événements, elle se sentit attirée par la main ferme de la solide fermière :

— Tu ne veux pas montrer ta culotte ? Eh bien on va la voir et même ce qu’il y a en dessous.

Elle s’installa sur un tabouret et avant que la jeune femme n’ait pu réagir, elle la coucha en travers de ses larges cuisses. Bien évidemment, vu la forme et la taille de la mini-jupe, les cuisses d’Alice apparurent immédiatement ainsi que la base des fesses et la petite culotte à pois qu’Ingrid avait choisie. Le fessier joufflu de la secrétaire transformée en collégienne débordait allègrement du sous-vêtement, Ursula retroussa la jupe sur les reins et tapota la croupe :

— Tu as vraiment un bon derrière ma chérie, je ne me rappelais pas qu’il était aussi joli. Allez on va le montrer à toutes ces dames, je suis sûr que ça leur tarde de voir ce que tu caches sous ta culotte.

Effectivement la plupart des clientes étaient très intéressées par le spectacle gratuit qu’Ursula leur offrait. Certes, elles venaient pour la qualité des produits, mais aussi pour l’ambiance coquine et décontractée du lieu. La mise à l’air d’une paire de fesses était monnaie courante, aujourd’hui elles étaient gâtées, ce n’était pas une mais deux croupes qu’elles allaient pouvoir admirer.

Les doigts d’Ursula s’étaient immiscés sous la ceinture de la lingerie et l’avait fait glisser sur le derrière rebondi de la pauvre Alice. Celle-ci avait l’habitude de se faire déculotter, mais c’était toujours aussi humiliant qui plus est devant ce public relativement nombreux et que pour la plupart, elle ne connaissait pas.

Ses fesses s’étaient contractées dès que l’air frais les avait caressées, elles étaient à peine rosées des fessées reçues le matin même. Ursula était comme sa tante une grande amatrice de derrière bien joufflu et Alice était bien pourvue de ce côté-là.

— Ça fait un moment que je ne t’ai pas flanqué une fessée ma chérie.

Elle caressait avec gourmandise la jolie paire de fesses :

— Tatie t’en a donné déjà une ce matin on dirait, décidément tu es une vilaine qui ne comprend qu’avec des fesses bien rouges.

Elle leva la main et commença à fesser la belle croupe charnue d’Alice, comme Maddy elle avait des mains de travailleuse, pas besoin d’instruments pour corriger comme il se doit une péronnelle. Même et surtout si celle-ci n’était plus une gamine, mais une dame avec tous ses attributs.



D’ailleurs les spectatrices pouvaient admirer à loisir l’intimité de la jeune femme, sous l’effet de la cuisante correction, elle gigotait, battait des pieds et ouvrait largement ses cuisses.

Ursula s’appliquait, elle adorait le fessier de cette petite Alice, il était maintenant bien rouge et chaud. Elle leva la tête pour juger de l’effet sur les spectatrices, de grands sourires illuminaient la plupart des visages. Il y avait dans l’assemblée des fesseuses et des fessées, les premières appréciaient la technique d’Ursula et les mignonnes fesses rouges d’Alice, les deuxièmes étaient contentes de ne pas être à sa place.

La maraîchère décida qu’une petite fessée était suffisante, elle fit relever la jeune femme qui s’empressa de frotter ses fesses brûlantes, elle avait les joues très rouges et les larmes aux yeux. Maddy s’adressa à Ursula :

— Elle a le droit de se frotter les fesses ?

La fesseuse se mit à rire :

— Pour une fois je suis magnanime, c’est tellement mignon.

Vexée par cette remarque moqueuse, Alice cessa ces frottements, Ursula la fit pivoter et retroussa à nouveau la jupe, la culotte était aux genoux, elle s’adressa à l’assemblée :

— Regardez-moi ce joli derrière, n’est-il pas mignon avec cette jolie couleur, tenez-vous le pour dit, aujourd’hui il pourrait y avoir d’autres paires de fesses qui prendront l’air.

Elle coinça la jupe d’Alice dans la ceinture et lui claqua la croupe :

— File te mettre à côté de Jennifer que tes fesses refroidissent un peu.

Alice était résignée, c’était quasiment rituel, chaque fois que sa tante l’envoyait chez Ursula, elle était bonne pour une déculottée. Aujourd’hui, elle n’avait pas été très sévère, mais elle s’était quand même fait baisser la culotte en public à trente-cinq ans et elle exposait ses fesses nues.

Depuis l’enfance elle avait été soumise à ce genre de chose et finalement ça avait influé sur sa sexualité. Elle avait toujours vécu entourée de femmes et avait développé une libido axée sur les rapports lesbiens et une certaine forme de masochisme. D’ailleurs à ce moment précis malgré la cuisson de son derrière et son humiliante position, elle sentait sourdre une excitation.

Elle sentit une main caresser ses fesses :

— Très joli ce derrière, mes félicitations.

Comme sa tante lui avait appris quand elle était au coin, son nez devait toucher le mur et elle ne devait pas bouger, cependant elle tourna légèrement la tête et aperçu une jeune fille, brune et ronde qui souriait et continuait à explorer sans aucune gêne son anatomie postérieure. Les doigts s’insinuaient entre ses fesses :

— J’adore moi aussi donner la fessée, je pense que celle de ma tante n’était pas très sévère, avec une si belle paire de fesses, vous en auriez mérité une plus forte et plus longue.

La jeune fille se dirigea vers sa tante, Ursula discutait avec des clientes :

— Tatie, tu ne penses pas qu’Alice a fait assez de coin ?

La sévère matrone regarda sa nièce avec malice :

— Tu es bien gentille aujourd’hui ? Elles te plaisent ses fesses ?

Lili, c’était le nom de la jeune fille, se mit à rire :

— Il faudrait être difficile pour ne pas les apprécier.

Ursula jeta un œil au fessier d’Alice, elle aurait bien aimé croquer un peu plus la jeune femme, mais elle ne savait pas dire non à sa perverse nièce.

— Oui c’est bon, tu peux la libérer.

Lili s’approcha de la punie et cette fois elle palpa carrément le derrière d’Alice :

— Ta punition est levée vilaine fille, tatie m’a donné l’autorisation, mais tu restes cul nu, ton derrière est vraiment trop mignon.

Elle prit la main d’Alice et l’entraîna à l’écart, elle s’installa sur un banc et tapota la place à côté :

— Pose ton petit cul là, on va faire connaissance.

Alice était contente d’avoir quitté le mur où elle exposait ses fesses, elle ne s’offusqua pas trop de ne pas pouvoir se reculotter, elle était habituée à ces petites manies de maîtresses. Elle put enfin observer la jeune fille qui semblait intéressée par son derrière.

Lili n’était pas très grande, elle avait de longs cheveux brun attachés en queue de cheval, la peau mate et des yeux rieurs, elle n’était pas menue, sa poitrine pointait sous son tee-shirt et son mini-short était rempli par un fessier rebondi. Elle regarda Alice qu’elle venait de délivrer de sa pénitence :

— Alors comme ça tu reçois encore la fessée déculottée ?

La secrétaire habillée en adolescente se sentit rougir :

— Euh… C’est-à-dire…

Lili se régalait de la gêne de cette dame plus âgée qu’elle, assise sur le banc, les fesses nues et la culotte à mi-cuisse.

— Ben oui, une bonne fessée cul nu comme une gamine, elle claque bien la main de tatie, tu as dû la sentir passer sur ton bon gros derrière.

Alice était un peu humiliée d’être traitée ainsi par cette jeune fille, mais elle était un peu excitée malgré tout, où voulait-elle en venir.

— Moi aussi je donne la fessée tu sais, même à des dames plus âgées que toi, Ursula me charge de temps en temps de corriger une cliente mal élevée quand elle n’a pas le temps.

Alice osa quand même questionner la jeune fille, celle-ci lui appris qu’elle était la nièce de la maraîchère et qu’elle était en vacance. Elle comprit rapidement que Lili était délurée et que comme sa tante elle avait une nette attirance pour le sexe féminin :

— Avec tatie je me régale, elle adore administrer la fessée, tu as pu t’en rendre compte et comme j’ai toujours été sa préférée, elle ne m’a pas souvent déculottée, mais elle m’a souvent confié la responsabilité de mes cousines. Si tu vois ce que je veux dire, elles n’ont jamais froid aux fesses quand je m’en occupe.

Elle avait dit ça en riant de bon cœur, Alice était sous le charme de cette pétulante jeune fille, soudain Lili se leva et lui pris la main :

— J’ai bien envie qu’on fasse un peu mieux connaissance, viens avec moi, je connais un endroit où nous serons tranquilles.

Les clientes ne remarquèrent qu’à peine, ce couple improbable, une jeune fille tenant par la main une dame plus âgée, habillée en adolescente, la jupe retroussée et la culotte baissée à mi-cuisse. Elles traversèrent ce mini marché, Alice avait encore le rouge aux joues et aux fesses, elle était pressée de quitter le hall.

Lili la tirait fermement, dès qu’elles furent seules, elle claqua en riant les fesses d’Alice :

— Alors ma petite chérie, ça te fait quel effet d’avoir une nouvelle maîtresse aussi jeune.

Alice eut un petit mouvement de recul, décidément cette petite ne manquait pas d’air, elle lui annonçait de but en blanc que c’était elle qui allait mener la danse.

Elles étaient arrivées dans la maison, d’autorité Lili s’installa dans un fauteuil et fit basculer la jeune femme en travers de ses genoux :

— On va commencer par te rougir un peu mieux le derrière, je trouve que tatie Ursula a eu la main bien légère aujourd’hui.

Alice avait poussé un petit cri, mais elle n’avait pas résisté, elle était à nouveau dans cette position classique qu’elle connaissait si bien, la fessée crépita immédiatement et la nièce d’Ingrid se rendit compte que malgré son âge la jeune fille était une experte en correction cuisante. Sa croupe était habituée aux fessées répétées et sévères, mais ça faisait toujours un mal de chien d’en recevoir une sur un fessier encore rouge. Elle ne put s’empêcher de ruer, d’écarter largement ses fesses et finalement de pleurer comme une gamine.

Lili était ravie, malgré son jeune âge, elle était une experte en croupe rougie et celle d’Alice était particulièrement appétissante. Elle cessa la punition de cette dame qui pleurait sur ses genoux et entreprit d’explorer son intimité :

— Tu mouilles petite cochonne, ça te fait de l’effet la fessée de mademoiselle Lili, je vais te cuire le derrière, on va voir si tu trouves ça toujours aussi agréable.

Elle prit sur la table une petite palette en cuir et se mit en devoir d’administrer une deuxième fessée à Alice. La pauvre se mit à supplier immédiatement :

— Non, non, mademoiselle… Aïe, aïe, plus la fessée, s’il vous plaît… Aïe, aïe, aïe…

Lili se mit à rire et continua la correction, elle adorait quand une dame plus âgée se mettait à pleurer et à supplier comme si elle était à nouveau sur les genoux maternels, c’était encore plus excitant quand elle corrigeait des dames d’âge mûr :

— Eh pourquoi donc plus la fessée ? Moi je crois que tu en as encore besoin, puisque ça te fait mouiller, au moins tu vas savoir pourquoi tu ne peux plus t’asseoir ce soir.

Elle continuait avec application à tanner le derrière cramoisi :

— Voilà, encore quelques claques et ton joli derrière sera cuit à point.

Elle cessa enfin la fessée et fit relever Alice qui ne put s’empêcher de frotter son derrière brûlant, ce qui fit rire la jeune fille :

— Ça brûle n’est-ce pas ? Tu as vu que je sais m’occuper des vilains derrières. Viens un peu ici.

Elle fit asseoir la punie sur ses genoux et glissa sa main sous le fessier brûlant, elle malaxa doucement la chair meurtrie et ses lèvres se collèrent à celle d’Alice. Celle-ci était excitée par cette situation insolite, elle n’avait jamais été punie par une aussi jeune personne et la main experte de Lili fouillait maintenant son intimité en même temps qu’elle l’embrassait fougueusement et que sa langue se collait à la sienne.

Elle se mit à jouir rapidement, surprise par la dextérité de sa jeune partenaire. Celle-ci décolla ses lèvres et la regarda tendrement :

— C’était bon ma chérie ?

Alice se lova contre elle, ses fesses étaient toujours aussi douloureuses, mais ça n’avait plus d’importance.

Lili la fit relever et la regarda en souriant :

— J’ai bien aimé te flanquer cette fessée ma petite tu es vraiment mignonne. On recommencera.

La culotte d’Alice traînait par terre, les mouvements désordonnés de ses jambes l’avaient expulsée, la jeune fille la ramassa :

— Je la garde en souvenir, tu vas rentrer cul nu ma chérie, vu la longueur de ta jupe je te conseille de ne pas trop te baisser.

Alice jeta un coup d’œil dans la glace, effectivement ses fesses rouges seraient visibles au moindre mouvement vers l’avant, mais l’air frais sur son derrière endolori était somme toute assez agréable.

Elles retournèrent sous la halle, il n’y avait plus grand monde, la grande Jennifer avait quitté son coin et remis sa jupe en place. Ursula fit un petit clin d’œil coquin à sa nièce :

— Alors, vous vous êtes bien amusée ?

Lili lui rendit son sourire et fit pivoter sa nouvelle amante :

— Oui, regarde.

Elle retroussa la jupette d’Alice qui poussa un petit « Oh ». La croupe écarlate apparut dans toute sa splendeur :

— Mazette, tu ne l’as pas manquée, madame n’aura pas froid aux fesses pour rentrer.

Lili relâcha la jupe en riant :

— C’est pour ça que je lui ai confisqué sa culotte.

Ursula s’adressa à la punie qui avait les joues aussi rouges que son derrière :

— Au fait, tu venais pour acheter quoi ? Si tu oublies je pense qu’Ingrid va s’occuper de tes fesses.

Alice sortit sa liste de courses et ramassa son panier, elle faisait bien attention de ne pas se baisser, mais elle ne se faisait pas d’illusion, la rougeur de ses fesses descendait sur l’arrière de ses cuisses, toutes les personnes présentes savaient pertinemment qu’elle avait été corrigée comme une gamine.

Au moment de partir, Lili l’embrassa et sans gêne aucune glissa sa main sous sa jupe et caressa ses fesses nues :

— Elles sont encore bien chaudes, tu as aimé ma fessée ?

Alice regarda la jeune fille et lui rendit son sourire :

— Comme a dit ta tante, tu ne m’as pas manquée. Je vais me souvenir de cette déculottée.

Puis elle l’embrassa fougueusement :

— C’était parfait… Elles te plaisent mes fesses ?

— Elles sont vraiment à mon goût, d’ailleurs si tu es libre demain, je peux encore m’en occuper.

Alice s’esquiva en souriant :

— Ça dépendra de ma tante, je ne sais pas ce qu’elle a prévu, je te tiens au courant.

En arrivant chez Ingrid, elle était guillerette, la matinée avait été cuisante pour ses fesses, mais elle avait eu des compensations. Elle entra dans la pièce et ne put retenir un sourire de satisfaction en voyant Lucie au coin les fesses à l’air, sa tante s’était apparemment livrée à son activité favorite vu la couleur de la croupe.



— Eh bien, tu en as mis du temps, Ursula va bien ?

Ingrid sortait de la cuisine, elle vit que sa nièce contemplait le derrière de son amie :

— J’ai eu une petite conversation avec les fesses de Lucie. Et toi, Ursula s’en est occupée ?

Alice ne put s’empêcher de rougir, surtout que sa tante l’avait fait pivoter :

— voyons un peu ça.

La jupette retroussée, les fesses rondes de la jeune femme apparurent immédiatement :

— Mais qu’est-ce que c’est que ça, tu as perdu ta culotte ?

Une claque venait d’atterrir sur les fesses encore rouges, Alice sursauta en poussant un cri :

— Aïe, non, non tatie… C’est Lili…

Ingrid avait courbé sa nièce sous son bras et examinait ses fesses.

— Je ne sais pas qui est cette Lili, mais apparemment elle s’y entend pour rougir un derrière. Puisqu’il est aussi joli que celui de Lucie tu vas lui tenir compagnie au coin pendant que je finis de préparer le repas.

Elle relâcha sa nièce, lui coinça la jupe dans la ceinture et lui administra une magistrale claque sur le fessier dénudé :

— File !!

Sans un mot, Alice alla coller son nez contre le mur et mit ses mains sur sa tête. Dès qu’Ingrid fut dans la cuisine, elle tourna légèrement la tête vers Lucie et murmura :

— Alors ? Ça c’est bien passé avec tatie ? Tu n’as pas eu chaud seulement aux fesses je suppose ?

Lucie pouffa doucement pour ne pas attirer l’attention de la sévère matrone :

— Ça tu peux le dire, elle se débrouille vraiment bien malgré son âge.

Soudain Ingrid apparut à la porte :

— Vous voulez peut-être que je vous aide ? Quand on est au coin on ne dit rien ! Attendez que j’aie fini et j’arrive pour m’occuper de vos derrières.

Les deux amies recollèrent leur nez contre le mur et se turent, elles savaient qu’Ingrid tenait toujours parole et que leurs fesses allaient à nouveau brûler dans quelques instants.

Effectivement dès que le repas fut près, elles refirent chacune à leur tour un séjour sur les genoux de la tatie d’Alice, elles crièrent et pleurèrent comme il se doit, mais c’était le prix à payer pour leur désobéissance. Lucie aurait fait de même avec Christine et Aurore et Alice savait depuis longtemps qu’on ne parle pas quand on est punie au coin.



Ingrid déposa sur leur chaise un petit paillasson et leur laissa la jupe coincée dans la ceinture. Alice fit la grimace, il y avait longtemps que sa tante n’avait pas utilisé cette méthode de punition, Ingrid les regarda en souriant :

— Vous allez manger sur vos chaises de réflexion, ça vous fera le plus grand bien.

Lucie fit une petite grimace en posant ses fesses endolories sur le paillasson rugueux ce qui fit bien rire la tatie :

— Eh oui, ce n’est pas très agréable, mais c’est fait pour ça, tes fesses vont rester bien rouges et tu pourras réfléchir à ta désobéissance.





2 commentaires:

  1. Comment faire ses courses et recevoir des fessées en même temps. Certaine dames, qui le méritaient, ont reçu de succulentes fessées bien claquantes. J'adore vos récits. J'attendrai les prochains avec impatience.

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    1. Merci ma chère sophia, la suite arrive bientôt. C'est vrai qu'assister à une bonne fessée déculottée en faisant son marché est agréable. La recevoir et la donner aussi.
      Sylvie

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Lucie et Christian 22

  Clotilde en week-end Clotilde n’était pas en retard, la veille après sa dernière fessée de la journée administrée dans son bureau, Claire...