mercredi 11 septembre 2024

Deux étudiantes 16

 Cuisant retour en arrière




Brigitte Audin était rentrée chez elle un peu troublée par le spectacle des deux étudiantes déculottées mise en exposition par sa voisine Odile. Leurs croupes bien rouges et le thermomètre profondément enfoncé entre leurs fesses avaient réveillé des souvenirs cuisants chez la sexagénaire.

Madame Audin était une professeure de français en retraite, veuve depuis une dizaine d’année, elle avait fait la connaissance d’Odile en donnant des cours particuliers à ses deux filles.

Elle avait eu l’occasion de voir quelle méthode utilisait la sévère maman pour éduquer ses filles. Les châtiments corporels et particulièrement la fessée déculottée était d’usage chez Odile. Brigitte eut rapidement l’occasion d’assister à cette punition traditionnelle, alors qu’elle faisait un compte rendu peu élogieux du travail d’Amélie, celle-ci s’était retrouvée couchée sur les genoux de sa mère et prestement troussée puis déculottée sous le regard intéressé de la professeure.

Après cette sévère fessée tandis que la jeune fille pleurnichait au coin les fesses à l’air, les deux dames avaient discuté, Odile lui avait précisé qu’elle lui donnait toute latitude pour corriger ses deux filles et qu’à son avis seule l’utilisation régulière de la fessée déculottée permettrait à ses filles de progresser.

Malheureusement pour le derrière de Chloé et d’Amélie, Brigitte avait parfaitement intégré ces consignes et il ne se passait plus un cours sans que l’une ou l’autre des jeunes filles ne se retrouvent couchées sur les genoux de la professeure pour une cuisante mise au point. Pour couronner le tout, Odile appliquait scrupuleusement la règle : une fessée à l’école égale une fessée par maman à la maison. Le fait que l’école soit à la maison ne changeait rien à l’adage.

Brigitte s’y connaissait en matière de correction domestique, son mari était un partisan des méthodes traditionnelles et dès le lendemain de leur mariage il avait administré à sa jeune épouse une magistrale fessée déculottée, elle avait été suivie de nombreuses autres.

Son mari avait été conseillé par la propre mère de Brigitte qui utilisait cette méthode d’éducation traditionnelle. 



La jeune mariée était passée directement de la férule de sa sévère maman à celle non moins stricte de son mari, d’ailleurs pour faire bonne mesure, ils s’étaient quasiment passé le relais puisque Brigitte avait reçu sa dernière fessée maternelle le matin même de son mariage et la première de son époux vingt-quatre heures plus tard.

Depuis dix ans qu’elle avait perdu brutalement son mari, ses fesses étaient restées d’une blancheur virginale. La rencontre avec sa voisine Odile avait été une véritable découverte, elle s’était rendu compte que la fessée qui avait rythmé une bonne partie de sa vie lui manquait.

Elle avait découvert le plaisir d’administrer à son tour ce châtiment enfantin à ses deux élèves, elle avait apprécié de leur baisser la culotte, elle avait compris soudain pourquoi sa mère puis son mari tenait tellement à ce qu’elle porte des jupes et des culottes sage. La honte qu’elle ressentait lors du déculottage et de la mise à nu de ses rondeurs, s’était transformée en plaisir la première fois où après avoir couché Amélie sur ses genoux, elle lui avait lentement et soigneusement baissé la culotte. La découverte de ce joli fessier juvénile avait provoqué chez elle une excitation dont elle avait eu un peu honte au début, mais qui au fur et à mesure des déculottages s’était accentué au point de ne plus pouvoir s’en passer pour le plus grand malheur des fesses de ses deux élèves.



Elle avait sympathisé avec Odile qui maintenant l’invitait souvent après son cours à rester pour boire un thé, c’était un double plaisir pour elle, car la conversation roulait souvent sur le thème des châtiments corporels et que souvent elle assistait à la deuxième punition de l’élève qu’elle avait corrigée. La première fois c’était Chloé qui avait subit l’humiliation de la fessée déculottée, Odile avait dit à Brigitte :

— Puisque vous êtes là, je vais en profiter pour administrer à cette chipie la fessée que je lui dois, votre présence rendra la punition encore plus efficace.

La jeune fille avait du une deuxième fois « montrer ses fesses » comme disait sa maman, la fessée déculottée en public à dix-sept ans ce n’est jamais très agréable. Le derrière encore rosé de la correction de Brigitte avait repris rapidement une belle couleur de tomate bien mûre. La professeure s’était rendu compte que ses fessées étaient vraiment moins sévères que celle d’Odile. Chloé avait crié immédiatement et ses mignonnes petites fesses avaient effectué une très jolie danse. Elle avait fini en pleurs bien évidemment et avait été conduite au coin pour exposer son derrière bien rouge.

Mise en confiance par Odile, Brigitte s’était rapidement confiée et elle avait avoué en rougissant qu’elle connaissait très bien la fessée, mais plutôt du côté punie que fesseuse. Odile en souriant l’avait questionné habilement et bientôt elle savait tout de l’histoire de Brigitte.

La sévère maman était une amoureuse de la fessée, à partir de cet instant elle n’eut de cesse que de découvrir le fessier de sa voisine.

Brigitte avait été impressionnée par l’autorité naturelle d’Odile, elle l’invita également à prendre un thé, elle avait ajouté en souriant :

— Nous serons plus tranquilles pour parler.

Elles étaient assises face à face, quand Odile aborda frontalement le sujet :

— Alors comme ça ma chère, vous n’avez plus reçu la fessée depuis le décès de votre mari ?

Brigitte surprise la regarda en rougissant :

— Euh, c’est-à-dire… Oui… Mais…

Sa phrase resta en suspens, Odile la fixait intensément, augmentant son trouble :

— Vous aviez quel âge quand il est décédé ?

— Cinquante-cinq ans, pourquoi ?

Odile avait un sourire gourmand, Brigitte répondait à ses questions et elle n’avait pas changé de conversation, il fallait continuer de la cuisiner pour la mettre en confiance :

— Vous vous êtes mariée à quel âge ?

Brigitte ne voyait pas bien où sa voisine voulait en venir :

— A vingt-deux ans.

— Vous receviez souvent la fessée ?

Les joues de Brigitte s’empourprèrent :

— Euh, oui, enfin ça dépend…

— Comment ça ? Ça dépend de quoi ?

Odile s’amusait de la gêne de sa voisine, celle-ci avait vingt ans de plus qu’elle, mais elle était comme une gamine interrogée par son institutrice, Odile avait pris un ton un peu plus sec, Brigitte était de plus en plus rouge :

— Ben, ça dépendait des semaines, de toute façon, il y avait toujours la fessée de maintenance du samedi.

— Ah oui ? Un panpan cucul tous les samedi ?

Brigitte se sentit obligée de rentrer dans les détails de la discipline domestique instaurée par son époux :

— Oui tous les samedi, il m’administrait une fessée, il disait que c’était pour que je sache ce qui allait m’arriver si je faisais des bêtises dans la semaine.

— Une vraie fessée ? Déculottée ?

Brigitte regarda Odile d’un air surpris, elle avait toujours été déculottée pour recevoir cette punition, y compris quand c’était sa mère qui s’occupait de son éducation. Une fessée ne s’entendait que cul nu comme disait sa maman.

Odile le savait pertinemment, mais elle voulait que Brigitte fasse cet aveu honteux à haute voix, « oui jusqu’à cinquante-cinq ans j’ai reçu la fessée déculottée couchée sur les genoux de mon mari »

Brigitte mise en confiance par le sourire d’Odile, entra dans les détails :

— Bien sûr c’était toujours cul nu, si je n’avais pas été punie dans la semaine, c’était une simple fessée déculottée à la main, mais toujours très forte, Alex ne savait pas donner de petites fessées. Par contre si j’avais été corrigée dans la semaine, la punition était plus sévère, il utilisait des instruments.

La sévère maman buvait les paroles de sa voisine, décidément de belles perspectives s’ouvraient à elle :

— Des instruments ? Quel genre ?

Brigitte regarda Odile, elle ressemblait de plus en plus à sa mère ? À sa façon de l’interroger, on ne pouvait que répondre :

— Le plus classique, c’était le martinet, maman lui avait offert dès notre première semaine de mariage.

Odile se mit à rire :

— Eh bien dites-moi, votre maman tenait à votre éducation. Elle vous a corrigé jusqu’à vingt-deux ans ?

La professeure la regarda songeuse :

— Oh oui, maman était un peu comme vous avec Amélie et Chloé, elle disait qu’il n’y a pas d’âge pour la fessée déculottée et que tant que je serais à la maison, je devrais lui montrer mes fesses si c’était nécessaire.

Odile approuva :

— C’est sûr, la fessée est de plus en plus efficace quand on prend de l’âge.

Elle avait plongé ses yeux dans ceux de sa voisine.

— Vos jolies fesses ont été rougies sans interruption jusqu’à cinquante-cinq si je comprends bien.

— Euh… oui, vous comptez bien.

Brigitte avait jeté un regard coquin à la maman sévère. Celle-ci nota que sa voisine n’était pas choquée par son interrogatoire.

— Il n’utilisait que le martinet ?

— Oh non… il y avait le paddle.

Brigitte avait répondu très vite.

— Le paddle ?

— Oui, vous ne connaissez pas ?

Elle se leva pour aller dans sa chambre et en revint quelques instants plus tard tenant les deux instruments. Odile reconnut immédiatement le martinet familial, le même que celui qui était suspendu dans sa cuisine, les lanières étaient polies et luisantes, signe d’une utilisation fréquente et d’un entretien parfait. Elle s’intéressa ensuite à l’autre instrument tenu par Brigitte. Une sorte de raquette en bois percée de trous, elle tendit la main et sa voisine lui confia le redoutable instrument de punition. Elle la soupesa et jeta un regard rieur à l’ancienne professeure :

— C’est lourd, ça doit bien claquer sur le derrière.

Brigitte fit une moue, sa dernière fessée avec le paddle semblait encore lui brûler les fesses dix ans plus tard :

— Ça, vous pouvez me croire, quand je voyais le paddle posé sur la table du salon, je n’en menais pas large.

En souriant, Odile le posa exactement au même endroit :

— Dites-moi Brigitte, dix ans sans montrer vos fesses… Ça ne vous manque pas ?

Elle avait décidé d’attaquer frontalement Brigitte, celle-ci lui avait prouvé avec ses confidences que la fessée déculottée avait fait partie de sa vie. Les joues de la professeure s’empourprèrent à nouveau :

— Oh, Odile… que voulez-vous dire ?

Elle ne s’était pas offusquée et n’avait pas répondu par la négative, la partie était quasiment gagnée. La sévère maman souriait toujours, elle prit le martinet et caressa les lanières :

— C’est très simple ma chère, si votre mari a été obligé de vous corriger à la suite de votre maman pendant plus de trente ans, je pense que vous le méritiez n’est-ce pas ?

— Euh… oui sans doute.

— Et comme par enchantement vous êtes devenue sage à la disparition d’Alex ?

Brigitte sentit le piège se refermer, bien sûr, toute sa vie elle avait été soumise à une stricte discipline et elle s’en était accommodée, mais depuis dix ans elle en avait perdu l’habitude. Elle regarda Odile, sa voisine à cet instant n’avait plus vingt ans de moins qu’elle, c’était une sévère maman qui la regardait tranquillement et qui sans rire lui disait qu’elle méritait certainement la fessée.

Odile se leva et prit une chaise qu’elle installa au milieu du salon, puis elle s’y assit :

— Il est temps de solder vos comptes ma chère.

Brigitte était écarlate, elle tenta une diversion en bredouillant :

— Mais… que… voulez vous, Odile… Je… enfin quand même…

La sévère maman avait soudain le même regard qu’avec ses filles :

— Brigitte !! Cessez ces enfantillages, que faisait votre mère quand vous refusiez votre punition ?

— Euh… oui madame, je…

— Que vous arrivait-il ?

Brigitte était redevenue une adolescente :

— La fessée était doublée madame…

— Eh bien, vous venez de gagner une deuxième fessée déculottée ma petite ! Dépêchez-vous si vous ne voulez pas goûter à nouveau au paddle !

Brigitte se précipita et se coucha en travers des genoux de sa voisine. Celle-ci lui tapota les fesses, elle souriait, finalement ça n’avait pas été très difficile. Elle allait enfin pouvoir découvrir le fessier rebondi de Brigitte :

— Ça a été un peu laborieux, c’est la dernière fois, la prochaine fois je triplerai la punition, c’est bien compris !

Elle avait claqué sèchement la croupe par-dessus la jupe.

D’un seul coup Brigitte venait de faire un saut en arrière, cela faisait dix ans qu’elle ne s’était pas retrouvée dans cette position. Ses réflexes de punie revinrent immédiatement, elle posa ses mains par terre et essaya de décontracter ses fesses. Elle sentit sa jupe se soulever, l’air sur ses cuisses lui indiqua qu’elle était troussée et qu’Odile avait une vue parfaite sur sa culotte.

— Mes félicitations Brigitte, vous ne portez pas de collants et votre culotte est très mignonne.

Cette main qui tapotait ses fesses et cette voix féminine, elle se retrouvait quarante-cinq ans en arrière, couchée sur les genoux de sa maman. Malgré la honte et la crainte du châtiment, une chaleur se propagea dans son bas-ventre.

Odile appréciait à sa juste valeur le spectacle offert par sa voisine. Un beau et large fessier moulé par une culotte blanche ornée de dentelle, effectivement elle ne portait pas ces horribles collants mais des bas autofixants. Aussi bien sa mère que son mari ne tolérait que ça sous sa jupe, elle avait également des bas classiques tenus par des porte-jarretelles mais c’était pour les grandes occasions. Malgré la disparition de son mari, elle n’avait pas changé ses habitudes. La sévère maman caressait la croupe tendue par la position :

— Alors ma chère, vous êtes bien installée ?

Une claque un peu plus sèche sur le derrière incita l’ancienne professeure à répondre.

— Euh, oui, oui maman…

Odile se mit à rire :

— C’est bien ma chérie, tu vas voir comme maman va bien s’occuper de ton bon gros derrière.

Brigitte l’avait naturellement appelé maman, c’est vrai qu’elle jouait ce rôle à la perfection malgré la différence d’âge. Elle sentit les doigts de sa nouvelle maman s’insinuer sous l’élastique de sa culotte, le moment fatidique et redouté arrivait, Brigitte poussa un petit gémissement :

— Oh non, pas la culotte…

La sévère maman se mit à rire de plus belle :

— Ah oui ? Et pourquoi donc pas la culotte ? Tu as mérité une bonne fessée déculottée, je vais donc te baisser la culotte comme ta maman et ton mari le faisait.

Brigitte n’avait esquissé aucune rébellion, elle se laissait déculotter comme si c’était normal à soixante-cinq ans de recevoir encore ce châtiment enfantin. Elle se rendait compte que finalement c’était juste un retour à une situation habituelle, il fallait que quelqu’un s’occupe d’elle, même si c’était douloureux pour son amour-propre et son derrière.



Le sous-vêtement était arrivé à mi-cuisse, le large fessier un peu grassouillet s’étalait devant les yeux ravis d’Odile. Il était d’une blancheur nacrée, recouvert d’une légère chair de poule, la raie médiane était serrée, Brigitte dans un souci de pudeur avait contracté ses fesses.

La sévère maman n’avait jamais fessé une dame d’âge mûr, cette magnifique croupe était une belle découverte, c’était un véritable derrière à fessée :

— Eh bien dis-moi ma chérie, ton derrière est bien trop blanc, je vais lui donner bonne mine.

La correction commença immédiatement, la sévère main d’Odile rebondissait sur les rondeurs étalées devant elle.

Brigitte fut surprise de la vigueur de la fessée, si son mari ne savait pas donner de petites fessées, c’était également le cas pour Odile. Elle se mit rapidement à gémir puis à crier, elle avait oublié combien une fessée déculottée pouvait brûler. Dix ans déjà que son postérieur n’avait pas goûté à la rigueur d’une bonne fessée et vingt-cinq ans même pour une correction maternelle. Car c’était bien de ça qu’il s’agissait, Odile la grondait à la manière d’une maman sévère :

— Tu la sens bien ma main sur tes bonnes grosses fesses ? Oh tu peux gigoter, tu peux battre des pieds, tu as mérité la bonne fessée de maman et tu vas l’avoir, je te garantis que tu vas être sage après ça.

Inlassablement la main claquait alternativement une fesse après l’autre, bientôt Brigitte éclata en sanglot, le but de la punition était atteint. Odile continua quand même encore pendant quelques instants, puis elle posa sa main sur la croupe cramoisie, elle était brûlante :

— Voila ce que j’appelle une bonne déculottée ma chérie, ton derrière est fumant.

Brigitte pleurait toujours, sa nouvelle maman la laissa se calmer, elle caressait les belles fesses, c’était vraiment une belle journée :

— Tu vas aller faire refroidir ton bon gros derrière au coin, ça te permettra de réfléchir.

On y était, le retour aux bonnes habitudes était complet, le passage au coin fesses à l’air. Sans dire un mot, en reniflant pour contenir ses larmes la professeure en retraite se dirigea vers le mur.

Odile la regardait attentivement, elle ne lui avait volontairement pas donné de consignes, les fesses joufflues ballottaient au rythme des pas, elles étaient d’un rouge profond. Brigitte n’avait pas hésité, elle avait retrouvé sans réfléchir le coin de la pièce où elle avait passé de nombreuses heures les fesses brûlantes. Elle mit son nez contre le mur et posa ses mains sur la tête, Odile souriait, contente de la docilité de sa nouvelle grande fille. Elle se leva et coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture :

— Voilà une bien jolie paire de fesses, ce serait dommage de ne pas les exposer.

Elle n’annonça pas la durée de la pénitence, elle voulait laisser Brigitte dans l’incertitude quant à sa sévérité. Elle entreprit de visiter l’appartement, sur la commode de la chambre était posée une brosse à cheveux avec un manche en ébène, elle la soupesa. Cet instrument n’avait pas dû servir souvent à coiffer les cheveux, mais il devait parfaitement cuire un bon gros derrière.

Dans la salle de bain elle ouvrit tous les tiroirs, elle sourit en découvrant une crème hydratante, après une bonne déculottée, ça pouvait servir. Elle trouva enfin ce qu’elle cherchait, un thermomètre traditionnel en verre, il y avait également à côté un autre plus moderne, mais elle le négligea. Elle revint vers le salon, la punie n’avait pas bougé, elle s’approcha et passa sa main sur les fesses brûlantes :

— C’est bien tu as été sage.

Elle saisit l’oreille de la professeure :

— Viens avec moi.

Sans protester celle-ci l’a suivi, elle avait gardé ses mains sur la tête. La sévère maman s’installa dans le canapé et laissa la punie debout. Elle posa sur la table la brosse à cheveux à côté du thermomètre. Le martinet et le paddle complétaient la collection d’instruments punitifs. Elle regardait en souriant sa punie :

— Tu connais tout ça ?

Brigitte hocha la tête, à part le thermomètre, ils avaient tous servi sur ses fesses. Odile avait saisi l’instrument médical :

— Pourquoi as-tu gardé ce thermomètre, tu t’en sers encore dans ton gros derrière.

Brigitte piqua un fard :

— Euh, non, non pourquoi ?

La dernière fois qu’il avait été utilisé, c’était par sa mère, cela faisait plus de quarante-cinq ans.

Odile souriait de la gêne de sa voisine, elle faisait tourner le thermomètre entre ses doigts :

— Ah bon, pourquoi l’as tu gardé alors ? J’ai le même à la maison et crois-moi, il sert beaucoup, les petites fesses des filles le connaissent très bien.

Brigitte regarda Odile, c’était vraiment la réincarnation de sa mère, elle avoua :

— Oui maman l’utilisait également.

La sévère voisine jubilait, décidément de grandes perspectives s’ouvraient :

— Ta maman l’a utilisé jusqu’à quel âge ?

Brigitte était au supplice, mais elle répondait sans protester à toutes les questions. Elle était devant Odile, la culotte baissée aux genoux, les fesses encore sensibles, celle-ci ne lui avait pas dit d’enlever ses mains de sa tête et bien qu’elle se trouva un peu ridicule, elle n’avait pas osé changer de position.

— Euh… jusqu’à vingt ans.

C’était un petit mensonge, car elle n’avait quitté le domicile familial que pour se marier à vingt-deux ans et jusqu’à cette date, sa mère quand elle soupçonnait une maladie lui prenait elle-même la température dans les fesses comme elle disait.

Odile en souriant reposa le thermomètre sur la table :

— À partir de maintenant, il restera dans le salon, je veux l’avoir à disposition si nécessaire.

Brigitte ouvrit la bouche pour poser une question, mais sa sévère maman continuait :

— Nous allons reprendre les bonnes habitudes, je viendrai une fois par semaine, disons le samedi en début d’après-midi pour te donner ta fessée de maintenance. Je pense que c’est nécessaire.

Brigitte s’en doutait depuis un moment, elle ne dit rien.

— Bien sûr, à chaque incartade tu peux t’attendre à recevoir une bonne fessée déculottée et quel que soit le lieu, si tu ne veux pas montrer tes fesses à tout le monde, tu n’auras qu’à être mignonne. La seule exception pour le moment, ce sera devant les filles, tu dois garder une certaine autorité. Autre chose, quand tu seras punie, tu m’appelleras maman et je te tutoierai, le reste du temps tu redeviendras Brigitte Audin.

La tirade avait été longue, Brigitte l’avait écouté sans broncher ni protester le moins du monde, finalement c’était peut-être ce qu’elle attendait depuis la disparition de son mari. Après dix ans d’errance, elle allait être à nouveau sous la férule de quelqu’un et inconsciemment elle savait qu’elle en avait besoin.

Odile la regarda en souriant :

— Tu ne dis rien ? Qui ne dit mot consent, demain je viendrai pour ta fessée de maintenance.

Brigitte se rendit compte qu’on était effectivement vendredi, elle faillit protester que ce n’était pas juste, normalement la punition était hebdomadaire, mais le regard impérieux de sa nouvelle maman l’en dissuada.

Odile avait pris le paddle sur la table pour le soupeser, elle le balança au bout de son bras :

— Il est lourd, ça doit vraiment brûler les fesses.

Elle le reposa et prit le martinet :

— Pour ta deuxième fessée, je vais rester classique, tu auras droit au martinet.

Devant le regard surpris de sa voisine, elle ajouta :

— Tu n’as pas oublié ma chérie, maman doit te donner une fessée supplémentaire pour avoir refusé de venir te coucher sur ses genoux dès qu’elle te l’a demandé.



Elle désigna la chaise qui avait servi pour la première punition :

— Tu mets tes mains sur la chaise et tu tends bien ton joli derrière, monsieur martinet s’est ennuyé pendant dix ans. On va le faire travailler un peu.

Comme un automate, Brigitte se mit en position, ses larges fesses encore bien colorées par la fessée précédente, se tendaient vers Odile comme pour réclamer leur dû.

Il fallait marquer son autorité, celle-ci décida d’être sévère, le plantureux derrière était bien échauffé et suffisamment confortable pour recevoir une deuxième correction.

Le martinet cingla la croupe tendue une cinquantaine de fois, on sentait que la dame de soixante-cinq ans qui recevait la fessée était habituée aux sévères corrections, elle piétinait sur place et pleurait, mais elle ne cherchait pas à éviter sa punition en mettant ses mains ou en se relevant. Odile appréciait à sa juste valeur la danse des fesses que lui offrait Brigitte, elles s’ouvraient impudiquement puis se serraient brusquement, c’était charmant.

La rougeur du fessier était intense quand la fessée prit fin, elle s’étendait de la partie la plus charnue jusqu’au milieu des cuisses. Brigitte sanglotait, elle porta ses mains à ses fesses pour les frotter, c’était normalement interdit, mais Odile fut émue par ce spectacle, cette dame d’âge mûr frottant son derrière comme une gamine c’était vraiment mignon. Elle se mit à rire :

— On dirait que ça te brûle ma petite chérie, la prochaine fois tu viendras vite te coucher sur mes genoux quand je l’aurai décidé. Bon maintenant tu arrêtes et tu mets tes mains sur ta tête.

Elle saisit sa soumise par l’oreille et la reconduisit au coin :

— Tu vas rester là pendant une heure, ne t’avise pas de bouger avant que je vienne te chercher, sinon je te descends chez moi et tu feras du coin cul nu devant tout le monde !



Elle claqua les fesses brûlantes et laissa Brigitte Audin sangloter le nez contre le mur. Elle était sûre que sa punie ne bougerait pas d’un pouce.

 

 

4 commentaires:

  1. Je ne découvre votre blog qu'aujourd'hui, après avoir lu vos écrits à d'autres endroits. Je voulais vous témoigner toute mon admiration, tant pour la qualité de votre écriture que pour l'originalité des situations décrites et imaginées.

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    1. Merci pour ces compliments qui me vont droit au coeur. J'écris pour me faire plaisir, mais je suis ravi quand mes lecteurs apprécient mes histoires cuisantes.
      Puis-je savoir où vous m'avez déjà lu?
      Sylvie

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    2. Peut-être que je confonds, mais je crois vous avoir lu sur le blog de JosipLegall ? ("L'institut de Madame Rose")

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    3. Vous ne confondez pas, c'est effectivement sur le blog de josip que j'ai fait mes premiers pas dans l'écriture fessophile.

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