mardi 17 septembre 2024

Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée



Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après quelques magistrales fessées déculottées, Caroline était redevenue charmante elle obéissait instantanément aux ordres de sa mère, la vie était quand même plus simple songeait-elle, pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt.

Ce n’était pas tout à fait du goût de Caroline, ce retour brutal à l’enfance avait été douloureux, aussi bien pour son derrière que pour son amour propre. Être obligée de présenter ses fesses nues à sa mère pour recevoir une fessée quand on a vingt-deux ans, c’était une humiliation qui avait du mal à passer.

Cependant malgré quelques épisodes sonores et cuisants, la vie suivait son cours et ce jour-là Julie attendait la visite de Kate.

Kate était une jeune étudiante anglaise que Caroline avait rencontré lors d’une soirée, pour arrondir ses fins de mois, elle donnait des cours d’anglais. Dans le cadre de son travail de secrétaire, Julie avait besoin de perfectionner son anglais, elle s’était inscrite à des cours par correspondance, mais ce n’était pas satisfaisant, Caroline lui avait parlé de la jeune anglaise, Julie l’avait donc invitée à la maison.

Quand elle lui ouvrit la porte, elle fut immédiatement séduite par l’énergie et la spontanéité de la jeune femme. Kate avait vingt-cinq ans, elle était grande, solidement charpentée avec une longue chevelure rousse et un sourire éclatant.

Après les présentations, Julie exprima ses souhaits et ses difficultés à se remettre à étudier à son âge. Kate la rassura immédiatement :

— Ce n’est vraiment pas une question d’âge, mais simplement de volonté et d’organisation. D’ailleurs quel âge avez-vous ?

Julie regardait cette jeune anglaise avec admiration, elle répondit :

— Quarante-huit, c’est vrai que je suis quelquefois un peu désorganisée.

Kate se mit à rire :

— Eh bien on va arranger ça. Si toutefois vous m’acceptez comme professeur.

Julie se rendit compte que cette jeune femme aurait pu être sa fille, l’avoir comme professeur pouvait sembler curieux, mais elle avait vraiment besoin d’aide et puis Kate lui paraissait épatante. Elle se mit à rire également :

— Vous allez avoir du travail, je suis ravie que vous acceptiez de m’aider. Venez je vais nous faire un thé.

En entrant dans la cuisine la première chose qui sautait aux yeux, c’était ce fichu martinet que Caroline détestait tant. Il faisait tellement partie du quotidien que Julie n’y avait pas pensé en invitant Kate à la suivre. La jeune anglaise poussa un petit cri et elle désigna l’instrument de punition :

— C’est très original comme décoration, c’est le fameux martinet français ?

Julie la regarda mi-amusée, mi-sérieuse :

— Oh oui, c’est le martinet familial, il vient de chez ma mère. Mais vous savez, il n’est pas que décoratif, il a servi à rougir de nombreuses paires de fesses et il sert encore.

Kate lui jeta un regard mutin :

— Ah bon ? Sur les fesses de Caroline ?

— Exactement, de temps en temps mademoiselle a besoin d’une petite mise au point. Par contre j’aimerais que ça reste entre nous, même si Caroline est quelques fois insolente je ne suis pas méchante au point de crier sur les toits qu’elle reçoit encore la fessée déculottée.

Les yeux de Kate s’étaient arrondi en écoutant Julie :

— La fessée déculottée ? Vous lui donnez réellement a bare bottom spanking, comme on dit chez moi. Cette fois Julie se mit à rire :

— Bien sûr, comment voulez-vous qu’une fessée soit efficace si on ne baisse pas la culotte. Mademoiselle Caroline me montre son joli derrière tout nu quand je dois la corriger.



Kate regardait l’instrument avec attention, elle passa sa main sur le manche poli :

— Vous permettez ?

— Bien sûr, il n’est pas fragile, vous pouvez le prendre.

La jeune anglaise se saisit du martinet et caressa les lanières, puis elle se tourna vers Julie :

— Ça doit réellement cuire les fesses, je suppose qu’après une fessée avec le martinet, on a plus envie de faire des bêtises.

— Normalement oui, mais il faut croire que Caroline a des fesses résistantes, car je suis obligée de l’utiliser régulièrement.

Kate souriait toujours, elle raccrocha l’instrument punitif :

— Chez nous, c’est la strap qui est utilisée, vous connaissez ? C’est une large lanière de cuir. Ça brûle énormément les fesses.



Julie lui lança un petit clin d’œil ironique :

— Vous semblez bien connaître, votre maman l’utilise ?

Kate rougit mais ne baissa pas les yeux :

— L’utilisait ? Oui bien sûr, maman est très stricte, la strap était suspendue à la cuisine comme chez vous, mais j’ai quitté la maison il y a plus de cinq ans, mes fesses restent blanches à présent.

Pendant la conversation, Julie avait fini de préparer le thé, elles revinrent au salon. Kate la précédait, la sévère maman eu tout le loisir de regarder sa croupe moulée dans un jean. Elle était assez large et appétissante, fessable pour tout dire.

La conversation roula sur les futures leçons d’anglais, Kate lui proposa de commencer rapidement, elle sortit un cahier de son sac et nota une série de mot anglais avec leur traduction :

— Pour débuter, il faut quand même avoir un peu de vocabulaire, pour demain vous allez apprendre cette liste de mots.

Julie prit la feuille et commença à parcourir la liste, elle était assez longue, arrivée à la fin, un sourire se dessina sur ses lèvres, décidément cette Kate était une coquine. Elle lut à haute voix le dernier mot :

— Bare bottom spanking : fessée cul nu ou fessée déculottée.

Kate souriait également :

— Celui-ci est facile à retenir n’est-ce pas.

— Oui effectivement, mais cette liste est très longue quand même.

— Je vous l’ai dit tout à l’heure, tout est une question d’organisation, je sais que vous avez les capacités pour le faire.

Elle lui tendit une autre feuille :

— Tenez, vous me traduirez ceci également.

Elle ajouta en souriant :

— Vous pouvez utiliser un dictionnaire mais pas Google traduction, sinon ça ne sert à rien. De toute façon j’aurais vite fait de le voir.

Avant de se quitter, Julie proposa qu’elle s’appelle par leur prénom et qu’elle se tutoie. Kate accepta avec joie puis sans façon elle claqua une bise à sa nouvelle élève :

— A demain Julie et travaille bien.

La sévère maman de Caroline était conquise et enchantée, elle raconta son après-midi à sa fille qui fit une grimace lorsqu’elle aborda le martinet et la discussion qui s’en était suivi :

— Oh maman, quand même, tu lui as dit que je recevais encore la fessée ?

— Mais oui ma chérie, c’est la vérité de toute façon, j’ai même précisé que tu la recevais cul nu et ça la bien fait rire. Mais ne t’inquiète pas, elle m’a promis que ça resterait entre nous, elle n’en parlera à personne.

Caroline était atterrée, comment allait-elle bien pouvoir discuter avec Kate maintenant qu’elle savait qu’à vingt-deux ans sa mère la déculottait pour lui administrer ce châtiment enfantin. Sa mère tenta de la rassurer en lui racontant que Kate avait elle aussi une mère sévère :

— Tu sais, il n’y a pas que toi qui montres ses fesses à sa maman, elle m’a raconté que jusqu’à ce qu’elle quitte le domicile familial, elle avait droit elle aussi à la fessée déculottée et que la strap était toujours accrochée dans la cuisine.

Cette révélation mit un peu de baume au cœur de Caroline.

La soirée fut calme, Julie commença la traduction, c’était un peu ardu, elle ouvrit Google traduction et la solution s’afficha rapidement, elle la recopia soigneusement. Elle était contente d’elle, Kate n’y verrait que du feu. Par contre apprendre la liste de vocabulaire fut plus compliqué, elle décida de la revoir demain avant que la jeune anglaise n’arrive.

Elles avaient convenu d’un rendez-vous à dix-sept heures. À seize heures trente, Caroline arriva très énervée, elle avait été contrôlée à 60 km/h en ville, c’était la deuxième fois en deux mois. Julie lui demanda la raison de sa colère et sans réfléchir la jeune femme l’envoya balader :

— Oh c’est déjà assez chiant comme ça, tu ne vas pas t’y mettre !

Le sang de Julie ne fit qu’un tour, elle se précipita sur sa fille, la courba sous son bras et après l’avoir troussée, lui baissa rapidement la culotte sous les fesses :



— Pardon ? À c’est comme ça que tu me parles et bien tu vas voir si je ne vais pas m’y mettre !

La fessée crépitait déjà dans la pièce, Caroline piétinait sur place, ses fesses rebondies, tendues par la position se mirent à rosir rapidement :

— Aïe, non, non, pardon maman, ce n’est pas ce que je voulais dire.

— Ah oui, je l’ai pourtant bien entendu !

La main de Julie n’oubliait aucune partie de la jolie croupe, Caroline hoquetait quand sa mère la relâcha :

— Bien, maintenant tu vas m’expliquer ce qui t’arrive.

De grosses larmes coulaient sur les joues de la jeune femme, elle se rendit compte soudain que sa situation était critique. De toute façon, sa mère allait savoir un jour ou l’autre pour sa contravention, elle contrôlait le courrier. Elle se décida à dire la vérité, sa jupe était retombée, mais elle était toujours déculottée, c’était une situation assez embarrassante. Au fur et à mesure qu’elle parlait le regard de sa mère s’assombrissait :

— Non mais c’est pas vrai, la déculottée que je t’ai flanqué la dernière fois n’a pas suffi et bien qu’à cela ne tienne on va recommencer, mais je te garantis que celle-là, tu vas t’en souvenir.

Elle se dirigea vers la salle de bain et revint quelques secondes plus tard en tenant sa brosse à cheveux. Caroline blêmit :

— Non, non maman, s’il te plaît pas la fessée, non, pas la brosse, noon…

Sa mère s’était assise, lui avait pris la main et l’avait fait basculer en travers de ses genoux. Elle retroussa calmement la jupe bien haut sur les reins et descendit la culotte jusqu’aux genoux :

— Oh si ma chérie, tu vas la recevoir cette fessée déculottée et avec la brosse en plus, la dernière fois j’ai dû être trop gentille puisque ça ne t’a pas servi de leçon.

Elle passa sa main sur les fesses déjà bien colorées :

— Tu vas voir comme je vais bien le soigner ton bon gros derrière, ça va te cuire longtemps crois-moi.



Elle leva la brosse et Caroline poussa un cri déchirant. Bientôt le bruit des claques sur la peau nue fut masqué par les cris et les pleurs de la punie. Elle se contorsionnait sur les cuisses de sa mère, mais bien tenue par la taille, son fessier cramoisi ne pouvait éviter la brûlure du redoutable instrument. Ses jambes battaient l’air, ses fesses s’ouvraient, mais rien n’arrêtait la sévère maman.

Soudain un petit cri retenti :

— Oh pardon, je vous dérange ?

Julie leva la tête et aperçu Kate :

— Pas du tout, j’en ai presque fini avec cette chipie.

La fessée continua encore quelques instants accompagnée par les pleurs et les supplications de Caroline. Le sourire aux lèvres, la jeune anglaise semblait prendre beaucoup de plaisir à assister à la correction de son amie.

Enfin Julie cessa la punition et fit relever sa fille, les larmes coulant sur ses joues rouges de honte, Caroline porta ses mains à ses fesses pour les frotter. Kate se mit à rire :

— On dirait que ça chauffe. Chez moi en Angleterre, on a pas le droit de frotter ses fesses après la fessée, mais il faut avouer que Caroline est vraiment mignonne en train de frotter son popotin.

Julie était vraiment ravie, sa colère était presque retombée sous l’effet de la remarque ironique de Kate :

— Chez moi aussi on ne frotte pas ses fesses, tu vas cesser immédiatement ces gamineries si tu ne veux pas revenir sur mes genoux.

Caroline retira ses mains de sa croupe enflammée, elle baissait les yeux pour ne pas croiser le regard de Kate, Julie ajouta :

— Ta punition n’est pas terminée, on verra pour la suite ce soir, en attendant tu vas dans ta chambre et ne t’avise pas d’en sortir avant que je t’en donne l’autorisation. Tu tiens ta jupe retroussée qu’on voie bien ton derrière tout rouge ! Allez files !

La croupe écarlate apparut, encadrée par la culotte et la jupe et c’est dans cette tenue, les fesses se balançant au rythme de la marche que Caroline gagna sa chambre.

Julie se tourna vers sa jeune professeure :

— Je suis désolée de t’avoir imposé cela, mais cette punition ne pouvait pas attendre.

Kate se mit à rire à nouveau :

— Ne sois pas gênée, c’est normal, comment dit-on chez vous ? Il faut battre le fer quand il est chaud… Enfin pour le coup ce n’est pas le fer, mais les fesses de Caroline.

Julie l’approuva en riant également :

— Effectivement, elles sont bien chaudes maintenant.

Kate redevint sérieuse :

— Bon, si nous passions aux choses sérieuses, tu as bien travaillé ?

Julie se sentit rougir, elle comptait réviser la liste de vocabulaire avant l’arrivée de Kate, mais l’épisode de la fessée de Caroline avait perturbé ses plans. Elle répondit rapidement :

— Euh, oui… J’ai fait la traduction, tu veux la voir ?

Kate s’amusa de la petite gêne de sa nouvelle élève, d’un air mutin elle lui répondit :

— Bien sûr, tu imagines que je suis venu pour quoi ? Mais à propos, je pense que pendant que nous serons en cours, c’est plus correct que tu me vouvoies et que tu m’appelles miss. Ça sera quand même plus sérieux.

Un peu surprise par cette demande qui jurait un peu avec le ton enjoué de la jeune anglaise, Julie approuva :

— Euh, oui si vous voulez made… pardon miss…

— Miss Kate !

— Oui, oui excusez-moi miss Kate.

La jeune anglaise désigna une chaise :

— Asseyons-nous et montre-moi ton devoir.

Julie lui tendit son cahier, elle se sentait comme une écolière devant son institutrice, elle sentit une légère rougeur sur ses joues. Kate en souriant parcouru le texte, elle leva les yeux vers la sévère maman :

— J’avais dit pas de Google traduction !

Julie piqua un énorme fard, prise au dépourvu, elle bégaya :

— Euh, euh, bien sûr miss Kate, je… je ne l’ai pas utilisé, je vous assure…

Kate planta ses yeux verts dans ceux de Julie :

— Ne rajoute pas le mensonge à ta désobéissance !!

Julie baissa les yeux, elle était revenue trente-cinq ans en arrière quand elle se faisait réprimander par son institutrice. La jeune anglaise poursuivi :

— Ça se voit comme le nez au milieu de la figure que tu as utilisé Google. Nous réglerons ce petit problème tout à l’heure, en attendant voyons si tu as appris la liste de vocabulaire.

Le sol semblait s’effondrer sous les pieds de Julie qui avait perdu de sa superbe, dès que Kate commença à énumérer le premier mot de la longue liste, tout se brouilla dans son cerveau. Elle ne se souvenait de rien. La jeune professeure fit une moue :

— Tu n’as rien appris ? As-tu une explication à me donner ?

La maman redevenue une mauvaise élève ne répondit pas, Kate s’était approchée et l’avait saisi par l’oreille, Julie poussa un petit cri de surprise :

— Aïe, non, non… miss Kate pardon…

La jeune femme força son élève à se lever en tirant légèrement sur son oreille :

— Le dernier mot de la liste c’est bare bottom spanking, je suppose que tu sais le traduire ?

Julie était rouge comme une pivoine, elle bégaya :

— Euh, euh… Pardon miss… aïe, non… Non.

La main de Kate avait claqué légèrement le derrière de Julie par-dessus sa jupe, elle souriait :

— J’attends la traduction, vite !

Une autre claque atterrit sur le large fessier de la maman de Caroline :

— Euh… Oui… fessée déculottée…

Kate se mit à rire :

— Exactement, c’est au moins un mot que tu as appris. Dis-moi ma petite Julie, à ton avis qu’est-ce qui arriverait à Caroline si sa maman apprenait qu’elle à triché pour faire un devoir et qu’elle n’a pas appris sa leçon ?

Julie ne savait plus où se mettre, elle tenta de se sortir de cette situation gênante :

— Oui, je sais que j’ai fait une bêtise, je suis désolée. Ça ne se reproduira plus.

Kate la fixait intensément :

— Tu n’as pas répondu à ma question ma petite Julie.

La sévère maman se reprit à bafouiller, le fait que Kate l’appelle « ma petite Julie », alors qu’elle avait quarante-huit ans, était encore plus déstabilisant :

— Euh, euh, miss Kate… Je… Je… Oui mais quand même… je ne suis plus une gamine tout de même…

Kate lui saisit à nouveau l’oreille et la tira vers le haut, Julie poussa un petit cri, surtout que l’autre main de la jeune anglaise avait à nouveau claqué ses fesses :

— Aïe, aïe… oui pardon miss Kate, je sais que je mérite d’être punie…

La jeune femme souriait, satisfaite du résultat, son caractère dominateur et son attirance pour la fessée était comblé :

— À nous y voila, c’est bien de le reconnaître ma petite Julie. Et à ton avis quelle punition serait adéquat ?

Elle s’amusait de la gêne de cette dame de quarante-huit ans, redevenue en un instant une adolescente craignant la sévérité de sa maîtresse. Elle lui lâcha l’oreille et mis son doigt sous le menton de Julie pour la forcer à la regarder en face :

— Tu dois bien avoir une petite idée, si j’en juge par la couleur des fesses de Caroline, tu en connais un rayon en matière de punition pour les désobéissantes et les paresseuses.

Julie ne répondit pas, Kate en souriant lui asséna le coup de grâce :

— Moi je pense que tu le sais, mais que tu n’oses pas me le dire, je vais donc t’aider. I think you deserve a good bare bottom spanking.

Elle souriait toujours en guettant la réaction de Julie, elle avait parlé volontairement en anglais pour bien souligner le caractère solennel de la punition. La maman de Caroline avait pâli, elle redoutait ce moment, elle savait qu’elle ne pouvait plus reculer, elle tenta le tout pour le tout :

— Mais enfin Kate, tu n’y penses pas, je pourrais être ta mère et puis il y a Caroline dans sa chambre.

Elle avait volontairement employé le tutoiement pour essayer d’amadouer la sévère anglaise, mais le fait d’évoquer la présence de Caroline, c’était avouer implicitement qu’elle acceptait la sanction, mais qu’elle tentait de la différer. Son espoir fut vite refroidi, une nouvelle claque atterrit sur ses fesses :

— Pardon ? Comment dois-tu m’appeler ?

Julie baissa la tête :

— Pardon, pardon miss Kate.

La jeune anglaise lui avait à nouveau saisi l’oreille :

— Je pense que nous allons avoir beaucoup de travail ma chérie, mais rassure-toi, miss Kate connaît les bonnes méthodes pour soigner la paresse, le mensonge et l’insolence. Si je compte bien, tu mérites trois fessées, nous n’avons pas de temps à perdre.

Elle s’était assise sur une chaise tenant toujours l’oreille de son élève, celle-ci fut forcée de la suivre et un instant plus tard, Julie se retrouva dans la position qu’elle faisait prendre à Caroline bien souvent, Kate la positionna correctement en la faisant basculer vers l’avant, ses pieds décollèrent du sol, la fesseuse tapota le derrière tendu sous la jupe :

— Tu es bien installée ? Nous en avons pour un moment. Pour répondre à ta question au sujet de Caroline, je ne pense pas qu’elle ne va se risquer à sortir de sa chambre après la déculottée que tu lui as administrée et il ne tient qu’à toi de ne pas trop faire de bruit si tu ne veux pas qu’elle sache que sa maman est en train de recevoir une bonne fessée déculottée.

Elle retroussa largement la jupe sur les reins, Julie portait une culotte blanche légèrement échancrée qui laissait voir la base de son fessier, ce n’était pas une culotte de petite fille qui reçoit encore la fessée, mais elle était assez sage tout de même. Kate apprécia à sa juste valeur le spectacle, ce n’était pas tous les jours qu’elle aurait l’occasion d’avoir couchée sur ses genoux une dame de quarante-huit ans, qui plus est troussée et bientôt déculottée.



Elle caressa la fine lingerie, Julie tressaillit, elle avait poussé un petit cri en sentant sa jupe se relever, elle avait encore l’espoir d’échapper à la honte du déculottage. Elle gémit, la main de Kate venait de frapper alternativement la base des deux fesses. Elle avait oublié combien ça brûlait une fessée, la dernière qu’elle avait reçue remontait à vingt-huit ans en arrière. La jeune anglaise avait visé la base des fesses qui n’était pas recouverte par le fin tissu, c’était une zone encore plus sensible.

— Aïe… aïe, aïe, aïe…

La fessée continuait et la peau se mit à rougir rapidement, la main cessa de claquer et Julie sentit avec horreur les doigts de sa jeune professeure se glisser dans la ceinture et sa culotte descendre lentement sur ses rondeurs :

— Noonn, non, miss Kate s’il vous plaît pas la culotte…

Elle se mit à pleurer et Kate à rire :

— Eh pourquoi donc pas la culotte ?

— Oh miss Kate, j’ai trop honte, pas la culotte… à mon âge…

Elle avait essayé d’attraper la main de la jeune femme pour l’empêcher de la déculotter. Calmement celle-ci lui coinça le bras dans le dos et claqua sèchement l’arrière des cuisses :

— J’ai dit a good bare bottom spanking ma petite Julie. Ça veut dire que je vais te baisser la culotte que ça te plaise ou non. Tu viens juste de gagner une fessée plus sévère. Quand miss Kate décide une punition tu dois l’accepter sans discuter sinon elle est doublée. Tu vas donc recevoir deux cents claques sur chaque fesse au lieu des cents prévues.

Julie se mit à gémir, jamais elle n’aurait pu imaginer se retrouver dans une situation pareille. En tournant la tête elle put se voir dans la glace, elle était dans cette position ridicule et humiliante, les fesses dénudées pointées vers le ciel sous le regard ironique de cette jeune femme qui aurait pu être sa fille, elle la vit lever la main et immédiatement le claquement sec sur la peau nue, accompagné d’une brûlure :

— Aïe, aïe, aïe…



Les claques se succédaient à un rythme effréné, apparemment Kate avait une grande habitude de la fessée. La cuisson intense de son fessier fut vite intolérable, Julie exécuta une magnifique danse des fesses, ses pieds battaient l’air frénétiquement, elle se mit rapidement à pleurer autant de honte que de douleur, recevoir ce châtiment humiliant à quarante-huit ans n’était vraiment pas banal. La correction ne fut pas trop longue mais suffisamment cuisante pour que Julie s’en souvienne, chacune de ses fesses avait reçu deux cents claques.

Kate la fit se relever et après lui avoir saisi l’oreille elle la conduisit devant la table :

— Tu vas me recopier la liste de vocabulaire dix fois, tache de bien écrire !

La culotte de Julie était entortillée autour de ses chevilles, elle lui remonta à mi-cuisse :

— Tu retrousses ta jupe, je veux que tu sentes bien tes fesses ! Maintenant au travail !



Kate s’installa confortablement dans le canapé et regarda son élève, les fesses nues posées directement sur la paille de la chaise, c’était un spectacle très excitant. Discrètement, elle glissa sa main sous sa jupe et se caressa, depuis qu’elle était en France, c’était la première fessée qu’elle administrait, chez elle ce n’était pas rare, ses petites amies repartaient souvent de sa maison avec une paire de fesses bien rouges sous leur petite culotte.

Julie avait mis un petit quart d’heure pour copier dix fois la liste de noms, d’une voix timide elle appela Kate :

— Euh, miss Kate, j’ai fini.

En souriant la jeune anglaise se leva et prit la feuille :

— C’est bien, tu t’es appliquée, lève-toi et tourne-toi.

Intimidée, redevenue une élève obéissante, Julie s’exécuta. Kate retroussa la jupe et le coinça dans la ceinture, puis elle prit une règle plate posée sur la table. Elle s’installa à nouveau dans le canapé et fit venir son élève à côté d’elle. Julie était debout tournée de profil, ses fesses nues étaient presque à hauteur des yeux de sa jeune professeure :

— On va voir si tu as un peu mieux retenu les noms anglais.

Elle commença l’interrogation, copier dix fois la liste avait aidé Julie à retenir un peu mieux le vocabulaire, mais elle trébucha quand même rapidement sur plusieurs mots plus compliqués. Immédiatement la règle claqua sèchement son derrière :

— Bottom !! tu devrais quand même savoir que c’est le derrière, le tien n’est pas assez rouge !!

Julie trépigna sur place sous la morsure de la règle :

— Aïe, aïe, oui, oui pardon miss Kate.

L’interrogation dura un moment et la règle claqua un nombre conséquent de fois la belle croupe de la maman de Caroline. Quand ce fut terminé, la jeune femme prit la feuille et conduisit Julie au coin de la pièce, elle lui appuya la tête contre le mur et glissa la feuille devant son visage :

— Tu vas tenir cette feuille avec ton nez et tu mets tes mains sur la tête, tu resteras là pendant dix minutes à réfléchir aux conséquences de ta paresse.



C’est très long dix minutes au coin le nez collé contre le mur, Julie avait des crampes dans les bras quand Kate leva la pénitence. Mais la punition de Julie n’était pas finie, Kate lui avait promis trois fessées :

— Va chercher le martinet.















3 commentaires:

  1. Beautifully wrote. Enjoyed the Kate's dominance.

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  2. Julie a reçu une bonne fessee déculottée devant sa fille ....oh la honte... bravo pour cet episode

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  3. Comme j’aimerais être a la place de Julie et goûté a l’éducation anglaise 🔥
    Je vais me remettre a l’anglais, juste pour recevoir une bonne fessée déculottée 🔥🍑🔥

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Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après...