Mère et fille aux fesses bien rouges
— Va chercher le martinet !!
Julie n’était plus en état de protester, elle se dirigea vers la cuisine et revint quelques secondes plus tard en tenant l’instrument de sa punition. Kate s’en saisit, elle caressa les lanières :
— Ma petite Julie tu as été vraiment une vilaine fille et je crois qu’en France les vilaines filles reçoivent le martinet sur leur derrière. Exact ?
Julie baissa les yeux, c’était inimaginable, quand elle avait retrouvé le martinet familial et qu’elle avait eu l’idée de le suspendre dans la cuisine, elle n’aurait jamais imaginé qu’il serve un jour sur ses propres fesses. Elle poussa un cri et sursauta, les lanières venaient de cingler ses mollets :
— Je t’ai posé une question !
Le regard de Kate était à nouveau sévère, Julie avait l’impression d’être devant sa mère quelques trente années plus tôt, il lui fallait se rendre à l’évidence, elle était redevenue une grande fille punie malgré ses quarante-cinq ans passés :
— Oui, miss Kate…
— Oui quoi ?
Le martinet cingla les cuisses.
— Aïe, aïe… oui je mérite le martinet miss Kate.
La jeune anglaise se mit à rire :
— A la bonne heure, la fessée déculottée fait des miracles, tu deviens obéissante ma petite Julie.
Elle plaça le manche du martinet sous le menton de son élève et lui fit lever la tête :
— Oui tu mérites une bonne fessée avec ce joli martinet. Mais comme c’est la première fois que je l’utilise, tu vas m’expliquer comment je dois m’en servir, quelle position dois-tu prendre pour bien la recevoir ?
C’était une idée perverse, car ce n’était pas très difficile de deviner comment utiliser un martinet, mais elle voulait parfaire la soumission de sa grande élève.
Julie était rouge de honte, Kate fit mine de lever le martinet pour cingler à nouveau, il lui fallait à nouveau répondre :
— Oui miss Kate, quand je donne la fessée à Caroline avec le martinet, elle doit se mettre à genoux sur le fauteuil et tendre ses fesses.
Julie était au supplice de devoir expliquer la position que sans doute elle allait être obligée de prendre. Kate la regardait en souriant, les joues de la maman punie étaient de la même couleur que ses fesses :
— C’est intéressant, il n’y a pas d’autres positions ?
Julie réfléchit un instant avant de répondre, elle n’utilisait que cette position avec Caroline, mais sa mère la faisait quelquefois se courber sur la table de la cuisine avant de la trousser et de la déculotter, quant à sa grand-mère elle se contentait de la coincer sous son bras et de la courber avant de lui cingler aussi bien les cuisses que les mollets et les fesses.
Elle expliqua donc à sa jeune professeure ces différentes possibilités, celle-ci caressait les lanières tout en fixant Julie, elle désigna la table :
— La table me parait être parfaite, ton derrière sera bien présenté, ma mère utilise cette position pour la strap. Tends bien tes jolies fesses.
Julie s’exécuta, Kate lui fit écarter les jambes autant que la culotte baissée à mi-cuisse le permettait, elle tapota la croupe tendue :
— Te voila en bonne position ma petite Julie, c’est ta deuxième fessée, la première c’était pour ta paresse, celle-ci c’est pour ton mensonge.
Elle fit glisser les lanières sur l’épiderme enflammé :
— Comme c’est la première fois, ce sera vingt coups de martinet, mais je ne serai pas toujours si gentille.
Julie honteuse de présenter ainsi son derrière se mit à gémir, elle ne trouvait pas Kate particulièrement gentille :
— Oh… pardon miss Kate, promis je ne recommencerai plus.
La jeune anglaise était vraiment ravie, si Julie avait pu voir le sourire éclatant qui illuminait son visage. Avoir à sa disposition cette magnifique paire de fesses bien rebondie, la soumission de cette dame qui aurait pu être sa mère, tout ceci la comblait. Elle tapota à nouveau les fesses de sa grande élève :
— J’en suis persuadée ma petite Julie, c’est fait pour ça la bonne fessée déculottée de miss Kate, tu es prête ?
Sans attendre la réponse, elle leva le martinet et cingla sèchement la large croupe.
Julie poussa un cri et fit mine de se relever, le deuxième coup atteignit le haut des cuisses, juste sous le pli fessier, en même temps que Kate l’avertissait :
— Ne t’avise pas de bouger sinon la punition sera doublée, c’est comme ça en Angleterre.
Julie cria plus fort, la brûlure était intense, elle se mit à trépigner sur place, mais elle garda la position. Son fessier était maintenant rouge brique, la rougeur descendait sur l’arrière des cuisses. Elle songea au jour où elle avait administré une correction de cinquante coups de martinet sur les fesses de Caroline, la pauvre avait eu certainement le derrière en feu. Pour le moment le sien n’était plus qu’une boule incandescente, la raie médiane s’ouvrait et se fermait au rythme de ses piétinements, elle aurait tellement aimé se frotter les fesses. Kate ne lui en laissa pas le temps ;
— File te mettre au coin, tu connais la position !! On va laisser refroidir ton derrière avant la dernière fessée.
La jeune anglaise ne résista pas au plaisir de prendre une photo de Julie exposant ses fesses écarlates. Elle savait que la punie ne bougerait pas, elle décida d’aller voir Caroline.
Elle monta l’escalier, elle connaissait le chemin, elle entra dans la chambre sans frapper, la jeune femme sursauta, elle était couchée sur son lit, sa jupe était retroussée. Kate se mit à rire :
— Mademoiselle a frotté ses fesses après la fessée déculottée, tu sais que c’est interdit.
Caroline était rouge de honte, sa copine l’avait vue en fâcheuse posture en train de recevoir un châtiment enfantin et en plus elle se moquait d’elle. C’est vrai qu’elle avait frotté son derrière, ça la cuisait vraiment trop. Elle tira sur sa jupe, mais Kate l’arrêta :
— Non, non laisse ta jupe où elle est, je voudrais bien voir tes petites fesses, est-ce qu’elles sont encore rouges ?
Caroline fit la moue :
— Ah non, pas question !
Le regard de Kate se fit plus sévère :
— Tu ne devrais pas me parler comme ça ma chérie, tu veux que j’aille raconter ça à ta maman ?
Caroline la regarda interdite :
— Tu ferais ça ?
Le sourire de Kate la rassurait à moitié, mais la sentence tomba :
— Bien sûr et même que je pourrais raconter à quelques personnes bien intentionnées que je t’ai vu tortiller tes petites fesses bien rouges quand tu étais couchée sur les genoux de ta mère.
Caroline resta bouche bée. Non, tout mais pas ça :
— Non, non, s’il te plaît Kate, je ferai tout ce que tu voudras.
La jeune anglaise voyait tous ses plans se réaliser, après la mère, c’était la fille qui allait être à sa disposition :
— Tu vas commencer par te mettre sur le ventre et te déculotter pour me montrer ton derrière, après on verra.
Complètement affolée à l’idée que ses amies puissent savoir qu’elle recevait encore la fessée déculottée, Caroline se retourna et baissa sa culotte.
Julie avait été sévère, en effet une heure après la fessée, la croupe de sa fille en portait encore les stigmates, une jolie rougeur couvrait l’ensemble du fessier. En amatrice éclairée, Kate appréciait le spectacle, son amie avait vraiment un joli derrière. Elle s’approcha et caressa les fesses :
— Ta maman ne t’a pas loupée, mais elle était méritée n’est-ce pas ?
Caroline ne savait pas trop à quoi s’en tenir, elle répondit timidement :
— Euh, oui, oui, mais ça brûle tu sais.
C’était une manière de justifier son frottage de fesses, mais elle était un peu honteuse de s’exhiber ainsi déculottée, elle n’osait pas bouger. Kate lui claqua légèrement la croupe :
— C’est fait pour ça la fessée ma petite chérie et celle que je vais te donner va te brûler aussi.
Caroline la regarda incrédule, passe que sa mère lui administre ce genre de punition, c’était difficile à accepter, mais elle n’y pouvait rien. Par contre que son amie anglaise veuille faire de même c’était intolérable. Elle ouvrit la bouche pour protester, mais elle n’eut pas le temps, déjà Kate lui avait saisi l’oreille pour la faire se relever :
— On ne doit pas frotter ses fesses après la fessée, tu le sais pourtant. Ta maman t’administrerait certainement une fessée supplémentaire, pour le moment elle en est empêchée, je vais donc la remplacer.
Caroline se mit à gémir :
— Non, s’il te plaît Kate, j’ai déjà les fesses en feu, promis je ne recommencerai plus.
La jeune anglaise la tenait toujours par l’oreille, elle était debout maintenant, elle claqua sèchement les fesses de Caroline :
— Cesse de pleurnicher, si tu continues je prends la brosse à cheveux comme ta mère.
Les gémissements cessèrent immédiatement, Caroline venait de comprendre que Kate ne plaisantait pas. Décidément la vie devenait compliquée, elle se laissa coucher en travers des cuisses de son amie. Celle-ci lui caressa les fesses, elles étaient vraiment appétissantes et tout à fait au goût de la jeune anglaise, elle était bisexuelle et sensible aux charmes de cette petite française, la mettre dans son lit lui semblait une agréable perspective.
En attendant, elle lui avait promis une fessée, il fallait lui administrer, elle souriait en voyant la légère chair de poule qui recouvrait les fesses de Caroline, « ma petite chérie, tu as raison de frissonner, tu vas voir comme Kate sait bien rougir les derrières, tu n’as pas fini d’avoir chaud au cul », elle se mit à rire silencieusement, elle faisait des progrès en français, elle adorait cette expression.
Elle leva la main et immédiatement Caroline se mit à pleurer, la fessée était vraiment très forte, elle n’aurait jamais pensé que son amie soit une fesseuse aussi aguerrie, elle eut rapidement le feu au derrière comme l’avait prévu la jeune anglaise. La correction ne dura pas très longtemps, juste le temps de couvrir la jolie croupe d’un rouge profond, puis Kate la fit relever et la guida pour qu’elle s’asseye sur ses genoux :
— Voilà ma chérie, une bonne petite fessée déculottée. À partir de maintenant tu peux préparer tes fesses, chaque fois que tu la mériteras tu viendras faire un petit séjour sur mes genoux.
Caroline sanglotait doucement, Kate glissa sa main sous la croupe brûlante :
— Arrête de pleurnicher, ça va te faire du bien tu verras. Tu as vraiment des fesses très mignonnes et je vais m’en occuper autrement tout à l’heure. Pour le moment je vais te faire une petite surprise, ça va te consoler très rapidement à mon avis.
Elle fit relever son amie et mit un doigt sur sa bouche :
— Viens avec moi, il y a quelqu’un qui attend au salon.
En entrant dans la pièce, Caroline failli pousser un cri mais le signe de son amie avec son doigt sur la bouche la retint. C’était bien sa mère qui était au coin le nez contre le mur, les mains sur la tête, la culotte baissée à mi-cuisse et exposant une magnifique paire de fesses bien rouges. Kate indiqua à Caroline un fauteuil et lui fit signe de s’y asseoir. Puis elle se dirigea vers la mère de famille punie et lui prit l’oreille :
— Viens un peu ici vilaine fille insolente, c’est l’heure de ta dernière fessée.
En se retournant, Julie découvrit avec horreur sa fille assise en face d’elle, le sourire éclatant qui illuminait son visage était éloquent, elle tenait sa revanche. Kate continua de tirer sa grande élève par l’oreille pour l’amener au centre de la pièce où trônait toujours la chaise qui avait servi à la première correction, devant le regard affolé de Julie, elle se mit à sourire également :
— Afin que la leçon soit plus profitable et que je sois sûr que tu ne recommences plus, j’ai pensé qu’une fessée déculottée en public serait la bienvenue.
Kate ne s’attarda pas aux gémissements de sa punie qui trouvait qu’elle lui tirait l’oreille un peu fortement et elle la fit basculer en travers de ses genoux, elle s’adressa à Caroline :
— Ma chérie, peux-tu me faire passer la brosse à cheveux qui a servi tout à l’heure sur tes fesses. L’insolence de Julie mérite d’être sévèrement punie et son bon gros derrière va certainement apprécier de connaître à nouveau la cuisson de la brosse.
La jeune femme était radieuse, bien sûr elle était toujours cul nu et Kate venait de lui rappeler qu’elle avait reçu également une bonne correction. Mais voir sa mère déculottée, couchée en position disciplinaire compensait largement la cuisson de ses fesses et la honte d’être traitée comme une gamine. Elle tendit le redoutable instrument de punition à la jeune anglaise.
Julie sanglotait déjà, autant de honte que de la crainte de sa nouvelle punition, Kate caressa les fesses encore rouges avec le dos de la brosse :
— J’espère que tu as bien honte de montrer tes fesses à Caroline, tu peux pleurer, ça ne changera rien. Je t’ai promis trois fessées et je tiens toujours mes promesses. Est-ce que tu seras encore paresseuse, menteuse et insolente ?
Julie serrait déjà les fesses dans l’attente de la première claque, la brosse tapota un peu plus sèchement le derrière :
— Non, non miss Kate, promis je ne recommencerai plus.
Caroline était sidérée d’entendre sa mère parler à Kate comme si elle était une gamine, quel changement, elle d’habitude si stricte, elle parlait d’une petite voix en pleurnichant. La jeune anglaise fit un petit clin d’œil à son amie :
— J’espère bien, sinon la prochaine fois la punition sera plus sévère et tu auras droit une fessée déculottée en public, je m’arrangerai pour qu’il n’y ait pas que Caroline, tu peux compter sur moi. En attendant on va finir de bien rougir ton bon gros derrière pour que tu penses à miss Kate à chaque fois que tu t’assiéras.
Elle ceintura fermement sa punie et leva la brosse, malgré son désir de ne pas se donner en spectacle devant les deux jeunes femmes, Julie ne put retenir ses cris et bientôt ses larmes. La brûlure devait être intense si on en jugeait aux battements désespérés de ses jambes. Elle essaya de protéger sa croupe avec sa main, mal lui en prit, car la brosse claqua sévèrement l’arrière de ses cuisses pendant que Kate lui saisissait la main pour la coincer dans le dos :
— Ah je vais t’apprendre à mettre ta main, tu vas avoir les cuisses aussi rouges que les fesses !!
Julie hurla de plus belle sous le regard amusé de sa grande fille.
La fessée dura un peu plus longtemps que prévu en raison de cette petite rébellion et c’est une Julie au visage baigné de larmes qui se releva, sa croupe n’était plus qu’une grosse boule rouge, tellement les deux hémisphères étaient serrés sous la douleur, elle trépignait sur place.
Kate l’avait à nouveau saisie par l’oreille, à sa grande surprise elle ne la conduisit pas au coin, mais vers la table :
— Assieds-toi et prend ton stylo.
Elle posa un cahier devant elle :
— Écris : i am a naughty schoolgirl, i deserve a good bare bottom spanking.
La sévère mère de famille s’appliqua, Kate jeta un coup d’œil sur le cahier :
— C’est bien, tu peux me traduire cette phrase ?
Surprise, Julie hésita, elle regardait sa jeune professeure d’un air intimidé, celle-ci tapota la paume de sa main avec la brosse :
— Tu veux revenir sur mes genoux ?
— Non, non miss Kate… Euh… je suis une vilaine écolière, je mérite une bonne fessée déculottée.
Kate souriait, ravie de la honte de sa grande élève, elle se tourna vers Caroline :
— Les bonnes vieilles méthodes ont quand même du bon, notre petite Julie vient de faire d’énorme progrès en anglais.
Elle tapota la tête de son élève :
— C’est parfait, tu vas me copier cent fois la phrase et sa traduction, tâche de t’appliquer sinon gare à tes fesses.
Elle se tourna vers son amie :
— Maintenant, à nous deux, tu files dans ta chambre, je te suis.
Elle avait claqué en riant les fesses nues de caroline pour l’inviter à se dépêcher.
Quelques instants plus tard, Caroline était à nouveau couchée sur ses genoux, mais ce n’était pas pour recevoir une fessée, elle se livra à un examen minutieux de la raie fessière, puis de la petite rondelle qu’elle força avec son doigt, ensuite sa main s’égara plus bas entre les cuisses pour titiller les lèvres. Caroline gémissait doucement, son amie lui claqua doucement les fesses :
— Ton petit cul est vraiment adorable ma chérie. Tu vas te déshabiller, je te veux toute nue pour la suite.
Caroline était toute émoustillée par ce petit hors d’œuvre, elle se dépêcha d’obéir, Kate fit de même et s’allongea sur le lit. Elle dictait sa loi, elle fit mettre la jeune femme à califourchon au-dessus d’elle pour avoir ses fesses à sa portée et ordonna :
— Tu va t’occuper de mon minou ma chérie et applique-toi, ton derrière et à ma portée.
La langue agile de Caroline eut vite fait de donner du plaisir à la sévère anglaise qui s’empressa de rendre la pareille à la petite française aux fesses bien rouges.
Bientôt elles s’enlacèrent sur le lit, Caroline désigna la porte avec un petit rire malicieux :
— Tu crois que ma petite maman a fini ses lignes ?
Kate lui passa la main sur les fesses encore rouges :
— Elle en avait pour un moment et vu la cuisson de son derrière, ça m’étonnerait qu’elle bouge avant que je lui en aie donné l’autorisation.
Caroline se lova contre son amante :
— Que c’est bon de faire l’amour après avoir assisté à la fessée déculottée de maman.
Kate se mit à rire :
— Petite coquine, ne t’inquiète pas tu y assisteras à nouveau, mon niveau d’exigence sera tel que la fessée déculottée sera inévitable.
Elle claqua les fesses de sa petite amie :
— Mais je te préviens que les tiennes sont en sursis, elles sont trop mignonnes pour rester blanches et je vais m’en occuper souvent. Quant à ta maman, ça m’étonnerait qu’elle ne se venge pas sur ton derrière des fessées qu’elle a reçues.
Caroline serra instinctivement les fesses, décidément l’avenir serait cuisant.
C’est un vrai plaisir d’avoir deux paires de fesses a corrigé !! 🍑🔥🍑
RépondreSupprimerVous avez raison et puis quoi de plus efficace qu'une bonne fessée déculottée en publique, surtout quand il s'agit d'une maman qui expose ses fesses nues.
SupprimerSylvie
Merci beaucoup pour cet épisode qui ouvre de très belles perspectives de fêtes rouge
RépondreSupprimerMerci de ce commentaire élogieux, normalement ce récit ne devait pas être long, pour le moment je n'ai pas écrit de suite. On verra si kate à vraiment envie de déculotter ces deux dames.
SupprimerSylvie