mardi 14 janvier 2025

Deux étudiantes 28

 Nouvelle vie pour Odile



Odile exposait toujours sa croupe cramoisie pendant que Laetitia téléphonait à Julie, elle connaissait cette jeune femme qui passait de temps en temps à la maison. Savoir qu’elle allait maintenant être au courant de la nouvelle situation était particulièrement humiliant pour la mère de famille. Malgré la brûlure qui enflammait son fessier, elle essayait de suivre la conversation :

— Oui bien sûr cul nu, tu sais bien que je déculotte toujours la dame que je corrige.

— …

— Non, j’ai des arguments pour la faire obéir, maintenant c’est réglé, elle sera soumise au même régime que Brigitte et Suzanne.

Odile n’entendait pas les questions de Julie, mais elle les devinait aux réponses de sa fille. Soudain elle contracta un peu plus son derrière en entendant Laetitia :

— On va faire un appel vidéo sur Whatsapp, tu vas voir qu’elle a vraiment une belle paire de fesses.

Quelques instants plus tard elle entendait la voix de la petite amie de sa fille :

— Waouh… Tu ne l’as pas loupée… qu’est-ce qu’elles sont rouges. Le martinet coincé entre les fesses, c’est une super idée, bravo ma chérie.

— Attends j’approche un peu pour que tu les voies de plus près.

— C’est vrai qu’elle a une bonne paire de fesses. Il y a de quoi faire, elle les serre bien, c’est mignon comme tout.

La main de Laetitia claqua sèchement le fessier rubicond :

— Rassure-toi je vais les entretenir. De toute façon, elle a intérêt à serrer ses fesses, si le martinet tombe, elle a droit à un supplément avec.

Odile était morte de honte, elle se demandait comment elle allait pouvoir regarder en face Julie quand elle viendrait voir Laetitia.

Elle n’en avait pas fini avec les humiliations, Laetitia était décidée à lui faire payer toutes les fessées reçues. Dès qu’elle eut raccroché, la jeune femme alla chercher un thermomètre, elle s’approcha de sa mère et retira le martinet coincé entre ses fesses et elle lui tapota le derrière :

— Viens un peu là, je n’en ai pas tout à fait terminé avec toi.

Odile avait gardé ses mains sur sa tête, elle frémit en voyant le thermomètre dans la main de sa fille, celle-ci la regardait avec un petit air moqueur :

— Eh oui maman chérie, momy va te prendre la température. Tu es contente ?

Elle s’installa à nouveau sur la chaise à fessée et tapota ses cuisses :

— En position !

Odile était résignée, elle se coucha sur les genoux de sa fille. Quelle revanche, elle savourait le spectacle des deux larges fesses encore bien rouges étalées devant ses yeux, elle les palpa :

— Alors maman chérie, tu as honte de montrer ainsi tes fesses à ta grande fille n’est-ce pas ? Desserre-les mieux que ça, tu sais bien qu’il faut que momy voit bien ton petit trou. Allez !!

La main avait claqué sèchement la croupe d’Odile, celle-ci en gémissant écarta ses cuisses :

— Pardon momy, s’il te plaît…

Elle savait que c’était peine perdue, qu’elle devait subir sa punition sans rechigner, mais elle retrouvait ses accents de gamine quand Claudine la corrigeait. Laetitia souriait en écartant avec deux doigts les larges fesses :

— Oui ma chérie ? S’il te plaît quoi ? Tu ne veux pas que momy te prenne la température dans les fesses ? Tu es trop grande ?

— Non… non momy… Aïe.

La main avait à nouveau claqué l’épiderme enflammé :

— J’espère que tu ne crois pas ça ma chérie. Momy te prendra la température dans les fesses chaque fois que ce sera nécessaire, tu es d’accord ?

Odile était surprise de l’autorité naturelle de sa fille, elle avala sa salive :

— Oui, oui momy tu as raison.

— Tu n’es pas trop grande ?

— Non, non momy…

Laetitia claqua à nouveau les fesses de sa mère :

— C’est bien ce qui me semblait.


Elle tenait toujours les fesses écartées, elle savait la honte que devait ressentir sa mère à cet instant, elle passa son doigt au fond de la raie et titilla l’anus :

— Mamie te prends encore la température, elle me l’a dit, je sais aussi qu’elle t’a mis un suppo au gingembre. C’est vrai ?

Odile savait qu’il lui fallait répondre sous peine d’une nouvelle correction :

— Oui momy…

Elle serra légèrement les fesses, elle sentait le regard de Laetitia braqué dessus, une dizaine de claques atterrirent sur son fessier :

— Décidément tu as décidé de n’en faire qu’a ta tête ! Je te garantis que tu vas devoir changer d’attitude si tu veux pouvoir t’asseoir.

Odile gémissait doucement :

— Pardon momy, pardon, je n’ai pas fait exprès.

Laetitia se mit à rire :

— J’espère bien ma petite maman, mais tant pis pour toi, tu as gagné une petite fessée supplémentaire et une heure de pénitence.

Elle leva la main et se mit en devoir de claquer à nouveau le large fessier, ce ne fut qu’une petite fessée comme elle l’avait annoncé, mais sur un derrière déjà bien rouge c’était très douloureux pour la sévère mère de famille.


 Elle gigotait, ses jambes battaient l’air, elle avait définitivement changé de statut, elle n’était plus qu’une gamine corrigée par une stricte momy. La jeune femme passa sa main sur la croupe écarlate :

— Tu as un très beau derrière, surtout quand il est bien rouge, tu vas obéir à momy maintenant ?

Odile avait les larmes aux yeux, autant de douleur que de honte :

— Oui, oui momy promis.

Laetitia écarta à nouveau les fesses avec deux doigts et posa l’embout du thermomètre sur la petite rondelle brune :

— Allez, on se décontracte, laisse-toi faire ma chérie.

Elle s’adressait à sa mère comme une maman à sa petite fille, c’était très perturbant pour Odile, mais le souvenir des deux corrections qu’elle venait de recevoir était encore cuisant. Elle relâcha ses muscles fessiers.

L’instrument médical pénétra doucement, Laetitia souriait ravie de l’humiliation de sa mère, elle sentit une excitation entre ses cuisses, elle avait été à bonne école, le thermomètre devait être rentré profondément pour qu’il ne bouge pas et que la punie le sente bien, elle relâcha les deux fesses :

— Voilà, il est bien en place maman chérie, tu vas le garder une heure, ça va t’apprendre à obéir à momy.

Elle claqua sèchement les fesses écarlates :

— Tu te lèves et tu serres bien les fesses !

Elle posa un coussin sur l’accoudoir du canapé et désigna l’endroit à sa mère :

— Tu te couches là et je ne veux plus t’entendre !

Docilement Odile prit place sur l’accoudoir, le coussin disposé sous son ventre surélevait sa croupe et la mettait en valeur. Laetitia remonta un peu la culotte, puis elle se recula pour contempler le spectacle offert par sa mère, ses larges fesses bien rouges serrées sur le petit bout de verre du thermomètre. Elle prit une photo pour sa collection et l’envoya à sa grand-mère avec une légende « maman découvre l’éducation traditionnelle ».

Elle contrôla sur son téléphone le comportement de ses deux grandes pupilles, Suzanne exposait toujours ses fesses rouges garnie du thermomètre, elle regarda sa montre, elle en avait encore pour une heure. Brigitte quant à elle, se dandinait d’un pied sur l’autre en serrant le manche du thermomètre entre ses fesses, elle jugea que la punition était suffisante :

— Je monte chez Brigitte, tu as intérêt à rester tranquille !

Elle entra doucement dans l’appartement de la professeure et s’approcha en silence, quand elle posa sa main sur sa croupe, Brigitte sursauta :

— C’est bien, tu as été sage, je lève ta punition.

Elle retira le manche du martinet et claqua le popotin rebondi :

— Tu peux te reculotter.

Il était temps de s’occuper de Chloé, elle redescendit et se dirigea vers la chambre de sa sœur. Elle était assise à son bureau, les fesses nues directement posées sur sa chaise, la culotte à mi-cuisse :

— A nous deux ma petite chérie, viens avec moi.

Elle avait saisi l’oreille de la jeune fille pour la faire se lever et elle l’entraîna vers le salon. En entrant dans la pièce, Chloé ne put retenir un petit cri en voyant sa mère dans cette humiliante position, Laetitia lui lâcha l’oreille :

— Eh oui, notre petite Odile n’a pas été sage, j’ai été obligée de sévir. Je pense qu’elle regrette amèrement son comportement, mais une heure à nous montrer ses fesses avec un thermomètre va lui permettre de réfléchir.

Elle s’était installée sur la chaise à fessée pour bien signifier à sa jeune sœur que désormais c’était elle qui « portait la culotte » dans la maison. Elle fit un petit signe et Chloé se retrouva dans une position qu’elle connaissait trop bien, mais aujourd’hui, elle était couchée sur une nouvelle paire de cuisses. Les fesses étaient déjà prêtes pour la correction, Laetitia décida de prendre son temps afin d’expliquer à la jeune fille la nouvelle situation :

— Comme tu vois ma chérie, les choses ont changé dans cette maison, à partir d’aujourd’hui c’est à moi que tu dois obéir. Je surveillerai tes notes, tes sorties enfin tout ce que faisait maman avant et je peux t’assurer que je serai aussi stricte. Odile sera soumise à la même discipline que toi, je te demanderai de me signaler tout manquement, tu y as intérêt, car les punitions seront communes si je m’aperçois que l’une de vous a fait une bêtise. Pour ce qui est de ta punition d’aujourd’hui, comme je te l’ai dit tout à l’heure quand tu seras punie à l’école ou chez Brigitte, tu sera punie à la maison et je doublerai chaque fois la punition. Tu vas recevoir une fessée maintenant et tu en recevras une avant de te coucher.

Après cette tirade, elle administra la correction prévue et Chloé se rendit compte qu’elle n’avait pas gagné au change, la main de Laetitia claquait aussi sèchement que celle de sa mère. Une fois relevée, elle fut envoyée au coin.

La jeune maîtresse contrôla à nouveau la webcam de Suzanne, les fesses de l’ex-gouvernante se tortillait légèrement, elle devait commencer à trouver le temps long. Elle décida d’être magnanime et de lui enlever le thermomètre un peu plus tôt.

Suzanne avait entendu la porte s’ouvrir, elle était angoissée de ne pas voir qui entrait dans la pièce, laetitia se mit à sourire en voyant les fesses se crisper sur le thermomètre qui dépassait de la raie fessière. Elle s’approcha de la vieille fille et lui tapota les fesses :

— Alors ma chérie, tu as bien réfléchi ? Tu ne vas plus protester quand momy Laetitia décide quelque chose.

Suzanne était soulagée de savoir que sa pénitence allait prendre fin, mais elle se méfiait quand même de la perversité de sa jeune maîtresse, elle répondit d’une petite voix :

— Oui mademoiselle, promis… Aïe, aïe…

La main de Laetitia avait administré une claque sur chaque fesse :

— À partir de maintenant tu vas m’appeler momy, comme Odile et Brigitte, ce sera plus simple.

— Oui, oui momy…

Satisfaite Laetitia écarta les deux fesses de sa grande fille et retira doucement le thermomètre :



— Tu peux te relever, tu es privée de culotte et ta jupe reste retroussée, je te rappelle que tu es punie et que tu iras au lit à vingt heures, je viendrai à dix-neuf heures trente pour te coucher, tu as intérêt à être en chemise de nuit quand j’arriverai, bien sûr tu peux préparer ton derrière, tu sais que je t’ai promis une fessée matin et soir pendant une semaine.

Au rappel de sa punition, Suzanne baissa la tête en rougissant, ce qui fit sourire Laetitia, elle tapota les fesses encore rosées :

— Tu en fais une tête, il fallait réfléchir avant ma petite chérie.

Elle regarda sa montre, il était dix-huit heures :

— Tu as encore une heure et demie pour faire refroidir tes jolies fesses.

Elle remonta chez elle, les deux punies n’avaient pas bougé, deux paires de fesses bien rouges illuminaient la pièce. Elle renvoya Chloé dans sa chambre, Odile était en pénitence depuis un peu plus d’une heure, elle la fit se relever en lui tirant l’oreille et s’installa sur la chaise à fessée :

— Viens un peu là ma grande.

Odile penaude ne protesta pas et s’installa sur les genoux de sa fille, les fesses étaient encore rouges, elles avaient reçu tellement de fessées depuis ce matin qu’elles avaient gardé une jolie couleur. Laetitia décida de prolonger son plaisir de dominatrice, elle fit coulisser le thermomètre :

— Alors tu vas obéir à momy maintenant ? Je vais te corriger encore un peu pour que ça rentre bien dans ta tête.

Odile gémissait doucement, mais se laissait faire, quel changement depuis ce matin. Soudain elle poussa un cri, elle recevait une nouvelle fessée. Laetitia se contenta de lui administrer une centaine de claques avec la main, puis elle retira le thermomètre et glissa sa main entre les cuisses de la dame de quarante ans. Ses doigts agiles s’insinuèrent jusqu’aux lèvres et glissèrent sur la vulve, elle était humide, un petit sourire glissa sur le visage de la jeune maîtresse :

— On dirait que ça ne t’a pas déplu ce petit séjour sur le canapé avec le thermomètre dans les fesses et mes fessées, on dirait que tu les apprécies ?

Sa main tapotait distraitement les fesses de sa mère, elle avait ressenti elle aussi une semblable excitation lors de punitions reçues de la main d’Odile. Elle n’était donc pas surprise, malgré la douleur et l’humiliation une bonne fessée déculottée et des fesses brûlantes provoquaient souvent ce genre de réaction chez la punie.

Odile ne répondit pas, elle était mortifiée, mais après toutes les corrections reçues depuis ce matin, elle était devenue docile et résignée. Elle savait que sa condition avait définitivement changé.

Laetitia la garda allongée sur ses genoux pour lui annoncer la suite du programme :

— Maman chérie, tu as très vilaine aujourd’hui puisque j’ai été obligée de te fesser et mamie également. Je vais donc appliquer ta méthode, tu iras au lit à vingt heures trente comme une gamine punie et je ferai en sorte que tu aies les fesses bien chaudes pour dormir. Demain matin tu recevras une fessée avant de partir au travail et j’espère que tu seras sage dans la journée sinon demain soir je recommencerai, tu es privée de culotte jusqu’au coucher.

Elle claqua une dernière fois les fesses de sa mère pour l’inciter à se relever, elle s’assura que l’ourlet soit toujours coincé dans la ceinture, les larges fesses de la mère de famille n’avait jamais autant pris l’air dans cet appartement. Une nouvelle claque sur sa croupe signifia à Odile qu’il était temps pour elle d’aller préparer le repas.

La soirée fut très active pour la jeune femme, elle distribua généreusement les fessées qu’elle avait annoncées. Dans l’ordre prévu, Suzanne puis Odile et enfin Chloé eurent droit à un passage sur ses genoux et se couchèrent toutes avec une paire de fesses bien rouge et cuisante.



Le lendemain elle arriva à la maison avec une pile de cahier à la couverture rouge, elle entreprit de les préparer, il y en avait un pour chacune de ses pupilles. Sur la première page elle inscrivit le prénom des six dames et jeunes femmes soumises désormais à son autorité, trois dames d’âge mûr et trois beaucoup plus jeunes. Sous chaque prénom, elle colla une photo des fesses rouges de la pupille en question. C’était très esthétique, elle se félicita intérieurement. Odile arriva juste quand elle terminait, elle l’accueillit en souriant :

— Coucou ma petite maman, ta journée s’est bien passée ? Regarde le petit cadeau que je t’ai apporté.

Elle lui tendit le cahier à couverture rouge sur lequel était inscrit « Carnet des punitions ».

— Tu peux l’ouvrir.

En rougissant, Odile s’exécuta, elle pinça les lèvres en voyant sous son prénom la photo de ses fesses écarlates. Laetitia la regardait en souriant :

— Elles sont mignonnes n’est-ce pas ? J’espère pour toi qu’elles resteront blanches ce soir. À ce propos, tu vas me les montrer.

Odile la regarda, interloquée :

— Mais… pourquoi ?

Laetitia la fixa le regard sévère :

— Ma petite maman, il va falloir que tu perdes l’habitude de demander pourquoi, c’est la dernière fois que je te le dis, la prochaine ce sera directement panpan cucul. Montre-moi tes fesses tout de suite !!

Paniquée, se souvenant de la soirée de la veille, Odile s’empressa d’obéir. Elle retroussa sa jupe, se retourna et se déculotta. Elle portait des bas autofixants et une culotte noire ornée de dentelle. Le tableau qu’elle offrait était vraiment sexy, ses deux larges fesses nacrées séparées par une raie profonde, la culotte noire baissée soulignant la blancheur du fessier. Laetitia savourait sa puissance, elle s’approcha et caressa la croupe tendue :

— C’est bien, j’espère que tu as retenu la leçon, pour cette fois je passe l’éponge, mais la prochaine fois, c’est directement sur mes genoux. Tu peux te reculotter.

Elle avait demandé ça juste pour confirmer à sa mère sa nouvelle condition. Elle continua ses explications :

— Tu inscriras sur ce cahier toutes tes punitions, sans en oublier, je vérifierai de temps en temps, si je m’aperçois que tu n’en as pas marqué une, tu recevras la même triplée. Tu noteras tous les détails, la position, l’instrument et le motif. Je veux également que tu rajoutes à chaque fois un petit commentaire pour me dire ce que tu as ressenti. Je relèverai les cahiers toutes les semaines pour Suzanne, Brigitte et toi ce sera le samedi, pour les trois jeunes ce sera le vendredi. Bien sûr si tu as été trop punie dans la semaine attends-toi à une sévère correction le samedi soir.

Odile écoutait bouche bée, jamais malgré sa stricte éducation elle n’aurait pensé à ça. Laetitia parlait calmement en souriant toujours :

— Bien, tu peux t’y mettre, n’oublie pas de noter les fessées que t’a administrée mamie.

Elle se souvint soudain d’Ingrid sa tante, elle aussi allait faire partie de ses pupilles, il faudrait qu’elle lui achète un cahier. Elle laissa sa maman à son travail et se rendit chez Brigitte puis chez Suzanne.

Les deux étudiantes eurent droit à sa visite le soir, par la même occasion elle contrôla leurs notes et bien sûr les deux jeunes femmes passèrent une partie de la soirée au coin avec des fesses bien rouges. Leurs cahiers étaient posés sur la table, ils allaient servir immédiatement après le temps de coin.

En rentrant elle vit le cahier d’Odile sur le buffet, elle le feuilleta, elle était curieuse de savoir ce que sa mère avait noté sur son ressenti.

« Dimanche :

Première fessée par maman sur ses genoux à la main : très mal aux fesses

Au coin 1/2 heure

Deuxième fessée par maman sur ses genoux à la brosse devant Laetitia : très sévère, j’ai eu très honte de recevoir cette fessée devant ma fille

Troisième fessée par momy, sur ses genoux, double fessée à la main puis à la brosse : fessée très sévère, quelle honte de recevoir une fessée déculottée par sa fille.

Au coin avec le martinet entre les fesses : très long

Quatrième fessée avant le thermomètre sur ses genoux à la main puis thermomètre pendant une heure : très long et humiliant

Cinquième fessée avant de m’enlever le thermomètre sur ses genoux à la main : très mal aux fesses

Sixième fessée juste avant d’aller au lit, sur ses genoux avec la brosse : fesses brûlantes toute la nuit.

Laetitia souriait en refermant le cahier, sa petite maman n’avait oublié aucune des punitions reçues, ça en faisait beaucoup pour un premier jour, mais après tout, elles étaient toutes méritées. Elle était satisfaite des annotations concernant le ressenti, elle avait eu envie de rire en lisant l’expression « très mal aux fesses », c’est fait pour ça la fessée ma chérie avait-elle pensé.

Elle jeta un œil dans la cuisine, Odile préparait le repas, ce soir elle n’était pas cul nu comme la veille. Elle lui indiqua qu’elles dîneraient après vingt heures, car elle devait aller coucher Suzanne, devant le regard étonné de sa mère, elle précisa :

— Oui, je sais que c’est tôt, mais elle est punie. Pendant une semaine, coucher à vingt heures et une bonne fessée déculottée le matin et une autre avant d’aller au lit. Voilà ce qui arrive quand on conteste les décisions de momy, tâche de t’en souvenir.



Au cours du repas, elle expliqua comment elle entendait la nouvelle organisation de la maison et les sanctions en cas de désobéissance. Chloé trouva sa sœur encore plus exigeante que sa mère, mais que dire d’Odile qui devant sa plus jeune fille s’était vue reléguer au rang de gamine et menacer de fessée cul nu en cas de manquement aux règles :

— Pour ce qui est du coucher, Chloé tu iras au lit à vingt et une heures trente en semaine et vingt-deux heures le week-end.

La jeune fille ouvrit la bouche pour protester, mais le regard sévère de sa grande sœur l’incita à la prudence, Laetitia s’était tournée vers sa mère, celle-ci s’attendait au pire, elle ne fut pas déçue :

— Quant à toi maman chérie, tu iras également au lit à vingt et une heures trente en semaine, je te trouve un peu fatiguée, tu as besoin de dormir. Pour le week-end, je déciderai en fonction de ton comportement de la semaine à toi d’être sage si tu ne veux pas goûter au coucher à vingt heures comme Suzanne.



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