Julie
Julie était grande, blonde avec des formes, une magnifique poitrine et évidemment, ce qui intéressait le plus sa nouvelle copine, elle était dotée d’une belle paire de fesses qu’elle mettait en valeur en portant des jeans serrés.
En discutant dans un bar dès le premier jour de leur rencontre, Laetitia l’avait félicité pour cette croupe avantageuse et avait ajouté en riant :
— Tu devrais quand même faire attention, un joli derrière comme le tien ça attire la fessée.
Julie avait répondu en riant également :
— Ah oui ? Tu me la donnerais ?
Elle était assise au fond du café, une demi cloison séparait leur table des autres, Laetitia s’était levée et avait saisi l’oreille de sa nouvelle petite amie :
— Et comment ! Regarde !
Julie avait été obligée de se lever en gémissant :
— Aïe… Aïe ;
La main de la jeune femme avait claqué rapidement la croupe arrogante moulée dans le jeans.
— Tu vois, c’est facile, ça c’est juste un apéritif ma chérie, tu verras quand on sera tranquille, tu vas en recevoir une autre, mais déculottée cette fois.
Puis elle avait relâché l’oreille de Julie et s’était rassise en riant. La jeune fille en rougissant s’était frotté le derrière, c’était charmant.
Quelques jours plus tard elle s’était retrouvée dans la chambre d’étudiante de Julie et Laetitia avait pris l’initiative :
— Bon c’est pas tout ça ma petite chérie, mais il va falloir que tu me montres tes fesses.
Julie se mit à rire et minauda le rouge aux joues :
— Olala, comme tu y vas… Directement cul nu ?
Laetitia souriante, planta ses yeux dans les siens :
— C’est très simple, ou tu te déculottes et tu n’auras qu’un petit panpan cucul, ou c’est moi qui te baisse la culotte et ça sera une vraie fessée déculottée.
Malgré son sourire, Julie comprit que sa petite amie ne plaisantait pas, elle avait une bonne expérience des châtiments corporels puisqu’elle avait été scolarisée jusqu’au bac dans une institution religieuse stricte. Les punitions telles que la fessée ou la mise au piquet les fesses à l’air même si elles n’étaient pas systématiquement appliquées étaient quand même utilisées régulièrement à l’internat par les surveillantes.
Elle avait eu ses premiers émois sexuels en assistant à la fessée déculottée d’une fille de son dortoir. La pionne était particulièrement vicieuse, elle avait installé sa chaise au milieu du dortoir, puis elle avait couché la fautive sur ses genoux en demandant aux autres filles de bien regarder comment elle déculottait une vilaine fille. La pauvre avait subi en pleurant l’humiliante mise à nu de son derrière, la fesseuse avait pris son temps pour descendre lentement la culotte du pyjama, puis elle avait forcé la jeune fille à écarter ses cuisses. La vue de la vulve gonflée puis les claques qui s’abattaient sur le tendre fessier avait excité Julie. La fessée avait été magistrale et la punie avait dû rester ensuite le nez contre le mur, les fesses rougies exposées à la vue de tout le dortoir pendant une demi-heure.
Pendant le premier trimestre, la pionne avait déculotté et fessé pratiquement toutes les filles du dortoir et bien sûr Julie avait subi également l’humiliante mise à nu de ses rondeurs en public. À sa grande surprise malgré la honte et la douleur, elle avait ressenti en plus de la cuisson de son derrière une délicieuse excitation entre ses cuisses.
La surveillante avait dû s’en rendre compte d’ailleurs car Julie avait remarqué que sous prétexte d’écarter les cuisses des punies sa main glissait toujours sur l’intimité des jeunes filles. Elle n’y avait pas échappé et quand la jeune femme était venue la délivrer du coin, elle lui avait elle-même remonté la culotte et glissé à l’oreille « ça à l’air de te plaire petite cochonne ».
Au cours des deux autres trimestres, elle avait été la plus fréquemment punie, au moins une fois par semaine elle présentait sa jolie croupe bien rouge à ses camarades.
Souvent après cette cuisante punition, elle se glissait dans le lit de sa voisine qui la consolait avec des caresses et des léchouilles appropriées.
L’annonce par Laetitia d’une petite fessée n’était donc pas pour lui déplaire, elle décida de la provoquer :
— J’aimerais bien voir ça.
Lui lançât-elle avec un regard coquin.
La jeune dominatrice n’en demandait pas tant. En un clin d’œil elle fondit sur sa petite amie :
— C’est tout vu ma chérie, mais je t’aurai prévenue.
Elle avait saisi sa copine par la ceinture du jean et l’avait immédiatement déboutonné puis descendu jusqu’aux genoux. Julie était maintenant debout devant elle en petite culotte, elle n’avait pas résisté. Laetitia lui prit la main et la guida pour qu’elle se couche sur ses cuisses :
— Tu veux que je te déculotte vilaine fille ? Ça sera donc une vraie fessée.
La lingerie avait glissé sur l’orgueilleux fessier, laetitia avait souri en voyant les fesses se contracter légèrement « Ma petite chérie tu as vraiment un joli cul, compte sur moi pour m’en occuper »
La main caressa lentement les rondeurs de Julie puis sans prévenir, elle asséna une formidable claque sur la fesse droite suivi immédiatement de la même sur la fesse gauche. La jeune femme hurla :
— Aïe, aïe… Non mais ça va pas !!
Elle chercha à se relever et posa sa main sur son derrière pour le protéger. Ce fut peine perdue, Laetitia était devenue une experte en fessée, elle la ceintura fermement pour la maintenir en place, coinça son bras avec sa main gauche et continua la correction :
— Ça va très bien ma chérie, je t’avais prévenue, ce sera une vraie fessée.
Julie reçut ce jour-là sa première vraie fessée déculottée, ce ne serait pas la dernière. Une fois qu’elle lui eut mis une jolie culotte rouge sur les fesses, Laetitia l’entraîna pour des ébats pour le moins torrides. Alors qu’elles étaient couchées sur le lit, la jeune maîtresse tout en caressant les fesses brûlantes de sa petite amie lui annonça :
— Eh bien ma chérie, s’il te faut avoir le derrière bien rouge pour jouir, crois-moi tu auras souvent chaud aux fesses.
À partir de ce jour, Julie eut l’interdiction de porter des jeans ou tout autre pantalon, Laetitia lui avait dit en riant :
— Ça met bien en valeur ton joli cul, mais ce n’est pas pratique pour administrer une bonne fessée déculottée.
Bien sûr la jeune femme suivait au jour le jour les progrès de sa maîtresse dans la prise en main de l’immeuble. Elle avait pu visionner les vidéos de fessée que faisait Laetitia et elle se régalait de l’album de photos de celle-ci où les fesses bien rouges se succédaient.
Laetitia lui avait promis qu’un jour elle assisterait à la correction de l’une de ses pupilles.
Elle l’avait donc invité chez Suzanne, elles seraient tranquilles, elle était la seule à déculotter et à fesser la vieille fille, alors que chez Brigitte ou chez les deux chipies, sa mère pouvait survenir à l’improviste.
L’ex-gouvernante avait été surprise et gênée que sa maîtresse soit accompagnée par une jeune femme du même âge qu’elle. Cependant les souvenirs cuisant que Laetitia avait laissé sur ses fesses l’incitèrent à faire comme prévu à chaque visite de la jeune femme.
En rougissant elle se tourna et sous le regard ébahi de Julie elle retroussa sa jupe, Laetitia était fière de montrer son pouvoir à sa petite amie, elle souriait en regardant la culotte en dentelle blanche, tendue sur la croupe de la dame de soixante-cinq ans :
— Tu vois comme ma petite Suzanne est devenue obéissante, mais elle n’a pas tout à fait fini. N’est-ce pas ma petite chérie ?
Elles ne pouvaient pas voir les joues de la dame soumise, elles étaient de la couleur de ses fesses après un passage sur les genoux de sa jeune maîtresse, elle répondit d’une petite voix :
— Oui mademoiselle.
Puis elle glissa ses deux pouces dans la ceinture de sa fine lingerie et la fit glisser sur ses rondeurs. Julie ne perdait pas une miette du spectacle, bien sûr sa petite amie lui avait expliqué comment elle soumettait ces dames d’âge mûr, mais le voir pour de vrai était vraiment surprenant et très excitant.
Les fesses nacrées étaient maintenant parfaitement exposées, contractées par la honte, la culotte était baissée juste sous la croupe. Laetitia s’approcha et tapota le derrière :
— C’est bien ma chérie, tes jolies fesses sont très mignonnes, je suis sûr que Julie apprécie.
La jeune femme avait les yeux brillants d’excitation, elle s’approcha et posa sa main sur le fessier. Surprise, Suzanne se releva légèrement, mal lui en prit, sa jeune maîtresse lui administra deux claques très sèches :
— Depuis quand as-tu l’autorisation de bouger quand on examine tes fesses ? Va te mettre au coin.
Elle se tourna vers son amie :
— Tu peux aller l’installer, je crois que tu sais comment faire.
Julie se mit à rire :
— Oh oui, une vilaine fille qui expose ses bonnes grosses fesses au coin, je connais.
Elle suivit Suzanne qui se dirigeait vers le mur, elle lui retroussa la jupe et lui claqua les fesses :
— Allez on se dépêche !
L’ex-gouvernante posa son nez contre le mur pendant que la jeune femme coinçait l’ourlet de la jupe dans la ceinture, elle baissa un peu plus la culotte et claqua à nouveau le derrière dénudé :
— Mets tes mains sur ta tête !
Elle était passé naturellement au tutoiement sans aucun égard pour l’âge de la dame. En même temps, celui-ci n’avait aucune importance puisque la dame en question exposait ses fesses nues et qu’une cuisante correction s’annonçait.
Laetitia était comme chez elle. Elle alla chercher de quoi boire et s’installa dans le canapé :
— Regarde-moi ce joli derrière, c’est quand même agréable.
Julie attendait avec impatience la suite, elle fixait intensément la croupe de cette dame mature, traitée par sa copine comme une gamine, jamais elle n’aurait pu imaginer qu’une telle chose soit possible. Laetitia la regardait en souriant :
— On dirait que la suite te tarde ?
Julie sursauta et rougit légèrement :
— Ben, c’est-à-dire que quand on est au coin le derrière à l’air, normalement il est rouge. Tu la fesses souvent ?
La jeune maîtresse la regarda avec un air coquin :
— C’est vrai que tu as une certaine expérience de la chose, mais attendre ainsi cul nu fait partie de la punition. Madame est en train de réfléchir à ce qui va lui arriver et puis présenter son derrière à une inconnue n’est jamais très agréable.
Elle se décida enfin à satisfaire sa petite amie :
— Suzanne, vient un peu me voir, nous devons avoir une petite conversation.
L’ex-gouvernante redevenue une jeune bonne grondée par sa maîtresse se présenta devant les deux amies confortablement installées, elle avait gardé ses mains sur sa tête, laetitia la regardait avec son air pervers qui ne lui disait rien de bon :
— Tu peux baisser tes mains. Julie voudrait savoir combien de fois je t’ai donné la fessée déculottée depuis le début de la semaine ?
Suzanne baissa les yeux en rougissant à nouveau, quelle humiliation que de reconnaître devant cette très jeune femme qu’à soixante-cinq ans elle recevait encore ce châtiment enfantin. Elle était à portée de main de sa jeune maîtresse, la main de celle-ci claqua la cuisse :
— Dépêche-toi, tu sais très bien que ça m’agace quand tu ne réponds pas !
— Oui, oui, pardon mademoiselle Laetitia, huit fois…
On était jeudi, Julie se tourna vers son amie :
— Mazette, ça fait plus d’une fessée par jour.
Laetitia se mit à rire :
— Ça c’est sûr, madame a besoin d’avoir très souvent les fesses rouges, on dirait qu’elle aime ça.
Elle fit un petit signe à sa pupille :
— Tourne-toi !
Elle tendit la main et pinça le gras de la fesse de la dame :
— Il y a de quoi claquer et puis regarde comme elles sont devenues fermes depuis que je m’en occupe. On ne dirait pas les fesses d’une dame de soixante-cinq ans.
Julie tendit la main également pour caresser la croupe de Suzanne, ses yeux brillaient. Laetitia la regarda avec un air coquin :
— Tu aimerais t’en occuper n’est-ce pas ?
La jeune femme la regarda avec de grands yeux :
— Ça c’est sûr. Tu voudrais bien ?
— Je crois que madame a besoin de connaître une autre main, elle a déjà eu droit à une fessée publique devant Brigitte, mais ce n’est sans doute pas suffisant puisqu’elle continue à faire des bêtises.
Suzanne ne disait rien, mais ça bouillonnait à l’intérieur, elle tournait le dos aux deux jeunes femmes qui se régalaient de la vue de son fessier, cette petite Julie qui avait tout juste vingt ans allait lui administrer une fessée, son éducation continuait, des larmes lui vinrent aux yeux. Soudain des doigts saisirent son oreille :
— Viens un peu par là ma chérie.
C’était la voix de Julie, elle était grande et elle se fit un malin plaisir à tirer l’oreille de Suzanne vers le haut forçant quasiment celle-ci à marcher sur la pointe des pieds :
— Aïe, aïe…
De sa main libre elle accompagna la marche de sa victime en lui administrant quelques claques bien fermes sur le derrière dénudé, puis elle saisit une chaise qu’elle disposa devant le canapé :
— Allez en position ma petite !
C’était assez curieux de voir cette jeune femme traiter de cette manière une dame aux cheveux blancs qui aurait pu être sa grand-mère. Elle lui avait lâché l’oreille pour la faire basculer en travers de ses cuisses. Suzanne eut le temps d’apercevoir Laetitia qui avait sorti son téléphone et qui filmait la scène.
Elle était maintenant couchée sur les genoux d’une nouvelle maîtresse, les fesses parfaitement exposées, elle connaissait parfaitement cette position, Laetitia tapotait souvent ses cuisses pour lui indiquer qu’il était temps de recevoir sa fessée.
Elle sentit les doigts de Julie s’insinuer entre ses fesses, la jeune femme était lesbienne et explorer l’intimité de cette dame était une expérience vraiment excitante, elle sourit en découvrant l’humidité de la vulve de la punie, elle regarda sa petite amie :
— Je commence à comprendre pourquoi madame fait autant de bêtises, elle doit aimer se faire rougir le derrière.
Laetitia s’approcha et écarta sans façon les fesses de la dame de soixante-cinq ans :
— Ah oui ? C’est du joli ! Eh bien puisque c’est ça, tanne-lui bien les fesses, ça va la calmer !
Julie n’avait pas souvent donné la fessée, c’était elle en général qui présentait sa croupe, mais elle savait comment faire. Elle prit la main de Suzanne pour lui coincer dans le dos et bien la maintenir puis elle leva la main droite et commença à corriger ce beau derrière de dame mature. Soudain elle se rendit compte que c’était vraiment très agréable et même excitant de voir ses jambes battre l’air et les fesses se contracter sous la brûlure des claques, rapidement les gémissements de Suzanne se transformèrent en supplication et bientôt en pleurs. Julie était grande et sportive et elle avait de la poigne, l’ex-gouvernante allait se souvenir longtemps de cette première correction. Quand elle fut remise sur ses pieds par sa fesseuse, celle-ci lui désigna Laetitia :
— Va montrer tes fesses à ta maman, elle verra comme elles sont bien rouges.
Les joues baignées de larmes, autant de honte que de douleur, la punie s’exécuta et elle se pencha pour présenter son fessier écarlate à sa sévère maîtresse, celle-ci les caressa et glissa ses doigts entre ses cuisses :
— Voilà un derrière cuit à point, j’espère que ça va te calmer mademoiselle la dévergondée ! Puisque tu as l’air d’aimer ça et bien je t’annonce que Julie à l’autorisation de te flanquer la fessée déculottée chaque fois que tu l’auras méritée.
Elle claqua sèchement le derrière empourpré :
— Maintenant tu files au coin et je ne veux plus t’entendre, si ça te brûle trop, tu pleures en silence !
Julie était aux anges :
— C’est vrai ? Je peux la déculotter et lui rougir les fesses ?
— Bien sûr ma chérie, tu sais j’ai quatre paires de fesses à ma disposition, sans compter celle de ma petite sœur et les tiennes. Elles ont toutes besoin d’être régulièrement corrigées, il y a des jours où je ne m’en sors pas, de temps en temps je ferai appel à toi. Pour ce qui est de Suzanne, comme elle a besoin d’être bien tenue en main, je pense que tu t’en occuperas très souvent.
Julie sauta au cou de sa petite amie :
— Oh merci, tu es vraiment chou, tu me fais un super cadeau.
Elle se leva et se dirigea vers la dame en pénitence les fesses à l’air et lui tapota la croupe brûlante :
— Tu as entendu ma petite chérie maman Julie va bien s’occuper de ton derrière, tu vas voir comme je vais te le faire danser. Tu as intérêt à être bien sage.
Laetitia regardait avec gourmandise les fesses bien rouges de sa grande fille de soixante-cinq ans et le popotin rebondi moulé par la mini-jupe crayon de sa petite amie, il ne fallait pas que celle-ci pense que sa situation avait changé :
— Chérie, viens un peu me voir.
Julie se retourna en souriant, mais le regard de Laetitia ne lui disait rien qui vaille.
— Dis-moi, tu trouves normal que Suzanne m’ait présenté gentiment ses fesses pendant que toi tu gardes ta culotte ?
Le sourire de la jeune femme se figea, décidément Laetitia n’était jamais à court d’imagination, son doigt lui faisait signe d’approcher et de se tourner, elle adorait faire obéir ses pupilles sans avoir à parler ou très peu, Julie n’y échappait pas.
Elle présenta son fessier à sa petite amie, celle-ci glissa ses doigts sous la jupe et palpa les fesses rebondies :
— Alors ma chérie, qu’en penses-tu ?
Julie minauda et tortilla un peu sa croupe :
— Ben, euh… Tu crois… Je…
Laetitia pinça la fesse droite :
— Tu te déculottes et vite !!
Julie rougit, elle hésita un peu trop au goût de sa sévère petite amie :
— Ah c’est comme ça que tu obéis et bien tu vas voir !
Elle s’était levée avait coincé sa petite amie sous son bras. Elle troussa sa jupe et lui baissa rapidement la culotte sous les fesses. Une centaine de claques eurent vite fait de rougir le derrière tendu. Julie criait et piétinait sur place, mais ses fesses n’échappaient pas à la main de Laetitia. Elle cessa la fessée et remonta la culotte :
— Tu as compris ? Quand je te demande quelque chose tu dois le faire immédiatement, sinon c’est panpan cucul.
Julie avait les joues aussi rouges que ses fesses, elle acquiesça :
— Oui… Pardon…
Laetitia la regarda en souriant :
— Oui miss ! Chaque fois que je te punirai, tu devras m’appeler comme ça et me remercier. J’attends !!
Julie ouvrit des yeux ronds, décidément sa chérie n’était jamais à court d’idées perverses, ses fesses brûlantes l’incitèrent à obéir :
— Merci… Miss…
— Parfait, maintenant tu te tournes et tu te déculottes !
Les jolies fesses de Julie moulées dans sa petite culotte étaient vraiment mignonnes, on les devinait crispées sous la fine lingerie, un peu de rouge débordait sur le pli fessier. La jeune femme glissa ses pouces sous l’élastique et baissa sa culotte sous ses fesses, comme l’avait fait Suzanne auparavant.
— Déculotte-toi mieux que ça ! Descends là un peu plus !
L’ordre avait claqué en même temps que la main sur les fesses dénudées, la jeune femme baissa sa culotte jusqu’aux genoux. La jupe étroite tenait toute seule et ne masquait pas les fesses :
— Mets tes mains sur la tête ! Et va te mettre à côté de Suzanne.
Julie se dirigea à petit pas vers le mur et se plaça à côté de la dame qu’elle venait de corriger. Laetitia souriait, se régalant du spectacle de ces deux belles paires de fesses, l’une plus ferme que l’autre et encore blanche, l’autre bien rouge qui se contractait pour atténuer la cuisson. Elle fit une photo et laissa ainsi ses deux punies en pénitence.
Elle savoura cet instant, un sentiment de puissance l’habitait. Elle glissa sa main dans sa culotte et sans se soucier des deux dames qui le nez collé au mur, exposait leurs fesses nues, elle se caressa.
Bien sûr le derrière de Julie ne resta pas blanc très longtemps, quelques minutes plus tard elle braillait et gigotait, couchée en travers des cuisses de sa petite amie. Elle goûta même à la brosse à cheveux pour faire bonne mesure et lui faire comprendre que même si elle avait gagné le droit de fesser Suzanne, ses fesses n’étaient pas à l’abri.
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