mercredi 4 septembre 2024

Hubert 4

 Les trois amies de Valérie





Jeanne était un peu surprise de l’invitation de son amie Valérie, elle lui avait dit d’un ton mystérieux :

— Passe à la maison, dès la fin de tes cours, j’ai une petite surprise.

C’est Caroline qui l’avait accueillie avec un grand sourire, elle appréciait beaucoup cette jeune bonne qui semblait avoir un caractère bien trempé :

— Madame vous attend au salon.

Jeanne avait suivi, la jeune femme en admirant son adorable petit popotin qui se tortillait suggessivement au rythme de ses pas.

En entrant, elle poussa un petit « oh » devant le spectacle d’une paire de fesse écarlate, installée au coin de la pièce juste en face de l’entrée. Cette croupe appartenait à un monsieur, il n’avait pas de pantalon et sa culotte était descendue aux genoux, la rougeur du fessier était intense, la contraction spasmodique des fesses ne laissait pas de place au doute, la cuisson devait être intense.



Valérie était tout sourire :

— Tu ne connaissais pas encore les fesses d’Hubert et bien je te les présente.

Jeanne n’était pas une oie blanche, elle appréciait à sa juste valeur ce fessier masculin, elle avait eu des déboires avec le sexe opposé et voir un monsieur corrigé n’était pas pour lui déplaire :

— Il a vraiment un cul ravissant, tu lui as mis une belle culotte rouge.

Valérie savourait sa puissance, la honte que devait ressentir son mari décuplait son plaisir, depuis qu’elle avait soumis son tendre et cher époux à une stricte discipline conjugale, elle expérimentait diverses situation. La punition publique en faisait partie :

— C’est vrai qu’elles sont mignonnes ses fesses, mais ce n’est pas moi qui les ai rougis.

Jeanne la regarda interrogative :

— Ah bon ?

Valérie prit une petite clochette et la secoua, aussitôt Caroline entra dans la pièce. Valérie pointa du doigt la jeune femme :

— C’est cette demoiselle qu’il faut féliciter, Caroline a vraiment un talent indéniable pour mettre une culotte bien rouge et bien chaude sur les fesses d’Hubert.

La jeune bonne rosit de plaisir sous le compliment, Valérie s’adressa à elle :

— Tu nous serviras le thé et ensuite tu flanqueras une deuxième fessée à ce chenapan, je ne voudrais pas qu’il attrape froid.

Un grand sourire se dessina sur les lèvres de la jeune bonne, décidément depuis que madame avait changé les règles dans cette maison, elle prenait vraiment du plaisir à son travail, bon bien sûr sa patronne avait la main leste et elle ne connaissait qu’une façon de régler les problèmes, c’était illico la fessée cul nu. Se faire déculotter à vingt-deux ans n’était pas un problème pour Caroline, sa tante qui l’avait élevée pratiquait de la même façon bien qu’elle soit majeure. Mais ces petits désagréments n’étaient rien en comparaison du plaisir de punir monsieur, car madame lui laissait toute latitude quant aux corrections qu’elle pouvait administrer et elle ne s’en privait pas. Il ne se passait pas de jour sans que monsieur Hubert soit déculotté et fessé, sans compter les autres châtiments honteux qu’elle découvrait de jour en jour. Elle fit une petite révérence avant de s’éclipser :

— Bien madame, je reviens de suite.

Une fois qu’elle eut posé le plateau sur la table et servit le thé, elle se dirigea vers Hubert. Elle le prit par l’oreille pour l’amener au centre de la pièce, puis elle lui baissa la culotte jusqu’aux chevilles et lui fit enjamber. Elle sortit de sa poche une petite culotte blanche en coton et la tendit à Hubert :

— Mets ça mon garçon.

Elle se tourna vers les spectatrices :

— Quand on reçoit encore la fessée déculottée, on porte des culottes adaptées à la situation.

Hubert avait remonté le sous-vêtement, elle le prit par le bras et le fit pivoter pour qu’il présente son postérieur culotté :

— Voilà, je vous présente le derrière de monsieur Hubert avec sa culotte de gamine. Il est mignon n’est-ce pas ?

Jeanne souriait et Valérie se mit à rire :

— Tu as décidément de très bonnes idées, où as-tu trouvé cette jolie petite culotte ?

En souriant Caroline passa sa main sur les fesses culottées :

— Elle est à moi madame, elle lui va bien ?

Valérie approuva :

— C’est parfait, ce sera maintenant sa tenue quand il sera puni, il mettra une culotte de fessée. Tu iras en acheter demain.

Satisfaite de son petit effet, la jeune bonne plaça une chaise à côté d’Hubert et s’y installa. Puis elle prit la main du monsieur rouge de confusion et le fit basculer en travers de ses genoux :

— Allez en position, Caroline va s’occuper de ton vilain derrière.

Elle tapota la croupe tendue sous la fine lingerie, ses doigts s’insinuèrent sous la culotte au niveau des cuisses pour découvrir la base des fesses, elle la fit rentrer dans la raie fessière et claqua la zone découverte.

— Alors, tu vas encore faire des bêtises ou tu vas te décider enfin à être un gentil garçon.

Hubert était affolé, c’était la première fois que son épouse lui imposait l’humiliation d’une fessée publique, bien sûr Caroline assistait souvent à ses punitions, mais elle faisait désormais partie de la famille puisque souvent comme aujourd’hui c’est elle qui officiait. Un nouveau degré dans sa soumission était franchi une personne extérieure était au courant de sa condition.

Une claque plus sèche le fit pousser un cri.

— Aïe, aïe… pardon mademoiselle.

— J’attends une réponse mon garçon !

La main de la jeune femme claquait méthodiquement la base des fesses et le haut des cuisses, c’était une zone très sensible, finalement il valait mieux une fessée déculottée sur le derrière, il gémit :

— Oui mademoiselle, oui… aïe…

— Oui quoi !

— Aïe je vais être sage…

Jeanne éclata de rire :

— Oh, comme c’est charmant, ce monsieur qui promet d’être sage, on dirait un gamin sur les genoux de sa maîtresse.

Valérie riait aussi, elle approuva :

— Exactement, je l’ai constaté depuis que j’ai repris l’éducation d’Hubert, en général quand il sait qu’il va recevoir la bonne vieille fessée déculottée, ce monsieur redevient comme un petit garçon, il est mignon n’est-ce pas ?

Jeanne était vraiment ravie de la surprise que lui avait réservée Valérie, elle qui avait eu des déboires avec son mari qui l’avait trompée puis quittée, se demanda si la situation n’aurait pas été différente si elle avait utilisé cette méthode avec lui. Elle se tourna vers son amie :

— Ça fait longtemps que tu utilises la fessée ? Il accepte ça sans broncher ?

Valérie lui fit un petit signe avant de se tourner vers Caroline qui avait posé négligemment sa main sur le derrière culotté :

— Je vais t’expliquer, mais il ne faut pas le faire attendre, il va avoir froid aux fesses. Caroline tu peux y aller, déculotte-moi ce garnement et flanque-lui la fessée qu’il mérite.

La jeune bonne ne se fit pas prier, elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la fit glisser sur la croupe tendue. Elle la baissa jusqu’à mi-cuisse pour bien dégager le postérieur du monsieur redevenu un gamin sur les genoux de sa gouvernante. Elle palpa ensuite le fessier comme pour en prendre possession :

— Alors mon grand, j’espère que tu as bien honte de montrer ton derrière tout nu. Tu le savais pourtant, quand on a été vilain on a droit à une bonne fessée déculottée.

Elle s’amusait d’avoir ce monsieur couché sur ses genoux les fesses à l’air, elle jouait parfaitement son rôle de sévère gouvernante. Puis sans prévenir elle leva la main et commença la correction du vilain garnement. C’était une véritable avalanche qui s’abattait sur le derrière déjà bien coloré, mais qui prit rapidement une teinte beaucoup plus foncée, un beau rouge brique.



Hubert n’avait pas mis longtemps à crier et à battre des pieds, mais maintenant il pleurait comme un gamin fessé, ses jambes gesticulaient dans tous les sens, ses fesses s’ouvraient largement, Caroline avait coincé son bras dans son dos avec sa main gauche pour l’empêcher de protéger son postérieur. Elle s’appliquait claquant une fesse après l’autre, le gras du derrière puis le pli fessier et l’arrière des cuisses aucune zone de cette partie du corps réservée à la fessée ne fut oubliée.

Pendant que se déroulait la correction, Valérie donnait des explications à son amie :

— Ça fait un mois que monsieur me montre ses fesses régulièrement, j’ai fait intervenir Caroline très rapidement, ça me soulage quand je suis occupée et puis c’est encore plus honteux de recevoir la fessée déculottée par sa bonne, ça rend la punition beaucoup plus efficace. Pour ce qui est d’accepter, il n’a pas réellement eu le choix.

Pendant qu’Hubert continuait sa danse des fesses et pleurait à chaudes larmes elle lui expliqua les problèmes financiers de son mari. Ce qui lui avait permis d’exiger une obéissance absolue et l’acceptation des châtiments corporels en contrepartie de la promesse de le tirer d’affaires.

La punition était maintenant terminée, Hubert fut remis sur ses pieds par la sévère jeune femme, elle lui avait saisi l’oreille et il reprit sa place au coin fesses à l’air. Seule la couleur avait changé, elles étaient vraiment très rouges maintenant. Ses épaules étaient secouées par les sanglots et il ne prêtait pas attention à la conversation qui se déroulait derrière lui. Jeanne avait été très impressionnée :

— Eh bien mazette, cette petite à une poigne de fer, tu le fesses aussi fort toi aussi ?

Valérie souriait :

— Ça arrive que je claque plus fort quand il a été vraiment vilain.

Elle parlait de son mari comme s’il était un gamin, elle ajouta en désignant la croupe cramoisie :

— C’est vrai que pour une fessée à la main, elle l’a bien soigné, mais il a droit aussi au martinet ou à la brosse à cheveux, tu sais avec une bonne paire de fesses comme ça, c’est des fois nécessaire d’être plus énergique.



Elles continuèrent à papoter pendant un moment, Valérie avait remarqué le regard intéressé de son amie en direction du fessier de son mari, elle lui glissa en souriant :

— Elles ont l’air de te plaire les bonnes grosses fesses d’Hubert ? Tu veux les voir de plus près ?

Une idée perverse venait de germer dans son cerveau, pour parfaire la honte du monsieur pourquoi ne pas faire intervenir une tierce personne. Elle appela Hubert :

— Viens un peu ici vilain garçon !

Les joues baignées de larme, il se présenta devant sa maîtresse femme :

— Tu vas aller montrer tes fesses à Jeanne, qu’elle voie de plus près comment je traite les désobéissants.

Docile après cette mémorable déculottée, il se tourna pour présenter son derrière à cette dame qu’il connaissait à peine. Elle passa sa main sur l’épiderme brûlant :

— Que c’est doux, ça lui fait vraiment un joli cul. Je peux les voir de plus près ?

Valérie en souriant acquiesça :

— Fait comme tu veux, ça va lui apprendre.

Jeanne prit la main du puni et le força à basculer en travers de ses cuisses :

— C’est plus pratique pour les examiner.

Sa colère contre les hommes trouvait à se soulager dans l’humiliation d’Hubert. Celui-ci n’avait même pas protesté le feu qui envahissait son derrière l’incitait à la prudence.

Les doigts de Jeanne se mirent à palper les fesses puis à les écarter, elle les tapota doucement :

— C’est bien tu es sage, tu l’avais bien méritée cette fessée déculottée, n’est-ce pas ?

Hubert, bien éduqué par son épouse répondit d’une petite voix :

— Oui madame.

— Tu recommenceras ?

— Non madame, aïe, aïe, aïe.

Jeanne n’avait pas pu s’empêcher de claquer un peu ce derrière si bien présenté. Elle caressa à nouveau les fesses et le fit relever. Valérie avait apprécié ce petit intermède, elle reprit les choses en main :

— Tu retournes te mettre au coin, tu vas y rester encore une heure, ça te permettra de réfléchir.

Jeanne avait la réponse quant à la durée de la pénitence, elle prit congé non sans avoir à nouveau félicité son amie pour la qualité de son éducation conjugale.

C’était la première personne à apprendre la nouvelle organisation de la vie au sein de leur couple, la deuxième ce fut Marie.

Elle était médecin généraliste, amie de Valérie depuis très longtemps. Celle-ci annonça à Hubert qu’elle avait pris rendez-vous chez Marie pour lui. Il la regarda un peu surpris :

— Mais pourquoi ?

Un sourire se dessina sur les lèvres de la sévère épouse :

— À ton âge, tu as besoin qu’on surveille ta santé, je t’accompagne, tu as rendez-vous dans une heure.

Malgré le risque, Hubert tenta de protester :

— Mais enfin ce n’est pas la peine, je vais très bien et puis si tu y tiens à ce rendez-vous, je peux y aller tout seul.

Il avait à peine fini sa phrase que Valérie l’avait saisi par la taille, coincé contre sa hanche et lui avait administré une vingtaine de claques sur le pantalon :

— Pardon ? Qu’est-ce que c’est que ces manières ! Je vais t’apprendre à raisonner.

Elle le relâcha, le fit pivoter et déboutonna son pantalon, elle le fit glisser sur les chevilles et remis Hubert en position, coincé contre sa hanche, les fesses tendues. Elle saisit l’élastique du boxer et déculotta prestement son mari :

— Ah monsieur ne veut pas obéir et bien maman va s’occuper de ses fesses tu vas les avoir bien rouges pour aller à ton rendez-vous.



La fessée pétarada dans le hall d’entrée où se déroulait la correction. Quand elle le relâcha, effectivement Hubert avait un fessier écarlate, il fut envoyé au coin fesses à l’air en attendant l’heure du départ. Il regrettait amèrement sa petite révolte, il savait pourtant que c’était inutile.

Marie accueillit le couple chaleureusement, elle s’enquit de la raison de leur visite, elle fut un peu surprise et amusée de voir que c’était Valérie qui répondait à la place de son mari :

— Je t’ai amené Hubert, il a cinquante ans et tu comprends je ne voudrais pas qu’il ait des problèmes.

Marie connaissait Valérie depuis plus de vingt ans, elle était lesbienne et dominatrice, Valérie l’avait souvent entendu parler de ses petites amies, elle lui avait laissé entendre qu’une jeune dame était beaucoup plus mignonne avec une paire de fesses bien rouges, ça l’avait bien fait rire, mais c’était avant qu’elle-même prenne goût à la fessée déculottée.

La médecin plongea son regard dans celui d’Hubert, il avait changé, il était plus strict :

— C’est vrai, tu as raison à cet âge il faut se surveiller et les hommes c’est bien connu négliges leur santé. On va examiner monsieur de fond en comble comme ça tu seras rassurée.

Elle se leva et s’adressa à Hubert :

— Viens avec moi.

La salle d’examen était juste séparée par une demi-cloison en verre, elle désigna un porte-manteau :

— Déshabille-toi.

Valérie l’avait suivi et regardait son mari qui avait l’air un peu gêné. Marie le remarqua aussi, elle ajouta en souriant :

— Tu peux garder ta culotte.

Valérie souriait, de plus en plus intéressée, elle guettait les réactions d’Hubert, surtout que Marie avait ajouté en riant légèrement :

— Enfin, pour le moment.

Il piqua un fard, c’était vraiment une situation embarrassante, deux dames étaient en train de le regarder se livrer à un strip-tease, en plus le fait que Marie ait parlé de sa culotte et non pas d’un boxer, rajoutait à sa confusion et lui rappelait le sous-vêtement féminin que lui imposait Caroline pour le punir.

Il était maintenant à demi-nu devant la médecin qui pratiqua un examen complet, auscultation, prise de tension, etc. Quand ce fut fini, elle se tourna vers Valérie sans se soucier d’Hubert :

— Il va très bien, il ne reste plus qu’un détail, je vais vérifier sa prostate.

Hubert se sentit défaillir, c’est ce qu’il craignait le plus, un toucher rectal, ce n’est pas très agréable, mais pratiqué par une dame que vous connaissez et en présence de son épouse, c’était impossible :

— Euh, c’est vraiment nécessaire, je n’ai aucun problème vous savez.

Marie le regarda en souriant :

— Oui, c’est absolument nécessaire à ton âge, on verra si tu n’as pas de problème après l’examen. Je pense que maintenant il faut que tu quittes ta culotte mon cher.

Hubert était pétrifié, il ne bougea pas. Valérie le regarda d’un œil noir :

— Tu as entendu Marie ! Tu te déculottes et vite ! Tu veux que je t’aide ?

Marie regardait le couple avec intérêt, décidément son amie faisait preuve d’une autorité qu’elle ne lui connaissait pas. Valérie s’était approchée de son mari :

— Tu sais comment ça fini en général, tu veux que je montre à Marie ce qui arrive aux garnements !

Hubert était de plus en plus rouge, il protesta faiblement :

— Non, non maman… Pardon.

Ce fut au tour de Marie d’être surprise, ce monsieur de cinquante semblait trembler devant son épouse, et il venait de l’appeler maman, elle regarda son amie :

— Il t’appelle maman ?

Valérie était souriante malgré son air sévère, elle savait qu’elle allait pouvoir se livrer à son activité favorite, administrer une bonne fessée déculottée à Hubert :

— Oui quand il va être puni.

Marie allait de surprise en surprise. Valérie avait saisi le bras de son mari pour le faire pivoter et en un clin d’œil, elle l’avait courbé vers l’avant et coincé contre sa hanche :

— Je pense qu’il faut que je t’aide apparemment la fessée de ce matin n’a pas suffi.

La culotte glissait déjà sur la courbe du fessier du pauvre Hubert qui suppliait :

— Non, non, maman pardon… Je vais obéir…

Les fesses encore légèrement colorées par la fessée matinale s’étalait devant les yeux ébahis de Marie, certes elle avait l’habitude de voir des messieurs dans leur plus simple appareil mais pas dans cette position honteuse, coincé sous le bras d’une dame et les fesses rosées tendues vers le ciel, la main de Valérie avait commencé à claquer la belle croupe :

— Oh ça, j’en suis sûr que tu vas obéir, en général après une bonne fessée déculottée on devient sage comme une image.

La fessée fut rapide, juste de quoi redonner une belle couleur rouge au derrière du pauvre Hubert. Quand son épouse le relâcha, il piétina sur place, mais se garda bien de frotter ses fesses écarlates.

Marie était ravie de ce petit intermède qui mettait du piquant ou plutôt du cuisant à ses consultations. Elle-même ne se privait pas de rougir les derrières de ses petites amies, mais c’était plutôt érotique que punitif et il lui fallait reconnaître qu’une véritable punition administrée sur un derrière déculotté était encore plus excitant.

La culotte d’Hubert avait glissé jusqu’à ses genoux pendant la fessée, il ne bougeait pas, la médecin lui montra la table d’examen :

— Installe-toi là et enlève complètement ta culotte, ça sera plus pratique.

Il s’exécuta, mais comme il s’apprêtait à s’allonger sur la table, marie l’arrêta en riant :

— Non, non mon cher, pas comme ça, je suis désolé, mais ce n’est pas le côté face qui m’intéresse, c’est le côté pile. Celui que tu viens de nous montrer.

Hubert était de plus en plus rouge, il se retourna exposant sa croupe rougie, Marie lui donna quelques explications :

— Tu vas te mettre à genoux puis tu mettras ta tête dans tes bras sur le lit, il faut que j’aie accès à ton petit trou.

Elle avait dit ça calmement, en souriant, sans se soucier de la honte de son patient. La fessée déculottée bien administrée fait des miracles, tout le monde le sait. Quelques secondes plus tard, Hubert était en position son fessier pointant vers le ciel, les fesses rouges bien ouvertes par la position.

Marie avait mis un gant d’examen, elle tapota le derrière :

— Allez, on se détend, ce ne sera pas long et beaucoup moins douloureux qu’une fessée.

Elle regarda Valérie et lui fit un petit clin d’œil, celle-ci ravie de la situation ajouta :

— Il est en bonne position, je t’autorise à le fesser si tu le juges utile.

Marie avec deux doigts écarta un peu plus les fesses :

— Je ne pense pas que ce sera nécessaire, il va être sage notre grand garçon. N’est-ce pas ?

Elle avait donné une claque un peu plus sèche sur la fesse droite.

— Oui… oui madame.

Hubert était résigné, effectivement même si c’était désagréable ça n’avait rien à voir avec une bonne fessée.

Le doigt pénétrait inexorablement, le patient se mit à gémir doucement, ce qui fit sourire les deux dames, Valérie fit à son tour un petit clin d’œil à son amie :

— Monsieur apprécie vraiment plus le toucher rectal que la fessée.

Elle remarqua une légère érection, elle le fit remarquer à son amie, celle-ci calmement retira son doigt :

— J’ai un très bon moyen pour calmer les ardeurs des garnements.

Sans retirer son gant, elle se mit à claquer la croupe si bien présentée :

— Je vais t’apprendre la politesse mon garçon.

Hubert trépignait sur la table, mais gardait la position :

— Aïe, aïe, aïe… pardon madame, je n’ai pas fait exprès…

Marie continuait à administrer la fessée :

— Ils sont bien tous pareil, tu vas voir avec ton cul bien rouge, tu vas être calmé.

Effectivement l’érection cessa comme par enchantement sous l’effet de la cuisson. Marie réintroduisit son doigt et le fit tourner lentement :

— Il va falloir apprendre à se maîtriser mon petit ami.

Puis se tournant vers Valérie qui avait beaucoup apprécié l’initiative de son amie :

— Sa prostate va très bien, par contre je pense qu’il est un peu trop serré au niveau de son petit trou. Tu vas me l’envoyer en stage pendant une semaine, je vais régler ce problème.

Valérie acquiesça, un peu surprise tout de même par la perversité de son amie :

— Si tu le juges utile, que comptes-tu lui faire ?

Marie lui jeta un regard vicieux :

— Il va avoir droit à un petit massage prostatique quotidien et il devra se retenir, sinon ce sera panpan cucul.

L’après-midi avait été cuisante et humiliante pour Hubert, par contre Valérie était ravie :

— Tu vois que j’avais raison de t’emmener chez Marie, elle va bien s’occuper de toi.

Hubert ne trouvait pas que c’était une bonne idée, la suite allait lui donner raison.

Le lendemain, il sonna au cabinet de Marie, elle lui avait donné rendez-vous à dix-huit heures à la fin de ses consultations. Elle le fit entrer et ferma la porte d’entrée à clé pour ne pas être dérangée, elle lui montra la salle d’examen du doigt :

— Tu enlèves ton pantalon, tu te déculottes et tu te mets en position, j’arrive.

Instruit par l’expérience, il s’empressa d’obéir, ayant plié son pantalon sur la chaise, il hésita. Marie avait dit « tu te déculottes », fallait-il juste baisser sa culotte ou la retirer complètement ? Il opta pour la première solution et descendit son sous-vêtement sous ses fesses. Puis il s’installa dans la même position que la veille, la croupe tendue vers le ciel.

Marie en bonne perverse jugea utile de le faire patienter un moment, elle devinait la honte d’être ainsi exposé cul nu. Elle jetait un coup d’œil discret depuis son bureau à ce monsieur en position peu glorieuse. Quand enfin elle se décida à s’occuper de lui, elle décela une légère contraction des fesses du patient. Elle s’approcha et claqua un peu sèchement le derrière :

— J’ai dit déculotte-toi. Comment veux-tu qu’je t’examine comme ça.

Elle saisit la culotte et la baissa rapidement jusqu’aux chevilles puis l’enleva complètement :

— Je ne répéterai pas, demain je veux te trouver vraiment cul nu, sinon tu auras droit à une fessée avant de commencer. Bien on y va desserre-moi tes fesses.

Elle avait mis son gant, elle pénétra brusquement Hubert qui poussa un petit cri et resserra les pieds.

En souriant, la médecin retira son doigt et se mit à administrer une magistrale fessée à son patient :

— Valérie m’avait prévenu, tu es vraiment un galopin, mais crois-moi je vais te mâter. Quand tu en auras assez d’avoir les fesses rouges tu arrêteras de faire le malin.

Le toucher reprit, vicieusement Marie se faisait un plaisir de faire coulisser son doigt et de le tourner, ajoutant à la confusion d’Hubert. Une fugitive érection apparu, elle le fit se lever et le coucha sur ses cuisses pour une deuxième fessée, la position ajoutait encore à la honte du monsieur redevenu un gamin sur les genoux d’une institutrice sévère.



En pleurnichant, les fesses écarlates il dut se remettre en position pour subir à nouveau cet humiliant examen.

Il quitta le bureau avec une paire de fesse bien rouge sous sa culotte, Valérie voulu bien sûr contrôler l’état de son derrière, elle se doutait bien que Marie avait usé de son droit de fessage. Le pantalon aux genoux Hubert du se pencher, elle le déculotta :

— Eh bien tu en as pris une bonne, mais tu connais l’adage, une fessée à l’école égale une fessée à la maison. Tu vas aller voir Caroline pour lui montrer tes fesses, elle va s’en occuper. Allez file !

Elle avait reculotté son garnement et lui avait claqué le derrière, il remonta maladroitement son pantalon et se dirigea tête basse vers l’office.

La jeune bonne ne fut pas surprise de le voir, souvent Hubert venait lui rendre visite le soir sur les instructions de son épouse, c’était toujours des rendez-vous cuisant pour la croupe de monsieur.

Elle le déculotta à nouveau et passa sa main sur les fesses encore bien colorées :

— Eh bien mon petit ami, on a encore reçu une bonne déculottée à ce que je vois. Tu connais le tarif, mademoiselle Caroline va te flanquer celle que tu mérites. Va mettre ta culotte de punition et tu reviens me voir.

Hubert était malheureusement habitué à ce cérémonial, quelques minutes plus tard, il braillait comme un gamin sur les genoux de sa gouvernante, la culotte aux chevilles et les fesses écarlates. 



Elle le conduisit ensuite au salon pour le mettre au coin en public et lui annonça qu’il était privé de repas, qu’il irait au lit à neuf heures et que jusque-là il exposerait ses jolies fesses bien rouges.

Elle le conduisit au lit ensuite sous l’œil approbateur de Valérie qui se réjouissait des initiatives de la jeune femme. Pour faire bonne mesure, il eut droit à un petit complément de claques sur les fesses avant de dormir.

Il songea avec effroi que les séances chez Marie devant durer une semaine, le retour à la maison serait certainement aussi cuisant, mais on dort très bien avec une paire de fesses bien chaudes lui disait sa mère, c’était exact.



Laetitia habitait juste en face de chez Valérie et Hubert, vu la fréquence des punitions de celui-ci et leur caractère bruyant, elle fut vite au courant du changement de régime conjugal chez ses voisins.

Hubert était soumis à la fessée déculottée depuis une semaine quand elle rencontra le couple dans le hall d’entrée, il était soucieux, il ne la remarqua pas et lui fonça dessus tête baissée, elle faillit tomber, Valérie gronda immédiatement :

— Mais c’est quand même incroyable, tu pourrais faire attention.

Il bégaya de vagues excuses en baissant la tête, à la grande surprise de la jeune femme, Valérie le prit par l’oreille comme s’il n’était qu’un gamin et le força à lever la tête :

— Regarde mademoiselle et excuse-toi !

Elle avait en même temps claqué les fesses du monsieur par-dessus son pantalon. Celui-ci rouge de honte s’exécuta :

— Veuillez m’excuser mademoiselle, je ne vous avais pas vue.

Laetitia le sourire aux lèvres devant ce spectacle peu banal d’un monsieur soumis à son épouse, se prit au jeu :

— Ce n’est rien mon garçon, mais la prochaine fois faites attention sinon je pourrais me fâcher.

Valérie était satisfaite de la réaction de la jeune femme, une idée lui vint, pourquoi ne pas la faire participer à l’éducation de son mari.

— Il n’y aura pas de prochaine fois, je peux vous le garantir.

Puis désignant la porte de son appartement elle demanda à Laetitia :

— On peut rentrer chez vous, je vais avoir une petite conversation avec monsieur et j’aimerais que vous y assistiez.

Laetitia était de plus en plus intéressée par la tournure des événements, elle ouvrit sa porte :

— Aucun problème, entrez.

Valérie saisit à nouveau l’oreille d’Hubert et le tira sans ménagement :

— Après sa petite fessée déculottée, je vous promets qu’il va faire attention.

La jeune femme allait de surprise en surprise, que sa voisine gronde son mari comme s’il était un gamin, passe encore, qu’elle lui tire l’oreille, c’était limite, mais annoncer qu’elle allait lui, administrer une fessée déculottée, elle en serait presque tombée à la renverse.

Elle avait suivi le couple dans le salon, Valérie s’était assise, son mari debout devant elle ne bougeait pas et ne tentait aucune rébellion, la situation n’était vraiment pas banale. Sa voisine déboutonnait le pantalon de son mari et le faisait glisser sur ses chevilles, puis elle le fit basculer en travers de ses genoux. Laetitia ouvrait de grands yeux, surtout que sans attendre elle entreprit de lui baisser la culotte.



 Elle avait parlé d’une fessée déculottée, c’était donc ça, la jeune femme n’avait jamais assisté à un tel châtiment même sur un enfant, bien sûr elle en avait entendu parler, mais elle pensait que c’était à ranger au rayon des souvenirs du siècle dernier.

La culotte était maintenant à mi-cuisses et la main de ma sévère épouse claquait joyeusement le fessier rebondi du monsieur. Laetitia, passé le moment de surprise, trouvait finalement le spectacle amusant et même excitant. Hubert avait essayé d’être courageux et de supporter stoïquement sa punition, mais Valérie s’y entendait en fessée sévère et celle-ci n’échappait pas à la règle et comme d’habitude il se mit à se débattre, à tortiller suggessivement son derrière pour finalement sangloter comme un gamin puni par sa maman.



Quand il se releva, Laetitia fut étonnée qu’il ne frotte pas ses fesses, vu leurs couleurs, elles devaient être brûlantes. Elle apprendrait par la suite que toute tentative pour atténuer la cuisson du derrière valait un retour immédiat sur les genoux de la fesseuse. Valérie était souriante, elle regarda sa jeune voisine pour voir l’effet que ça lui avait fait, son visage radieux était la preuve qu’elle avait apprécié le spectacle, elle s’adressa à son mari :

— Tu vas aller montrer tes fesses à mademoiselle et tu vas encore t’excuser.

Docilement Hubert, se tourna et se pencha légèrement devant Laetitia, son fessier rubicond était bien exposé à la vue de la jeune femme, elle sentit une légère excitation et elle ne put s’empêcher de poser sa main sur la croupe brûlante. Hubert tressailli, c’était encore une nouvelle main qui prenait possession de son postérieur, néanmoins il ne bougea pas et prononça les excuses attendues :

— Veuillez excuser ma maladresse mademoiselle, cela ne se reproduira plus.

Laetitia souriait, elle claqua légèrement le fessier du monsieur redevenu un gamin :

— J’espère bien, ta maman t’a bien puni, maintenant c’est fini.

Elle s’était surpris elle-même d’employer ces mots, mais ils étaient tout à fait adaptés à la situation.

Désormais, il y avait cinq dames au courant de la condition d’Hubert et qui connaissaient toutes parfaitement son anatomie postérieure.
















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