vendredi 3 janvier 2025

Bonne année et bonne fessée

Comment ne pas commencer l’année par une bonne fessée déculottée…



C’était tellement évident…

Au douze coups de minuit, j’étais déjà couchée sur ses genoux, ma jupe courte et évasée retroussée bien haut sur mes reins et ma culotte descendue à mi-cuisse.

A onze heures cinquante, elle m’avait fait un petit signe, j’avais rougi, je savais ce que je devais faire. J’ai été chercher la brosse à cheveux dans la salle de bain et je suis revenue. Je lui ai tendu en essayant de ne pas croiser le regard de mes deux amies qui regardaient avec attention cette dame de soixante-dix ans rougissante devant sa jeune maîtresse de vingt-cinq ans.

Caroline a reculé sa chaise et tapoté ses cuisses, je savais que c’était l’endroit qui m’était destiné.

— En position madame !

Elle avait dit ça en souriant, comme s’il était normal qu’une dame de mon âge reçoive encore la fessée comme une gamine.

Je me suis donc couchée en travers de ses genoux, la tête près du sol, le fessier pointé vers le ciel, dans cette position humiliante que je connais si bien.

Agnès et Julie souriaient également, la première est une amie allemande grande amatrice de fessée, la deuxième est la mère de Caroline, elle lui a appris comment administrer ce châtiment honteux et celle-ci est devenue une spécialiste, au point que même sa mère est maintenant soumise à sa stricte discipline.

Au moment où ma jupe se retroussait, j’ai entendu la voix d’Agnès, elle s’adressait à Julie :

— Tu ne vas pas laisser Sylvie toute seule pour bien commencer l’année, viens un peu là.

En tournant la tête, j’ai vu la maman de Caroline se lever et docilement se coucher elle aussi sur les cuisses d’Agnès.

La pendule indiquait onze heures cinquante-cinq, la jupe de Julie s’était également envolée sur ses reins, deux dames d’âge mûr exposaient maintenant leurs derrières culottés.

Caroline tapotait ma croupe, je savais que les minutes qui allaient suivre seraient cuisantes.

— Il faut solder l’année 2024 et bien entrer dans l’année 2025 ma chérie.

J’ai senti les doigts de ma jeune maîtresse s’insinuer sous ma culotte et l’air frais sur mon derrière, j’ai jeté un regard sur le côté et j’ai vu les fesses blanches de Julie apparaître également. Pour marquer la solennité de l’instant, Caroline s’appliqua à me déculotter complètement en descendant ma petite culotte jusqu’aux genoux. Celle de Julie suivit le même chemin.

La soirée avait été parfaite jusqu’à présent, nous avions bien mangé et bien rit aux récits des fessées qu’Agnès et Caroline administraient généreusement par ci par là, j’aurais du me douter de la suite. Maintenant j’étais là les fesses à l’air bien présentées et je n’en menais pas large, le verdict tomba :

— 2025 claques, ça me parait correct n’est-ce pas Agnès ?

Julie se mit à gémir et à protester :

— Oh non… c’est trop… Aïe…

La main d’Agnès venait de lui claquer sèchement la croupe :

— Tais-toi vilaine fille, ce n’est pas à toi de décider, si je t’entends encore protester ce sera 2025 sur chaque fesse.

Caroline c’est mis à rire :

— Tu vas avoir du mal à t’asseoir demain ma petite maman.

Puis elle s’est adressée à mon amie allemande :

— Tu as raison d’être sévère avec elle, il lui faut toujours avoir les fesses bien rouges pour qu’elle reste tranquille. As-tu une brosse à cheveux ?

— Bien sûr, c’est un accessoire qui ne quitte jamais mon sac à main.

Caroline continuait à me caresser les fesses, sa main était douce, mais je savais que ça n’allait pas durer.

— On va faire des séries de 100 claques, après la dixième on les mettra au coin pour faire refroidir les fesses et on reprendra pour le reste ensuite.

Agnès approuva juste au moment où la pendule commençait à sonner. La fessée débuta immédiatement.

Caroline donnait le rythme, j’ai essayé de compter au début, mais je me suis vite embrouillée, ça brûlait trop. C’est Agnès qui a annoncé :

— Voilà 100 claques, leur derrière est bien échauffé, on va prendre la brosse pour la deuxième.

Julie a hurlé tout de suite, moi j’ai essayé d’être stoïque, mais ça n’a pas duré et à la fin de la deuxième série nous pleurions toutes les deux.

Quand Caroline a posé la brosse sur mes reins j’ai un peu soufflé, mais la troisième série avec la main a été tout aussi cuisante. Les pleurs n’ont plus cessé tout au long des autres séries, mes fesses n’étaient plus qu’une boule de feu.

Enfin Agnès a annoncé triomphalement :

— Voilà, nous y sommes, dix séries… Ces petites fesses sont vraiment ravissantes avec leurs jolies culottes rouges.

Elles nous ont fait relever et comme deux gamines punies, nous avons été conduites au coin tenues par l’oreille.

— Une demi-heure le nez contre le mur, réfléchissez bien à toutes les bêtises que vous avez faites en 2024.

C’était toujours Caroline du haut de ces vingt-cinq ans qui dictait la suite des événements. Elle s’adressa à Agnès :

— On va boire une coupe de champagne, ça m’a donné soif. Elles sont vraiment mignonnes avec leur petit cul bien rouge.

Agnès c’est mis à rire :

— C’est vrai, mais je n’aime pas ce mot, je préfère, derrière ou popotin et puis tu es gentille, ils ne sont pas si petits que ça leurs derrières, moi je trouve qu’elles ont un bon gros popotin aussi bien l’une que l’autre.

Avec Julie on avait le nez collé contre le mur, nos fesses nous brûlaient et on devait supporter sans rien dire les railleries de nos deux maîtresses.

D’habitude quand je suis au coin après une bonne déculottée, je trouve le temps long, mais quand Caroline a annoncé « en piste pour la deuxième série », j’ai trouvé que la demi-heure avait passé bien vite.

On s’est retrouvée à nouveau toutes les deux en position disciplinaire sur les genoux de nos « mamans », Caroline a annoncé :

— Vous avez soldé 2024 avec votre première fessée, maintenant vous allez en recevoir une pour préparer 2025. Dix séries de 100 pour commencer, on verra pour les vingt-cinq derniers.

La correction a repris, nous avons pratiquement pleuré instantanément, cette fessée sur des fesses déjà cuisantes était vraiment douloureuse. Après la cinquième série, Agnès a eu pitié de nos derrière :

— On va finir seulement avec la main, je ne voudrais pas abîmer les jolies fesses bien dodues de ta maman.

Caroline acquiesça en riant :

— Tu as raison, il faut qu’elles puissent encore servir, il y a 365 jours en 2025.

La punition a donc continué par des claques sur nos croupes brûlantes, en tournant la tête, je pouvais voir la couleur du fessier de Julie, il était cramoisi,



 le mien devait être de la même couleur, soudain Caroline s’est attaquée à l’arrière de mes cuisses, je n’ai pas pu m’empêcher de crier et de battre des jambes comme une folle ce qui a bien fait rire les deux fesseuses.

— Quel spectacle ma chérie, tes fesses nous offrent vraiment une jolie danse, mais maintenant ça suffit cesse de gigoter, sinon la fessée va être prolongée.

La maman de Caroline pleurait comme une madeleine pendant qu’Agnès s’occupait de lui rougir également l’arrière des cuisses et la base des fesses.

Enfin la sévère allemande annonça :

— Eh bien nous y voilà 2000, il nous reste à clôturer cette année par les vingt-cinq derniers. Tu as une idée ?

Nous étions affalées en pleurs sur les genoux de nos mamans, la suite ne nous importait plus, tellement nous avions mal au derrière, mais en entendant le mot martinet, mes fesses se sont serrées. Agnès approuva :

— Très bonne idée, vingt-cinq coups sur ces popotins bien échauffés, ça va les faire réfléchir. Allez, debout !

Agnès avait toujours un martinet dans son sac, elle l’a sorti, Caroline est allé décrocher celui qui est toujours suspendu dans la cuisine, puis elle a désigné le canapé :

— Vous vous allongez chacune sur un accoudoir qu’on voie bien vos jolies fesses.

On s’est exécutée, j’ai jeté un œil vers la glace, nos fesses pointaient vers le haut semblant quémander la punition. Ça n’a pas traîné, Caroline avait annoncé :

— Vingt-cinq et vous comptez !

Les cris ont fusé en même temps que les lanières cinglaient nos derrières, je me suis forcée à compter bien fort « Un !! »



Les vingt-cinq coups ont été administrés sans faiblesse, puis elles nous ont laissé couchées les fesses en l’air pendant qu’elle dégustait une énième coupe de champagne.

Caroline était contente de m’avoir administré cette magistrale fessée, mais elle voulait également s’occuper de sa mère pour bien lui faire comprendre la nouvelle répartition des rôles. Elle se tourna vers Agnès :

— On leur prend la température ?

Mon amie allemande s’est mise à rire :

— Bonne idée.

Caroline a désigné les fesses écarlates de sa mère :

— Je crois qu’il faut que je m’occupe de ma petite maman.

Elle a été chercher deux thermomètres dans la salle de bain, j’avais entendu la conversation et je savais que nous n’allions pas échapper à cette ultime humiliation. Quand Agnès m’a saisi par l’oreille pour me relever, j’étais résignée. Je me suis retrouvée à nouveau couchée en travers de ses cuisses, Julie avait subi le même sort, sauf que c’était encore plus honteux pour elle, elle exposait ses fesses rouges à sa fille.

J’ai senti les doigts d’Agnès écarter ma raie, je déteste ce moment où ma maîtresse a une vue parfaite sur mon intimité et cette petite rondelle brune qu’habituellement je ne montre à personne.

L’embout de l’instrument médical a commencé à forcer mon petit trou, je sais qu’il ne faut pas serrer les fesses sous peine de sanction, je m’efforçais de me décontracter, quand j’ai entendu le bruit d’une claque et un cri :

— Qu’est-ce que c(est que ces manières, je vais t’apprendre.

Une fessée crépita dans la pièce et les pleurs de Julie redoublèrent. Elle fut rapide mais certainement cuisante pour les fesses de la pauvre maman ramenée au rang de gamine fessée :

— Maintenant tu desserres les fesses et gare à toi si tu recommences !

Pendant la correction de Julie, Agnès avait interrompu l’introduction du thermomètre, elle le tenait à moitié enfoncé. Elle le poussa à nouveau, quand il fut en place elle me tapota les fesses :

— C’est bien tu es mignonne. Je te félicite Caroline, ta petite Sylvie est bien élevée.



Ma jeune maîtresse avait fini d’introduire l’instrument entre les fesses de sa mère, elle lui claqua sèchement la croupe :

— Oui, ce n’est pas comme madame, mais je te garantis qu’elle va apprendre à obéir !

Elle administra à nouveau une claque sur chaque fesse de sa mère :

— Ma petite maman, tu viens de gagner une fessée tous les soirs pendant une semaine et le thermomètre toute la soirée pendant une semaine également. Comme ça, tu vas bien commencer l’année.

Elle se mit à rire et palpa les larges fesses écarlates de sa « grande fille » en regardant Agnès :

— Effectivement, elle a un bon popotin, on peut lui flanquer la fessée sans crainte.

Nous sommes restées un quart d’heure avec le thermomètre dans les fesses, puis nous avons eu l’autorisation de nous relever, mais pas de nous reculotter.

Nous avons donc fini la soirée cul nu et nous sommes allées au lit avec un derrière bien rouge et bien chaud.



Vraiment une magnifique soirée de la Saint-Sylvestre.




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Deux étudiantes 29

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